Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements.
Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la
rédaction retenues.
Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le
juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou
officines de la doxa scientifique officielle telPsiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer
tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique,et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web
Odysee.com,ou
encorelesite d'hébergement de vidéos "alternatif" Crowdbunker.
Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par
son propre travail de recherche, libre et indépendant.
C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.
Le féminin séquestré
Il y a une grande différence d'interprétation entre l'enseignement des religions exotériques et l'enseignement ésotérique traditionnel, non manipulé par les sociétés secrètes* s'en prévalant.
Cette différence est bien entendu source de nombre de malentendus. Ainsi, l'histoire de la Genèse biblique est un récit subjectif de la façon dont l'humanité a évolué*². Tout dépend alors de
l'interprétation donnée par les institutions qui en revendiquent la prérogative.
C'est ainsi que la dramaturgie biblique présente Adam et Ève comme chassés du paradis, le Jardin de l’Éden, pour avoir désobéi à l’interdiction faîte par le Créateur de s’approcher de l’Arbre de
la Connaissance. Victime du désir de transgression d’une Ève sensible au tentateur serpent venant se traîner à ses pieds et la séduire pour lui permettre de devenir l’égale du Créateur Tout
Puissant (incongruité grotesque), Adam est alors chassé sans ménagement avec sa compagne pour expier leur faute sur Terre, le péché originel, en espérant pour toute leur lignée de descendance une
éventuelle rédemption à l’heure du Jugement dernier, à condition que ses membres respectent les Commandements de bonne conduite édictés, qui ne seront révélés que bien plus tard par Moïse, et
l’expiation constante de leur statut de pêcheurs éternels à travers le Christ (pour le christianisme, le judaïsme ne le reconnaissant pas comme le Fils du Tout-Puissant), cet être souffrant venu
prendre les péchés de l'Homme en Son Nom.
Inoculée à grande échelle depuis des siècles par la théologie manipulatrice de l’Occident religieux, cette fable allégorique de la Chute*³, cocktail délétère
de rébellion, de culpabilité, de châtiment et de rachat, s’est inscrite en arrière-plan de la conscience d’une grande partie de l’humanité, tout particulièrement les classes défavorisées car non
instruites, avec les conséquences que l’on peut imaginer pour l’être humain dans sa relation à la vie, à lui-même et aux autres. On ne pouvait rêver mieux pour constituer un gigantesque troupeau
de brebis égarées et entretenues dans les méandres de l’ignorance, et dirigées par de piètres bergers aveugles, grossiers et incultes, par-delà les oripeaux affichés et les magistères
dispensés...
De tous temps, la perception des guerres porte sur l'appétence de domination de groupements humains de différentes tailles, qui visent la conquête
et l'annexion des territoires par la force associée à la ruse, pour s'emparer et par là même confisquer des richesses (pétrole, matières premières, minéraux précieux, etc). Ces conflits armés
attribués aux pathologies de l'être humain estompent cependant de manière astucieuse une réalité toute autre. C'est tout particulièrement le cas des guerres de religion, systématiquement
sous-jacentes à cette réalité guerrière et de ce fait sanglante.
Leur nature première est de fabriquer des croyances tenaces et très élaborées à partir de dogmes assis sur unecompilation d'affabulations et de légendes mensongères initiés par leurs promoteurs psychopathes* manipulés à leur insu. C'est le
cas des trois grandes religions monothéistes basées sur une seule religion d'origine : le judaïsme.
Il en a découlé les trois livres présumés "saints" que sont la Thora, la Bible et le Coran. Leur rédaction a été réarrangée pour aboutir à "La Nouvelle Alliance", promesse d'amour et de
paix entre les peuples. Force pourtant est de constater le résultat inverse, cette littérature profondément viciée à sa racine, imposée à travers les âges à coup de menaces, de tortures et de
bains de sang, ayant servi comme continuant àservir toujours de prétextes aux nombreuses inquisitions, Jihad
(dans son acception détourné) et autres génocides à caractère religieux, le dernier en date à Gaza depuis octobre 2023 n'étant pas des moindres. Et pour cause, puisqu'elle a pour seul et unique
objectif de laver le cerveau et maintenir une chape d'hypnose tant aux fidèles et chefs religieux qu'aux non-croyants mais qui en sont insidieusement nourrie par le binaire Je crois/Je ne
crois pas*². Autrement dit, de leur interdire de remettre en route leur cerveau pour réfléchir dégagé de tout prisme idéologique.
Quelle que soit la confession, l'enseignement religieux est la plus magistrale et extraordinaire méthode de programmation qui a été inventée, pour
parvenir à subjuguer l'esprit humain par l'efficacitéde ses profonds et puissants dogmes qui,
à force d'être répétés et martelés dans l'esprit de l'homme ordinaire, finissent par se transformer en croyance et au final en d'indétrônables doctrines de l'esprit*³.
Les guerres de religion représentent ni plus ni moins que le couvercle d'une boîte de Pandore appelée, le moment venu, à dévoiler un gigantesque plan de manipulation génétique de l'humanité aux
fins d'hybridation par le corpus prédateur de 4ème dimension de densité*⁴, et ce pour assurer sa survie dans les Ténèbres de la Conscience !
La planche précolombienne ci-contre issue du codex Laud, manuscrit mazatèque (soit au sud de Mexico), donne la clé - cachée par les Religions
institutionnelles - de son évolution à l'être humain par sa représentation de l'Arbre de la Connaissance, indissociable de l'Arbre de Vie*. Y figure une femme incitant l'homme à connaitre le
fruit défendu sous forme d'un reptile la gueule ouverte vers la terre, la 3ème dimension de densité, avec des pattes d'oie/fleur de lys surplombant la scène. L'Arbre de la Connaissance est ainsi
constitué du serpent, du fruit féminin défendu (la vulve), et de l'oie, soit le triple symbole des initiés du "Grand Jeu de l'Oie". Il dévoile ainsi que tous ces aspects font partie d'un même
tout.
La fente rouge de l'arbre évoque que la sexualité est au cœur de l'initiation comme passage, plus exactement processus de transformation. La prêtresse assise
enseigne à son interlocuteur masculin l'art de transcender la sexualité animale de 3ème densité, l'outil de prédilection des maîtres reptiliens*² pour l'asservissement de l'humanité, afin
d'accéder à l'autre monde, celui où l'énergie nucléaire faible circule et unit sans entrave les polarités féminine et masculine.
Les symboles se lisent de bas en haut : depuis l'expérience terrestre de 3ème densité de réalité, nous entrons dans la gueule du reptile, passons par le nœud
central de la transformation de l'humain animal pulsionnel, pour progresser jusqu'aux densités supérieures sous le signe de la patte d'oie. Le féminin est l'élément moteur de ce processus
d’ascension. C'est pourquoi le système de contrôle de nature patriarcale cherche depuis les origines de l'humanité à cacher cette clé de voûte à ses esclaves par d'innombrables persécutions et
par le détournement du sens des symboles laissés par les chercheurs de vérité (Cathares, Cagots des Pyrénées, Chrestians occitans, Templiers, Jacquets ...).
Qu'ils soient hommes ou femmes, les humains sont continuellement amenés depuis plus de deux millénaires à réagir par rapport à un principe patriarcal faussé ou à un principe matriarcal lui-même
dénaturé, ces deux principes se fondant insidieusement avec la représentation de l'autorité*. Se superposant également avec les images sociales du féminin et du masculin, ils contribuent de ce
fait à renforcer la perversion - "père-version" - du principe masculin.
Ce système n'a pour autre objectif que de nous enfermer dans nos réactions émotionnelles formatées et de ce fait conditionnées, en jouant sur le sens de nos représentations et en extériorisant
sans cesse les problématiques. De ce fait, l'homme comme la femme sont à la fois en conflit avec l'identité masculine et avec l'identité féminine, ce phénomène de division s'imprimant au sein de
notre psyché*². La confusion entre les différentes images qui structurent notre univers psychophysique renforce nos conflits internes tout en nous coupant du recul qui nous permettrait de sortir
de cette situation. Dans cette configuration, la femme est associée au côté dévorant du contrôle et l'homme au côté rigide de celui-ci. Dans ce cadre, l'homme "reproche" inconsciemment à la femme
de ne pas le guider hors de sa dimension masculine pervertie et de ne pas lui procurer les conditions propices à son épanouissement, puisqu'il la considère comme à la solde du patriarcat
castrateur. De son côté, la femme reproche à l'homme de ne pas la protéger, de ne pas la sauver de sa dimension féminine déviée, possessive, de ne pas lui procurer les conditions où elle pourrait
elle aussi s'épanouir, et d'être le représentant emblématique d'un système inhumain. Et chacun des sexes, avec de nombreuses nuances, peut tour à tour manifester ces deux principes pervertis par
la possessivité, le chantage affectif, la rigidité et la contrainte violente.
Les changements d'orientation et l'avènement d'une ère nouvelle qu'ilsimpliquent ont été constamment marqués par le rôle
éminent, actif, que la femme y a jouésous des formes diverses. les Évangiles portent le témoignage de cette présence. C'est à unefemme, la Samaritaine, que Jésus, près du puits de Jacob, déclara pour la première fois qu'Ilétait le Messie : "Je le suis, moi qui te
parle" (Jean, IV, 7-26). C'est à une femme, Marie de Magdala, que leChrist se manifesta à la résurrection lorsqu’Il l'appela et qu'elle Le
reconnut. Le principe d'intervention de la femme se retrouve ainsi au cours de toutes les périodes cruciales del'histoire. On situe
généralement la naissance du Moyen Age à l'époque du règne de Justinienle Grand. Or, son œuvre fut fortement influencée par la puissante personnalité de son
épouse, l'impératrice Théodora. Elle joua un rôle comparable à celui d'Aspasie auprès de Périclès. Enlui apportant son appui dans les
moments de faiblesse auxquels n'échappe pas le caractère lemieux trempé, elle permit à Justinien de donner au monde chrétien cette impulsion extraordinaire qui s'épanouit au cours des siècles suivants. N'oublions pas le rôle fécondantjoué par les Dames dans les
cours médiévales, ni le rôle d'inspiratrices des Dames de laPensée vis-à-vis des Chevaliers. Les périodes où, dans la vie de la société humaine, le rôle ennoblissant de la femme s'effacesont marquées par une trivialité
des moeurs qui s'exprime en particulier par le goût d'unréalisme outrancier. La disparition des cours et des salons politiques et littéraires où,
jusqu'au XXe siècle, la femme jouait un si grand rôle, prive les relations internationales d'un facteurpositif de compréhension, et la
diplomatie de la souplesse indispensable au règlement desproblèmes politiques.
Extrait de Gnôsis, de l'historien russe Boris Mouravieff.
Aussi est-il essentiel de se dés-identifier du contenu de rôle que le système prédateur attribue à chaque sexe, celui-ci devenant sa raison d'être, et par là-même son cheval de bataille, si
l'individu n'y prend pas garde. Ceci est déterminant pour que la conscience incarnée en une femme puisse saisir sa spécificité, et que celle incarnée en un homme puisse accueillir l'information
réactivant son potentiel féminin, et ainsi participer à l'échange électromagnétique harmonieux que les deux formes sexuées supposent en réalité.
C'est pourquoi la voie de la sagesse, celle consistant à connaître et transformer, est la voie de l'évolution. Le fait de connaître résume la fonction masculine, et celui de transformer la
fonction féminine. Se révèle ainsi la nature androgyne de la sagesse, la Sophia en grec, particularité de l'individu qui sait associer les dimensions féminine et masculine en lui et
autour de lui, tout particulièrement avec son/sa partenaire de vie. C'est l'enseignement voilé que transmet la Vierge Noire, d'Isis à Marie Magdala, que seul comprendra un cœur ouvert...
Le secret dissimulé de la Vierge Noire
Tous les livres de philosophie, de religions et d'histoire parlent des "Vierges Noires", phénomène présent dans tous les pays et à toutes les époques. Comme toujours, leur archétype est lié à
l'inconscient collectif, signifiant qu'elles ont un rôle secret et très important pour celles et ceux qui le font remonter à leur conscient.
Les dernières découvertes archéologiques - non officielles - dans ce domaine, qui proviennent de chercheurs libres et spécialisés dans la civilisation sumérienne et babylonienne, disent que ce
sont elles, et elles seules, nos vraies créatrices sur l’injonction forcée des "Archontes"*, expression du corpus prédateur asservisseur, et ce en des temps très anciens (entre 250 000 et 300 000
ans), bien avant les divers déluges successifs.
Ces Vierges Noires constituent ainsi un collectif de souveraines de nature non humaine, car de nature reptilienne. Elles sont des vraies "Déesse Mère Divine", d’une origine raciale reptilienne
supérieure appelée AMASUTUM. Cette noble caste au service des Forces évolutives, dites de Lumière, participe encore aujourd’hui au travail des planificateurs concepteurs d’Univers, nommés
Kadistu, et qui de ce fait orchestrent notre libération lorsque nous y sommes reliés par la conscience, celle-ci étant constitutives de la gravité (ce qui agrège). Leur histoire étant
très voilée afin d'empêcher les êtres humains d'accéder à la Connaissance libératrice, elles sont représentées d’une façon déformée dans toutes les religions du monde, sujettes de ce fait à de
nombreuses appellations selon l’époque et le continent. En la découvrant, nous tenons les clés incontournables de notre éveil et du processus d'ascension de conscience*.
Selon nos encyclopédies modernes, la plus grande concentration de statues des Vierges noires se trouve en France, sans que le mystère de leur origine n'ait été officiellement éclairci alors qu'il
est bien attesté dès la conquête romaine, d'abord autour du Golfe du Lion (littoral des régions françaises d'Occitanie à l'ouest et de Provence à l'est), en Camargue, le long du Rhône, sur les
côtes de l'Atlantique et de la Manche, puis en suivant les axes routiers et fluviaux à l'intérieur des terres. On les rencontre plus particulièrement dans le sud de la France, en Auvergne, en
Aveyron (Les Causses), en Provence et surtout dans les Pyrénées, y compris du côté espagnol (Galice). Les plus anciennes encore visibles datent de la fin du XI° siècle. Quant aux plus célèbres
par les pouvoirs miraculeux qu'elles ont manifestés, elles apparaissent sur les chemins de pèlerinage entre Vézelay dans l'Yonne et Saint-Jacques de Compostelle. Certaines ont été fabriquées dans
les derniers siècles pour remplacer celles disparues, soit accidentellement, soit pendant les guerres de religions et la Révolution.
En fait cette présence massive des Vierges Noires dans le sud de la France trouverait son explication dans le déménagement secret d’une partie du trésor atlante dans les Pyrénées*, qui par ses
portails énergétiques offraient des conditions d'accueil très favorables*²... Ceci explique le rôle particulier de la France aux yeux de tous les peuples et de leurs gouvernements, en dépit d'une
taille modeste, tout comme la chape de plomb rationaliste qui pèse sur son peuple, au-delà du martyr successif de ses initiés (Cathares, Templiers, Cagots des Pyrénées...). Si l'on établit une
analogie anatomique, la France est la bouche de la configuration astrale de notre galaxie d'appartenance, expliquant sa place privilégiée dans l'expression et par là-même l'influence artistique
et culturelle (peinture, sculpture, poésie, littérature...) à destination de tous les peuples. Mais cette lumière d'expression est luciférienne, c'est-à-dire qu'elle dissimule la véritable
connaissance aux sens des humains hypnotisés, endormis. C'est pourquoi elle porte en elle le lourd fardeau de l'excellence mis au service des ténèbres. Légende ou réalité, chacun(e) se prononcera
en son âme et conscience...
Si l’Atlantide, une civilisation technologiquement avancée qui a péri dans un grand déluge au même titre que la civilisation de Mu ou lémurienne, est présentée comme un mythe, elle trouve des
échos dans les mystères de l’Antarctique. Cette théorie, qui est étayée par des textes anciens et de nombreuses preuves géologiques, suggère un événement catastrophique qui aurait pu congeler une
société autrefois florissante, préservant son héritage sous la glace. Les glaces de l’Antarctique ont ainsi fait l’objet tout au long des millénaires écoulés d’observations d’ovnis et de
spéculations sur l’existence de bases extraterrestres, plus exactement extradimensionnelles, cachées aux yeux de l’homme. Ces récits sont qui plus est étayés par le fait que le début de l’ère
moderne des OVNI coïncide avec d’importantes activités humaines dans la région, ce qui suggère un vif intérêt de la part d’observateurs extraterrestres pour les progrès nucléaires de notre
planète.
L’avènement de la technologie satellitaire a en outre permis à des chercheurs indépendants de découvrir des anomalies dans la géographie de l’Antarctique, qui laissent entrevoir la possibilité
d’artefacts ou de sites d’écrasement extraterrestres. L’une de ces découvertes est une traînée, correspondant à la trajectoire d’un objet à grande vitesse, qui s’étend du pôle Nord au pôle Sud.
En outre, des images satellite ont révélé des entrées et des objets qui défient toute explication naturelle, suggérant soit une ingéniosité humaine ancienne, soit la preuve d’une visite
extraterrestre*.
Les archives historiques contiennent de nombreuses réponses aux questions fréquemment posées sur "qui nous sommes", "d’où nous venons" et "comment nous avons
évolué" pour devenir les êtres contemporains que nous sommes. C'est ainsi qu'existait sur le continent de Mu/Lemuria une civilisation très avancée, bien plus
avancée qu'aujourd’hui, et ce sur une vaste masse continentale aujourd’hui engloutie par l’Océan Pacifique.
Mu s’étendait aussi loin à l’est que les Amériques et presque aussi loin à l’ouest que l’Asie de l’Est. Lorsqu’elle a été détruite par un cataclysme probablement
vers 11 500 avant J.-C. (la destruction avait commencé par des éruptions volcaniques, des tremblements de terre et l’effondrement de ceintures de gaz souterraines), elle a été engloutie par
l’océan et a sombré. L’eau était montée à un tel niveau qu’elle a englouti la terre presque jusqu’aux Andes à l’est. Il ne resta que quelques îles ici
et là, qui sont toujours là aujourd’hui, remplies de statues, de statuettes, de repères, témoins d’une époque oubliée depuis longtemps.
Cette civilisation, volontairement ignorée dans notre monde occidental attaché à faire table rase de nos racines, occupe pourtant une place importante dans la
mythologie des Aborigènes d’Australie, des Polynésiens et des Amérindiens. L’Atlantide et Mu ont également joué un rôle important dans la tradition
occulte, le mystique/occultiste autrichien Rudolf Steiner (1861/1925) ayant parlé de colonies de la "troisième race" qui se sont installées jusqu’aux îles de Pâques. De nombreuses découvertes n'ont cessé d'être faites tout au long des siècles pour en démontrer l'existence, l'auteur britannique James Churchward (1851/1936) ayant de son vivant écrit de nombreux livres et donné de nombreuses conférences sur le sujet (voir notammentThe Lost Continent of Mu paru en 1931). Il considérait le site de Nan Modal, sur l’île Pohnpeiautrefois Ponape située dans
les îles Carolines en Océanie, comme l’une des sept cités sacrées de Mu*. La plupart des sources affirment que les Lémuriens ressemblaient beaucoup plus
aux humains modernes, vivant dans un paradis idyllique, essentiellement agraire, avec des forêts luxuriantes et une abondance de fleurs et d’arbres fruitiers, avec des principes féminins de partage, de coopération et de créativité qui ont donné naissance à une société pratiquement exempte de crimes, de conflits et de
guerres. Les Lémuriens étaient végétariens et vivaient en harmonie avec la nature et les autres créatures. Ils avaient des sens psychiques et
télépathiques très développés, qu’ils utilisaient dans des activités pratiques telles que l’horticulture.
Ils croyaient en la "primauté de l’esprit sur la matière" et étaient adeptes de la manifestation et d’autres techniques de "création de la réalité". Cette tradition
survit d'ailleurs dans le concept polynésien de mana et dans diverses cérémonies de marche sur le feu dans toute la région.
Il est intéressant de noter que les plus anciens artefacts humains des Amériques ont été découverts sur l’île de Santa Rosa, au large de Santa Barbara, et datés
d’environ 25 000 ans avant J.-C., ce qui correspond à peu près à l’époque où le continent de Mu a été créé. Mu, comme l’Atlantide, a fini par sombrer dans l’océan lors du déluge.
De son côté, l'auteur canadien franc-maçon d’honneur du 33e degré Manly Palmer Hall (1901/1990) dont l'œuvre la plus
connue est The Secret Teachings of All Ages: An Encyclopedic Outline of Masonic, Hermetic, Qabbalistic and Rosicrucian Symbolical Philosophyc, grand amateur
de Mu et de l’Atlantide, a beaucoup écrit sur le sujet, s’inspirant également du rosicrucien Sir Francis Bacon, qui voulait faire de l’Amérique la "Nouvelle Atlantide". Il a écrit que les rituels les plus secrets de l’initiation ancienne se déroulaient sous terre, dans des grottes profondes, dans des cryptes souterraines, loin des distractions
de la surface. On les appelait les "grottes des mystères".
* Ses ruines reposent de nos jours sur un lagon marécageux rempli de palétuviers, s'élevant à une dizaine de
mètres de hauteur, ses tonnes de roches volcaniques noires étant empilées en forme de croix.
L'île mystérieuse
Dans deux dialogues, le philosophe grec Platon raconte que Solon avait eu à connaître lors de son voyage en Égypte par des prêtres qu'il interrogeait de très
anciennes traditions relatives à une guerre soutenue autrefois par Athènes contre le peuple des Atlantes. Ce récit commencé dans Le Timée, est repris et développé dans le fragment que
nous possédons du Critias, tous deux considérés comme avoir été écrits entre 358 et 356 av. J.-C. Les Atlantes, nos prédécesseurs, habitaientpour
le prêtre égyptienune île - Atlantis - qui s'étendait devant les Colonnes d'Herculequand on sortait de la
Méditerranée et que l'on entrait dans l'océan Atlantique (Cf. image), et que les Égyptiens appelaient l'Amenti (son pendant en Orient est l'Amenta).Lorsque les "dieux" du champ Astral - les Forces involutives - s'étaient partagé la terre, Athènes était devenu le lot d’Athéna et d'Héphaïstos, et l'Atlantide le domaine de
Poséidon puis de son fils aîné le géant Atlas, né de ses amours avec Clito, à qui il accorda la suprématie. L'île de cette civilisation terrestre nommée l'Atlantide* - Atlantis - était d'une
richesse extrême, tant par sa flore que par ses trésors minéraux. On y trouvait en abondance de l'or, du cuivre, du fer, etc.. et de "l'oricalque" (ou orichalque), un métal qui brillait comme du
feu. Les rois d'Atlantis, divisée en dix domaines, élevèrent des villes magnifiques, pleines de souterrains, de ponts, de canaux, de passages compliqués qui facilitaient la défense et le
commerce. À l’âge d’or de l’Atlantide, les pyramides étaient à trois ou quatre faces, selon leur fonction, et étaient généralement faites de marbre, de granit et de cristaux complexes. Les
pyramides à trois faces étaient utilisées comme antennes pour attirer et amplifier les énergies et les canaliser vers la grille de couches afin d’alimenter en énergie les maisons et les usines et
de créer des champs d’énergie à des fins diverses.
Cette civilisation acorrespondu
grosso mode aux continents Nord et Sud-américains, se composantde 3 races d'individus occupant les sections différentes d'un empire
d'îles énormes (les Celtes avaient pris possession de la section du Nord).Elle comptait de l'ordre de6 milliards d'habitants, et sa durée est estimée à environ 70.000 années.
Si une partie des Atlantes avaient tenté de subjuguer le monde, ils avaient sombré dans la corruption et le matérialisme, leur nature profonde en tant que forces
involutives. Ils avaient été vaincus par les Athéniens*², représentants des forces évolutives (loi de polarité oblige), neuf mille ans avant le temps de Platon, avant que leur île ne soit
engloutie lors d’un cataclysme, les Forces de la Nature jouant le rôle de répartiteur d'énergie afin de réinstaurer un équilibre entre les forces entropiques du monde et les forces créatrices.
Suite à ce cataclysme, l'île mythique – la partie entropique du monde atlante en mode "Service de Soi" – fut rayée à jamais des cartes du monde. Ses débris errent encore dans l'espace
intersidéral, en attendant d'être engloutis par un trou noir galactique.
D'aucuns y voient selon les boucles de la cyclicité des temps un parallèle avec les États-Unis de notre civilisation contemporaine - nation appelée "La Nouvelle
Atlantide" - qui avec leurs alliés reproduisent aujourd'hui quasiment à l'identique les mœurs d'une nation dont les dirigeants sont régis par l'idéologie "nazie" (celle corrompue des Atlantes
d'alors), et qui se frottent à la mentalité expansionniste des nouveaux dominants russe et chinois (comparable à celle de la Grèce antique des Athéniens)...Tel le veut la loi de la dualité qui régit le fonctionnement de la matrice astrale sous gouverne de la Force des Ténèbres !
* L'auteur états-unienJim M Allen dans son livre "Atlantis : The Andes solution" ("L'Atlantide : la solution des
Andes") indique qu'ATL est le mot Nahuatl pour l'eau et ANTIS est le mot Quechua pour le cuivre. ATL-ANTIS, mot de l'Amérique du Sud, signifierait l'Eau-Cuivre.
*² Ce fut l'opposition telle que découlant despistes et traces des mythes et des légendes, des groupes sanguins,
du travail d'art, des restes archéologiques et paléontologiques et des artefacts, entre "le contingent du Sud," soit les "gens de pyramides" Maîtres de l'Atlantide, aidés et encouragés par des
êtres négatifs hyperdimensionnels, et "le contingent du Nord", soit les gens des cercles, les constructeurs de Stonehenge et les fidèles de la Lune et de la déesse Mère.
Amenti : l'Atlantide de la partie occidentale (soleil couchant)
Génome dominant de type aryen/arihmanien (involutif)
Amenta : l'Atlantide de la partie orientale (soleil levant)
Génome dominant de type sémite
(évolutif)
Des Atlantes (1)
Durant la période lémurienne, la 3ème race humaine, il ne se passait que très peu de choses sur la Terre, le corps éthérique de l’être humain commençant à se
densifier et à prendre conscience de la dimensionnalité de l’espace et des contours de l’espace. C'est dans la période atlantéenne, la 4ème race racine humaine (selon le récit de Platon, la civilisation atlante existait environ 9 000 ans avant son époque, ce qui la situerait il y a environ 11 000 ans selon notre calendrier
actuel), que l’être humain a commencé à développer énormément d’énergie émotionnelle, pouvant aller facilement sur les plans astraux. Son activité de nuit
était de ce fait très importante, le sommeil étant constitutif du voyage interdimensionnel. Tout naturellement, par la captation et par la manipulation de ses rêves à l'initiative des entités
involutives le gouvernant à son insu par la maîtrise de sa psyché, il commença à faire des dieux de l'astral ses références. Si les initiés représentant
les Forces de lumière présents sur Terre (loi de dualité oblige) s'attachèrent à lui donner de la connaissance pour l’éveiller un peu et pour qu’il développe des lignes d’évolution de conscience,
cette information était voilée, partielle, afin de lui permettre d'expérimenter l'espace-temps limité, autrement dit la matière terrestre viciée. Il était en
stage "involutionnaire", dans le bac à sable de la conscience !
Même si les Atlantes avaient un certain contrôle sur la gravité physique, ils demeuraient sous l’influence de la gravité
planétaire, incapables de s'en soustraire complètement. Percevant la Lumière comme l'être humain actuel la perçoit dans ses rêves, leur conscience
individuelle était presque non existante, au détriment d'une conscience collective très élevée (tout l'inverse d'aujourd'hui). Ceci explique leur développement technologique supérieur, celui de notre actuelle civilisation n'en étant qu'une manifestation directe. C’est pour cela que les États-Unis sont les plus avancés
dans le monde au niveau de la technologie (ainsi dans la Silicone Vallée), dans la mesure où l'on y retrouve le plus grand nombre d’incarnations d’anciens atlantes. Ils sont
d'ailleurs souvent appelés La Nouvelle Atlantide, en référence avec lanouvelle éponyme duscientifique, philosophe et homme d'État anglais Francis Bacon écrite vers 1624 et parue de manière posthume en 1627 (New Atlantis).
En raison de leur forte astralité, les Atlantes ont fini par choir, leurs caractères extrêmement passionnés ayant entraîné sous l'influence du corpus prédateur du
champ astral les dominant nombre de divisions débouchant sur des guerres fratricides, leur haute technologie générant leur inévitable destruction parachevée parune activité solaire inhabituelle qui a déclenché les processus destructeurs de cette civilisation (les mêmes événements solaires semblent être sur le point de se produire une
fois de plus...). Nous en retrouverons par la suite les mêmes effets chez les Incas, chez les Amérindiens, et dans toutes les formes de cannibalisme
psychopathe prédatoire de la cinquième race humaine. Les Atlantes se sont détruits, leur conscience limitée sous l'influence de certaines intempéries solaires qui bouleversaient alors la Planète
terrestre leur interdisant d'observer en eux la Lumière, qui faisait partie du rayonnement entre eux et les autres plans du Cosmos. En perdant cette
Lumière, leur race est devenue aveugle. Ne sachant se tourner vers l’intérieur pour développer des pouvoirs évolutifs intrinsèques, elle s’est éteinte, passant le témoin à la cinquième race
amenée à développer l'Ego-personnalité*, l'intellect, pour que l'être humain dans sa quête d’évolution puisse atteindre le stade de l’individualité
accomplie, plus exactement de l'individuation.
En commençant une nouvelle période d’évolution, il prend sur lui la responsabilité de ce qu’il fait, en toute conscience,
devenant lui-même responsable de ce qu’il est. Le tournant entre l’involution et l’évolution se produisant présentement, par le passage en cours à la sixième race racine de la civilisation
humaine, il est à comprendre que nous sommes au point de rencontre des deux. En effet,sous l'effet de l'Onde du
changement, démarre unenouvelle phase du développement de la conscience, celle de l'accès à l’Intelligence Supra-mentale permettant la maîtrise de la
science atomique, nos pleines facultés de créateur inspiré de la matière pour la sublimer et non plus la pervertir ! Même si les Forces involutives
troublent la descente de l'énergie nouvelle, faisant tout pour la retarder, elle est inéluctable. La seule différence est que certain(e)s vont beaucoup plus vite - les élu(e)s -, appelés à
s'extirper plus vite de la Matrice involutive pour initier la "Nouvelle Terre", soit un mode de fonctionnement guidé par la conscience de 5-D, émancipée de tout parasitage involutif. Ils
éviteront de ce fait de perpétuer encore pendant plusieurs siècles les boucles cycliques de souffrance de leur âme*² non individuée, par son incapacité à communiquer avec des Intelligences qui viennent des Mondes de Lumière…
Les fils du quatrième Soleil sont ceux qui formaient la civilisation Atlante et ses 6 milliards d'habitants (sa durée est d'environ 70.000
années, et correspondant grosso modo aux continents Nord -région s’étendant de Gibraltar à l’Islande etl’Amérique du
début du vingtième siècle -et Sud-américains), l’île mystique d’Es Vedra, située au large de la côte est de
l’Espagneà moins de trois kilomètres de la côte ouest d’Ibiza, étant considérée comme l’extrémité du continent de
l’Atlantide*. Si le mot "atlante" vient d’un mot grec qui signifie "vivre au sommet", les Atlantes vivaient au fond de
l’océan, dont le fond était autrefois recouvert d’une grande masse continentale appelée Pangée, composée des six continents à la fois (Nordic-Europa, Laurasia, Gondwana, Paléo-Téthys, Afro-Téthys
et Laurasia). L’Atlantide a disparu lors d’un cataclysme vers 11 500 avant notre ère.
Cette civilisation était hautement développée, dotée d’une technologie de pointe avec des vaisseaux spatiaux qui utilisaient une énergie d’une puissance illimitée
(ce que de nombreuses preuves corroborent par l’étude des mythes indiens, grecs, égyptiens, mayas et même des contes persans des Mille et Une Nuits).Ils ont
tout inventé, des catapultes aux sous-marins, et même des technologies de pointe comme les avions à réaction et les voitures ! Ils étaientcapables
d’exploiter la puissance de l’univers, de gérer l’électricité à haute tension et de créer de puissantes armes laser ! Ilsétaient également connus pour la
beauté de leur architecture, avec des villes gigantesques et des palais époustouflants dont on disait qu’ils étaient faits d’un matériau aussi clair que le verre. Les Atlantes ont ainsi construit
une société sophistiquéequi mettait l’accent sur l’éducation et le progrès culturel,accordant autant d’importance aux
arts et aux sciences qu’à la puissance militaire.Elle a duré des milliers d’années.
Les facultés des Atlantes, identiques à celles de l'humain contemporain, ont fini par dégénérer, leur sens (surtout la vue) ne parvenant plus à percevoir les
fréquences élémentaires que percevaient leurs ancêtres. Ceci explique l'incapacité de l'humain moderne (le Sapiens Sapiens) à percevoir les causes des phénomènes naturels qui se passent autour de
lui. L’Atlantide a alors vécu une période de décadence, des guerres terribles ayant lieu avec des armées employant des armes sophistiquées, avant qu'un grand déluge ne survienne. Les Atlantes ont
été avalés par les eaux, ce que raconte le déluge biblique, l'histoire de Noé étant le récit symbolique de l'effondrement de l'empire atlante avec une grosse centaine de millions de survivants
suite à un troisième cataclysme succédant à deux cataclysmes initiaux (les passages à proximité de Mars puis de Vénus avec leurs interactions cométaires respectives). Si de nombreux survivants de
l’Atlantide, de la Lémurie et de l’Hyperborée ont trouvé refuge dans la Terre creuse, où ils ont pu vivre en tant que civilisation, de nombreux vestiges énigmatiques de la fin de l’Atlantide ont
été dispersés sur la planète, tout comme certains peuples survivants, qui se sont installés en Égypte, en Inde, en Chine, au Tibet, en Grèce. Des peuples tels que les Mayas, les Olmèques, les
Toltèques, les Aztèques, les Phéniciens, les Guanches, les Basques… sont bel et bien les descendants de cette civilisation développée.
L'humanité actuelle, dite Aryenne, serait constituée par les fils du cinquième Soleil. Il est écrit que, compte-tenu de son état de dégénération, elle
périra à son tour par le feu (nucléaire) et les tremblements de terre, dans la mesure où il n'y a plus aucune possibilité d'évolution constructive au sein de la race humaine, hormis celles et
ceux qui ont pris vraiment conscience de la réalité. Notre humanité semble bel et bien suivre les mêmes étapes autodestructives, à moins qu’elle ne fasse
quelque chose pourl’éviter... Par cette purge génétique, ces "élu(e)s" vont connaître un bond gigantesque
dans leur processus évolutif, participant à l'émergence d'une nouvelle race humaine qui représentera la sixième race, appelée Race bleue, dotée d'une conscience infiniment plus
élevée !
De nouveau apparaîtront de grandes civilisations éveillées aux lois de l'univers, avant que de clore le processus évolutif par une septième grande race, appelée
race macrocosmique (c'est le stade de la Perfection), la dernière car éternelle et non soumise à l'illusion du temps. C'est ainsi, pour toute planète de 3 et 4ème densités existant dans le
cosmos, que fonctionne le "Grand Plan", répondant par ce mécanisme à la loi du karma ou de rétro-causalité...
*De récents rapports d'observation scientifique mettent en avant que des ovnis et des objets nageurs non identifiés
rôdent dans les eaux autour de cette île d'Es Vedra, après que de mystérieux cercles de lumière aient été signalés comme émergeant de la mer. Certains pensent que l’île est le troisième endroit
le plus magnétique au monde, et qu’elle dégage de ce fait des vibrations étranges.
Des cristaux maîtres atlantes
Les villes et les temples principaux de l’Atlantide possédaient 13 magnifiques cristaux maîtres de l’Atlantique, créés à l’aide de technologies des civilisations
transdimensionnelles siriennes, arcturiennes et pléiadiennes. Ces 13 cristaux maîtres, également appelés "pierres du Graal" et "pierres de feu",étaient des cristaux de quartz impressionnants, d’une beauté rayonnante et d’une taille immense, d’environ 6 m de large et 15 m de haut. Ils se présentaient sous la
forme de magnifiques blocs translucides et brillants qui reflétaient les couleurs éclatantes de l’arc-en-ciel. Ils comprenaientd’autres cristaux et du verre
naturel, ainsi que des traces d’or, d’argent, de platine, de diamant et de béryl.
Chaque maître cristal rayonnait d’une aura colorée enchanteresse qui s’étendait sur des kilomètres et illuminait les environs de son rayonnement divin. Leur
présence était enchanteresse et remplissait les anciens Atlantes d’un profond sentiment d’émerveillement et d’énergie spirituelle.
Ils jouaient un rôle central en fournissant de l’énergie et en alimentant des aspects essentiels de la société, utilisant pour ce faire les propriétés du réseau
supraconducteur, et convertissant n’importe quel type d’énergie d’une forme à une autre. Comme dans les appareils électroniques modernes, ces cristaux pouvaient recevoir, stocker, transmettre et
amplifier l’énergie. Chaque cristal maître a été soigneusement placé au cœur d’infrastructures clés, telles que des centres de technologie avancée, des salles de guérison et des centres de
communication. Tous les bâtiments et structures de ces temps anciens étaient construits avec ces magnifiques cristaux en tant qu’éléments intégraux de leur conception, ces sublimes couleurs
pastel rayonnant d’une lumière éclatante.
Les cristaux maîtres servaient de générateurs d’énergie pour alimenter les machines de pointe de la cité, les systèmes de transport et les véhicules propulsés par
les cristaux. Leur lumière colorée émise servait de système de communication efficace, permettant de transmettre instantanément des informations sur de longues distances.
Les vibrations envoûtantes des cristaux grâce à leurs éléments mono-atomiquesont
également contribué à l’émergence d’un état de conscience harmonieux et élevé au sein de la population atlante, favorisant ainsi le développement spirituel et l’unité collective grâce à un réseau
complexe de cristaux de guérison scalaires massifs abrités dans le temple sacré de la guérison qui émettaientselon un rapport pi*. Ces cristaux étaient parfaitement adaptés aux fréquences vibratoires du corps humain et servaient de puissants amplificateurs et conducteurs d’énergie pour émettre des
vibrations harmoniques qui stimulaient les mécanismes d’autoguérison du corps et favorisaient un bien-être holistique. Pénétrant profondément dans les centres énergétiques du corps et dans la
matrice cellulaire, l’énergie scalaire rétablit l’équilibre et l’alignement, régénérant même les parties endommagées du corps humain. Ces anciennes chambres de guérison utilisaient la même
technologie que les lits médicaux holographiques modernes.
Un grand nombre de ces cristaux ont été découverts dans l’Arkansas et son vortex énergétique créé par les lignes de Leij, ainsi que dans les mines des montagnes de
la Sierra Nevada, où d’anciennes mines secondaires de l’Atlantique ont été exploitées. On en trouve égalementau Brésil, au Mont Shasta, à Bimini et au Lac
Titicaca,toujours enfouis sous 10 km de sédiments.
* Les Égyptiens, descendants de l’Atlantide, ont appris à chauffer cette matière pour produire une fine poudre appelée Ethereum ou prima Matra, connue sous le
nom de manne ou poudre monatomique, l’élixir de longue vie.Cette poudre monatomiqueà spin élevéaugmentait aussi considérablement la vibration de leur corps de lumière, ce qui leur permettait de franchir les portes des étoiles. Lors de tests scientifiques, ils
ont démontré leur capacité à défier la gravité, les lois de la masse et du poids, à posséder le point zéro de l’énergie et à transcender à la fois le temps et l’espace.
De l'Amenta
Amon-Rê est une des formes du dieu solaire, parfois figuré comme un sphinx ou un
être humain à tête de faucon. Le disque solaire est son symbole. Il estl’une des principales divinités du panthéon égyptien et du panthéon berbère, dieu de Thèbes. Le mot Amon (Imen en égyptien) signifie "le caché" ou "le caractère
caché de la divinité", tandis que Rê signifie "le soleil" ou la divinité que manifeste la puissance du soleil.
Son nom traduit ainsi l’impossibilité de connaître sa "vraie" forme, car il se révèle sous de nombreux aspects. Il est Imen achâ renou, "Amon aux noms
multiples", qui en qualité de Soleil recommence chaque jour la même course (l'homonyme amen signifie
journalier).
Le continent qui devint l’Atlantide, l'AHÂ-MEN-PTAH ou AMENTA, n'est rien d'autre que l'Éden terrestre décrit par la Bible. Le Mot AMEN est à rapprocher du terme
AUM*, l'Un et l'Autre possédant un sens identique. Apparu dès l’Ancien Empire, il exprime l’image la plus intime du divin qui reste caché au regard de l’humanité. Le mot amen s’écrit à travers 3
signes hiéroglyphiques exprimant l’eau, la terre, l’air, et plus tard certains scribes y rajouteront un soleil. Ainsi créateur et création sont unis dans un même mot, ce qui explique la pérennité
du nom sacré d’Imen ou d’Amen. Pour les Juifs, le mot a la même racine que Emeth qui veut dire vérité (vérité vraie). Le mot AMEN symbolise également l’Instant. Dans l’Apocalypse, le Christ est
appelé l’Amen (3, 14).
*Contracté, AUM (devenu AMEN dans la tradition christique et AMIN dans celle islamique) s'écrit également "OM". Mot sacré
en sanskrit psalmodié en mantras, il est l'expression de la plus haute Réalité Spirituelle, l'état de Conscience Cosmique, le Son primordial que Dieu prononça pour créer les univers. Il domine
par conséquent toutes les dimensions. Voilà pourquoi "Par le AUM, l'homme entre en communion avec l'Univers, avec la Création, avec le Divin partout exprimé." Cette syllabe sacrée renferme toutes
les gammes des sons créateurs... Elle est le souffle de l'Absolu à travers l'Univers. Elle est le refuge du Sage. Il est à noter que l'Ave Maria, formule-clé de l'initiation mariale, évoque l'Aum
hindou lui-même semblable à l'Amen hébraïque. Si l'on tient compte de l'équivalence en latin des deux lettres "U" et "V ", on obtient AV(e)M(aria).
Le secret du trésor atlante de l'Amenti
Ce trésor pyrénéen, enfermé dans l’attente du passage de la planète terrestre en 4ème dimension de densité en mode "Service d'Autrui"*, constituerait l'enjeu de
captation des descendants occultes de Seth (version égyptienne du dieu reptilien sumérien Enlil) et de Babylone, autrement appelés les "Illuminati"*², afin de se venger de l'affront fait jadis
par le prince troyen Pâris, fils de Priam - le clan évolutif des Athéniens dans leur combat contre les Atlantes -, seul opposant qui ait réussi à mettre en échec les reptiliens vainqueurs de la
grande guerre cosmique, voici un demi-million de nos années. Soutien du dieu sumérien Enki-EA dans sa lutte contre son père Anu ou An (le Yahvé/Jéhovah de la Bible) et son frère Enlil-Seth, il
faisait partie de la famille des Déesses Amasutum, génitrices des dieux reptiliens eux-mêmes (Cf. plus loin).
Le trésor estcomposé de cristaux de roche géants chargés de mémoires (dont un Crâne de cristal datant de la Lémurie), mais
aussi d’une banque de données génétiques sous forme de documents. Celle-ci appartenait aux Déesses, la création génétique de l'humain moderne (le Sapiens Sapiens) il y a environ 80.000 ans leur
revenant exclusivement par leur capacité à donner la vie par l'ADN mitochondrial, les princes mâles reptiliens étant condamnés éternellement à ne créer que des clones sans âme - les Anthropoïdes
ou Portails organiques -, distincts des humains avec une âme, les Humanoïdes*³.
Ce trésor fut caché au pied du mont Bugarach par quatre Cathares lors de la chute de Montségur marquant la fin de l'épopée cathare (nommée la croisade des
Albigeois) le 16 mars 1244, lorsque l'armée du roi de France Louis IX (Saint-Louis) sous la férule de Simon de Montfort conduisit au bûcher, après un siège de 10 mois, plus de 200 Cathares ayant
refusé de renier leur foi. Recherché depuis et expliquant les exactions de l'Inquisition par l’Église catholique romaine, nous pouvons ainsi comprendre la chape de plomb qui pèse sur l'origine de
notre civilisation, connue cependant des hauts initiés de la Franc-Maçonnerie par-delà leurs dénégations de surface, l’enjeu étant ni plus ni moins que la survie d’une race cosmique prédatrice en
voie d’extinction sans sa nourriture psychique...
C'est pourquoi à l'image d'Isis - l'épouse portant le deuil de son époux Osiris assassiné -, ces prédateurs et leurs relais terrestres inféodés ont voilé la
Connaissance, afin que nul humain ne puisse s'éveiller en retrouvant les mémoires de Qui Il Est vraiment par le Kiristos (la conscience christique) présent dans son génome de nature
sémite. Autrement dit, le trésor atlante est le cristal présent dans l'ADN, transportant notre mémoire cellulaire à travers les âges ! C'est pourquoi par-delà les déclarations enflammées de
paritarisme et de reconnaissance à part entière du féminin, nos génitrices demeurent un peu partout autour du globe martyrisées, l'imposition du port du voile compte-tenu de la montée en
puissance de l'islam fondamentaliste constituant sa contrepartie perverse, et tout particulièrement en France, où se tient le cœur explicatif de nos origines. Le Prince noir tyrannique ancestral
- le dieu AN*⁴sumérien - veut ainsi à tout prix tenir cachée, et donc voilée, une vérité historique aussi dangereuse
pour lui et ses "enfants", les enfants de la Veuve porteurs du génome ahrien/arihmanien. Ceci explique les événements tragiques de cette fin de cycle comme la catastrophe nucléaire de Fukushima,
préalable au feu atomique purificateur final tel qu'annoncé dans l'Apocalypse de Saint-Jean, tout comme la séparation en cours
entre l'ancienne humanité matérialiste décadente et la nouvelle humanité émergente porteuse de cette énergie christique...
*⁴Cette compréhension de la puissance symbolique prédatrice devrait conduire l'être éveillé à neplus
fêter le jour de l'AN de la même façon, tout comme les ANniversaires ...
Du Temple du Soleil, la Cité d'Or de l'Amenti
Nombre d'auteurs pensent que des parties de l'Atlantide se trouvent en Amérique du Sud, comme au Brésil, au Guatemala, au Yucatan (Mexique). Le trésor des Incas* a
toujours intrigué, tout comme la captivité de l'empereur Inca Atahualpa (mort en 1533 à Cuzco), le "fils du Soleil", par les Conquistadors. Selon le conquistador espagnol chroniqueur du Pérou
Pedro Cieza de León (1520/1554), l'or ramené à Séville n'était qu'une petite partie de ce qui existait. Le conquérant Francisco
Pizarro González (1475/1541) aurait en fait su qu'il y avait un tunnel mystérieux sous les Andes, conduisant à une cache où se trouvait l'or des Incas. Mais à la mort d'Atahualpa, la reine
ordonna que le tunnel soit fermé avant de se suicider. Il y aurait toujours quelques indiens connaissant le secret de ce tunnel, plus exactement un réseau labyrinthique de tunnels.
Quant au controversé journaliste britannique Harold Tom Wilkins (1891/1960), connu pour ses livres sur la chasse au trésor, il évoque la "légende" du disque d'or
que les espagnols n'ont jamais retrouvé. Celui-ci aurait été en Atlantide, peut-être en Lémurie, avant d'être dans le Temple du Soleil, dressé au centre de la capitale de l'empire Inca Cuzco. Cet
édifice était le théâtre de cérémonies importantes des souverains Incas : mariages, sacres, funérailles. C'est là que leurs momies étaient conservées, assises sur des trônes en or. Il fut le plus
vaste et le plus richement orné de son époque, ses grands murs de pierre mesurant 140 m de long sur 135 m de large. Les chroniqueurs espagnols ont abondamment décrit ses richesses fabuleuses,
avant qu'elles ne soient fondues ou éparpillées : le pourtour du temple, aux murs peints en bleu, était orné d'une énorme corniche en or, les autels, les portes, les statues, étaient décorées de
planches d'or et d'argent, parfois incrustées de pierres précieuses qui, de jour comme de nuit, reflétaient la lumière du jour ou bien celle des torches. La porte principale, ornée de motifs d'or
et d'argent, s'ouvrait sur un grand sanctuaire. Au-dessus de l'autel, étincelait un grand disque d'or, censé représenter le Soleil. Il était placé de telle manière que les rayons du soleil levant
le frappaient et le faisaient resplendir. À l'arrivée des Espagnols, il fut rasé et pillé de fond en comble. Les plaques d'or couvrant les murs furent arrachées et les momies des anciens Incas
profanées. Il ne resta debout que les fondations qui, peu après, servirent d'assise à la construction de l'église et du couvent Santo Domingo. Le disque d'or se serait finalement retrouvé dans un
"Monastère des Sept Rayons" près de Lac Titicaca. La légende "d'El-Dorado" viendrait de ce disque, Dorado faisant référence au poisson doré, la Dorade, autrement dit le disque ovale. Il est une
des constellations du zodiaque astral.
* Civilisation précolombienne du groupe andin qui aurait pris naissance au début du XIIIème dans l'actuel Pérou, avant que de se développer le long de l'océan
Pacifique et de la cordillère des Andes, couvrant la partie occidentale de l'Amérique du Sud. À son apogée, elle s'étend de la Colombie jusqu'à l'Argentine et au Chili, en couvrant la plus grande
partie des territoires actuels de l'Équateur, du Pérou et près de la moitié Ouest de la Bolivie.
Elles ne sont pas noires à cause de la fumée des cierges. Elles sont noires par la double symbolique, d'abord de leur origine souterraine, reines de la terre creuse comme en attestent les
mythologies populaires régionales, puis par leurs incarnations africaines au début de l’humanité avant que de s'étendre dans chaque civilisation aux peuples de couleur rouge, jaune et blanche.
De la théorie de la Terre creuse
Présente dans l'histoire civilisationnelle mais absente de l'enseignement académique dispensé, le monde souterrain de la Terre Creuse se situe au-delà de la 3ème
dimension de réalité, expliquant la difficulté à s'y référer. Ceci signifie clairement que ce concept n'appartient pas à la réalité densifiée de 3-D, ne pouvant être démontrée par nos outils -
ainsi la mesure de la gravité - et sens physiques. Elle repose sur le fait, ou croyance selon le regard emprunté, que quelques peuples vinrent habiter
il y a plus de 200.000 ans la Terre creuse, bien avant les débuts de notre préhistoire, améliorant et étendant le
réseau de souterrains - appelé Agartha - existant par l'usage d'une puissante technologie, comme la grotte de Krubera enAbkhazie qui constitue
legouffre le plus profond du monde (photo 1). À ce jour, ces habitants s’y trouveraient encore, mais dans une dimension de conscience et par-là même de
réalité supérieure à la nôtre. À l’intérieur de la Terre, comme pour toutes les autres planètes, les tunnels établis d’une grande précision assurent des déplacements rapides entre les "cités de
lumière" (principe de téléportation), au nombre de cent-vingt, avec comme capitale Shamballa. Les "Lémuriens", qui habiteraient l’intérieur du mont Shasta en Californie aux États-Unis,
sont considérés comme les "derniers venus". Ainsi, au centre de la Terre et sous la croûte terrestre, seraient rassemblées des civilisations très anciennes venues de mondes et d’univers éloignés,
etpeuplées en majorité par des humains de race hyperboréenne.
Il va sans dire que cette explication très "New Age" explique le scepticisme quant à la véracité de la Terre creuse. Mais elle n'est en fait que l'arbre qui cache
la forêt, à savoir le moyen trouvé par les autorités institutionnelles pour masquer en la discréditant une réalité interdimensionnelle accessible à des facultés découlant d'un éveil de conscience
réalisé (voyage astral, communication canalisée, états modifiés de conscience), et seulement réservée à une petite élite minoritaire (les hauts grades des sociétés occultes). En effet, ces cités
intra-terrestres dans lesquelles se seraient réfugiées les Vierges noires sont hors de portée des autorités reptiliennes de surface, représentant pour elles comme pour leurs inféodés relais* un
danger permanent depuis des centaines de millénaires.
Cette théorie est également liée à l'expédition vers le pôle Nord de l'amiral explorateur polaire et aviateur états-unien Richard Evelyn Byrd (1888/1957 - photo 2)
menée en février 1947, et qui, ayant bénéficié d'unebrèche spatio-temporelle, a été conduit avec son équipage à l’intérieur même de la Terre, où selon son
rapport officiel il y aurait rencontré des êtres évolués lui ayant remis un message destiné à ses supérieurs comme à l’humanité vivant à la surface de notre globe. A son retour à Washington, il
sera interrogé minutieusement par les Services Secrets militaires et par une équipe médicale, qui ne pourront invalider son récit au prétexte d'un dérangement mental. Si son rapport est
aujourd’hui déclassifié, de nombreux éléments très importants ont malencontreusement disparu...
Un autre grand "spécialiste" de la Terre creuse n'est autre que l'écrivain français Jules Verne (1828/1905 - photo 3) dont Steven Spielberg a adapté en 2008 au
cinéma son roman "Voyage au Centre de la Terre" écrit en 1864. Une équipe de scientifiques à bord de leur vaisseau indestructible pénètre dans la Terre par un volcan en activité. Quand
l’environnement se refroidit, ils découvrent et explorent une terre immense et ensoleillée. C’est un monde magique et gigantesque qui permet d’y voler. Leur aventure ressemble beaucoup au récit
réel d’un marin norvégien nommé Olaf Jensen, dont l'histoire qui se déroule dans les années 1800 est racontée dans la nouvelle du romancier états-unien Willis George Emerson (1856/1918 - photo 5)
intitulée "Le Dieuqui fume ou le voyage vers la Terre Creuse" (1908 - image 6).
Appelées à demeurer en l'état un mystère, les cités du réseau Agartha (image 7) construites avec une technologie dite des mondes de la Lumière établissent un pont
avec la Tradition enseignée dans les Écoles de Mystère, qui signalent dans ces Cités la présence d’Êtres tels que Jésus, le Bouddha, les Grandes Mères Divines (Isis, Marie, Marie Madeleine), soit
les grands enseignants et guides spirituels, et correspondants de nos grands médiums. Elles peuvent livrer l'explication des conflits cosmiques dévastateurs comme des changements géologiques et
sismiques de la Terre qui ont balayé sa surface au cours des 400.000 dernières années de notre temps, et détruit les deux civilisations hautement avancées de la Lémurie et l’Atlantide. Les cités
souterraines auraient ainsi été créées comme refuge pour les populations humaines en fuite. Derniers indices livrés aux chercheurs de vérité, soit l'histoire tenue secrète de la civilisation humaine sur la planète Terre, sont lesnombreux documents et photos ramenés par les astronautes américains des diverses missions Apollo, classifiés Top Secret, qui ne concernent pas uniquement la Lune ou Mars.
Certains concernent en effet les pôles de la Terre où l'on peut voir par exemple un trou (diamètre d’environ 900 km, soit une
circonférence de 2900 à 3000 km) au pôle nord photographié par Apollo XI en juillet 1969 (photo 8), qui semble absorber les nuages vers l’intérieur de la Terre. Ce trou béant à l’extrême
nord de notre planète contredit toutes les données scientifiques habituellement acceptées par la science officielle. Quant aujournal humoristique canadien
Weekly World News, il a publié le 14 février 1995 un article relatif à la théorie de la Terre creuse, relatant qu'àCap Canaveral en Floride, la
NASA reçoit des signaux radio qui viennent de l’intérieur de la Terre, des experts scientifiques pensant qu'ils sont émis par une forme de vie intelligente et très développée. Ses messages
montrent que celle-ci a des connaissances étendues sur la vie à la surface, alors que nous n’avons pas d’explications sur la possibilité du développement d’une vie intelligente dépourvue
d’oxygène et de soleil.Faux grossier ou vérité ? Que contiennent ces messages non communiqués ? Pourquoi la NASA
entretient l’ambiguïté sur l'entretien d'une communication avec l’intérieur de la Terre ? La réserve des scientifiques s'explique sans aucun doute par leur difficulté à reconnaître que la théorie
du noyau terrestre ferreux et en fusion qu’ils ont soutenue depuis des décennies ne tiendrait pas. Mais il y a peut-être d'autres raisons imposées à ce black-out que le Gouvernement occulte
mondial impose. La question de sa véracité est loin d'être terminée...
Cf. en complément le livre deRodney M. Cluff World Top Secret :
Our earth is hollow ! The scientific, scriptural and historical evidence that our earth is hollow ! ("Monde Secret : Notre terre est creuse ! La preuve scientifique, scripturale et historique que
notre terre est creuse !") paru en 2014 & le livre du géophysicien américain Raymond Bernard publié en 1969 The hollow Earth (''La Terre
creuse") qui fit à l'époque scandale et fut, à différentes reprises, retiré mystérieusement des réseaux mondiaux de distribution. Bernard appuyait son argumentation sur le recoupement de
témoignages scientifiques de grande valeur (ceux de William Reed, Marshall B. Gardner, Huguenin, Ray Palmer et de beaucoup d'autres), ainsi que sur certaines révélations du
contre-amiralexplorateur polaire et aviateur américain de l'US Navy Richard EvelynByrd
(1888/1957) auxquelles il avait réussi à avoir accès.
La probabilité de l'existence d'une Terre creuse pose la question de savoir ce qui se passe vraiment en Antarctique, compte-tenu de l'opacité mise au cours des deux derniers siècles par les
nations y opérant désormais via des stations internationales de recherche scientifique, des bases dites d'observation. Une civilisation "dissidente", de nature négative dans l'organisation
cosmique, y vivrait-elle, sous la glace, donnant des ordres aux dirigeants institutionnels de ce monde via contrôle mental ? Les mystères cachés de ce continent semblent bel et bien dissimuler
l’entrée d’une zone souterraine de la Terre intérieure, rappelant selon les archives de récits récoltés que des millénaires auparavant, des civilisations très évoluées ont construit de
magnifiques cités souterraines accessibles dans les deux régions polaires, protégées alors par une barrière de lumière qui empêchait tout ce qui est de basse fréquence de pénétrer...
L'interdiction faîte par le gouvernement américain à l’amiral Richard Byrd de relater son expérience à partir des notes consignées dans son journal de bord officiel, mis sous scellés même si
depuis il a d'abord été publié subrepticement avant d'être disponible sur l’internet, à l'instar des membres d’une autre expédition menée au début du XIXe siècle qui avaient trouvé des ruines
anciennes et d’autres preuves que le continent était habité (leurs notes et photographies ont également été enterrées et sont toujours dissimulées), cache que depuis la fin de la Seconde Guerre
mondiale, un contingent de nazis porteurs de technologies avancées s'y sont installés en créant une base scientifique et militaire souterraine. Mais a contrario, conformément à ce monde de la
dualité* qu'est la matrice terrestre, il existe aussi des entrées vers la Terre intérieure en Antarctique, où vivent des humains depuis des milliers d’années. Ils sont la première race d’humains
améliorés, constitutifs de la sixième civilisation vers laquelle nous allons par l'élévation de la conscience.
L'Antarctique constitue sur la planète Terre une "porte des étoiles" (stargate en anglais) majeure, autrement dit un sas d'échange interactif avec d'autres
dimensions de densité situées sur une fréquence vibratoire plus élevée, expliquant l'intérêt qui lui est portée par les forces sombres et leurs relais terrestres nazis. Ceux-ci ont été
impliqués à travers les lignées des sociétés ésotériques allemandes secrètes nées au XIX° siècle ayant donné naissance aux Nazis du "Soleil Noir"* de la Seconde Guerre Mondiale, ceux-ci étant
entrésà son issuedans la clandestinité aux États-Unis puis en Antarctique par leur stationnement dans des bases
souterraines. Ces bases sont réparties tout autour du pôle sud, logées dans cette porte des étoiles ou vortex énergétique qu'est l’Antarctique. C'est pourquoi cette mer de glace s'inscrit comme
un élément clé, autrement dit un point culminant de la bataille finale du conflit en cette fin de cyclicité civilisationnelle entre les forces involutives astrales et leur pendant, les Forces de
Lumière ou Forces christiques.
Cette "Bataille de l’Antarctique" consacre de cette façon l'achèvement du cycle de guerre de la "Rébellion luciférienne", le mythe de l'Ange déchu, qui s'est
traduite par la venue sur Terre des faux dieux de l'Astral, les Elohim, telle que le relate la Bible hébraïque*². Ce cycle s'accompagne tout particulièrement de menaces de guerre nucléaire, soit
"l'Armageddon" de l'Apocalypse, destinées à déclencher la Troisième Guerre mondiale. Cet événement constitue de ce fait un catalyseur de l’Événement d’Éveil Collectif en cours, et que traduisent
les différents cataclysmes de surface qui se succèdent de manière ininterrompue. Il est lié au CIEL ROUGE, terme qui signale l’évolution vers les lignes de temps organiques de l’ascension
planétaire pour aboutir finalement à la libération humaine par son passage en "5-D", marquant ainsi le passage à la sixième civilisation humaine.
De leur côté, la résistance des forces sombres est liée aux opérations CIEL BLEU et CIEL NOIR, se traduisant par des plans de mise en scène d’une invasion
extraterrestre, autrement connue sous le nom de BLUE BEAM PROJECT, destinée à détourner les êtres humains des forces extradimensionnelles bienveillantes. Ceci a été conçu pour remplacer la ligne
de temps organique de l’ascension de conscience en redirigeant l’âme mondiale de la population humaine vers la manifestation des récits d’esprits imposteurs enregistrés comme les événements de
révélation de la Bible du logiciel Armageddon, autrement dit en une opération de contrôle mental à l'échelle mondiale visant à susciter la peur des masses par la diffusion de fausses
informations sur les conséquences du déplacement des pôles Nord et Sud, présenté comme cataclysmique (la fable du réchauffement climatique) suivi d'un flash solaire explosif qui entraînerait des
destructions massives, supposés être le plan final de Dieu pour éradiquer les méchants...
Cette mise en scène planifiée d’une invasion extraterrestre mondiale utilisant une technologie holographique avancée a déjà été testée à diverses occasions, comme
pour les soi-disant apparitions mariales de Fatima au Portugal. Qui plus est, ce programme Blue Beam a été annoncé comme la stratégie finale pour contrôler la population humaine mondiale par une
des nombreuses recrues du Projet Paperclip (exfiltration de scientifiques nazis aux États-Unis à l'issue de la seconde guerre mondiale), l'ingénieur nazi allemand Wernher Magnus Maximilian
Freiherr von Braun (1912/1977) avant d'être naturalisé américain. Il est connu non seulement pour son rôle au sein de l’industrie aérospatiale (la NASA) dans le développement de fusées, mais
également pour son travail de promotion des films de propagande de la compagnie Disney pour la "course à l’espace".
Il est à noter une nouvelle répétition des boucles causales de temps, nombre d’êtres humains "endormis" car immatures qui sont morts d’un empoisonnement aux
radiations et de la soi-disant grippe espagnole au vingtième siècle ayant été conduits à rejouer instantanément l’ensemble de la narration covidique au vingt-et-unième siècle par leur acceptation
de l'injection infectée cargénétiquement modifiée avec des substances ADN étrangères, autrement dit des bio-armes.
Cette répétition traduit le mode opératoire des Forces sombres, les contrôleurs du cheptel humain situées dans l'astral, qui, dans leur partie d'échecs mortifère, aiment rejouer encore et encore
leurs chronologies d’holocauste réussies !
* Le soleil noir, symbole du mysticisme nazi (Cf. image), a été créé par l'ésotériste autrichienKarl Maria Wiligut, chantre de l'idéologie
mystique nazie. Il est composé de trois svastikas, un symbole religieux que l'on retrouve de l'Europe à l'Océanie, étroitement enlacées, ainsi que de la répétition à douze reprises du
caractère Sōwilō de l'alphabet runique désignant Sól, la personnification du Soleil dans la mythologie nordique. Comme ces deux symboles, il peut être rencontré dans les deux sens de
rotation.
"Ciel rouge la nuit, plaisir du berger. Ciel rouge le matin, avertissement du berger" est apparu pour la première fois dans la Bible, dans l’Évangile de Matthieu.
Le Christ répondit : "Au coucher du soleil, vous dites que nous aurons du beau temps, parce que le ciel est rouge".
Ceci explique qu'il s’agit d’un vieux dicton météorologique, souvent utilisé au lever et au coucher du soleil, pour indiquer le changement de ciel et, à l’origine,
pour aider les bergers à se préparer au temps qu’il fera le lendemain. Bien qu’il existe des variantes mondiales de ce dicton, telles que "Ciel rouge la nuit, les marins se réjouissent. Ciel
rouge le matin, avertissement aux marins ", la compréhension scientifique de ces phénomènes reste la même.
Le niveau des opérations stratégiques du Ciel Rouge est en cours depuis très longtemps, depuis l'invasion aliénigène, sous l'égide des gardiens protecteurs de
l'humanité. Elles s’étendent de ce fait sur plusieurs lignes temporelles, dans des dimensions supérieures, la Terre étant l'effet miroir du Ciel. Depuis l'amorce de l'Onde du changement*, la
multiplication des tempêtes géomagnétiques de ciel rouge soulignent le retour du "Père Cosmique", et mettent en avant le conflit final qui oppose les forces gardiennes christiques, les Forces de
lumière, aux entités involutives, les envahisseurs anti-humains qui ont conquis la planète Terre pendant la rébellion luciférienne, à l'époque de la seconde civilisation humaine nommée
Hyperborée.
C'est pourquoi parviennent à la conscience des êtres humains les conséquences horribles de l'esclavage de l'humanité depuis des millénaires, sous la forme du trafic
humain, de la pauvreté et de la misère, de la maladie, des massacres, du sacrifice d’enfants... constitutifs de la face sombre d’une planète terrestre prison destinée à alimenter le Système
prédateur vampire.
Qualifié comme il se doit d'extravagant et considéré comme porte-étendard des théories qualifiées de complotistes, le concept de la terre plate nécessite pour sa
bonne compréhension de sortir d'une représentation de la Terre dans sa forme sphérique telle qu'apprise car martelée depuis des siècles dans les processus éducatifs.
La planète Terre, appelée dans la Tradition Gaïa* (à distinguer du terme en vogue dans le courant New Age), s'apparente à un dôme, soit la couverture d'un grand
édifice dont la taille globale avoisine 634 000 km. Celui-ci est constitué de l'addition de sept continents (dont l'Atlantide), le plus élevé (à la pointe) étant le continent terrestre de
l'actuelle civilisation humaine, celle-ci ayant été dénaturée au fil du temps par l'hybridation reptilienne sujette aux vibrations basses. Ce sont ces dernières qui permettent d'élaborer
l'illusion destinée à enfermer les êtres humains dans une zone interdite afin qu’ils n’aient même pas l’idée de l’explorer davantage.
Les six autres continents sont séparés de celui-ci par la mer de glace, barrière que constitue l'Antarctique (le pôle nord) sous forme d'anneau (sa largeur va de 2
à 3 000 km), et dont l'accès est interdit à tout explorateur non agréé par les autorités institutionnelles internationales de nature "reptilienne" qui en assurent la garde (il a été franchi à
l'occasion de l'expédition en avion du contre-amiral Byrd en 1946). Il existe une voie d’accès à cet inconnu
par ce que l’on appelle la "Porte d’été", qui s'ouvre lorsque la glace de l’Antarctique fond en été pour permettre aux navires autorisés de passer. C’est pourquoi aucun avion ne traverse
l’Antarctique et qu’il est interdit aux individus ordinaires de l’explorer. Les mondes extérieurs leur sont cachés afin de perpétuer la colonie d’esclaves obéissants dans le cercle
intérieur.
D'anciennes cités (bases) construites par les Atlantes se retrouvent sous la glace, qui étaient alimentées en énergie par des pyramides, et qui sont désormais
utilisées pour des recherches militaires ignobles sinon horribles par le consortium prédateur, à l'instar des biolabs chinois ou ukrainiens, ou qui sont constitutives de bases extraterrestres. La
meilleure représentation de la terre plate est la carte de Gleason ou de l'ONU (Cf. images 7 & 8). Au total, Gaïa compte environ quarante milliards d'êtres humains, une grande majorité étant
des géants.
Ceci constitue le "Grand secret", uniquement révélé aux titulaires du grade le plus élevé en Franc-maçonnerie.
* Dans la mythologie grecque, Gaïa ou Gê est la déesse primordiale identifiée à la "Déesse Mère" et à la "Mère des titans".
L’erdstall* est un type de tunnel que l’on trouve un peu partout en Europe, principalement en Bavière, dans le sud-est de l’Allemagne et en Autriche. Si l'on pense
généralement qu’ils ont été construits pendant la période médiévale, certains théoriciens affirment que ces anciennes structures souterraines remontent à l’âge de pierre, leur raison d’être
restant une énigme séduisante. Les partisans de la théorie de l’âge de pierre avancent en effet que ces tunnels formaient un vaste réseau souterrain s’étendant de l’Écosse à la
Turquie.
S’il existe plusieurs types de tunnels souterrains dans le monde, les erdstalls présentent des caractéristiques uniques qui les distinguent des autres. En règle
générale, un réseau d’erdstalls comprend des tunnels étroits et bas, souvent de forme ovale et s’étendant verticalement ou horizontalement.
Ces tunnels intrigants ont généralement une longueur comprise entre 20 et 50 mètres. Le "schlupf" ou "slip out" est une caractéristique particulière : il s’agit de
trous incroyablement étroits (environ 40 cm de diamètre) qui relient des tunnels situés à des niveaux différents.
* Le terme "erdstall" vient de l’allemand, signifiant "étable de terre" ou "tunnel minier".
De la bibliothèque métallique des Atlantes
En 1965, l'entrepreneur, ethnologue et collectionneur de faits mystérieux argentin Janusz Juan Moritz a découvert un vaste système de communications souterraines
d’une ancienneté inconcevable dans une zone totalement déserte (photo ci-contre). Une gigantesque ramification de routes et de tunnels souterrains s’étendait sur des milliers de kilomètres,
passant sous les territoires de l’Argentine, du Pérou et de l’Équateur.
Les parois des tunnels étaient lisses et polies, et les plafonds étaient plats et nivelés. Des passages mènent à de vastes salles souterraines. Dans l’une des
galeries, Moritz découvre des livres de vingt kilos constitués de fines feuilles de métal de 96×48 centimètres. Le plus surprenant est que sur chacune de ces pages sont estampillés ou gravés des
symboles et des signes mystérieux.
Le Pic de Bugarach, ou le mystère de la Montagne aux Fées
Dans le pays des Corbières, département de l'Aude (11),le Pic de Bugarach est le point culminant avec 1.231 mètres sur
le3ème canton du district de Quillan.Son
étymologie proche de "Boulgre"rappelle l'origine bulgare et balkanique de l'hérésie cathare,
laissant supposer un lien secret avec les terribles événements de la croisade contre les Albigeois. Son nom estintimement mêlé à des faits étranges, de nombreux témoignages (certains très anciens) faisant état d’apparitions d'Ovnis ou de lumières nocturnes étranges s’échappant ou
entrant dans cette montagne. Des satellites ont détecté sous ce Pic d’étranges cavités ainsi qu’un immense dôme, dont on ignore toujours ce qui se trouve à l’intérieur et aussi comment y accéder.
Les avions survolant cette région ont comme consigne de ne pas passer au-dessus de cette zone, car tous les instruments se dérèglent sans aucune explication.
Par-delà les spéculations quant au mystère de Rennes-le-Château, il semble qu'un "savoir" important y est terré, sous la protection de plusieurs familles locales
qui seraient les ultimes témoins des mémoires de nos origines civilisationnelles. C'est la raison pour laquelle est tant prisé par les chercheurs de vérité l'étrange "parcours" les voyant aller
de grottes en châteaux, d’église en ermitages, de rivière souterraine en mines occultées, de gravures en images de lumière, d’écrits religieux en souvenir d’une prétendue Atlantide, de notaires
oubliés en archives obscures, de philosophies occultes en ésotérismes symboliques, des archives de St Polycarpe* à l’écrivain Jules Verne… tous ces relais étant censés conduire jusqu’à l’ultime
révélation d’un voyage au centre du mystère pour l'impétrant au cœur pur ayant réussi à déjouer les pièges redoutables de la quête du "savoir".
Un citoyen suisse, Daniel Bettex, passionné par les Cathares, qui étudia le secteur de Bugarach à partir d’anciens registres, a reconstitué son étrange chronologie.
Il estime possible l’existence sous le mont Bugarach d’un de ces fameux accès au mythique monde souterrain,la terre creuse
(l'Agartha), oùreposeraient tout ou partie des secrets de cette civilisation atlante
légendaire*²… et ce par l’ouverture (obstruée) concernant son versant nommé "Pech de Thauze" qui débouche sur un cours d’eau souterrain paisible, profond mais praticable. Les photos
qu'il a prises montrent en premier plan divers graffitis parmi lesquels on distingue une sorte de "coffre" sur un brancard, rappelant une sorte d’Arche. Dans cettegrotte ornée de mystérieux symboles se trouvait un sarcophage. Poursuivant ses travaux et persuadé d'aboutir, il sera en prise avec de très
graves ennuis de santé avant que de décéder en 2009.
Il est plus que vraisemblable quecertaines montagnes considérées comme des lieux sacrés sont
"arrosées" par des fréquences de résonance énergétiques très singulières*³. Même si ceci doit défier l'acceptabilité de
l'intelligence rationnelle, ces fréquences énergétiques contiendraient des codes génétiques disséminés par la résonance de l'ADN de certaines entités non-humaines, recluses dans un état
léthargique dans des grottes. Ces dernières seraient présentes dans certaines régions à travers le monde, notamment le long du trajet du chemin initiatique de Compostelle, de ce fait dans les
Pyrénées. D'apparence momifiées, elles feraient office de réserves génétiques, une sorte de banque d'ADN chargée de rééquilibrer par résonance le capital génétique de l'humanité en cette
fin de cyclicité, afin de l'aider à franchir les densités supérieures ...
Ainsi le pic de Bugarach est l'une des pièces maîtresses du dispositif d'ouverture des portes spatio-temporelles situées dans la région, autrement nommées "portes
des étoiles" (Stargate), qui deviennent fonctionnelles soit lors de certains alignements planétaires, soit si elles sont activées par des générateurs à ondes scalaires magnétiques
inversées (technologie utilisée par les scientifiques de l'armée). Ces portes stellaires permettent de produire des courbures de l'espace-temps dans la matrice d'illusion en 3-D. Et c'est ce
tunnel temporel (ou vortex énergétique) qui est utilisé pour circuler d'une planète à l'autre, ou pour parcourir de grandes distances terrestres en quelques secondes.
* Fondé en 783 par Athala, un noble espagnol ayant fui son pays envahi par les musulmans, Saint-Polycarpe était en ses débuts un monastère bénédictin entouré de
quelques maisons et vignobles. Polycarpe était un évêque d'Izmir en Turquie, son nom signifiant "qui a beaucoup de fruits". Les moines du village le priaient pour guérir de la folie ; dans son
pays d'origine, on l'invoquait pour améliorer les récoltes.
*²On retrouve ces légendes dans des provinces très éloignées les unes des autres comme la
Haute Loire (Pradelles), l’Ariège (Miglos), le Massif du Pilat (Annonay), la Bourgogne, la Savoie (le Bourget du Lac), l’Ardèche (St Pierreville) les Alpes Maritimes (Falicon), la Provence
(plateau du Clansaye, Baux de Provence), les Cévennes (Le Temple)...
La légende amazonienne du peuple souterrain atlante
Percival "Percy" Harrison Fawcett (1867/probablement mort en 1925), est un militaire, cartographe, archéologue et explorateur britannique qui a disparu dans
la jungle brésilienne,dans la région de Serra do Roncador (Matto Grosso), en tentant de trouver une cité
perdueoù auraient habité les anciens rescapés de l'Atlantide. Il y aurait selon certains auteurs
en-dessous de cette montagneperdue dans la forêt amazonienne (qui est un peu le Bugarach du Brésil) une ville
souterraine, Ibez-in-Roncador. Cette hypothèse est basée sur les témoignages des Indiens de la région. À partir des années 1950, les légendes concernant la Serra ont commencé à se multiplier, des
sectes mystiques propageant l'idée qu'une peuplade souterraine habite ses grottes, en l'occurrence les derniers survivants de l'Atlantide. L'un des moyens d'y accéder serait un lac souterrain
qu'elles surnomment le "portail", contenant une eau extrêmement cristalline où aucune vie n'est cependant possible. Une plongée dans le lac donnerait accès à l'Atlantide. Un autre accès serait
une énorme roche de cristal parfaitement ronde et transparente mesurant approximativement 10 mètres de diamètre. À chaque fois qu'il y a un certain alignement des astres, le portail s'ouvre et
l'on peut pénétrer dans l'Atlantide. Le peuple qui s'y serait réfugié suite à l'engloutissement de leur continent pourrait y survivre grâce à un soleil qui illumine le centre de la Terre.
Si l'Atlantide demeure pour beaucoup d'esprits rationnels contemporains une fiction, le voile jeté sur son existence peu à peu se lève. C'est ainsi que des scientifiques ont mis au jour en 2023
des preuves de l’existence d’un continent perdu sous la mer de Timor, au large de la côte septentrionale de l’Australie. Cette masse continentale submergée, connue sous le nom de plateau
nord-ouest, est 1,6 fois plus grande que le Royaume-Uni, et était autrefois un centre prospère d’activités humaines.
Ils ont estimé qu'il y a environ 70 000 ans, 50 000 à 500 000 personnes vivaient sur ce continent, qui présentait un paysage varié d’archipels, de lacs, de rivières et même d’une vaste mer
intérieure. L’étude publiée dans la revue Quaternary Science Reviews révèle que la plate-forme nord-ouest a joué un rôle essentiel dans les migrations humaines de l’Indonésie vers l’Australie en
tant que masse continentale de liaison cruciale.
Cependant, la fin de la dernière période glaciaire, il y a environ 18 000 ans, a entraîné une phase de réchauffement qui a fait monter le niveau de la mer de façon spectaculaire, ce qui a fini
par submerger le plateau d’environ 300 pieds sous l’eau.
Parfois, les traditions et les légendes donnent aux Vierges noires une origine orientale. Elles sont ainsi associées aux croisades, car elles auraient été rapportées de Palestine ou d’Égypte par
des croisés voire par Saint Louis lui-même*. Leurs complètes similitudes avec les antiques déesses de la Terre-Mère nourricière et régénératrice sont si nombreuses qu'il est difficile de nier
l'évidence de cette filiation. Par exemple au VII° siècle avant notre ère, les Phocéens avaient introduit en Gaule une déesse noire très similaire, "l’Artémis d’Éphèse" (image 1) dite La
figure de Diane, dont le culte est attesté par une cinquantaine de monuments datant de cette époque. Un autre culte identique et le plus répandu est celui de la fameuse et grande ISIS (image
2). Il est attesté dès le premier siècle avant notre ère par les Celtes et les Ligures qui étaient donc eux aussi adorateurs d’une déesse au visage sombre. De plus, comme les Galates d'Asie
Mineure étaient Celtes, tout comme les Gaulois, des liens étaient favorisés entre ces peuples de même ethnie. C’est ainsi que le culte de Cybèle (image 3), autre cousine d’Isis, est aussi attesté
dans cette région du monde*². Il pourrait indiquer le signe de reconnaissance des anciens Galiciens, les "fils de Gaia", tous ceux dont les ancêtres avaient atterri en Galice ibérique lors de
l’exode atlante du dernier déluge voici 10 000 ans, qui reste énergétiquement incrusté dans le sol de notre continent par la réalité encore active du Chemin de Saint Jacques ...
*La concentration des objets égyptiens trouvés sur les sites archéologiques témoigne de l'ampleur du phénomène, la
religion égyptienne ayant été importée par les marins, les marchands et les vétérans venus d’Égypte.
*² En latin, les prêtres de Cybèle, les Galles, portent le même nom que les Gaulois (Galli), établissant le lien étroit entre Isis et la Gaule.
La comparaison de l’éventail des très nombreuses déesses de l’antiquité spécifiques à tous les peuples et tous les pays met en avant de très nombreux points communs avec les Vierges Noires
françaises.
C'est le cas de Déméter (image 1), une déesse de la fertilité, de la Terre-mère. Elle mit au monde une fille unique, Perséphone (image 2), qui, enlevée par Hadès, le dieu souterrain, devint reine
des Enfers. Mère et fille sont unies d'une égale tendresse et sont invoquées ensemble dans les cultes pour assurer la survivance des âmes dans le royaume des Morts. Perséphone était vénérée dans
les grottes et les lieux souterrains et son effigie faisait l'objet d'un rituel saisonnier. Au début de l'hiver, on enterrait la statue, la laissant dans les profondeurs humides de la terre comme
le grain de blé qui doit d'abord mourir pour se régénérer. On la déterrait aux prémices du printemps. Les statues de bois, de par leur enfouissement périodique, prenaient au fil des ans une
teinte sombre, presque noire au contact de l'humus. C'est également le cas de Hécate (image 3), autre déesse souterraine, liée au culte de la fertilité. Elle aussi préside à la germination et aux
accouchements (elle aussi est protectrice des marins).
La figure d'Isis dans le christianisme
Les religions institutionnelles dites du Livre - judaïsme, christianisme, islam - ne sont que l'adaptation "monothéiste" des cultes religieux des peuples antiques les ayant précédées*, et tout
particulièrement de la trinité Osiris-Isis-Horus (image 1) alors en vigueur lors de l'initiation égyptienne de Moïse, qui la détournera à d'autres fins désacralisées. C'est ainsi qu'Isis, reine
d’Égypte, est représentée assise et allaitant l'enfant Horus, réincarnation de son époux Osiris tué par son frère Seth (image 2). Elle semble bien être un des prototypes des Vierges de majesté
romanes et des Vierges Noires.
Sa statue donnant le sein à son enfant Horus fait penser à la Vierge Marie et l'enfant Jésus (images 3 à 5), étant lui aussi né dans la nuit du 24 au 25 décembre, dans une grotte/crèche. Sa
naissance était également annoncée par une étoile à l’est, et attendue par trois hommes sages. Et comme lui, il a enseigné à des enfants au temple, et il fut baptisé à 30 ans par "Anup le
baptiseur". Il avait également 12 disciples, s’appelant "le KrSt" ou "oint". Et bien sûr, il a été enterré dans un tombeau et a été ressuscité...
Isis est la personnification du trône, son nom en hiéroglyphes Iset signifiant le siège. Assise sur un siège, elle est elle-même comme matrice utérine - le féminin sacré lunaire -
le trône de l'Enfant Divin - le masculin solaire sacré -, signifiant l'ordre naturel, le féminin précédant le masculin. Ainsi mis en avant, cet enfant peut devenir Maître du Vivant. Il est en
l'occurrence Osiris et Horus, le ressuscité (l'ancien) dans le corps nouveau, signifiant la continuité évolutive du Vivant grâce à la fusion harmonieuse des principes masculin (polarité
électrique +) et féminin (polarité magnétique -)*.
Isis est comme une onomatopée sémitique, "ish-ish", signifiant "celle qui pleure" son époux Osiris (polarité positive) tué et démembré par Seth, le tyrannique prince sumérien (polarité négative)
de la famille reptilienne des Archontes. Après la disparition des îles de l’Atlantide où était sa demeure, Isis s’était enfermée sous le plateau de Gizeh, dans la Grande Pyramide, là où a été
assassiné son Divin Époux. Seth, le prince noir vainqueur, crée par là-même l’ambiguïté quant à sa culpabilité d'avoir été absente. Mais Isis réussit à le ressusciter en secret dans la Grande
Pyramide dans le corps de leur fils Horus, qui devient le premier Pharaon d’Égypte. Elle transmet par là-même la clé d'extraction de la Matrice involutive, dominée par le masculin dévoyé...
Le sens cosmogonique de la planète Vénus (nom latin d'Isis)
Il s'agissait d'une mesure importante pour les anciens astronomes, parce que Vénus, quand elle est observée de la Terre, est le meilleur indicateur du moment de
l'année disponible dans le système solaire. Tous les huit ans, elle désigne un point précis lorsque les calendriers solaire, lunaire et sidéral coïncident pendant quelques minutes. Au terme
d'exactement quarante années, quand Vénus achève cinq cycles de huit années, la synchronicité de ce phénomène est précise à une poignée de fraction de seconde près. Ce qui fournit un calendrier
et une horloge qui furent utilisés pour mesurer le temps jusque dans les années cinquante, quand des horloges à piles plus précises furent inventées.
Dit plus simplement, Vénus est le métronome de notre monde. Si nous comprenons son mouvement, nous sommes en mesure de comprendre des phénomènes vitaux comme les
saisons et les marées. Nous pouvons ainsi maitriser notre environnement tant en termes d'agriculture que de navigation, et par là, nous pouvons manger et commercer correctement. Sous bien des
aspects, il s'agit là de la pièce maîtresse de la civilisation...
Cette antique Trinité Osiris-Isis-Horus, favorable au sort des êtres humains puisque leur délivrant les clés alchimiques* de leur libération, est par conséquent celle que le christianisme va
reprendre à travers la trinité Jésus-Marie-Joseph. Le nom de Marie vient de l’Égyptien Mari ou Maru, la déesse de la Mer. Avec une adaptation cependant et non des moindres, à
savoir que le rôle de pleureuse (Isis pleurant Osiris) est attribué à une autre figure, en l'occurrence Marie-Madeleine. C'est l'origine de l'expression "pleurer comme une Madeleine"... Autant
dire que ceci n'a rien à voir avec le repentir de la nature de prostituée insidieusement attribuée par la prêtrise dévoyée à Marie-Madeleine. Il s'agit en l'occurrence d'un mensonge volontaire,
devant masquer aux foules crédules l’identité royale de Marie-Madeleine, l'archétype d’Isis comme grande prêtresse initiée, tout en stigmatisant la femme avilie, soit toutes celles qui n'ont pas
eu l'honneur de la virginité divine.
Ceci traduit bien la perversité de la prêtrise décadente au service du système prédateur aliénant, créant dans l'inconscient une confusion malsaine entre l'état de mère "sacralisée" par sa
virginité et celui d'épouse sexuellement épanouie par sa fusion avec son pendant masculin, expliquant nombre de névroses aliénantes de ce combiné mère-fille sur lesquelles butent tant de
psychologues et autres thérapeutes émérites... Comment peut-il en être autrement lorsque la vie est transmise de façon miraculeuse et inexplicable, et non pas selon les lois physiques et
biologiques qui prévalent dans un univers parfait, non soumis aux "caprices" et autres incongruités arbitraires du divin*² ? Il n'y a que les mystiques amateurs de science-fiction qui peuvent y
croire - les fidèles croyants de l'imposture -, alors que bon nombre d'entre eux s’enorgueillissent de leur prétendu esprit de raison dans l’exercice de leurs responsabilités...
Non seulement Marie-Madeleine était l’épouse du Maître Jésus (sur le plan métaphorique), portant en elle l’énergie "Christ", mais elle était beaucoup plus encore. Elle était en Esprit une Déesse
Mère Divine d’origine reptilienne Amasutum, une Vierge Noire, quoi que puissent s'en offusquer les "beaux" esprits conditionnés par deux millénaires de supercheries. Ainsi le sens de la
descendance de Marie-Madeleine, en l'occurrence les êtres humains dotés d'une âme, est doublement royal, tant par le sang christique que par le sang des Mères Divines planificatrices de l'espèce
humaine, et de ce fait créatrices de notre singularité biologique !
Ces Mères Divines Universelles,assistées par des planificateurs de vies de 5ème densité nommés
Kadistu, sont les créatrices des races et espèces vivantes - ainsi la race humaine, pré-adamique comme adamique jusqu'à l'humain actuel appelé Homo Sapiens Sapiens -, leur travail
s’étendant à tout le système solaire et à toutes les galaxies qui le composent. Elles sont les êtres cosmiques les plus puissants et les plus parfaits que notre histoire secrète il va sans dire
connaît. A ce titre, on peut les considérer comme la partie féminine du Dieu créateur d’Univers des théologies. Issues des constellations Les Pléiades, Sirius et Vénus, elles ont été forcées
militairement (la force électrique masculine) par le dieu reptilien conquérant de Gaïa (la planète Terre), nommé An (ou Anu) par les Sumériens, puis Yahvé/Jéhovah par les Juifs, Zeus par les
Grecs, Jupiter par les Romains ... et son fils Enlil.
Les races précédentes de l'humain Adamique (celui raconté dans la Bible) n’étaient que des prototypes relativement sommaires, car dépourvus d'âme (nommés
Anthropoïdes ou Portails organiques)*, soit d'émotions et de sentiments. Puis les maîtres généticiens Kingu - les mâles prédateurs - continuèrent à perfectionner le "prototype" humain
afin d'en tirer un meilleur rendement tant pour exploiter les ressources naturelles de la matière qu'aux fins de prédation alimentaire, et que les plaquettes
sumériennes appellent les géants Namlu’u (les Nephilim dans la Bible). Cette configuration génétique d'une créature aussi noble et aussi puissante par la présence de la Lumière
en elle via l'âme, au service d'une race cruelle et guerrière, constitua pour les généticiens une expérience unique de premier plan. Mais ayant fait à l'initiative du Prince Enki-EA, autre fils
du dieu reptilien An et frère d'Enlil, et par leur génome mitochondrial permettant la transmission de l'ADN le choix de l'évolution contrairement aux races reptiliennes agressives involutives
-les Gina’abul et autres Dracos avec leurs guerriers Anunna selon les mêmes plaquettes -,
les Mères divines Amasutum ont secrètement et habilement introduit dans le génome du prototype humanoïde Sapiens puis Sapiens-Sapiens un "programme libérateur" nommé Kiristos (la
conscience christique par le génome sémite), car la souffrance de l'exploitation comme esclave ne pouvait faire l'objet d'une expérience de longue durée.Par
là-même, elles offraient la possibilité aux mâles prédateurs dominés par leur génome aryen/arihmanienne, intimement liésà l'évolution des "Adam", leur primogéniture humaine, d'accomplir leur propre transition dans des dimensions-densités
supérieurespour se conformer aux lois de l'Évolution grâce à l'Amour inconditionnel des hybrides humanoïdes de la lignée
rédemptrice christique (Kadistu, Amasutum, Nungal, Abgal,
Urmah ... et autres).
C'est ce programme d'évolution équilibrée des 3 niveaux corps-âme-esprit*², nommé mode en "Service d'Autrui", qui est en train de s’ouvrir en cette fin de cycle,
compte-tenu de la montée des énergies corrélée à l’évolution naturelle du système solaire (le taux des vibrations planétaires s’élève). Ce programme secret n’est rien moins que celui symbolisé
par l’Enfant Divin, ressuscité, qu’elles portent symboliquement sur leur bras telles Isis ou la Vierge Marie (Cf. image).
*² Cf. L'âme est comme une interface évitant à l'esprit de souffrir de l'expérience d'enfermement dans la matrice asservissante (la matrice originelle dénaturée
par les Princes reptiliens).
En pleurant leur impuissance à la place du masculin-prédateur qui ne "sait pas pleurer" (d’où l’expression pleurer des larmes de
crocodiles, revêtue aujourd'hui d'une connotation péjorative), les Mères Divines universelles, par un phénomène quantique lié à la résonance de l'ADN, permettent de "rééquilibrer le surplus de
cette énergie de prédation" provoquée par leurs pendants mâles dans la 3ème densité d'existence.
Cette fréquence d'énergie ressentie avec le plus profond désespoir par le féminin est une énergie si puissamment dépolarisée qu'elle parvient à renverser et surpasser l'énergie de prédation des
mâles. Cette force, tellement puissante, permet dans certains cas de faire fléchir définitivement l'ego d'un prédateur.
L'enseignement de la tradition basque
Le panthéon de divinités dans la tradition du Pays Basque* voit la déesse Mari (la Sainte Vierge dans l’Église romaine) dont le royaume est intra-terrestre, épouse de Maju Sugaar, qui apparaît sous les traits d’un serpent, son royaume étant
la mer. Ils vivent séparés, traduisant la similitude avec la légende d'Isis et d'Osiris, dont la fuite - pourchassé par son frère Seth - l’amenait loin d’Isis. La légende rapporte que le couple
déchaîne des tempêtes très violentes aux effets dévastateurs (tremblements de terre, tonnerre, foudre), évoquant dans la légende Osiris/Isis les différents combats menés contre Seth, qui
aboutiront à la chute de l’Atlantide. Ainsi est glissé dans l'inconscient le message de la puissance des Vierges Noires régnant dans le monde souterrain et leur possibilité d’avoir une action en
surface, au caractère libérateur et salvateur. Si dans les régions souterraines Mari prend des aspects zoomorphes, elle apparaît en surface comme une très belle dame, élégamment vêtue, paraissant
une reine, avec la capacité de sillonner le ciel dans un char enveloppé dans les flammes ou de prendre l’apparence d’un nuage blanc allongé, d'une rafale de vent, d'un grand oiseau ou encore d'un
croissant de feu se déplaçant d’un pic montagneux à un autre.
Ceci explique pourquoi l’Inquisition a eu pour mission l'éradication dans les Pyrénées de tous ceux qui pouvaient s’associer à cette énergie secrète (Cagots des
Pyrénées, Cathares, sorciers et sorcières), les descendants des Atlantes d'Enki. C'est ainsi que par leur chromosome mitochondrial (molécule d'ADN circulaire), les femmes kaskarotes/cascarotes
(de la communauté du Pays-Basque), porteuses de la génétique de leurs ascendants Cagots, aguichaient les marins de Ciboure afin de leur transmettre leurs gènes porteurs du Kiristos (la
conscience christique), préparant à l'avance le changement dimensionnel à venir en fin de cycle civilisationnel*² ...
* Selon le docteur allemand Hans-Joachim Zillmer, auteur de livres à succès examinant et remettant en question les théories actuelles, en particulier dans les
domaines de la géologie, de la géophysique, de la paléontologie et de l’évolution (aussi est-il controversé et taxé de partisan du catastrophisme), le Basque est au centre des langues anciennes,
sorte de langue universelle et vestige vivant, selon lui, d’un continent atlantique disparu. Le Basque ancien présente ainsi beaucoup de caractères communs avec beaucoup de langues anciennes
telles l’Étrusque, le Berbère, le Tamajaq (langue des Touareg), le vieux gallois, et les divers dialectes amérindiens, de même que de nombreux points de comparaison avec la langue administrative
des Incas.
L'ostracisme du féminin sacré remonte ainsi à la trahison commise par le Prince Enki à l'encontre de son père le dieu Anu (An) et de son frère Enlil*. Ne partageant pas leur souhait d'exploiter
l'espèce humaine à des fins d'esclavage et de prédation psychique, il s'est appuyé sur les Mères Divines reptiliennes Amasutum pour leur donner par l'ADN une chance d'évolution en éveillant leur
conscience, ce dont la race reptilienne est privée. Il en a découlé la guerre cosmique, gagnée par les forces prédatrices, avec comme conséquence le martyr à jamais du féminin sacré et des
Vierges Noires...
Or si du fait de leur génétique bridée les Anunnakis/Archontes porteurs de la lumière sombre patriarcale ne pouvaient jusqu'à présent évoluer au-delà de la 4ème densité, puisque ne possédant pas
les séquences "Kiristi" (Christiques - en sumérien "fils ardent de la vie") qui leur permettraient de supporter des pics, cycles et descentes d'énergies solaires extrêmes, l'introduction de ce
code christique dans l'ADN de leurs descendants humains avait pour objectif de permettre également leur propre ascension.
C'est ainsi qu'en cette fin de cycle*, l'ADN greffé dans le génome humain permet à nombre d'êtres humains de s'éveiller, et par leur changement de conscience, induit par résonance holographique
les codes christiques à leurs bourreaux prédateurs qui leur manquent. Autrement dit, nos créateurs et créatrices nous ont délégué, par le biais de la résonance multidimensionnelle de l'ADN, la
"mission" de les aider à translater vers une densité plus élevée. Cette évolution entraîne la capacité de s'aider de part et d'autre, mutuellement, à s'extraire de l'expérience de la dualité pour
changer de dimension. Et c'est pourquoi il est nécessaire de reconnaître sa partie ADN reptilienne, car à partir du moment où l'humanité conscientise et accepte que son ADN contient ces gènes
reptiliens et que ses parties "sombres" n'en sont que la manifestation, elle peut alors s'autoriser à se soustraire à ses croyances de dualité*² et ainsi faire la paix en son cœur, avec ceux
qu'elle considérait jusqu'alors comme ses geôliers.
Cette reconnaissance ouvre le passage en 5ème densité de conscience - le processus de l'ascension -, les porteurs de l'énergie de rédemption (le féminin) se libérant en primeur en se rappelant
leur plein potentiel. Il s'agit là bel et bien du processus du
"réveil" qui est décrit très souvent dans les textes sacrés. Le réveil ou l'illumination exprime la capacité de se recontacter à l'énergie féminine, l'intuition, l'un des secrets des "Madeleine pleureuses" qui
accompagnaient Yeshua étant ce grand mystère qui met en œuvre l'énergie de transformation permettant la guérison. Pleurer est bel et bien le symptôme d'un lâcher-prise du mental/ego. Ce
faisant, nous révélons notre vérité intérieure, et proposons à ceux que nous côtoyons de faire de même. Nous leur servons d'exemple dès lors qu'ils acceptent de faire le cheminement vers leur
propre Soi intérieur. Et nous accompagnons les représentants de l'énergie prédatrice qui acceptent cette transmutation à trouver leur équilibre intérieur, afin qu’eux aussi puissent accéder en
4ème densité. Aussi il n'appartient à personne d'essayer d'aider ou de sauver son prochain lors de la période de transition. Il est uniquement question de contacter notre responsabilité, en
acceptant nos propres parts d'ombre.
L'ouverture planétaire en cours vers une nouvelle dimension de conscience, autrement nommée l'Ascension, voit le rétablissement progressif du codage génétique
originel de l'être humain. Il nécessite que de nombreuses mémoires "cathares", autrement dit les mémoires essentielles, soient préalablement guéries pour contribuer à la récupération des
structures originelles. En effet, lorsque les Cathares ont été massacrés, en particulier lors des traumatisantes croisades albigeoises, il en a découlé des mémoires de guerres et par là-même de
souffrances imprimées sur la terre, rendant très difficile le retour à la pureté de la matrice terrestre. Beaucoup d’êtres humains ont de ce fait encore des implants dans leurs centres cardiaques
qui empêchent l'unification des polarités masculine solaire et féminine lunaire par nombre d'anomalies d’ADN dans le modèle divin unifié originel. C'est ce nettoyage à un niveau tridimensionnel
qui est en cours afin que tout puisse être ramené dans son Ordre.
Libération en conscience des schémas karmiques bourreau/victime*, tant vis-à-vis de soi-même que des autres, par la
vibration de l'acceptation, capable de traverser l'espace-temps et de libérer nos mémoires karmiques.
En acceptant "l'inacceptable", le pardon*, propriété vibratoire de la psyché, permet sur un plan quantique à l'égo d'inverser complètement les polarités de son
champ magnétique.
* Même si les circonstances paraissent illégitimes ou injustes, l'expérience de l'acceptation vécue en conscience permet de comprendre que nous en sommes le
créateur pour notre évolution.
Vibration Christique
Par l'abolition du procédé électromagnétique cyclique de "la loi de cause à effet", en vigueur dans les dimensions duelles, le
petit Moi égotique se laisse infuser par le Soi supérieur, l'Esprit, en état d'acceptation totale. C'est le passage à la réalisation de l’Être, qui ne passe pas par le mental, mais révèle et
exprime profondément au sein de nos cellules notre vibration christique.
En attendant la grande transition*, ces entités s'étaient raccrochées à leurs illusions en continuant de se prétendre les maîtres du monde. Pourtant, ils ne sont maîtres que de leurs propres
mondes. Comme tous les êtres humains, ils sont les descendants de La Source originelle, et en tant que tels, ils ont individuellement aussi leur propre choix d'évolution. Par leurs "résistances
planifiées" dans la structuration et le fonctionnement de Ce Qui Est, ils ont permis aux humains de réaliser le dessein de leurs âmes, celui d'accéder à une dimension de conscience plus élevée.
Les circonstances actuelles de descentes d'énergie cosmique et solaire permettent désormais l'aboutissement de ce plan ingénieux, et de ce fait au "grand plan" de se réaliser.
Nous pouvons d'autant comprendre par ce secret de la réalité archétypale de Marie-Madeleine le danger que représente sa révélation pour nombre d'institutions politico-religieuses occidentales se
référant à la fable racontée, même si désormais l’heure de l’apocalypse conduit à sa révélation. Portant en Elle la mémoire interdite des vraies origines de l'espèce humaine, elle est ravalée au
stade de prostituée pour créer à son encontre un sentiment de honte comme de jugement du féminin sacré. C'est tout bénéfice pour le système patriarcal asservisseur, empêchant par là-même tout
changement de conscience du troupeau d'esclaves constituant sa nourriture, au sens terrestre comme "céleste".
Comme le système ne peut totalement occulter la Connaissance, loi spirituelle indispensable à l'équilibre de Ce Qui Est, il a de ce fait intronisé Isis comme Reine de la Mer, en souvenir de celle
qui avait contribué au fonctionnement de la civilisation atlante. Ceci constitue une façon discrète de rappeler son secret, que seuls peuvent découvrir les chercheurs de vérité faisant jouer leur
discernement en s'extrayant des manipulations toxiques des mages illusionnistes babyloniens*. Voici aussi pourquoi Isis est considérée par les marins en Méditerranée comme la déesse du phare
d'Alexandrie, Isis-Pharia, qui les protégeait sous le synonyme de Pelagia. Maîtresse de la mer, elle tient des deux mains une voile enflée par le vent. Elle est également une "étoile de
la Mer", tout comme le seront la Vierge Mère de Jésus et Marie-Madeleine.
En Égypte, puis plus tard dans l'Empire romain, Isis sera assimilée à Sothis, l'étoile de Sirius dans la constellation astrale du Chien. C'est ainsi que des monnaies frappées à Rome à la
fin du premier siècle la représenteront sur le chien Sothis (Cf. image). Les cornes qu'elle porte traditionnellement sur sa tête indiquent son titre cosmique d’Étoile sombre, en souvenir de la
planète des Déesses Amasutum, Mulge-Vénus, détruite par les Archontes qui cherchaient à les capturer.
"Je suis la Nature, Mère des choses, Maîtresse de tous les éléments, Origine et Principe des siècles, Divinité Suprême, Reine des Mânes, première entre les
habitants du ciel, Type uniforme des dieux et des déesses. C'est moi dont la volonté gouverne les voûtes lumineuses du ciel, les souffles salubres de l'océan, le silence lugubre des enfers au
sein de la Terre. Puissance Unique, je suis, par l'univers entier, adorée sous plusieurs formes, possédant plusieurs appellations avec des cérémonies diverses ! Les Phrygiens, premiers nés
historiques sur la terre, m'appelle la Déesse-Mère de Pessimonte; les Athéniens autochtones me nomment Minerve la Crécopienne; chez les habitants de l'île de Chypre, je suis Vénus de Paphos; chez
les Crétois armés de l'arc, je suis Diane Dictynna; chez les Siliciens qui parlent trois langues, Proserpine la Stygienne; chez les habitants d’Éleusis, l'antique Cérès; les uns m'appellent
Junon, d'autres Bellone, d’autres encore, la Déesse de Rahmonte. Mais ceux qui les premiers sont éclairés par les rayons du soleil naissant, les peuples de l’Éthiopie, de l'Asie, et les
Égyptiens, puissants par leur antique savoir, ceux-là me rendent mon véritable culte et m'appelle de mon vrai nom : LA REINE ISIS."
Apulée, auteur romain au II° siècle des "Métamorphoses", ouvrage également connu sous le titre "L'Âne d'or" (Asinus aureus).
Le culte païen d'Isis
Isis symbolise comme Divine Mère l'amour et la guérison par la foi. A ce titre, elle est la reine du ciel et de la magie. La divinité au féminin Isis a traversé
le temps sous différentes appellations et au symbolisme plus ou moins dévoyé selon la place octroyée à la femme dans des sociétés à caractère patriarcal : Aset, Hathor, Hatmehyt (Égypte),
Ninkharsag (Sumer),Ishtar ou Rhéa en Assyrie, Lilith, Inanna et Mylitta ou Ninlil (Mésopotamie),Sémiramis (Babylone), Vénus et Libertas à Rome, Cybèle en Phrygie, Aphrodite en Grèce, Astarté chez les Phéniciens,
Atargatis en Syrie, Ashtaroth et Asherah chez les Hébreux, Shing Moo en Chine, Kali ou Devaki en Inde, Diane à Éphèse (Ionie ancienne, Turquie contemporaine), Hertha ou Héra en Germanie, et
bien sûr Marie dans l'église moderne, la "reine du ciel", la médiatrice.
Elle a également donné son nom à Paris, qui découlerait de Bar-ISIS (la barque d'Isis), parce que la première représentation de la Dame (Vierge) en Noir serait
arrivée sur un navire remontant la Seine jusqu'à l'île de la Cité. César parle d’un culte rendu à Isis, déesse égyptienne, à l’embouchure de la Loire, c'est à dire non loin de la Seine. Il
est possible que des Grecs ayant navigué et exploré de nombreuses région aient adopté le culte d'Isis, plutôt que des celtes. Le nom même de Parisii pourrait bien signifier "Temple d'Isis",
car il existait jadis au bord du Nil une cité de ce nom. Une grande statue d’Isis sur sa barque fut longtemps conservée dans l’église Saint-Germain-des-Prés, jusqu’à ce qu’un prêtre la
détruise à coup de pioche au XVIII° siècle. La nef ornant les armoiries de la ville de Paris ne serait autre que la barque d’Isis, tandis que la devise de la ville Fluctua Nec
Mergitur rappellerait la navigation héroïque des suivants d’Horus, mais aussi celle des initiés circulant dans le secret des temples. On trouve dans une cour de la rue du Cherche-Midi un
sphinx verdâtre à tête de femme, vestige du culte d'Isis pratiqué à Paris.
Le grand initié Léonard de Vinci a peint La Joconde ou Mona Lisa (pour Ma Dona - Madame, simplifié en Mona et son premier prénom Lisa, épouse de son
commanditaire). Mona Lisa (image 1) serait en fait une représentation d'Isis, étant l'anagramme de AMON L'ISA, une expression qui révélerait que le dieu égyptien AMON avait pour
contrepartie féminine ISA, variante pictographique d'Isis. Le tableau raconterait ainsi par d'ingénieux artifices picturaux le mythe d'Isis et Osiris.
Après la révolution et la prise du pouvoir, Napoléon qui fut initié au culte d'Isis après sa campagne égyptienne modernisa le blason de Paris en 1811 (image 2)
de façon très égyptienne : trois abeilles à la place des fleurs de Lys, une abeille stylisée (chez les égyptiens l'abeille protège le Pharaon). La déesse Isis est assise à la proue de la nef
avec une étoile dans le ciel. Certainement trop explicite pour le bon peuple, le blason changera en 1817 après décision royale et reprendra sa conception classique avec la fleur de
Lys.
La Virgen del Rocio
Le folklore religieux espagnol honore la Vierge depuis des siècles en la transformant en véritable Reine lors des processions andalouses dites Romerias.
L’une d’elles, la plus connue, s’appelle El Rocio, signifiant la "rosée du matin". Ce nom délicat et sensible indique l’esprit de la Madone qui est venu des cieux, au matin du monde,
avec sa semence utérine pour féconder la Terre et en nourrir toutes ses créatures. Mais le côté fragile éphémère de la rosée correspond bien aussi à l’histoire dramatique de cette caste de Reines
séquestrées et forcées à donner leur rosée au Prince noir usurpateur tyrannique, le faux Dieu terrestre. C'est pourquoi le peuple andalou, descendant de gitans et d’anciens Maures qui fondèrent
l’Égypte après l’exode d’Atlantide, ont gardé intact dans leur inconscient la fidélité amoureuse et nostalgique à leurs véritables Reines Créatrices et Mères Divines. Dans ces immenses
processions, il y a autant de Vierges que de villages, traduisant la réalité historique, car ces Mères Divines sont un collectif composé d’un grand nombre d’entités que l’Église romaine dévoyée*
a limité la série au minimum syndical, une...
Comme il en va toujours dans la Matrice falsifiée*, les enseignements de Jésus (Jeshua, un grand initié) ont été pervertis, dénaturés, détournés de leur substance sacrée, comme le sont
aujourd'hui nombre d'allégations concernant sa vie, comme ses prétendues crucifixion et mort à Jérusalem. Il en est ainsi pour Marie Madeleine, présentée comme une catin, et surtout pas la femme
de Jésus.
Pourtant, Marie Madeleine était en réalité la femme de Jésus, en tout cas sur le plan symbolique. Non seulement elle était sa femme, mais l'apôtre des apôtres, le féminin sacré que craint
par-dessus tout le pouvoir occulte prédateur régnant. C'est elle qui, exprimant l'enseignement de Jésus, symbolise le Graal, le Calice sacré. Et bien évidemment, diabolisée dans l'inconscient
collectif depuis deux millénaires, elle suscite à son encontre, et par-là même à l'encontre du féminin, toute la haine des fondamentalistes de tous bords, aveuglés par leur égo-mental enflammé
lorsqu'ils ne sont pas les "portails organiques" ou anthropoïdes du système, coupés de leur intériorité profonde car inexistante.
Si la réalité de l'Histoire n'a pas été jusqu'ici relevée ou traduite convenablement, c'est parce que les recherches des spécialistes de la civilisation
mésopotamienne (sumérologues et assyriologues) des universités américaines ont toujours été financées par des fonds privés (fondations) provenant de milliardaires américains chrétiens,
adventistes et baptistes, qui ont une lecture radicale de la Bible. Les fruits de ces recherches sont secrets et circulent à l'intérieur d'un cercle très fermé, le reste étant disponible au sein
de sérails universitaires uniquement constitués de professionnels. On n'en révèle que des miettes au grand public, parce que nous sommes ici en présence d'une remise en cause fondamentale des
racines des religions et de la Bible, piliers de notre société occidentale et masques du grand mensonge qui prévaut.
Les personnes susceptibles de déchiffrer le sumérien sur la planète ne doivent guère dépasser une centaine d'individus au maximum. Ceux qui, parmi ces derniers, ont
en outre pratiqué le sumérien en ayant fréquenté l’University Museum of Philadelphia au cours des cent dernières années et plus, ne doivent pas excéder la trentaine. Nous pouvons raisonnablement
estimer que les linguistes ayant été au courant du contenu de ces textes représentent une quinzaine d'individus, approximation qui semble assez raisonnable. Autant dire la quasi assurance que la
chape de plomb posée sur les consciences demeure, même si quelques esprits libres savent l'ouvrir...
Les reliques de l'ADN christique
Le saint Suaire de Turin, le suaire d'Oviedo, les voiles de Véronique, la sainte Couronne, le saint Calice, les fragments de la croix, les clous, la sainte Tunique,
la sainte Lance (photos de 1 à 9)... constituent autant de reliques sacrées, car porteuses supposées du génome de Jésus-Christ, grand initié au sang rouge purifié par l'Esprit universel venu
dispenser son magistère aux êtres humains prisonniers de la Matrice viciée. Elles contiennent de ce fait les clés de leur libération par la transmutation alchimique* de l'ADN, sa reconfiguration
épigénétique par le processus de transformation de conscience permettant la récupération des brins d'ADN manquants pour ascensionner et rejoindre une dimension de réalité et de conscience propre
à la Matrice originelle*². C'est la raison tant de leur adoration que de leur dissimulation par les chevaliers gardiens du Graal aux représentants des Forces du sang noirqui les recherchent inlassablement et par tous moyens, cachées entre autres dans le sud de la France...
L’Église romaine a choisi avec soin les textes servant son dogme, écartant ceux qui pouvaient remettre en cause sa doctrine. Et à ce titre elle s'est acharnée à détruire tout ce qui a un rapport
avec la figure de Marie Madeleine et, plus globalement la femme depuis le Christ. Ces histoires qui paraissent à beaucoup comme anciennes, et de ce fait sans intérêt dans le fonctionnement
géo-politique du monde, expliquent pourtant l'état des lieux : la poudrière du Moyen-Orient, l'invasion de l'Irak, la guerre en Syrie, les destructions et pillages de tous les sites anciens*...
Toute l'histoire du monde de ces deux derniers millénaires est ainsi inscrite dans le sang, legs des trois grands monothéismes, et plus particulièrement de l'église romaine quant à la
falsification de l'enseignement originel de Jésus. C'est son sacrifice perpétué à l'autel de la prédation, qui n'a eu de cesse de se traduire de manière sanglante pour tous ceux qui voulaient
rétablir la Vérité : Cathares, Templiers, Cagots des Pyrénées...
Le premier "pape" de la lignée prédatrice romaine spirituelle établie,l'apôtre Pierre,
est le premier perverti de l'histoire. Rien en effet dans la Bible ne l'a identifié comme tel, jusqu'au moment où, par un subtil passe-passe sémantique dans la traduction du texte de l’Évangile
selon Matthieu, Jésus établit sa primauté comme suit :
16 :16 Simon Pierre, prenant la parole, dit : "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant." 17 Et Jésus lui répondit : "Tu es heureux, Simon, fils de
Jonas ; car ce n'est pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux. 18 Et moi, je te dis aussi que tu es pierre, et que sur cette pierre je bâtirai
mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle. 19 Et je te donnerai les clefs du royaume des cieux ; et tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux
; et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux."
Si l’on veut comprendre le sens de ce verset, il faut commencer la lecture au verset 13. Jésus demande aux disciples, "Qui dit-on que je suis, moi, le Fils de
l’homme ? ". Pierre répondit : "Tu [Christ] es le Christ, le Fils du Dieu vivant", (v.16). Alors Christ répondit : "Et moi, je te dis que tu es pierre [Petros], et que sur cette
pierre [Petra] je bâtirai mon Église."
Petros signifie "petit caillou" et Petra un "très gros rocher" (Christ le pointe vers Lui-même).
Et c'est ainsi que la majorité des individus désormais vont croire que Christ bâtit Son Église sur Pierre l’apôtre, alors qu'il n'en est rien du tout. Christ est ce
grand rocher sur lequel l’Église est bâtie (Deut 32 :3-4, 15,18 ; I Cor 10 :4 ; Éph 2 :20 ; I Pi 2 :6), et non sur Pierre (Éph 1 :22 ; 5 :23 ; Col 1 :18).
Le sens véritable est que Jésus était en train de dire à Pierre que Lui [Christ] était là pour établir Son Église du Nouveau Testament, la conduire (Éph 5 :23),
être avec elle pour toujours (Matth 28 :20) et que les portes du séjour des morts ne prévaudraient jamais contre elle. L’Église de Dieu continuerait d’exister, accomplissant l’œuvre à travers les
siècles en tant que "petit troupeau" (Lc 12 :32), jusqu’à la fin des temps (de son temps), moment où elle proclamerait par toute la Terre la bonne nouvelle du Royaume de Dieu (Matth 24 :14).
Cette Église serait persécutée (Jn 15 :20 ; 16 :33), mais ne mourrait jamais, et elle serait toujours là au retour du Christ, c'est à dire deux mille années plus tard pour le passage dans le
Verseau (estimé en mars 2012) et la mort de Christ Soleil en Poisson. Cet agenda est d'ailleurs clairement expliqué dans la prophétie des papes, celle annonçant la fin de l’Église...
La tentatrice dévoyée et le vertueux
A cette primauté usurpée de l’Église du Père telle qu'enseignée se rajoute la figure la figure de Jean Le Baptiste, présenté comme un martyr symbole du féminin
intriguant. Il serait en effet mort pour avoir critiqué la vie conjugale du gouverneur Hérode Antipas, fils d’Hérode le Grand, qui était un roi fantoche régnant sur la Galilée. Marié à la fille
d’Aretas IV, un roi nabatéen (au sud-est de la Jordanie), il est séduit lors d'un voyage à Rome par la femme de son frère, Hérodiade. Il réussit à la convaincre de quitter son frère et lui-même
divorce, répudiant sa première femme en la renvoyant à Pétra au roi Arétas son père, ce qui provoque une guerre sanglante entre les deux pays. Hérode et Hérodiade vivent ensuite dans une sorte de
concubinage, appelé mariage pour raisons de convenance sociales.
Jean critiquait ouvertement le roi et ses arrangements conjugaux. Comme ses critiques rencontraient un trop grand écho dans la population, Hérode le fit arrêter.
Telle fut, d’après les évangiles, la cause de l’emprisonnement de Jean, l'historien romain Flavius Josèphe ajoutant une autre raison : Antipas craignait Jean car la popularité de Jean
pouvait servir à déclencher une révolte (Antiquités 18.5.2).
Mais quoiqu’il l’eût fait emprisonner, Hérode manifestait une certaine sympathie pour le prophète, sachant apprécier le message de Jean à sa juste valeur et
comprenant les critiques qui lui étaient adressés. Ainsi, il "écoutait avec plaisir" - Jean (Mc 6,20) -, même s’il refusait de changer de vie. Cette sympathie pour Jean fit cependant peur à
Hérodiade, qui se mit à comploter contre Jean. Elle manipula sa propre fille Salomé, la nièce d’Hérode Antipas, pour que la jeune fille séduise par une danse (évidemment) lascive son oncle devenu
son père.
Profitant en effet d'une occasion favorable, soit un banquet offert le jour de son anniversaire par Hérode aux membres de son gouvernement, aux chefs de l’armée et
aux notables de Galilée, Hérodiade fit entrer Salomé dans la salle qui dansa, plaisant à Hérode et à ses invités. Le roi dit alors à la jeune fille : "Demande-moi ce que tu voudras, et je te le
donnerai." Et il lui fit ce serment solennel : "Je jure de te donner ce que tu demanderas, même la moitié de mon royaume." La jeune fille sortit et dit à sa mère : "Que dois-je demander ?"
Celle-ci répondit : "La tête de Jean-Baptiste." La jeune fille se hâta de retourner auprès du roi et lui fit cette demande : "Je veux que tu me donnes tout de suite la tête de Jean-Baptiste sur
un plat!" Le roi devint tout triste, mais il ne voulut pas lui opposer un refus, à cause des serments qu’il avait faits devant ses invités. Il envoya donc immédiatement un soldat de sa garde,
avec l’ordre d’apporter la tête de Jean-Baptiste. Le soldat se rendit à la prison et coupa la tête de Jean. Puis il apporta la tête sur un plat et la donna à la jeune fille, et celle-ci la donna
à sa mère. Quand les disciples de Jean apprirent la nouvelle, ils vinrent prendre son corps et le mirent dans un tombeau...
Il va sans dire que l'imagination perverse des rédacteurs bibliques est sans limites...
L'apôtre Pierre devenu le premier évêque de Rome, accepté par l'église primitive comme l'autorité centrale parmi toutes les églises, il en découle le corsetage par le système patriarcal du
féminin sacré. Nul ne s'étonnera ainsi du pourquoi du célibat des prêtres, curés, nonnes et sœurs. En interdisant l'amour et en diabolisant la sexualité comme pratique impure, le système
prédateur enferme à jamais tout réveil possible des êtres humains par l'union harmonieuse des polarités complémentaires. Les pratiques barbares de l’Église, quelles que soient les religions,
reçoivent le blanc-seing pour mener à bien la répression et l'oppression, jusqu'à brûler tout ce qui avait un rapport avec la femme, la beauté et l'Amour.
Manipulation émotionnelle
Depuis quelques mois un déferlement sans précédent de frasques masculinesdans la relation dévoyée avec le féminin est porté sur la place publique française (et
internationale). Cette libération de la parole est saluée non sans raison par les mouvements des causes humanistes, tout particulièrement féministes, d'ardentes militantes et défenseurs de la
cause des victimes s'engageant courageusement pour dénoncer et pour que la vérité éclate. Bien évidemment, ce combat apparaît d'autant plus à même de bénéficier du soutien de l'opinion lorsqu'il
met en scène des personnalités publiques. Ainsi trouve-t-on parmi elles quatre figures et leurs "spécificités" mises à l'index : Bertrand Cantat (assassinat de sa compagne Marie Trintignant et
suicide de sa femme Krisztina Rady), Dominique Strauss-Kahn (agression sexuelle et prostitution), Roman Polanski
(pédocriminalité), Georges Tron (harcèlement sexuel au travail). L'état
des lieux apparaît naturellement glaçant, car précisément documenté. Qui plus est, il ressort que ces quatre hommes ont été protégés par leur milieu d'origine, leur parti politique ou leur
famille artistique, l'ignorance du dossier et des faits dans l'opinion publique comme les médias ayant permis de brouiller les lignes. Dans l'affaire Tron par exemple, les journaux parlaient d'un
problème de massage de pieds, alors qu'il était renvoyé devant la cour d'assises pour viol aggravé. Pour Cantat, on avait parfois l'impression qu'il avait donné une gifle à sa compagne, que
celle-ci s'était cognée contre le radiateur et qu'elle était morte, alors que le rapport d'autopsie fait état de 19 coups.
Si pour le premier l'affaire reste à juger, la tentative de retour du second sur la scène artistico-médiatique entraîne des réactions passionnelles de part et
d'autre, soit au nom du droit à refaire sa vie après avoir purgé sa peine, soit au titre de l'indécence et de la provocation. Quant au cinéaste Polanski il semble intouchable, ne pouvant purger
(probablement) sa peine aux États-Unis, aucune des procédures d'extradition n'ayant à ce jour abouti. Là encore, le "scandale" de l'impunité attise d'aucuns, tout particulièrement révulsés du
soutien qui lui est apporté par les icônes de la coterie "jet-set" (BHL, Alain Finkielkraut, Catherine Deneuve...) - les compagnons du déshonneur -, alors même que celui-ci a avoué avoir soûlé,
drogué, violé vaginalement et analement une fille de 13 ans et plaidé coupable, avant que de s'enfuir... Le dossier "DSK" est quant à lui l'affaire "Weinstein" de la société française, qui a
donné une impulsion très importante au vote de la loi instaurant la pénalisation des clients de prostituées.
Les nouvelles technologies en réseau relaient la curée de la mobilisation féministe, une première vague de libération de la parole des victimes ayant eu lieu sur
les réseaux sociaux avec un hashtag #JeNaiPasPortéPlainte qui annonçait le suivant, #BalanceTonPorc. Ils ont eu pour effet de modifier le traitement de ces affaires par les journalistes, de la
presse écrite comme de l'audiovisuel, qui jusqu'alors minimisaient les faits au nom de la "galanterie gauloise" à laquelle nombre d'entre eux s'adonnaient sans que ceci ne les questionne
véritablement.
Si l'ardeur mise dans ce nouveau combat libératoire est fort louable, elle ne fait que traduire le jeu délétère de la Matrice asservissante basé sur la dualité, la
scission, la séparation et par là-même l'opposition*. Il ne cesse en effet au nom de grands principes humanistes que d'opposer les "bons" et les "méchants, les victimes à leurs bourreaux", afin
de se nourrir de ces grandes tensions passionnelles qui, pour autant, ne changent rien sur le fond, seule la forme le laissant penser, à l'image de toutes les causes en -isme passées
(esclavagisme par exemple), qui se poursuivent sous de nouveaux habits plus "politiquement corrects". Bien sûr que les féministes engagées considèrent que leur cause porte ses fruits :le traitement médiatique n'est plus le même, les peines prononcées sont plus sévères, l'arsenal répressif est renforcé. Pour autant, l'ordre établi de la domination
patriarcale demeure, la sortie du silence se payant très cher pour les plaignantes, à l'intérieur d'elles-mêmes comme à l'extérieur. Et surtout, en sacrifiant quelques-uns de ses pions sur
l'échiquier médiatique, le système continue à brouiller la conscience du plus grand nombre, entraînés à juger, accuser et condamner les prédateurs mâles impies, empêchant par cette dissociation
toute transformation intérieure*². Il ne s'agit en réalité que d'un énième pavé jeté dans la mare, destiné à faire s'écrouler un peu plus le "vieux système" asservisseur à bout de souffle pour
lui en substituer un autre, plus redoutable encore dans ses soubassements toxiques. En le nourrissant par leur engagement, honorable il va sans dire, et entraînant dans leur sillage les
passionarias comme les réprobateurs, le collectif "metoo" contribue allègrement au festin du système prédateur !
Lorsque le Sunday Mirror a révélé en mars 2018 les abus pédocriminels choquants subis sur une période de quarante ans par des centaines de femmes et de
jeunes filles à Telford en Angleterre, et ce dans une véritable conspiration du silence *, on aurait pu s'attendre à ce que ce scandale fournisse à #MeToo une nouvelle occasion de s'indigner.
L'histoire de ces jeunes filles - dont certaines n'avaient pas plus de 11 ans - droguées, battues et violées par des gangs d'hommes majoritairement musulmans originaires d'Asie aurait pu apporter
de l'eau au moulin à ses activistes. Les agresseurs se les repassaient comme des marchandises. Certaines sont tombées enceintes, se sont fait avorter et ont été violées à de multiples reprises.
Trois femmes ont été assassinées et deux autres sont mortes tragiquement, en conséquence des sévices subis. Pourtant, les médias ont à peine couvert ces crimes révoltants. Apparemment, les filles
de Telford comme celles de la classe ouvrière d'Oxford, Rotherham, Newcastle, ne méritent pas une couverture en
première page du Guardian ou du Times, qui en d'autres occasions plus légères - le mariage princier entre Harry et Meghan - n'hésitent pas à en faire des tartines. Cette absence
de couverture médiatique révèle l'hypocrisie au cœur du mouvement #MeToo par ces activistes très en vue qui affirment à l'envi qu'elles ne sont pas motivées par leur propre intérêt mais par le
désir d'aider les femmes qui ont eu moins de chance qu'elles...
En fait, les femmes de Telford ne sont peut-être pas les bonnes victimes, #MeToo à l'image de ses égéries Jane Merrick et Kate Maltby (photos) préférant les
victimes BCBG à leur image, pas plus d'ailleurs que les hommes asiatiques accusés, #MeToo les préférant blancs et puissants comme Harvey Weinstein ou des ministres conservateurs...
* Les dossiers de l'administration de Telford publiés par le Mirror montrent que les services sociaux, les enseignants, la police et les professionnels de la
santé mentale savaient ce qui se passait, mais n'ont pratiquement rien fait.
Gleeden, l'avilissement affiché
Gleeden est un service de rencontre sur Internet, qui a été lancé fin 2009 en France, se positionnant comme le premier site créé pour les personnes mariées
ou vivant en couple et souhaitant tromper leur conjoint en France et en Europe.Le nom Gleeden est
l'association contractée de glee (bien-être, euphorie) et de Éden (le paradis en l'occurrence terrestre). Il est édité par la société américaine Black Divine, au
nom prédestiné - le divin des ténèbres -,dont le siège est à New-York, avec des bureaux à Los Angeles, Londres et Paris, également engagée dans des
activités de capital risque en amorçage avec un "startups lab" (incubateur de nouvelles pousses) dont la liste des membres reste confidentielle… Depuis le mois de mai 2016, Gleeden rassemble une
communauté de plus de 3 millions de membres dans le monde et se revendique leader de son marché en Europe et en France avec plus d’1,3 million d’inscrits. Afin d’ouvrir le dialogue sur le sujet
de l’infidélité, Gleeden s’entoure d’un cercle d’experts d’horizons divers, tels que la philosophe et écrivaine Éliette Abécassis, la sexperte Maïa Mazaurette ou encore la sexologue Dr Juliette
Buffat, co-fondatrice de l’Institut Suisse de Sexologie Clinique.
Outre une promotion permanente via l'affichage (tout particulièrement dans le réseau métro), il bénéficie de l'attention de la presse généraliste qui s'en fait les
gorges chaudes, l’infidélité étant devenu un marché. Les cibles acheteuses principales, les hommes, sont en effet confrontées à la non-résolution de leur moi égotique manipulé, vivant de
mensonges, de non-dits, de fantasmes.
Si Gleeden n’invente pas l’infidélité, il l’affiche ostensiblement, participant non seulement de gros mensonges comme fonds de commerce mais également d'un
dévoiement explicite du féminin sacré qu'il loge en continu dans l'inconscient. Son "business model" est en réalité, contrairement à son marketing, pensé par des hommes pour pomper financièrement
les membres masculins, dont la réalité de visiteurs comme de membres est inversement proportionnelle aux chiffres annoncés (à l’arrivée l'écart est de 1 à 10 selon les évaluations de performance
réalisées). Mais peu importe, puisque l'intention est toute autre... Il n'est en réalité qu'une version améliorée du désormais ringard Meetic, dont il a été démontré que sa consistance était
toute autre que la puissance de son image dans l'imaginaire collectif (faux profils, fausse répartition hommes / femmes, pseudos bidons, profils plaqués en toc, témoignages bidons
...).
Si Gleeden est une arnaque de plus pour les gogos illusionnés, sa perversité en revanche ne l'est pas quant au poison distillé par ses maîtres concepteurs
satanistes.
L'amour interdit
Le secret de Marie-Madeleine se trouve dans l'Aude, dans le minuscule village de Rennes-le-Château. Marie de Magdala étant une reine, Rennes-le-Château est le Château de la Reine, la tour Magdala
lui étant dédiée (images 1 et 2). Il recèle ainsi un trésor, à jamais inaccessible même pour les justes et les vertueux ! Car toute chose n'est pas bonne à dire au royaume de la Matrice
prédatrice, le bénitier de l'église du village soutenu par le démon Asmodée* (image ci-contre) rappelant qui est le maître des affaires terrestres. C'est à Satan, le Yahvé de la Bible (ou à
Jéhovah, son pendant luciférien), que le visiteur ou fidèle fait son signe, non au céleste Divin ... C'est pourquoi la Connaissance est cachée, seul l'accès à son intériorité profonde permettant
d'y accéder.
Les cornes du démon fusionnent avec le bénitier, en forme de coquille saint-Jacques (indice du pèlerinage alchimique), sur lequel figure la locution latine In hoc signo vinces se
traduisant par "Par ce signe, tu (le) vaincras", ce qu'indiquent au-dessus les quatre anges positionnés en signe de croix. C'est cette même phrase que l'empereur Constantin Ier, fondateur du
christianisme dogmatique*², choisit comme devise après qu'il ait déclaré avoir eu une vision du chrisme*³ (☧ - images 3 et 4) dans le ciel peu avant la
bataille du pont Milvius, qui s'est déroulée en 312. Si elle est ainsi un symbole avant tout chrétien, cette symbolique est en réalité nettement plus ancienne que le christianisme, pouvant être
retracée au-delà des périodes araméenne et sumérienne. Elle plonge ses racines profondes jusqu'à l'Égypte antique, plusieurs millénaires avant l'ère chrétienne.
Sa signification représente la course et la position du soleil à son zénith au cours d'une année de 365 jours : les deux diagonales représentent les symboles des solstices d'hiver et d'été ; la
ligne horizontale est l'horizon terrestre ; la ligne verticale représente le "Chemin Vertical", soit la ligne de vie spirituelle ; la partie arrondie (en courbe) du P est la représentation
simplifiée de l'astre solaire.
Au cours du Moyen Âge en France et plus particulièrement dans son Sud-Ouest, dans toute la région de l'Occitanie, les architectes des châteaux de tradition cathare se sont servis de ce symbole
comme d'un plan de construction afin d'orienter l'élévation des donjons et la position des fenêtres de manière que les rayons solaires traversent de part en part (littéralement) les châteaux au
moment des solstices d'hiver et d'été, en utilisant des règles de calcul géométriques et spatiales très strictes quant à la forme et aux dimensions utilisées pour leur constructions. Nous en
retrouvons tout naturellement la signature dans l'église de Rennes-le-Château, qui perpétue ainsi le "Grand Secret" caché aux foules par le système institutionnel politico-religieux prédateur et
asservisseur...
* Le nom Asmodée viendrait de l'altération du nom d'un démon avestique Aešma-daeva, littéralement "démon de la colère", qui pourrait aussi signifier en hébreu
"celui qui fait périr". Traduit en latin par Asmodeus, sa signification est "Le souffle ardent de Dieu" (Yahvé/Jéhovah).
*³Le Chrisme, aussi appelé Chi-Rô, et parfois
croix des équinoxes, est en principe accompagné de deux lettres grecques, Alpha et Oméga, symbolisant la naissance et l'infini.
Le secret de Rennes-le-Château
Il a beaucoup été écrit sur l'histoire de Rennes-le-Château à propos du secret de l’abbé François Bérenger Saunière (1852/1917 - photo) et de son présumé trésor. La
vérité est qu'il n’a pas trouvé de trésor, à part quelques menus bijoux et pièces d’or dans l’église, pas plus qu’il ne s’est rendu coupable de trafic de messes. C’est son confrère Henri Boudet,
curé de Rennes-les-Bains et décédé plus tôt en 1915, qui lui a fourni tout l’argent nécessaire à la réfection de l'église délabrée de sa petite paroisse et au train de vie fastueux qu’il connut
pendant quelques années. Celui-ci connaissait le secret avant l’arrivée de Saunière, faisant partie de la "Société des prêtres du Cromleck", héritière de l’abbé Antoine Bigou, société secrète qui
gérait le trésor et le "Grand Secret ", celui qui remet en question toute l’Histoire officielle et les fondements de la civilisation judéo-chrétienne.
Ainsi le secret de Rennes-le-Château découle des hasards de l’Histoire, qui voient l’abbé Bigou hériter du plus "Grand Secret" de l’Occident chrétien à la mort de
la dernière héritière des veilleurs (ces différentes familles de seigneurs locaux qui gardaient les "Lieux" depuis des siècles), Marie de Nègre d’Ablès (1714/1781), dame de Blanchefort et
marquise de Hautpoul. Un curé plus perspicace que les autres, Bérenger Saunière, l'avait redécouvert. Ce secret, vieux de près de 2000 ans, remet en cause toute la religion chrétienne. Il est la
découverte du tombeau du "vrai" Jésus Christ, non crucifié et non ressuscité, sur la terre de France... à savoir l'explicatif sacré du Vivant, le Graal !
* Un autre secret codé par l'abbé Boudet dans son livre est celui de l'''Arche d’Alliance", cachée sous l’ancien
Temple de Salomon lors de l’arrivée des Babyloniens en -587. Si elle n’a pas été officiellement retrouvée depuis 25 siècles, elle aurait été ramenée par les Templiers et cachée dans une grande
caverne (celle immortalisée par le roman "L’Aiguille creuse" de Maurice Leblanc, père d’Arsène Lupin, sous le mont Aiguille, près d’Arques dans l'Aude). Compte-tenu de sa nature énergétique (son
procédé de fabrication est décrit dans la Bible), elle s'apparente au Graal des Templiers.
Le Trésor de Rennes-le-Château
Si le trésor le plus important de Rennes-le-Château est d’ordre spirituel - le Christ, le Kiristos -, concernant à la fois les deux grandes religions dont il se
trouve à la charnière - judaïsme et christianisme -, tant ses disciples qui le considéraient comme le Messie royal puis les Wisigoths qui le tenaient pour un prophète, semblent bel et bien avoir
disposé autour de lui le plus grand trésor de tous les temps. Ainsi que l'a précisé Nostradamus, celui-ci a différentes origines :
1. L’impôt du roi (Jésus) selon l'abbé Henri Boudet, qui n’est autre que le trésor de guerre des Nazaréens décrit dans le rouleau de cuivre de Qmran, caché en 68 de
notre ère …
2. L’or des tuiles du deuxième Temple de Jérusalem détruit en 70, racheté au marché noir par les disciples, et ramené clandestinement en Septimanie (province
romaine de Narbonne dans l'Aude).
3. Le trésor du sac de Rome pillée par les Wisigoths en 410, comprenant celui des peuples vaincus par l’Empire romain, et surtout le mobilier sacré du deuxième
Temple de Jérusalem (Ménorah et table des pains de proposition) ramené par Titus en 70.
4. Le trésor national des Wisigoths (une grande partie) provenant principalement du sac de la Grèce en 398.
Tout ce qui n’avait pas de rapport à la religion aurait été fondu en 1156 par les Templiers, qui firent venir d’Allemagne des fondeurs (et non pas des mineurs) à
Blanchefort. Cet or est protégé, et en attente selon la tradition chrétienne établie du "Grand Monarque", qui l’utilisera pour l’établissement de son royaume et la réalisation des
Prophéties*.
Que celui qui peut comprendre comprenne, en menant ses propres investigations !
Pourquoi la France est la fille aînée de l’Église romaine dévoyée.
Le lien est établi avec la présence des Vierges Noires dans le sud de la France par la localisation près d’Alet-les-Bains (Aude) du tombeau du Christ, celui-ci
étant venu accompagné des "Maries" dont la légende rapporte qu’elles auraient abordé près d’Arles. Ils s'étaient installés dans le Razès, historiquement un ancien comté carolingien portant le nom
de sa capitale historique, la cité de Redae (l'actuelle Rennes-le-Château au sud-ouest du département de l'Aude)*. Ce comté fut absorbé par la province du Languedoc en 1240. Ceci explique
pourquoi les Wisigoths ont créé un royaume entre le Rhône et les Pyrénées après le sac de Rome (410). Ils étaient en effet des chrétiens disciples du prêtre Arius (256/336), qui disait que le
Christ était un homme, un Prophète, et non un Dieu. En s’établissant dans le Razès, ils ont secrètement veillé sur son tombeau caché près de leur place forte de Rhedae.
Pendant les siècles qui suivent, jusqu’à la deuxième croisade contre les Albigeois en 1209, plusieurs familles de seigneurs locaux veillent sur les secrets du
Razès, comme les comtes de Toulouse de la dynastie des Raymond issus de saint Hilaire, à quelques kilomètres d’Alet, et les seigneurs de Trencavel (à l’origine du nom de Perceval), d’Aniort et de
Blanchefort, ralliés à la cause Cathare. Ils étaient les gardiens du Graal, secrètement soutenus par les Templiers locaux, qui n’intervinrent pas dans la croisade. Le secret échut ainsi aux
Blanchefort et Hautpoul, derniers seigneurs de Blanchefort et Rennes-le-Château, avant de revenir en 1781 à l’abbé Bigou, confesseur de Marie de Nègre d’Ablès.
L’existence du tombeau du Christ sur la terre de France fut toujours connue du Vatican, qui fit tout pour le récupérer. En vain, les Cathares comme les Templiers
même sous la torture ne le livrant. L'Ordre de la Rose+Croix*² le redécouvrit au début du XVII° siècle sous le nom du tombeau de Christian RosenKreutz, signifiant en réalité le Christ des
Templiers à la croix rouge. Sous d’autres noms, comme la société le "Brouillard" ou la "Société angélique", l'Ordre recruta des artistes (peintres et écrivains) qui cachèrent le secret dans leur
œuvre.
* Pour autant, la thèse de la filiation christique des Rois mérovingiens telle que suggérée par le livre "L’Énigme sacrée" de Baigent, Leigh et Lincoln, qui aurait inspiré le "Da Vinci Code" de l'auteur états-unien Dan Brown, apparait hautement
fantaisiste. La fulgurance du succès de ces livres n'était qu'un nouveau piège tendu par le système élitaire manipulateur à la conscience humaine, afin d'entraîner les lecteurs et chercheurs de
vérité sur la fausse piste de la filiation christique de la lignée mérovingienne, celle-ci étant une des représentations terrestres des entités involutives de la 4ème densité de conscience. Tout
au contraire, évidemment !
La villa "Béthanie" de Rennes-le-Château accueille le visiteur tout naturellement à l'extérieur par la statue de Jésus après sa crucifixion (photo 1), le confortant dans son illusion que l'envoyé
du Dieu Très-Haut est mort pour les péchés de l'humanité. Une fois admiré sa magnifique chapelle en vitraux (photos 2 et 3), c'est donc à l'intérieur comme toujours qu'il va pouvoir trouver la
clé, comme celle que les Templiers avaient trouvé dans les ruines du Temple de Jérusalem, à savoir des lambeaux de fragments hébraïques qui relataient des rapports "d'eschaimins" juifs (espions)
mandatés par le clergé dévoyé. Ils dénonçaient les agissements du "maudit Mamzer (fils de putain) Jésus" et "ses blasphèmes contre le Dieu d'Israël". Jésus avait en effet traité le Dieu hébraïque
(Yahvé) du nom de Satan, et reproché aux juifs d'avoir fait du diable leur Dieu...
S'y trouve le tombeau de Marie de Béthanie (Béthania signifie en Hébreu "Maison de la Réponse"...), soit de Marie Madeleine, l'épouse de Jésus. C'est l’un des nombreux secrets cachés
dans l’épitaphe de Marie de Nègre d’Ablès. Il se situe dans une crypte distincte de celle des seigneurs, située sous l’église de Rennes-le-Château, derrière le maître-autel ainsi que l’attestent
un vitrail et le bas-relief, dans la direction indiquée par le regard de Saint Jean qui tient un livre ouvert, sur la chaire d’où vient la vérité… La présence de Marie Madeleine explique pourquoi
l'abbé Saunière a appelé sa demeure construite en 1900-1901 (sans y vivre) Béthanie, qui comme dans les évangiles se trouve située au sud de Sion. Alet, la nouvelle Sion en Razès...
Cf. Travaux de recherche de Pierre Sylvain.
Maria Magdalena, la clé de l'énigme
Le prénom Magdalena vient de Magdala, village aujourd’hui nommé Medjelau nord de
Tibériade,la capitale de la Galilée dans le nord d'Israël. En hébreumigdal
signifie "tour", expliquant le nom attribué à celle de Rennes-le-Château. Le sens hermétique, caché, de Mag-da-lena est "magnétisme de lune", soit la polarité féminine lunaire (l’Être,
l'invisible, le ressenti) pendant indispensable du masculin solaire (le Paraître, le visible, le mental raisonné), qu'incarne Jésus, le Christ universel créateur comme Horus l'égyptien et tant
d'autres dans leur représentation terrestre*.
Le peintre lorrain Georges de la Tour (1593/1652), le bien nommé... ("Tour Magdala"), connu pour son goût prononcé pour les jeux d'ombres et de lumières, en livre
l'explication alchimique dans ses nombreux portraits de Maria Magdalena, qui la présentent face au miroir éclairé par une bougie, seule la moitié de son visage étant perceptible (Cf. images). Ils
exposent tout le jeu explicatif du fonctionnement électromagnétique entre les deux astres de référence de notre galaxie d'appartenance, bien loin de la fable religieuse racontée, ce que
l'emplacement de la Tour Magdala, petit bâtiment opaque sans grandes ouvertures extérieures, face à la verrière réverbérante de la chapelle, confirme sur le site du village*², autrement dit le
damier terrestre*³. Dans la Tour, un escalier permet de monter à la terrasse ;
dans l'orangerie, un escalier descend au rez-de-chaussée... Le haut irrigue le bas, et vice-versa !
Chaque symbole livre une clé explicative du fonctionnement de Ce Qui Est en relation avec l'histoire biblique. Ainsi le crâne, qui figure saint Jean-Baptiste*
(l'être humain est appelé à être baptisé par le Kiristos solaire) et le livre saint Jean l’Évangéliste (la quête de la Connaissance pour son évolution de conscience).
* Nous retrouvons figuré Jean-Baptiste sur le bénitier de l'église de Rennes-le-Château, qui bénit Jésus en tenant à sa main une coquille
saint-Jacques.
Sous la Vierge trônant sur l'autel (photo 1) se trouve le dessin du cœur de Jésus (photo 2), que l'on retrouve sur les deux vitraux visibles de la porte extérieure de la villa Béthanie (photo 3),
au-dessus de la porte (photos 4 et 5). C'est le message laissé par l'abbé Saunière, le cœur de Jésus et de Marie Madeleine réunis sous une même porte signifiant la substance de Ce Qui Est,
l'Amour à travers l'énergie éthérique. La symbolique alchimique est double, la porte elle-même en en constituant une autre, pour celles et ceux ayant passé certaines étapes initiatiques de
l'éveil de leur conscience...
Cette statue de la vierge noire représente Marie Madeleine avec le serpent au pied. Le serpent en l'occurrence n'est pas Enki, Osiris ou Lucifer, le serpent de la
bible (Samael) qui donne la connaissance (polarité +), mais Enlil, Seth ou Satan (Satam), la polarité entropique (-).
Prédation des consciences et voie de sortie
La séquestration du féminin sacré porteur du génome "Kiristos" (christique), de nature sémite, constitutif à part égale du Vivant en 3ème dimension de densité terrestre par le patriarcat solaire
dévoyé, a établi une amputation de la capacité à ÊTRE dans toute sa dimension cosmique pour l'être humain doté d'une âme*. Celle-ci a pour objectif de nourrir la force de prédation
extra-dimensionnelle asservissante de la 4ème dimension de densité, tout particulièrement par le biais des guerres et des crises qui font partie intégrante du royaume de la mort propre au système
3D, ainsi que par les tentatives désespérées des dirigeants de l’ordre mondial actuel pour prolonger leur existence.
Sa négation par la grande partie des êtres humains, anesthésiés par la manipulation psycho-émotionnelle réalisée*² par celle-ci comme par ses relais terrestres, conduit à un inévitable
fonctionnement entropique de la civilisation humaine, jusqu'au nettoyage cosmique correspondant à la cyclicité des temps du calendrier astral*³.
Seul l'accès à la Connaissance et à la compréhension de Ce Qui Est, une fois le logiciel des croyances remis à plat, permet d'entamer le processus de dégagement de
la Matrice falsifiée, en suivant le chemin évolutif du Héros de sa Vie.
Le corpus prédateur terrestre de la hiérarchie négative, autrement qualifiée de Force de
l'Ombre et des Ténèbres, qui est au service de la force archontique de la 4ème densité de réalité, est connu sous son appellation "l'axe du mal Nazi". Bras armé des prédateurs
extra-dimensionnels, il a détruit il y a environ 12.000 ans la totalité de l'humanité atlante* composée des deux génomes constitutifs, le sémite (polarité + évolutive) constitutif du mode
"Service d'Autrui", et l'aryen/arihmanien (polarité - entropique), tels qu'établis par le zurvanisme et le zoroastrisme. Il est important de préciser que les sémites n'ont
strictement aucun rapport avec les juifs-hébreux d'aujourd'hui, étant très probablement des descendants du fils de Noé, Sem (qui signifie en hébreu "nom, renommée, prospérité"), patriarche de
l'un des peuples rescapés de l'Atlantide, et qui plus tard sont devenus les Cathares, puis les Cagots et Chrestians de nos anciennes légendes.
*L'Atlantide était le nom que portait la Terre du temps de sa civilisation, Atlantis se référant aux nombreuses îles
situées dans l'Océan Atlantique, et que les anciens égyptiens nommaient l'Amenti, correspondant à ce que nous appelons l'Occident, l'autre partie du globe, l'Orient, étant appelé
l'Amenta.
Du zoroastrisme
Le "prophète" fondateur du zoroastrisme, Zoroastre, autrement nommé Zarathushtra ou Zarathoustra, dont il est difficile de dater la vie avec certitude, a
prétendu avoir une vision qui lui a révélé le Seul Dieu, Ahura Mazda, au détriment de son jumeau négatif, le dieu Ahriman. Il a promu une religion monothéiste, et il est l’auteur de l’idée
que les êtres humains ont la libre volonté, le libre arbitre, de choisir entre le bon et le mal. Il fut aussi le premier à avoir les idées du messianisme, l’eschatologie. Le zoroastrisme était
une religion apocalyptique, dans le sens d’être révélée, mais aussi pour signifier qu’il y aurait des révélations à propos de la fin des "temps". L’idée générale pour les Zoroastriens était que
le feu était un dieu (Agni) en soi, sorte de médiateur entre les êtres humains et les autres dieux quine pouvaient pas maintenir la création ou l’ordre du monde s’ils n’étaient pas renforcés ou nourris ou s’ils n’avaient pas
d’interaction avec les êtres humains. Le feu consumait le sacrifice, ce qui signifie qu’il le transformait en quelque chose qu’ils pouvaient consommer (c'est pourquoi la 4ème densité
consomme l’énergie des êtres humains).
Face à ce dualisme fondateur entre bien et mal, le zurvanisme ou zervanisme,hypothétique mouvement religieux qui serait
apparu en Perse achéménide, aurait préexisté au zoroastrisme qu'il aurait influencé, en expliquant que Zurvan, le dieu ultime de l’espace/temps, est le père des jumeaux. Zurvan était en
fait l’ancien dieu des steppes et des peuples Indo-Aryen. Il était représenté comme le dieu à tête de lion*. Sa forme est souvent représentée avec un serpent enroulé sept fois autour de lui. Ceci
signifie que ces peuples dits du triangle ont honoré le dieu Ahriman, le dieu du mode "Service de Soi".
*Une forme d’homme-lion a été trouvée à Hohlenstein-Stadel, une grotte en Allemagne.
Taillée dans l’ivoire, elle est LA plus vieille sculpture d’animal zoomorphe au monde, et le plus vieil exemple connu, incontesté, d’art figuratif. Elle a été estimée datée de 40 000 ans par la
datation au carbone du matériel qui se trouvait à la même couche où la forme a été découverte. La sculpture partage certaines similarités avec les
peintures de mur de grottes françaises qui démontrent aussi des créatures hybrides.
Les "Nazis" de 4ème densité (dimension d'alors de la planète Terre), qui sont représentés ou incarnés par les humains de
souche/langue aryenne - la famille "Indo-iranienne" -, étaient basés en Antarctique, devenu de nos jours le continent le plus méridional de la Terre. Désormais recouvert de glace, il est situé
autour du pôle Sud et est entouré de l'océan austral. Pendant toute la durée de la civilisation de l'Atlantide, l'Antarctique était le territoire nazi par excellence. Mais au lieu d'être isolé et
recouvert de glace comme à présent, les scientifiques Nazis avaient développé des technologies de production d'énergie civiles ou militaires qui arrivaient à réchauffer toute l'étendue de leur
territoire.
Grâce à un gigantesque réseau d'énergie propagée par une technologie de semi-conducteurs à cristaux insérée dans le sol, tel un
parfait treillage géométrique, l'Antarctique était un continent doté d'une température artificiellement stabilisée, pourvu d'une végétation luxuriante telle que l'expédition polaire de l'amiral
Richard Evelyn Byrd (1888/1957) le révèlera en 1947. Mais leur escalade technologique sans éthique a finalement participé à la destruction complète de la civilisation atlante. Ceci explique que
l'Antarctique est de nos jours une zone protégée par le secret défense, nombre d'expérimentations interdites s'y déroulant grâce à l'opération d'exfiltration d'environ 1.500 scientifiques nazis
appelée Paperclip ("Trombone") à l'issue de la seconde guerre mondiale...*
*Cf. Contrôle mental & Livre "Operation Paperclip : The
Secret Intelligence Program That Brought Nazi Scientists to America" de la journaliste d'investigation états-unienne Annie Jacobsen (photos 6 et 7 ci-dessus).
Ainsi cet axe du mal nazi n'est pas d'origine terrestre, mais trans-dimensionnel, contribuant à "jouer" un rôle déterminant dans le karma et dans le processus des cycles d'incarnation de l'être
humain caractérisé par les états psychologiques du bourreau, de la victime et du sauveur, soit le "moi" (égo) séparé du Soi divin, l'unité christique*. Il en découle pour notre civilisation
contemporaine la "guerre froide", qui a été amorcée au XX° siècle entre le bloc de l'Ouest et celui de l'Est, définie comme une lutte existentielle entre l'idéologie politique et économique du
libéralisme marchand et celle du communisme étatique, autrement dit le "choc des civilisations" à l'instar de ce qui fut déjà le cas par le passé compte-tenu de la cyclicité historique*². Et bien
que l'Union soviétique et le communisme prirent fin dans leur forme idéologique première, les attaques anglo-américaines contre la Russie sont aujourd'hui plus intenses que jamais dans le grand
jeu géopolitique du planisphère.
Cependant, si les événements géo-politiques d'aujourd'hui semblent bel et bien suggérer qu'il y a quelque chose d'autre à propos de la Russie et de son peuple qui trouble les puissances
occidentales, le soi-disant axe du "Bien", ils ne sont en réalité que le reflet du combat entre le corpus de prédateurs "Service de Soi" et les entités "Service d'Autrui" planificatrices et
stabilisatrices, leur choc produisant irrémédiablement des destructions d'humanités en chaque fin de cycle*. L'intention ultime de chacun des deux groupes est en quelque sorte de pouvoir
"récolter" et guider les âmes humaines vers d'autres cycles d'existence, soit à caractère involutif soit évolutif, processus qui est nommé "la moisson des âmes" et calé sur le calendrier zodiacal
propre à notre système solaire...
La guerre extra-dimensionnelle de cette fin de cycle civilisationnel
Les turbulences géopolitiques constatées actuellement ne sont que le reflet-miroir d'une guerre cosmique située sur une autre fréquence vibratoire, la 4ème
dimension, entre deux types d'entités : celles représentant les forces entropiques (ou ténébreuses), celles représentant les forces évolutives (ou lumineuses). Elles téléguident chacune leurs
relais terrestres. Par-delà l'opposition classique Ouest-Est, Occident-Orient, destinée à leurrer les êtres humains, le recours à l'architecture sacrée permet de comprendre la subtile répartition
des forces qui s'opère en Occident, basée sur les polarités opposées.
C'est ainsi que deux triangles de pays reliés par la même énergie s'affrontent, épousant la configuration géométrique et par-là même énergétique terrestre*. Le
premier, en rouge, se compose des États-Unis, de l'Argentine et de l'Allemagne, correspondant à l'alliance de l'axe destructeur Nazi (génome aryen/arihmanien prédominant), tel qu'il s'est mis en
place à l'issue de la seconde guerre mondiale (rapatriement des scientifiques nazis aux États-Unis et migration en Argentine de ses dirigeants non capturésaprès la seconde Guerre Mondiale et installés à "La Sernanita" - l’endroit silencieux -, et ailleurs en Amérique du Sud). Il exprime la
polarité "Service de Soi" entropique (-). Le second, en bleu, se compose du Canada, du Brésil et de la France (génome sémite prédominant), correspondant à l'alliance des forces du renouveau,
pendant indispensable au fonctionnement de Ce Qui Est. Il exprime la polarité "Service de Soi" évolutive (+). Plus à l'Est, avec la Russie comme phare, le génome sémite est désormais
dominant.
Ainsi la lutte trans-dimensionnelle en cours qui se joue, autrement dite "3ème guerre mondiale", est une guerre de nature génétique. Elle voit d'un côté les puissances destructives car de nature
entropique "Patriarcales-Atlantes-Nazies (génome aryen)", personnifiées par les États-Unis à travers la coalition atlantique de l'OTAN, et de l'autre côté les forces évolutives
"Matriarcales-Lémuriennes-Sémites", symbolisées par la fédération des pays de Russie, ses alliés et la Chine, ceci bien évidemment allant totalement à l'encontre de la fable géo-politique
racontée. Elle est la continuité du choc des deux civilisations antédiluviennes, dont les séquelles mémorielles non résolues par les êtres/acteurs humains illusionnés se reconduisent toujours
dans des cycles à travers les millénaires : les pays de l'Orient, soit l'ancien Amenta (l'ancienne civilisation égyptienne, à ne pas confondre avec le pays d’Égypte qui en est le dernier
"vestige"), et les pays de l'Occident, soit l'Amenti. Loi du Karma oblige...
Lors de la dernière grande extinction de la civilisation humaine, celle de l'Atlantide (correspondant à la quatrième race humaine), il restait probablement environ quelques dizaines de millions
de rescapés sur une population terrestre de plus de 6 milliards d'humains. Parmi eux, certains ont emmené avec eux la Connaissance des lois universelles (physiques et spirituelles) et les secrets
de l'alchimie*² afin d'ouvrir une nouvelle boucle de la cyclicité terrestre. C'est ainsi que quelques milliers d'entre eux débarquèrent d'Atlantis (située dans l'Amenti - Atlantide de l'Ouest),
depuis les îles des Açores et des Canaries, sur les côtes de ce qui est devenue l'actuelle Galice en Espagne, essaimant durant des générations à l'Est jusqu'au Moyen-Orient et en Russie.
Ils sont les lignées sémites/christiques (polarité +), connues beaucoup plus tard sous la dénomination de Cathares*, Cagots, Hébreux (Juifs), en sachant conformément à la loi des polarités qu'en
leur sein se trouvaient inévitablement des individus à polarité entropique (-)...
Lorsque l'histoire s'écrit à rebours de la version officielle racontée, peut ainsi s'éclairer différemment le pourquoi des drames civilisationnels et des persécutions à l'encontre des porteurs de
vérité !
* Du grecKatharos, "Propre, pur, purifié par le feu".
L'aristocratie commerciale et apatride anglo-saxonne, véritable État dans l’État, a apporté sans état d’âme au début du XX° siècle son soutien tant
financier que structurel au communisme comme au nazisme, et de ce fait indirectement à leurs boucheries respectives, tout comme elle a contribué également à la prise du pouvoir des
États-Unis par Franklin Delano Roosevelt (1882/1945), son agent relais. Ces formes d’expériences "de laboratoires", agissant dans un cadre local (Union soviétique, Allemagne nazie,
États-Unis), n'étaient que des mises en forme d’un "socialisme monopolistique", un idéal d’organisation à l’échelle planétaire dans le cadre du "Nouvel Ordre Mondial" à venir. La guerre
de 1939-1945, autre mensonge dans son explication historique falsifiée, a découlé de tout ce travail d’arrière-cour, permettant le basculement vers un monde bipolaire par l’instauration
de deux blocs – l’Ouest et l’Est -, apparemment antagonistes mais obéissant parfaitement au principe destructeur hégélien de la thèse et de l’antithèse. Ces deux mondes, irrigués par les
mêmes sources financières, rendaient alors d’autant plus possible la réalisation de l’État mondial…*
De son côté, le département américain de la Défense a secrètement importé aux États-Unis à l'issue dela Deuxième Guerre mondiale, via l’Amérique du Sud et le Vatican et avec l'aide des services secrets britanniques, du réseau jésuite et des chevaliers de Malte,
et suite à la signature d’un traité en février 1945 en violation flagrante et précoce des accords de Yalta les considérant comme criminels de guerre, un grand nombre de cerveaux allemands
nazis ayant travaillé sur les programmes militaro-industriels - notamment aéronautiques - du Reich, ainsi que des fascistes italiens, scientifiques comme espions, dans le cadre du Projet
Paperclip (Trombone). L’un des plus éminents membres de ce projet était le général allemand Reinhard Gehlen (1902/1979 - photo 1), le chef du renseignement contre la Russie dans
l’Allemagne nazie. À son arrivée à Washington DC en 1945, Gehlen a rencontré longuement le Président Truman, le général William Bill Donovan, directeur de l’Office of Strategic Services
(OSS) et Allen Dulles, qui allait plus tard devenir le fidèle directeur de la CIA.
L’objectif a consisté à réorganiser le fonctionnement nominal des renseignements américains, pour les transformer en une très efficace organisation
clandestine. L’aboutissement de leurs efforts a produit le Central Intelligence Group en 1946, le nom de la Central Intelligence Agency (CIA) en 1947. Reinhard Gehlen
eut aussi une profonde influence en aidant à créer le Conseil de sécurité nationale, dont la loi sur la sécurité nationale de 1947. Ce projet de loi a été mis en œuvre pour protéger les
activités du gouvernement, y compris le contrôle de l’esprit et des programmes clandestins. Il va conduire au développement du projet MK-Ultra*², dont les racines plongent dans
le programme d’échange des idées scientifiques qui a lieu dans l'avant-guerre entre l’Angleterre et l’Allemagne, notamment dans le domaine de l’eugénisme, soit le mouvement consacré à
"améliorer" l’espèce humaine par le contrôle des facteurs héréditaires dans l’accouplement. L’énigmatique union entre les deux pays s'est faite en partie grâce aux résurgences de l’Ordre
de la Golden Dawn*³ (image 4), société secrète composée de hauts fonctionnaires du parti nazi et de
l’aristocratie britannique. Le haut dirigeant nazi SS Heinrich Himmler (1900/1945 - photo 5) y était en charge d’un projet scientifique appelé "Lebensborn", impliquant la reproduction
sélective et l’adoption d’enfants, particulièrement un grand nombre de jumeaux. Le but du programme était de créer une super-race (Aryens) qui aurait une allégeance à la cause du
Troisième Reich. Une grande partie de la première expérimentation concernant le génie génétique et de modification du comportement a été réalisée par le Dr Josef Mengele (1911/1979 -
photo 6) à Auschwitz en Pologne, où il a froidement analysé les effets du trauma-collage (clivage fonctionnel suite à un traumatisme), de la coloration des yeux, de la lobotomie, et le
"jumelage" sur ses victimes, dont beaucoup de femmes et d'enfants. A côté de l’expérimentation chirurgicale effectuée au camp de concentration, certains enfants ont été soumis à des
quantités massives d’électrochocs. Beaucoup d’entre eux n’ont pas survécu à la brutalité. Parallèlement, "le lavage de cerveau" a été menée sur les détenus au camp de Dachau en Bavière,
qui ont été placés sous hypnose avec la drogue hallucinogène mescaline.
Et c'est ainsi qu'environ cinq mille nazis de haut rang ont été secrètement transférés vers les États-Unis et en Amérique du Sud, les Nazis poursuivant
leurs travaux sur le contrôle de l’esprit, des fusées et des réalités extra-terrestres dans les bases militaires souterraines secrètes, sous l'autorité de Wernher von Braun (1912/1977 -
photo 7), naturalisé états-unien en 1955... Cela valait bien les déclarations d'amour réitérées à l'Uncle Sam par les Présidents français Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron, et
le doigt pointé sur le méchant Poutine, il est vrai également orfèvre en dévoiement de l'humanité.
* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie
mondialiste & les travaux d'Antony Cyril Sutton (1925 – 2002), économiste, historien et écrivain britannique, auteur de "Wall Street and the Bolshevik Revolution" (1974), "Wall
Street and the Rise of Hitler" (1976), "Wall Street and FDR" (1976), ainsi que deCaroll Quigley (1910/1977), historien états-unien, "The Anglo-American Establishment : From
Rhodes to Cliveden" (1981).
*³L’Hermetic Order of the Golden Dawn in the Outer ("Ordre Hermétique de l'Aube Dorée à l'extérieur") était une société secrète anglaise, fondée à
Londres par William Wynn Westcott en 1888 avant de se disloquer, de 1900 à 1905, à la suite de conflits internes. Elle s’inscrivait dans la mouvance occultiste propre au dernier tiers du
XIX° siècle, se présentant comme une école consacrée à l’étude des sciences occultes, à leur systématisation, leur organisation et à leur enseignement.
Cf. en complément livreThe Rise of the fourth Reich (photo 8) de l'auteur journaliste
américain Jim Marss (1943/2017),un des scénaristes du film
d'Oliver Stone "JFK" sur l'assassinat du président John F. Kennedy, dans lequel ildéveloppe les preuves irréfutables
et inquiétantes que, alors que la plupart des gens pensent que la Seconde guerre mondiale s'est terminée en 1945, les nazis n'ont en réalité jamais été arrêtés dans leur
agenda...
Les glaçantes confessions de Von Braun
Le Dr. Wernher von Braun, chef du programme des fusées nazies, a été amené aux USA après la guerre parce que le gouvernement a estimé que ses connaissances
et ses compétences étaient trop vitales pour tomber entre des mains ennemies. Celui-ci a ainsi fourni une grande quantité d’informations recueillies auprès d’autres scientifiques nazis de
haut niveau comme son patron, le général S.S. Hans Kammler (photo 9),responsable du programme des missiles V2 vers la
fin de la guerre. Von Braun était au courant des recherches sur les véhicules à propulsion gravitationnelle. Grâce à son accès aux programmes secrets de la NASA, il a commencé à
voir les véritables objectifs du programme spatial américain, et la façon dont le complexe militaro-industriel le manipulait selon un agenda secret caché. Il l'a révélé au Dr Carol Rosin,
dirigeante de l’industrie (fondateur de l'Institut pour la sécurité et la coopération dans l'espace extra-atmosphérique - Institute for Security and
Cooperation in Outer Space), lors de leur rencontre en 1974, lui expliquant que tout cela conduisait à un contrôle planétaire sous l’autorité d’un gouvernement mondial unique. Selon le
Dr. Rosin, von Braun lui a ensuite fait une confession d’une suprême importance, disant qu’un pouvoir secret transnational, déjà en existence, prendrait le contrôle de la planète Terre de
façon permanente par le biais d’une fausse invasion extra-terrestre. C'est la raison pour laquelle les armes stationnées dans l’espace extra-atmosphérique, plus tard connu sous le nom de
programme Star Wars ("Les guerres de l'Etoile), devaient être promues d'abord comme "bouclier" contre les Russes, puis comme un moyen de défense contre les Etats "voyous", avant
que de l'être comme protection contre les astéroïdes et les météorites. Pour le dissimuler, elles seraient présentées comme une protection contre une menace extraterrestre. Toutes ces
justifications ne seraient que mensonges, ces armes spatiales étant inutiles contre des bombes nucléaires portables qui étaient déjà disponibles en 1974, ainsi que contre les armes
chimiques, virales, bactériennes, et biologiques. Plus important encore, von Braun lui a indiqué qu’un pouvoir secret transnational, déjà en existence, prendrait le contrôle de cette
planète de façon permanente par le biais d’une fausse invasion extra-terrestre.
Troublante sonorité
L'ordre noir SS des Nazis a pour sens profond le Schwarz Sonne - Soleil Noir -, soit la diabolisation du féminin sacré (Isis), pendant du masculin
solaire (Osiris)*. Il est également intéressant de faire le lien avec Joseph Nassi ou Naci, né João Miquez, également appelé Yassef Nassi ou Naci
dans l'Empire ottoman (1524/1579). Ce banquier marrane (juif du Portugal) qui avait fui à plusieurs reprises différents pays et lieux d'accueil (comme Louvain ou Venise) était devenu une
personnalité importante de la cour du sultan Soliman le Magnifique puis de son fils Selim II,s'occupant
principalement de politique étrangère. Il amènerala "Sublime Porte" à déclarer
la guerre à Venise, la défaite vénitienne donnant Chypre aux Ottomans en 1570-1571. Il fut fait par eux seigneur de Tibériade et d'Andros, et duc de Naxos. Il est considéré
comme un précurseur du mouvement sioniste, s'étant donné comme mission d'encourager la réinstallation des Juifs dans la région. Il aurait inspiré Barabas, le personnage principal de la
pièce Le Juif de Malte (1589 ou 1590)écrite par le dramaturge et poète anglais Christopher Marlowe (1564/1593), qui influença puissamment le stéréotype antisémite du Juif. Troublante personnalité, dont la non-moins troublante consonance du patronyme éclaire sur la manipulation
de la pensée et de l'histoire civilisationnelle par le système prédateur !
Ainsi, bien qu’Hitler et son régime aient été détruits, le régime nazi des années 1920, 1930 et 1940 est simplement devenu souterrain, s'étant transformé en un mouvement mondial d’infiltration et
d’influence qui émerge aujourd’hui sous le nom de "mondialisme"*. Le Forum économique mondial (WEF en anglais), autrement nommé Forum de Davos, de son initiateur Klaus Schwab (photo 1) dont le
père fut un industriel fournisseur notamment de lances-flamme au service du régime nazi et honoré comme tel, est le terrain d’entraînement des nazis des temps modernes dans le cadre de leurs
tyranniques politiques sanitaire anti Covid-19 et désormais énergétique mises en œuvre.
Il s’agit simplement de la poursuite du programme eugénique nazi des années trente et quarante qui visait à exterminer certains groupes ethniques au nom du "progrès" de l’humanité, ainsi que de
leur féroce répression, comme celle des mouvements contestataires libertaires (Gilets jaunes en France, camionneurs au Canada avec le Freedom Convoy sur Ottawa...), physiquement et
psychologiquement, comme par le vol bancaire sans préavis des avoirs des manifestants ou de leurs soutiens pour avoir donné de l'argent à ces groupements considérés comme déviants, et ce en
dehors de toute procédure régulière.
Il comprend notamment les dirigeants nationaux que sont : le Président de la République française Emmanuel Macron (photo 2); l'ex chancelière d'Allemagne Angela Merkel (elle a quitté ses
fonctions en décembre 2021 - photo 3) et le présent chancelier Olaf Scholz (photo 4); l'ex président du Conseil des ministres d'Italie Mario Draghi (démissionnaire en juillet 2022 - photo
5) remplacé par Giorgia Meloni (photo 6)qui prétend "combattre" les mondialistes tout en soutenant les cartes d'identité numériques, les vaccinations de
masse régulières et les passeports vaccinaux (elle estmembre de l'Aspen Institute qui collabore avec les fondations
Rockefeller et Bill & Melinda Gates); l'ex premier ministre britannique Boris Johnson (démissionnaire en juillet 2022 - photo 7) remplacé désormais depuis juin 2024 par le
travailliste Keir Starmer (photo 8); l'ex Premier ministre néerlandais pendant 12 ans Mark Rutte devenu depuis Secrétaire général de l'OTAN (photo 9); le Premier ministre confédéral du Canada
Justin Trudeau (photo 10) et son ex vice-première ministre Chrystia Freeland démissionnaire en décembre 2024 (photo 11), petite-fille d’un collaborateur et propagandiste nazi du nom de Michael
Chomiak*; l'ex Première ministre de la Nouvelle-ZélandeJacinda Ardern (photo 12), remplacée suite à sa démission en janvier 2023 à la surprise générale par Chris Hipkins
(photo 13); le Premier ministre australien conservateur Scott Morrison (photo 14)*², remplacé en mai 2022 par le travaillisteAnthony Albanese... et
Joseph Robinette Biden (photo 15) qui, à partir du marigot de Washington D.C., dirige jusqu'en janvier 2025 l’actuel gouvernement américain d’occupation, qui n'est rien d'autre
qu'un cartel du crime organisé, illégitime et traître, qui a truqué les élections de 2020, construit en sous-main l’arme biologique Covid, et qui tente comme les autres d’exterminer en masse son
peuple avec le "vaccin à ARNm" (1,1 million de décès supplémentaires ont déjà eu lieu aux Etats-Unis depuis l’introduction des vaccins).
A noter le nombre de démissions de ces sombres acteurs, comparable à un "suicide" collectif programmé pour laisser insidieusement penser aux peuples souverains que l'ère du changement tant
attendu est enfin arrivée, alors qu'il ne s'agit que d'une nouvelle tromperie machiavélique*³ !
*Les services de renseignement polonais soupçonnent Chomiak d’être arrivé à Cracovie peu après que Hans Frank (qui a été
exécuté pour crimes contre l’humanité) soit devenu gouverneur, se proposant comme agent d’influence pour informer les Allemands sur ce que pensaient et projetaient les compatriotes ukrainiens et
les nationalistes anti-russes alors actifs à Lviv et dans ses environs. Son travail de journaliste était probablement une couverture pour l’espionnage au nom des Allemands.
*² L'Australie et la Nouvelle-Zélande sont des pays qui ont été ciblés par des "experts" en manipulation comportementale, originaires notamment du Royaume-Uni,
qui ont pratiqué des expériences et des abus psychologiques sur leurs populations afin de préparer les résidents à la vague de totalitarisme médical qui a envahi la société. On peut noter
depuisune augmentation de 40 % des "codes 1" (maladies infectieuses) ainsi que de nombreux cas "inexpliqués" de crises cardiaques, de douleurs thoraciques et d’affections
respiratoires.
Le "plan de développement durable" des Nations unies pour l’Agenda 2030
Il comprend au moins 17 "objectifs de développement durable" différents et 169 sous-objectifs supplémentaires, qui doivent tous être mis en œuvre d’ici à 2030. Il
est décliné en 7 grandes étapes visant à forger des partenariats mondiaux entre les gouvernements et les sociétés multinationales, la plandémie Covid-19 ayant été utilisée comme une couverture
pour accélérer leur réalisation :
. Renforcer la coopération mondiale
. Re-globaliser l’équitabilité
. Reconstruire la durabilité
. Approfondir les partenariats public-privé
. Accroître la résilience mondiale
. Promouvoir la paix et la sécurité
. Promouvoir l’égalité des sexes
Ce plan a deux grandes finalités:
. l'instauration d'une gouvernance mondiale afin d'assurer la submersion des nations dans un schéma de contrôle externe descendant grâce au filet déployé de la
surveillance électronique et numérique couplée aux "vaccins" injectés;
. l’expansion de la pauvreté au profit d'une minorité s'accaparant toutes les richesses.
La responsabilité canadienne
Les dépôts de la Loi canadienne sur l’accès à l’information (LAI), qui sont similaires aux dépôts de la Freedom of Information Act (FOIA) aux États-Unis,
ont produit de nombreux documents montrant que Chrystia Freeland, alors ministre des Affaires étrangères et responsable d’Affaires mondiales Canada, a conspiré avec d’autres pour transformer le
Canada en un État policier médical fasciste. Elles établissent que celle-ciétait une coprésidente de la réunion officielle nommée Great Reset qui s’est
tenue avec le WEF (World Economic Forum) le 8 décembre 2020 au même titre que les représentants gouvernementaux du Japon, des Pays-Bas et de l’Afrique du Sud, Kent Walker, vice-président senior
des affaires mondiales chez Google, et Dina Powell McCormick, associée chez Goldman Sachs. L’implication directe de Mme Freeland* dans ces réunions indique que le Canada a bel et bien adopté
plusieurs des objectifs de la Grande Réinitialisation du WEF, comme la transition du Canada vers une société sans argent liquide.
* Mme Freeland a été particulièrement impliquée dans la partie de l’agenda consacrée au "renforcement de la coopération mondiale". Ses notes non couvertes
montrent que son principal objectif était de réitérer "l’engagement du Canada en faveur d’un multilatéralisme efficace et responsable, notamment en tant qu’élément central de nos efforts
collectifs pour lutter contre le COVID-19".
Ils sont tous étroitement liés au grand manitou noir manipulateur George Soros* (photo 16) et à son réseau de fondations philanthropiques paravent L'Open Society Foundations, ayant pour
vocation la promotion d'une gouvernance démocratique, des droits de l'homme et des réformes économiques, sociales et légales.
Ils sont de même liés à Bill Gates, le vaccinologue fou, à la fondation caritative Rockefeller (fondée en 1913 par John Davison Rockefeller et Frederick T. Gates pour "promouvoir le
bien-être de l'humanité dans le monde"), et bien sûr à Klaus Schwab, mentor d'un nombre conséquent de diplômés de la Young Global Leaders travaillant auprès d'eux, issus de son
espace d'expérimentation visant àsélectionner, contrôler et préparer avant d'être positionnés
dans l'appareil politique mondial les futurs dirigeants politiques*³ considérés comme des entrepreneurs dirigeant des sociétés vouées à la soi-disant "responsabilité sociale".
* Né György Schwartz, George Soros est un financier milliardaire américain d'origine hongroise, financeur des "révolutions colorées" et des coups d’Etat
associés au moyen de mouvements de protestation initiaux qui conduisent à aggraver les situations politiques. Grâce aux milliards de dollars logés dans son fonds dit "philanthropique"le Open Society Fund créé en 1979 et actif dans une trentaine de pays, il tire les ficelles de son oeuvre diabolique. avec
ses milliards de dollars. Affirmant sans vergogne (sentiment de honte) que "les Etats ont des intérêts, mais pas de principes", il explique froidement qu’une "société ouverte" idéale à
vocation à supprimer les intérêts nationaux spécifiques, tandis qu'en parrallèle une structure politique et financière internationale prend la responsabilité de la défense du bien des
gens.
Psychologie psychopathe des jeunes leaders mondiaux
Le Forum économique mondial a désigné parmi 112 jeunes leaders mondiaux le chinois Wang Guan comme l’un de ses jeunes leaders mondiaux en 2021 (Young Global Leaders). Lié au Parti communiste chinois et travaillant comme correspondant politique en chef pour la programmation
américaine d’un média d’État chinois (Global Television Network) dont il est animateur, il a défendu à plusieurs reprises les "camps de rééducation" du
Parti communiste chinois utilisés par le régime contre les Ouïghours du Xinjiang, cette minorité ethnique de la province du Xinjiang en les
appelant "camps de rééducation" comme le firent jadis les Nazis. Son reportage intitulé "Les doubles standards occidentaux sur le Xinjiang sont démasqués" suggère que l'internement
des Ouïghours opposants leur a permis d’acquérir des compétences pour la vie et le
travail, la grande majorité des participants étant rentrés chez eux...
De son côté, le site américain politique (de droite) The National Pulse a révélé comment la "journaliste"
Daria Kaleniuk, qui a affronté le Premier ministre britannique Boris Johnson et exigé que l’OTAN entre en guerre en Ukraine, était une ancienne Young Global Leader du WEF...
"Il fautéviter la multiplication des Gilets jaunes, ce sont des êtres inutiles et substituables"
Laurent Alexandre,entrepreneur (fondateur de Doctissimo), chroniqueur, écrivain et militant politique français
C'est un plan qui est non seulement basé sur l'élitisme et le libertarisme destructeur de toutes les valeurs traditionnelles, conservatrices - d'où la haine
viscérale du "trumpisme" ou du "poutinisme" -, mais aussi sur l’eugénisme, cette pseudo-science raciste déterminée à faire disparaître tous les êtres humains jugés "inaptes", ne conservant que
ceux qui se conforment à un stéréotype nordique considéré comme étant le seul d'excellence pour constituer selon elle le but de la mutation biologique, soit l’apparition d’une humanité de héros,
de demi dieux, d’hommes-dieux à même de répondre à l'œuvre ultime de la création divine...
Des éléments de cette philosophie ont ainsi été consacrés jadis en tant que politique nationale par des lois de libéralisation de l'avortement, de stérilisation et
de ségrégation forcées, ainsi que par des restrictions au mariage. Financée par des entreprises philanthropiques états-unienne telles la Carnegie Institution et la Fondation Rockefeller*, elle
voit ses promoteurs gouvernementaux de mèche avec nombre de scientifiques respectés qui ont épousé la théorie et la science des races, avant que de truquer et déformer les données pour servir les
objectifs racistes de l’eugénisme.
Ce à quoi nous assistons aujourd’hui avec Big Pharma, les "vaccins" (injections d’ARNm), les homicides à l’hôpital ou dans les EHPAD, et l’avortement n’est que la
renaissance de ce Troisième Reich en tant que Quatrième Reich, autrement dit le N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial), version moderne des eugénistes nazis du Troisième Reich. Il n’est rien de nouveau,
juste un mal recyclé sous la bannière accomodante de la "science"...
Il s'agit bel et bien d'une "philosophie" nourrie de matérialisme anti-mystique, s’expliquant par le désir transhumaniste de réduire à néant tout ce qui pourrait
octroyer à l’être humain ou au cosmos une âme. Que ce soit une âme au sens où les monothéismes ou les totémismes l’entendent, ou dans le sens dans lequel l’entendent les mystiques athées (la
beauté du monde, la sagesse de la nature, la dignité de l’Homme).
*La Fondation Rockefeller a contribué à la création du programme eugénique allemand, et a même financé le programme dans
lequelle plus connu des médecins nazis Josef Mengele a travaillé avant d’être envoyé à
Auschwitz.
Les dessous du conflit ukrainien
Grâceà ses investissements massifs dans l’agriculture, la Russie détient aujourd’hui un pouvoir géostratégique redoutable
face aux pays qui dépendent de ses exportations alimentaires. Cette stratégie d’indépendance de longue durée découle des sanctions européennes conséquentes à l’annexion de la Criméeen février et mars 2014 et son rattachement ultérieur à la Russie, ce qui depuis
a renforcé la décision du Président russe Vladimir Poutine d’investir 52 milliards de dollars dans l’agriculture afin de ne plus dépendre de l’extérieur en alimentation, ni de craindre des
pénuries en cas de sanctions occidentales. Depuis, importatrice de blé, la Russie est devenue le premier pays exportateur. De même, alors qu’avant 2014 elle n’avait quasiment pas d’élevages,
aujourd’hui la Russie est autosuffisante en volailles et quasiment en viande de porc, grâce à des investissements massifs dans l’élevage industriel. Et le réchauffement climatique l’a aidée, en
rendant cultivables des terres auparavant inexploitables car souvent gelées.
Il s'agit d'une bonne leçon de gestion pour un pays soumis à nombre de mesures de rétention discriminatoires par les pays occidentaux coalisés (USA et UE), et qui,
par cette mise au banc, a su développer son indépendance et sa résilience. Elle a permis à l’économie russe de croître en 2021 de 4,7%, contribuant à
financer le déficit budgétaire comme en 2020 quasi-exclusivement par des émissions de dette publique*. Qui plus est, la Russie s'est dotée pour renforcer son indépendance d'un système de
messagerie financière, le SPFS, alternative au système de gestionautomatisé et sécurisé des transactions
internationales SWIFT (paiements entre clients et transactions concernant des actions ou des obligations). Sans oublier que la Russie assure la fourniture de 40 % du gaz européen, sans véritable
alternative de remplacement pour l'UE à court-moyen terme (le groupe Totalest la seule compagnie non russe à disposer d’une concession d’exploitation du gaz
russe).
Nous pouvons d'autant mieux comprendre l'intérêt de Poutine pour l’Ukraine à travers le conflit armé démarré fin février 2022, ce pays frontalier centre de l'empire
khazar*² dégénéré, et de ce fait dirigé par une oligarchie mafieuse*³, constituant la1ère réserve européenne de minerai d’uranium, la2ème réserve
européenne de minerais de titane et 10ème mondiale, la 2ème réserve mondiale de minerai de fer, la2ème réserve
mondiale de minerai de manganèse, la2ème réserve européenne de minerais de mercure, la3ème réserve européenne de gaz
de schiste, la7ème réserve mondiale de charbon et la plus grande superficie de terres arables d’Europe, le2ème producteur mondial d’orge et le1er exportateur mondial de Tournesol et d’huile de tournesol. C'est pourquoi l’Ukraine,
riche en ressources minérales avec divers gisements de combustibles fossiles, de métaux et de minéraux industriels, est d'une importance stratégique, Washington ne pouvant se permettre de son
côté de laisser la Russie remporter la victoire dans le conflit ukrainien, car cela signifierait la perte d’un accès direct à de vastes ressources minérales. Et, cerise sur le gâteau, le stratège
russe s'est rapproché de la Chine, le nouveau géant mondial, qui a le même objectif, agenouiller l’occident en envahissant Taiwan, le Cuba de Mer de Chine !
Si le choix du Président français d'alors, Nicolas Sarkozy, avait consisté à jouer cyniquement la carte de l’OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord créée en 1949 pour résister à l'expansion de l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques, celle-ci ayant disparu depuis la chute
du mur de Berlin en novembre 1989 soit il y a plus de trente ans) sous l'égide états-unienne (son budget militaire est 15 fois supérieur à celui de la France), au lieu de se rapprocher de la
Russie, choix également fait par Emmanuel Macron, l'actuel Président aux commandes à l'occasion du conflit ukrainien, il permet à VladimirPoutine, dictateur
certes compte-tenu des nécessités mais "éclairé", et à sonministre des Affaires étrangèresSergueï Viktorovitch
Lavrov, de se positionner par ce prétexte conflictuel à la sécurité de leur pays (l'Ukraine comme indispensable zone tampon et non respect par cette dernière de l'accord de Minsk de février 2015
qui prévoyait notamment le retrait des armements lourds et des réformes constitutionnelles) comme garants des grands fondamentaux de la civilisation face aux néo nazis occidentaux et aux
mondialistes dégénérés du Forum Économique Mondial... non sans avoir donné au passage une cinglante et humiliante leçon au roitelet franchouillard lors de sa dernière visite à Moscou comme
prétendu émissaire de la paix (pas de tapis rouge, pas de Marseillaise, pas de Poutine à la descente de son avion, pas de chaleureuse accolade, une impressionnante séparation de par la longueur
de la table de rencontre choisie… ainsi qu'une interprète traductrice transgenre !).
En conclusion, Poutine détient l’arme énergétique fossile et alimentaire, l’appui de la Chine, la plus grande avancée technologique militaire, et Macron de son côté
les danseuses et autres éphèbes de l’Elysée...
*Son niveau était de 12,3% en 2019, ayant atteint 19,1% en 2020, et devrait se stabiliser aux alentours de 20% à partir
de 2021, sans augmentation significative de la dette externe, qui passerait de 3,1% à 4,1% du PIB entre 2019 et 2023.
*³Le
gouvernement actuel présidé par le Président ukrainienVolodymyr Oleksandrovytch Zelensky, ancien humoriste, producteur, acteur, scénariste et
réalisateur, a succédé grâce à l'appui des brigades antifas de George Soros constitutives de manifestations massives à la destitution du précédent PrésidentPetro Oleksiovytch
Porochenko, qui avait bénéficié de l'aide conséquente de la Russie pour redresser le pays en 2014.
La sombre réalité de l'Ukraine
Compte-tenu duflot continuel de mensonges diffusés par les sujets serviles du Forum économique
Mondial (les prétendus spécialistes que sont les philosophes de plateaux, les
journalistes des médias mainstream et les politiciens nourris à la mamelle du système) et des sujets corrompus du Deep State (décideurs institutionnels), le public ignore totalement
la réalité, bercé et hypnotisé par la propagande officielle. Outre le voile impudique jeté surla violation des frontières souveraines, les invasions,
les attaques et les violences militaires commises par l’oncle Sam et ses alliés contre le Yémen, la Libye, l’Irak, la Somalie, l’Afghanistan, la Syrie et des dizaines d’autres pays, toujours
qualifiées et saluées comme effort courageux pour "défendre la liberté", il ne peut concevoir que l’OTAN n’est pas une organisation pacifique, mais bien au contraire une organisation criminelle
aux ordres des puissants qui contrôlent le monde, comme l'a prouvésa complicité silencieuse lors du massacre de 6 millions
d’âmes au Rwuanda.
La preuve, sa volonté d'installer en Ukraine des missiles et des laboratoires militaires* avec la complicité d'un gouvernement corrompu, ce qui n'est rien d'autre
qu'une déclaration de guerre à la Russie. Et celle-ci, en y répondant pour assurer sa légitime sécurité, est condamnée à porter le chapeau d'une agression que l’Europe dénonce avec vitupérance, se montrant ainsi par son manque d'objectivité complice du génocide effectué depuis 1994 par les forces militaires et paramilitaires
(la milice néonazie intégrée à l’armée nationale) ukrainiennes envers les citoyens russophones du Donbass, complice de
circuits mafieux de trafiquants d’enfants pour l’élite pédophile (kidnapping d'enfants russes avant d'être vendus comme esclaves), complice de pervers sexuels et de criminels de guerre, complice
de dirigeants corrompus jusqu'à la moelle, ce qu'ont révélé les Panama papers ("documents panaméens" en français désignant la fuite en 2016 de plus de
11,5 millions de documents confidentiels issus d'un cabinet d'avocats complices). Qui plus est, elle s'est prononcée dans une salve d'applaudissements au Parlement européen pour l'entrée
de l'Ukraine au sein de l'UE, pour en faire un partenaire économique et politique attitré, rejetant dans le même temps les tentatives de Moscou d'éviter l'escalade par ses deux projets de traité
détaillés envoyés à Washington et à Bruxelles en décembre 2021 destinés à apaiser les tensions. L’OTAN et les États-Unis ont rejeté les projets de traité, déclenchant ainsi une guerre par
procuration avec la Russie en Ukraine et une lente escalade des tensions par la livraison d’armes de plus en plus perfectionnées au pays, notamment des pièces d’artillerie à longue portée, des
obus de chars à l’uranium appauvri, des bombes à fragmentation et des missiles de croisière qui peuvent atteindre des cibles au plus profond de l’arrière-pays russe.
Pendant plus de 8 ans, le gouvernement ukrainien a bombardé en effet cette région russophone nommée le Donbass, à l’Est de l’Ukraine, assassinant les populations
civiles (plus de 13 000 morts dument recensés) sans que personne dans le monde libre ne dise le moindre mot pour défendre ces Ukrainiens assassinés par des nazis ukrainiens subventionnés par le
FMI et les capitaux américains. Ils appartiennent au groupe Azov ou régiment Azov (the Azov Battalion), une milice néonazie intégrée à la garde nationale
ukrainienne dès 2014 qui reprend avec fierté le symbole du régime nazi (photos 17 à 19 du bandeau), constituant ainsi unecopie de la division SS Das Reich (elle est encadrée depuis l’été 2021 par des mercenaires états-uniens anciens de lasociété militaire privée américaine ayant recours au mercenariat Blackwater,renommée Academi). Il ne s'agit rien d'autre que
d'un groupe d’assassins intolérants, xénophobes et homophobes, auquel se rajouteDmytro Anatoliyovych Iaroch (ou Yarosh), homme politique et militaire ukrainien de droite radicale et nationaliste, actuellement commandant de l'Armée des volontaires
ukrainiens.Il convient de se souvenir, pour les irréductibles donneurs de leçons tel le sioniste Bernard-Henri Lévy, que les 29 et 30 septembre 1941 33 771 Juifs furent assassinés à Babi Yar, en Ukraine, par les Nazis Einsatzgruppen et les collaborateurs ukrainiens. Ce fut le plus grand massacre
de la Shoah par balles de la 2ème Guerre mondiale...
L'actuel président ukrainienVolodymyr Oleksandrovytch Zelensky, ancien saltimbanque, n'a fait que succéder grâce à l'appui
des brigades antifas de George Soros au Président Petro Oleksiovytch Porochenko en 2014, président d’extrême droite tout autant corrompu qui avait, outre une aide financière de la Russie,
bénéficié de millions de dollars du Fonds Monétaire International (FMI) pour, d’une part développer la culture OGM et remplacer le blé des vastes plaines du pays par des organismes génétiquement
modifiés considérés par les Russes comme des armes bactériologiques, et d’autre part pour installer des bases de missiles et des Biolabs (laboratoire de Type P4 comme celui de Wuhan en Chine, rampe de lancement du Covid-19) judicieusement répartis sur tout le pays*³(Cf. photo ci-dessus), sous couvert de "contrer" la menace
d'épidémies (délibérées, accidentelles ou naturelles) des maladies infectieuses les plus dangereuses au monde.Ce faisant, les Etats-Unis, qui
ont finipar reconnaître officiellement l'existence de 36 biolabs sur le territoire ukrainien suite à la prise de Marioupol
par l'armée russe,violent manifestement la Convention de Londres, Moscou et
Washington sur les armes biologiques d'avril 1972. Ces différents soutiens financiers de l’occident ont
également contribué à éradiquer toute résistance pro-russe ukrainienne.
L’Ukraine, qui a bénéficié de l’aide des Russes à hauteur de milliards de dollars, n'a jamais ratifié les accords de paix et de coopération entre les deux pays*².
Comment alors qualifier autrement ses dirigeants que de profiteurs corrompus et de fourbes criminels, tout particulièrement contre les populations russophones du pays, ayant mis en œuvre sur leur territoire et profité de l'industrie de la GPA, du piratage informatique, des déchets radioactifs, de la
prostitution, de la traite d'enfants (avant le conflit en Ukraine, un enfant sur dix
victime de la traite des mineurs dans le monde venait de ce pays), et toutes autres criminalités en liaison avec des pays tout aussi corrompus grâce à une législation très
accommandante. En résumé, défendre l’Ukraine aujourd’hui, c’est prendre le parti des nazis et d'un organisme, l’OTAN, qui a installé ses laboratoires
P4 financés par le Département d’État américain et le Département de la défense capables de libérer des armes biochimiques et bactériologiques et ses
bases de missiles sur les Russes et les pays d’Europe de l’Est, ce qui bien sûr a été qualifié de "fausses nouvelles" par les autorités ukrainiennes.
En outre, le journal Le New York Times a révélé en février 2024 que la Central Intelligence Agency (CIA) des États-Unis entretenait 12 bases secrètes en Ukraine le
long de la frontière avec la Russie, permettant notamment de collecter diverses données interceptées comme l’implication de la Russie dans l’abattage de l’avion de ligne de la Malaysia Airlines
en 2014. Vers 2016, la CIA a commencé également à former une unité d’élite des forces spéciales ukrainiennes, connue sous le nom d’Unité 2245, qui capturait des drones et des équipements de
communication russes afin que les techniciens de la CIA puissent en faire la rétro-ingénierie et craquer les systèmes de cryptage de Moscou. De même, elle a contribué à la formation d’une
nouvelle génération d’espions ukrainiens qui ont travaillé en Russie, dans toute l’Europe, à Cuba et dans d’autres endroits où les Russes sont très présents.
A quoi se rajoutent des centres allemands de recherche sur les produits chimiques toxiques, des centres suisses de nanotechnologie, un consortium français de biotechnologie et des laboratoires israéliens travaillant à l’armement de bombes chimiques. C'est prendre le parti d'un pays dirigé par un gouvernement de
clowns extrémistes et de voleurs, parfaite représentation de la corruption la plus absolue (Volodymyr Zelenski et ses proches sont bénéficiaires d’un réseau de sociétés offshore dans les Iles
vierges britanniques, à Chypre et au Belize, dont certaines sociétés possèdent des propriétés à Londres) grâce au détournement de l’argent de la Russie. Dans leur ignominie, ceux-ci ont été
capables de livrer des armes aux groupes mafieux et aux prisonniers ukrainiens libérés dans la capitale Kiev pendant son siège par l'armée russe, faisant ainsi régner le chaos dans la population
civile tout en assurant que les Russes seraient responsables.
Dans l’ordre hiérarchique de crise géopolitique, l’attaque de Poutine contre l’Ukraine n’est au final pas grand chose en comparaison de l’attaque des États-Unis et
autres Etats contre le monde entier par le biais d’armes biologiques et depiqûres de protéines mortelles, qui
transforment les corps de personnes innocentes en usines d’armes à base de protéines de pointe, tout cela dans le but de parvenir à une dépopulation mondiale et à l’extermination de la race
humaine !
* Ces bases sont installées notamment à Odessa, Vinnytsia, Uzhgorod, Lviv, Kiev, Kherson, Ternopil, Luhansk...
*² Des archives de l’Otanémanant des Archives nationales
britanniques classées secret-défense, consultéespar le chercheur états-unien Joshua Shifrinson,
professeur à l’université de Boston, prouvent sans nul doute que des accords ont bel et bien été passés avec Moscou dès 1991 pour ne pas élargir l’Alliance atlantique "au-delà de
l’Elbe", une telle expansion étant considérée comme "inacceptable" de manière explicite (révélation
du journalDer Spiegel en février 2022). Ce document est leprocès-verbal d’une réunion des directeurs politiques des ministères des Affaires étrangères des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France et de l’Allemagne, tenue à Bonn
le 6 mars 1991, sur le thème"La sécurité en Europe centrale et orientale".
*³Deux
laboratoires militaires de fabrication d’armes chimiques et de molécules pathogènes se trouvent à la frontière Ukraino-Russe, 2 face à la Russie, 3 près de la Biélorussie, 4 près de la frontière
polonaise, 1 à la frontière slovaque qui menace également la Hongrie, 4 entre la mer Noire et la mère d’Azov face à la Turquie dont 1 à la frontière de la république autonome de Crimée. La Chine
et la Russie ont appelé conjointement à plusieurs reprises les Nations Unies, et notammentl’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques
(OIAC) à La Haye, à surveiller le développement possible d’armes biologiques par les États-Unis, déclarant que les progrès rapides dans le domaine de la science et de la technologie avec des
capacités à double usage augmentaient le risque que des agents biologiques soient utilisés comme armes.
Les documents de ces laboratoires,financés et exploités conjointement aux
autorités ukrainiennes par le Département américain de la Défense (DOD), étaient de notoriété publique jusqu’au 25 février 2022, contenant des détails importants sur la construction,
le financement et les permis des laboratoires d’armes biologiques en Ukraine. Ils ont été retirés depuis du site web officielde l’ambassade des
États-Unis à Kiev...
Du vortex ou portail trans-dimensionnel ukrainien
Les Ukrainiens sont un des plus vieux peuples de la Terre, leur pays étant entre autres à l'origine de la colonisation terrestre par
les survivants de l'Atlantide*. La capitale Kiev est en effet l'ancien site d'atterrissage ou de débarquement des Kantekkians, soit un peuple de l'Atlantide, le "mauvais empiremondial" très semblable à ce que nous connaissons aujourd'hui (les États-Unis sont comme "la puissance Atlante centrale" qui
cherche à conquérir le monde économiquement et autrement).Cette civilisation vieille de 70 000 ans était constitutive de la 4ème civilisation humaine avant
son écroulement vers10 662 av. J.-C., voyant les Kantekkians avoir détruit leur propre planète, Kantek,la cinquième planète alors du système solaire (elleest maintenant "la ceinture des astéroïdes").
S'ils sont à l'origine de vrais Sémites, en l'occurrence des Caucasiens (dans le sens des peuples de la région du Caucase), lesnombreuses vagues de conquête et de migration qui se sont succédées ont vu d'autres Ukrainiens, environ 20 %, être de la même race que les
Celtes, autrement dit les Aryens, la race involutive car psychopathe des entités de la 4ème dimension de densité constitutive de la hiérarchie négative du Service de Soi s'exprimant au moyen de
rituels, de "croyances" et de falsification de l'ADN via des processus "d'enlèvement" des âmes. Il en découle que s'ils sont génétiquement guère différents des autres peuples comme les Slaves ou
Russes, ils ont une tendance nazie prononcée à être une "race maîtresse", au même titre que les Russes de Biélorussie dont ils sont proches.
C'est pourquoi la construction sur leur territoire depuis 2014 (date du coup d’État ayant porté
au pouvoir l'actuel pouvoir du bouffon Volodymyr Zelensky) de laboratoires biologiques, avait pour raison secrète de créer une arme ethnique spécifique à utiliser contre les Russes, au
même titre que les vaccins Covid sortis du laboratoire de Wuhan en Chine, contenant des substances qui sont des éléments d'amarrage pour la propagation ultérieure d'une sorte de pathogène, le
sont à l'encontre de la population mondiale.
* L'inondation du Noé biblique est l'histoire de l'effondrement de l'Atlantide, empirebasé dans l'Antarctique avec des avant-postes principaux en Amérique du Sud, Inde, Égypte et d'autres emplacements du Sud. Cette civilisation a été défaite par
les "Athéniens", autrement dit le contingent du Nord, les Hyperboréens.
Au-delà de l’émotion parfaitement compréhensible face aux images forcément douloureuses d'une situation humanitaire difficile liée à la guerre en Ukraine, il convient de sortir de ce "pathos"
ambiant qui empêche de réfléchir et de saisir un tableau d’ensemble nettement plus complexe. Ce qui se cache derrière ce conflit est une immense négociation entre les Etats-Unis,
l’Europe, la Russie et la Chine pour le partage du monde, sorte de nouveau Yalta* que demandent le leader russe Poutine et Xi Jinping le leader chinois.
Comme à ce jour les Etats-Unis ne veulent rien accorder à l’axe Sino-Russe, la montée des tensions va se poursuivre, le conflit ukrainien ne constituant qu'une étape de cette nouvelle
cartographie géo-politique. C'est ainsi que la Russie n'a pas hésité à bombarder une base proche de la frontière polonaise servant de camp d’entraînement pour les "mercenaires" venus
soutenir l’Ukraine, et de point de livraison des armes envoyées par l’Otan à l’armée ukrainienne et qui font tant de dégâts dans les colonnes de chars russes. De son côté, l'Iran a bombardé
avec 12 missiles balistiques une base américaine en Irak du côté d’Erbil, une base où s’entraîneraient des agents du Mossad israéliens.
Le soutien actif affiché de la Chine à la Russie augure bel et bien d'un virage dans le rapport de forces entre grands et puissants de ce monde, autrement dit entre l’Est et l’Ouest,
notamment la primauté du "roi Dollar", l'Europe et ses 27 Etats membres incapables de s’entendre n'apparaissant que comme une partie du gâteau sinon festin des trois mastodontes.
* La conférence de Yalta est une réunion des principaux responsables de l'Union soviétique (Joseph Staline),
du Royaume-Uni (Winston Churchill) et des États-Unis (Franklin D. Roosevelt) qui s'est tenue en février 1945 en Crimée. Ses buts étaient
d'adopter une stratégie commune afin de hâter la fin de la Seconde Guerre mondiale, de régler le sort de l’Europe après la défaite du Troisième Reich, et de garantir la stabilité du nouvel ordre
mondial après la victoire.
De manière moins visible, il s'agit de la résistance de la Russie et de la Chine contre l’arrogance prédatrice de l’empire états-unien, en d'autres termes d'une guerre économique, culturelle,
civilisationnelle pour la survie de l’Humanité visant à mettre un terme au transhumanisme, à la déculturation (notamment des valeurs chrétiennes) et à l’asservissement des peuples par la haute
finance occidentale dont l'Union européenne est un rouage majeur. Quelle meilleure preuve que l’intégration de bataillons nazis dans la Garde nationale ukrainienne et le silence de l’Union
Européenne par ses chiens de garde ? Les nazis sont bel et bien le bras armé des prédateurs !
Le bras de fer est désormais engagé entre la Russie et la Chine avec les États-Unis et de son vassal européen* que ces deux empires veulent marginaliser pour l'établissement d'un nouvel
ordre mondial, la décision des autorités chinoises en mars 2022 de restreindre à son tour les visas de certains responsables américains allant en ce sens, de même que la facturation de son
gaz par la Russie en rouble en réponse aux mesures de sanctions économiques occidentales, qui donne un indice désastreux sur la confiance en la monnaie occidentale (dollar ou euro), revenant à
partager le pouvoir monétaire dans un nouveau système monétaire dans le cadre d’un nouvel ordre mondial ! C'est un nouveau pas franchi par le joueur d'échecs du Kremlin vers la
dédollarisation, menace vitale pour les USA, car révélant que ces derniers sont financés par le monde entier, ou presque, le dollar étant un stock de pouvoir qui a été accumulé et qui
produit des rentes en continu puisque contribuant au pouvoir de prélèvement des Etats-Unis sur les richesses mondiales. Mais, en le militarisant, ceux-ci réduisent la durée de vie de
leur rente! (la chute de ces monnaies - dollar et euro - touchera plus durement ceux qui se reposent le plus dessus, tandis que les plus isolés, ceux qui en détiennent le moins, seront les plus
protégés*²). Ou comment conduire l'aigle à tomber de son piédestal de monnaie internationale dans les griffes de l'ours et du tigre...
* Par ses guerres incessantes depuis 1914, l’Europe s’est considérablement affaiblie, tant culturellement (immigration, communautarisme, prévalence de l’UE….),
économiquement (idéologie de la mondialisation heureuse), militairement (dépendance à l’OTAN, de ce fait aux USA).
*² Le dollar américain et dans une moindre mesure l’euro restent dominants dans les paiements internationaux, le dollar représentant un peu plus
de 40% de la valeur des échanges, et l’euro 36%. Loin devant la livre sterling (6%), le yuan ou renmibi et le yen (environ 3% chacun). Quant à la part des réserves détenues en dollars américains par les banques centrales, elle a chuté de 12 points de pourcentage depuis le début du siècle, passant de 71% en 1999 à 59%
en 2021, cette baisse étant accompagnée d’une hausse de la part de ce que le FMI appelle les "monnaies de réserve non traditionnelles"
(dollar australien, dollar canadien, renminbi chinois, won coréen, dollar de Singapour, couronne suédoise) autresque
les "quatre grands" (Big Four) que sont le dollar américain, l’euro, le yen japonais et la livre sterling.
Et c'est l'issue de cette guerre russo-ukrainienne qui en décidera, et ce quelles que soient les sanctions économiques décidées à l'encontre de la Russie compte-tenu du rapport de force
économique en place, les divergences idéologiques très profondes se traduisant en divergences d’interprétation ou de réinterprétation des conflits diamétralement opposées de la guerre en Ukraine.
Une nouvelle bipolarisation croissante du monde, après celle de la guerre froide au XX° siècle et son rideau de fer*, est bel et bien en marche, avec toutes ses volontés destructrices
de domination et de puissance.
*La guerre froide est le nom donné à la période de fortes tensions géopolitiques durant la
seconde moitié du XXᵉ siècle, entre d'une part les États-Unis et leurs alliés constitutifs du bloc de l'Ouest, et d'autre part l'Union des républiques socialistes soviétiques et ses États
satellites formant le bloc de l'Est.
Perspective
Les tyrans mondiaux sont terrifiés par le réveil de masse qui s’accélère. En effet, plus les gouvernements déchaînent la coercition, la violence et le terrorisme
pur et simple contre leurs propres citoyens – comme le Canada qui vole des fonds bancaires à des manifestants innocents et pacifiques sous couvert de loi d'exception dite d’État d'urgence –, plus
vite se répand la prise de conscience que les gouvernements sont désormais les vrais terroristes du monde.
Il en découle que l’institution la plus dangereuse d'un pays est probablement son propre gouvernement. C'est l'enseignement majeur de la crise sanitaire Covid-19,
que nous vivions aux États-Unis, au Canada, en France, en Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni, en Australie, en Nouvelle-Zélande, etc. Leurs gouvernements se sont en effet tous tournés vers le
terrorisme et la tyrannie pour tenter d’écraser la dissidence, et d’atteindre sous couvert de pseudo protection les jalons de l’extermination massive dirigée par les mondialistes du
dépeuplement.
Toutefois, une fois la masse critique de l’éveil atteinte, cette cabale mondialiste est appelée à être dépassée en nombre par des citoyens du monde mieux informés,
courageux et déterminés, et pro-liberté, appelés à démanteler alors la grille mondiale de la planète prison en éliminant notamment les tyrans du pouvoir.
Une fois que cela se produira, des choses étonnantes arriveront, telles que la libération de technologies interdites qui ont maintenu l’humanité en esclavage
pendant des siècles, comme la technologie énergétique gratuite ou des technologies médicales/de guérison avancées.
L’avenir de la nouvelle race humaine - la sixième - et de ses peuples est un avenir sans gouvernements centralisés pour régner, sans monnaies fiduciaires, sans
monopoles de Big Pharma et sans autorités gouvernementales corrompues. C’est un avenir de pouvoir local et populaire combiné à la décentralisation de tout : la nourriture, l’argent, la médecine,
le gouvernement, le savoir, la technologie et plus encore.
En attendant, pour essayer de piéger l’humanité dans le chaos et le désespoir, les mondialistes par le relais de leurs sbires de l’État profond prévoient
actuellement de déclencher des cyberattaques sous fausse bannière contre l’infrastructure financière, le réseau électrique et les systèmes de télécommunications. C'est pourquoi il convient de se
préparer à tout, sans perdre de vue que ces actes de désespoir profond sont des signes de faiblesse, pas de force. C’est "juste" une question de combien de morts et de souffrances l’humanité
devra endurer sur le chemin de ce résultat.
Les temps présents ne sont plus ceux de la concertation mondiale ni de la coopération, mais plutôt ceux de la préparation de la guerre. La recherche de l’harmonie a fait long feu, comme
cela était prévisible, car cette recherche repose sur des préjugés philosophiques idiots comme ceux que l’homme est bon, généreux, rationnel, qu’il aime son prochain et qu’il est désintéressé.
Toute l’histoire depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale prouve le contraire, tout comme l’échec patent des organisations internationales d’accomplir leur mission.
Le point relais de cristallisation destructeur
De l'autre côté du globe, en Amenta (l'Atlantide de l'Est), les programmes de pensée des peuples galactiques prédateurs inscrits dans la génétique nazie étaient principalement transportés par les
ethnies aryennes, qui composent la majeure partie des descendants de la civilisation atlante. Elle compose de nos jours la quasi-totalité de la civilisation de "race" blanche actuelle, ce terme
étant farouchement récusé au nom du génome caractérisant la race humaine pour les scientifiques. C'est ce génome nazi (l'anti-Kiristos), principalement implanté parmi la population anglo‑saxonne
des États-Unis et du Royaume-Uni d'aujourd'hui, qui est en train d'être réactivé par les conservateurs "autoritariens"* de ces États et leurs agences occultes (CIA, National Security
Agency &Federal Bureau of Investigation pour les États-Unis; Secret Intelligence Service &Military Intelligence 6 pour l'Angleterre), succursales
opératrices à la botte des prédateurs trans-dimensionnels dans notre monde contemporain de 3ème densité avec pour relais le sionisme, soit une infiltration politique du peuple Juif depuis la fin
du XIX° siècle à des fins de manipulation*²...
Le résultat est que les stratégies anglo-saxonnes mises en oeuvre depuis deux décennies ont précipité des vagues d'extrémisme et par là-même de terrorisme dans nombre d'Etats du Proche et du
Moyen-Orient (Irak, Syrie, Lybie, Yemen...), et forcé la migration d’innombrables réfugiés. Le but est de pousser la partie orientale concernée au bord d’une guerre majeure destinée à assurer la
perte ou l’affaiblissement du statut d’État de ces pays.
Si de tout temps le Moyen-Orient est une région source d'instabilité, marqué par des tensions, rivalités et guerres fratricides, c'est qu'elle est une terre
d'accueil par le vortex trans-dimensionnel constitué (ouverture entre deux espace-temps dimensionnels) des survivants de l'Atlantide, prolongeant ici bas leur modèle prédateur orienté "Service de
Soi". Nous pouvons d'autant mieux comprendre le pourquoi de l'incessant conflit politico-religieux entre l'Iran (drapeau de la photo 1) et l'Irak (photo 2) en terre d'islam, avec ses extensions
en Syrie (photo 3) et en Israël (photo 4), sans oublier la Palestine, terre historique des Hébreus (photo 5).
Si les occidentaux, notamment les Anglais, veulent éviter l’embrasement du Proche-Orient, c'est en raison du risque de blocage du Détroit d’Ormuz*, point de passage obligé de tous les
supertankers de la planète garantissant l'approvisionnement des biens et marchandises nécessaires au bon fonctionnement de l'économie. Ainsi se pose la question de savoir ce que fera l’Iran
? Il pourrait ouvrir un front dans le Golfe Persique, et couper notamment l’approvisionnement en pétrole du monde...
* Le détroit d'Ormuz est un détroit reliant le golfe Persique au golfe d'Oman qui doit son nom à l'île iranienne Ormuz. Les pays frontaliers sont l'Iran au
nord, le sultanat d'Oman et les Émirats arabes unis au sud.
Flash-back civilisationnel
Il y a 3 000 ans environ, les Aryens descendants des Anunnaki de l'ère sumérienne, en provenance de l'Inde à l'origine, quittèrent leur territoire d'implantation en
Asie centrale, pour émigrer vers le Nord et s'installer vers ce qui est devenu l'Iran et l'Irak modernes, le Moyen-Orient, et dont les habitants actuels sont de ce fait les descendants. Au milieu
du VI° siècle av. J-C., ces ethnies aryennes s'allièrent afin de repousser les Sémites émigrés de l'Amenti huit siècles auparavant, et fondèrent un grand État, l'empire achéménide autrement
appelé Perse, et qu'ils nommèrent plus spécifiquement Iran et Irak (Ir-An signifiant littéralement "le pays des Ir's (de ceux) d'AN", c'est-à-dire le pays des Aryens, Ir-Ak
signifiant de son côté "ceux d'Akkad et de Sumer").Les Aryens, soit des hybrides humains-Anunnaki, adoraient les esprits du feu, du soleil, de la lune, des
quatre saisons, et vouaient un culte aux dieux du Tonnerre et du Soleil. Ils possédaient la culture de la guerre. De même, ils croyaient à des démons de mauvais augure qui luttaient contre les
forces du bien et causaient le malheur des hommes. La société aryenne était centrée autour de la figure patriarcale du père de famille, qui était en même temps juge et chef religieux, à
l'opposédes colonisations dites matristes ou matriarcales, qui avaient jusqu'alors vécu paisiblement le long des rivières
dans les vallées de l’Asie Centrale, en Mésopotamie et en Afrique du Nord. En transposant leurs gènes agressifs, ils corrompirent le matrisme sémite par unchangement de système se trouvant tant dans le renversement des valeurs que la réécriture des mythes comme des
lois sacrées par les prêtres d’un clergé masculin autoritaire. Ainsi les prêtres hébreux, qui ont réécrit l’Ancien Testament en s’appuyant sur les mythes mésopotamiens et cananéens, qui voient
les femmes libres comme des menaces pour toute la structure sociale et économique rigide, pyramidale, dominée par les hommes*.
Puis vint le prophète Zoroastre (Zarathushtra ou Zarathoustra), dont la datation est difficile. Ilprêchait un dualisme
reposant sur la bataille entre le bien et le mal, la lumière et les ténèbres, ces deux énergies contraires coexistant d'après lui dans l'esprit de chaque être vivant. Le zoroastrisme devint alors
la première religion monothéiste qui proclamait que Dieu était créateur du ciel et de la terre, et qu'il conduisait la mise en ordre du chaos des origines. Le zoroastrisme se présente donc comme
une réforme de la religion pratiquée par des tribus iraniennes qui étaient étroitement apparentées aux Indo-Aryens (lesquels ont apporté le sanskrit et toutes ses langues dérivées en Inde du Nord
à partir de l'an 1.700 avant l'ère chrétienne), peuples formant une famille dite Indo-Iranienne qui constitue les premières ramifications du nazisme trans-dimensionnel dans notre 3ème densité de
réalité.
Ainsi se sont transposés dans la 3ème dimension terrestre les conflits trans-dimensionnels entre Nazis et Sémites de 4ème densité, sources des guerres entre peuples
ou entre nations humaines, et qui sont reflétés de la 4ème densité par des phénomènes géo‑climatiques extrêmes et meurtriers sur notre planète*², qualifiés d'anthropocosmiques.Il en découle que les Aryens nazis et les Sémites ne pourront vivre en paix en 3ème densité tant que chacun de ces groupes n'aura
résolu les lignes karmiques (le schéma bourreau/victime) leur interdisant une cohabitation pacifique. Mais comme les cycles temporels se répètent à l'infini, cela ne pourra être le cas en 3ème
densité. Tout au plus, l'humain instaurera des trêves lors des basculements de cycle, connues comme étant les Satya Yugas ou les Âges d'Or qui succèdent à chaque fin de
civilisation.
Si la situation géopolitique de cette nation incarnant la puissante civilisation mésopotamienne antique présentait un objectif de contrôle incontournable pour le
"gendarme" du monde états-unien, au même titre que la sécurisation de ses réserves pétrolifères, un autre facteur d'extrême importance a conduit à l’enclenchement du conflit démarré en 2003 et
qui s'étala jusqu'à 2011. Il se nomme Babylone, cette ville antique mythique située au sud de l'actuelle capitale Bagdad. Durant les années soixante et soixante-dix, les équipes archéologiques
irakiennes avaient entrepris à l'initiative du président Saddam Hussein (1937/2006) - qui se présentait parfois comme le successeur des grands souverains de jadis Hammurabi et Nabuchodonosor - la
restauration du temple de la déesse-mère sumérienne Ninmah et de la porte de la déesse vénérée Ishtar (avatar d'Isis l’Égyptienne). Ainsi le site de Babylone redevenait le symbole de grandeur de
la nouvelle Babylone, l'Irak, et de son dirigeant suprême qui pouvait alors se prévaloir de cette force énergétique logée dans l'inconscient collectif, amplifiée par l’exhumation du féminin
sacré. Chose bien entendu inconcevable pour les nouveaux magiciens noirs babyloniens occidentaux. Les prédateurs se dévorent également férocement entre eux !
C'est ainsi que l'armée américaine a volontairement négligé, après la prise de la capitale irakienne, la protection du musée archéologique de Bagdad dont les
collections couvrent 7000 ans d'histoire (elles sont estimées à plusieurs milliards de dollars), et qui ont pillées dans l'établissement, la Bibliothèque nationale ayant été quant à elle
incendiée, alors même que les articles de la Convention de la Hague de 1954 et la Convention de l'UNESCO de 1970 obligent les forces occupantes à protéger les biens culturels. Les militaires de
la coalition américano-britannique n'ont protégé contre les pillages que les quartiers généraux des ministères irakiens de l'Intérieur et du Pétrole !
La mise en œuvre de la Jérusalem céleste, ou l'ingénieux programme de prise de contrôle de la planète
Dans la mesure où seuls les peuples sémitiques de par leur lignée christique peuvent déjouer le plan machiavélique établi des Forces sombres, le scénario ultime du
consortium prédateur et de ses relais terrestres inféodés est d'essayer par tous les moyens de détruire cette génétique sémitique, la seule susceptible de développer en son êtreté le Kiristos
libératoire de la matrice cyclique entropique - l'Ouroboros prédateur -, le Monde de la Mort, et dont les représentants porteurs dispersés à travers la planète sont soutenus par les Forces
planificatrices évolutives de la 4ème densité de conscience.
C'est ainsi que la fondation suivie de la construction d'Israël en 1948*, État complètement artificiel reposant sur des textes "sacrés" dévoyés, ont été financées
puis dirigées par les descendants d'une lignée aryenne collaborant, car gouvernés directement par les entités prédatrices de 4ème densité de nature "Service de Soi", celles-ci tirant les ficelles
de ce scénario mortifère. Il en résulte que tout ce qui concerne l'Etat d'Israël contemporain est faux, cette nation entièrement synthétique ayant été créée sans tenir compte des
mouvements socio-politiques organiques de la terre et de son peuple, et posée sans racines sur une ancienne civilisation préexistante aux racines profondes. C’est pourquoi elle ne peut exister
sans être artificiellement soutenue par une propagande ininterrompue, du lobbying, des opérations d’influence en ligne et de la violence militaire en masse…
Il en découle depuis les incessants conflits entre juifs, musulmans et chrétiens de l'ère actuelle, source de divisions et d'actes sanglants, accentués par le long
dépeçage territorial du peuple palestinien sacrifié à l'autel des prédateurs psychopathes manipulateurs opérant (Cf cartographie ci-dessus), que ce soit à l'intérieur du pays (sur les 10 millions
d'habitants d'Israël, 74% sont Juifs, 21% Arabes et le reste étant des minorités comme les Druzes ou les Chrétiens) ou à l'extérieur avec les pays voisins (Egypte, Syrie, Jordanie,
Liban).
* La déclaration d'indépendance d'Israël a été prononcée le 14 mai 1948 par
l'homme d'ÉtatDavid
Ben Gourionà l'origine David Grün (1886/1973), qui pose comme
principe fondateur que l'État d'Israël sera ouvert à l'immigration des Juifs de tous les pays de leur dispersion.
Réalité palestinienne (1)
Le territoire originel palestinien - le "pays de Canaan" biblique - au moment de
l'implantation de ce qui allait devenir l'Etat d'Israël était placé depuis 1920, par décision de la Société des Nations (l'ancêtre de l'Organisation des Nations Unies), sous protectorat anglais.
Cette puissance mandataire a pour mission defournir "une assistance et des conseils d’ordre administratif" et, comme annoncé dans la Déclaration Balfour* de
1917, agit pour l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif. Il en découle qu'entre 1922 et 1947, des juifs venus essentiellement d’Europe de l’Est (ashkénazes) immigrent
massivement en Palestine sous mandat, en particulier pendant les persécutions nazies des années 1930. En 1937, sur fond de revendications d’indépendance et d’opposition à l’immigration, la
population arabe se révolte. Le territoire entre alors dans un cycle de terrorisme et de violence, alimenté par les deux parties, ce qui depuis n’a jamais pris fin.
Le Royaume-Uni réfléchit alors à différents moyens d’amener ce territoire ravagé par la violence à l’indépendance et, en 1947, décide de confier le problème de la
Palestine à l’Organisation des Nations Unies. Le 29 novembre 1947, un plan de partage est élaboré par le Comité spécial des Nations unies sur la Palestine, créé par l’Assemblée générale de l'ONU,
et est approuvé par cette dernière à New York (résolution 181). Il divise la Palestine entre un Etat juif et un Etat arabe, le premier sur 56% du territoire et le second avec 755 000 individus
dont 10 000 Juifs, Jérusalem se voyant doter d'un statut international. Les dirigeants du mouvement sioniste acceptent ce plan, tandis que les Arabes palestiniens et les Etats arabes le
refusent.
C'est la première guerre israélo-arabe (1948-1949) qui va permettre à l’Etat hébreu victorieux d’élargir son territoire, et il n'aura de cesse par la suite de
l'agrandir toujours plus (Cf. cartographie ci-dessus), considérant qu'il s'agit de la terre naturelle du peuple juif octroyée par Yahvé, leur Dieu le Tout Puissant.
* La Déclaration Balfour de 1917 est une lettre ouverte signée par Arthur Balfour, secrétaire d'État britannique aux Affaires étrangères, et adressée à Lord
Lionel Walter Rothschild (1868-1937), personnalité éminente de la communauté juive britannique et financier du mouvement sioniste.Par cette lettre,
le Royaume-Uni se déclare en faveur de l'établissement en Palestine d'un projet national présenté comme "un foyer national pour le peuple juif". Cette déclaration est considérée comme une des
premières étapes dans la création de l'État d'Israël.
Réalité palestinienne (2)
Jérusalem étant désormais placé sous régime international, l’État juif prend à l'issue de cette première guerre victorieuse le contrôle de 77 % du territoire de la
Palestine, notamment de la majeure partie de Jérusalem. Plus de la moitié de la population arabe palestinienne s’enfuit ou est expulsée. La Jordanie et l’Égypte se partagent alors le contrôle du
reste des territoires assignés à l’État arabe,la bande de Gaza, la Cisjordanie et Jérusalem-Est. Lors de la guerre de
1967, Israël va occuper ces territoires, et annexera Jérusalem-Est.
La guerre provoque un deuxième exode palestinien, près d’un demi-million de personnes prenant la fuite. Le Conseil de sécurité de l'ONU pose alors les principes
d’une paix juste et durable, à savoir le retrait d’Israël des territoires occupés lors du conflit, un juste règlement du problème des réfugiés et la cessation de toutes assertions de belligérance
ou états de belligérance. En 1974, l’Assemblée générale réaffirme les droits inaliénables du peuple palestinien à l’autodétermination, à l’indépendance, à la souveraineté et au retour, créant
l’année suivante un Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien. En outre, elle invite l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à participer à ses travaux et à
ceux des grandes conférences des Nations Unies en qualité d’observatrice.
Mais peu favorable à la création d'un État palestinien, seule solution pour envisager la pacification des deux opposants culturels,Israël envahit en 1982 le Liban dans l’intention déclarée d’éliminer l’OLP, dont les forces se retirent de Beyrouth pour être transférées dans les pays voisins. Malgré les
garanties données concernant la sécurité des réfugiés palestiniens restés sur le territoire libanais, des massacres à grande échelle seront perpétrés dans les camps de Sabra et Chatila. Là
encore, la Conférence internationale sur la question de Palestine va s'attacher en 1983 à adopter des principes comme la nécessité de s’opposer à l’implantation de colonies de peuplement par
Israël et aux mesures prises par ce dernier pour modifier le statut de Jérusalem, et le droit à l’existence de tous les États de la région à l’intérieur de frontières sûres et internationalement
reconnues et la réalisation des droits légitimes inaliénables du peuple palestinien. Las, l’année 1987 marque le début d’un soulèvement de masse appelé l’Intifada contre l’occupation israélienne
dans le Territoire palestinien occupé. Les méthodes employées par les forces israéliennes feront en représailles de nombreux blessés ou morts parmi la population civile palestinienne, ravivant la
haine à leur encontre.
La création de l’État de Palestine, à nouveau réaffirmée en 1988 par le Conseil national
palestinien, voit toutefois la mise en route d'un nouveauprocessus de paix destiné à parvenir à un règlement pacifique et à la reconnaissance mutuelle entre
le Gouvernement d’Israël et l’OLP en tant que représentante du peuple palestinien. Mais si en 1993 est signé l'Accord d'Oslo concernantdes arrangements
intérimaires d’autonomie qui conduisent notamment au retrait partiel des forces israéliennes ainsi qu'à la création d'une Autorité palestinienne préfigurant l'Etat palestinien à venir, d'autres
négociations organisées en 2000 à Camp David et en 2001 à Taba n’aboutissent pas. Car la seconde Intifada se déclenche, en réponse notamment au massacre d'Hebron ou massacre du Tombeau des
Patriarches par un nationaliste religieux extrémiste en 1994, ce qui conduit Israël à ériger en Cisjordanie un mur de séparation dont l’essentiel du tracé empiète sur le Territoire palestinien
occupé, projet qui sera jugé illégal par la Cour internationale de Justice.
Les efforts se poursuivent cependant pour aboutir à la création de deux États. En 2005, Israël rappelle ainsi ses colons et retire ses forces de Gaza, tout en
maintenant le contrôle des frontières, des côtes et de l’espace aérien gazaouites. Mais en 2007, le Hamas, dont la création a été financée par l’État d'Israël pour contrer la prédominance du
Fatah, le parti politique nationaliste palestinien fondé par l'emblématique Yasser Arafat, prend Gaza au Fatah par les armes, ce qui conduit Israël à imposer un blocus sur la zone. Un nouveau
cycle de négociations s'ouvre en 2010, et en 2011 le Président palestinien Mahmoud Abbas successeur d'Arafat présente la demande d’admission de la Palestine à l’Organisation des Nations Unies,
avant que la même année un nouveau cycle de violence oppose Israéliens et Palestiniens à Gaza. En 2017, l’administration américaine annonce la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël,
avant en 2020 de négocier des accords pour normaliser les relations entre Israël et les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Soudan et le Maroc ("accords d’Abraham"). Si en 2022 l’Assemblée générale
des Nations Unies demande à la Cour Internationale de Justice de rendre un avis consultatif sur la légalité de l’occupation israélienne prolongée qui a commencé en 1967, l’année 2023 voit une
nouvelle série de combats entre Israël et le Hamas soutenu par l’État islamique (aussi appelé Daech), organisation terroriste politico-militaire d'idéologie salafiste djihadiste, le point
culminant étant la journée du 7 octobre et son tragique bilan humain (1 200 innocents) à l'initiative du Hezbollah, un des plus lourds à ce jour enregistré*. La réplique d'Israël depuis fut
encore plus cruelle, voyant le bombardement intensif de Gaza et se traduisant par des enfants opérés en masse sans anesthésie, des souffrances abominables pour les enfants, les femmes, les
civils, des exactions, et une population en permanence soumise à des ordres d'évacuation rendant la vie intenable dans cette prison à ciel ouvert. Le tout assorti d'une propagande raciste bien
relayée par les médias occidentaux, expliquant implicitement que les Palestiniens étant arabes, et que les Arabes étant par nature de fourbes terroristes islamistes, tout Palestinien désarmé tué
par un sniper de l'armée israélienne a bien mérité son sort.
Question : qui a vraiment intérêt à la poursuite de cette lutte fratricide, notamment à la réalisation de l'objectif militaire et non politique d'éradiquer le Hamas
constitutif d'une impasse ? Et comme entretemps, les territoires palestiniens se sont considérablement amoindris, l'absence d'unicité territoriale est devenue plus que jamais improbable sinon
impossible pour la création d'un État palestinien à part entière. Il en découle qu'Israël de son côté demeure au regard du droit international un État hors-la-loi, dans la continuité
ininterrompue de son appropriation vorace des proto États palestiniens (bande de Gaza et Cisjordanie, celle-ci étant dénommée par l'État d'Israël Judée-Samarie depuis décembre 1967), servi pour
ce faire par sa démographie croissante, tout particulièrement chez les Juifsultra-orthodoxes, les haredim ou
"craignant-Dieu", et bénéficiant tant du soutien de son puissant allié protecteur américain que de la complaisance des autres puissances occidentales, l'Union européenne et sa Présidente Ursula
von der Leyen non élue en tête.
* Au total depuis 2008 et avant 2023, le Bureau pour la coordination des affaires militaires (OCHA) a recensé côté palestinien 5 600 tués et 115 000 blessés, et
côté israélien 250 tués et plus de 5 600 blessés. Ce bilan s'est considérablement accru de par et d'autre depuis.
Ce tour de passe-passe à caractère génocidaire passe par une manipulation constante de l'opinion planétaire orchestrée par les maîtres artificiers institutionnels, radicaux religieux et
médiatiques aux commandes, les soi-disant experts dupés n'y voyant que du feu tant ils s'appuient sur des croyances et conditionnement qu'ils n'ont jamais réinterrogés.
Il repose sur le constant rapport de force (notamment plus de 100 000 soldats et 400 000 réservistes s'appuyant sur un matériel de guerre conséquent) et la capacité à le mettre rapidement en
œuvre de manière violente pour décourager toute tentative d'opposition*, conjugué à une culture du statu quo dans l'établissement des accords de partage, la construction d'alliés de circonstance
(Égypte, Irak, Turquie), la division de l'ennemi (Hamas vs Fatah), et bien sûr l'infiltration de l'idéologie sioniste dans la politique américaine - l'ami protecteur - (Israël tout comme son protecteur américain dirigé par les faucons sionistes a pour substance existentielle besoin de conflits, de sang et de guerres)*². Sans oublier la corruption financière comme sexuelle et les menaces de chantage qui y sont liées par les services secrets dédiés et experts aux basses
œuvres. C'est pourquoi, surarmé et détenant la plus puissante armée conventionnelle de la région alors qu'il ne dispose que d'un tout petit territoire sans réelle
protection naturelle stratégique, il ne veut pas d'un voisinage doté de moyens de défense, qui plus est sur le territoire qu'il considère comme légitime et seul autorisé divinement parlant à
administrer.
Après la tentative d'élimination grande échelle du groupement militaire islamique qualifié de terroriste de la branche politique du Hamas à Gaza, et de l'élimination
en août 2024 à Téhéran de son chef politique Ismail Haniyeh venu assister à la cérémonie de prestation de serment du nouveau président iranien, Israël a enclenché en septembre 2024, avec le soutien des Etats-Unis son allié indéfectible, une nouvelle phase de la guerre en déchaînant
contre les intérêts iraniens l’enfer sur le Sud-Liban avec une bombe mystérieuse géante (de type "bunker-buster" pour pénétration de cibles fortifiées ou enterrées en profondeur,
voire bombe nucléaire tactique), l’une des plus grosses qu’il ait jamais utilisées. Les jets israéliens ont ainsi pilonné les positions du Hezbollah sur 400 points par des tirs de roquettes, ce
qui constitue leur plus grand échange de tirs depuis le début de la guerre contre Gaza. Les images qui ont largement circulé montrent un grand éclair et une boule de feu de la taille d’un
gratte-ciel, ce qui a amené certains téléspectateurs à penser qu’il s’agissait probablement d’une bombe lourde. Quoi qu’il en soit, rien de tel n’avait jamais été utilisé à ce jour au Liban. En
représailles, l'Iran a répliqué par 200 à 400 tirs de missiles balistiques, les cibles étant apparemment limitées à des installations
militaires et de renseignement, et non à des centres civils (certains missiles - les missiles hypersoniques Fatteh-2 - ont touché notamment la base aérienne
israélienne de Nevatim, l’une des plus grandes et des plus importantes bases aériennes d’Israël), et ce en dépit du dôme de défense protecteur (dit Dôme de fer) prétendu infranchissable et des
principaux intercepteurs antimissiles d’Israël nommés Arrow et David’s Sling...
* Il s'agit de l'application de la doctrine belliciste du "chien enragé" établie parle généralMoshe Dayan (1915/1981), militaire vainqueur de la campagne de Suez en 1956 et de la guerre de Six Jours de 1967 et
homme politique israélien,selon laquelle "Israël doit toujours apparaître comme un chien enragé, trop dangereux pour
les autres".
*² Par exempleles États-Unis et Israël sont les deux seules nations à
avoir voté en 2023 contre larésolution de l'Assemblée générale des Nations unies (AGNU) appelant Washington à mettre fin au blocus économique qu’il
impose à Cuba depuis des décennies, celle-ci ayant été adoptée pour la 31e fois à quasiment l'unanimité des 187 autres nations présentes lors du vote (l’Ukraine a été le seul membre à
s’abstenir).
Il en découle l'inextricable chaos qui se joue à chaque instant, préalable à la "moisson des âmes" de cette fin de cyclicité civilisationnelle profondément viciée. C'est bel et bien une guerre
sans fin et ce depuis 12 000 ans, suite à celle qui prévalait dans la civilisation atlante, entre les êtres humains héritiers "génétiques" de races galactiques ennemies, qui n'est que la
conséquence d'une boucle karmique qui s'achève à l'occasion du passage par l'Onde de changement en cours de la cinquième civilisation humaine à la sixième. Autrement dit, la guerre fratricide
entre les trois enfants mâles héritiers selon l'histoire racontée de Noé - Cham, Sem et Japhet -, dont les prétendus descendants sont reliés à l'une des religions du Livre. Une boucle de
rétroactivité karmique propre au jeu de la Mort des "dieux" prédateurs de l'Astral* !
En juin 1099, les croisés chrétiens, menés par le chevalier franc et duc de Basse-Lotharingie Godefroy de Bouillon (1058/1100), assiègent Jérusalem. Un mois plus tard, ils attaquent et saisissent la ville. Sans retenue… Ayant le pouvoir de vie ou de mort
sur les habitants de la ville, ils choisissent la mort. La Gesta Francorum* relate la bataille : "Nos hommes tuaient et massacraient tout le monde, jusqu’au temple de Salomon, où le
massacre était si grand que nos hommes pataugeaient dans le sang jusqu’aux chevilles." Raymond d’Aguilers dit que le sang leur montait "jusqu’aux genoux". Fulcher de Chartres ajoute
qu’"aucun d’entre eux ne restait en vie ; ni les femmes ni les enfants n’étaient épargnés".
Les massacres étaient fréquents dans l’Antiquité. Mais il y avait des exceptions. En 1187, Saladin, le grand chef musulman, reconquiert Jérusalem. Il n’y eut pas de
meurtres, pas d’effusion de sang, pas de pillage. "Partout, écrit John Julius Norwich, l’ordre a été préservé."
On pourrait espérer que neuf siècles plus tard, un certain progrès dans les affaires humaines pousserait les dirigeants à imiter Saladin plutôt que Godefroy. Mais
jour après jour, les femmes et les enfants de Gaza – sans parler des hommes – paient de leur vie le péché d’un autre…
* La Gesta Francorum et aliorum Hierosolimitanorum ou Histoire anonyme de la première croisade dans sa traduction française est un récit anonyme de la première
croisade écrit en 1099 et 1101 par un chevalier ayant pris part à la croisade. Ce document constitue l'une des rares sources originales narrant cet événement.
La montée du sionisme moderne, dédié au retour des Juifs en Terre promise et symbolique de l'accomplissement des antiques prophéties messianiques (Ezéchiel, Isaïe II, Jérémie, etc.) qui
associaient à l'espoir du retour à Sion/Jérusalem les tribus des Hébreux dispersées lors de l'exode hors d'Égypte sous la conduite de Moïse, a ainsi explicitement été déclenchée pour détruire la
tradition spirituelle juive sémite de nature positive, évolutive, visant à réduire sinon éteindre le "judaïsme sioniste" consacré à la décadence par son culte voué à la possession des terres, à
faire couler le sang et à se repaître de violences*. C'est tout le sens de l'allocution du Premier Ministre israélien Benyamin Netanyahou prononcée fin octobre 2023 à la veille des représailles
envisagées contre le HAMAS suite à son action sanglante du 7 octobre, invoquant la lutte du "peuple de la lumière contre le peuple des ténèbres" ("Nous sommes le peuple de la lumière,
eux sont le peuple des ténèbres") afin de réaliser la prophétie d’Isaïe qui, dans l’une des trois parties de son Livre rédigé entre -700 et -680 av. J.-C., commande aux Juifs de reprendre leurs
terres après l’exil (Esaïe est synonyme de "Dieu sauve ou libère").
Si l’attaque des Palestiniens de Gaza contre les Israéliens, ainsi que les frappes de riposte*² des Israéliens sur Gaza conformément au proverbe "oeil pour oeil, dent pour dent" trouvent leurs
racines dans de longues traditions, des choix politiques, la peur, la haine, la politique du Proche-Orient et la cruauté de l’humanité, cet "Arggamedon" bénéficie de l'appui du "sionisme
chrétien"* rallié à la cause du sionisme hébraïque, et ce conformément aux soi-disant promesses bibliques faîtes à Israël par le faux Dieu vénéré consistant à hériter de la terre qui s'étend de
l'Égypte à l'Euphrate (Genèse 12-15). Ce retour sanglant en Terre Sainte signifie tout simplement l'entrée de l'humanité dans les temps de la fin de cette civilisation humaine déchue car
profondément corrompue, viciée.
Car désormais, la cible d'Israël est la conquête du Liban, base du Hezbollah, le parti politique chiite et groupe paramilitaire lié à l’Iran, avec au passage la neutralisation des forces des
Houthis, ce groupe armé du Yémen issu de la minorité musulmane chiite du pays soutenu également par l'Iran. Passé à l’offensive fin septembre 2024, son objectif est la conquête du sud Liban, avec
des centaines de frappes sur des cibles militaires qui ont tué le chef de la force d’élite Radwan du Hezbollah, Ibrahim Aqil, d’autres hauts commandants, et comme clou final son chef depuis 1992,
le secrétaire général et guide religieux Hassan Nasrallah dans son complexe souterrain à Beyrouth, suivi quasiment dans la foulée de Yahya Sinouar qui avait été nommé à la tête du mouvement
palestinien Hamas après l'assassinat d'Ismaël Haniyeh (il était considéré comme le cerveau du 7 Octobre). Selon l'autopsie israélienne pratiquée, il est mort d’une blessure par balle à la tête...
Elles ont en outre entraîné un déplacement massif de population (au moins 1 millions d'individus), rajoutant au chaos déjà existant au Liban, qui plus est avec le choix de bombarder Baalbek,
considérée comme "la ville des temples la plus magnifique du monde" pour ses temples intacts de l’époque romaine. Ce nouveau crime de guerre contre l'humanité de Tsahal après les opérations à
Gaza et en Cisjordanie, n'est rien d'autre qu'une opération de purification ethnique, malgré le déni d'une grande partie de la communauté internationale occidentale et le silence glaçant d'une
grande partie du monde arabe devant cette folie eschatologique. Jusqu'à quand ?
Toujours est-il qu'au-delà du risque d'une guerre plus large au Moyen-Orient, qui pourrait impliquer les Etats-Unis, les conséquences sont économiques. Le monde occidental se dirige clairement
vers une récession, l'accentuation de cette guerre au Moyen-Orient étant amenée à faire grimper le prix du pétrole, peut-être de manière spectaculaire en fonction de l’évolution du conflit.
* Il en fut de même pour le Kosovo, l'Irak, l'Afghanistan, l'Ukraine...
*² Selon un rapport de l’organisation mondiale à but non lucratif de défense des droits de l’enfant, Save the Children, plus d’enfants ont été tués à Gaza en
trois semaines que dans toutes les guerres du monde depuis 2019. Le bilan global s'établissait à fin juillet 2024 à près de 40 000 palestiniens tués, dont une estimation de 10 000 enfants,90 000 blessés, 7 700 disparus, plus de 9000 arrêtés et au moins 2 millions de personnes déplacées, souvent plus d’une fois, toujours dans des conditions horribles. En sus, l'armée
israélienne a tué sept travailleurs humanitaires d'un groupe caritatif (World Central Kitchen) dont le convoi avait délibérément été pris pour cible voiture par voiture, ainsi que
ciblél’ambassade d’Iran à Damas en Syrie en tuant 16 personnes dont un haut commandant de la Force Qods du Corps des gardiens de la révolution
islamique. Il s'agit de deux violations flagrantes du droit international et des normes des nations civilisées par l’État d’Israël, la seconde étant celle de l’immunité diplomatique dont les bâtiments (consulats, ambassades) bénéficient de l’inviolabilité, de la protection du droit international.Selon le média Al
Jazeerabasée à Doha au Qatar, sur une année 41 788 personnes ont été tuées et 96 794 blessées dans la bande de Gaza depuis octobre 2023 en raison des attaques
israéliennes.
"Dans les villes de ces peuples dont l’Éternel, ton Dieu, te donne le pays pour héritage, tu ne laisseras la vie à rien de ce qui respire. Car tu dévoueras ces peuples par interdit, les Héthiens,
les Amoréens, les Cananéens, les Phéréziens, les Héviens, et les Jébusiens, comme l’Éternel, ton Dieu, te l’a ordonné."
Deutéronome 20:16-17 - cinquième livre de la Bible hébraïque ou Ancien Testament et dernier de la Torah
Et au cas où les choses ne tourneraient pas comme imaginées, un scénario de repli est envisagé après que la région soit dévastée de part et d'autre, comme un droit intemporel accordé au peuple
élu. Ce deuxième Israël s'implantera à l’Est de l’Ukraine qui, entretemps vaincue par l'ours russe et dépecée par ses voisins voraces car revanchards, ne sera plus un pays souverain. Ses terres
sans héritiers et achetables à bas coût permettront de signer de nouveaux accords de neutralité, conduisant à une protection militaire payée comme d'habitude par les autres pays de l'Union
européenne. Ce sera la nouvelle terre promise, pour que l'histoire sanglante se perpétue afin de servir aux dieux psychopathes leur dû de sang et de chair... * Les sionistes juifs ont de par leur ADN aryen une vision totalitaire, hégémonique, convaincus que tout le
Moyen-Orient - Palestine, Syrie, Irak, Jordanie, Iran, Liban -, appartient de plein droit au peuple juif "élu" appelé à diriger le monde.
Du conflit arabo-israélien (1)
Les guerres et les crises font partie intégrante de l'avis de décès en cours du système matriciel en 3-D*, voyant des tentatives de plus en plus désespérées des
dirigeants de l’ordre mondial actuel pour prolonger leur existence : crise sanitaire Covid-19, guerre en Ukraine, migration massive vers le monde occidental... La dernière de cette série
mortifère est le conflit entre Israël et le HAMAS*² démarré le 7 octobre 2023.
L'interrogation est grande quant à la facilité des forces islamiques palestiniennes - au comportement plus terroriste que militaire compte-tenu des exactions
commises - en ce jour anniversaire de la guerre du Kippour (ou guerre du Ramadan ou guerre d'Octobre ou guerre israélo-arabe) de 1973 qui opposa Israël à une coalition militaire arabe menée par
l'Égypte et la Syrie, d'échapper à la surveillance d'un des États les plus sécuritaires au monde et de son "Dôme de fer" à la pointe de la surveillance électronique par ses effets spéciaux
holographiques lors de tirs de roquettes afin de les intercepter tout comme les obus de courte portée. Ou comment réduire à néant l'oeuvre de quarante ans du leader emblématique palestinien
Yasser Arafat dans la recherche de la paix, puisque la seule option pour Israël est celle d'une sanglante réplique conformément à la loi du Talion "Oeil pour oeil, dent pour dent"
(du latin talis qui signifie "tel", "pareil", "semblable") consacrant la réciprocité entre la
peine et le crime, et ceconformément à l'essence même de la tragédie grecque.
Pourquoi Tel-Aviv, la "capitale sécuritaire" d'Israël, a ignoré les nombreux avertissements sur l’attaque imminente provenant de diverses sources dont l’Égypte
voisine peu susceptible d'aide fraternelle ? Comment le HAMAS a pu utiliser un armement militaire de toute première importance, la piste du détournement de l'aide militaire à l'Ukraine
apparaissant notamment plus que plausible ? Pourquoi le Mossad, un des trois services de renseignement israélien en charge du renseignement extérieur et des opérations spéciales en dehors
des frontières de l’État d'Israël afin d'assurer la survie et les intérêts vitaux de la nation, a-t-il contribué en 1987 lors de la première
intifada de la jeunesse palestinienne, appelée également guerre des pierresà la création du HAMAS, à son financement avec l'appui du
Qatar et de l'organisation transnationale islamique sunnite Les Frères musulmans ainsi qu'à son utilisation active en Syrie, tout en le déclarant désormais ennemi numéro un ? Etait-ce simplement
pour faire contrepoids au Fatah et diviser les Palestiniens afin de les affaiblir politiquement, ou les raisons étaient ailleurs comme de sordides calculs concernant les bienfaits qui pourraient
être tirés d’une guerre ? Et comment se fait-il que de soi-disant "journalistes" employés par l’Associated Press, CNN, le New York Times et Reuters aient pu accompagner les terroristes du
Hamasen filmant les actes odieux perpétrés, l'un d'entre euxayant même pris un selfie de lui en train de se faire
embrasser sur la joue par l’un des dirigeants du Hamas? N'étaient-ils pas au courant de l’attaque à l’avance ? Si bien sûr, les autorités israéliennes
étaient au courant, le récit de "l’échec du renseignement" qui a émergé immédiatement après l’attaque s'avérant faux tout comme le même discours qui avait émergé juste après les attentats du 11
septembre à Manhattan et à Washington...
Tous ces éléments paraissent bel et bien étranges participaient de la diversion pour que naturellement beaucoup de regard se tournent vers l'Iran comme instigateur,
ou pour nombre d'imbéciles de plateaux vers la Russie, permettant d'oublier que la situation intérieure de l’État juif était depuis longtemps fortement dégradée tant en raison de la volonté du
Premier ministre Benyamin Netanyahou de museler, pour partie pour de très bonnes raisons,la toute puissance de la Cour suprêmepar une réforme du département de la Justice, risque politique majeur compte-tenu des nombreuses affaires de corruption lui collant aux basques, que par l’incapacité d’Israël à
établir son nouveau budget pour 2024 au regard de son endettement. L’agresseur finit en effet par récupérer les dettes de celui qu’il a attaqué par le biais de réparations et d’indemnités, le
HAMAS semblant arrivé exactement au bon moment pour le gouvernement israélien…
Il en est de même avec l'Iran qu'il s'agit d'attirer dans le conflit en l’exposant comme le commanditaire agresseur via son bras armé le Hezbollah, aussi appelé le
Parti de Dieu - il s'agit d'un groupe islamiste chiite et parti politique basé au Liban à Beyrouth - pour lui imposer des réparations et des indemnités après la fin de l’affrontement, l’État
anciennement Perse disposant de revenus et de droits légitimes sur quelques 125 000 tonnes d’or... Il s'agit de la continuité de la politique du Premier ministre
qu'il s'était efforcé de faire valoir dans une ridicule et théâtrale mise en scène, en octobre 2012 devant l'Assemblée générale de l'ONU, en exigeant quasiment de la communauté des Nations de
mettre au ban de la société internationale l'Iran et de lui signifier une "ligne rouge".
La réalité est que l'opération terroriste du 7 octobre fut essentiellement un coup monté de l'intérieur, prétexte à la réalisation d'un objectif fixé depuis
longtemps, le massacre à grande échelle des palestiniens pour s'emparer définitivement de leur terre.Ces derniers sont telles des victimes expiatoires
désignées par Yaweh, le dieu vengeur des juifs, sous le nom d’Amalek, ce descendant déchupetit-fils d'Ésaü, jumeau et rival du patriarche Jacob. Si c'est avant tout une histoire d'argent, comme toujours pour les
familles psychopathes à la tête des pyramides institutionnelles terrestres, c'est en même temps une histoire de sang, le projet d'éradication définitive de Gaza et de ses tout autant psychopathes
terroristes y répondant. Les loups finissent toujours par se dévorer entre eux, d'autant qu'en cette fin de cyclicité civilisationnelle ils se retrouvent dans une situation désespéréepar le changement énergétique en cours. Tout le sens de l'Apocalypse... * Cf. Compréhension structurelle de la Matrice
asservissante.
*² Le HAMAS est l'acronyme partiel de harakat al-muqâwama al-'islâmiya, un mouvement palestinien constitué d'une
branche politique et d'une branche armée pouvant recourir au terrorisme, les Brigades Izz al-Din al-Qassam du nom dusoufi de nationalité syrienne
(1882/1935) considéré par les Palestiniens comme le précurseur du mouvement islamiste du nationalisme palestinien.
Du conflit arabo-israélien (2)
Selon les normes du droit romain, Israël a échoué en tant qu’entité étatique et, pendant 72 ans, n’a pas acheté la terre sur laquelle elle est située depuis 1948.
Ce n’est que par le biais d’une opération spéciale astucieuseen 1973appelée Yom Kippour("Jour du Grand Pardon", jour saint du judaïsme
fixé au dixième jour du premier mois de l’année juive civile,ou guerre du Ramadan ou guerre d'Octobre ou guerre
israélo-arabe car elle opposa en octobre Israël à une coalition militaire arabe menée par l'Égypte et la Syrie), que l’État juif a obtenu, par le biais des
réparations, le produit d’un trust foncier de 25 ans mis en place par la famille de Rothschild* utilisant les terres de Palestine et d’Israël pour leur achat de terres confié à des bailleurs. De
ce fait, en raison de l’absence de terres propres et du statut d’État au sens juridique romain, le budget d’Israël tout comme celui de la Palestine est construit par le biais d’une garantie.
C'est ainsi que dans un premier temps, la Grande-Bretagne et l’URSS se sont portées garantes d’Israël, puis, après 1973, les États-Unis. Cette dette a été par la suite couverte par des sources de
revenu extérieures, comme les recettes d’exportation ou les dons. La partie non couverte de la dette a été quant à elle restituée et transférée au budget du garant, en l'occurrence les États-Unis
où vit la plus grande communauté juive hors Israël, soit entre 6 et 7 millions de personnes sur une population juive mondiale
d'environ 15 millions de personnes (7 millions sont en Israël). La réalité financière est qu'Israël n’a jamais présenté un budget sans déficit pendant au moins cinq années
consécutives.
Or, les États-Unis ne pouvant plus émettre de garanties comme d’habitude compte-tenu de leur propre situation financière (sa
dette officielle s’élève à plus de 35 000 milliards de dollars, sa dette officieuse à plus de 260 000 milliards de dollars), Tel-Aviv a besoin pour résoudre
ce problème de recevoir des fonds des régulateurs internationaux qui sont versés pour une urgence comme la guerre. Mais sans participants supplémentaires, le conflit entre le HAMAS et Israël
n’est pas une guerre, car non seulement Israël n’est pas un État, mais la Palestine et le HAMAS ne peuvent pas être désignés comme agresseur militaire. C'est ce que rappelle le droit
international en disant que seul un sujet ayant le statut d’État et un autre sujet ayant un statut similaire peuvent déclencher une guerre.
Qui alors pour payerles réparations et les indemnités de ce conflit ? LaLigue des
États arabes qui après 1973 n'a cessé d'émettre une garantie pour la Palestine pour la formation du budget ? Elle n’est pas intéressée à payer. La
Grande-Bretagne, la famille de Rothschild et l’ex URSS devenue entretemps la Fédération de Russie, qui depuis 1947 sont les garants d’Israël ? Le gouffre
financier les a amenés à y renoncer et à se tourner vers les États-Unis, qui sont dans une impasse budgétaire. Enfin l’Iran, mais qui de son côté n’est pas
officiellement entré en guerre, et de ce fait ne peut être amené à payer. Mais Israël, en coalition avec son solide allié les États-Unis, fait tout pour le désigner comme coupable car il serait
tenu par les accords internationaux de payer pour tout et pour tous.
Tandis que les deux peuples s’exterminent l’un l’autre, leur ennemi commun attend la fin de la bataille pour conserver le prix principal... son pouvoir sur le monde
!
* La famille de Rothschild est une famille juive d'origine allemandefondée parMayer Amschel Rothschild qui a essaimé dans plusieurs pays, et dont les membres portent
diverses nationalités. Elle a formé au début du XIXᵉ siècle cinq branches, à Francfort-sur-le-Main, Vienne, Naples, Londres, et Paris, dont seules les deux dernières subsistent
aujourd'hui.
Du piège tendu
Faisant suite à la sanglante intervention de Tsahal à Gaza en représailles des exactions commises par le HAMAS,l’Union
internationale des savants musulmans a émis une fatwa (avis juridique découlant de l'interprétation de la loi islamique par les experts attitrés) appelant à une intervention immédiate des régimes
arabes et des armées officielles pour empêcher ce qu’elle décrit comme un "génocide et une destruction massive". La fatwa affirme que la charia islamique, les obligations religieuses et les
accords internationaux exigent que les régimes arabes et les armées officielles interviennent à Gaza. Elle souligne la nécessité d’un soutien religieux, politique, juridique et moral à la
Palestine et exhorte les gouvernements à remplir leur devoir légitime de protection de leurs citoyens et de sauvegarde des intérêts stratégiques de la région.
L’intervention militaire est une obligation de la charia, en particulier de la part des quatre pays limitrophes de la Palestine : l’Égypte, la Jordanie, la Syrie et
le Liban. Ce qui est exactement l’objectif des sionistes...
Dans un monde civilisé, les dirigeants de pays tels que les Etats-Unis, la France et l’Allemagne tenteraient de protéger les brebis menacées par la férocité du loup. Ils inciteraient les loups à
la retenue, au calme, à la négociation, à la délibération. Ils feraient comprendre qu’ils ne peuvent pas, en toute conscience, fournir une aide – des armes et des munitions – qui servira à
massacrer des civils innocents. Ce serait profondément hypocrite de leur part.
Mais l’hypocrisie est le rôle propre des élites psychopathes : prêcher la vertu en public tout en jouissant des vices qu’elles choisissent en privé. Presque toutes les nations dérapent à un
moment ou à un autre dans des guerres dignes de l’Ancien Testament, où elles autorisent, encouragent ou négligent les "dommages collatéraux" qu’elles causent.
Ce qui est montré de manière si alarmante au Levant, c’est l’échec lamentable des dirigeants occidentaux. Même dans l’hypocrisie, ils sont un échec. Au lieu de les calmer, ils incitent les autres
à des actes de violence encore plus scandaleux.
Et lorsque la prochaine crise financière surviendra, ce seront, grosso modo, ces mêmes dirigeants corrompus et incompétents qui devront y faire face. Appelleront-ils à la retenue
monétaire et à l’autodiscipline économique ? C’est peu probable...
En attendant cette prise de conscience, la Cour pénale internationale a délivré le 21 novembre 2024 des mandats d’arrêt à l’encontre du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et de
l’ancien ministre de la défense Yoav Gallant, pour des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité qui auraient été commis dans la bande de Gaza. Et comme attendu, Israël a rejeté les
allégations de la Cour, qui portent notamment sur l’utilisation de la famine comme arme de guerre et sur le fait de "diriger intentionnellement une attaque contre la population civile".
Homo homini lupus est.
Proverbe latin signifiant "l’homme est un loup pour l’homme"
Du Nil à l'Euphrate : "Ton territoire ô! Israël"
Selon le père fondateur du sionismeau congrès de Bâle en 1897 le
journaliste et écrivain austro-hongroisTheodor Herzl (1860/1904 - photo 1), surnommé Khozeh
HaMedinah, auteur de Der Judenstaat ("L'Etat des Juifs") en 1896, "la superficie de l’État juif s’étend du ruisseau de l’Egypte à l’Euphrate, comprenant des parties de la Syrie et du Liban
(image 3). Il consiste en un projet qui vise à créer un bouleversement géostratégique, car impliquant la disparition pure et simple de la Jordanie, du Liban, de la Syrie, et d'une grande
partie de l'Arabie saoudite. Il permettra ainsi de couper le monde arabo-musulman en deux parties bien distinctes, en s'emparant des fabuleuses ressources énergétiques de la région (image
4).
La définition géographique donnée par la Bible est floue : dans certains textes bibliques, on parle de la Terre promise comme allant du "fleuve d’Égypte jusqu’au
grand fleuve, au fleuve d’Euphrate" (de l’Égypte à l’actuel Irak), alors que d’autres se limitent à une zone comprise entre la mer et le fleuve Jourdain (image 5).
"Tout lieu que foulera la plante de votre pied sera à vous: votre frontière s'étendra du désert au Liban, et du fleuve de l'Euphrate jusqu'à la mer
occidentale."
Deutéronome11:24
13 Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel: Voici les limites du pays que vous distribuerez en héritage aux douze tribus d'Israël. Joseph aura deux parts.
14 Vous en aurez la possession l'un comme l'autre; car j'ai juré, la main levée, de le donner à vos pères. Ce pays vous tombera donc en partage.
15 Voici les limites du pays. Du côté septentrional, depuis la grande mer, le chemin de Hethlon jusqu'à Tsedad,
16 Hamath, Bérotha, Sibraïm, entre la frontière de Damas et la frontière de Hamath, Hatzer-Hatthicon, vers la frontière de Havran;
17 ainsi la limite sera, depuis la mer, Hatsar-Énon, la frontière de Damas, Tsaphon au nord, et la frontière de Hamath: ce sera le côté septentrional.
18 Le côté oriental sera le Jourdain, entre Havran, Damas et Galaad, et le pays d'Israël; vous mesurerez depuis la limite septentrionale jusqu'à la mer orientale:
ce sera le côté oriental.
19 Le côté méridional, au midi, ira depuis Thamar jusqu'aux eaux de Meriba à Kadès, jusqu'au torrent vers la grande mer: ce sera le côté méridional.
20 Le côté occidental sera la grande mer, depuis la limite jusque vis-à-vis de Hamath: ce sera le côté occidental.
21 Vous partagerez ce pays entre vous, selon les tribus d'Israël.
Ezéchiel47
Quant au prophète Zacharie, il annonce que les juifs seront si nombreux à avoir fait leur alya (leur retour en terre promise) que l'espace ne leur suffira
plus ! De son côté, l'ancien Premier ministreBenjamin Netanyahou (photo 6), au pouvoirde 1996 à 1999 et de 2009
à juin 2021 (il est revenu aux afaires en 2022), a déclaré dans une interview accordée en 2019 à un journaliste
italien que "La terre promise, entre le Nil et l'Euphrate, est enfin à notre portée. Israel à la capacité militaire et politique de concrétiser cette ambition biblique sans avoir à recourir aux
armes de destruction massives."
En termes géo-politiques, cela signifie bel et bien que la Syrie, le Liban, l'Irak et la Jordanie verront un jour Israël conquérir leurs terres. Et pour que cette
prophétie se réalise, il faudra qu'il y ait d'abord une guerre victorieuse d'Israël opposé aux pays de la Ligue arabe,le
conflit palestinien devant en être l'élément déclencheur.
La situation du Liban (drapeau en image 1) est très complexe, le pays au Cèdre étant situé dans une région où il y a "bien trop d’histoire, et trop peu de géographie". Il en découle que la
population libanaise est très largement victime de sa situation géographique. Terre de tradition d'accueil et par-là même de métissage, au même titre que la Jordanie et la Turquie, elle compte
ainsi en son sein nombre de Syriens, Irakiens, Kurdes et Palestiniens, notamment pour avoir depuis le début de la crise syrienne en 2011 accueilli jusqu’à deux millions de réfugiés, soit
pratiquement un tiers de sa population.
Il en découle que le pays a par ce melting-pot ethnique et religieux créé de terribles fragilités, qui le hantent depuis maintenant presque 50 ans. La classe politique libanaise, désunie, est
toujours au bord de la guerre civile et de l’explosion, ce qui constitue un véritable frein au développement du pays. Face à son effondrement économique*, le Liban est désormais confronté à une
émigration de plus en plus importante de sa population (le pays du Cèdre compte environ six millions d’habitants, 14 millions de citoyens libanais résidant dans plus de 70 pays à l’étranger), le
nombre d’émigrants ayant quadruplé depuis 2018, d'autant depuis l’explosion du port de Beyrouth le 4 août 2020. Cette émigration est la fuite des "cerveaux", affaiblissant encore plus ce pays
dans sa capacité à faire face aux visées prédatrices de ses voisins.
* La livre libanaise a dégringolé à 13 000 pour un dollar au marché noir, plus de 50 % de la population étant au chômage. Le salaire minimum a perdu 84% de sa
valeur, étant désormais inférieur à ceux du Bangladesh et des Philippines.
La guerre des ports
Depuis Alexandrie fondée par Alexandre le Grand en 331 avant notre ère, qui voyait les Juifs représenter 30 à 36 % de la population et constituer une communauté
hellénisée, prospère et épanouie qui contribuera à donner un lustre à la culture juive, le port est considérécomme un atout stratégique vital (image 2).Le port de Beyrouth est une artère vitale au Liban en raison de sa situation
géographique.C'est pourquoi il joue un rôle important
dans le projet de la Route de la Soie. Il est le grandconcurrent du port israélien de Haïfa (image 3).Selon les accords déjà signés entre Israël et la Chine, cette dernière est amenée à contrôler progressivement l’essentiel del’agro-alimentaire israélien, de sa haute technologie et de ses échanges internationaux,seul l'armement en étant exclu. Un
accord de libre-échange devrait suivre. Toute lagéopolitique régionale s’en trouvera chamboulée,Israël pouvant
établir des relations avecdes pays avec lesquels il n’a pas encore de liens diplomatiques.
C'est pourquoi le port de Beyrouth constitue le lieu clé dans les négociations du FMI avec le Liban. Beyrouth doit donc soit
se tourner vers l’Orient, soit vers le Fonds monétaireinternational (FMI). Deux violentes explosions le 4 août 2020 aux alentours de 18 h l'ontgravement endommagé (photo 4), dateproche de la date d'anniversaire de la bombed'Hiroshima le 6 août 1945 et de celle de Nagasaki trois jours plus tard le 9 août 1945(photo 5). Une manière de lui indiquer le choix à
faire ?
Ce déclenchement apocalyptique de la "fin des temps" a pour racine les figures de Gog et Magog, deux noms propres figurant dans le livre d'Ézéchiel aux chapitres 38 et 39 : "Fils de l'homme,
tourne ta face vers Gog, au pays de Magog" (38:1-2), "Voici, j'en veux à toi, Gog, prince de Rosch, de Méschec et de Tubal ! Je t'entraînerai, et je mettrai une boucle à tes mâchoires" (38:3),
"J'enverrai le feu dans Magog" (39:6), "Je donnerai à Gog un lieu qui lui servira de sépulcre en Israël" (39:11).
Gog est un nom de personne, Magog un nom de lieu, qui apparaissent cinq fois dans la Bible et deux fois dans le Coran (en arabe, Gog et Magog se dit Yajouj et Majouj). Ils sont liés à une
bataille des peuplades païennes Magog, les forces du Mal, contre les Juifs, les forces du Bien, ce combat cosmologique étant censé annoncer la venue du Messie, le Machia'h, à la fin du monde.
La traduction œcuménique de la Bible considère quant à elle qu'il faut se garder de toute identification géographique, le texte de l'Apocalypse précisant que les peuples viennent des "quatre
coins de la terre", l'interprétation au sein du judaïsme évoquant soit un affrontement entre le monde d'Édom, c'est-à-dire Rome et par extension l'Occident, et celui d'Ismaël, c'est-à-dire le
monde islamique.
C'est pourquoi ce couple "Gog et Magog" qui a pour sens un fléau mythique et infernal est brandi par les faucons du gouvernement israélien comme référence eschatologique de l'actuel embrasement
du Proche-Orient, le silence consternant des grands médias occidentaux se prévalant de laïcité comme de rationalisme laissant pantois.
L'ère de la guerre du "Mal"
Le lieutenant-général Herzi Halevi, chef d’état-major des Forces de défense israéliennes (FDI), a déclaré à ses soldats début octobre 2024, après le démarrage de
l'offensive terrestre de Tsahal au Liban, que leurs "bottes militaires allaient pénétrer en territoire ennemi", ajoutant que les frappes aériennes faisaient partie des préparatifs en vue d’une
invasion terrestre. Dans la foulée, Israël a rejeté la proposition de cessez-le-feu soutenue par les Etats-Unis et la France. Conformément au jeu hypocrite des faucons US, "l’élite de la politique étrangère" américaine,les Etats-Unis continuent de fournir une aide militaire à Israël (8,7 milliards de dollars pour ses opérations à Gaza et au Liban), et promettent de défendre le pays si la situation s’aggrave. Ceci ne
peut évidemment inciter le Premier ministre Benjamin Netanyahu fanatisé par sa guerre eschatologique - il se rêve en nouveau roi David - à mettre un terme à sa nouvelle campagne de bombardements.
De son côté, la Chine a déclaré soutenir fermement le Liban dans la sauvegarde de sa sécurité et par là-même de sa souveraineté, condamnant fermement les
violations commises à la suite de l’attaque aérienne de grande envergure menée par Israël.
Il serait pourtant facile d’arrêter les deux guerres, au Liban/Gaza et en Ukraine/Russie, mais cela n’arrive pas, car tous ces soutiens à la guerre des deux camps
étoilés, démocrates comme républicains, sont responsables depuis des décennies des pires décisions et des comportements les plus contraires à l’éthique de l’histoire des Etats-Unis. Ils ont déjà
conduit les Etats-Unis dans leur malheureuse guerre contre le terrorisme suite aux attentats du World Trade Center à New York en 2001, qui a coûté 8 000 milliards de dollars et plus d’un million
de morts. Ce n’était apparemment pas suffisant. Désormais, ils s’attaquent à des ennemis capables de se battre plus efficacement.
La guerre contre le terrorisme a jeté les bases de la guerre éternelle que nous voyons se dessiner avec plus d'acuité, et que résume la déclaration de l'ancien
président bellicisteGeorge W. Bush (de 2001 à 2009) "Vous êtes soit avec nous, soit contre nous". Autrement dit vous
êtes dans un camp ou dans l’autre. Comme ce sont les Etats-Unis qui ont envahi l’Irak, et non l’inverse, de nombreux pays qui auraient préféré rester à l’écart du conflit ont commencé à penser
qu’ils pourraient être les prochains, et ont dû faire un choix. Et c'est ainsi que les dirigeants de la Chine, de l’Iran, de la Corée du Nord et de la Russie
se sont rapprochés pour unir leurs forces contre les va-t-guerre vampires occidentaux, à l'image de l'ancienPremier ministre britannique Boris Johnson qui
s’était envolé en 2022 pour Kiev avec pour mission d'arrêter les pourparlers de paix entre l'Ukraine et la Fédération du Russie.Et comme la Chine est
devenue le plus grand fournisseur de machines-outils et le plus grand fournisseur de microélectronique, la Russie a été aidée pour maintenir sa base industrielle de défense, fournissant en
contrepartie à la Chine des sous-marins, des missiles et d’autres technologies militaires. L'Iran n'est pas en reste, envoyant à la Russie des centaines de missiles balistiques à courte
portée.
La réalité est que la guerre s’est étendue et intensifiée, avec deux blocs : d’un côté l’Occident à travers les pays de
l’OTAN/européanisés dirigés par les Etats-Unis, avec des frontières en Ukraine et en Israël; de l’autre côté, le bloc musulman, asiatique, slave et africain en cours de
consolidation. Si d’une manière générale l’Occident a l’avantage de la puissance de feu grâce à sa richesse et sa technologie, l’Est est en tête pour ce qui est de la main-d’oeuvre. Suivant le regard de l'observateur de ce jeu de dupes
se dessine les tenants de l’axe du mal. Et c'est exactement ce que veut le système prédateur à travers ses différents protagonistes qualifiés d'experts en politique étrangère pour préserver le
chaos propre à sa survie énergétique.
Si jusqu’à présent les ennemis d’Israël n’ont pas fait preuve de beaucoup d’imagination ou de volonté de frapper en riposte à ses exactions à Gaza comme au Liban sud, il convient d'observer que
suite au décès de Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah, un leadership plus audacieux pourrait prendre sa place. Ce pourrait être ISIS, the "Islamic State in Iraq and Sham", qui a pris la
place d’Al-Qaïda et dont l'objectif est la création d'un État, plus exactement un califat islamique dans cette région, et qui a pris consistance avec l'effondrement début décembre 2024 du régime
moribond du Président syrien Bachar el Assad (photo 3), presque sans résistance*, les troupes de son allié russe ayant étonnamment de façon préventive quitté plus que rapidement leur bases
terrestres comme navales.
Plus qu'une opération majeure victorieuse états-unienne qui a soutenu par les armes et le renseignement les soi-disant "rebelles", en fait des combattants islamiques djihadistes*², y compris par
des frappes aériennes, consistant à avoir supprimé à la Russie ses bases en Méditerranée et assurer la récupération de l’exploitation du pétrole du Kurdistan par ses compagnies*, la réalité
froide apparaît toute autre. Le prévisible chaos politique qui va en découler, à l'instar des précédents libyen et irakien, va inévitablement affaiblir l'OTAN et ses inféodés États européens, la
France en tête, avec l’homme fort victorieux mis en place, Abou Mohammed Al-Jolani (photo 6), dont le nom de guerre est Ahmed Hussein
al-Chara, chef du Front al-Nosra ou Jabhat al-Nosra ("Front pour la victoire des Gens du Cham"), une milice salafiste sunnite pouvant être qualifiée de
terroriste pour s'être affiliée à Al Qaïda en 2014. Il était jusqu'alors considéré comme un grand terroriste par les États-Unis (il y avait une récompense de 10 millions de dollars à la
clef pour sa capture), jusqu'à annoncer avoir rompu avec Al-Qaïda (en 2016) et l’État islamique et promettre de dissoudre son organisation, le Hayat Tahrir al-Cham. Au vu des exécutions sommaires des cadres du parti baasiste et de chefs militaires de l’armée de Bachar el-Assad qui circulent sur les réseaux, il ne fait pourtant aucun doute que les
États européens se retrouveront en première ligne lors du retour des milliers de djihadistes qui étaient dans les prisons d’Assad, dont 150 Français...
L’Occident a créé un nouveau monstre, qui lui échappera comme Al-Qaïda ou les talibans, et la Russie a de son côté réussi son piège comme joueur d'échecs patenté. Mais en attendant, ce sont les
Chrétiens, les Alaouites chiites, les Druzes et les femmes syriennes qui vont en payer chèrement le prix, l'application de la Charia faisant partie des mœurs de l’État islamique.
Tout ceci ne peut que donner à Israël une raison de lancer une nouvelle guerre majeure en continuant son "sport" favori, le bombardement, qu'il a mis immédiatement en œuvre par sa rentrée en
Syrie sur tous les dépôts de munitions stratégiques s'y trouvant, et sa rapine de territoires comme celle désormais définitive du plateau du Golan, qui faisait partie des territoires
qu'il occupait depuis la guerre des Six Jours et annexé fin 1981 même si non reconnu par l'ONU.
Bombarder à l'infini Gaza, le Liban, la Syrie, avant de finir par l’Égypte et l'Iran pour constituer la théocratie du "Grand Israël", autrement dit une dictature... mais peut-il gagner une guerre
terrestre contre un adversaire déterminé, ou n'est-il que la victime expiatoire d'une opération manichéenne eschatologique de ses concepteurs liée à la venue de l'Antéchrist ?
* La Syrie s'était jusqu'alors confrontée à de nombreuses attaques de divers "mouvements de résistance" salafistes, depuis l’intérieur (Jaich al-Islam), puis de
l’extérieur (ISIS depuis l’Irak).Parmi les plus célèbres groupes de rébellion, il y eut Jaich al-Islam, soutenu par l’Arabie saoudite et le Qatar,
puis Jaich al-Fateh, téléguidé depuis la Turquie (y bénéficiant de bases arrière) et soutenu par divers pays du Golfe persique. Enfin, les plus redoutables ont été le Front al-Nosra, la branche
armée d’Al-Qaida dite "canal historique" (stratégie internationaliste), et la puissante organisation rivale ISIS, ou EIIL (Etat islamique en Irak et au Levant), désignée également sous
l’appellation "Daech" (Daesh pour les médias anglo-saxons)d'obédience sunnite/salafiste.
*² De son côté, le Qatar va pouvoir relancer son projet de gazoduc avec la Turquie (le refus de Bachar de participer à cette entreprise en 2012 qui
nuisait aux intérêts iraniens aurait été à l’origine du déclenchement des mouvements de déstabilisation de la Syrie et du début de la guerre civile), la Turquie d’Erdogan ne faisant quant à elle pas mystère de son intérêt pour reprendre le contrôle d’anciennes régions comme le Kurdistan, Alep, la vallée de
l’Euphrate...).
De la Syrie
De nombreuses forces sont impliquées dans les derniers événements en Syrie qui ont vu la chute en douze jours de son Président Bachar el-Assad parla guerre éclair de la faction islamiste sunnite (salafiste) Hay’at Tahrir al-Sham, autrement dit djihadiste, avec pour objectif la création d'un califat ou
"Empire" islamique. Il s'agit de la continuitévers la zone méditerranéenne du conflit russo-ukrainien en Europe, dû
aux intérêts inconciliables des différentes parties concernées.
Avant 1918, la Syriecomme d’autres pays de la régionfaisaient partie de l’Empire
ottoman, qui a été divisé selon l’accord Sykes-Picot* entre quatre États, et plus tard, entre deux, la Grande-Bretagne et la France. Les premiers ont reçu le territoire de l’Israël moderne, de la
Palestine, de la Jordanie et de l’Irak, tandis que les seconds ont reçu le Liban, le sud-est de la Turquie, le Kurdistan et la Syrie. Par rapport à la colonisation britannique, la domination
française a toujours été moins stable, à l'instar de la perte successive de son influence en Indochine, Algérie, Tunisie, Maroc et Afrique francophone ou "Françafrique", dont les élites étaient
liées à la France métropolitaine par des moyens usuraires et parasitaires.
Afin d’empêcher le retrait historique de la Syrie française au profit de la Turquie, Paris avait consolidé la loi syrienne pour donner le pouvoir exclusif à la
minorité alaouite locale, créant ainsi un conflit interne d’un siècle qui est devenu au fil du temps une source constante de maux de tête pour la France également. La guérilla permanente menée en
effet par tous les groupes non chiites de la région contre la France et ses alliés alaouites a fini par aboutir à la séparation du Liban chrétien en tant que pays indépendant, et au retour des
Turkmènes sunnites du nord en Turquie.
Après la Seconde Guerre mondiale, la Syrie est devenue une nation, puis, à la suite de la crise de Suez en 1956, elle a fait partie de la République arabe unie,
dont elle s’est retirée en 1961. Au fil du temps, sa population alaouite s’est trouvée de plus en plus démographiquement inférieure à la majorité sunnite appauvrie, celle-ci espérant de la
Turquie le retour de sa situation favorable passée à l’époque de l’Empire ottoman.
La goutte d’eau qui a fait déborder le vase découle de la crise économique en France, qui ne pouvait plus alimenter à la hauteur de ses besoins l’économie syrienne.
Aussi l’armée, les services spéciaux et la police syriennes ont cessé de recevoir des paiements par l’intermédiaire des banques françaises, se rangeant finalement du côté d'acteurs mondiaux
considérés comme plus riches, les États-Unis en tête via la CIA (à qui se rajoutent l'Arabie Saoudite, le Qatar et la Turquie), qui ont créé, armé et entraînédivers "mouvements de résistance" salafistes, depuis l’intérieur (Jaich al-Islam puis Jaich al-Fateh), puis de l’extérieur (Al-Qaida "canal historique"depuis l’Iraket la puissante organisation rivale ISIS ou EIIL depuis l'Irak et le Levant), jusqu'auFront al-Nosra et pour finir les7 000 militants de Hay’at Tahrir al-Sham (HTS). A noter
queISIS/Daech, d’obédience sunnite/salafiste, s’est imposée durant des années comme la principale force hostile à Bachar El Assad et au Hezbollah, donc à
l’influence Chiite dans la région, d’où une forme de mansuétude de la part des États-Unis et d’Israël, et ce malgré tous ses crimes contre l’humanité et la persécution des chrétiens Yézidis
commis durant l’occupation d’une partie de la Syrie.Et si les riches chiites iraniens n’ont pu l'aider, c'est qu'ils se sont vu refuser un accès égal à
l’économie syrienne par les "as" de la finance française et l'incurie de ses politiques en matière de politique étrangère… De son côté, la Russie, protecteur jusqu'alors du régime syrien, n'est
pas intervenue pour ne pas prolonger sa situation moribonde.
C’est de ce fait une nouvelle ère qui s’ouvre avec Israël qui coupe l’axe Iran-Syrie, qui permettait jusqu'alors à Téhéran de soutenir le Hezbollah au Liban. Qui
plus est, Israël a lancé les opérations en vue de s’emparer de la partie syrienne du plateau du Golan, alors qu’il n’y a plus d’armée syrienne pour s’opposer à l’avancée des chars de Tsahal. Il
en résulte qu'Israël est en train d’agrandir son territoire par le nord, et d’encercler totalement le Liban qui, avec un blocus maritime, serait complètement, à terme, coupé de tout
approvisionnement par l’Iran. De son côté, Washington fait perdre à la Russie son accès hautement stratégique à la Méditerranée avec le port de Tartous, et il n’y a plus d’État syrien pour
contester l’exploitation du pétrole du Kurdistan par des compagnies américaines. Quant au Qatar, il va pouvoir relancer son projet de gazoduc avec la Turquie suite au refus de Bachar de
participer à cette entreprise en 2012 , ce qui a été à l’origine du déclenchement des mouvements de déstabilisation de la Syrie et du début de la guerre civile. Enfin, la Turquie d’Erdogan n’a
jamais fait mystère de son intérêt pour reprendre le contrôle d’anciennes régions : Kurdistan, Idlib, Lattaquié (qui abrite une base aérienne russe, située sur la côte méditerranéenne),
Alep, vallée de l’Euphrate/Lac Assad, etc. En ce qui concerne la France, elle apparaît totalement hors-jeu !
Les vainqueurs temporaires de cette prise de pouvoir ne sont pour autant unis, étant même profondément hostiles les uns aux autres. Ceci entend qu'ils ne cesseront
de se battre pour la maîtrise des ressources énergétiques et les parties géopolitiques en charge de leur production. Ceci ne pourra qu'accélérer la polarisation des forces dans le pays, la région
et le monde, et comme il se doit, affaiblira certains vortex énergétiques tout en en renforçant d’autres*², expliquant la grande instabilité liée.
* Les accords Sykes-Picot sont des accords secrets qui ont été signés le 16 mai 1916 entre la France et le Royaume-Uni, prévoyant le découpage du Proche-Orient
à la fin de la guerre en plusieurs zones d'influence au profit de ces puissances. Ceci revenait à dépecer l'Empire ottoman.
*² Il existe six vortex de ce type en Syrie : cinq à Alep, Homs, Palmyre, Raqqa et Manbij. Ensemble, ils forment un sixième tourbillon commun.
"Un islamiste modéré, c’est quelqu’un qui pense que les membres d’un peloton d’exécution devraient être élus démocratiquement".
Henry Kissinger, secrétaire d’Etat sous Richard Nixon et Gerald Ford,
De l'Armaggedon
"Armageddon" vient de l'hébreu מגידו qui signifie "colline de Meggido", un petit mont en Palestine (Cf. image ci-contre et photo ci-dessus) dont
le nom grec est celui d'une ancienne cité d'Israël. Il s'agit d'un terme biblique mentionnéune seule fois dans le Nouveau Testament,dans le livre de l'Apocalypse au chapitre 16, verset 16. Il désigne un événement à venir sur un lieu symbolique, celui du combat final entre le Bien et le Mal.
Le terme est admis sous différentes orthographes en français: Har-Maguédon, Harmaguédon, Har-Meguiddon ou encore Har-Maguédôn. Le "rassemblement des rois de la Terre" annoncé en ce lieu
est un résultat du déversement des sixième et septième bols contenant les dernières plaies qui mèneront à son terme "la fureur de Dieu" (chapitre 6 verset 12).
Depuis, on utilise fréquemment ce mot pour désigner des batailles catastrophiques ou d'ampleur planétaire. La bataille de Megiddo peut renvoyer à trois
principales batailles ayant eu lieu près de l'ancien site de Megiddo dans la vallée de Jezreel au nord d'Israël. L'une eut lieu au XVe siècle av. J.-C. entre les forces égyptiennes aux
ordres du pharaon Thoutmôsis III et une coalition canaanéenne. La seconde bataille de Megiddo* se tient en 609 av. J.-C., voyant le roi Josias trouver la mort face aux troupes du pharaon
Nékao II (2 Rois, 23,29 - 2 Chroniques, 35, 22-24. Enfin, la troisième bataille de Megiddo eut lieu en 1918 entre les Anglais du Commonwealth et l'Empire ottoman.
C'est à Megiddo que se trouve l'une des plus importantes bases aériennes d'Israël, située à proximité de l'ennemi implacable la Syrie (image 2). D'ailleurs,
"Harmegiddo" est codé dans la Bible avec le nom de l'ancien président syrien Hafez el-Assad (1930/2000 - photo 3).
*L'expression fait généralement référence à cette bataille, qui a débouché par la
suite sur le concept biblique d'Armageddon.
"Je ne sais pas avec quelles armes on se battra dans la troisième guerre mondiale, mais je sais que, dans la quatrième, on se battra avec des gourdins et des
pierres."
Albert Einstein (1879/1955), physicien théoricien
Le 11 novembre 2004, Yasser Arafat, Président de l’Autorité Palestinienne, rendait les armes devant un mal mystérieux et incurable qui le rongea en quelques semaines, et l’emporta en France, où
il fut hospitalisé d’urgence au sein de l’hôpital d’instruction des armées de Percy, à Clamart.
Provoquant une tempête médiatique et plongeant le corps médical français dans la perplexité, le décès brutal, incompréhensible et entouré de suspicions de la grande figure historique de la
résistance palestinienne n’a toujours pas livré ses secrets, et ce, malgré les conclusions formelles auxquelles a abouti un laboratoire suisse de renom : une mort par empoisonnement. Il a été
remplacé par son fidèle compagnon de route Mahmoud Abbas, aussi connu par son surnom d’Abou Mazen.
L'ombre noire en action
Tant le voile jeté sur la réalité de la Vierge Noire Isis et de son enseignement que celui de Marie Magdala expliquent la trame en cours de cette fin de cycle civilisationnel, qui voit les ombres
noires et le pouvoir occulte mondial porter le coup final, apothéose de leur œuvre entropique.
C'est ainsi que les "migrants", et notamment les migrants qui viennent d'Afrique et du Moyen-Orient, sont principalement des âmes sur le chemin du retour à leurs origines, poussées à l'exode par
les forces supérieures évolutives pour accomplir symboliquement le chemin de Compostelle alchimique* et terminer leur migration en cette fin de cycle civilisationnel. Tel l'enseigne le codex de
Nag-Hammadi : "Car à l'endroit où se trouve l'origine, là sera la fin. Heureux celui qui se trouvera à l'origine, car il connaîtra la fin. Et ne goûtera pas la mort." (Évangile selon Thomas, 84, 13-17). Mais afin d'empêcher ou de mettre à mal ce retour aux origines contribuant au réveil de l'humanité, l'axe nazi trans-dimensionnel et ses relais terrestres
inféodés (services secrets américains, israéliens, français et anglais), moyennant recours à des techniques de manipulation mentale, ont infiltré ces mouvements migratoires de terroristes sous
couvert de l'islamisme radical.
Nul ne s'étonnera alors de l'émergence de l’État islamique en Irak et au Levant *², un nom soumis à de nombreuses interprétations selon les langues sous les acronymes d'Isis, Isil, Daech, Dawla,
EIIL... "Isis" s’est d’abord imposé, acronyme anglo-saxon de "Islamic State in Irak and Syria", avant que d'être troqué pour Isil, "Islamic State of Irak and the Levant". Toutefois, nombre de
médias ont gardé Isis, en le traduisant maintenant par "Islamic State in Iraq and Sham" (Syrie et Sham commencent par la même lettre), qui est l’appellation utilisée par les jihadistes eux-mêmes
dans leur communication anglophone. Le Guardian et le Financial Times ont quant à eux trouvé un drôle de compromis, en écrivant "the Islamic State of Iraq and the Levant
(Isis)". Rien n'est anodin dans la communication subliminale de la Matrice, le but étant de mettre à mal tout ce qui a rapport avec ISIS, et donc des lieux qui s'y rapportent. Et Paris, symbole
de la France, en fait partie, expliquant "l’œuvre satanique" en cours (migrants et attentats), les "bonnes consciences" humanistes manipulées ou complices continuant à se voiler comme à voiler la
face ...
*² Mouvement né en 2006 de l’alliance de plusieurs groupes jihadistes, s’appelant au départ "l’État islamique en Irak", le Levant ayant été rajouté en 2013 pour
signifier que le projet de l’organisation est d’établir un califat islamique sur cette région. En arabe, l’acronyme de l’État islamique en Irak et au Levant donne "Daech" (ou "Daiish"), les
non-jihadistes utilisant plutôt le terme de "Dawla", l’État.
Manipulation géopolitique
Al Qaïda et l’État Islamique sont deux entités qui sont de pures créations de l'agence étatique états-unienne CIA (Central Intelligence Agency) basée à
Langley en Virginie, et/ou de ses relais comme son équivalent israélien du Mossad pour l’État d'Israël et l'Arabie Saoudite.
A l'origine, Al Qaïda est une base de données créée par le gouvernement américain dans les années 80 pour recenser les combattants financés par la CIA lors de la
guerre d’Afghanistan. Depuis, cette entité terroriste est devenue physique, appelée à jouer tantôt le rôle du méchant (comme les attaques du World Trade Center et du Pentagone le 11
septembre 2001), tantôt le rôle du "gentil" (guerre en Libye, guerre en Syrie) quand il s’agit de renverser un chef d’État qui décide de travailler pour son pays et son peuple plutôt que pour des
intérêts oligarchiques (consortium militaro-industriel-financier).
De son côté, l’État Islamique a été conçu par la CIA et le Mossad, plusieurs sources et notamment les services de renseignement iranien indiquant que le "Calife"
chef de l’État islamique ou Daech serait un agent du Mossad, ou que Daech se sert en Irak d'équipements israéliens d'espionnage. Sa création s'inscrit dans le cadre du conflit qui oppose d'une
part Israël, les États-Unis et les monarchies sunnites du Golfe, et d'autre part le groupe islamiste chiite Hezbollah, les gouvernements syrien et iranien et leurs alliés russe et chinois. Son
objectif est d'une part le renversement du président syrien Bashar El Assad (allié de la Russie), d'autre part de créer une menace terroriste fantôme dans le but d’envahir l’Irak et la Syrie, ces
deux pays étant considérés comme stratégiques par leur position géographique. Ils présentent en effet des "vortex énergétiques" * puissants (dits "stargates"), et sont au cœur d'une zone
permettant l'orchestration d'un conflit régional de grande envergure, dans le but de créer un chaos organisé et la justification a posteriori d'une nouvelle gouvernance planétaire. Qui plus est,
celle-ci serait liée à l'arrivée d’un faux sauveur, tel que conçu dans le projet Bluebeam *². Ainsi pourra s'établir un "grand Israël", du Nil à L’Euphrate, répondant aux prophéties de
l’apocalypse de saint Jean. Ce projet instrumentalisé est distinct du destin du peuple Juif, accusé de façon manichéenne d'en être l'instigateur. D'aucuns considèrent qu'il est l'expression du
Sionisme (son autre face est le Nazisme), mouvement politique servant d'orchestration à la réalisation du calendrier occulte des "Illuminatis" *³, les prédateurs relais terrestres...
Le Président états-unien Obama a d'ailleurs reconnu le 7 juillet 2015 lors d'un point presse que les USA entrainaient les volontaires sunnites d'ISIS dans la
province de la ville irakienne d'Al-Anbar, tout comme plus tard à la télévision le Général retraité des Forces armées Wesly Kanne Clark. D'autres preuves comme la fabrication par des studios
américains de (fausses) exécutions d'otages démontrent le lien trouble entretenu avec le terrorisme, tout comme le savoir-faire des laboratoires chimiques de l'OTAN dans la fabrication de la
méthamphétamine,drogue de synthèse psycho-stimulante extrêmement addictive prisée par ISIS pour ses combattants...
L'image ci-contre expose les effets de la drogue méthamphétamine sur les visages des drogués,
en en montrant les séquelles au cours des années passées. Chaque année, plus d’un million d’américains prennent des doses de méthamphétamine.
Management de la terreur
Un témoignage de spécialiste sans équivoque quant à l'implication gouvernementale et institutionnelle des attentats commis sur le sol de son propre territoire
national, en l'occurrence français ...
L'idéologie du terrorisme islamiste ou djihadique prend racine sur un terreau de failles humaines et culturelles qui nécessite d'être comprises dans toutes leurs
composantes et leurs complexités. Ainsile prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a révélé au printemps
2018à l’occasion de sa visite diplomatique aux États-Unis,
dans une interview accordée à The Washington Post, que le
wahhabisme a été propagéau cours de la seconde moitié du XX° siècle à la demande de ses alliés occidentaux pendant la
guerre froide afin de contrerl’influence de l’Union soviétique dans les pays musulmans. "À l’origine, c’est à la
demande de nos alliés que nous nous sommes investis dans la création d’écoles coraniques, de mosquées et dans la propagation du wahhabisme dans le monde musulman", le but de l’opération "était
d’empêcher l’Union soviétique d’asseoir son influence dans le monde musulman", "Nos alliés ont exigé de nous que nous utilisions nos ressources pour accomplir cette tâche"... Il a admis également
que "les gouvernements saoudiens successifs se sont égarés" et qu’il était urgent "aujourd’hui d’œuvrer à un retour à la normale".
En résumant la situation, 4 éléments expliquent la situation :
1. Pour lutter contre le communisme dans les pays arabes a été opposée une idéologie religieuse, soit l’islam dans sa version la plus extrémiste, dont on
connaissait pertinemment le potentiel explosif et guerrier que peut receler tout extrémisme encore plus lorsqu’il est religieux.
2. Les pays arabes alliés, à commencer par l’Arabie saoudite qui n’a jamais été indépendante des États-Unis, ont été mis à contribution pour financer le wahhabisme,
ce qu’ils ont "bien" fait.
3. Les Occidentaux ont ouvert la boîte de Pandore de l'extrémisme islamiste qui "nous" pète aujourd’hui à la figure, puisqu'entre-temps le besoin d’avoir du pétrole
qui coule abondamment a conduit les mêmes Occidentaux à aller le voler à des peuples qui, fondamentalement, ne nous voulaient strictement aucun mal (Irak, Syrie, Kurdistan, Libye).
4. Nous avons laissé une immigration d’origine arabo-musulmane issue des pays que nous volions et que nous bombardions s’installer massivement en France, sans
aucune volonté d’assimilation, et en laissant les mêmes à qui nous avions demandé de propager le wahhabisme chez eux de le faire chez nous.
Qui sont alors les vrais coupables ? Ne sont-ils pas à Washington, à Paris, à Londres, à Ryad ? Tous les autres, ceux qui tuent comme ceux qui sont tués ou qui
sauvent, ne sont que les conséquences visibles de ce qui a été décidé par d’autres, les prédateurs asservisseurs et pompiers pyromanes que nous élisons, de droite comme de gauche. En croyant
contenir l'idéologie communiste ils ont engendré celle de l'islam radical. Simple fourvoiement d'incompétents, ou volonté délibérée ? La réponse est pour bientôt...
En associant le mouvement terroriste fondamentaliste au nom d'ISIS, la Vierge Noire symbole de la Mère Divine, le système prédateur l'associe dans l'inconscient collectif à cette faction, à ses
assassins et meurtriers, conformément à ses techniques de leurre par la manipulation mentale*. Il en a été de même avec l'accident du Mont St Odile, l'utilisation des explosifs visant à
neutraliser l'énergie féminine du lieu.
Le 20 janvier 1992, au Mont Sainte-Odile dans le département du Bas-Rhin, le vol 5148 d'Air Inter parti en fin d'après-midi de Lyon-Satolas est en attente pour
pouvoir atterrir sur la piste de l'aéroport de Strasbourg-Entzheim. Il compte à son bord 90 passagers et 6 membres d'équipage.
La météo n'est pas bonne ce soir-là, la visibilité étant faible en raison d'un épais brouillard. Pour préparer son atterrissage, l'avion entreprend un demi-tour qui
impose de survoler le mont Sainte-Odile (763 m). Alors que l'appareil entreprend son dernier virage pour se mettre dans l'axe de la piste, la tour de contrôle d'Entzheim perd le signal. L'avion
s'est écrasé à 800 mètres d'altitude, à une vitesse de 345 km/h (190 noeuds), tuant 87 passagers.
Ce mont abrite la Sainte patronne de l'Alsace qui lui a donné son nom, Sainte Odile. Il est réputé pour sa haute vibration, ce qui amène le système prédateur à
procéder régulièrement à sa neutralisation par des tirs d'explosifs dans ses carrières ... La symbolique présente à différents endroits sur le site du château où se tient en haut d'un pylône la
sainte (photo 1) livre à l'inconscient du visiteur les clés du détournement du rayonnement solaire par les maîtres artificiers (le 3ème œil des "Illuminatis") pour le contrôle des consciences, sa
non réinterrogation par le conscient valant acquiescement selon la mécanique éprouvée * (photos 2 à 6). Est-il utile de préciser que TOUS les monuments sacrés du monde *² ont subi le même travail
? Aussi requièrent-ils lors de leur visite la pleine conscience qui, s'appuyant sur la Connaissance, permet le discernement, soit la compréhension des choses tant avec le cœur (intuition) que le
mental (raison). C'est alors le chemin de retour à Qui Nous Sommes réellement pour ceux qui le prennent...
Les religions et la recherche du pouvoir par les monarques régnants sont responsables de tous les génocides qui ont eu lieu sur terre depuis la nuit des temps, fruit de la prédation
extra-dimensionnelle et de son contrôle mental par le petit égo qui n'a pas réussi le processus d'individuation*. Pour autant, l'être humain ne peut nullement se soustraire à sa responsabilité,
puisque c'est lui qui autorise au final la prédation qu'il héberge en lui via son inconscient. Nous sommes ainsi considérés comme totalement responsables de nos actes par les forces constitutives
de l'univers, expliquant que celles-ci n'interviennent pas sauf si nous le leur demandons. Non pour faire le travail de libération à notre place, mais pour nous soutenir et permettre les
synchronicités nécessaires.
Comme dans nombre de départements de l'ouest de la France marqués par les atrocités de la Révolution française, les départements des Pyrénées -Orientales, de l'Aude
et de l'Ariège portent encore de nombreuses cicatrices de l'inquisition concernant les Cathares, Cagots et Templiers *, constitutive pour nombre d'individus d'un lourd karma, les mémoires de
bûchers et de tortures restant présentes dans leur inconscient. En cette fin de cycle civilisationnel *², celles-ci sont sur le point de se réactiver dans les mémoires cellulaires pour émerger à
leur conscience, permettant à nombre d'individus de réaliser et de se libérer de l'étendue de leur rôle de victime et de se rappeler de leurs anciens bourreaux :Simon IV de Monfort (1160/1218 - image 1),seigneur de Montfort-l'Amaury de 1188 à 1218, comte de Leicester en 1204, vicomte d'Albi,
de Béziers et de Carcassonne de 1213 à 1218, comte de Toulouse de 1215 à 1218, principale figure de la croisade contre les Albigeois ; Pierre Ier de Voisins (1177/1233),seigneur de Voisins-le-Bretonneux, puis de Limoux, d'Arques, Alet, Reddes, Caderonne, Couiza et Bugarach, lieutenant de Simon de Montfort ;Philippe IV dit le Belet "le Roi de fer" ( 1268/1314 - image 2)... et tous les personnages corrompus qui, à l'époque,
gravitaient autour d'eux.
C'est pourquoi la France, ses royautés et gouvernements successifs ont une lourde dette envers les "descendants" cathares et templiers, ayant largement cautionné
durant des siècles la tutelle répressive de la secte judéo-chrétienne qui a imposé à son peuple la mythologie de Jésus/Marie/Joseph et autorisé l'inquisition au nom de cette religion dénaturée et
de son faux dieu Anunnaki *³.
Sous couvert des (fausses) Lumières, ses politiciens et religieux ont imposé leurs lois sectaires et ségrégationnistes à travers les grandes écoles politiques
européennes, qui nourriront également le nouveau monde américain. Aujourd'hui encore, ils préparent les futurs dirigeants à leurs sombres rôles, qui, dans la continuité de cette énergie
luciférienne, représentent les réincarnations des "anciennes" royautés européennes. Ainsi le nouveau Président de la République depuis 2017 Macron, anagramme de "monarc"... Ils continuent à
l'insu de leur peuple à détourner la
connaissance universelle. Comme en Atlantide ou à Babylone, les "Illuminatis" et leurs relais dirigent toujours le système financier mondial, l'économie, la santé,
l'éducation, la justice..., ayant fait allégeance à ce dieu dominateur et prédateur à qui ils ont vendu leur âme, qui n'est autre que An/Enlil/Seth...
En avril 1920, à San Remo dans la région de Ligurie en Italie, la France et la Grande-Bretagne se sont partagé le Moyen-Orient lors de la conférence de la Société
des Nations (SDN) *. Ils obtiennent la Syrie et le Liban, pour la première, la Palestine et l’Irak, pour la seconde. Si le président américain Woodrow Wilson, favorable jusqu'alors à une "Société
des Nations" qui consacrerait le droit des peuples à l’autodétermination, est absent, il apporte tout de même sa caution aux visées impérialistes de Paris et de Londres au Moyen-Orient sous
couvert d’accompagner vers l’indépendance les Etats concernés. La réalité est bel et bien l’imposition d’une tutelle coloniale d’un type nouveau. Et dès le mois de juillet 1920, les troupes
françaises font mouvement de Beyrouth vers la Syrie pour y écraser les nationalistes de Damas, avant que sur les ruines de leur "royaume arabe" la France ne divise la Syrie entre un
"Grand-Liban", un "Etat de Damas", un "Etat d’Alep", un "Etat des Alaouites" et un "Etat des Druzes". La Grande-Bretagne de son côté doit aussi faire face à un soulèvement nationaliste en Irak,
finalement étouffé en octobre 1920. Ce n’est qu’en 1922 que Londres établit l’état-tampon de Transjordanie entre ses deux mandats de la Palestine et d’Irak, tout en intégrant la "déclaration
Balfour" dans son propre mandat sur la Palestine. Les conséquences d’un tel diktat continuent de peser sur la région de nos jours...
* La mémoire collective associe ce partage aux accords dits Sykes-Picot, conclus
quatre ans plus tôt entre les négociateurs anglais et français qui leur ont donné leur nom. Ces accords secrets, signés durant la Première guerre mondiale, n’ont cependant jamais été appliqués.
Ceciexplique pourquoi Daech, le bien mal-nommé "Etat islamique", prétendait alors "effacer" ces frontières dans le cadre de son supposé
"califat". Ces accords prévoyaient en effet le contrôle direct de la Grande-Bretagne sur les seules régions de Bagdad et de Bassora en Irak, avec une "zone d’influence" bien plus vaste. Quant à
la France, son contrôle direct se serait exercé sur le littoral syro-libanais, mais surtout sur la Cilicie, au sud-est de la Turquie actuelle, à forte population arménienne (les accords ont été
négociés alors même que le génocide arménien était en cours). La "zone d’influence" de la France aurait, elle aussi, été bien plus vaste. Quant à la Palestine, elle aurait bénéficié d’un statut
international.
Les trompettes de la guerre
La France et l’Iran ont une histoire très compliquée, jalonnée de coups tordus et de morts. Paris et Téhéran se livrent en effet une guerre depuis l’arrivée de
Rouhollah Khomeini (1902/1989 - photo 1) au pouvoir en 1979. Dans les années 80, une grande vague d’attentats secoue Paris, Téhéran faisant exploser sur notre sol quelques bombes pour récupérer
son uranium et sa très grosse bombe nucléaire, héritée d’accords passés entre la France et l’Iran sous l’égide américaine à l’époque… du Shah d'Iran ! Car depuis plus de 40 ans, l’Iran veut son
indépendance, et, pour la garantir, sa bombe atomique, le tout dans l’une des régions les plus sensibles du monde. La France devait lui fournir de l’uranium enrichi, ce qui aurait permis à ce
pays de se doter de l’arme nucléaire, ce qui n’était plus souhaité… C’est le très problématique contentieux Eurodif, une entreprise commune franco-iranienne créée en 1973, et qui devait
justement fabriquer l’uranium sur le site nucléaire du Tricastin dans la basse vallée du Rhône.
Le problème en effet est que Israël et l’Arabie saoudite, partenaires des États-Unis, préfèrent la guerre totale avec l’Iran plutôt que de devoir vivre sous la
menace d’un Iran nucléarisé. De son côté, la Russie, très fâchée par la politique américaine, soutient la Syrie et livre aussi tout ce qui est nécessaire à l’Iran afin d’assurer sa défense,
notamment les batteries antimissiles efficaces aussi bien contre les navires que les avions.
Compte-tenu de ce contexte, il y a dans cette poudrière une grosse montée des tensions et, à nouveau, des risques de guerre qu'un accord international (suspension
des sanctions contre l'Iran liées à son programme nucléaire) avait jugulé il y a quelques années, mais que l'administration Trump vient désormais de déchirer.
Ceci constitue un moment particulièrement amer pour les Européens, l’accord nucléaire ayant longtemps été considéré comme le couronnement de la diplomatie de
l’Union Européenne. Jusqu'à maintenant, les Etats-Unis via Donald Trump (photo 3) n’ont pas changé d’avis. Quant à Benyamin Netanyahu (photo 4), le Premier ministre israélien, il a présenté début
mai 2018 publiquement la "preuve" d'un programme nucléaire iranien clandestin.
Pas de quoi faire baisser la tension ni faire cesser le bruit des trompettes de la guerre qui, décidément, ces derniers temps, résonnent de plus en plus fortement,
la coalition tripartite États-Unis d'Amérique, Royaume-Uni et France (le ternaire patriarcal maçonnique) ayant préalablement agressé en avril la Syrie sous prétexte de détruire des dépôts
d'armement chimique, et ce quelques heures avant l'arrivée planifiée des investigateurs de l'OIAC (Organisation pour l'Interdiction des Armes Chimiques) sur les lieux. Sans doute auraient-ils
découvert, comme en Irak il y a quelques années, que le gouvernement Syrien ne possède ni stock, ni usine de production d'armes chimiques.
L'histoire semble ainsi se répéter. Peut-être la clé de compréhension du processus en cours réside dans les 3 couleurs alchimiques - Noir, Blanc, Rouge - des
drapeaux de la Syrie (photo 5) et de l'Union des Républiques arabes (photo 6), fédération créée en 1971 qui devait regrouper la République arabe libyenne, la République arabe d'Égypte et la
République arabe syrienne. La guerre trans-dimensionnelle, menée par l'axe "du mal" -la génétique Nazi-Atlante sur Terre -, voit en effet l'Iran, l'Irak, la
Libye notamment constituer son berceau, ces trois pays recélant également des portes dimensionnelles artificielles. C'est une guerre "génétique", qui de ce fait contourne l'intellect humain et
transcende notre perception du temps...
Engrenage
Depuis le premier trimestre 2021, l’Iran a beaucoup de problèmes : des navires sont mystérieusement endommagés, des installations nucléaires explosent
commele complexe nucléaire de Natanz le 11 avril,au lendemain de l’annonce en grande pompe par le Président iranien Hassan Rohani de la mise en service de 164 centrifugeuses avancées IR-6 à
Natanz et en pleines négociations à Vienne* pour tenter de débloquer le dossier du nucléaire. La guerre secrète contre les capacités nucléaires iraniennes est totale, menée entre
autres par Israël. Pour le moment l’Iran n’a pas répondu, préparant sa riposte, inévitable, ce sabotage ayant pour conséquence de retarder le programme nucléaire iranien pour une durée de neuf
mois.
Dans une logique de confrontation, les ennemis israéliens et iraniens se redoutent et se provoquent. Depuis l’assassinat du physicien iranien Mohsen Fakhrizadeh le
27 novembre attribué à Israël, le théâtre des tensions entre les deux pays s’est également déplacé en mer. Un navire iranien a été endommagé au large des côtes de Djibouti le 6 avril dernier. Au
mois de mars, un cargo iranien avait également été attaqué en mer Méditerranée, provoquant un incendie à bord. Vraisemblablement, les autorités israéliennes auraient agi en représailles à
l’attaque d’un navire civil israélien par une mine ventouse –attribuée à l’Iran– dans le détroit d’Ormouz. Quant ausol
syrien, il devient de temps à autre le théâtre d’affrontements directs entre les deux pays, l’aviation israélienne n'hésitant pas à mener des centaines de frappes contre les forces iraniennes
présentes en Syrie depuis le début du conflit en 2011.
C’est bel et bien une guerre non déclarée tous azimuts contre l’Iran, ses ennemis voulent l’empêcher d’avoir l’arme nucléaire et contenir ses visées expansionnistes
dans la région. Qui plus est, les alliés régionaux des États-Unis comme Israël ont peur que la nouvelle administration du président récemment élu Biden (photo 7) puisse revenir à cet accord, et
que cela aide l’Iran à reprendre son programme nucléaire.
*Les signataires restants du Plan d’action global commun (PAGC), à savoir la Russie, la Chine, l’Allemagne, la France, le
Royaume-Uni et l’Iran, se sont réunis à Vienne le 6 avril dernier pour entamer des négociations, l’objectif étant de pousser Américains et Iraniens à faire des concessions sur leurs positions
initiales pour sauver l’accord.
L'indispensable lever du voile noir de la conscience
L'humain croît être né libre. Pourtant, il passe le reste de sa vie en esclave, même doré. Telle est la seule vérité aujourd'hui. Pour se libérer, sauf à rester prisonnier de la cyclicité des
temps de la boucle involutive, il n'a pas d'autre choix que de reconnaitre cette réalité de prédation qui, coupée de la Source ou Matrice originelle, le manipule pour lui voler son énergie vitale
afin de se nourrir et de survivre. Comme nous avons une partie de sa génétique, nous n'avons pas d'autre choix que de l'accepter, et en comprenant comment nous fonctionnons, nous pouvons
comprendre comment elle fonctionne. C'est ainsi qu'en identifiant nos peurs et nos désirs égotiques, nous comprenons notre dénaturation, notre perversion, et pouvons mener un travail de
transmutation de toutes les mémoires constitutives*.
Ceci requiert de percevoir ces entités, qui apparaissent comme des "ombres noires", tout particulièrement à partir du moment où nous devenons un danger pour elles, c'est-à-dire que nous
comprenons les choses avec notre cœur et non pas avec notre mental. C'est bien l'intuition qui nous guide sur le chemin de notre libération. Mais l'écouter est difficile, tant cela va à
l'encontre du mode de fonctionnement du système. C'est pourquoi c'est si difficile.
Un des plus beaux témoignages athées jamais écrit sur l'Homme Jésus
Le psychiatre autrichien Wilhelm Reich (1897/1957) a écrit en 1953 The Murder of Christ(Le Meurtre du Christ), un livre poétique et philosophique, explicite et accessible à tous, qui permet de comprendre la vie, l’amour et l’humanité dans la beauté et la
vérité… Pour Wilhelm Reich, le Christ représente la personne la plus vivante que nous puissions imaginer, l’incarnation intégrale de la force de vie imprégnée d’amour, de courage et d’intuition
spirituelle. Plutôt qu’un être qui intervient miraculeusement de l’extérieur de ce monde, il est le participant le plus sensible et le plus totalement engagé dans le monde. Le meurtre du Christ,
reproduit en chaque être humain par l'esprit prédateur qui le contrôle et le domine, est le déni de cette potentialité suprême en nous-même, relayé tout particulièrement par les scientifiques et
les philosophes qui ont lancé une nouvelle "vertu", soit l’idéal parfait de la "LIBERTÉ d’ÉMOTION" qui pèse depuis comme jamais sur les relations humaines, tels que la chantent les vendus
de la politique, les bavards philosophes de la libération des peuples et tous les libérateurs "mystiques". Certes ils ne portent pas seuls la responsabilité de la misère humaine en colportant la
"liberté", le "pain", la "démocratie", la "paix", la "volonté populaire" et tous les autres slogans de leur répertoire. Mais on peut leur reprocher de persécuter TOUS CEUX qui se donnent la peine
de DÉFINIR la liberté, de mettre le doigt sur les OBSTACLES se dressant sur le chemin de l’auto-gouvernement et de la paix…
Extrait : L'Amour, l’Œuvre et la Connaissance sont les inépuisables ressources de notre existence : qu'elles la régissent donc
!
L'humain naît égal à l'humain, mais il ne grandit pas égal à l'humain.
L'humain a édifié de grandes doctrines, mais chaque doctrine particulière a été l'instrument de son asservissement.
L'humain est le fils "Fils de Dieu" créé à son image, mais l'humain est un "pécheur", une proie pour le "Démon". Comment peuvent coexister "Démon et Pécheur", si
Dieu seul est le créateur de tous les êtres ?
L'humanité, en tenant compte du fait qu'un DIEU parfait a créé le monde et l'humain, n'a jamais réussi à répondre à la question de savoir comment peut exister le
MAL, ce MAL qui les régente.
L'humanité n'a pas réussi à instaurer une vie morale en correspondance avec son Créateur.
L'humanité a été ravagée par des guerres et des meurtres de toutes sortes depuis le commencement de l'Histoire écrite. Aucune tentative pour remédier à ce fléau n'a
jamais trouvé de succès.
L'humanité a développé plusieurs formes de religions. Chaque religion en particulier s'est inversée en éléments d'oppression et de misère.
L'humanité a tissé plusieurs systèmes de pensée pour affronter la Nature, mais la Nature, fonctionnelle, ainsi qu'elle est réellement et non pas mécanique, lui a
glissé entre les doigts.
L'humanité a couru après chaque brindille d'espoir et de connaissance. Mais après trois millénaires de recherche, d'inquiétude, de chagrin, d'assassinat pour cause
d'hérésie, de persécution pour cause de non-conformité, elle est arrivée a un peu plus qu'un semblant de confort pour un petit lot de l'humanité par des automobiles, des avions, des
réfrigérateurs et des radios.
(...)
Rudolf Steiner, un anthropologue de génie interdit
Né au milieu du XIX° siècle, conjuguant rigueur scientifique et investigation occulte, lephilosophe et anthropologue autrichien Rudolf Steiner (1861/1925) fit des découvertes considérables dans tous les domaines, expliquant que des écoles et des universités
fonctionnent encore de par le monde sur ses bases, sans pour autant bénéficier d'une quelconque aide publique et étant considérées comme des sectes. Si les "steineriens" sont ainsi mis à l’écart,
c'est qu'ils disent des choses simples mais rares : "Pour s'élever très haut dans la culture, il faut faire de la force de l'amour une force de connaissance. Il ne s’agit pas ici du sentiment
généralement connu sous ce nom. L'amour que nous avons en vue est celui qui nous rend capable de nous sentir un avec des êtres subtils dans l’au-delà du monde physique, à nous sentir vraiment un
avec eux, de manière à éprouver ce qui se passe en eux aussi bien que ce qui se passe en nous et à sortir, par conséquent, complètement de nous pour revivre avec eux. Au cours de la vie humaine
ordinaire, l'amour n'atteint pas ce degré auquel pourtant il faudrait qu'il s'élève pour devenir un pouvoir de connaissance."
Ce texte élevé résume la discipline prisée de Steiner, l’Anthroposophie, voie de connaissance devant "conduire le spirituel en l’être humain jusqu’au spirituel dans
l’univers". Ce principe a conduit Steiner à formaliser "l’évolutionnisme christocentrique", où il s’agit, pour l’homme moderne, "d’assumer pleinement les acquis de l’histoire spirituelle de
l’Occident en vue de leur transmutation, non pas de s’en remettre à une Tradition primordiale dont on attendrait passivement les manifestations sous forme de nouveaux avatars divins". Sa pensée
consiste à rendre l’homme responsable de sa propre destinée en cultivant la vie de l’âme tant en lui-même que dans la société, en se fondant sur une véritable connaissance du monde spirituel.
Loin d’être une secte malfaisante, l’Anthroposophie constitue une voie de connaissance, se gardant d'être une démarche "ésotérique" par son ouverture résolue vers l’action sociale et
communautaire. Autre aspect fondamental, elle consacre le lien qui existe entre les différentes formes d'une démarche artistique et l’esprit, la lumière de la vision spirituelle devant briller
dans l’art afin d'être fécondée. L'âme quant à elle est originellement androgyne, à la fois masculine et féminine, les aspects du genre s'étant progressivement dessinés pour provoquer à la longue
une "séparation des sexes". La conséquence est que le corps a perdu la faculté de s’autoféconder. Selon Steiner, la perfection est atteinte quand les polarités masculine-féminine fusionnent,
l’âme acquérant alors la faculté de collaborer avec l’esprit. Quant au Christ, il est un être divin qui, en s’incarnant, s’associe à l’humanité pour lui insuffler de nouvelles forces vitales. Sa
mort et sa résurrection constituent "le point de retournement" de l'humanité qui, au lieu de continuer le processus de descente où elle était entraînée, inaugure une nouvelle ère, cette fois dans
le sens d’une ascension. C’est "l’impulsion du Christ" qui permet de "saisir le plan spirituel".
Le rayonnement de l’œuvre de Rudolf Steiner tant en Europe que dans le monde est bien plus qu’un simple courant idéologique, enseignant que comprendre le monde ne
peut être atteint que lorsque nous nous comprendrons nous-même, permettant alors de rejoindre notre Source originelle. C'est pourquoi le Gouvernement Occulte l'a rejeté et tancé*, la pureté et la
profonde vérité de sa pensée ayant été voilée pour que le monde ne soit pas tenté de suivre ce mouvement ascensionnel si dangereux pour la stabilité de l’Ordre établi. Il ne manquerait plus que
le bétail humain s’imagine un jour pouvoir devenir le divin...
* Il fut et est encore accusé d'avoir nourri l'idéologie fasciste... ce qui laisse songeur quant à la compréhension de son œuvre par ses trolls
propagandistes.
Philosopher sur la signification de la VIE est inutile aussi longtemps qu'on ne sait pas ce qu'est la VIE. Il en est de même sur DIEU, qu'il est peu utile de rechercher ou de servir tant qu'on
ignore qui on sert vraiment. Or depuis que les scientifiques, les philosophes et les théologiens nous racontent la "belle" histoire civilisationnelle, tout semble converger vers cet unique et
simple fait : il y a quelque chose de fondamentalement et décisivement faux dans la trame entière des procédés humains visant à l'acquisition d'une connaissance de lui-même. Le point de vue
mécanico-rationaliste a complètement fait faillite, car si l'être humain est censé s'élever en conscience grâce à lui, le résultat constaté est inversement proportionnel à l'intention préalable.
Avec comme seules explications données que soit l'homme est intrinsèquement pervers/mauvais à la base, et/ou que c'est la faute à l'autre, puisque soi-même est bien évidemment irréprochable ou de
bonne volonté ...
Alors à quoi sert le religieux ou la politique, si ce n'est d'entretenir l'illusion qu'ils travaillent sans cesse à l'amélioration de l'existant tout en tenant compte des inévitables
imperfections congénitales tant de Dame Nature que de ses créatures. Autant dire une impasse existentielle, qui voit une minorité élitaire s'ériger en sauveur d'une majorité appelée à demeurer
servilement à sa place, le tout intégré au pire dans la dictature, au mieux dans les trompe-l’œil de la démocrature.
Autant dire que toute l'agitation philosophico-religieuse-politico-médiatique quotidienne n'est que l'écume jetée sur la conscience, et que rien ne peut changer et ne changera dans cette réalité
terrestre sous coupe d'une force d'asservissement située sur un autre plan de conscience. Ne pas le comprendre et l'accepter conduit inéluctablement à une impasse, sauf bien entendu à la
satisfaction de ses pulsions matérialistes. Autant dire les stigmates de l'être humain esclave de son petit moi dégénéré, qui tout en s'offrant de temps à autre quelques volutes extatiques
mystiques, préfère sa soumission à la sécurité illusoire du système prédateur. Totalement ignorant de ses conséquences, il est tel le lièvre de la fable : il croit gagner par un cours sprint le
marathon de la Vie, s'apercevant trop tard de l'inconséquence de son choix.
Pourtant la clé de libération ne cesse d'être mise sous les yeux de l'être humain par les baladins du cœur, qui l'écrivent, le chantent, le peignent, le sculptent ... Il est ce qui est de plus
important, puisqu'il permet la Vie, qui ne pourrait être sans lui. Difficile à nier, sauf pour les anthropoïdes ou portails organiques qui n'en connaissent pas le parfum subtil, il se nomme
l'Amour. Non le petit amour humain teinté de sentimentalisme, d'attaches, de culpabilité et d'aveuglement, expliquant que nul n'y croit réellement. C'est l'Amour de Ce Qui Est, tel que l'a
enseigné le Christ, et dont la manipulation des écritures saintes a retenu le Aimez-vous les uns les autres pour justifier son humanisme incantatoire trompeur.
Or qu'est-ce que l'Amour sans Connaissance ? Et comment l'être humain peut-il aimer être privé de Connaissance, puisque selon le mythe biblique il fut chassé du Très-Haut céleste pour avoir voulu
goûter à son arbre, par la soi-disant tentation d'une femme écervelée incapable de résister à ses pulsions* ? C'était le moyen du système prédateur dégénéré de pervertir la sexualité, à jamais
source de culpabilité d'avoir voulu réaliser l'étreinte de ses deux corps constitutifs - masculin et féminin - afin de goûter à l'étreinte naturelle de la Vie. Et c'est ce que le Christ est venu
enseigner et témoigner de son union accomplie avec Marie Magdala, dusse ceci choquer les esprits étriqués formatés par deux millénaires de lavage cervical ...
La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance
supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.
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