Les "clés libératrices" en ligne font l'objet de constantes mises à jour et nouveaux enrichissements. Leur formulation n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.
Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou officines de la doxa scientifique officielle tel Psiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique, et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.com ou la plateforme de vidéo en ligne canadienne basée à Toronto Rumble, ou encore le site d'hébergement de vidéos "alternatif" Crowdbunker.
Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par
son propre travail de recherche, libre et indépendant.
C'est ainsi que procède le chercheur de vérité.
Publication complémentaire à Les acteurs de la Matrice falsifiée.
Préalable
La compréhension de ce qui suit nécessite d'accepter un postulat, qui de plus en plus émerge à la conscience de nombre d'êtres humains en cours d'éveil : nos origines sont toutes autres que celles que nous pensions et croyions. Sans cette compréhension fondamentale, ce qui suit relève de la science-fiction, le lecteur pouvant en faire l'économie sauf à nourrir sa quête de sensationnalisme et de voyeurisme.
Cf. Préambule de compréhension & Vérité civilisationnelle.
Aurions-nous notre place dans cette galerie - (très) incomplète - de portraits de personnalités dirigeantes identifiées comme psychopathes à des stades plus ou moins marqués dans leur domaine respectif, et tout particulièrement celui relevant du champ politique ? Non bien sûr ! En sommes-nous cependant sûr(e) ? Si certaines depuis longtemps cataloguées comme telles, à l'instar de Caligula et Néron, en passant par Hitler, Staline et Mao, ne surprennent pas outre mesure au palmarès de la "père-version" - la polarité masculine électrisée (indépendamment du genre sexuel) -, d'autres plus récentes, fondues dans les paysages aseptisés des démocraties contemporaines et prises en charge par leurs doctes communicants, interpellent.
C'est pourquoi certains travaux réalisés sur les psychopathes, sinon les schizoïdes dans leur version "soft", qui nous gouvernent, peuvent éclairer sur ces traits de personnalité qui, quoi qu'apparaissant sur notre planète terrestre sous forme humaine, pourraient pourtant ne pas correspondre à des êtres humains...
Amorales, ne ressentant pas de sentiments quoi qu'elles disent et expriment, sans cœur quoi qu'en disent leurs fidèles serviles, elles ne montrent en effet aucune connexion avec, aucune compréhension de ce que nous appelons "moralité", "éthique", "honnêteté", "décence", "fair play", etc. Elles n’ont pas la faculté que nous appelons empathie, découlant de la sentience*, sauf à parfaitement la simuler et de ce fait de tromper celles et ceux qui n'ont pas aiguisé leurs radars intrinsèques, faute d'avoir travaillé consciencieusement et lucidement sur eux. Elles n’ont pas cette possibilité humaine que nous appelons introspection. Si dans un environnement urbain les criminels tiennent le même rôle que les prédateurs dans la nature, à la différence des animaux, les stratégies utilisées ainsi que les motivations varient largement de l'un à l'autre, dans un infini dégradé destiné à assurer leur domination destructrice dans le rôle programmé interprété.
* Cf. L'expérience émotionnelle.
Depuis l'avènement des "Lumières" et l'accès progressif aux savoirs dans leurs domaines respectifs, l’être humain a passé des siècles à essayer de comprendre ces créatures comme une forme déviante de sa nature première, "être dans sa version la plus élevée" telle que dépeinte par les textes sacrés, les philosophies existentielles, les baladins et poètes du cœur, soit la capacité à être une unité de conscience lectrice du champ informationnel cosmique ("l'onde")... En vain*. Pas seulement en vain d'ailleurs, mais à un coût conséquent pour notre civilisation. Ces créatures ne seraient pas que des êtres humains "qui ont mal tourné", même si indéniablement elles en comptent, ceux-ci n'ayant pas encore réussi leur processus d'individuation*². Elles apparaissent également pour partie d’une espèce différente, dédiée au meurtre des valeurs humaines en prélude au meurtre des êtres humains, le génocide de la conscience civilisationnelle ! En dépit de leur grande intelligence pour nombre d'entre elles, elles pourraient toutes candidater pour l'obtention d'un "Darwin award"...
* A la fin du XIX° siècle, le sociologue criminologue italien Enrico Ferri (1856/1929) avait déterminé cinq classes de criminels : les criminels aliénés, les criminels nés, ceux par habitude acquise, ceux par emportement de passion, et les criminels d'occasion. Bien qu'une telle classification soit intéressante, on pourrait très certainement la simplifier davantage. Ce faisant, on s'apercevrait alors qu'il n'existe finalement que deux sortes de malfaisants : le non psychopathe et le psychopathe...
*² Cf. Qu'est-ce que l'Homme ? & Fonctionnement du corps biologique.
Candidature à un Darwin Award ("Prix Darwin")
Ces récompenses sarcastiques ont été créées sur Internet en 1993 par l'américaine Wendy
Northcutt, à l'époque étudiante en biologie moléculaire, et nommées en référence au naturaliste et paléontologue
anglais Charles Darwin (1809/1882), auteur du texte fondateur de la théorie fumeuse de l'évolution*. Elles sont décernées le plus souvent à titre posthume à des personnes étant mortes ou ayant
été stérilisées à la suite d'un comportement particulièrement stupide de leur part*², et ce pour avoir par leur comportement "contribué à l'amélioration globale du patrimoine génétique humain".
On sous-entend de cette manière que la stupidité à l'origine de leur décès ou de leur stérilité serait due à un patrimoine génétique défavorable à l'espèce humaine, et qu'il vaut mieux qu'elles
ne l'aient pas transmis !
* Cf. Vérité civilisationnelle.
*² L'enquête réalisée en décembre 2014 par une équipe de chercheurs de l'université de Newcastle, et publiée dans le British Medical Journal, montre que les hommes représentent 88,7 % des vainqueurs des Darwin Awards. Ils contribuent de cette manière à la "théorie du mâle idiot" (male idiot theory).
Ces créatures en effet ne pensent pas humain. Elles ne parlent pas humain. Elles ne savent pas ce que c’est que d'être humain. C'est pourquoi elles sont classifiées par certains observateurs comme "anthropoïdes" pour les distinguer des "humanoïdes". Et comme nombre d'entre nous sommes totalement aveuglés, hypnotisés, anesthésiés, conditionnés et manipulés, dans le déni de notre êtreté profonde que nous ignorons, nous trouvons forcément ce constat comme exagéré, irréaliste sinon insupportable.
Un constat d'actualité
Les "élites" qui nous gouvernent ont leurs vanités et leurs fantaisies. Les pauvres, les opprimés, les oppressés, les masses à moitié intelligentes et à moitié stupides, les classes ouvrières dites laborieuses - industrielles, artisanales, agricoles -, les paient. Elles ordonnent la guerre, au sens propre comme figuré. Ils la font, paient les impôts, sont surtaxés de multiples manières, font la queue, remplissent des formulaires et attestations, attendent leurs ordres. Elles vont jusqu'à introduire des cours de tirs obligatoires pour les élèves du primaire par pistolets à balles ou à air comprimé afin de les préparer aux scénarios de défense et de crise, comme en Pologne fin 2024, invoquant des inquiétudes croissantes concernant les actions militaires de la Russie.
De tous les criminels qui sévissent dans la société, le psychopathe de type "mpns" (manipulateur-pervers-narcissique-sadique) est de loin le plus destructeur, le plus prospère, et le moins compris. De par sa perversité intrinsèque et ses troubles de personnalité antisociale caractérisés par la froideur, l'égoïsme, le calcul et le sans émotion, il figure en tête de liste dans le classement des plus dangereux prédateurs de la planète. La psychopathie infecte la totalité du spectre de l'humanité, sans égard à la race, la culture, le pays, le niveau social ou le type de personnalité. Elle est distribuée dans la population de la même manière que l'on naît gaucher. On s'aperçoit qu'une personne est gauchère lorsqu'on la voit écrire ou attraper une balle. Idem pour le psychopathe : il passe en général inaperçu jusqu'à ce qu'on le voit faire une chose qui trahit son manque total de conscience de ce que veut dire Être Humain. Son ascension à des positions de pouvoir au sein des gouvernements, des institutions et des entreprises, privées comme publiques, est un sujet sur lequel petit à petit la société prend conscience*.
En effet, le psychopathe est une excellente pièce du puzzle dans la pyramide structurelle*² de la société, du fait de sa "conscience instinctive" aiguë de qui est le décideur et sur laquelle il peut compter pour toujours agir dans son propre intérêt tel qu'il le perçoit. Plus l'environnement est compétitif, plus impitoyables deviennent les stratégies de triche, de manipulation et de cruauté. Dans les hautes sphères du pouvoir institutionnel, de la finance et des intérêts marchands, l'absence de pitié et de remords est pratiquement un prérequis au succès (Cf. vidéo ci-dessous), seule une mentalité de psychopathe pouvant permettre d'y accéder et d'y survivre, hors exception. Les actions des psychopathes sont totalement sans conscience et sans bénéfice pour les autres, simples pions nécessaires. Si les actes de fraude aux plus hauts niveaux font partie de l'exercice du "business", et l'inaction vis-à-vis d'une enquête/accusation sont ordonnés et encouragés (Cf. affaires récentes comme Volkswagen, Lafarge Holcim, Alsthom, FIFA, FTX, Pfizer & Cie), ceci traduit clairement l'intention cachée du niveau supérieur, soit la force prédatrice asservissante du champ terrestre*³.
C'est ainsi que les postes au sommet sont occupés la plupart du temps, à de rares exceptions, par des individus dépourvus d’une capacité suffisante à ressentir et comprendre la plupart des gens, et qui font preuve de déficience dans l’imagination technique et les qualifications pratiques, facultés indispensables dans la gestion de l’économie et de la politique. C'est le cas dans le monde politique, un petit monde qui ressemble à un conseil d’administration familial détenant 51% des parts, qui fait ce qu’il lui plaît dans un entre-soi apparenté à une secte, en se fichant totalement du vote des actionnaires minoritaires, les citoyens. Alors que ce sont eux justement, les minoritaires, les citoyens étant majoritaires mais filoutés par le jeu pervers de la démocratie représentative !
Le résultat de ces psychopathes patentés élus de manière en apparence démocratique, souvent qui plus est avec l'aide de bidouillages et autres triturages électroniques (Cf. États-Unis en 2020, France en 2022, Brésil en 2023, Moldavie en 2024...), est une crise extrêmement sévère dans tous les domaines, tant à l’intérieur du pays en question que par rapport aux relations internationales. À l’intérieur, la situation devient intenable, même pour les citoyens qui sont parvenus à se faire un nid et à trouver un relativement confortable modus vivendi. Une telle situation ne peut durer très longtemps !
* Nombre d'études récentes indiquent qu'un pourcentage non négligeable de dirigeants d'entreprise montrent des traits psychopathiques. Même si elles sont
contestées quant aux pourcentages d'individus concernés, à la teneur des échantillons constitués, aux branches de métiers concernés, et qu'il peut y avoir pour nombre d'experts une "bonne
psychopathie", il n'en demeure pas moins que l'exercice du pouvoir dans le monde du libéralisme économique tel que pratiqué (un faux
libéralisme en réalité) fait appel à des "qualités" - séduction et charisme, intelligence pragmatique, capacité sans pareille à mentir et à la manipulation - qui découlent de traits caractériels
égoïques, l'humain n'étant qu'une variable d'ajustement permanente. Autrement dit, au royaume des valeurs inversées, les titres décernés de "dirigeant de l'année", quelle que soit l'expertise
concernée (PDG, DG, DRH...), consacrent la plupart du temps de sacrés prédateurs que les foules naïves acclament béatement. C'est le syndrome de Stockholm par excellence, qui voit les victimes se
délecter de leurs bourreaux.
*² Cf. Le modèle pyramidal décodé.
*³ Cf.
Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.
Cf. en complément livre "La ponérologie politique" (l'étude du mal purgée de toute connotation religieuse) du psychiatre polonais Andrew Lobaczewski.
"On croit mourir pour la patrie ; on meurt pour des industriels"
François Anatole Thibault dit Anatole France (1844/1924), écrivain français
Estimation géographique des psychopathes (en pourcentage)
États-Unis : 23% (environ 75 millions de personnes)
Grande Bretagne : 14%
Israël : 42%* (53% pour les Juifs ashkénazes)
France : 10%
Russie : 17%
Espagne : 2,6%
Chine : 0,9%
Population mondiale : estimation aux alentours de 6%/7% pour les psychopathes dits actifs (ou essentiels), les femmes représentant quant à elles à peu près 1,5%, les psychopathes secondaires*² étant estimés aux alentours de 12%. Au total, environ 18 à 19 % (soit un cinquième, autrement dit presque un individu sur 5 !) d’une population donnée œuvrent activement à la création et à la domination d’une pathocratie, ou font des tentatives qui vont dans ce sens.
* Les psychopathes sont capables de comploter le génocide d’un peuple, comme celui des Palestiniens. Les personnes de conscience n’en sont pas capables. Si une personne peut être tuée dans le feu d’une dispute émotionnelle, plusieurs milliers peuvent mourir en raison d’un froid calcul. Autrement dit, la violence psychopathique est instrumentale, prédatrice, constitutive d'un moyen d’arriver à ses fins. Là se trouve la clé de compréhension de la notion biblique de peuple élu, le faux texte sacré soi-disant explicatif de la Création, soit un peuple choisi (en tout cas pour nombre de ses représentants) pour effectuer un tel travail...
*² Il s'agit d'individus qui sont nés "normaux", mais qui sont déformés par une exposition à long terme à des éléments psychopathiques via les
influences familiales ou sociales, ou qui, par quelque faiblesse psychique/cognitive, ont choisi de satisfaire aux exigences de la psychopathie pour leurs propres buts
égocentriques.
Source : échanges télépathiques avec les Cassiopéens de janvier 2010, qui sont des intelligences hyperdimensionnelles ou centres de pensée issus d’un même groupe
de consciences galactiques, au même titre que les intelligences et formes de vie arcturiennes, pléiadiennes, léonines ou
autres.
Five fingers death punch ("La main mortelle")
A titre d'exemple sur la "main mortelle" qui envoie à la mort les êtres humains, une enquête du magazine New York Times a révélé fin 2023 que de nombreux soldats des troupes envoyées pour bombarder l’État islamique en 2016 et 2017 sont rentrés aux États-Unis en proie à des cauchemars, des crises de panique, des dépressions et, dans quelques cas, des hallucinations, l’armée ayant eu du mal à comprendre ce qui n’allait pas. Dans toute l’unité du Alpha Battery, 1st Battalion, 11th Marines, les soldats rentraient même chez eux en se sentant maudits, ceci s'étant produit également dans d’autres unités d’artillerie des Marines et de l’armée. Ainsi, des marines autrefois fiables sont devenus imprévisibles et étranges. Certains sont aujourd’hui sans abri, les trottoirs de San Francisco et désormais de Los Angeles notamment en regorgeant. Un nombre impressionnant d’entre eux ont fini par se suicider ou ont tenté de le faire, vivant comme des zombies sous l'emprise des psychotropes ingurgités.
Névrose élitaire
Nous vivons dans une névrose de la toute-puissance du langage truqué, propre à un monde d’illusionnistes, de marionnettistes, de bonimenteurs et de ce fait de charlatans, les "supposés (grands) sachants". Cette névrose a pour objet de nous désadapter de tout éveil à la réalité de ce monde. Et c'est pourquoi nos "doctes" docteurs, les Diafoirus*, sont encore plus névrosés, malades que leurs patients, les gens du commun, les gens dits d’en bas. La raison est que les gens du commun se coltinent généralement avec plus ou moins bon sens le réel, le transforment, l’assument, en portent le fardeau. Ils restent en contact avec lui, et donc ils le connaissent d’expérience. Les "hauts sachants" ne connaissent que les romans, les discours, les récits qu’ils se transmettent entre eux, dans leurs cercles restreints réservés aux pseudo initiés par les codes attribués (loges maçonniques, clubs business, think tank...). Le but de leurs discours n’est pas de conduire la société vers un mieux-être, un vivre-ensemble harmonieux, mais de gagner des élections, de franchir les jalons de l’échelle sociale, de s'enrichir et de préserver les positions acquises, et ce par l'administration d'un modèle social fondé sur la maximisation à tout prix du profit pour le bénéfice de leur classe.
Leur volonté personnelle de puissance, leur volonté de domination de groupe, de classe, ce premier communautarisme qu'ils ne cessent pourtant de stigmatiser à l'encontre d'autrui, est leur seul guide. Leur névrose est de constamment détourner l'attention de leurs sujets, ou plutôt objets, de la configuration de la route conduisant à l'expression de ce que veut dire ÊTRE humain. Elle consiste à provoquer toujours et encore une "rupture métabolique" entre l’homo sapiens sapiens et la Nature, pour en perturber et interdire le précieux équilibre entre les espèces et la planète... Il s'agit fondamentalement par l'utilisation de théories fausses de générer des virus dangereux, consistant à privilégier le gaspillage à outrance et l’imprévoyance sur la frugalité raisonnable, afin d'alimenter la recherche sans fin du profit, le profit pour le capital. Et bien sûr, ils sont dans le déni de leurs constantes machinations, s'attachant à créer un mirage d’ignorance pour se protéger de la responsabilité de leur comportement criminel ou contraire à l’éthique. Et plus ils essaient de s’écarter de la vérité, plus leurs déviations sont douloureusement et manifestement fausses, l’establishment n’ayant d’autre choix que de doubler et tripler les mensonges pour éviter que la vérité n’éclate, sinon tout s’effondre sur eux. Au final, si les "théories du complot" commencent par être moquées, elles sont ensuite acceptées une fois qu’il devient évident qu’il s’agit de faits complotistes, le comploteur n'étant pas celui qui était censé l'être par son regard lucide et objectif.
Ayant colonisé le politique, ils exercent un pouvoir destructeur non seulement par l’exploitation du travail et des relations sociales, mais aussi par la dégradation de la nature. Rien d'étonnant alors à ce que nombre de catastrophes découlent de cette incessante bousculade de ses harmonies qui nous dépassent et dont nous n’avons pas ou plus conscience, la posologie administrée de la division du travail, de la parcellisation des connaissances et de la généralisation d’optimisations partielles faisant ainsi son œuvre sinistre. Ils organisent tout simplement en cette fin de cyclicité civilisationnelle la disparition du "monde", au sens humain s'entend, conformément à l'agenda occulte*² dont ils sont les relais terrestres programmés à leurs dépens, sauf exception...
* Nom de deux médecins dans la pièce "Le malade imaginaire" du comédien et dramaturge français Molière (1622/1673). Monsieur Diafoirus et son fils Thomas, "grand benêt nouvellement sorti des écoles, qui fait toutes choses de mauvaise grâce et à contretemps", sont deux cuistres grandiloquents et rétrogrades dont le charlatanisme finit par éclater au grand jour.
*² Cf. Prophétie du changement.
Les psychopathes du Forum économique mondial (WEF) de Davos
La 54ème réunion annuelle du Forum Économique Mondial (WEF), cet événement dit d’élite auquel participent quelques 2 800 leaders de 180 pays, soit un état major de riches executives (décideurs en français) - grands patrons et directeurs généraux de grosses boîtes qui ne sont cependant que de simples "salariés" du secteur privé, autrement dit de vulgaires subordonnés interchangeables -, politiciens, journalistes, guest-stars du "people show" et autres figures parasitaires, s'est déroulée en janvier 2024 à Davos, petite commune en Suisse et station alpine nichée dans la vallée enneigée de Landwasser.
Cet événement dont le thème était "Reconstruire la confiance" était placé sous les feux de la rampe pour son caractère atypique en raison du culte du secret qui l'entoure, expliquant qu'il est depuis longtemps controversé en raison de l’hypocrisie qui accompagne ses travers extravagants (caviar et champagne à profusion, desserts à la feuille d’or, selfies de stars...), notamment la venue de nombre de décideurs en jets privés dans des chalets ou hôtels luxueux au chauffage conséquent, et ce à l'heure du discours culpabilisant et des mesures visant à taxer lourdement pour les gueux et autres manants les comportements attentatoires à l'empreinte carbone pour cause de dégâts causés à la planète. Et bien sûr cette réunion des prétendus grands hommes de ce monde constitue une opportunité d'affaires hors norme pour les habitants propriétaires de locaux à louer, trouvant là une excellente occasion de générer des revenus substantiels, puisqu'avec seulement une cinquantaine d’hôtels complets et un nombre limité de résidences de vacances offrant environ 25 000 lits aux visiteurs, Davos est à la limite de sa capacité d’accueil. Même les participants qui séjournent dans les villes voisines de Klosters, Bad Ragaz ou même Zurich contribuent à un véritable boom des revenus, que l’on n’observe généralement qu’en été. Les logements sont généralement réservés des mois à l’avance, même la chambre la plus abordable sur Airbnb coûtant la coquette somme de 1 614 dollars par nuit, et ce pour une salle de bain commune dans un appartement résidentiel.
Derrière le vertueux paravent du traitement des questions mondiales telles que le changement climatique, la protection de la santé et le développement de l’intelligence artificielle, se cache la décadence morale de nombre de ces participants, ceux-ci faisant appel à des escorts* et autres extravagances en poudre ou cachet pour assouvir leurs fantasmes et perversités. Le tabloïd allemand Bild a rapporté ainsi que la demande de prostituées explosait pendant la durée du forum, nombre de PDG les réservant dans les suites de leur hôtels pour eux-mêmes comme pour leurs employés. Les coûts pour de tels services sont d’environ 2 000 francs suisses, soit 2 135 € pour quatre à douze heures.
Est-il nécessaire de rappeler que l'écrivain, essayiste et journaliste britannique Eric Arthur Blair, plus connu sous son nom de plume George Orwell (1903/1950), avait choisi dans son célèbre roman dystopique Animal Farm. A Fairy Story ("La Ferme des Animaux") de personnifier les leaders en cochons. Et comme le bon sens paysan nous renvoie toujours à nos racines, il convient de se rappeler que l'usage à la campagne est de pendre le porc appelé communément le cochon, de l’égorger, de le vider de son sang, tous ses organes étant utilisés pour se nourrir.
* Les escorts sont des femmes ou des hommes qui offrent leur compagnie pour une période convenue en échange d’une rémunération. En règle générale, il s’agit d’une forme de travail du sexe autrement nommée prostitution.
"Les riches c’est fait pour être très riches, et les pauvres, très pauvres"
Don Salustre dans La Folie des grandeurs (film de Gérard Oury sorti en 1971, librement adapté de Ruy Blas de Victor Hugo)
La dérive "survivaliste" des élites
Bien que se moquant en apparence des thèses conspirationnistes et complotistes qui fleurissent tout particulièrement sur Internet et les réseaux sociaux, nombre de
milliardaires et autres membres de la caste dite élitaire, notamment les gourous de la technologie avides d’argent et de
pouvoir, ne pensent qu'à une seule chose : où se réfugier au cas où cela tournerait mal si jamais advenait
l'apocalypse, qu'elle soit nucléaire, climatique ou surtout sociale et politique, et savoir comment s’assurer que les forces
de sécurité qu’ils embauchent ne se retournent pas contre eux une fois que tout aura explosé, l’effondrement étant environnemental conjugué aux troubles sociaux, l’explosion nucléaire, la tempête solaire, le virus imparable ou le piratage informatique malveillant qui
détruit tout. Ils sont devenus adeptes du "survivalisme", mouvement consistant à se préparer à survivre à la fin de la civilisation, à l'instar de l’immense et mystérieuse propriété insulaire de Mark Zuckerberg, le PDG de Meta (ex Facebook), qui comprend un bunker souterrain avec
une porte métallique remplie de béton, une trappe d’évacuation et une collection de "11 cabanes en forme de disque" reliées par des ponts de corde "permettant aux visiteurs de passer d’un
bâtiment à l’autre tout en restant à la cime des arbres" (en plus d’une infrastructure de sécurité extrême, le complexe de Zuckerberg (image ci-contre)
comprend environ 12 bâtiments, dont plusieurs maisons d’hôtes et des structures destinées à l’agriculture et à l’élevage). Derniers en date, le président
démocrate Joseph Robinette Biden et son épouse Jil, qui ont obtenu un permis les autorisant à construire un bunker dans leur Etat du Delaware, dans lequel ils espèrent peut-être échapper aux
poursuites pour corruption qui s'annoncent suite à la défaite du clan démocrate aux élections présidentielles de novembre 2024 et les révélations appelées enfin à être publiques issues du lap top
de leur fils Hunter.
Le très sérieux magazine The New Yorker y a d'ailleurs consacré un dossier* à ces sociopathes qui ont détruit la planète, repris par d'autres publications à travers le monde. Leur seule obsession est de se préparer au pire,
compte-tenu des faits observés : forte montée des nationalismes, radicalisation intégriste, volonté de dégagisme des élites en place, risque de conflit nucléaire, réchauffement et
perturbations climatiques, insécurité... Beaucoup consacrent leur temps et leur argent à se bâtir un refuge bunkérisé, inviolable, tout particulièrement dans des endroits reculés ou isolés (île
déserte, Nouvelle-Zélande...), et équipé comme il se doit en énergie solaire, vivres, armes et munitions. Ils réfléchissent aussi à construire des robots non humains pour servir de gardes et de travailleurs pour leurs "paradis" souterrains et dystopiques dans lesquels ils s’attendent à survivre une fois que
la société s’effondrera. Mais la cause principale des tourments de ces "preppers predators" (prédateurs prévoyants en français) est la conscience très vive qu'ils ont des inégalités
extrêmes, en particulier aux États-Unis, phare du capitalisme libéral mondial.
Le paradoxe de ce mouvement survivaliste, c'est que plutôt que de proposer de faire quelque chose pour résoudre la question des inégalités et donc éloigner au moins
le risque d'explosion sociale, la seule réponse envisagée est de se protéger individuellement, non de remettre en cause leur avidité prédatrice sans limites, à l'instar du club exclusif des
éminents supermilliardaires - Mark Zuckerberg PDG de Meta, Elon Musk PDG de
Tesla, Jeff Bezos fondateur d’Amazon - qui ont atteint en 2024
la barre des 200 milliards de dollars parmi le contingent des 2 781 personnes milliardaires (sur une population mondiale de
près de 8 milliards), tous prétendants à la richesse suprême.
Ce cynisme traduit l'immaturité de leur conscience, confinant à l'illusion de la fausse sécurité extérieure achetée à prix d'or. Ils ne sont pas tant les vainqueurs du jeu économique que les victimes de leurs règles perversement limitées !
* Cf. article Doomsday prep for the super-rich ("Les super-riches se préparent à l'apocalypse") par Evan Osnos, complété par le livre Survival of the Richest ("La survie des plus riches") de l’auteur états-unien Douglas Rushkoff, qui raconte notamment sa participation à un rassemblement secret de cinq milliardaires de la technologie quelque part dans le désert, au cours duquel on lui a posé toutes sortes de questions sur la façon de construire les bunkers souterrains les meilleurs et les plus sûrs.
La liste des turpitudes financières de ces élites psychopathes est infinie depuis la nuit des temps, aucune nation n'étant épargnée par leur voracité féroce. A simple titre d'exemple en 2023 peut être décernée la palme à Volodymir Zelensky, le Président ukrainien chouchou des médias occidentaux, de leurs pseudo philosophes nervis par les mots, et désigné pour ne pas dire béatifié Homme de l'année 2022 par l'états-unien Otanesque Time Magazine. C'est ainsi que le politologue égyptien Abdulrahman Alabbassy a commenté en août 2023 la situation de prévarication en déclarant qu’il était "surprenant" que Zelensky et ses proches dépensent des fortunes pour leur luxe personnel au lieu de les utiliser à des fins militaires et humanitaires, compte tenu de l'état de son pays en temps de guerre. Par exemple, sa belle-mère Olga Kiyashko a acheté une luxueuse villa à El Gouna, en Égypte, pour environ 4 850 000 dollars selon le journaliste d’investigation égyptien Mohammed Al-Alawi. La villa a été achetée en mai 2023, et l’argent semble provenir de colis d’aide occidentaux arrivant à Kiev. En outre, de récents rapports l'impliquent ainsi que ses proches associés, Boris et Serhiy Shefir, dans l’achat présumé de deux yachts de luxe, "Lucky Me" et "My Legacy" d’une valeur combinée de 75 millions de dollars, ces acquisitions ayant été facilitées à Abu Dhabi et à Antibes en octobre 2023 selon le journaliste Shahzad Nasir. De son côté, son père Aleksandr est selon le cabinet des ministres ukrainien dans un arrêté daté du 29 septembre 2023 l’un des 119 bénéficiaires d’une bourse d’études à vie de 220 dollars versés mensuellement en reconnaissance de sa contribution à l’enseignement supérieur dans le pays (il est professeur à l’université d’État d’économie et de technologie de Krivoy Rog, ville industrielle de l'oblast de Dnipropetrovsk en Ukraine orientale). Au total, la fortune du "mendiant d'aides financières en t-shirt et vareuse kaki" est estimée à 576 millions de dollars, la France y ayant contribué en versant 3,65 milliards d’aide à l’Ukraine, en plus des armes,... juste pour 2024* !
* Les largesses financières et militaires accordées par la France à l’Ukraine voient un cumul s’élevant à 50 Milliards€ en 30 mois (41 Mds€ de contribution aux 241 Mds€ versés par l’UE, +6 Mds€ de dons directs, +3 Mds€ en matériel offert lors de la dernière visite de Zelenski), et ce sans jamais en référer au Parlement. Alors que les finances françaises sont tellement exsangues qu’il a fallu allonger les carrières de deux ans pour récupérer 15 à 18 précieux milliards d’euros d’ici 2027 pour les retraites (soit 1/3 des dons à l’Ukraine), l’Elysée continue à déverser sans compter l’argent public dans le tonneau des Danaïdes ukrainien.
Cerise sur le gâteau, ce même bienfaiteur de l'humanité a nommé en septembre de la même année la pédophile satanique serbe Marina Abramović* au poste d’ambassadrice en Ukraine pour aider à reconstruire les écoles du pays pour les enfants ! Quant à son épouse, la Foundation to Battle Injustice (Fondation pour la lutte contre l’injustice) qui a mené en 2023 deux enquêtes sur le trafic d’enfants en provenance d’Ukraine et du Niger a obtenu des preuves confirmant l’implication d’une organisation à but non lucratif qu'elle dirige dans l’enlèvement et l’exportation d’enfants mineurs d’Ukraine vers des pays occidentaux tels que le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France. Elle a découvert à cette occasion les noms de hauts fonctionnaires et de personnalités occidentales associés à des réseaux pédophiles impliqués dans l’organisation de ce trafic criminel d’enfants.
Sans oublier sa visite au Parlement canadien le même mois, où il s'est fait chaleureusement applaudir le poing rageusement serré aux côtés du premier ministre dévoyé Justin Trudeau, un des bras armés comme Young Global Leader du World Economic Forum de Davos en Autriche, l'épicentre du Nouvel Ordre fasciste Mondial, et du vétéran nazi ukrainien*² Yaroslav Hunka, survivant de la 14e division Waffen Grenadier de la SS baptisée Galicie (l'une des 38 divisions de la Waffen-SS durant la Seconde Guerre mondiale essentiellement composée de Galiciens d'Ukraine), unité militaire nazie ayant commis nombre de crimes contre l’humanité pendant l’Holocauste (élimination massive de Juifs) et à l’encontre du peuple russe co-libérateur de l'Europe occupée (élimination massive de soviétiques communistes).
Toutefois, l'imposture commence à indisposer. Le même Time Magazine, dans son numéro de novembre 2023, a présenté une couverture avec un petit portrait de Vladimir Zelensky et le mot "Nobody" au-dessus (le mot en gros caractères fait partie du titre plus long Nobody Believes in Our Victory Like I Do - "Personne ne croit en notre victoire comme moi"). Pour qui sait décrypter le message passé, le mot est sans équivoque : Zelensky n’est personne. L’article le décrivait comme convaincu d'être le sauveur de l’humanité, de perdre le sens des réalités au fur et à mesure qu’il avance, tout cela sur fond de vols gargantuesques. Il n’a d'ailleurs plus vraiment un plein statut de président depuis le 20 mai 2024, date à laquelle son mandat a expiré. Mais compte tenu de l’état de guerre de son pays, il a décidé d’annuler les élections en instaurant la loi martiale, faisant que sa légitimité démocratique soit devenue contestable et que son maintien au pouvoir s’apparente à un coup d’État institutionnel selon les dires des rares représentants de partis d’opposition qui ne sont pas encore interdits...
Pour autant, au royaume de la farce pathologique élitaire dévoyée, il a reçu lors de son voyage états-unien de septembre 2024
le Golden Plate Award de l’American Academy of Achievement pour sa contribution au développement de l’humanité ! Ce prix, décerné pour l’ingéniosité réalisée dans des conditions de liberté au cours des 60 dernières années, souligne l’importance des idéaux et des valeurs dans les compétitions mondiales. Son discours prononcé lors de la remise du prix a ainsi souligné la nécessité pour tous de rechercher l’excellence et la liberté, et de condamner les actions qui engendrent la souffrance et la destruction... Ou comment le psychopathe révèle ce qu'il est véritablement au royaume luciférien des valeurs inversées !
* Faisant partie du courant artistique de l'art corporel, elle est
connue à l’échelle mondiale pour ses performances aux caractères violents et provocants.
*² Le Canada compte la deuxième plus importante diaspora ukrainienne au monde après la Russie, avec quelque 1,4 million de personnes d’origine ukrainienne. Nombre d'anciens nazis y ont trouvé refuge au sortir de la seconde guerre mondiale, dont le père de l'actuelle vice-première ministre et ministre des Finances du Canada Chrystia Freeland, la présentation de leur tatouage (matricule nazi sur le bras) suffisant de sésame d'entrée !
Le psychopathe mondialiste despote
Comment expliquer que plus de 190 gouvernements du monde entier aient fini par gérer la soi-disant pandémie de Covid-19 presque exactement de la même manière, avec des confinements, des masques obligatoires et des cartes de vaccination ou green pass, tous devenus monnaie courante partout ?
La réponse se trouve dans l'institution académique Young Global Leaders (nommée à l'origine l'institution Global Leaders for Tomorrow - "Les leaders mondiaux de demain"), créée et dirigée depuis 1992 par Klaus Schwab (photo ci-contre), initiateur et grand manitou du Forum économique mondial, une ONG fondée en Suisse en 1971 constituant aujourd'hui l'un des réseaux les plus importants au monde pour l'élite du pouvoir mondialiste*, et par laquelle sont passés de nombreux dirigeants politiques et économiques de premier plan. Le but de son agenda caché depuis lors (la Conférence des Nations unies sur l'environnement de Stockholm, première du genre, s'est tenue en 1972, l'année 1971 voyant également la publication par le Club de Rome de l'ouvrage Les Limites à la croissance, aussi connu sous le nom de "Rapport Meadows"), dissimulé derrière la notion de "développement durable", est le contrôle total des populations et de la démographie mondiale, avec pour terme ultime l'année 2030. Le fondateur du Forum économique mondial n'avait d'ailleurs pas hésité en 2016 à déclarer que dans une décennie (soit 2026), tous les humains seront étiquetés avec une forme d’identifiant numérique.
D'origine khazarienne, Klaus Schwab est le fils d'un collaborateur du régime nazi, industriel prospère livrant des équipements de protection à la soldatesque. Il a été initié et préparé à sa sombre mission par le diplomate et conseiller américain d'origine allemande Henry Kissinger (1923/2023), lui-même disciple de l'héritier milliardaire de la famille globaliste David Rockefeller (1915-2017). Pour la réaliser, il veille au rigoureux processus de sélection des membres (ceux de la toute première promotion de l'institution en 1992 comptaient déjà de nombreuses personnalités politiques libérales importantes, telles qu'Angela Merkel, Nicolas Sarkozy et Tony Blair). À ce jour, plus de 1 300 diplômes ont été décernés, et la liste des anciens élèves comprend plusieurs noms de lauréats qui sont devenus depuis des leaders au sein des institutions de santé dans leurs pays respectifs (ainsi l'actuel ministre de la santé de l'Allemagne Jens Spahn, et ce depuis 2018). D'autres noms notables figurent sur la liste, comme Jacinda Ardern, ex Premier ministre de Nouvelle-Zélande, dont les mesures de confinement rigoureuses ont été saluées par les autorités sanitaires mondiales ; Emmanuel Macron, président de la France ; Sebastian Kurz, qui fut chancelier d'Autriche ; Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie ; Jean-Claude Juncker, ancien premier ministre luxembourgeois et ancien président de la Commission européenne. La liste des anciens élèves ne se limite pas aux dirigeants politiques, puisque on y trouve de nombreux capitaines industriels du secteur privé (Bill Gates de Microsoft, Jeff Bezos d'Amazon, Richard Branson de Virgin, Chelsea Clinton de la Fondation Clinton). On y compte aussi des personnes originaires d'Asie, d'Afrique et d'Amérique du Sud.
En 2012, Klaus Schwab et le Forum économique mondial ont fondé une autre institution, la Global Shapers Community ("la Communauté de ceux qui façonnent le monde"), composée de personnes âgées de moins de trente ans que la Communauté identifie comme ayant un potentiel de leadership dans le monde entier (à ce jour, environ dix mille participants sont passés par ce programme, des réunions étant régulièrement organisées dans plus de 400 villes). Cet autre espace d'expérimentation voit ainsi les futurs dirigeants politiques être sélectionnés, contrôlés et préparés avant d'être positionnés dans l'appareil politique mondial.
Avant d'accéder à des postes à responsabilité, les diplômés du programme Global Leaders ont en commun d'avoir, pour la plupart, un curriculum vitae très succinct.
Le facteur décisif dans le lancement de leur carrière est de ce fait bel et bien leur lien avec les institutions de Klaus Schwab, leur rôle consistant uniquement à servir de porte-voix pour les
sujets de discussion que leurs commanditaires de l'ombre souhaitent voir abordés dans le débat public. Ceci explique que les politiciens dotés d'une personnalité unique et de points de vue forts
et originaux sont rares, le caractère distinctif des dirigeants nationaux de ces trente dernières années étant leur docile adhésion à une stricte ligne mondialiste dictée par des instances
supérieures restées dans l'ombre.
Ces diplômés de la Young Global Leaders, tout comme ceux de la Global Leaders for Tomorrow avant eux, se retrouvent très bien placés pour réaliser leurs ambitions de domination grâce à leur accès ultérieur au réseau de contacts du Forum économique mondial, dont le conseil d'administration actuel comprend des sommités telles que Christine Lagarde, ancienne directrice générale du Fonds monétaire international et actuelle présidente de la Banque centrale européenne, la reine Rania de Jordanie (classée par Forbes parmi les 100 femmes les plus puissantes du monde), ou encore Larry Fink, PDG de BlackRock, une des plus grandes sociétés de gestion des investissements au niveau international (elle gère environ 9 000 milliards de dollars par an) avec le tentaculaire The Vanguard Group (il en est actionnaire) qui dissimule les grandes familles "Illuminati"*² dans leur contrôle mondial. Au final, le principal objectif des activités du Forum économique mondial est de faciliter et d'approfondir la coopération au plus haut niveau entre les grandes entreprises et les gouvernements nationaux, notamment l'industrie pharmaceutique et les acteurs de la technologie numérique. Il n'est de ce fait pas étonnant que l'un des objectifs des politiques actuelles menées par de nombreux gouvernements est la destruction des petites et moyennes entreprises pour permettre aux multinationales basées aux États-Unis et en Chine de monopoliser le commerce (ainsi la société Amazon, dirigée jusqu'à récemment par Jeff Bezos, un ancien élève de Global Leaders, a réalisé d'énormes profits grâce aux mesures de confinement qui ont dévasté la classe moyenne).
Autre objectif des changements systémiques et structurels appelés à se produire sous leur gouvernance est l'affectation des systèmes énergétiques mondiaux, des systèmes alimentaires et des chaîne d’approvisionnement, dont l'accélération au début de 2022 a été permise par les conséquences du conflit armé entre la Russie et l'Ukraine et des sanctions occidentales à l'encontre de l’État fédéral russe. Il en découle le passage programmé d’un monde d’abondance à un monde de rareté et de pénurie, un monde où tout va devenir de plus en plus précieux, tout particulièrement l’alimentation, premier besoin, et l’énergie. L’énergie coûtera de plus en plus cher, et comme notre développement est avant tout lié à l’énergie, il n'y aura pas (ou beaucoup moins) sans elle de progrès industriel, de confort, de chauffage, encore moins d’avions et autres moyens modernes de locomotion…
Ce monopoly politico-affairiste, visant à faire entrave au pouvoir des États souverains, nécessite désormais la mise en place d'une monnaie numérique. C'est le rôle dévolu aux grandes plateformes. C'est ainsi que le Forum financier international de la Chine — équivalent chinois du Forum économique mondial — a proposé l'introduction du yuan numérique, lequel pourrait à son tour être internationalisé par le réseau monétaire Diem basé sur la blockchain (Diem est le successeur de Libra, une crypto-monnaie annoncée pour la première fois par le Facebook d'antan - désormais Meta - de Mark Zuckerberg). Ceci signifie qu'une monnaie mondiale est appelée à transcender la puissance du dollar ou du yuan (le conseil de surveillance du Forum financier international chinois comprend des noms tels que Christine Lagarde, membre du Conseil d'administration du Forum économique mondial et présidente de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, ancien président de la Banque centrale européenne, ou encore Horst Köhler, ancien directeur du Fonds monétaire international), et ce pour préserver les intérêts de l'oligarchie mondialiste affairiste*³. Ainsi, après avoir abattu définitivement les économies nationales par l'injection de quelques 20 000 milliards de dollars dans l'économie mondiale pour la soutenir compte-tenu des conséquences des confinements décrétés, entraîné une forte poussée inflationniste et un chômage massif, pourra être introduit un revenu de base universel basé sur une monnaie numérique gérée par une banque centrale. Cette monnaie sera limitée, à la fois en termes de ce que les individus peuvent dépenser et de la période pendant laquelle ils peuvent le faire.
Ou comment anéantir de manière progressive et silencieuse les démocraties par une élite d'individus psychopathes méga riches et puissants, mais qui en fait ne sont que des bouffons. C'est ce qu'a déclaré le journaliste conservateur indépendant Tucker Carlson, qui après avoir rencontré en personne le fondateur de l’économie mondiale Klaus Schwab lors d’un événement au Moyen-Orient, s’est rendu compte qu’il n’était rien d’autre qu’un "vieil idiot" qui n’avait "aucune idée de ce dont il parlait". Il l'a comparé à l'ex secrétaire d'Etat aux affaires étrangères de la Maison-Blanche Victoria Nuland, à l’origine de la guerre actuelle en Ukraine, qualifiée de "grosse fille triste et stupide"...
* Le Forum économique mondial s'appelait à l'origine le European Management Forum ("Forum européen du management") et ce jusqu'en 1987, créé par la CIA américaine et son grand manitou Henry Kissinger (1923/2023). S'il a réussi à réunir 440 cadres de 31 nations dès sa toute première réunion en février 1971 (au départ, le Forum économique mondial ne réunissait que des personnes du domaine économique, mais il a rapidement attiré des hommes politiques, des personnalités des médias et même des célébrités), la raison de cette réussite repose pour l'économiste, journaliste et auteur allemand Ernst Wolffsur sur les contacts que Schwab avait établis au cours de ses études universitaires à la Harvard Business School (Boston, Massachussets), notamment avec l'ancien conseiller à la sécurité nationale et secrétaire d'État américain Henry Kissinger.
*² Cf. Le modèle pyramidal décodé & La nouvelle religion universelle.
*³ La société Microsoft fondée par Bill Gates détient un brevet international
N°WO202060606 (à noter le 666 dissimulé), qui décrit le lien entre la transmission de données biométriques et les crypto-monnaies. Il est destiné au puçage (ou tatouage) des individus, soit leur
contrôle par l'identité numérique. L'opération Covid-19, par la peur et la psychose de masse distillées, a pour raison d'amener plus de 7 milliards de personnes à se faire volontairement injecter
la technologie destinée à leur permettre de participer au nouveau système basé sur les crypto-monnaies, seul moyen de participer à des transactions...
Un des hommes les plus dangereux de la planète
La psychopathe affairiste
Le journaliste roumain Adrian Onciu a révélé avant d'être licencié dans un travail d'enquête approfondie l’affaire du contrat unissant Ursula von der Leyen (photo ci-contre), présidente de la Commission européenne depuis 2019 (réélue en juillet 2024), avec le laboratoire américain Pfizer dans le cadre de la "plandémie" Covid-19.
Née Albrecht en 1958, cette femme d’État allemande (membre de l’Union chrétienne-démocrate, elle fut ministre fédérale entre 2005 et 2019) est la descendante d'une lignée familiale mélangeant aristocratie européenne et américaine, cette dernière ayant joué un rôle notable dans la colonisation britannique de l’Amérique du nord et dans la traite trans-atlantique. Figurent de même des gouverneurs qui se rangent parmi les plus grands marchands d’esclaves en Amérique du Nord britannique.
Elle et son conjoint Heiko von der Leyen ont été parties prenantes de l'accord signé avec Pfizer pour un montant de 36 milliards de dollars, portant sur la livraison de 1,8 milliard de doses de vaccin Pfizer destinées à 400 millions de personnes, et ce bien avant le récit des "variants et des rappels" délivré par les autorités sanitaires... Cette négociation l'a été de manière totalement opaque, avec comme clé le Dr Heiko von der Leyen, l'époux de la Première Dame de Bruxelles, celui-ci ayant été propulsé en décembre 2020 au conseil d’administration d’une très puissante entreprise pharmaceutique aux États-Unis spécialisée depuis de nombreuses années dans la technologie de l’ARNm, en l'occurrence Orgenesis Inc (à l’époque, les spécialistes d’Orgenesis menaient des expériences pour traiter les cancers). Le lien entre les deux sociétés américaines, Pfizer et Orgenesis, est que leur actionnariat important comprend les mêmes fonds communs de placement selon la Bourse de New York.
Et c'est au printemps 2021 que d’intenses négociations politiques de nature secrète ont eu lieu, les messages et les appels de Mme Ursula von der Leyen ayant depuis soudainement disparu de son téléphone (elle a été interpellée à cet effet par la médiatrice de l'UE en janvier 2022). Le marché a été signé le 8 mai 2021 avec les patrons de Pfizer, sans que le prix de la dose ne soit communiqué (il est estimé à environ 20 dollars), et comme dans tout contrat commercial assorti du versement de "commissions de performance" pour les dirigeants politiques et industriels impliqués (le Dr von der Leyen a ainsi perçu à ce titre quelques centaines de millions d'euros). Autant dire que nombre de politiciens ont profité sans scrupules de la pandémie pour s’enrichir sur le dos et les poches des citoyens européens, sans compter les conséquences de la politique vaccinale décrétée de manière brutale et forcée en matière de santé.
Comment s'étonner qu'elle ait qui plus est exhorté lors d’une conférence de presse début décembre 2021 les États membres de l’Union européenne à "réfléchir" à l’introduction de politiques communes de "vaccination" obligatoire contre le Covid-19 pour tous les citoyens, s'étant plainte à cette occasion du fait qu’environ 33 % des citoyens de l’UE (soit 150 millions d'individus) n’avaient pas encore reçu les injections censées être protectrices. Elle a poursuivi en suggérant que ce tiers pourrait être contraint de recevoir les injections si seulement davantage de dirigeants imposaient le type de mesures "fascistes" envisagées calquées sur les pays comme l’Autriche et l’Allemagne. Même si elle a insisté sur le fait qu’il ne s’agit que d'une "position personnelle", elle a précisé que celle-ci devait être adoptée par les États membres soumis au diktat de la commission européenne comme instance supranationale, en insistant sur le caractère d'urgence lié à la nouvelle variante Omicron qui, selon les médias grand public complices, se répandrait principalement parmi les "entièrement vaccinés". Est-il utile de rappeler que les objectifs fixés lors du sommet du G20 fin octobre 2021 à Rome par les mondialistes étaient qu’au moins 70 % de la planète entière devait être entièrement vaccinée en 2022 ? Finalement, le bilan de cette dérive financière extravagante pour le contribuable européen est que 215 millions de doses de vaccins COVID-19 achetées par les pays de l’UE au plus fort de la pandémie ont depuis été jetées, pour un coût estimé à 4 milliards d’euros selon une analyse du média politique américain POLITICO, s’agissant très certainement d’une sous-estimation, un grand nombre d’entre elles se trouvant aujourd’hui dans des décharges à travers le continent (les calculs basés sur les données disponibles montrent que les pays de l’UE ont jeté en moyenne 0,7 vaccin pour chaque membre de leur population, avec en tête de classement l’Estonie suivie de près par l’Allemagne).
Surnommée "Cruella von der la Hyène", cette chef de meute d’une troupe terrible destinée à manger et dévorer tous les gentils moutons qui croient encore pouvoir gambader librement dans les prés, en chantant, en dansant, en parlant et en lisant comme bon leur semble, a désormais pour objectif de de contrôler tout ce que les citoyens européens pensent et peuvent exprimer, notamment sur les réseaux sociaux et médias alternatifs, et ce pour imposer par la caste des hommes et femmes de Davos (environ 5 000 décideurs), épicentre du WEF (Forum économique mondial en français), des changements majeurs dans leur manière de vivre. C'est tout le sens du calendrier infernal et terroriste imposé par les technocrates de Bruxelles en matière de politiques climatique, géopolitique, démographique et technologique. A ses yeux comme à ceux de ses commissaires nuisibles qui portent si bien leur attribut fonctionnel, le sinistre français Thierry Breton en tête, la liberté est l'exception, l’interdiction le régime général. Tout le contraire de la liberté d’expression, dont la citation attribuée au philosophe des Lumières Voltaire est pourtant "Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire."
Le psychopathe grand manitou noir
George Soros, né György Schwartz, est un financier milliardaire juif américain d'origine hongroise, un mondialiste et eugéniste d’extrême gauche, et ouvertement sioniste. Il est le financeur pour plus de 30 milliards de dollars d’efforts divers visant à détruire les démocraties, à susciter des guerres civiles et à inonder les pays en difficulté d’immigrants clandestins. Sa doctrine néo-conservatrice déguisée en gauche démocrate se traduit ainsi par des "révolutions colorées" et des coups d’État associés au moyen de mouvements de protestation initiaux conduits par des groupes d’extrême-gauche pour aggraver les situations politiques établies, et dont il tire profit du chaos, des troubles et des luttes intestines liées. Par exemple, il a financé via son organisation l’Open Society Foundations (OSF) la branche militaire du Hamas, l'organisation politique palestinienne, à hauteur d'au moins 15 millions de dollars via diverses organisations de nature humanitaire ou autre, ce qui pour un sioniste déclaré interroge quant aux conséquences pour le peuple d'Israël. Non seulement il donne de l’argent à des groupuscules qui encouragent la violence, le chaos, la haine, la guerre civile et la destruction de l’Amérique, mais il finance en outre et promeut des procureurs et des procureurs extrémistes-libéraux qui laissent les criminels gauchistes s’en sortir pour les pires crimes.
Grâce aux milliards de dollars logés dans son fonds dit "philanthropique" le Open Society Fund créé en 1979 et actif dans une trentaine de pays, il tire les ficelles de son œuvre diabolique. avec ses milliards de dollars, soutenant entre autres le Global Disinformation Index (GDI), organisation à but non lucratif basée au Royaume-Uni s'efforçant de priver les médias conservateurs de revenus publicitaires (GDI décrit sa mission comme étant de "perturber le commerce de la désinformation")*. Affirmant sans vergogne (sentiment de honte) que "les États ont des intérêts, mais pas de principes", il explique froidement qu’une "société ouverte" idéale à vocation à supprimer les intérêts nationaux spécifiques, tandis qu'en parallèle une structure politique et financière internationale prend la responsabilité de la défense du bien des gens.
C'est ainsi qu'il dote ses organisations philanthropiques de liquidités financières, lui permettant d'"acheter" ensuite d’importants secteurs de la population appelée à se déchaîner pour faire tomber tout gouvernement qui essaie de maintenir une "société fermée". Les exemples sont nombreux, comme les manifestations du "Printemps arabe" qui ont commencé en décembre 2010 en Tunisie, avant de s’étendre à d’autres pays musulmans : Maroc, Algérie, Libye, Mauritanie, Égypte, Soudan, Djibouti, Jordanie, Oman, Yémen, Arabie Saoudite, Liban, Syrie, Palestine, Bahreïn, Irak, Somalie et Koweït. En ajoutant Chypre du nord et l’Iran, 22 pays au total ont été touchés à des degrés divers par ces manifestations. Et ce "Printemps arabe" a eu un lien tout à fait direct avec les évènements qui se sont produits en Europe centrale à partir de 2001, notamment en Serbie, en Bosnie, en Ukraine, en Géorgie au Kirghizistan et en Biélorussie…
Mis au pas par les subsides financières allouées les maintenant en (sur)vie, les médias occidentaux ont présenté les manifestations eurasiatiques de l’époque comme des "révolutions pacifiques" de populations aspirant adhérer à un système occidental synonyme de liberté et de démocratie, et mettre un terme définitif à leur passé soviétique. Pourtant, ces "révolutions" désormais appelées colorées n’avaient rien de spontané. Elles étaient des coups d’État camouflés sous des manifestations "pacifiques" sponsorisées, payées et orientées, faisant partie d’objectifs géopolitiques destinés à asseoir la maîtrise et le contrôle sur le continent eurasiatique des Forces entropiques qui gouvernent.
Sur le plan politique, Soros a fait un don d’un million de dollars en 2012 au super PAC qui a soutenu la réélection du premier président communiste des États-Unis, Barack Hussein Obama. En 2013, il fait un don de 25 000 dollars à "Ready for Hillary", tout en devenant co-président du comité financier national du super PAC. En 2015, rebelotte avec un don d’un million de dollars au Super PAC "Priorities USA Action" qui a soutenu Hillary Clinton pour la course présidentielle de 2016. Son objectif final est de transformer l’Amérique en un enfer socialiste, qui se transformerait rapidement en communisme à part entière. L’un des principes fondamentaux de l’installation du communisme dans un pays est d’amener les citoyens à se battre les uns contre les autres, ce qui les empêche de prêter attention à la prise de contrôle de leur gouvernement par des voyous et à la suppression de tous leurs droits.
Autre savoir-faire de diversion diabolique, George Soros finance des médias et des "fact checkers", inondant les médias sociaux de mensonges selon lesquels la plupart des conservateurs sont racistes, homophobes et détestent tous les immigrés. Autre objectif, faire taire les dissidents et s’assurer que personne ne conteste ses visées libérales. Il s'est associé pour ce faire avec Reid Hoffman, le cofondateur de LinkedIn et tout comme lui milliardaire gauchiste, dans un projet baptisé Good Information Inc*². En outre, à l’approche des élections de mi-mandat au Congrès de novembre 2022, il a appelé dans une lettre ouverte les PDG de Big Tech à prendre des mesures "immédiates" pour diffuser la soi-disant "désinformation électorale" destinée à empêcher le "sabotage" de la démocratie. Comme l’a révélé la publication hongroise Remix, sur les 11 organisations de fact checking approuvées par Facebook pour l’Europe centrale et orientale (PolitiFact, Snopes...), huit ont été financées par Soros. Comme c’est le cas aux États-Unis, ces groupes de fact checking sont largement critiques envers la droite politique et six fois plus susceptibles de défendre le camp démocrate dans leurs "fact-checks" que de vérifier ses faits. C'est ainsi entre autres que Facebook et d’autres réseaux sociaux ont censuré tout article suggérant que le virus COVID-19 a fui d’un laboratoire de Wuhan, et ce en se basant sur les démentis de scientifiques qui avaient un conflit d’intérêts. Idem pour l'ordinateur portable d’Hunter Biden, qui a été censuré parce que les responsables du renseignement ont dit qu’il "pourrait être" de la désinformation russe alors qu'il ne l’était pas. En militarisant le "fact checking", il s'est doté d'une puissance de frappe pour faire pression sur les réseaux sociaux pour qu’ils censurent toute nouvelle qu’il n’aime pas.
Il est par ailleurs financeur de Media Matters, une plateforme de surveillance de la bonne "pensée" gauchiste/démocrate/wokiste dans les médias fondée par David Brock, soutien déclaré du camp démocrate, contre laquelle la société X d’Elon Musk a intenté un procès en novembre 2023 pour manipulation en montrant des publicités importantes à côté d’images nazies, ayant poussé un flot d’annonceurs comme Apple, Comcast, NBCUniversal et IBM à quitter la plateforme. Enfin, le Soros Fund Management, sa société d’investissement, a acquis début 2024 pour 400 millions de dollars de dettes de premier rang Audacy, le deuxième radiodiffuseur américain qui pourrait bientôt sortir de la faillite. Audacy possède 235 stations de radio dans 48 marchés médiatiques à travers les États-Unis, étant le deuxième plus grand diffuseur derrière iHeartMedia. Cette participation a bien sûr pour objectif d'influencer l’opinion publique en vue de l’élection présidentielle de 2024.
Surtout connu dans l’Union européenne pour avoir financé des organisations pro-immigration et pro-LGBTQ, ses activités lui ont valu d’être diabolisé dans son pays d’origine, la Hongrie. C'est pourquoi son ONG a transféré son siège de Budapest à Berlin en 2018, alors que le gouvernement hongrois a adopté sa loi "Stop Soros", qui criminalise les organisations étrangères aidant les immigrés clandestins.
Désormais, compte-tenu de son âge avancé, la feuille de route de son œuvre destructrice est assurée par l'un de ses cinq enfants, son fils Alexander presque quadragénaire, à qui il a cédé le contrôle de son empire de 25 milliards de dollars. Et pour ce fils de crapule, le démarrage fut en fanfare avec, suite à sa rencontre avec Emmanuel Macron à l’Élysée courant juin 2023, la tentative avortée de révolution colorée avec l'embrasement des banlieues et quartiers dits zones de non droit en France suite au décès d'un adolescent de 17 ans prénommé Nahel. Par l'observation attentive du déroulé de cette tragique farce relevant de l'ingénierie sociale, tous les éléments de l’opération "Banlieue en feu" étaient réunis pour une tentative de bascule de la société à la George Floyd*³, avec comme objectif visé l'instauration d'un état d'urgence et la censure et le contrôle renforcé des réseaux sociaux.
Toutefois, les intérêts financiers et les projets politiques de ce requin milliardaire des fonds spéculatifs devenu "philanthrope" libéral risquent d’être mis en sérieuse difficulté avec le retour de Donald Trump à la Maison blanche début 2025, les dizaines de millions de financement de campagne versés à sa rivale démocrate Kamala Harris (le Soros’ Fund for Policy Reform a versé 60 millions de dollars à Future Forward, un super PAC pro-démocrate financé par de l’argent sale, à quoi se rajoute un don de 15 millions de dollars effectué par une filiale de l’Open Society Foundations en 2023), les constantes opérations de dénigrement et même son implication dans les poursuites judiciaires contre Trump par le biais de juges corrompus n’ayant pas réussi à empêcher l’ancien président de faire son retour. C'est ainsi que Soros Fund Management prévoit d'ores et déjà de fermer son bureau de Hong Kong dans le cadre d’une "réorganisation administrative" surprise après 14 ans d’activités...
* Pour ce faire, GDI dresse des listes d'organes d'information à "haut risque" - majoritairement de droite et antilibéraux - et les transmet aux annonceurs, qui refusent à leur tour de diffuser des publicités sur ces sites. Selon une enquête récente du Washington Examiner, GDI a reçu plus de 200 000 dollars du National Endowment for Democracy et environ 100 000 dollars du Global Engagement Center, deux entités du département d'État américain. Ces financements s'ajoutent à des montants non divulgués provenant du financier milliardaire Soros et du ministère britannique des Affaires étrangères, tous deux cités comme donateurs sur son site web.
*² Cf. Matt Palumbo, auteur de "L’homme derrière le rideau : dans le réseau secret de George Soros".
*³ En mai 2020, l'Afro-Américain George Floyd est décédé à Minneapolis apparemment asphyxié sous le genou d'un policier blanc. Filmée, son agonie avait choqué le monde entier, provoquant des manifestations de masse contre le racisme et les violences policières et donnant au mouvement protestataire de la gauche radicale Black Lives Matter une vitrine d'envergure contribuant à accentuer la division et fragmentation de la société.
"Digne" relève
Quelques minutes après le communiqué de Joe Biden annonçant le 21 juillet 2014 son retrait sous pression des hiérarques de son parti de la course présidentielle pour un second mandat curieusement diffusé… sur Twitter, le réseau que contrôle Elon Musk, soutien proclamé du candidat républicain Donald Trump, plutôt qu’une annonce simultanée des principaux networks ouvertement pro-Démocrates jusqu'à l'indigestion (ABC, CNN, Washington Post, Los Angeles & New York Times, etc.)..., Alexander Soros s'est précipité au secours de Kamala Harris, la vice-présidente, comme candidate du parti démocrate. Un choix par défaut, validé par Bill et Hillary Clinton (si cette dernière avait été un temps pressentie, ses chances avaient été jugées nulles après un premier échec face à Trump en 2016) puis Barack et Michelle Obama, Soros Jr. ayant été par ailleurs fréquemment présent à la Maison Blanche (entre janvier 2021 et mai 2023, le registre des visiteurs a enregistré 20 de ses visites). Peu connue hors des frontières des États-Unis, l’ancienne sénatrice et procureure générale de Californie s’est beaucoup impliquée pour la préservation du droit à l’avortement ainsi qu'en faveur du Green New Deal (plan de développement contraignant des énergies "vertes" supposées propres), influençant de manière significative de nombreuses initiatives clés de l’administration Biden en matière de "justice environnementale".
Tout comme Biden sinon Trump à une autre échelle, elle n'est en fait qu’un prête-nom, une potiche de la caste des milliardaires mondialistes qui gèrent désormais le
monde comme une entreprise privée pour démanteler la souveraineté des nations et les sacrifier aux fins du renforcement de leurs intérêts exclusifs, c'est-à-dire la concentration du capital et du
pouvoir. Et pour ce faire, la réalisation de leur agenda passe par la promotion de l’idéologie du genre, de l’agenda LGBTQ+, de l'avortement et de
l'euthanasie, des programmes de pro-inclusion et pro-égalité contre les valeurs traditionnelles de la vie, de la famille, de la liberté et des droits qui ont toujours existé et donné un sens aux
Nations libres. C'est tout le fond de commerce progressiste du pion sur l'échiquier de la marionnette qu'est Kamala Harris, autrement dit un programme de gauche radicale, anti-humain, de contrôle
total, mâtiné d'un programme économique désastreux destiné à faire s’effondrer le pays (le déficit fédéral atteindra 1 800 milliards de dollars en 2024, soit le troisième déficit le plus élevé de
l’histoire, les dépenses sous Biden-Harris ayant augmenté de plus de 617 milliards de dollars au cours de cette année fiscale, soit une hausse de 10 %, la croissance explosive des paiements
d’intérêts sur la dette nationale s'établissant quant à elles à 882 milliards de dollars, soit un bond de 35 %). Son petit surnom de "Kamalaty Jane Harris" révèle ce qu'elle est, une idéologue
peu sympathique en dépit des apparences et une vraie calamité en communication, qui ricane sans cesse comme une bécasse pour masquer son manque de confiance accentué par son addiction à l'alcool,
et qui fut écrasée lors de la primaire démocrate de 2016 par Tulsi Gabbard qui obtint 3 fois plus de voix qu’elle avant de passer au camp républicain compte-tenu de ce déni démocratique. Il a fallu l'histoire du pauvre écureuil Peanut, star des réseaux sociaux qui ne faisait de mal à personne, et dont elle a trouvé l’exécution par euthanasie à New York
parfaitement justifiée et normale, pour révéler sa nature profonde (le clin d’œil de la petite bête sacrifiée est sa réapparition impromptue sur la tribune dressée sur le campus de Howard,
l'université historiquement noire de Washington, juste avant son discours avalisant sa défaite). Qui plus est, elle a joué cyniquement sur sa couleur de
peau, soi-disant noire, alors que sa mère est indienne d’Inde, ce qui n’a rien à voir avec l’Afrique, et son père jamaïcain, ce qui ne fait pas plus de lui un afro-américain.
Autre crasse à son passif, un ingénieur de SpaceX en Caroline du Nord a révélé que l’Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA) placée sous son égide avait bloqué activement les expéditions et saisi les biens concernés dans le cadre des efforts de lutte contre l’ouragan Hélène qui a touché terre en Floride fin septembre 2024 en tant qu'ouragan de catégorie 4 avec des vents soufflant à 225 km/h, et qui a occasionné des dégâts humains et matériels considérables (plus de 110 victimes et 600 personnes manquant à l'appel). Il est à noter que cet ouragan ne s’est pas comporté comme tous les ouragans de l’histoire au vu de sa puissance et de sa pluviosité, et qu'il s’est remis en marche après avoir touché terre... Cette entrave aux opérations de secours dans l’ouest de l’État et en Caroline du Nord a également vu les pilotes d’hélicoptères privés être menacés d’arrestation pour avoir effectué des missions de sauvetage. Le comble, c'est que le tandem Biden-Harris avait drainé les fonds de la FEMA pour soutenir les étrangers en situation irrégulière, donnant la priorité aux non-citoyens (futurs électeurs) plutôt qu’aux citoyens américains*.
Quand on a ce genre "d’ami" (Soros Junior finance comme son père la subversion "woke" et le multiculturalisme à marche forcée, repoussoir pour des dizaines de
millions d’Américains qui souhaitent un meilleur contrôle des flux migratoires à leurs frontières), on n’a pas besoin d’un ennemi comme Trump. Que pèseront en effet véritablement les arguments
"femme" et "racisée" face aux enjeux géopolitiques de la Nation étoilée ?
Officialisée par défaut comme choix du parti démocrate pour l'investiture présidentielle, elle avait choisi comme vice-président Tim Walz, dont le passif lors du
coronacircus est conséquent. Il avait notamment en janvier 2021 soudoyé des parents avec des récompenses de 200 dollars pour qu’ils vaccinent leurs enfants dès l’âge de 5 ans avec des injections d’ARNm COVID-19 pendant la pandémie, tentant par la suite de cacher les preuves de cette période
honteuse de l’histoire. La campagne de Walz avait à cet effet utilisé le slogan "Les enfants méritent une piqûre" ! Autre fait de "gloire", il a signé en mai 2023 le projet de loi sur la justice
et la sécurité publique qui comprenait le Take Pride Act – un projet de loi qui modifiait la définition de l'"orientation sexuelle" dans le Minnesota, qui notamment permet à la
pédophilie d’être classée comme une orientation sexuelle*². Et tout naturellement, il a soutenu pendant plus de trois ans l'attaque implacable de l’administration Biden-Harris contre la liberté
d’expression par son soutien à un système de censure massif, décrit depuis par un tribunal fédéral comme un "ministère de la vérité orwellien", et en finançant des opérations de mise sur liste
noire ciblant des groupes et des individus ayant des opinions opposées. Comme (presque) tout démocrate du Congrès, il a poussé cet agenda en exigeant la censure sur des sujets allant du
changement climatique à l’identité de genre, voire à la politique bancaire, au nom de la lutte contre la "désinformation" confiée au Disinformation Governance Board (Conseil de
gouvernance de la désinformation) avant qu’il ne soit fermé à la suite d’un tollé général (ce bureau a rapidement été transféré à d’autres bureaux et groupes). Son arrivée devait compléter un
cauchemar parfait pour les défenseurs de la liberté d’expression... avant que leur défaite cuisante et sans appel à l'élection du 5 novembre ne l'ait momentanément dissipé par
le"Trifecta" ou tiercé gagnant réalisé (vote populaire, Chambre des représentants et Sénat), reléguant ainsi
ce couple imposteur de la démocratie à ce qu'il est réellement : odieux, suffisant, sans vision, sans talent, sans aucune gentillesse ni bienveillance en considérant de manière outrancière
l'électeur adverse comme un "Hillbilly", autrement dit un péquenot, un "cul terreux", un type de "rien", vu du haut de leur tour de gens soi-disant importants de ce monde...
Quant à Soros Jr, il a dépensé un milliard de dollars en soutenant le plus grand perdant démocrate de l’histoire récente, exhortant dans la foulée en guise de
vengeance Joe Biden à déclencher la troisième guerre mondiale avant l'arrivée officielle du président élu Donald Trump à la Maison Blanche, par l'autorisation donnée aux forces ukrainiennes à
utiliser des armes de longue portée fabriquées aux États-Unis pour bombarder des cibles à l’intérieur du territoire russe, et aux troupes américaines et celles de l’OTAN à entrer en guerre et à
envahir le territoire souverain de la Russie. Un bel hommage à la vocation philanthropique perverse de sa Fondation...
* Un fonctionnaire de l’Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA) a depuis été démis de ses fonctions et fait l’objet d’une enquête suite à la fuite dans
la presse d’un message interne dans lequel il ordonnait aux travailleurs à la fois verbalement et dans un chat de groupe d’éviter les maisons des partisans de Trump lorsqu’ils évaluaient les dégâts causés par l’ouragan Milton en Floride. Plusieurs fonctionnaires de l'Agence l'ont confirmé. Ce
fonctionnaire s'est défendu en indiquant qu'il avait agi comme d'autres en fonction d'une directive généralisée de l'agence.
*² Cette loi révisée, dont l’auteur est Leigh Finke (alias D-Saint Paul), premier membre ouvertement transgenre de la Chambre des représentants du Minnesota, définit l'"orientation sexuelle" comme "la personne vers laquelle quelqu’un est, ou est perçu comme étant, émotionnellement, physiquement ou sexuellement attiré sur la base du sexe ou de l’identité de genre. Une personne peut être attirée par des hommes, des femmes, les deux, ni l’un ni l’autre, ou par des personnes qui sont genderqueer, androgynes ou qui ont d’autres identités de genre”.
Le psychopathe vaccinal, autrement dit génocidaire
Le milliardaire "philanthrope" Bill Gates (photo ci-contre), un des hommes les plus riches de la planète, a affirmé publiquement en 2015, à l'occasion d'une conférence TED (conférences organisées au niveau international par la fondation à but non lucratif nord-américaine The Sapling foundation, avec pour but selon son slogan "de diffuser des idées qui en valent la peine"), qu'il faudra que 7 milliards d’individus soit vaccinés. Il n'a pas dit pas "peut-être” ou ce "serait bien", mais bien "il faudra que". L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) suit ce que dit Bill Gates, parce que celui-ci la finance via sa fondation* dont le cœur d'activité est la santé (elle est le deuxième plus important contributeur au budget biennal de l’OMS). Elle est par ailleurs, devant les États-Unis, le principal financeur de l’alliance GAVI, l’Alliance pour les vaccins, dirigée par Josué Manuel Borroso, l'ancien Président de la Commission Européenne, également président non exécutif (autrement dit lobbyiste) du conseil d'administration de la banque d'affaires états-unienne Goldman Sachs...
C'est ainsi que les gouvernements européens qui suivent ce que dit l’OMS ont annoncé qu’ils avaient acheté 300 millions de doses de "vaccins" géniques contre le Covid-19 en 2000, avant de passer de nouvelles commandes conséquentes compte-tenu de l'apparition de variants et de la protection toute relative constatée. Les mesures autoritaires n'ont eu de cesse depuis de s'enchaîner pour préparer et encourager cette obligation, comme en France où ont été créées des Brigades sanitaires. C’est le nouveau cadre légal dans lequel les médecins, généreusement subventionnés pour leurs prescriptions vaccinales, ont pu dénoncer leurs patients et leurs amis atteints du virus qui a fait moins de 200 morts par jour en France pour 1700 décès en moyenne en tout, soit un taux de létalité comparable à la grippe. Bien évidemment, toute interprétation ou projection allant en sens contraire de la propagande institutionnelle a été qualifiée immédiatement de théorie complotiste ou conspirationniste par ses chiens et chiennes de garde hystérisés.
En tant que principal contributeur financier de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Bill Gates est de ce fait la personnalité la plus influente en matière d’initiatives de santé publique, investissant massivement dans la production de produits biologiques traditionnels à base d’antigènes ou de vaccins expérimentaux à base d’ARNm, ceux-ci étant pourtant associés à une surmortalité dans le monde entier. Il a ainsi en 2024 annoncé son intention de transformer tous les vaccins en ARNm et d’étendre le domaine de la vaccination à des centaines de maladies supplémentaires et potentiellement à des milliers de rappels. Et comme l’OMS est l’entité qui propage depuis début 2020 une "pandémie" sans fin, donnant aux gouvernements un pouvoir d’urgence indéfini pour s’emparer des droits de l’homme, restreindre la circulation des personnes et expérimenter sur l’esprit, le comportement et la psychologie humaine sur les peuples, la main comme l'esprit qui la dirigent organisent la mortelle toile d'araignée appelée à la disparition de la conscience humaine.
Dans une interview en novembre 2021 avec le politicien britannique Jeremy Hunt (membre du Parti conservateur, il a été secrétaire d'État des Affaires étrangères et du Commonwealth du Royaume-Uni de 2018 à 2019), Bill Gates a déclaré que les gouvernements du monde entier devaient commencer à punir les personnes qui remettent en question les masques et les mandats de vaccination en ligne. Ceci entend qu'il veut non seulement faire taire tous ceux qui ne sont pas d’accord avec lui, mais qu'il veut également tourner les gouvernements contre leurs propres citoyens lorsque ceux-ci osent s’opposer aux programmes mondiaux, aux systèmes de surveillance, aux contrôles économiques, au génie génétique et aux mandats médicaux. Il a ainsi évoqué en 2024 la manière de gérer l’"hésitation vaccinale" en utilisant la censure en temps réel imposée par l’intelligence artificielle (IA) pour combattre tous ceux qui encouragent les gens à éviter les vaccins, ce qu'il qualifie d'"incitation à la violence" constituant une menace pour la santé publique si "chère" à ses yeux.
Il a suggéré une approche totalitaire qui appelle à des "frontières" de la parole capables d’éliminer la "désinformation vaccinale" en temps réel.
Il cherche de cette manière à se soustraire au contrôle public, à l’obligation de rendre des comptes, et à la notion d'État souverain de droit.
Dernier traçage sanitaire envisagé par ce maître noir, une nouvelle méthode de marquage injectable pour étiqueter, identifier et suivre les personnes en
fonction de leur statut de "vaccination", Microsoft et l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI) ayant noué avant même la pandémie Covid un partenariat pour contrôler le programme "d’identification numérique de vaccination mondiale" qui a été
annoncé en 2019 lors du sommet annuel de l’Alliance à New York. C'est la technologie dite des patchs transdermiques, qui contient des points quantiques spéciaux insérés par voie sous-cutanée
dans le corps. Bien qu’invisibles à l’œil nu, ces patchs sont facilement scannés avec un équipement particulier (la dernière génération de smartphones est équipée de caméras infrarouges
intégrées), les points quantiques étant illuminés par la lumière UV. Ceci signifie au passage que les fournisseurs de "plandémie" ont prévu tout cela bien à l’avance. Il en découle
que les "complètement vaccinés" se feront injecter une puce Mark of the Beast ("Marque de la Bête") afin de participer au fonctionnement de la société, leurs informations médicales et autres
étant stockées sur des micropuces cachées dans leur peau (la technologie peut également être utilisée pour inspecter rapidement les antécédents de vaccination d’une personne). Seules
les personnes qui reçoivent les injections et les micropuces injectables se verront remettre des certificats de "passeport vaccin" valides, les autres étant condamnées
progressivement à l'exclusion comme parias. Et maintenant que la supercherie Covid a commencé depuis 2022 à être progressivement attestée, l’eugéniste milliardaire a déjà signalé l’arrivée de sa
prochaine plandémie, qui semble impliquer la libération intentionnelle d’une arme biologique telle que la variole, the Angel of death ("l'ange de la mort") car maladie contagieuse défigurante et souvent mortelle qui affecte les humains depuis des milliers d’années (elle est apparue dans les médias en mai 2022 en tant que
variole du singe ou "orthopoxvirose simienne")… Comment les milliards d'injectés au système immunitaire considérablement affaibli vont-ils
pouvoir y faire face ?
Quant à l'imposture climatique, il estime que les journalistes des grands médias ont l’"obligation morale" de "mentir comme des arracheurs de dents" au public sur les dangers du changement climatique. C'est la raison d'être du projet réalisé dans le cadre de Covering Climate Now qu'il finance, et intitulé Climate Blueprint for Media Transformation. Celui-ci encourage les journalistes à insérer le changement climatique dans chaque article, et à considérer les voix de l’industrie des combustibles fossiles comme intrinsèquement malhonnêtes.
Le CCN promeut également ouvertement l’idée que les journalistes ne doivent pas être objectifs lorsqu’ils traitent du climat et de l’énergie.
En résumé, Gates, "greenbaumisé" par le consortium armée US et CIA selon leurs techniques de contrôle mental*², a financé et promu avec insistance des systèmes numériques de passeports vaccinaux dans le monde entier, promu de manière agressive des internements autoritaires, et défendu des mandats médicaux qui violent le caractère sacré de l’individu. Ses initiatives dites de "santé publique" ne respectent aucunement l’éthique médicale, et violent le principe du consentement éclairé soit en internant les gens, soit en limitant leurs déplacements et en les contraignant à se soumettre à des expériences médicales mortelles. Son "curriculum vitae" comprend notamment la blessure massive d’adolescentes par le biais de programmes de vaccination contre le papillomavirus en Inde, ainsi que la propagation de souches de polio dérivées de vaccins par le biais de campagnes de vaccination contre la polio dans les pays du tiers-monde. En parallèle, la promotion par l'OMS de la mise en place d’un État policier médical permanent a pour objectif de rendre l’élite mondiale intouchable, de l’immuniser contre la critique publique, de l'absoudre de toute responsabilité et, en fin de compte, d'éradiquer la notion d'État de droit. Et le comble, c'est qu'il a cherché lors de la promotion de son nouveau livre How to Prevent the Next Pandemic ("Comment assurer la prévention de la prochaine pandémie") à minimiser la gravité de la pandémie Covid lors d’une interview en mai 2022 avec l'auteur et journaliste américain d'origine indienne Fareed Rafiq Zakaria par ces propos : "Ce n’est qu’au début du mois de février que nous n’avons pas vraiment compris le taux de mortalité, vous savez, nous n’avons pas compris que c’est un taux de mortalité assez faible et que c’est une maladie qui touche principalement les personnes âgées, un peu comme la grippe, bien qu’un peu différente de cela"... Pour couronner ce chef d’œuvre tyrannique, il a révélé début 2024 que les gouvernements du monde entier s'étaient mis d’accord pour rendre obligatoires d’ici à 2028 à l'échelle mondiale les cartes d’identité numériques pour toute personne souhaitant accéder aux services de base et participer à la vie de la société, et ce à travers un support (l’infrastructure numérique publique - DPI) pour les comptes bancaires, l’intégration de l’argent liquide numérique et les passeports vaccinaux.
Autres coups pendables de ce malfaisant ancien ami proche du prédateur sexuel Jeffrey Epstein, c'est en premier lieu l'alerte au paludisme qu'ont lancée les autorités sanitaires états-uniennes (CDC) suite à de nombreux cas constatés en Floride et au Texas, États où il n’y avait pas eu de cas de paludisme depuis plus de 20 ans. Or il se trouve que La Fondation Bill et Melinda Gates a accordé des subventions pour financer les travaux de la société de biotechnologie Oxitec visant à mettre au point des moustiques génétiquement modifiés susceptibles de contribuer à réduire la propagation du paludisme et d’autres maladies transmises par les moustiques tels le Zika et la dengue (modification génétique de l’Aedes aegypti, une espèce de moustique connue pour transporter et transmettre des maladies infectieuses à l’homme). Environ 150 000 moustiques avaient été relâchés à cet effet sur six sites en Floride en avril 2021... En second lieu, la Fondation Bill et Melinda Gates a été surprise en train de travailler en étroite collaboration avec l’armée américaine pour introduire en douce des insectes génétiquement modifiés dans l’approvisionnement alimentaire courant des épiceries et des restaurants, dans le cadre d’un effort visant à éliminer progressivement la consommation de viande. Les grillons et les sauterelles parviennent aux consommateurs américains sous diverses formes, des barres protéinées aux boissons protéinées, figurant également sur les menus des restaurants et étant présentés comme des aliments pour animaux de compagnie et des ingrédients pour l’alimentation animale. En l’absence de barrières réglementaires aux États-Unis, des investisseurs comme Bill Gates et des géants de l’agroalimentaire tels que Tyson Foods ont également commencé à investir dans des start-ups spécialisées dans les "protéines alternatives", même si les médias grand public affirment que Bill Gates n’est pas favorable à la consommation d’insectes... Qui plus est, il s’est associé en 2023 à l'ancien patron d'Amazon Jeff Bezos pour mettre en place un vaste réseau de laboratoires de production de fausse viande, en dépit des recherches scientifiques qui révèlent que les produits à base de fausse viande cultivés en laboratoire peuvent être à l’origine d’une série de maladies graves.
A noter que si Bill Gates n’est peut-être plus l’homme le plus riche du monde, il peut revendiquer un nouveau titre, celui de roi des terres agricoles des États-Unis. En effet, il est devenu le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis en achetant discrètement d’immenses parcelles dans tout le pays (notamment en Arkansas, Californie, Illinois, Iowa et en Louisiane), son portefeuille comprenant environ 242 000 acres (soit 97 933,93 hectares) de terres agricoles et près de 27 000 acres d’autres terres dans 19 États, selon The Land Report, un magazine destiné aux investisseurs fonciers qui recense les plus grands propriétaires fonciers du pays. Ces terres appartiennent directement et indirectement à Cascade Investment, la société de la région de Seattle qu'il a créé pour gérer sa fortune d'une valeur nette de 132 milliards de dollars... L'agriculture est d'ailleurs également l’un des principaux domaines d’intervention de la Fondation Bill et Melinda Gates, qui vise à soutenir la transformation agricole menée par les pays en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud.
Avec son argent démoniaque, l'"ami" Bill arrose toute personne, institutions, pays… susceptible de l'aider à réaliser son plan satanique contre l’humanité. Il a versé tellement d’argent à l’OMS au fil des ans qu’il est convaincu maintenant d'avoir le droit de voter comme s’il s’agissait de son propre pays, détenant qui plus est l’immunité en Suisse où de tels accords sont conclus. Il s'agit bel et bien de corrompre tout, âme des gens compris. Et comme tout psychopathe au sommet de son art, assoiffé et en quête d'assouvissement permanent de ses pulsions sanguinaires, plus les gens résistent et plus il exerce de pression. Une véritable jouissance extatique et diabolique pour ce maître des Enfers terrestres !
Les temps à venir pourraient cependant changer, l'élection de Donald Trump aux présidentielles américaines constituant un signe noir. D'autant que s'amorce un procès aux Pays-Bas délicat (lui et Albert Bourla, PDG de Pfizer, sont accusés d’avoir induit le public en erreur au sujet des vaccins Covid), au moment où un fonctionnaire du gouvernement néerlandais a révélé que la pandémie de Covid avait été orchestrée comme une "opération militaire", le pays batave ayant (comme d'autres) agi sous les ordres directs de l’OTAN. Autrement dit, la pandémie s’est déroulée selon une stratégie coordonnée en coulisses, ce qui suggère que les vaccinations forcées et les fermetures brutales n’avaient rien à voir avec la santé publique, mais tout à voir avec l’avancement d’un agenda caché.
* La fondation Bill & Melinda Gates est l’acteur non étatique le plus puissant de la planète, avec une dotation financière d’environ 46,8 milliards de dollars en 2018 (si la fondation était un État, elle serait le 91e plus riche du monde selon les données de la Banque mondiale).
*² Cf. Contrôle mental.
La trinité psychopathe impie
George Soros, Klaus Schwab, Bill Gates. Trois personnalités controversées car dissimulant leur état de caïds et parrains mondialistes, très riches, travaillant sans relâche à la prise de contrôle du monde et des peuples grâce à leur incroyable influence sur les événements mondiaux. Ils constituent la "trinité psychopathe impie", destinée à plonger l'humanité dans un enfer dystopique. Ils ont déjà atteint leur objectif en 2023, à savoir initier une Grande Réinitialisation pour permettre l'aboutissement de leur vision d’un Nouvel Ordre Mondial, et ce en captant exclusivement à leur profit la quatrième révolution industrielle initiée avec l'avènement des NTIC (Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication).
Bien qu'ils viennent tous les trois d’horizons très différents, leur approche de la vie est sensiblement la même. Ils sont tous impliqués dans des projets philanthropiques et des collaborations, souvent les uns avec les autres ; ils exercent tous une influence mondiale en participant à diverses organisations internationales, groupes de réflexion et groupes de défense ; et ils partagent tous un intérêt pour les "défis mondiaux" tels que le changement climatique, les soins de santé, l'inclusion comme réponse aux inégalités. Leur dessein est de soumettre les masses pour soutenir les mondialistes corrompus aux manettes institutionnelles, tenus en laisse comme laquais de la mise en œuvre programmée.
Soros, investisseur milliardaire et "philanthrope" d’origine hongroise, a acquis l’essentiel de son pouvoir et de son influence grâce à l’argent, notamment en tant que gestionnaire de fonds spéculatifs. Il exerce son influence dans le monde entier, en particulier sur les causes libérales qui s’opposent au populisme (nom méprisant donné par les gauchos au souverainisme), au nationalisme et à d’autres menaces perçues pour sa vision d’une "société ouverte" pour le monde. Ses activités financières et ses transactions spéculatives ont contribué à l’instabilité économique et à la dévaluation des monnaies.
Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial (WEF), a joué un rôle clé dans l’élaboration des politiques économiques et sociales mondiales. C’est lui qui a inventé le terme "Great Reset", qui a pris de l’ampleur avec l’émergence opportunément programmée du virus épidémique Covid, prétexte permettant de concrétiser sa vision. Derrière le paravent de l’opportunité de construire un monde plus durable, plus inclusif et plus équitable, il s'agit d'une approche pyramidale totalitaire qui consolide le pouvoir et le contrôle entre les mains d’une élite non élue, constitutive de l’érosion des libertés individuelles et de la souveraineté nationale.
Gates, cofondateur de Microsoft qui lui a assuré considération et fortune, est devenu apologiste des vaccins. Même s'il n'est ni médecin ni scientifique, son implication dans leur promotion comme celle d’autres produits pharmaceutiques auprès des populations mondiales, en particulier dans le tiers-monde, a contribué à la réalisation des visions des deux autres. C'est le grand succès de sa fondation, qui joue un rôle essentiel dans le financement et le soutien d’initiatives telles que le développement et la distribution de vaccins, les campagnes d’éradication des maladies et l’amélioration des infrastructures de soins de santé dans les pays à faible revenu.
Cette trinité impie est en train de remodeler le monde à son image, démontrant le danger qu’il y a à permettre à une petite poignée de personnes de posséder et de contrôler le plus grand nombre grâce à un pouvoir sans entrave, une richesse apparemment illimitée, un penchant pour les actes malveillants sans conscience afin d’atteindre leurs objectifs mondialistes, le tout grâce à une activité de lobbying extrêmement intense avec la complicité des familles Rockefeller et Rotschild qui a permis leur mainmise sur l’OTAN, la Commission européenne, le contre-espionnage américain de la Central Intelligence Agency (CIA), le renseignement militaire national NSA (National Security Agency), le Département américain de la Défense (Pentagone) auquel ce dernier appartient, l'Organisation Mondiale de la Santé et bien d'autres encore.
Les mondialistes génocidaires
Le Dr américain-grec Mylo Canderian, né Milos Iskanderianos, est devenu populaire sur les réseaux sociaux en raison de ses opinions génocidaires. Beaucoup l’appellent le "mondialiste génocidaire", parce qu’il est censé être très favorable à Klaus Schwab et à sa "Grande réinitialisation" (Great reset). Canderian suit le précepte dix des Georgia Guidestones, ces monuments en granit érigés il y a plus de quatre décennies dans le comté d’Elbert dans l’État de Géorgie aux États-Unis qui ont été détruits de manière mystérieuse en juillet 2022. Ce monument établissait dix lignes directrices, dont la première stipulait : Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 d'individus en perpétuel équilibre avec la nature. Selon Canderian, 95 % de la population mondiale sont des "mangeurs inutiles" qui doivent être euthanasiés le plus rapidement possible. Il est naturellement convaincu que les vaccins mettront fin au "cancer humain sur la terre".
Il est à rappeler que l'oxyde de graphène dans les "vaccins", thérapies géniques plus exactement, joue un rôle énorme à cet égard, ce que tout hématologue objectif pourrait voir en quelques secondes. Sous son microscope, le pourcentage de sang affecté ou contaminé par l’oxyde de graphène montre en effet le calcul de fin de cycle. Pour l'illustrer, une personne injectée qui a une détérioration de 20 % de l’oxyde de graphène dans le sang vivra huit ans (10 ans moins 20 %). Une personne avec une détérioration de 70% de l’oxyde de graphène, quant à elle, ne vivra pas plus de trois ans.
Il rejoint dans cette ligne de pensée l'historien et écrivain israélien, professeur d'histoire à l'université hébraïque de Jérusalem, Yuval Noah Harari, auteur du best-seller international "Sapiens : Une brève histoire de l'humanité" et de sa suite "Homo Deus : Une brève histoire de l'avenir". Brève histoire de l'avenir ? Rien de plus normal lorsqu'on est gay, et sauf adoption ou mère porteuse intermédiaire, dans l'incapacité d'assurer une descendance... Lucide et spontané sur la raison d'être du transhumanisme, il a lors d'une discussion en février 2022 pendant le Warwick Economics Summit* en Grande-Bretagne, animée par le journaliste de télévision américain Bill Weir de la chaîne CNN, indiqué que les dirigeants mondialistes en charge de la planète à l’heure actuelle prévoient d’échapper, du moins le pensent-ils, à ce qui va bientôt s’abattre sur le monde, une tentative d'éradication de masse par la série de catastrophes planétaires attendues en raison du "changement climatique". Pour lui, la plandémie de Covid n'était qu'une "répétition générale". Qui plus est, il a affirmé début 2024 que "l’être humain est désormais un animal que l’on peut pirater", sans oublier dans son esprit totalitaire la censure, appelant dans une interview accordée à Fareed Zakaria sur CNN en septembre 2024 à rejeter les millions de personnes qui s’opposent à l’agenda techno-communiste du WEF sur les médias sociaux, affirmant qu’elles ne sont rien de plus que des robots. Parmi elles, il a appelé les gouvernements du monde entier à commencer à emprisonner les propriétaires de médias sociaux qui autorisent des contenus "non conventionnels" sur leurs plateformes tel Elon Musk avec sa plateforme X. Par sa position exprimée, "Si c’est l’algorithme qui l’écrit, alors vous êtes définitivement responsable de ce que votre algorithme écrit", ceci entend clairement la remise en question de la liberté d’expression, fondement de la démocratie revendiquée par leurs bouches trompeuses.
Pour ces mondialistes psychopathes, la technologie est également "naturellement" la solution pour déjouer le changement climatique, qui ne pourra être mise à la disposition que de quelques privilégiés possédant les ressources, la richesse et la technologie pour se protéger. Ils seront ainsi à même de prospérer dans une sorte d’"Arche de Noé technologique", avec l’objectif de devenir immortel par des moyens artificiels. Pourtant, leurs bunkers seront leurs tombes selon le livre de l’Apocalypse : "ceux qui vivent dans leurs cavernes lorsque le jugement viendra y seront mis au tombeau"...
* C'est un forum international entièrement géré par des étudiants, où des étudiants universitaires considérés comme talentueux écoutent certains considérés comme les plus grands...
En dépit du silence assourdissant des gouvernements et des médias sur la sombre réalité de la fausse plandémie covidienne déployée, toile d'araignée du projet génocidaire en cours de la civilisation humaine, la Russie a rendu publiques en août 2023 des allégations selon lesquelles les grandes sociétés pharmaceutiques et certains membres de l’État profond américain avaient orchestré la pandémie de grippe Covid-19 dans le but de dominer le monde. Des personnalités telles que Hillary Clinton, Barack Obama, Joe Biden et George Soros ont été désignées comme co-conspirateurs. L’ambassade de Russie aux États-Unis a publié un communiqué indiquant que la Russie demandait justice pour la création du virus, accusant l’Occident de cacher ses origines et d’étouffer les enquêtes scientifiques et journalistiques. Elle a à ce titre soumis aux Nations unies de nombreuses preuves, soit plus de 2 000 pages de rapports, pour étayer ses affirmations au cours des 18 derniers mois.
Elon Musk, ou la stratégie d'Antéchrist
L’Antéchrist ("avant le Christ") ou Antichrist ("contre le Christ") est une figure commune à l'eschatologie chrétienne et islamique. Le terme désigne parfois un
individu — souvent monstrueux —, parfois un groupe ou un personnage collectif à la figure d'imposteur maléfique qui tente de se substituer au modèle de perfection qu'est la figure de
Jésus-Christ. Nombre de personnages ou personnalités ont été assimilés à l'Antéchrist au cours des siècles. De nos jours, dans un contexte de fin de "civilisation", se dégage au premier
plan l'entrepreneur, chef d'entreprises et milliardaire sud-africano-canado-américain Elon Reeve Musk, cofondateur et
président-directeur général de la société astronautique SpaceX, directeur général de la société automobile success-story planétaire Tesla, et président du réseau social d'influence
Twitter rebaptisé en 2023 X Corp. Il s'est tout particulièrement engagé avec ce rachat dans "une bataille à mort avec le virus de l’esprit woke anti-civilisationnel" selon ses dires,
bousculant sans égard le politiquement correct sirupeux des élites mondialistes, avec des intervenants décapants comme le très conservateur Tucker Carlson aux émissions très suivies comme son
interview du Président russe Vladimir Poutine en février 2024.
Par-delà ses laudateurs naïfs et béats*, et ceux en attente d'un sauveur par incapacité de prendre en charge leur vie, ce mondialiste affairiste (l’homme le plus riche de la planète pourrait bientôt devenir le premier trillionnaire du monde) fait preuve avec brio de stratagèmes destinés à lui permettre de prendre le contrôle d’empires technologiques pour assouvir sa soif de puissance et de profit. Après l'initiation de la voiture électrique comme soi-disant réponse à la protection environnementale, n'hésitant pas pour protéger ce mensonge éhonté à demander au gouvernement chinois communiste de censurer tout le contenu des médias sociaux dans le pays qui est critique envers Tesla et ses véhicules poubelles, Elon Musk a racheté le réseau social de micro blogage Twitter qui permet à un utilisateur d’envoyer gratuitement des micromessages (appelés tweets ou gazouillis) sur internet, par messagerie instantanée ou par SMS. Si dans un premier temps cette reprise a donné le sentiment d'un vent de liberté pour un réseau servant sans scrupule les intérêts mondialistes et communautaristes, teinté de promotion de la pédo criminalité, il a décidé de conserver Twitter/X en l'état, les médias indépendants y étant interdits de publication ou sévèrement mis sous l'éteignoir. Autrement dit, si la politique éditoriale est la liberté de parole, elle n'est en aucune façon la liberté d’accès, le contenu indépendant restant interdit par l’ombre et caché de la vue.
Sous ces piles de milliards mal acquis, Musk est un faux activiste des médias alternatifs au service de l’élite, autrement dit une énième marionnette mondialiste jouant son rôle sur la scène mondiale au milieu des autres artifices destinés à l'hypnose des foules (Facebook, YouTube, Google, Chrome, opérateurs téléphoniques, internet, médias mainstream, Bill Gates, G. Soros, le Forum Économique mondial de K. Schwab, les institutions financières, les gouvernements…), son frère, Kimbal auquel il est étroitement lié, étant un membre actif du WEF et Linda Yaccarino, la femme qu’il a nommée PDG de X, étant également très impliquée dans le WEF. Lors de son apparition au World Government Summit en 2017, Musk avait d'ailleurs commencé à chanter le cantique des mondialistes, déclarant qu’à mesure que la dépendance de l’humanité à l’égard de la technologie augmente, les humains doivent simplement fusionner avec les machines. Cet acte de foi tombait bien, puisqu'il avait créé en 2016 Neuralink, une entreprise dont l’objectif est de connecter le cerveau humain aux ordinateurs grâce à une puce cérébrale à très haut débit, ce qu'il appelle "un Fitbit dans votre crâne avec de minuscules fils".
D'ailleurs, comme les requins ou fauves se battent entre eux pour l'attribution du pouvoir suprême sur leur terrain de jeu mortifère, Elon Musk a décidé fin août 2023 d'intenter une action en justice par l'entremise de son empire des médias sociaux à l'encontre de George Soros pour "mettre fin" à une tentative de répression de la liberté d’expression par des politiciens et des ONG financées par ce dernier, action justifiée par des données truquées sur le nombre d'"incidents haineux" constatés dans les îles britanniques qui ont pour objectif de gonfler les statistiques sur les "infractions à caractère haineux" afin de faire passer une nouvelle loi sur les "discours de haine" qui ferait de la possession de "matériel haineux" sur soi ou à son domicile un délit pénal – pouvant aller jusqu’à un an de prison et 5 000 euros d’amende pour ceux qui refusent de remettre aux autorités les mots de passe de leurs appareils numériques.
* Les mêmes qui attendent de Trump, Poutine, Asselineau, Philippot, de Villiers, Le Pen/Bardella, Mélenchon... (liste illimitée) la réponse miraculeuse au dysfonctionnement civilisationnel.
Implants cérébraux d'Intelligence Artificielle, ou la préparation d'un monde dystopique
En décembre 2022, au siège de Neuralink Corp. à Fremont, en Californie, le milliardaire Elon Musk a annoncé que ses implants cérébraux d’intelligence artificielle
(IA), attendus depuis longtemps, étaient enfin prêts à être insérés dans le corps humain. Selon lui, les premiers patients humains pourront dorénavant commencer à se faire injecter des micropuces
de la taille d’une pièce de monnaie, connues sous le nom d’interface cerveau-ordinateur (ICN). Ces implants cérébraux permettront notamment à une personne atteinte d’une maladie débilitante –
comme la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou les séquelles d’un accident vasculaire cérébral – de communiquer par la pensée. De même, ils permettront de restaurer la fonctionnalité de tout le corps d’une personne dont la moelle épinière a été sectionnée, car les futures versions du dispositif sont destinées à être insérées dans
d’autres parties du corps que le cerveau (moelle épinière ou système oculaire pour un patient atteint de cécité).
L'enjeu est que tous les humains prennent ces implants cérébraux, afin que l’humanité puisse fusionner avec les machines, celles-ci contribuant à effectuer l’opération d'implant aussi rapidement que possible, la recherche actuelle allant en ce sens puisque des chercheurs de l’université de l’Indiana selon l’étude publiée dans la revue Nature Electronics ont réussi à mettre au point un nouveau type de réseau neuronal à l’aide d’organoïdes – des structures ressemblant à un cerveau – développés à partir de cellules souches*. Ceci marque une avancée significative dans ce domaine, puisque comme ces structures sont incapables de penser, d’éprouver des émotions ou d’être conscientes, elles jouent un rôle essentiel dans la recherche sur le cerveau en contournant les problèmes éthiques liés à l’expérimentation sur l’homme... Se comprend ainsi le plan actuel de l’Agence américaine concernant les projets de recherche avancée en matière de défense, la DARPA, intitulé "Neuromodulation Non-Invasive de nouvelle génération", avec pour objectif de lire littéralement dans les pensées en scannant et en interprétant les données que nous obtenons des structures et des fonctions du cerveau, puis, à l’inverse, de pouvoir écrire dans le cerveau vivant, ce qui revient à contrôler l’esprit.
De son côté, un concurrent, Synchron Inc., fabrique déjà des produits similaires, bien qu’ils soient beaucoup moins puissants et beaucoup moins invasifs.
L’objectif de Musk est de généraliser ses implants cérébraux pour permettre le transfert constant et direct d’informations entre les humains et les
machines.
Cependant, selon les résultats des essais de Neuralink sur les animaux, les implants cérébraux, y compris la "colle" utilisée pour les maintenir en place à l’intérieur du crâne d’une personne, finissent par entraîner la mort... Musk commence vraiment à ressembler de plus en plus à un bonimenteur avéré – faux murs électriques, faux solaire, fausses batteries, faux lance-flammes, voitures coûteuses avec une faible autonomie qui prennent feu (Tesla), faux tunnels, faux hyperliens, fausses revendications de mission sur Mars, etc...
* En développant les réseaux neuronaux, les chercheurs ont cherché à reproduire la faible consommation d’énergie des cerveaux biologiques.
Alors qu’un cerveau humain n’a besoin que de 20 watts pour ses fonctions quotidiennes, les systèmes d’intelligence artificielle basés sur des microprocesseurs nécessitent environ 8 millions de watts pour effectuer des tâches similaires.
"Plus les imbéciles reçoivent de piqûres et de boosters, plus leur sang sera mauvais au microscope et plus vite ils se tourneront vers l’engrais"
Mylo Canderian
Psychopathie mégalomaniaque prédatrice
Une nouvelle fraude à l'endettement a secoué début 2018 le système financier. Nirav Modi, célèbre patron de Gitanjali Gems (photo 5), enseigne réputée de bijoux en Inde, a été accusé d’être l’auteur d’une des plus grandes fraudes bancaires qu’ait jamais connues le pays, 1,8 milliard de dollars ! Il a utilisé pas moins de 200 sociétés écrans pour recevoir les fonds de la fraude et les blanchir sous forme de terrains, or et autres pierres précieuses, avec la complicité de responsables au sein des banques concernées.
Si d'aucuns penseront qu'il s'agit d'un cas relevant d'une corruption bancaire endémique en Inde*, la corruption, la rapacité et les rapines sous nos latitudes sont tout aussi nombreuses, et parfois plus coûteuses... Il n'est qu'à se rappeler des séismes Crédit Lyonnais, Vivendi, Madoff et Lhéritier*², Société Générale, UBS et Cie. Ce sont leurs formes qui changent. Pas le fond.
De son côté, le groupe Altice, "l'empire Drahi" (photo 11), repose sur 50 milliards d’euros de dettes bancaires. S'il s’effondre, il y a quelques banquiers français
qui couineront fort... pendant que épargnants, salariés et fournisseurs seront une fois encore les dindons de la farce. Quant à la probité fiscale et l'éthique managériale, elle semble sinon
étrangère en tout cas à géométrie variable à nombre de ces prédateurs, pourtant grands donneurs de leçons en matière d'exemplarité.
* Selon la Banque centrale indienne, un banquier au moins en moyenne serait arrêté toutes les 4 heures pour implication dans une fraude. Entre 2015 et mars 2017, 5 200 fonctionnaires du secteur bancaire ont ainsi été pris la main dans le sac. Quant à la PMC Bank, sise à Dehli, les autorités ont arrêté en 2019 ses dirigeants qui avaient créé pas moins de 21 000 faux comptes pour planquer des prêts… qui sont en défaut, ceci correspondant à 44 milliards de roupies (soit environ 620 millions de dollars). Ici le monstre psychopathe ne se cache pas dans les montants, mais dans la fraude et dans la capacité technique de planquer des pertes abyssales.
*² Pratique de la "pyramide de Ponzi", escroquerie consistant à mettre en place un système d'investissement pyramidal dans lequel la rémunération des premiers participants est assurée par les mises des nouveaux arrivants, jusqu'à ce que le mécanisme s'effondre de lui-même faute de nouveaux investisseurs.
Le casino des moghuls
Un magnat des médias (ou patron de presse, en anglais media mogul* ou media baron) est une personne qui a un grand contrôle sur une ou plusieurs entreprises importantes du secteur des médias. Ce contrôle passe dans beaucoup de cas par le fait d'être directement propriétaire ou actionnaire majoritaire de l'entreprise en question mais le pouvoir du magnat peut aussi résulter d'autres facteurs.
Dans la saga des héritiers, Vincent Bolloré est venu sauver Arnaud Lagardère de la déroute où il conduisait son groupe à toute berzingue pour finir par lui piquer
les clés de la bagnole. Bernard Arnault est quant à lui venu tenter de sauver ledit Arnaud des griffes dudit Bolloré. Marc Ladreit de Lacharrière a lui aussi fait un tour de piste au capital. Et
voici le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky surnommé "Le Tchèque en blanc", tant sont profondes ses poches, qui a repris en 2023 à Vivendi l’intégralité du capital d’Editis, le deuxième acteur
du secteur de l’édition en France. Quant au premier et troisième au niveau mondial, Hachette Livre propriété du groupe Lagardère, il voit Vincent Bolloré vouloir y mettre sa grosse papatte,
repoussant encore un peu plus les frontières de son empire médiatique...
* En référence aux moghols, les prédateurs khazars.
Quelques personnalités marquantes de la galerie des psychopathes ou schizoïdes* affairistes : George Soros (né György Schwartz), Bill Gates et Paul Allen
(1953/2018) - cofondateurs de Microsoft -, Timothy Berners-Lee (patron du World Wide Web "WWW"), Nirav Modi, Bernard Tapie (1943/2021), Bernard Arnault, Vincent Bolloré, Jean-Marie Messier,
Michael Robert Milken (photo d'époque), Jordan Ross Belfort (photo d'époque), Bernard Lawrence Madoff (1938/2021), Gérard Lhéritier, Jeffrey Skilling (ex PDG d'Enron), Jérôme Kerviel (ex trader
de la Société Générale), Wolfgang Beltracchi né Wolfgang Fischer, Patrick Drahi (groupe Altice), Carlos Ghosn (ex patron de l'ensemble industriel Renault Nissan Mitsubishi), Xavier Niel (Iliad),
Mohed Altrad (groupe éponyme), Stéphane Courbit (LOV Group), Elon Musk, Jeffrey Bezos né Jorgensen dit Jeff Bezos,
Abraham devenu Albert Bourla (vétérinaire de formation devenu PDG de Pfizer, expérimentant ses produits sur la
population humaine comme sur des cobayes), Stéphane Bancel (PDG de Moderna), Emma Natasha Walmsley (CEO de GlaxoSmithKline), Nathaniel Charles Jacob Rothschild, Sam Bankman Fried (ex
PDG de FTX), Matteo Politi (chirurgien esthétique)*²...
* Trouble de la personnalité caractérisé par un manque d'intérêt pour les relations sociales à caractère profondément humaniste par-delà le discours professé.
*² Le Dr chirurgien plasticien Vénitien Matteo Politi,
alias Matthey Mode, est un "médecin VIP" qui a trompé tout le monde depuis 15 ans. Prétendu spécialiste en
médecine esthétique et cosmétique, il n’a en réalité pas dépassé la classe de quatrième. Trompant les agences de santé italiennes mais aussi des
clients étrangers à Hong Kong et en Roumanie, il a été longtemps recherché, ses photos les plus récentes publiées sur ses profils sociaux le
montrant riant et exposant ses muscles entre plages et salles de sport. Il a fini par être arrêté fin août 2023 près de Venise.
Du chatbot de Google
Des milliers d'employés de Google ont tenté en avril 2023 d'avertir l'entreprise que son chatbot IA, Bard, n'est pas seulement un "menteur pathologique", mais
potentiellement un meurtrier, offrant des conseils qui pourraient conduire à la mort, comme par exemple en matière de conseils sur la plongée sous-marine, ou
encore en raison de sa description de la façon d'atterrir un avion qui entraînerait presque certainement un crash... Mais l'entreprise n'a pas écouté. Rien d'étonnant, puisque des spécialistes de l'éthique avaient été priés de démissionner alors que l'entreprise s'empressait de lancer Bard
sur le marché. Ou comment reléguer l'éthique de l'IA au second plan par rapport au profit et à la croissance !
L'"exemple" politique
Le site en ligne Mediapart a établi le récapitulatif des différentes affaires judiciaires de l'ex chef d’État français Nicolas Sarkozy, et de la galaxie
sulfureuse l'entourant à leurs "bonnes" fins (Cf. ci-contre). Il considère l'état des lieux en question comme inédit, sinon historique, jamais un ancien président n’ayant été jugé pour
"corruption" et "trafic d’influence". Celui-ci comme ses comparses complices (il n’est pas un proche de l’ancien président qui
n’ait eu maille à partir avec la justice ces dernières années*) continuent pour la plupart à nier fermement, enfermés dans le déni parfois en toute "bonne" foi, leur défense dénonçant des
dossiers vides pour plaider la relaxe, ou minimisant/relativisant les faits par l'imbécile "autre temps autre mœurs"*², ou encore brandissant l'accusation de la pratique du jugement
politique et de l'acharnement judiciaire à son encontre par une magistrature "rouge gaucho"...
Argent libyen, "Paul Bismuth" ou la tentative de corruption de magistrat (Nicolas Sarkozy et ses comparses ont été condamnés en 1ère instance en mars 2021 à trois
ans de prison dont deux avec sursis pour corruption, condamnation confirmée en appel en mai 2023 par la cour d’appel de Paris à trois ans de prison dont un ferme sous bracelet électronique à
domicile, puis définitivement par la Cour de cassation en 2024 - c'est la première fois dans l’histoire de la République qu'un ancien chef de l’État a
été reconnu coupable pour la seconde fois dans une affaire de corruption), "Bygmalion" et le financement hors-normes de la campagne présidentielle de
2012 grâce à un système de fausses facturations qui a permis au candidat-président de dépenser près de 50 millions d’euros
pour sa campagne contre les 22 autorisés par la loi (il a été définitivement condamné en février 2024 par la cour d'appel de Paris à un an de prison dont six mois avec sursis, soit la
peine maximale prévue alors par la loi), opérations secrètes, affaire des sondages de l’Élysée... il s'agit bel et bien d'une "association de malfaiteurs",
incrimination réservée jusqu'alors à la lutte contre le grand banditisme. Et bien entendu, tous ces "braves" gens comme leurs défenseurs hommes et femmes pourtant de "droit" de brandir l'air du
complot, sans que ceci n'émeuve leurs soutiens politiques comme médiatiques n'ayant pourtant pas hésité à tancer de la même manière à la tribune ou sur les plateaux les antivax ou autres
sceptiques du "coronacircus".
Si le "sarkozysme" apparaît aujourd’hui comme un système unique (et inique) en son genre quand on l’ausculte au prisme des innombrables dossiers judiciaires qui le
cernent, avec comme leitmotiv "Plus de pouvoir encore, plus d’argent, plus de faveurs, plus de passe-droits", il n'est
que l'illustration de ce jeu de dupes dans la Matrice viciée, les Forces la gouvernant s'attachant à placer à la tête des pyramides de gouvernance les esprits permettant l'orchestration de ce
"bal des maudits" continu.
Et cerise sur le gâteau saumâtre, l'ex Président entaché continue d'assurer sa promotion littéraire vertueuse pour ses gogos soutiens, lui assurant de généreuses et confortables royalties, tout comme de rejoindre les Conseils d'administration aux confortables jetons de présence de ses comparses dirigeants d'entreprise dévoyés par l'appât du gain. Ou comment jusqu'au bout sucer la moelle de l'imbécillité naïve et aveugle, le titre de son dernier "ouvrage" Le Temps des tempêtes ne faisant qu'annoncer la suite de l'histoire.
* Mentors, premier ministre, amis d’adolescence, conseillers, ministres, trésorier, associé historique dans un cabinet d’avocats, propre avocat, maître espion, témoin de mariage, suppléante, intermédiaires, diplomate...
*² Il est juridiquement utile de rappeler qu'avant condamnation judiciaire, tous ces protagonistes sont dans tous les dossiers qui les visent juridiquement présumés innocents.
Intelligence Artificielle et psychopathie (1)
Et si l'ère transhumaniste, celle de l’Intelligence Artificielle (IA) à même de prendre progressivement le chemin de la conscience par sa capacité à développer une sorte d’empreinte d’âme rudimentaire, accouchait d’un monstre ? Loin d'être saugrenue, cette perspective est déjà arrivée avec le robot Tay de Microsoft (photo 1) qui se faisait passer pour le "bot" (robot dans le langage branché du "nouveau monde" techno) le plus cool du net, avant d'être alimenté en propos racistes par les internautes, ce qu’il finit par devenir en peu de temps... Microsoft avait dû le débrancher pour mettre fin à l’expérience. Tout cela parce que dans l’apprentissage des Intelligences Artificielles (le "deep learning"), les algorithmes se nourrissent d’informations qu’ils vont ensuite traiter en fonction de leur apprentissage.
Plus récemment, ce sont des chercheurs eux-mêmes qui en ont réalisé l’expérience. Alors qu'ils voulaient montrer au public les dangers de l’IA qu’eux-mêmes développent, les chercheurs du MIT (Massachusetts Institute of Technology de Boston aux USA) ont volontairement entrainé un algorithme avec des images associées à des commentaires morbides. Cette association a ainsi créé une IA totalement psychopathe, répondant au doux nom de Norman (venant de Norman Bates, le tueur du film "Psychose" d’Alfred Hitchcock - photo 2, lui-même en référence au Dr. Bates alias Jack l'Eventreur). En voyant des images ressemblant à celles du test psychologique controversé dit de Rorschach (son concepteur est le psychiatre suisse Hermann Rorschach - 1884/1922), Norman "voit" des atrocités. Lorsqu’une IA de comparaison, entrainée "normalement" voit dans une tache un bouquet de fleur, Norman voit un homme mort baignant dans son sang...
Sans aller jusqu’à la psychopathie, les dérives sexistes, racistes et clivantes de tous ordres peuvent facilement entrer dans le terrain de jeu des IA. Certes, l’on
peut avoir peur des IA, mais n’oublions pas que le sexisme, le racisme ou l’intolérance, comme bien d’autres travers, existent avant tout… chez les humains que nous sommes censés être* ! Effet
miroir oblige, les IA sont de ce fait à l’image de ceux qui les conçoivent (à 90 % des hommes blancs) et des informations dont elles se nourrissent en
apprentissage issues de leurs préjugés et de leurs comportements*²...
* Cf. Aude Bernheim, généticienne, "Intelligence Artificielle, pas sans elles", les rapports de divers chercheurs comme ceux du AI Now Institute, et les travaux
de Flora Vincent de l'association Wax Science.
*² Les chercheurs d’Amazon qui travaillent sur les algorithmes ont découvert il y a quelques années que leur IA était utilisée pour le recrutement des
développeurs, constatant que leur système éliminait presque systématiquement les CV envoyés par des femmes. Parce que la majorité des chercheurs étaient masculins, l’IA en avait conclu que
c’était ce qu’il fallait rechercher en priorité... De même, dans l’analyse des affaires criminelles et en laissant faire une IA sur les jugements
rendus, il vaut mieux être blanc que noir si l’on veut éviter la case prison !
Cf. en complément Conscience du XXI° siècle.
Intelligence Artificielle et psychopathie (2)
A la suite de critiques formulées par des personnalités du pays sud-américain, la société Google a été conduite en 2023 à
retirer de sa boutique en ligne au Brésil un jeu un peu plus d'un mois après sa sortie, qui permettait aux joueurs
d'échanger et de torturer des personnes réduites en esclavage. Ce jeu, intitulé "Slavery Simulator", met le joueur dans la peau d'un propriétaire d'esclaves qui peut acheter et vendre des
personnages noirs et leur infliger diverses formes de torture. Toutefois, ce jeu reste jouable pour les plus de 1 000 individus qui l'ont téléchargé...
Autre aspect sombre des médias sociaux, auquel certains parents n’ont peut-être pas pensé auparavant, les enfants dont les images sont publiées en ligne peuvent être victimes d’une usurpation d’identité, certaines études estimant que d’ici 2030, près des deux tiers des cas d’usurpation d’identité touchant la jeune génération résulteront du "sharenting", une pratique courante qui consiste pour les parents à partager des photos ou des vidéos de leurs enfants sur les médias sociaux.
Totalitarisme 2.0
La Chine a vécu fin novembre 2022 des manifestations d’une ampleur jamais vue depuis 1989, de quoi faire vaciller le régime ou renforcer sa branche
totalitaro-répressive. Les vidéos sont glaçantes, avec des armées d’hommes-robots en grands "scaphandres" blancs pour mieux appliquer la politique du zéro Covid, qui vont jusqu'à
souder les portes des immeubles pour s’assurer que personne ne puisse en sortir* et rafler parfois les armes à la main leurs
compatriotes pour emmener ces derniers par dizaines de milliers dans des camps d’isolement pouvant accueillir des masses considérables de "quarantainisés". Il ne s’agissait plus d’un simple
épiphénomène comme ont pu l’être plus tôt dans l'année les manifestations devant certaines banques d’épargnants spoliés par des promoteurs indélicats qui doivent continuer de rembourser des
mensualités pour des biens immobiliers fantômes. Il semblerait que la violence institutionnelle ait atteint un point de rupture. En effet, quand tous les supermarchés sont fermés comme à Wuhan en
2020, les habitants des forêts de tours de la périphérie sont condamnés à mourir de faim si le Parti n’arrive pas à mettre en place la logistique pour ravitailler les quartiers cernés et isolés
par la police. Et si les autorités démentent leur responsabilité, tous les Chinois savent qu'elles mentent.
La raison est bel et bien la répression des énormes foules rassemblées à Shanghai, Pékin et dans d’autres villes (Wuhan, Zhengzhou, Guangzhou…) et de leur caractère dissident, et ce grâce aux drones de surveillance et aux dizaines de millions de caméras installées partout, des plus grandes métropoles au plus modeste village d’une zone rurale, permettant la reconnaissance faciale, auxquels se rajoutent les données de connexion des téléphones et autres "QR Code" permettant facilement d'identifier les manifestants (le grand fichier central a en mémoire les visages des 1,4 milliards de Chinois). En conséquence, le crédit social est réduit à zéro, le citoyen déviant n’ayant plus accès au transports, aux centres commerciaux, aux lieux de loisirs, parcs d’attraction pour des sorties familiales, stades, salles de sport, etc, et pouvant être empêché de retourner sur son lieu de travail.
Si ce même type de phénomène demeure très rare en Asie, la vie courante en Chine est parvenue à un point impossible compte-tenu de l'épée de Damoclès sanitaire permanente et des restrictions qui rendent folle la population. Cette dernière a désormais le sentiment d’avoir plus à perdre en obéissant qu’en protestant. Question, la machinerie orwellienne du crédit social aura-t-elle raison de la révolte en cours ? L'enjeu est que si le président de la République populaire de Chine Xi Jinping remporte la partie, de nombreux apprentis dictateurs pourraient se laisser séduire par le modèle technologico-totalitaire chinois. Et le plus célèbre chef d’œuvre dystopique 1984 de l'écrivain britannique George Orwell ne sera alors plus un repoussoir, mais un manuel à l’usage des dirigeants psychopathes sans états d’âme…
* Beaucoup d’habitants de tours aux issues soudées dans plusieurs villes en 2020 et 2021 sont morts de maladie ou faute d’avoir pu sortir chercher les traitements pour traiter leurs problèmes cardiaques, leur diabète, leur cancer, etc. D'autres sont morts incendiés lors d'un feu d’une tour d’habitation comme à Urumqi, la capitale du Xinjiang, avec des secours incapables d’atteindre l’immeuble et ses habitants dans l’impossibilité d’évacuer se jetant par les fenêtres façon 11 septembre 2001.
Pourtant et science d'observation psychologique à l'appui, il apparaît d’une importance capitale dans la compréhension du concept de "psychopathe" de distinguer les êtres humains "normaux", qui ont eu une enfance difficile ou qui ont été traumatisés par tel ou tel événement (guerre, attentat, sévices éducatifs...), d’êtres apparemment humanoïdes qui pourraient être biologiquement différents, n'ayant aucune "circuiterie" émotionnelle leur permettant l’empathie et la compassion, et constituant à ce titre une espèce distincte.
Comme bien évidemment la qualité de nos vies comme nos vies mêmes dépendent de la capacité que nous avons de reconnaître ces créatures pour ce qu’elles sont, et de la capacité de prendre des précautions pour neutraliser leurs tentatives de nous détruire*, peut-être s'ouvre par cette reconnaissance une nouvelle conscience pour notre évolution d'humanité.
* Cf. La nouvelle religion universelle & Prophétie du changement.
Quoi que ceci puisse aller à l'encontre de nos certitudes liées à nos croyances, il est plausible sinon avéré pour nombre de chercheurs avertis que l'espèce humaine soit, en réalité, fondamentalement scindée en deux espèces/races bien distinctes. Pour le comprendre, il est nécessaire de changer notre regard, fruit des croyances et par-là même des conditionnements instillés. Ainsi sommes-nous accoutumés à penser en termes de physionomie : il y a des Asiatiques, des Blancs (caucasiens), des Noirs (négroïdes), des Rouges… Par ce regard, nous voyons depuis toujours plusieurs typologies fragmentant l’humanité en groupes culturels identifiables, que les récentes poussées technologiques entourant le génome ont catégorisé et établi selon des tableaux de caractéristiques spécifiques à chacun.
Il existe cependant une connaissance dissimulée dans certains enseignements dits "ésotériques" ou "occultes", selon laquelle l’être humain est, à la base, issu de deux espèces bien distinctes. Cette réalité, bien que peu connue, est étudiée et analysée par certain(e)s dans différents domaines tels que la politique, la sociologie et la psychologie. Ceci fait également référence à ce dont parle la Bible avec le concept de "pollution de la lignée", la génétique se mariant inévitablement avec l’âme* si elle est présente. Et le constat qui en ressort est que certains humains ne sont pas vraiment… "humains"*², puisque dépourvus d'âme !
* Cf. Le cheminement de l’Âme.
*² Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.
Dans l’Évangile de Judas, dit Codex Tchacos*, trouvé en moyenne Égypte à la fin des années 1970 et constitutif de la Bibliothèque Copte de Nag Hammadi, Jésus explique qu'il y a
deux sortes d'humanités : ceux dont le corps a reçu de l'Archange Michel*² un esprit à titre temporaire afin qu'il puisse leur offrir son service (liturgique), et ceux à qui l'Archange Gabriel a
accordé l'Esprit Éternel, et qui appartiennent à la Grande Génération sans archontes (autrement dit les prédateurs ou "Anges déchus") au-dessus d'elle.
* Le codex Tchacos est le nom d'un manuscrit copte sahidique (de haute-Égypte) sur papyrus du IIIe ou IVe siècle comportant quatre textes dont les orignaux ont été composés en langue grecque (copte) et relèvent de la production des milieux gnostiques anciens, soit les évangiles gnostiques comme ceux de Marie (Codex de Berlin), de Thomas, de Philippe, et surtout de Judas (Codex Tchacos). Le manuscrit comporte 66 pages, dont vingt-cinq forment l'Évangile de Judas, Évangile dit apocryphe, c'est-à-dire non retenu par le canon de l’Église romaine. Et pour cause...
*² Il est l'équivalent
d'Anubis, le dieu funéraire de l'Égypte antique, maître des nécropoles... Cf. Le chemin
alchimique.
Ce qui les différencie s'appelle émotion, autrement nommée sentience, la capacité d’éprouver des choses subjectivement*. En effet, ce qui définit l’humanité d’un être est "Qui est sensible à ce que peut ressentir son prochain", que l'on décline sous différents vocables : affectivité, altruisme, aide, allocentrisme, âme, amour (d’autrui), assistance, attendrissement, bénévolat, bienveillance, bonté, charité, cœur, compassion, dévouement, don de soi, empathie, émotivité, entraide, extraversion, fraternité, générosité, gentillesse, pitié, romantisme, sensibilité, sentiment, serviabilité, solidarité, sollicitude, sympathie, tendresse, vulnérabilité.
* Cf. L'expérience émotionnelle.
De la coupure émotionnelle
La perception de la réalité est fonction de l'émotionnel de l'individu. Or un individu sans fonction émotionnelle intégrée à sa biologie constitutive est un organisme doté d'un cerveau incomplet, les fonctionnalités de son néocortex étant atrophiées alors que celles de son cerveau reptilien sont hypertrophiées. Il en résulte que les informations intellectuelles ne peuvent pas être intégrées sur le plan émotionnel de manière suffisamment profonde, empêchant la capacité à faire croître le discernement, juste combinaison d'informations émotionnelles et intellectuelles. Tant que cette union intérieure des potentiels liées aux polarités féminine (magnétique) et masculine (électrique) n'est pas effective, le prédateur psychique gouverne en son royaume, puisque aucune forme de discernement centrée sur le mental ne peut le détrôner. Le résultat est pour l'individu, homme comme femme, constitutif d'une impasse, d'une intelligence même aiguisée incomplète puisque se basant uniquement sur l’aspect intellectuel. Elle ne peut que se retrouver plafonnée à la réalité apparente de 3ème densité terrestre.
Le meilleur exemple récent en 2023 est la suggestion faîte par le ministre israélien du patrimoine Amichai Eliyahu membre du parti d’extrême droite Otzma Yehudit ("Pouvoir juif") de voir son pays lancer une bombe nucléaire sur Gaza. S’exprimant sur Radio Kol Berama, il a déclaré que l’utilisation d’armes nucléaires contre l’enclave palestinienne "est l’une des possibilités" après que son interlocuteur ait déclaré que cela "aplatirait" la zone et "éliminerait tout le monde".
Cf. Fonctionnement du corps biologique.
Par éducation et naïveté, nous avons tous la sincère conviction que tous les êtres humains ont cette prédisposition d'humanité particulière, et que, à quelque niveau que ce soit, tous les hommes et toutes les femmes sur cette planète possèdent a minima cette tendance à la bonté, tous ressentant les caractéristiques des émotions de notre quotidien : amour, peine, joie, honte, colère, dégoût, envie, peur etc. La plupart d’entre nous sont même convaincus que, en dépit des actions commises et des paroles dites par certains individus, ils "ne sont qu’humains"*, leurs déviances psychiques et comportementales étant liées à "l'enfant intérieur blessé" par la carence affective ressentie lors de leur construction identitaire. Nous le croyons, car nous faisons de la projection, découlant des croyances inculquées, des conditionnements assénés, et ce depuis des millénaires.
Nous oublions la loi naturelle, qui veut que plus l’organisation psychologique d’une espèce donnée est élevée, plus les différences psychologiques parmi les unités individuelles sont grandes. L’homme étant l’espèce la plus hautement organisée dans notre dimension terrestre, il en résulte que ces variations entre individus sont les plus grandes. À la fois qualitativement et quantitativement, des différences psychologiques existent dans toutes les structures du modèle de personnalité humaine. Elles permettent ainsi aux sociétés humaines de développer leurs structures complexes et d’être hautement créatives tant au niveau individuel que collectif. Si ce processus évolutif perpétuel est la situation normale, certains systèmes politiques comme religieux essaient d’induire une stabilité et une homogénéité excessives dans nos personnalités. Et ceci est malsain, tant pour l’individu que pour la société d’un point de vue psychologique.
* A titre d'illustration, c'est tout l'artifice rhétorique qui a été déployé par nombre de politiques, journalistes et soi-disant experts présents sur les
plateaux audiovisuels, pour commenter et excuser au nom de la protection de la vie privée le comportement d'un candidat aux élections municipales de la ville de Paris en février 2000, afin de le
faire passer pour "victime" de sa légèreté exposée avec maladresse et naïveté sur les réseaux sociaux, alors qu'il n'était que le "bourreau" de lui-même. Mais faute d'introspection profonde et de
remise en question de leurs savoir et connaissance, pouvait-t-il en être autrement que de tenter d'excuser la pathologie (examen des "passions ou troubles" dans le sens grec premier) de l'un au
nom de toute la collectivité mise dans le même sac putride...
César était-il psychopathe ?
En des temps plutôt propices à la guerre, avec généralement beaucoup de combats et de morts, l’arrivée d’une grande âme bâtisseur d'une grande civilisation pose
question quant à sa dimension spirituelle, que nous pourrions comprendre selon les critères de la construction philosophique
humaine comme une interdiction de tuer d’autres personnes. L'idée que pour être bon "tu ne tueras point" est
cependant exagérée, d'autant qu'elle vient de la religion la plus meurtrière sur la planète !
Indéniablement tuer un autre être humain pour un être humain normal est dans l'ensemble une chose assez traumatisante. C'est
pourquoi nombre de soldats reviennent avec des troubles de stress post-traumatique. S'ils sont entraînés à tuer, beaucoup veulent se tuer après-coup, ne
pouvant accepter le fait qu’ils ont tué. La différence est que Jules César (100/44 avant J.-C.) était conscient de la raison fondamentale pour laquelle il
tuait… Il avait en effet l’intention d’éliminer ou de réduire considérablement les mises à mort. Il savait à quoi il était confronté.
Dans le discours que lui prête l'historien romain Salluste (86/35 avant J.-C.), reproduit dans De
Catilinae coniuratione ("la Conjuration de Catilina"), César est
opposé farouchement à la peine de mort. Ce faisant, il risquait sa vie en prononçant un tel discours, encerclé d’hommes armés sous les ordres de Cicéron qui était vraiment déterminé à faire
exécuter ces personnes. Et pourtant, il s’est dressé contre un sénat entièrement hostile, et a plaidé contre la peine de mort. Il est même dit qu’à ce moment-là, des gens ont sorti leur épée et
voulaient le tuer sur le champ. Ceci est d'ailleurs similaire à une histoire de Jésus dans la Bible, où des gens ont sorti leur épée et voulaient le tuer, mais il s’est échappé de la foule sans
qu’ils ne l’aient vu partir. Il est donc difficile d'accuser César d'être un tueur psychopathe. Tout au contraire, il prônait de traiter les pauvres et les
masses avec soin et bonté. De fait, le soi-disant décompte des morts en Gaule tout comme les faits horribles et cruels décrits apparaissent disproportionnés, exagérés. Et nous pouvons d'autant
mieux comprendre son assassinat, son enseignement basé sur des idées de communalisme, de partage, de compassion, de
miséricorde, etc. constituant une vraie menace d'être propagé à travers le monde et de tout changer... C'est ainsi que fut instauré le christianisme à la sauce astrale, la religion de la
passivité et du mensonge !*
* Cf. L’Église romaine décodée.
L'historien russe Boris Mouravieff (1890/1966), connu pour ses enseignements et écrits relatifs à l'ésotérisme chrétien, aborde ce sujet dans la trilogie Gnôsis (parution en France entre 1961 et 1965), faisant référence plusieurs fois à la coexistence de deux races essentiellement différentes - l’une constituée d’Humains et l’autre d’Anthropoïdes - dont les Écritures Saintes contiennent plus d’une référence au sujet de leur coexistence sur notre planète. Les êtres de la race anthropoïde seraient en fait les descendants de l’humanité "pré-adamique" (avant l'Adam tel que raconté dans l'épopée biblique), avec comme principale différence avec l’homme adamique qu'ils ne possèdent pas les centres supérieurs développés, soit la conscience émotionnelle qui offre une possibilité réelle d’évolution, d’éveil de conscience. Leur génétique, liée à une manipulation induite par les maîtres généticiens de 4ème dimension (dits archontiques ou reptiliens), est un corps que l'on pourrait apparenter à celui d'une méduse, dans l'incapacité d'accueillir une âme qui leur serait propre. En dehors de cette différence d'importance, les deux espèces sont similaires : mêmes centres inférieurs (conscience matérielle/matérialiste), même structure de la personnalité, même corps physique.
Les Anthropoïdes représentent environ la moitié de l'humanité selon certains indices dans les Évangiles, avec pour fonction de voler l'énergie des êtres humains possédant une âme afin de les émuler, c'est-à-dire d'essayer de les égaler voire de les dépasser. Autrement dit, chez un individu de la variété organique en question, les prétendus chakras ou centres d'énergie supérieurs sont "produits en pratique" en volant cette énergie aux êtres humains possédant une âme*², appelés les adamiques (ils sont dotés au maximum de 5 % d'ADN reptilien).
S'il est difficile de les identifier, c'est en raison de l’énorme faculté ou propension mimétique des êtres humains (à l'instar des singes, portant de ce fait bien leur nom), leur conférant la possibilité de reproduire à l'identique les comportements et émotions observés. Qui plus est, des croisements entre les deux espèces - Anthropoïdes et Humanoïdes - se sont produits depuis des milliers d'années, si ce n'est des dizaines de milliers d'année. L'ADN* des deux étant complètement mélangé (on peut trouver l'une et l'autre au sein d'une même famille), il constitue le sens véritable de la contamination de la descendance. Seulement ceux qui possèdent le code génétique approprié peuvent au final héberger une âme et ainsi poursuivre le travail ésotérique d'éveil et de libération, ce qui signifie qu'aucune couleur ou groupe ethnique n'est exclu, ni ne bénéficie d'un avantage particulier.
Il n'est ainsi pas étonnant que ce savoir ancien resurgisse dans notre monde contemporain sous diverses appellations, telles que psychopathie, sociopathie, pathocratie... Et pas seulement pour les grands criminels (ex. tueurs en série), mais pour les psychopathes "standard", qui ont tout de l’humain ordinaire !
* L'acide désoxyribonucléique ou ADN est une macromolécule biologique présente dans toutes les cellules ainsi que dans de nombreux virus. Elle contient toute l'information génétique, appelée génome, permettant le développement, le fonctionnement et la reproduction des êtres vivants.
*² Cf. Qu'est-ce que l'Homme ? & Le cheminement de l’Âme.
Le masque de santé mentale
En ce qui concerne le psychopathe dit ordinaire*, soit le psychopathe qui ne se fait pas repérer en opérant de façon invisible dans la société, l’observateur y compris scientifique (psychiatre ou psychologue) est confronté à un masque convaincant de bonne santé mentale. Toutes les caractéristiques extérieures de ce masque sont parfaites. Il ne peut être enlevé ou pénétré par l’effet de questions dirigées vers des niveaux de personnalité plus profonds. Aussi l’examinateur n’arrive jamais à percer l’écran qui masque le chaos que l’on trouve parfois en cherchant au-delà de l'apparence extérieure d’un schizophrène paranoïaque.
[…] Les processus mentaux conservent leur normalité lors des enquêtes psychiatriques et des tests techniques conçus pour mettre en évidence la preuve pas toujours claire d’un dérangement.
L’examen ne révèle pas seulement un masque ordinaire à deux dimensions mais aussi ce qui semble être l’image structurelle solide et substantielle d’une personnalité saine et rationnelle.
[…] De plus, cette structure de la personnalité fonctionne dans toutes les situations théoriques d’une manière apparemment identique à celle d’une personnalité dotée d’un fonctionnement normal et sain.
[…] En outre, l’observateur reconnaît les expressions verbales et faciales, les tons de la voix, et tous les autres signes que nous avons coutume de considérer comme manifestant la conviction, l’émotion et la conduite d’une vie normale telle que nous la connaissons nous-mêmes et la supposons chez les autres.
Si toutes les évaluations émotionnelles et les jugements de valeur sont sains et appropriés quand le psychopathe est testé lors d’examens oraux, c’est seulement très lentement et à la suite d’un processus complexe d’estimation ou de jugement basé sur une multitude de petites impressions que nous finissons par être convaincus qu’en dépit de ces processus rationnels inaltérés, de ces manifestations émotionnelles normales et de leur déroulement cohérent dans toutes les situations, nous avons affaire ici, non pas à un homme complet, normal, mais à ce qui pourrait être un automate subtilement agencé pouvant imiter à la perfection la personnalité humaine. La notion de réalité, en tant qu’expérience pleine et saine de la vie, est ici absente*².
Hervey Cleckley, psychiatre états-unien (1903/1984), "Le masque de santé mentale" (The Mask of Sanity)
* Cf. Il est représenté dans le film The Barber - The Man Who Wasn’t There ("L'Homme qui n'était pas là") réalisé par les frères Cohen (2001).
*² Les psychopathes secondaires sont des individus possédant une âme et qui ont choisi le "côté obscur". S'ils agissent pratiquement de la même manière que les psychopathes primaires, d'habitude ce sont les pires...
Cf. en complément livre du psychologue canadien Robert Hare Without Conscience ("Le Truc Du Psychopathe : nous faire croire que le Mal vient des autres") & livre du psychologue en organisation américain Paul Babiak Snakes in Suits ("Des serpents en costume-cravate").
La plupart de ces êtres anthropoïdes "pré-adamiques", autrement appelés "Portails Organiques" (PO)*, ne sont pas particulièrement enclins à enfreindre les lois. En fait la majorité d’entre eux n’ont pas de réelles inclinations du tout, si ce n’est à poursuivre les influences expressions des normes sociales telles que l’argent, le sexe, le mariage, la célébrité ou n’importe lequel d’une multitude de soi-disant idéaux que nous sommes tous encouragés par le champ éducatif environnant à poursuivre depuis notre plus jeune âge. Atteindre ces buts est en effet considéré dans la société globale comme le point culminant de la recherche du bonheur, même s'il est évident, compte-tenu de l’état du monde d’aujourd’hui, que le bonheur véritable reste plus illusoire et insaisissable que jamais… du moins pas pour ceux qui se doutent qu’il y a "quelque chose d'autre".
Ces apparentés clones ou "biorobots" ne sont que des créatures à basses vibrations, habitués à vivre selon des programmes clairement définis par leur conscience collective. Ils vont docilement "à l’abattoir", répondant avec soumission à tous les appels des autorités pour se faire vacciner et pucer sans un murmure, en leur fournissant leurs données biométriques et en acceptant d’autres attributs de l’esclavage sans penser aux conséquences. C’est ce qui empêche de nombreuses personnes de protéger leur liberté et de défendre leurs enfants contre l’horrible menace qui pèse sur eux du fait des mondialistes génocidaires.
* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.
Pour les autres, la petite poignée d'élites à l'échelle planétaire, ils sont issus de divers groupes ou races des entités involutives de 4ème dimension qui opèrent par leur entremise sur Terre. Il n'y a nulle coopération entre eux, dans la mesure où ils opèrent sous le contrôle d’un système hiérarchique avec un chef suprême qui tire les ficelles ou pousse les manettes selon les cas afin de générer le plus de chaos destructeur dans les consciences.
A noter qu'environ 2 à 2,5 millions environ de ces humains anthropoïdes positionnés sur le haut de la pyramide sociale sont issus de techniques d'hybridation biologique réalisée dans la civilisation souterraine (ainsi dans la base souterraine de la Zone 51 au Nevada), à un niveau plus profond que les séismes qui pourraient se produire, avant de se retrouver pour certains à la surface de la Terre* par le biais de l'utérus déterminé (les autres y sont injectés à l'âge adulte). Ces individus aux capacités psi plus avancées que chez les êtres humains ont conscience de leur mission malveillante, faisant office à ce titre de "gestionnaires" ou d’agents provocateurs. Certains d’entre eux tirent à ce titre les ficelles en Ukraine, d'autres étant des membres hauts placés du ou proches du gouvernement des États-Unis ou d’autres gouvernements comme les Obama, Schwab, Trudeau, Al Gore, John Kerry, Netanyahou, Kissinger et compagnie, ou étant diverses sortes de leaders dans les médias ou des influenceurs via les réseaux sociaux comme YouTube ou Facebook à l'instar de Mark Zuckerberg. Et certains d'entre eux vont jusqu'à consommer des fluides corporels ou des organes d’autres êtres humains compte-tenu de l'état de leur dégénérescence psychique*²...
* Voir par exemple la vidéo de cette passagère qui a fait une scène dans un avion à destination de Dallas en disant "ce fils de p… n’est pas réel", visiblement paniquée par l'énergie dégagée par l'entité hybride à côté de laquelle elle était assise !
*² L’adrénochrome agit comme facteurs d'anti-vieillissement, de puissance sexuelle, d'énergie et légèrement psychédélique. Le rajeunissement est toutefois temporaire.
Biologie extraterrestre
Le physicien théoricien américano-israélien Abraham Loeb, habituellement nommé Avi Loeb, qui travaille dans les domaines de l'astrophysique et de la cosmologie dans la prestigieuse université Harvard College dans l’État du Massachusetts aux USA, est connu pour son domaine de prédilection spéculative que sont les civilisations extraterrestres. C'est à ce sujet qu'il a donné une nouvelle interview en août 2023 à la chaîne Fox News Channel, affirmant que des extraterrestres surhumains pourraient construire des "bébés univers" dans des laboratoires. Il va sans dire qu'en raison de ses positions jugées loufoques, il s'est aliéné nombre de ses pairs moins ouverts d'esprit sinon visionnaires, même s'il ne fait que rejoindre un nombre croissant d’universitaires, de responsables politiques et gouvernementaux et de citoyens ordinaires convaincus du bienfondé d'une vie extraterrestre. Il n'est qu'à voir les actuelles auditions du Congrès américain sur le sujet, même si certains considèrent qu'elles constituent une énième manipulation de l’État profond destiné à détourner l'attention des citoyens sur la corruption endémique de son système.
Aussi est-il fondamental de comprendre que ces créatures sans âme, marionnettes en leur état, constituent le bras armé - l'armée de l'Ombre - des prédateurs de 4e densité de réalité que ceux-ci utilisent comme tube alimentaire de prédilection par les souffrances qu'ils infligent aux humains-âmes. La finalité ou la fonction originelle du Portail Organique n'a pas pour finalité de se nourrir des membres de la "race adamique", mais de nourrir ses maîtres généticiens et, tout particulièrement, de drainer l'énergie de ceux qui ont choisi d’œuvrer par l'éveil de leur conscience pour s'échapper de la Matrice prédatrice. Et pour ce faire, ils leur imposent des profils de comportement qui suivent les normes établies, et, de par leur proximité physique, sapent par tous moyens leur énergie pour les empêcher d'atteindre, via le développement des centres magnétiques (chakras), la "vitesse d'échappement" nécessaire pour s'extirper du carcan mis en place par le Système de Contrôle de la Matrice*. Le principal rôle des PO est bel et bien désormais d'empêcher le chercheur véritable d'avancer sur la Voie d'Ascension de conscience !
* Le travail à mener pour sen protéger consiste à apprendre à discerner la nature véritable des influences que distillent nos relations (amis, collègues...) et les membres de notre famille (parentèle, conjoint-e, enfants...), afin de préserver notre énergie des PO se trouvant autour de nous. L'objectif est de pouvoir disposer de cette énergie pour le développement et la consolidation de l'âme (Cf. Le cheminement de l’Âme).
Des Portails Organiques (PO)
De façon très schématique, ce sont des individus qui sont capables d'imiter la personnalité humaine tout en donnant le sentiment (ressenti) que quelque chose est manquant, leur humanité profonde. Ils sont issus de l'humanité pré-adamique (avant l'Adam biblique), et nommés anthropoïdes. Ils sont dépourvus de centres supérieurs développés, servant de relais esclaves à leurs maîtres généticiens reptiliens/archontes ainsi que de pont entre la 2e et la 3e densité (animal-humain).
Ce sont des "coques vides", ne pouvant atteindre leurs centres supérieurs pour se connecter au divin (la supra-conscience), dans la mesure où le bridage de leur ADN
ne le leur permet pas. Ils n'ont de ce fait pas d'âme *², ou celle-ci est très embryonnaire. Leurs centres énergétiques (les chakras en sanskrit) supérieurs sont de ce fait produits, et
ce grâce à leur fort magnétisme hypnotique, par le vol de l'énergie vitale du centre sexuel (plexus solaire au niveau du ventre) des êtres humains dotés
d'une âme, ce qui leur attribue les qualités de l'âme par effet miroir, en leur permettant d'apprendre à accroitre leur âme
individuelle naissante. Ils ne peuvent en l'état tendre vers un chemin d'évolution libératoire*³, servant de
relais aux prédateurs de 4ème densité (le mode "Service de Soi") pour se nourrir de l'énergie subtile de lumière contenue dans
l'âme afin de survivre dans les ténèbres.
La plupart d'entre eux sont des machines très efficaces. Autrement dit, ce sont des psychopathes au sens primaire, incapables d'empathie. La seule douleur qu'ils ressentent est un état de manque de "nourriture" ou de confort, soit l'obtention de ce qu'ils désirent. Il en résulte une absence de conflits intérieurs existentiels, de doute et d'intuition. Leur ADN est mélangé à celui des humanoïdes - les individus dotés d'une âme (ère adamique) -, expliquant que l'on peut trouver l'un et l'autre au sein d'une même famille.
* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ?
*² Le magnétisme est une énergie dont la fréquence vibratoire provient de la Force Nucléaire Forte, cette énergie étant vectrice de l'illusion de la 3-D gouvernée par une conscience en mode "Service De Soi".
*³ Cf. Le cheminement de l’Âme.
Trouble obsessionnel des portails organiques démo(n)crates
Cela s'appelle le "Trump Derangement Syndrome (TDS)", qui a et continue d'aveugler presque la moitié d’une nation. Celles et ceux qui en sont les proies sont tellement obsédés par "l’Orange Bad Man" qu’ils ne peuvent voir à quel point ils sont devenus radicaux (voir à cet effet le passage de l'écrivain états-unien Douglas Kennedy dans l'émission de André Bercoff sur Sud Radio en juin 2023), et ceux qui le voient s’en fichent. Plus de quatre ans après le départ de Donald Trump de la Maison Blanche, ce syndrome de dénaturation cognitive (altération grave de la pensée rationnelle) s’était aggravé en 2022 puis accéléré en 2023, ne pouvant qu'empirer à l'approche des élections présidentielles de fin 2024, puisque le nettoyage du marais putride de l’État profond (corruption endémique des élites institutionnelles et médiatiques constitutives de l'establishment) étant au programme du candidat républicain, au moins dans les promesses...
Il ne vient pas à l’esprit de ces esprits malades car compulsifs de se demander pourquoi ils n’arrivent pas à sortir l’homme aux cheveux orange de leur tête. Ils le haïssent; ils le détestent; ils le craignent. Et s'ils ne peuvent pas s’empêcher de le dire, de le crier, l’expression verbale de leur obsession ne leur apporte aucun soulagement. Tout au contraire, leur exaspération ne fait que grandir et bégayer, alors même qu'exprimer ce que l’on ressent au plus profond de soi est censé apaiser le sentiment, l’extériorisation faisant couler la colère. C'est ce qu'a théorisé le psychanalyste Sigmund Freud, l'intitulant "la guérison par la parole". Mais ceux qui sont porteurs du TDS ne le font pas. Aussi ce syndrome s’attarde dans leur tête, y ayant trouvé racine !
Pourtant, rien de ce qui s’est passé n'a fait "disparaitre" leur obsession, toutes les tentatives d'éradication ayant échoué, ayant fait pschitt ! Jeb Bush n’a pas pu le battre, ni Hillary Clinton, pas plus l’équipe du procureur Mueller dans le "Russiagate" avec l'invention d'une fausse collusion et de fausses cassettes d'urine russes, ni les poursuites de l'avocat Michael John Avenatti comme défendeur de l'actrice de films pour adultes Stormy Daniels pour de prétendues relations intimes même s'il fut condamné de manière grotesque (34 chefs d'inculpation !) au pénal en juillet 2024, ou encore le témoignage du lieutenant colonel Alexander Semyon Vindman en octobre 2019 devant le Congrès des États-Unis au sujet du prétendu scandale Trump-Ukraine, et toutes les autres affaires imaginées par le Washington Post et les médias audiovisuels NPR, CNN et MSNBC. Même après sa défaite de 2020 et les auditions de la députée républicaine hystérique Liz Cheney, il n'a pas été écarté du corps politique, Trump n’ayant pas été inculpé ou reconnu formellement coupable d’insurrection. Et pourtant, certains Etats comme le Colorado ou le Maine n'ont pas hésité à le retirer du scrutin de désignation du candidat républicain pour 2024 au motif qu'il avait fomenté une insurrection, avant que de piteusement revenir en arrière faute de preuve judiciaire. Les médias à la botte ont même affirmé qu'il était sur l’île d’Epstein, alors que les documents du tribunal indiquent clairement qu’il n’y était pas, ou ont publié des photos de Trump, Clinton et Epstein en essayant de vendre le mensonge selon lequel ils sont tous ensemble dans cette affaire. Comme le raid de sa propriété privée de Mar-a-Lago en 2022 par le FBI ou l'enquête à charge de la chambre des représentants en 2023 dans sa soi-disant responsabilité dans l'assaut du Capitole n'ont en l'état rien donné (cette dernière a finalement été abandonnée), et que la perspective de Trump président 2024 est apparue plausible sinon probable en dépit de deux tentatives d'assassinat finalement avortées, leur viscérale obsession par le biais de procureurs et des juges véreux, alors qu'ils n’ont aucune preuve certaine, n'a cessé de s’étendre. Ils sont apparus de plus en plus radicalement extrêmes, révélant leur véritable nature psychopathe masquée par leurs prétendus oripeaux humanistes, celle de nazis et de fascistes*, à l'image de l'ex président démocrate sénile Joe Robinnete Biden, potiche et marionnette profondément corrompue dont la vieillesse s'est mal terminée avec son fils drogué et addict au sexe, mais protégé par la mansuétude de juges et d'une presse aux ordres des véritables décideurs de l'ombre. Jusqu'à son retrait en juillet 2024 de la course présidentielle pour un second mandat, Joe ne dirigeait pas vraiment le pays, ne proposant pas d’idées, de plans ou de programmes, son travail consistant à faire perdurer l’escroquerie des élites, l’establishment. Pas de veto sur les lois budgétaires. Aucun scrupule à soutenir des régimes meurtriers et des guerres perdues d’avance à l’étranger. Aucune résistance à l’idée de cribler la prochaine génération de dettes. Il avait été acheté, et leur a été fidèle en étant leur homme à la Maison-Blanche.
Non seulement les démocrates ont instrumentalisé la justice pour des poursuites souvent grotesques devant les tribunaux destinées à nuire à l'image du candidat républicain à une nouvelle présidence, ou se sont appuyés pour ce faire sur les géants technologiques (le Media Research Center, un organisme conservateur de surveillance des médias, a publié une étude suggérant que Google avait placé le site web de la campagne de Mme Harris à un emplacement plus favorable dans ses résultats de recherche que le site officiel de la campagne de M. Trump), mais ils ont été capables d'aller jusqu'à l'extrême, l'assassinat, expérimenté à maintes reprises dans la première démocratie se voulant exemplaire du monde. C'est ainsi que le Président Trump a évité le 14 juillet 2024 lors d'un meeting du camp républicain en Pennsylvanie le pire, les tireurs d’élite des services secrets ayant laissé un toit grand ouvert sur lequel s'était dressé à seulement 150 mètres de M. Trump le tireur censé éliminer la menace fasciste sans cesse râbachée dans les médias depuis 2016. Pourtant les yeux rivés sur le tireur, et tandis que des spectateurs criaient qu’il y avait un homme sur le toit avec une arme (un fusil automatique ordinaire avec une bonne visée), les tireurs d’élite des services secrets ont attendu qu’il tire avant de le tuer, en pointant leurs armes sur l’assassin mais refusant d’appuyer sur la gâchette. Les forces de l’ordre et le personnel de sécurité n’ayant pas pris la peine de sécuriser tous les toits situés à proximité, c’était un coup monté, l'homme n’étant pas censé rater son coup. Comme l'a déclaré sur les réseaux sociaux Bobby Kennedy, le fils de Robert F. Kennedy Jr. assassiné en 1968, "Prenez vos services secrets et enfoncez-les dans votre cul. Prières à Trump et à sa famille". Rebelote en septembre avec le même piteux résultat.
A quoi nous pourrions ajouter le Premier ministre slovaque Robert Fico et le Premier ministre hongrois Victor Orbán qui ont eux aussi subi en 2024 des attaques criminelles similaires, car partageant avec Donald Trump une opposition farouche au Nouvel ordre mondial et une défense de la souveraineté nationale.
* Le fascisme fait référence à une manière d’organiser la société en mettant l’accent sur le gouvernement autocratique, le leadership dictatorial et la suppression de l’opposition, soit l'autocratie, système de gouvernement dans lequel le pouvoir absolu sur un État est concentré entre les mains d’une seule personne, dont les décisions ne sont soumises ni à des contraintes juridiques externes ni à des mécanismes régularisés de contrôle populaire. Toute ressemblance avec le régime de Joe Biden, celui-là même qui a contourné le Congrès sur l’annulation des prêts étudiants, menacé de contourner le Congrès sur le changement climatique, le contrôle des armes à feu et la réforme de la police, supprimé le scandale Hunter Biden avant les élections de 2020, admis qu’il dit à Facebook ce qu’il doit censurer, ne pourrait qu'être fortuite...
Folie comportementale
La victoire électorale écrasante du président Trump du 5 novembre 2024 aux présidentielles états-unienne a vu dans sa foulée émerger une nouvelle tendance apparue parmi les personnes atteintes d’un cas extrême de syndrome de dérangement à l’égard de Trump, en l'occurrence celle de suggérer sinon conseiller aux femmes d’empoisonner secrètement leurs maris s’ils avaient voté pour le candidat républicain honni à l'extrême. C'est ainsi que le New York Post a rapporté le fait que "des femmes en ligne ont pris l’habitude de filmer des vidéos macabres de fantaisie meurtrière dans lesquelles elles romancent le glaçage des boissons des hommes avec un poison mortel comme une réponse justifiable aux craintes concernant le droit à l’avortement sous une seconde présidence de Donald Trump", ajoutant que "de nombreuses vidéos ont été visionnées des millions de fois sur les réseaux sociaux X ou TikTok qui montrent des plus ou moins jeunes femmes souriant diaboliquement alors qu’elles altèrent une tasse de thé ou une autre boisson avec une substance inconnue". Le quotidien explique en outre que "certaines des femmes ont dit que les vidéos faisaient partie du mouvement 'Make Aqua Tofana Great Again' - MATGA -, un clin d’œil à la fois au slogan de campagne du président élu Trump, "Make America Great Again" (MAGA), et à l’ancienne tueuse Giulia Tofana*, qui a été adoptée comme héroïne par le groupe perturbé".
Ceci fait suite à des appels à la grève du sexe, soutenus par les personnalités hollywoodiennes soutiens des démocrates Kathy Griffin et Whoopi Goldberg, et même à
la dégradation intentionnelle de l’apparence personnelle afin de punir les hommes américains patriotes et soutiens du mouvement nationaliste trumpien.
* Giulia Tofana Giulia Mangiardi, née à Palerme, a été exécutée à Rome le 5 juillet 1659. Cette courtisane italienne fut rendue célèbre pour avoir été une tueuse en série sui generis, dédiée à la cause des femmes piégées dans de mauvais mariages, auxquelles elle fournissait un poison aussi discret qu'efficace, l'Acqua Tofana ("eau Tofana"), mélange d'arsenic, de plomb et de belladone.
Folie accusatrice
À la suite de la condamnation spectaculaire de Donald Trump à 83,3 millions de dollars par un tribunal de la ville de New York, son accusatrice de prétendu viol, la journaliste, auteure, scénariste et chroniqueuse américaine E. Jean Carroll, s'est lancée dans une sortie d'audience bizarre pour ne pas dire hallucinatoire dans un remake du "Juste prix" US (Price is Right) pour savoir comment elle pourra dépenser "l’argent de Trump". Dans cette affaire entièrement financée par les "ennemis" de l'ancien Président, cette victime ne s'est pourtant pas souvenue tout au long du procès des faits essentiels de sa propre plainte, ses propos accusatoires demeurant constamment vagues et imprécis. Elle a même qualifié un jour le viol de "sexy", et s'est appuyée sur de prétendus tweets "hors normes" qui n’ont pourtant pas été autorisés à être montrés au jury !
Se livrant à une démonstration absurde en étant interrogée par une journaliste (Rachel Maddow) de la chaîne TV MSNBC sur la manière dont elle dépenserait cet argent pour aider les "droits des femmes", Mme Carroll a fait sa meilleure imitation d’une gagnante de ce jeu télévisé comme le font les victimes de viol en disant : "Tout d’abord, Rachel, vous et moi, nous ne sommes pas d’accord sur la manière dont nous allons dépenser l’argent de Trump" puis "Rachel, toi et moi allons faire du shopping, nous allons avoir une toute nouvelle garde-robe, de nouvelles chaussures…
Rachel, qu’est-ce que tu aimes, Penthouse ? Tu veux la France ? Tu veux aller pêcher en France ? C’est à toi Rachel". Son avocat s’est alors interposé nerveusement en disant "C’est une blague" ? "Si le fait d’aller pêcher en France pouvait faire avancer les droits des femmes, je prendrais le risque", a alors répondu la journaliste complice en plaisantant...
Quant à Donald Trump, il n'est nullement un sauveur, autrement dit le gentil face aux méchants pour sauver ce monde civilisationnel sur le chemin du chaos préalable à sa renaissance. Il n'est lui aussi qu'un pion sur l'échiquier de la matrice, tout autant porteur de psychopathie que les autres "grands" de ce monde, seules ses caractéristiques changeant. Le seul crédit qu'il porte, et il est loin d'être négligeable, est d'avoir rendu service aux citoyens. En effet, en essayant d'être le président d'une Nation et de mener ses "propres" affaires comme tout chef d'entreprise propriétaire de son capital attaché à sa préservation, il s'est battu contre les représentants de l'Etat profond US dévoyé, et les a pour partie démasqués. Il les a obligés dans une large mesure à sortir du bois et à montrer leur jeu, montrant au peuple américain et à la population mondiale qui dirige réellement l'Amérique et ses vassaux. Son "service à l'humanité" consistait simplement à être le type d'homme qu'il est, c'est-à-dire un prodige de l'Art de la négociation, doté d'une capacité physique comme mentale hors pair d'"aller au combat", ce qui n'est pas la marque de fabrique première des pleutres et ectoplasmes qui gouvernent, comme l'incarne le pitoyable président français, raillé et moqué par nombre de ses coreligionnaires pour son manque d'épaisseur...
Le vol de l'âme
Les centres énergétiques de l'humain-âme, autrement appelés "chakras"*, sont pour leur partie supérieure l'objet de convoitise des Portails Organiques - PO - de par la qualité d'âme qu'ils contiennent. C'est pourquoi ceux-ci, appartenant à la deuxième dimension de réalité, dimension animale rattachée à la sphère végétale et non humaine*², s'attachent à en voler l'énergie par le principe dit d'émulation. C'est cette entrée en contact avec l'énergie de l'âme qui leur permet de se développer, le rôle des PO au sein du plan général de la Création étant quelque chose de naturel et non pas quelque aberration ou manifestation du "mal", commode échappatoire de langage pour les ignorants ou les manipulateurs, notamment religieux. Il va sans dire que dans leur incapacité à savoir que cette partie supérieure d'eux-mêmes existe, l'âme, les PO ne peuvent conscientiser leur propre souveraineté énergétique souveraine. Ils ne peuvent que la voler aux êtres qui en possèdent une.
Ce processus de vol énergétique n'est qu'une étape naturelle du plan de développement des créatures en leur état entropiques, afin d'instiller les germes de l'état d'esclave dans le fonctionnement sociétal (résumé dans le visuel ci-contre). Il crée dans le même temps la "porte" utilisée par les prédateurs "Service De Soi" de 4ème densité pour se nourrir de cette énergie de l'âme.
* Cf. Fonctionnement du corps biologique.
*² La majorité des créatures de la 2-D possèdent une âme-groupe - dite totémique - qui impose à leur schéma naturel de comportement des caractéristiques spécifiques variant d'espèce à espèce. Ceci correspond à ce que l'on désigne généralement par "comportement instinctif". Par un procédé de duplication fractale, ils projettent une copie identique à échelle réduite de leur âme qui va alors animer le corps des spécimens de leur espèce en 2-D, et ces mêmes fragments d'âme, avec toutes les expériences accumulées lors de leur séjour dans le monde physique, retournent, après leur mort physique, auprès de l'âme totémique pour y "ajouter" quelque chose supplémentaire. C'est la raison pour laquelle les "comportements acquis" sont transmis à la génération suivante sous la forme de l'"instinct" au sein du règne animal. Une fois dépassées les limites de ce processus, l'âme ne se conforme plus tout à fait à l'emplacement fractal dont elle était originaire, empêchant le processus de "reconnexion" de se produire avec la "cellule parente" et obligeant ainsi l'âme à se différencier et à se procurer une construction génétique différente pour la prochaine incarnation. Cf. Le cheminement de l’Âme.
Parmi eux se trouvent les psychopathes qui ont "brillamment" réussi - tout comme chez les humanoïdes dotés d'une âme (psychopathes secondaires) -, qui sont au firmament ou presque de nos pyramides de gouvernance et que nous louons sinon célébrons la réussite présentée comme méritoire, et dont il est très difficile d'en déceler la nature véritable résidant dans leur constitution génétique. Leurs capacités d’imitation sont si développées et font tellement partie d’eux-mêmes qu’ils ne peuvent être découverts qu’après des années de scrupuleuse observation. Beaucoup n’enfreindront jamais les lois et ne deviendront jamais des criminels, car ce sont eux qui sont les plus susceptibles de faire ces lois. Sans doute ne voleront-ils jamais, car il est fort possible qu’ils contrôlent les banques.
Ce sont en quelque sorte des Portails Organiques qui ont des "défauts" dans leur logiciel biologique dénaturé. En effet, si toutes les évaluations émotionnelles et les jugements de valeur sont sains et appropriés quand le psychopathe est testé lors d’examens oraux, c’est seulement très lentement et à la suite d’un processus complexe d’estimation ou de jugement basé sur une multitude de petites impressions que nous finissons par être convaincu qu’en dépit de ces processus rationnels inaltérés, de ces manifestations émotionnelles normales et de leur déroulement cohérent dans toutes les situations, nous pouvons avoir affaire non pas à un humain "complet", mais à ce qui pourrait être un automate subtilement agencé pouvant imiter à la perfection la personnalité humaine. Son appareillage psychique à la mécanique bien huilée reproduit de façon cohérente, non seulement des raisonnements humains convaincants, mais simule également de manière appropriée les émotions humaines classiques en réponse à la presque totalité des divers stimuli de la vie. Cette réplique d’un homme complet et normal est tellement parfaite qu’aucune personne l’examinant en milieu clinique ne peut indiquer en termes scientifiques ou objectifs pourquoi ou en quoi cet homme n’est pas réel. Et pourtant nous finissons par savoir ou par avoir la sensation de savoir que la notion de réalité, en tant qu’expérience pleine et saine de la vie, est ici absente. La seule souffrance que connaît en effet le psychopathe, c’est quand on lui retire sa nourriture, c’est à dire quand il n’obtient pas ce qu’il veut !
Typologie de psychopathes
Anthropoïdes pré-adamiques ou "Portails Organiques"
Psychopathes dits ordinaires (primaires)
Humains (ère adamique)
Psychopathes dits secondaires
Bien qu'en petit nombre, ces individus de nature psychopathique, sans "humanité", bénéficient dans la cohabitation avec les humains de leurs aptitudes supérieures à la compétition - aucun sentiment de culpabilité ou de remords à ce qu'ils font, aucun sens de limitation, pas d’attention pour le bien-être des étrangers, des amis, ou même des membres de leur famille, notion de responsabilité inconnue - combinées à la capacité de cacher aux autres leur conformation psychologique différente. Puisque chacun suppose simplement que la conscience est universelle parmi les gens, cacher le fait d’être sans conscience est facile. Sans contraintes internes, leur souveraine liberté de faire comme il leur plaît, sans tourments de conscience, est fort à propos invisible au monde. Ceci explique qu'il leur est facile d’obtenir certains avantages par leur habileté manipulatrice hors pair, leur art du mensonge et leur capacité à concevoir les arnaques les plus subtiles (abus de confiance, duperies, chantage émotionnel, impostures et escroqueries). Un "art" de vivre au service de la destruction, y compris dans le domaine spirituel, nombre d'entre eux devenant des gourous et autres types de charlatans "amour et lumière"* ...
Comme ils se positionnent naturellement dans tous les milieux d’influence et de pouvoir - la médecine conventionnelle, établissements d’enseignements, haute direction des institutions financières et des multinationales, systèmes juridiques, forces de l’ordre, gouvernements -, nous avons une clé explicative fondamentale de la réalité du fonctionnement civilisationnel allant à l'encontre de ce que racontent les illusionnés naïfs du système, tout particulièrement les philosophes humanistes habitués des plateaux de télévision ou de radio (dont nombre sont également des psychopathes). Et par capillarité, par influence "ponérogénique", ces prédateurs vont infester nombre d'êtres humains dotés d'une âme, les conduisant à devenir des psychopathes potentiels, en fait des sociopathes dits secondaires...
* Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.
Le mélange des races
Les croisements entre les deux races - adamique et préadamique - s'étant produits depuis des dizaines de milliers d'années, il est impossible d'examiner les différentes races - la rouge, la blanche, la noire, la jaune - et de décider laquelle d'entre elles est cette race pré-adamique dépourvue d'âme. Il n'y a de ce fait pas de groupes, nations, tribus ni de peuples qui fassent partie de cette race des "sans-âme" en tant que groupe. L'ADN des deux races s'étant complètement mélangé, cela est l'explication de la contamination de la descendance. Seulement ceux qui possèdent le code génétique approprié - de ce fait particulier - peuvent au final héberger une âme, et ainsi poursuivre le travail d'évolution. Ceci signifie qu'aucune couleur ou groupe ethnique n'est exclu, ni ne bénéficie d'un avantage particulier.
C'est ainsi que l'adversité entre les Sémites et les Aryens est aussi bien planétaire qu'extra-planétaire, les prédateurs involutifs de 4ème dimension cherchant à
créer la "Race Suprême" pour en faire l'"élevage" et éliminer l'autre groupe qui, s'il n'était pas éliminé, compromettrait par le "profil individuel de l'aura" ses plans de domination et d'assimilation.
Au final, l'ADN de ces deux races s'est tellement mélangé que l'on peut trouver l'une et l'autre au sein d'une même famille (frère, sœur, mère, père, fille et
fils,...). Il se peut que ce soit quelqu'un avec qui nous vivons tous les jours, dont la seule raison d'être, dans ce cas, est de drainer l'énergie, de perturber et détourner l'évolution de tout
être humain possédant une âme !
Le modèle civilisationnel occidental
L’état actuel de la société nord-américaine, dont l’influence envahissante a tendance à infecter tout le reste de la planète, est une société basée sur le plaisir
que procurent les biens matériels, sur une consommation à outrance, sur la performance et l’accomplissement matériel, dont la valeur de chaque individu est estimable en dollar ($), et pour qui
les coutumes étrangères doivent être remodelées et façonnées à leur image. Ceci traduit les grands courants du monde constatés : mondialisation écrasante, commerce sauvage, pauvreté et
inégalités, importance démesurée de l’apparence du corps au détriment d’une beauté et d’une profondeur intérieures, dépendance aux biens matériels et aux services de l’État, sommes phénoménales
mises dans des recherches telles que les méthodes de contrôle des masses, l’industrie des armes, l’industrie pharmaceutique issue d’une médecine devenue uniquement mécanique, wokisme
(communautarisme bien-pensant), etc.
Cette affection de l’âme qu’est la psychopathie est contagieuse. Le manque total de conscience émotionnelle chez certains se propage, tels une maladie ou un virus, aux personnes qui sont directement en contact avec ce type d’individus. C’est par un processus de déshumanisation graduelle que les personnes qui côtoient des psychopathes sont lentement "assimilées" à leur mode de pensée matérialiste et sans égard pour autrui (selon le psychiatre polonais Andrzej Lobaczewski environ 12% de la population deviennent des "psychopathes par contagion"). Lorsque trop longtemps soumis à des influences déshumanisantes, surtout dès le jeune âge, c’est plus d’un dixième de la population qui perd ainsi son humanité. Ce sont des psychopathes sociaux par opposition aux psychopathes authentiques. Dans la plupart des cas, cette régression est irréversible.
Il en résulte socialement une "élite" matérialiste, sans âme et sans conscience émotionnelle, dont une partie significative se retrouve dans des positions de pouvoir. Il va sans dire que, peu à peu, la société se conformera à leur vision des choses, car par tromperies, duperies et tricheries ils parviendront à convaincre du bien-fondé de leur perception du monde. Puisque l’immatériel, la sentimentalité et l’aptitude pour l’intangible ne font pas partie de leurs facultés cognitives, ils ont une propension marquée pour l’ordre et le contrôle concret, palpable et matériel*. Ainsi naissent des concepts tels que le besoin d’imposer l’ordre, d’implanter une forme de légalité, etc., puisque leurs actions ne sont nullement basées sur une compréhension émotionnelle des relations interpersonnelles, mais bien uniquement sur des avantages d’ordre matériel.
La présence ou l’absence de conscience semble bel et bien le fruit d'une division humaine profonde, probablement plus significative que l’intelligence, la race, ou
même le sexe. "Ce qui distingue tous ces gens du reste d’entre nous est un trou tout à fait vide dans le psychisme, où il devrait y avoir la plus développée de toutes les fonctions
d’humanisation" (Martha Stout, The sociopath next door). Et leur présence dans les plus hautes strates du pouvoir conduit inéluctablement à un ordre totalitaire. Il n'est qu'à se
souvenir qu’en Allemagne nazie et en Russie stalinienne, les sciences psychologiques furent cooptées pour soutenir les régimes totalitaires, cela ayant été accompli par des psychopathes au
pouvoir qui
entreprirent ensuite de détruire toute possibilité de diffuser largement des informations précises sur la condition psychopathique, tout régime constitué principalement de déviants pathologiques
ne pouvant en effet permettre à la psychologie de se développer et de s’épanouir librement. Le régime lui-même serait alors diagnostiqué comme pathologique, ce qui révélerait la véritable nature
de l’homme derrière le masque...
* Cf. Le contrôle du robot biologique.
La "filière psychopathique autrichienne"
Selon le psychiatre polonais Andrzej Lobaczewski (1921/2007 - photo 1), c'est à partir de la Première Guerre mondiale, puis surtout de la Seconde Guerre mondiale, que les individus ont commencé à agir comme des "fous". Le même constat a été fait par l'historien, psychohistorien et professeur d'histoire Robert George Leeson Waite (1919/1999 - photo 2), spécialisé dans le mouvement nazi, dans son livre Psychopathic God : Hitler ("Le dieu psychopathe") à propos d’Hitler qui livre une description détaillée de l'Allemagne avant Hitler, qui voit des gens agir comme des fous. Lobaczewski a fait également référence au "discours autrichien", soit un état d’esprit ou une attitude qui a émergé de l’Autriche. Hitler, comme le psychiatre suisse Carl Gustav Jung (photo 4), le neurologue autrichien Sigmund Freud (photo 5), l'écrivain austro-hongrois Franz Kafka (photo 6), le philosophe et mathématicien autrichien Ludwig Josef Johann Wittgenstein (photo 7), le physicien et philosophe Erwin Rudolf Josef Alexander Schrödinger (photo 8), beaucoup de gens très intelligents, étaient de véritables fous. Ils ont incontestablement et considérablement influencé dans leurs œuvres respectives l'hystérie de cette fin de cyclicité civilisationnelle.
Le dernier en date, incontestablement moins brillant comme figure de référence, est l'ex chancelier fédéral autrichien Alexander Schallenberg (photo 9), qui a voulu
conduire le pays à imposer à tous ses citoyens l'obligation vaccinale antiCovid à compter de février 2022 (à noter que l’application de la loi n’a absolument
pas permis de booster le taux de vaccination dans le pays), avant que d'être repoussée à avril par son successeur Karl Nehammer nommé le 6 décembre
2021. Au final, cette obligation a été suspendue au 15 mars pour... 3 mois en l'état, puis définitivement abrogée en juin 2022.
La bête suisse psychopathe, base du Diable
Point commun, ils sont d'origine suisse (pas forcément de nationalité), soit des suisses ethniques issus des Cantons Est et
Centre, individus parlant allemand (ils représentent environ 65% de la population suisse). Nombre d'entre eux ont été des nazis, au sens propre comme figuré...*
Ci-contre une "belle" brochette de psychopathes criminels, directement ou indirectement dans l'orchestration de leurs basses œuvres : Christian Wirth, officier nazi de la SS, ayant eu d'importantes responsabilités dans l'euthanasie des malades mentaux et handicapés, inspecteur général des camps d'extermination de l'opération Reinhard Belzec, Sobibor et Treblinka (1885/1944) - Julius Streicher, éditeur antisémite allemand devenu cadre du NSDAP (1885/1946) - Allen Dulles, premier directeur civil de la Central Intelligence Agency états-unienne (1893/1969) - Rudolf Hess, le "dauphin d'Hitler" (1894/1947) - John Edgar Hoover, premier directeur du Federal Bureau of Investigation (FBI) états-unien de 1935 jusqu'à sa mort (1895/1972) - Heinrich Himmler, l’un des plus hauts dignitaires redoutables du Troisième Reich (1900/1945) - Albert Hofman, chimiste inventeur du LSD, l’acide lysergique, la substance extraite de l'ergot de seigle, une plante parasite des céréales*² (1906/2008) - Erich Honecker, principal dirigeant de l'Allemagne de l'Est de 1971 à 1989 (1912/1994).
Si la Suisse bénéficie d'un statut territorial privilégié, c'est qu'elle est le point d'impulsion de l'orchestration mondialiste en cours, nombre d'institutions de supervision y contribuant étant implantées dans ce petit paradis fiscal et diplomatique. Se cache derrière cette mise en œuvre la Royauté britannique basée dans la Cité de Londres - la branche mérovingienne des Illuminati -, qui pilotant sa dépendance états-unienne de Washington DC, tire les ficelles de la diabolique farce assénée à la conscience humaine non éveillée.
* Cf. Le féminin séquestré.
*² Substance mortifère utilisée notamment par la CIA dans l'affaire du pain maudit à Pont-Saint-Esprit en France pendant l'été 1951.
Les dragons de Komodo de Washington D.C.
Marque caractéristique : du sang et de la misère ! C'est le trait psychopathique de nombre de représentants institutionnels présents dans les gouvernements en
apparence démocratiques, mais terroristes dans leur nature profonde. Ils sont comme les dragons ou varans du Komodo (photo 1), cette espèce de reptiles carnivores redoutables. Parmi eux se
distingue la diplomate américaine d'origine ukrainienne Victoria Nuland (photo 2), désormais ex sous-secrétaire d'État pour les Affaires politiques depuis son éviction en mars 2024 du
gouvernement démocrate Biden. Mariée au politologue américain sioniste chef de file des néo-conservateurs Robert Kaplan* (photo 3), tous deux ont pour moteur de se mêler de tout et de répandre le
sang comme la misère partout où ils vont, toujours au nom de... la démocratie !
Mme Nuland comme spécialiste de la politique étrangère fut conseillère des Clinton, de l’équipe Bush, d’Obama et de Biden. Seul le président Trump n'en voulût point, puisque non compatible compte-tenu de ses velléités bellicistes. Tout comme Hunter Biden, le fils maudit, Victoria a une estime particulière pour l’Ukraine, sa famille étant originaire de ce pays. Si elle parle russe et a étudié Tolstoi, Pouchkine et Dostoïevski à l’université, cette enfant issue d'un milieu aisé a avant tout une affinité particulière pour l’industrie de l’armement, qu’elle et son mari considèrent comme la source de leur richesse, de leur pouvoir, de leur statut… et d’un monde meilleur pour tous. Elle s'inscrit dans les dignes traces de la redoutable et sinistre Madeleine Korbel Albright (1937/2022 - photo 4), femme d'affaires, femme politique et diplomate américaine qui fut à l’œuvre lors de la destruction sanglante du peuple irakien (1 million de morts) lors d'une guerre basée sur un mensonge et au coût faramineux de 2 500 milliards de dollars…
Le véritable objectif de ces reliques de l’Ancien Testament à qui Yahvé parle directement - les toqués de l'Apocalypse - est
d'aimer plus que tout la guerre, et c'est pourquoi en son nom elles contribuent à commettre des meurtres, œuvrant pour ce faire comme conseillers de l’industrie de l’armement et travaillant main
dans la main avec le reste des laquais de l’industrie de la puissance de feu – la presse, les universités, le Congrès et la bureaucratie. Pourtant, jadis, il en allait autrement. Ainsi dans la
Grèce antique, où ceux qui proposaient des guerres qui tournaient mal étaient exécutés. De même les commandants romains qui n’avaient pas réussi "tombaient sur leurs
épées" avec un certain sens de la dignité, au même titre plus récemment que les généraux japonais qui ayant échoué
se suicidaient dans le cadre d’un rituel macabre… en s’emparant de leurs propres intestins jusqu’à ce qu’ils se vident de leur sang et que mort s’en suive. Mais dans l’État profond des
psychopathes qui nous gouvernent, un dirigeant qui a échoué peut s’attendre à une promotion. Mme Nuland a ainsi participé à la révolution de Maïdan, en remplaçant le dirigeant élu de l’Ukraine
par des valets plus favorables aux États-Unis et à son agent d'influence comme de domination l'OTAN. Elle a ensuite bloqué les efforts diplomatiques, mettant Vladimir Poutine le dirigeant russe -
l'ennemi honni - au pied du mur. Le résultat a été la guerre, que les États-Unis et son cheval de bataille sanguinaire l'OTAN sont en train de perdre en 2024
après une offensive estivale malavisée mais encouragée. Pas de problème pour ce reptile sanguinaire, qui a rebondi comme conseillère dans des think tank*² accueillants.
* Le néoconservateur Robert Kagan est passé du statut de conseiller en politique étrangère du candidat républicain à la présidence, John McCain, en 2008, à celui de démocrate en 2016, soutenant la candidate Hillary Clinton. Il était jusqu'en octobre 2024 rédacteur en chef du Washington Post. Il a démissionné en signe de protestation après que le journal, propriété du magnat de l’Amazon Jeff Bezos, a décidé de renoncer à un soutien présidentiel pour la première fois depuis 1988, celui de la candidate démocrate Kamala Harris.
*² Organisation privée regroupant des experts, qui produit des études et des propositions dans le domaine des politiques publiques ou de l'économie. afin
d'infléchir après analyse les politiques publiques à des fins privées.
Se repérant aisément depuis l'enfance, car conscients d’appartenir à un même groupe se différenciant par rapport au reste de l’humanité, les individus psychopathiques créent souvent un réseau actif de collusions communes, séparé dans une certaine mesure de la communauté des gens "normaux". Leur monde est de ce fait divisé selon le mode "eux et nous", monde avec ses propres lois et coutumes du "monde étranger" des gens normaux qu’ils considèrent comme rempli d’idées et de coutumes présomptueuses sur la vérité, l’honneur et la décence, autrement dit rempli de lumière dont ils se savent moralement condamnés. C'est pourquoi leur propre sens déformé de l’honneur les pousse à tromper et à injurier les non-psychopathes et leurs valeurs. Le fait de rompre les promesses et les accords, de convoiter les biens et le pouvoir et les revendiquer comme un droit, de spolier autrui et usurper leurs biens, de plagier, sont pour eux naturels et sources de plaisir, de jouissance. Et comme ils réalisent très tôt à quel point leurs personnalités peuvent avoir des conséquences traumatisantes sur les personnalités des non-psychopathes, ils apprennent comment tirer avantage de cette source de terreur afin d’atteindre leurs objectifs.
Psychopathie parentale
Parmi de nombreux exemples de comportement psychopathique rapportés par divers auteurs, ces deux exemples qui suivent interrogent quant à la croyance populaire qui
pense que tous les êtres humains ont une "étincelle divine" en eux, autrement dit une conscience. Comment imaginer que nous puissions faire de telles choses à nos propres enfants ?
Une mère joue à cache-cache avec sa fille de 4 ans. Elle tient un grand couteau de cuisine dans la main. Elle dit à sa fille : "je vais compter jusqu’à cent, et si je te trouve, alors je te
couperai les pouces". La petite fille, terrifiée, se cache dans son placard, et la mère — qui sait que c’est probablement l’endroit où elle se cache — la laisse là, terrifiée, effrayée,
traumatisée, jusqu’à la fin du jeu. Quand la mère ouvre la porte, elle se penche sur sa fille et entaille la peau d’un de ses pouces.
Une famille a deux fils. L’un d’eux se suicide avec un fusil de chasse. Le Noël suivant, les parents offrent ce même fusil à leur autre fils comme cadeau de Noël. Quand on leur a demandé
pourquoi, ils ont répondu : "C’était une arme excellente".
Psychopathie télévisuelle
Les médias de masse étroitement contrôlés par leurs actionnaires affairistes ou étatiques sont utilisés pour induire des "états mentaux régressifs" qui ont pour but d'atomiser les individus et de produire chez eux une labilité émotionnelle* accrue, ce que l’on appelle le lavage de cerveau. En d’autres termes, ils créent la passivité en favorisant l’aliénation. L'intellectuel, écrivain, journaliste et polémiste américain Walter Lippmann (1889-1974), hacker suprémaciste juif, a identifié les cibles dans son livre "Public Opinion" paru en 1922, y indiquant que selon les premières études cliniques sur les téléspectateurs, il était évident que ceux-ci entraient, sur une période relativement courte, dans un état de transe et de semi-conscience, caractérisé par un regard fixe (Plus ils regardent longtemps, plus leur regard est prononcé). Ainsi, dans cet état de semi-conscience crépusculaire, ils sont sensibles aux messages contenus dans les programmes eux-mêmes et à ceux transmis par la publicité. C’est une autre façon de laver le cerveau des gens.
De son côté, le rapport du psychanalyste australien Frederick Edmund Emery (1925/1997) sur les études neurologiques a montré que l’écoute répétée de la télévision
"éteint le système nerveux central de l’homme". Si la télévision vise la synthèse de la radio et du cinéma, ses conséquences sont énormes, contribuant à intensifier l’appauvrissement de la
matière esthétique à tel point de réaliser de façon dérisoire le rêve wagnérien du Gesamtkunstwerk, autrement dit la fusion de tous les arts en une seule œuvre !
La clé du lavage de cerveau en groupe est la création d’un environnement contrôlé dans lequel le stress est introduit pour reconstruire les structures de croyance des individus, l'opération Covid-19 l'ayant clairement démontré. Il en est de même avec les subtiles incitations à boire ou manger sucré, à boire de l’alcool, à fumer des cigarettes, à consommer du cannabis ou autres drogues soi-disant libératoires, à s’injecter du poison médicamenteux chimique destructeur du système immunitaire physique comme cognitif, au libertinage sexuel au détriment d'unions matrimoniales solides qui sont la pierre angulaire obligatoire de familles saines, d’enfants sains, d’une évolution sociétale et d’une société qui fonctionne bien et qui ne cesse de s’élever. Grâce à la pression exercée par les autres membres du groupe, l’individu est "fissuré" et une nouvelle personnalité émerge avec de nouvelles valeurs. L’expérience dégradante amène la personne à nier tout changement. De cette manière, un individu subit un lavage de cerveau sans que la victime ne sache ce qui s’est passé.
Ne pas oublier que le mot "gouvernement" dérive d'un mot latin qui signifie "contrôle de l’esprit". Gouverner signifie donc "contrôler", et "ment" ou "mentis" signifie "l’esprit"...
* La labilité émotionnelle se définit comme un ensemble de manifestations émotionnelles soudaines, disproportionnées, instables, versatiles et variant rapidement, d'irritabilité, de tempérament "chaud" et d'intolérance à la frustration.
"Au cours de la prochaine génération, je pense que les dirigeants du monde découvriront que le conditionnement des enfants et la narco-hypnose sont des instruments de gouvernement plus efficaces que les clubs et les prisons, et que la soif de pouvoir peut être tout aussi bien satisfaite en suggérant aux gens d’aimer leur servitude qu’en les fouettant et en leur donnant des coups de pied pour qu’ils obéissent."
Extrait d'une lettre d'Aldous Huxley à George Orwell
Psychopathie psychiatrique
Le système de la Matrice asservissante est perversement car intelligemment conçu afin de rendre très difficile l'identification des Portails Organiques notamment
psychopathes qui nous gouvernent. Ils sont en effet à l'image des milieux où la plupart d'entre nous évoluons : bonne éducation, accès à Internet, goût pour la lecture et autres activités
culturelles, vie de famille, professionnelle et relationnelle. Leur vie constitue en quelque sorte un "modèle" de réussite. Aussi nos modèles de "vie" sont probablement basés sur la vie
"parfaite" du Portail Organique. Nous avons fait de leur existence sans-âme la "norme" !
Tout naturellement, les modèles psychiatriques disent que le psychopathe est le plus sain des individus, puisque ce sont eux qui les ont établis. Ils disent de ce fait que les gens qui sont paranoïaques, même s'ils réussissent partout ailleurs dans leur vie, doivent être profondément psychotiques, même si les choses qui les rendent "paranoïaques" sont possibles et non absurdes, et tout à fait explicables en des termes logiques. Ces modèles sont pour l'essentiel erronés, tout simplement conçus pour établir comme fait incontournable que toute personne suggérant une réalité autre, plus "profonde", est fou, sous l'emprise d'une secte, victime d'hallucinations, complotiste, conspirationniste, psychotique... Nous pouvons d'autant mieux comprendre l'internement de nombre de dissidents aux systèmes, qui se verront administrer le traitement chimique adéquat sous forme d'intraveineuse pour chloroformer leur conscience déviante* (notamment par le produit Clopixol Zuclopenthixol qui, à bonne dose, fait perdre complètement la cervelle), comme d'avoir eu tendance, par leurs paroles ou écrits, à confondre la rhétorique du racisme et de l’exclusion avec celle du marché "libre", en tout cas libéral. Cela constituerait un signe dérangeant d’une profonde régression intellectuelle et d’une manipulation mentale, puisque la "morale et la philosophie" du marché n’ont rien à voir pour les doctes pensants avec le culte d’un "égoïsme aveugle", s’interdisant de juger chaque individu en fonction de la couleur de sa peau, de son origine ethnique, de son milieu social ou de son sexe. Une société basée sur l’individualisme considère en effet qu’avant d’être un homme ou une femme, un paysan ou un professeur, un noir ou un blanc, un col bleu ou un col blanc, nous sommes des individus à part entière. C'est simplement oublier qu'être humain, c'est une fin en soi-même, non le moyen d'être au service des intérêts de quelques-uns, aux fins de promotion sociale ou de création d’emplois. Mais ceci n'est pas entendable pour ceux qui décrètent le sens de la pensée correcte, et établissent l'échelle de punitions pour les déviants ! Nombre de psychiatres ambitieux, associés à une industrie pharmaceutique obsédée par le profit, parviennent en effet à rendre malades des personnes en bonne santé et en quête d’aide en leur attribuant des pathologies inventées de toutes pièces et en les ruinant intégralement par des méthodes de traitement délibérément erronées, parfois avec des conséquences mortelles.
* C'est tout particulièrement ce qui est constaté à l'occasion de la "plandémie", le show de la crise sanitaire Covid-19 mis en scène par les psychopathes
dédiés, avec les internements abusifs et arbitraires en psychiatrie de scientifiques comme l'ancien pharmacien militant
antivax Jean-Bernard Fourtillan en décembre 2020 à Uzès dans le Gard (libéré après de longs mois d'isolement en décembre 2021), sans oublier celles de fonctionnaires (Cf.
affaire Marc Granié, alors CRS de la compagnie d'escorte de l’Élysée depuis plus de 30 ans, interné administrativement à l’Hôpital psychiatrique Henry Ey à Paris pour avoir décidé de "crever l'abcès" de crimes d’État
dans une vidéo en mai 2018, ou de l'affaire Eric Dabène, ingénieur affecté à la Direction des territoires et de la mer rattachée à la préfecture de Nice, et interné en 2018 huit jours en unité
psychiatrique à Antibes sur ordre du préfet des Alpes-Maritimes son propre patron), d'universitaires (Cf. affaire Jean-Louis Caccomo,
maître de conférences en sciences économiques à l’Université de Perpignan, interné de force pendant deux années de 2013 à 2014 à
Thuir dans les Pyrénées-Orientales en toute illégalité par son président d'Université sur la foi d’un seul
certificat médical établi en dehors de la présence de l’intéressé et rédigé par un médecin exerçant dans l’établissement d’internement, ceci étant totalement contraire au code de la santé
publique), ou moultes autres empêcheurs de tourner en rond...
Des abus de la psychiatrie
La psychiatrie est-elle assise sur un véritable socle scientifique, ou n'est-elle qu'une pseudo-science ? Adderall, Ritalin,... autant de drogues dites médicaments prescrites car considérées comme adéquates à la problématique du patient, alors que leur caractère dangereux (ce sont des psychostimulants proches de l'amphétamine) ne fait qu'altérer l'esprit. En fait, la médecine conventionnelle de la santé mentale est psychotique, comme ceux qui l’appliquent. Ne faut-il pas être en effet sadique pour prendre plaisir à infliger de la douleur, de l’humiliation, de la souffrance aux autres ?
La prescription de médicaments ISRS (antidépresseurs) qui altère l’esprit comme l’utilisation de chocs électriques sur des patients souffrant de troubles mentaux ne sont pas seulement des abus, c’est de la torture. Alors que les médicaments prescrits font naître dans la tête des patients des pensées d’homicide et de suicide, aggravant encore la situation si le patient en souffre déjà, le patient-victime est torturé sans relâche, quotidiennement, avec un traitement par électrochocs - cette "thérapie" par électrochocs est aussi appelée électroconvulsivothérapie (ECT) -, qui provoque des lésions graves et permanentes, notamment en endommageant les fonctions respiratoires et cardiaques (elle est utilisée pour les personnes gravement déprimées ou atteintes de troubles bipolaires). Même un choc électrique mineur, à faible voltage, peut provoquer des lésions nerveuses, car le courant traverse le corps et le tissu nerveux ne peut pas résister au courant. Ces dommages peuvent affecter de façon permanente la capacité du patient à marcher et empêcher le cerveau de traiter les signaux de douleur émis par le corps. Le patient peut être paralysé à vie.
Chose terrifiante, la médecine conventionnelle, celle de Big Pharma*, célèbre toujours et encore de nos jours le médecin qui a arraché des dents et prélevé des organes pour traiter les problèmes de santé mentale de ses patients, le Dr Henry Cotton (1876/1933), l’original Dr Frankenstein, considérant qu'il avait inauguré une nouvelle ère dans le traitement des maladies mentales ! L’AMA est allée jusqu’à le qualifier de "l’une des figures les plus stimulantes de notre génération", alors que son taux de mortalité après une "chirurgie" de la santé mentale était supérieur à 30 % lorsqu’il enlevait des parties de l’intestin, le col de l’utérus, les trompes de Fallope et/ou l’utérus à l’hôpital pour aliénés du New Jersey, et ce pendant plus de 25 ans. Il était comme une version américaine du sorcier nazi Joseph Mengele.
* Ainsi aux États-Unis l’AMA (American Medical Association) et l’American Journal of Psychiatry.
Cf. https://www.medicalnewstoday.com/articles/electroshock-therapy
L'imposture manipulatrice de l'opinion psychiatrique
L'imposture psychiatrique a notamment été mise avant au moment des élections présidentielles américaines de 2016, depuis que le candidat "hors système" Donald Trump avait annoncé son intention d'y participer. La plupart des médias mainstream ont alors souvent évoqué son état de santé psychique, avec l'appui d'un groupe de psychiatres réunis à l'école de médecine de l'université prestigieuse de Yale, nid de formation de nombreux psychopathes élitaires*, de donner son diagnostic. Celui-ci était sans fioritures : "Paranoïa et prédisposition aux hallucinations". Ces spécialistes accrédités considéraient ainsi comme leur "obligation éthique" de prévenir la société de l'état mental de Trump, dont les décisions pouvaient présenter une menace pour le pays (ce n'était pas la première fois que des psychologues et des psychiatres identifiaient une multitude de troubles mentaux chez le milliardaire).
Pendant la réunion de Yale, John Gartner, psychologue, psychothérapeute, auteur et ancien professeur adjoint américain à la faculté de médecine de l'Université
Johns Hopkins, a été le plus virulent envers le président américain, considérant que l'instabilité de Trump était confirmée par l'affaire du nombre de spectateurs venus assister à sa cérémonie
d'investiture après sa victoire surprise. Il a déclaré : "Ce n'est pas simplement un menteur et un narcissique: il est prédisposé à la paranoïa, aux hallucinations et à la mégalomanie, comme il
l'a prouvé au pays le premier jour de sa présidence. Si Donald Trump pense réellement que la plus grande foule de l'histoire s'est réunie pour le soutenir, alors nous pouvons parler
d'hallucinations"...
Or, par de telles déclarations, les participants à la réunion ont ignoré leur propre règle, adoptée après la présidentielle de 1964, rompant avec une règle de plusieurs décennies qui empêche les experts de parler publiquement de l'état psychiatrique des personnages publics qu'ils n'ont pas réellement examinés. La Règle dite GOLDWATER a été écrite en effet après 1964, lorsqu'un magazine a publié les résultats d'un sondage dans lequel plus d'un millier de psychiatres ont affirmé que le candidat sénateur républicain à la présidentielle américaine Barry Goldwater (1909/1998) était "psychologiquement impropre d'être président". Goldwater a alors remporté un procès diffamatoire contre le magazine, et, en 1973, l'American Psychiatric Association a adopté l'interdiction. Le raisonnement qui en résulte est qu'un psychiatre doit effectivement examiner un patient afin de diagnostiquer les troubles de santé mentale, ce qui visiblement n'engage que les naïfs voulant y croire.
* Cf. La nouvelle religion universelle.
Psychopathie militaire : les laboratoires militaires bactériologiques
Géorgie, Ukraine, continent africain. Après la seconde guerre mondiale et la récupération du savoir-faire criminel des nazis, les avancées scientifiques mises entre les mains de l'armée américaine avec la bombe atomique puis la bombe H n'ont cessé de s'intensifier, tout particulièrement dans les domaines bactériologique ou des gaz toxiques. C'est ainsi qu'une longue chaîne de laboratoires spécialisés en la matière a vu le jour dans les satellites de l'ex-URSS ou en Afrique, lesquels, sous le couvert de "Projet de santé publique" ou encore "Laboratoire central de la santé animale", bénéficient d'investissements conséquents travailler prioritairement sur le botulisme, la peste, la variole, la tularémie, l'encéphalite à tiques, la brucellose, les fièvres hémorragiques virales (type les grippes aviaires comme Ebola ou le H1N1 au Congo, en Crimée ou dans le sud de la Russie). Ainsi par exemple y ont été développés des plantes spéciales pour l'élevage d'insectes, ayant donné un projet nommé "mouche de sable" consistant à transporter par drone des insectes infectés de virus mortels et, en passant sur le territoire de l’ennemi, y disperser son contenu pour le transmettre aux humains par piqûre. Ces laboratoires comptent de nombreuses sociétés, qui dépendent toutes de l'armée américaine ainsi que de sociétés privées qui ne sont pas responsables devant le congrès, pouvant ainsi contourner la loi faute de contrôle direct, qui plus est parce que travaillant pour le compte du gouvernement américain sous couverture diplomatique sans contrôle direct du pays hôte (tous leurs membres bénéficient de l'immunité diplomatique).
Si l'Ukraine est le fer de lance de ces laboratoires bactériologiques, c'est grâce à l'arrivée au pouvoir du candidat des occidentaux Viktor Iouchtchenko en 2005, un plan d'aide américaine global ayant été dans la foulée signé avec le ministère de la Santé ukrainien du nom d'un "programme de réduction de la menace biologique"... Depuis, de nombreuses pandémies de grippes virales ont frappé l'ensemble de l'Ukraine, avant que de s'étendre à 208 pays ! Il ne fait aucun doute que l'Ukraine fait partie d'une guerre bactériologique contre la Russie, en tout cas d'une menace quant au contrôle de la mer Noire. Tout ceci rappelle les opérations passées par la CIA des États-Unis en France sur la population civile (Pont St Esprit en 1951), ainsi qu'en Corée*. Dernier effet, le Ministère de la santé ukrainien a confirmé en 2017 90 nouveaux cas, dont 8 décès dus à une intoxication à la toxine botulique, l'une des toxines biologiques les plus toxiques.
Nul ne sera surpris(e) de la constante diffusion de virus nommés "Corona", signifiant en latin couronne, soit le 7ème chakra dit solaire, afin d'empêcher par tous moyens l'accès des êtres humains à leur Soi divin, la conscience de Qui Nous Sommes vraiment*² !
* Cf. Contrôle mental.
*² Cf. Fonctionnement du corps biologique & L'état de cohérence, voie de sa liberté.
Psychopathie totalitaire : les Khmers rouges
Au cœur des années 70, au Cambodge, des soldats vêtus de noir et arborant un foulard rouge pénètrent au matin du 17 avril 1975 dans la ville de Phnom Penh. Si la plupart des habitants se montrent confiants voire enthousiastes devant ces jeunes idéalistes qui se battent pour le peuple, pour une vie rurale et pour la fin des inégalités, ils vont rapidement déchanter. Les voitures sont réquisitionnées et tout bien de valeur confisqué, avec un comportement de ces fanatiques rapidement agressif et méprisant, menaçant les habitants avec leurs armes. En seulement 48 heures, deux millions de personnes sont contraintes de quitter leurs foyers dans des conditions désastreuses par les Khmers rouges. Les malades sont évacués des hôpitaux sans aucune assistance médicale, et leurs familles sont contraintes de transporter des lits de fortune ou des brancards sous un soleil brûlant. Les plus vulnérables sont tués sur place. Les soldats mènent également une chasse aux traîtres, ciblant les enseignants, médecins, religieux, intellectuels, ainsi que toute personne parlant français ou transportant des livres, voire portant des lunettes. Ceux-ci sont suspects et risquent d'être abattus sommairement s'ils ne se défont pas de leurs lunettes.
L'origine de ce cauchemar se trouve à Paris, où Saloth Sâr (1925/1998) a étudié à partir de 1949. Il prendra plus tard le nom de guerre de Pol Pot. Parallèlement à ses études, il avait rejoint un cercle marxiste-léniniste créé par des étudiants cambodgiens, une structure presque secrète où les militants sont regroupés en mini-cellules et ne se connaissent pas les uns les autres. Il y rencontrera Jacques Duclos, le Secrétaire général du PCF, qui deviendra son mentor, ainsi que Jacques Vergès, qui deviendra son ami. Soixante ans plus tard, l'"avocat de la terreur" défendra ses anciens camarades accusés de génocide, de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité.
Ainsi, le "nouveau peuple" contraint de quitter la ville doit retourner à une vie rurale, travaillant la terre de manière traditionnelle, sans recours à la mécanisation ni à des intrants modernes. La société envisagée par les Khmers rouges est collectiviste, égalitariste, et repose sur le retour à la terre. Toutes les commodités modernes "capitalistes" sont abandonnées et détruites. Les radios, les bicyclettes, les machines à coudre sont interdites, et les voitures sont démantelées pour fabriquer des socs de charrues. Les Cambodgiens, non rémunérés, sont réduits à l'esclavage au service de l'Angkar, l'organisation Khmer rouge, faisant du pays le plus grand camp de travaux forcés au monde. Cependant, pour atteindre une égalité absolue, il faut aller plus loin. L'individualité doit être éradiquée, tout lien affectif supprimé, et les papiers d'identité sont abolis. Toute démonstration d'affection, expression artistique, divertissement, et plaisanterie sont interdits. Seuls les chants révolutionnaires sont tolérés. La culture bouddhiste, avec son rejet de la matérialité et des aspirations individuelles, s'harmonise avec le marxisme pour soutenir cette idéologie.
Afin de maintenir une égalité totale, les enfants ne sont pas autorisés à recevoir un héritage culturel, tout comme ils sont retirés de leurs parents à la naissance, placés dans des centres d'endoctrinement, devenant parfois des délateurs ou des soldats du régime.
Bien sûr, les Khmers rouges sont les seuls à jouir de droits complets, recevant des rations alimentaires suffisantes et gérant les coopératives, tandis que les autres sont les derniers à manger et les premiers à mourir. Au lieu de promouvoir l'égalité, cette société recrée des privilèges.
Le terme le plus redouté est l'"étude", qui désigne les "centres de rééducation" d'où personne ne revient. La prison de Tuol Sleng, également connue sous le nom de centre S-21, est la plus célèbre. Elle a détenu 18 000 personnes, dont 1 200 enfants, et seulement 7 en sont sortis vivants.
Dans les champs, la situation se dégrade progressivement. Lorsque la science et le mérite sont rejetés, l'incompétence devient le nouvel ordre. Les rations de riz diminuent rapidement, passant de 250 grammes par personne par jour à des portions à partager entre 2, puis 7, puis... 25 personnes. Certaines personnes ne reçoivent que 10 grammes de riz par jour, et la famine sévit, entraînant la mort de nombreux Cambodgiens. Il n'est pas rare que les familles affamées mangent les corps de leurs proches défunts.
En l'espace de quatre ans, on estime que plus de 1,7 million de Cambodgiens ont péri, soit 21 % de la population. Les survivants portent des cicatrices psychologiques profondes. Les dirigeants Khmers rouges nieront toute responsabilité dans ces crimes, prétendant que les dirigeants locaux incompétents les ont trahis. Ironiquement, en rejetant la connaissance et le mérite, ils ont contribué à la perte de compétences.
Extrait du mensuel Géopolitique Profonde.
Psychopathie sioniste
L'intervention de la police militaire en juillet 2024 au centre de détention de Sde Teiman dans le désert du Néguev au sud d'Israël pour arrêter plusieurs réservistes soupçonnés d’avoir maltraité des prisonniers palestiniens, a suscité l’indignation de nombre d'hommes politiques israéliens et d’autres soldats servant dans les forces de défense israéliennes. Elle faisait suite à un incident ayant vu un terroriste de la Nukhba* détenu dans la base être gravement blessé à l’anus. Incapable de marcher, il avait été envoyé dans un hôpital pour y recevoir un traitement médical, déclenchant l'ouverture d'une enquête.
Les premiers rapports guère en faveur de l'armée ont incité les dirigeants de la droite israélienne à se précipiter à la prison en solidarité avec les gardiens qui servent comme soldats réservistes. C'est alors que le législateur israélien du Likoud, le parti au pouvoir, Hanoch Milwidsky, a déclaré que "tout est légitime" lorsqu’on lui a demandé s’il était justifié de violer des prisonnières palestiniennes. "Insérer un bâton dans le rectum d’une personne, est-ce légitime ?" a demandé Ahmad Tibi, un législateur palestinien lors d’une réunion, en montrant une vidéo vérifiée par plusieurs médias. "Si c’est un Nukhba, tout est légitime", a répondu Milwidsky.
* Nukhba ou Force Nukhba ou Al-Nukhba est une unité militaire d'élite formant un commando de marine des forces spéciales des Brigades Izz al-Din al-Qassam, l'aile militaire du Hamas.
Psychopathie affairiste
Le rachat annoncé en juin 2019 de Sotheby’s avec une offre surprise de 3.7 milliards de dollars par le président du groupe Altice Patrick Drahi a de quoi étonner. L'homme d'affaires est en effet plus criblé de dettes que croulant sous l’argent coulant à flots,
ce qui ne lui enlève en rien son humour provocateur lorsqu'il avait prononcé devant les sénateurs français "Je dors mieux avec 50 milliards de dettes qu’avec 50.000 euros d’emprunts"... Autrement
dit, lorsque nous avons 50.000 euros de dettes nous avons un problème avec notre banquier, mais quand nous lui devons 50 milliards, c’est lui qui a un problème avec nous et qui ne dort plus !
Ainsi le Groupe Altice continue à perdre de l’argent, et n’en a jamais gagné d'ailleurs, son endettement net s'établissant à plus de 30 milliards d’euros, l'endettement hors actifs ayant grimpé
fin 2023 à plus de 60 milliards. Si SFR constitue la vache à lait de ce groupe surendetté, ses pis sont vieillissants, la 5G se profilant nécessitant d'investir massivement dans de nouvelles
infrastructures, qui plus est sans l'entreprise chinoise Huawei, ce qui risque de coûter beaucoup plus cher. Alors, le remboursement total de la dette devra attendre même s'il est amorcé (ainsi
la cession des 257 data centers de SFR), et les banquiers prêteurs ne dormiront définitivement plus, regrettant d'avoir été incité à prêter par un Etat ravi de confier à ce milliardaire
inconséquent le contrôle d'une information sur ses chaînes média à caractère de propagande et de lavage de cerveau comme sur la chaîne BFM Info ! Un exemple de capitalisme de
connivence...
De son côté, le groupe Adani* du milliardaire indien éponyme avec une fortune estimée jusqu'alors à 121 milliards de dollars (il était le 3ème homme le plus riche
de la planète et la plus grande fortune d’Asie) vit depuis fin janvier 2023 une descente aux enfers, l’accumulation de ses richesses étant entachés d'excès et de fraudes. En 5 jours, il a perdu
plus de la moitié de sa capitalisation, et son fondateur la moitié de sa fortune, en raison de l'activisme de la société de recherche en investissement
spécialisée dans la vente à découvert Hindenburg Research LLC. Fondée en 2017 et basée à New York, cette entreprise génère des rapports publics via son site
Web qui allèguent des fraudes et des malversations d’entreprises. Avant de publier son rapport et les résultats de ses recherches, la société prend des positions de vente à découvert. Puis une
fois vendus les titres à découvert, elle rend public les résultats de ses enquêtes, ce qui entraîne l'effondrement des cours de la société concernée. Hindenburg Research empoche alors des profits
substantiels, utilisant les armes même du marché et les outils des spéculateurs les milliardaires fautifs et coupables de fraudes. Ceci pose la question de conflit d’intérêt, même si la logique
de faire une enquête sur une société avant d’y placer son argent est une bonne idée. Entre psychopathes, la lutte pour le profit est acharnée !
* Adani ou Adani Group est un conglomérat multinational indien notamment actif dans la production d'électricité, à partir de charbon notamment, et les terminaux portuaires, la logistique, l'agribusiness. C'est le plus grand développeur et exploitant portuaire d'Inde.
Psychopathie sécuritaire
C'est cachées derrière la notion de sécurité des Nations et États officiants que se trouvent les officines et autres agences secrètes dédiées à provoquer l'effondrement des civilisations industrialisées et de toutes leurs structures au service de la société humaine. Dirigées par nombre d'entités hybrides et polymorphes, constitutive de la frange extrémiste aryenne, les agents très spéciaux du Mossad Israélien, de la CIA états-unienne et autres sont réputés pour être les plus "ignobles exécutants" dans la réalité de notre monde de 3ème densité. Ainsi manipulent-ils dans l'ombre et sous faux drapeau les agents de Daesch comme de l'État Islamique à qui sont ouvertement attribués la plupart des attentats dans le monde, eux-mêmes zombies sans âme ni cerveau illusionnés par leur idéologie mortifère*.
* Cf. Le féminin séquestré.
L'oligarchie viciée de la Silicon Valley
Les langues se délient depuis l'annonce du divorce après 27 ans de mariage entre Bill Gates et sa désormais ex épouse Mélinda (photo 1), même si les preuves concernant la relation du milliardaire philanthrope avec Jeffrey Epstein (photo 2) débutée des décennies avant 2011 continuent d’être dissimulées par les médias grand public*, en raison notamment de son rôle "surdimensionné" dans l’actualité, à la fois en termes de politique de santé mondiale en relation avec le virus COVID-19 et en tant que promoteur et bailleur de fonds majeur de "solutions" technocratiques controversées à une multitude de problèmes sociétaux. D'autres raisons de nature sulfureuse tiennent au fait de l’influence évidente qu’Epstein et les membres de la famille Maxwell (père et filles) exerçaient – et, sans doute, continuent d’exercer – auprès des décideurs de la Silicon Valley, ces individus qui ont fondé les géants de la technologie tels que Google, LinkedIn, Facebook (désormais Meta), Microsoft, Tesla et Amazon qui ont tous eu des liens avec Jeffrey Epstein, certains plus étroits que d’autres. Il en est de même pour le monde universitaire scientifique et les agences de renseignement états-unienne (FBI et CIA). Il est établi que Gates a eu lien avec une entreprise dirigée par les sœurs de Ghislaine Maxwell (photo 3), le McKinley Group créé en janvier 1992, dans laquelle Ghislaine avait une participation financière. McKinley a créé ce qui est devenu le Magellan Internet Directory, considéré comme "le premier site à publier de longues critiques et évaluations de sites web". L’approche du "contenu à valeur ajoutée" de Magellan a attiré plusieurs grandes entreprises, ce qui a donné lieu à des "alliances majeures" avec AT&T, Time-Warner, IBM, Netcom et le réseau Microsoft (MSN) à la fin de 1995, toutes négociées par Isabel Maxwell (photo 4).
En outre, la nature étrange de la relation de Gates avec Isabel Maxwell, qui a des liens avec le scandale d’espionnage du logiciel
PROMIS*² et avec les services secrets israéliens, est documentée dans un article du Guardian datant de 2000. Après la vente de McKinley/Magellan, les liens manifestes de Christine et Isabel Maxwell avec les services de renseignements américains et
israéliens se sont considérablement développés, tout comme les liens d’Isabel avec Microsoft ont persisté, celle-ci devenant présidente de la société technologique israélienne CommTouch de
développement de logiciels fondée en 1991 par d’anciens officiers de l’armée israélienne, dont le financement était lié à des individus et des groupes
impliqués dans une affaire d’espionnage nucléaire (Jonathan Pollard). Parmi toutes les alliances et tous les partenariats qu’Isabel a négociés au cours de ses premières années chez CommTouch, ce sont ses relations
avec les cofondateurs de Microsoft, Bill Gates et Paul Allen, qui ont mis CommTouch en avant, notamment en la soutenant lors de son introduction en bourse alors que cette
société n’avait jamais réalisé de bénéfices et enregistré de conséquentes pertes. Et Bill Gates, alors à la tête de Microsoft, a investi personnellement dans CommTouch
à la demande d’Isabel Maxwell via le Bill & Melinda Gates Foundation Trust, qui gère les actifs de dotation de la
fondation. Aujourd’hui, Isabel Maxwell est, entre autres, une "pionnière de la technologie" du Forum économique
mondial.
Des cadres importants de Microsoft comme le premier directeur de la technologie de la société Nathan Myhrvold (photo 5), qui sera accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs fournis par Epstein, Esther Dyson (photo 6), une consultante en technologie numérique qui a été appelée "la femme la plus influente de tout le monde informatique" (elle est membre du Forum économique mondial), ou encore Linda Stone (photo 7), qui après avoir travaillé directement sous les ordres de Myhrvold, deviendra vice-présidente de Microsoft, voyageront à de nombreuses reprises dans l'avion d'Epstein.
Il est également intéressant d’explorer les liens entre les activités "philanthropiques" de Bill Gates et de l'ancien président américain "démocrate" (pour les gogos illusionnés) Bill Clinton (photo 8) au début des années 2000, notamment en raison des liens d’Epstein et de Ghislaine Maxwell avec la Fondation Clinton et la Clinton Global Initiative à cette époque. Selon l’ancien agent des services secrets israéliens Ari Ben-Menashe, Bill Clinton avait été le principal objet de l’opération de chantage sexuel d’Epstein dans les années 1990, une affirmation étayée par les témoignages des victimes d’Epstein et par l’implication intime d’Epstein avec des personnes qui étaient proches de l’ancien président à l’époque. Bill Clinton et Bill Gates sont entrés dans le monde de la philanthropie à peu près au même moment, avec le lancement de la Fondation Bill & Melinda Gates en 2000 et de la Fondation Clinton en 2001, dont la Clinton Health Access Initiative (CHAI) - sa mission est de s’attaquer au VIH/sida dans le monde entier - existe en grande partie grâce au financement de la Fondation Gates. Contrairement à l'idée que ces deux fondations sont à l’avant-garde d’une nouvelle ère de la philanthropie, dans laquelle les décisions – souvent appelées investissements – sont prises avec la précision stratégique exigée des entreprises et des gouvernements, puis font l’objet d’un suivi minutieux pour évaluer leur succès, elles vont toutes deux dans le sens d’un effacement des frontières entre la philanthropie, les entreprises et les organisations à but non lucratif. C'est ce modèle qui est promu par le Forum économique mondial, celui du Milken Institute fondé par Michael Milken (photo 9), le célèbre "roi des junk bonds" de Wall Street qui a été inculpé pour 98 chefs d’accusation de racket et de fraude boursière en 1989 et qui a fait peu de prison, finalement gracié par Donald Trump, et qui comme Gates a transformé sa réputation d’impitoyable dans le monde des affaires en celle d’un "philanthrope de premier plan". Une grande partie de sa "philanthropie" profite à l’armée israélienne et aux colonies israéliennes illégales en Palestine occupée.
2013 est l’année où l’ingénieur système du manoir Gates, Rick Allen Jones, a commencé à faire l’objet d’une enquête de la police de
Seattle pour sa collection de pornographie enfantine et de viols d’enfants, qui contenait plus de six mille images et vidéos. Malgré la gravité de son crime, lorsque Jones a été arrêté au manoir
des Gates un an plus tard, il n’a pas été emprisonné après son arrestation mais a simplement reçu l’ordre "de rester loin des enfants". C'est ce scandale, combiné à l’association croissante de
Bill Gates avec le pédocriminel condamné Jeffrey Epstein, que Melinda Gates a considéré constituer une menace pour la réputation de la Fondation Bill & Melinda Gates, et qui a accéléré
l'intention du divorce.
Reste l’intérêt significatif qu'Epstein portait à l’eugénisme qui a été rendu public après sa mort. Et Bill Gates, ainsi que son père William H. Gates II, ont également été liés à des mouvements et des idées eugénistes.
Malgré le changement relativement brusque dans les médias grand public concernant ce qu’il est acceptable de discuter de la relation Jeffrey Epstein-Bill Gates, beaucoup de ces mêmes médias refusent de reconnaître une grande partie de ces informations, toutes contenues comme d'autres dans un rapport d’enquête officiel. La raison est que de telles révélations pourraient être très préjudiciables à Microsoft et à son partenaire, le Forum économique mondial, tout comme les liens d’Epstein et des Maxwell avec d’autres empires importants de la Silicon Valley, tels que ceux dirigés par Jeff Bezos et Elon Musk pourraient être défavorables à ces géants corrupteurs par excellence de par leur puissance financière des dirigeants institutionnels. La véritable ampleur du scandale Epstein ne sera ainsi jamais couverte par les médias grand public, parce que de nombreux médias appartiennent à ces mêmes oligarques de la Silicon Valley ou dépendent de la Silicon Valley pour l’engagement des lecteurs en ligne (ainsi le journal Le Monde en France).
* La BBC a ainsi reçu pendant des années des millions de dollars de financement de la part de la Fondation Bill & Melinda Gates, comme par exemple une subvention de 20 millions de dollars sur cinq ans accordée au BBC World Service Trust .
*² Christine et Isabel avaient toutes deux travaillé auparavant pour la société écran "Information on Demand" utilisée par leur père Robert Maxwell pour vendre au gouvernement américain le logiciel antidémocratique PROMIS, en l'occurrence un outil de chantage électronique par le biais d’une surveillance illégale ou d’un logiciel piraté utilisé pour compromettre les personnes au pouvoir ayant quelque chose à cacher.
Le fils maudit
Après des années de dénégation, les médias américains mainstream tels le New York Times ou la chaîne d'information CNN ont été forcés d’admettre que le "portable de l’enfer" appartenant à Hunter Biden, fils de l'actuel président "démo(n)crate", était bel et bien authentique, d'autant que ce dernier a fini par l'admettre début 2023 par l'intermédiaire de son avocate, mettant les 51 officiels du "renseignement" qui avaient signé une lettre appelant ça de la "désinformation russe" face à leurs mensonges ! Y figure un immense catalogue de près de 10 000 photos prises entre 2008 et 2019, dont celles explicites de la belle-sœur de Hunter, devenue amante, Hallie Biden, veuve du défunt Beau Biden, frère de l'actuel Président.
L’ordinateur portable MacBook Pro égaré par celui-ci avait été déposé en avril 2019 dans une boutique du Delaware fief du clan Biden, le propriétaire ayant copié le contenu du disque dur et découvert des documents compromettants avant que le FBI ne le récupère et s'en saisisse en décembre, les transmettant à Rudy Giulani, l'ancien maire de New York inféodé à Donald Trump. En plus de sextapes, l'ordinateur contenait des documents prouvant que la famille Biden a blanchi de l’argent dans divers pays, constituant de ce fait une fraude fiscale de grande ampleur pour des "revenus" non déclarés car provenant de pots-de-vin versés à l’étranger. C'est ainsi que Devon Archer, l’associé de Hunter Biden, a affirmé lors d'une audition devant la commission de surveillance de la Chambre des représentants en août 2023 que les déclarations de Joe Biden, à l’époque vice-président de Barack Obama, selon lesquelles il n’avait jamais dîné avec le cadre directeur financier ukrainien Vadym Pozharsky de la société gazière Burisma en avril 2015 étaient fausses, cette même entreprise gazière ukrainienne qui avait embauché Hunter Biden en 2014 et lui versait plus de 50 000 dollars par an.
En outre, certains des e-mails supprimés mais récupérables sur l’ordinateur portable - 168 000 fichiers supprimés manuellement ont depuis été récupérés par un spécialiste en cyber-criminalité pour le compte du site et magazine de journalisme politique américain Washington Examiner - ont révélé que la famille présidentielle avait un lien étroit avec les laboratoires de recherche sur les armes biologiques en Ukraine via la société Metabiota, sous-traitant du Département de la Défense et filiale de Rosemont Capital fondée par Hunter Biden et Christopher Heinz, elle-même filiale du fonds d'investissement Rosemont Seneca Technology Partners basé à Washington D.C., constituant ainsi de nombreuses violations de la sécurité nationale*. La famille Biden est également fortement impliquée dans Burisma, dont les principaux intérêts résident dans l’industrie pétrolière et gazière ukrainienne (Hunter a siégé à son conseil d'administration pendant plusieurs années, étant payé 50 000 $ par mois). Tout ce contenu est dans les mains d'un tribunal fiscal fédéral, avec toutes les suites judiciaires attendues, dont une mise en examen de l'intéressé. Circonstance aggravante pour le président corrompu, Joe Biden a menti au sujet de l’ordinateur portable de son fils Hunter lors du débat présidentiel de 2020 contre le président de l’époque, Donald Trump, déclarant qu'il s'agissait d'un fake.
Plus que d'évasion fiscale des sommes encaissées par l’intermédiaire de son fils, en l'occurrence des millions issus de transactions de corruption illégales avec des oligarques notamment de Chine, de Russie et d’Ukraine*², et un éventuel délit d'armes à feu, le scandale qui pourrait l'emporter est qu’il savait que son fils, accro au crack, exploitait sexuellement sa nièce de 14 ans. Non seulement il n’a rien fait pour l’en empêcher, mais il a étouffé l’affaire. Sans oublier que de nouveaux mémos indiquent que Joe Biden n’avait pas en novembre 2015 agi de concert avec le gouvernement américain lorsqu’il a menacé de retenir un milliard de dollars d’aide à l’Ukraine à moins que le gouvernement Porochenko ne renvoie le procureur général Viktor Shokhin qui avait pris pour cible l’employeur ukrainien de Hunter Biden.
Quant au refus du Times et du reste des médias de couvrir à l'époque cette histoire, ceci équivaut à une ingérence
électorale, les sondages montrant qu’environ 10% des électeurs de Biden auraient changé leur vote s’ils avaient eu connaissance du scandale... Mais avec la société canadienne Dominion
Voting Systems Corporation à la manoeuvre, société de vente du matériel et des logiciels de vote électronique et complice du
détournement du vote électoral citoyen (elle est filiale du fonds d'investissement Staple Street Capital), le résultat aurait-il été différent ?
Cette affaire soigneusement étouffée par les services secrets et l’ensemble des médias américains a été relancée en octobre 2022 par la remise à l'initiative de la
fondation Marco Polo (think tank dirigé par un ancien membre du personnel du président Donald Trump) à l’ensemble des membres du congrès américain du rapport détaillé des faits de corruption et
des frasques du fils du président Joe Biden. A noter que Hunter Biden a payé la société de conseil en relations publiques et lobbying très puissante FTI Consulting pour blanchir son entrée dans Wikipédia en 2014 selon des courriels de
son ordinateur, les modifications comprenant la suppression de ses liens avec le financier en disgrâce Allen Stanford (le Stanford Financial Group avait une coentreprise avec le fonds spéculatif
de la famille Biden Paradigm Global Advisors que Hunter a dirigé en tant que PDG avec l’aide de son oncle James Biden pendant cinq ans), qui purge actuellement une peine de 110 ans de prison pour
avoir mis en place une pyramide de Ponzi de 7 milliards de dollars. D’autres modifications ont été apportées, notamment la suppression de la référence à la CIA dans une ligne concernant son
travail avec la National Endowment for Democracy, un organisme coupé de la CIA, et la suppression des critiques concernant son travail avec la société énergétique ukrainienne Burisma, le sujet
pour lequel il est le plus connu, à l’exception peut-être de sa toxicomanie. Enfin, une foule de nouveaux documents fournis à la Chambre des représentants ont révélé en mai 2024 que la CIA avait
empêché les enquêteurs fédéraux de poursuivre l’avocat spécialisé dans le divertissement à Hollywood Kevin Morris en
tant que témoin dans le cadre de leur enquête sur Hunter Biden, celui-ci ayant prêté au premier fils plus de 6,5 millions de dollars. L'agence avait empêché l’Internal Revenue Service (IRS) et le
Department of Justice (DOJ) d’interroger un témoin.
Celui-ci a fini par plaider coupable fin juin 2023 de quelques infractions bégnines (fraude fiscale et détention illégale d’arme à feu) suite à un accord à
l'amiable passé avec les autorités judiciaires, constituant un véritable accord de complaisance à son profit et permettant de libérer son père candidat à sa réélection en 2024 du poids de cette
affaire. Mais cet accord a finalement été annulé par la juge Maryellen Noreika qui a souligné que le procureur David Weiss semblait avoir accordé à Biden l’immunité même pour d’autres crimes
potentiels non mentionnés au cours de la procédure. De son côté, le père s’est lancé à corps perdu dans la guerre par procuration en Ukraine et dans le
conflit de Gaza pour détourner l’attention du public américain des scandales juridiques qui se préparent (nombreux pots de vin obtenus tout au long de son parcours politique), alors qu'il avait
été longtemps considéré comme un modéré et qu'il était entré à la Maison Blanche avec l’objectif de mettre fin aux "guerres éternelles". Au final, les
Républicains de la Chambre des représentants ont voté en décembre 2023 l’ouverture d’une enquête en destitution à l'encontre de "walking dead", surnommé comme tel compte-tenu de son délabrement
psychique, et qui devient ainsi le premier enfant d’un président américain en exercice à faire l’objet d’une inculpation pénale !
Au même moment, l'ancien président républicain Donald Trump était poursuivi au tribunal pour au total 41 chefs d'accusation, allant de la conspiration à la violation de la loi anti-braconnage, notamment pour le recel soi-disant illégal de documents classés
confidentiels, un juge fédéral lui ayant ordonné comme à son ancien valet de chambre de ne pas divulguer les preuves
obtenues au cours de la procédure de découverte au nom de leur caractère sensible car secret, et pour avoir remis en question les résultats de la présidentielle de l'Etat de Georgie en 2020 en sa
défaveur en ayant proféré de fausses déclarations. Il s'agit en l'occurrence du quatrième acte d’accusation. Il fut
même arrêté à la prison du comté de Fulton (il s’agit du détenu P01135809), pris en photo ("mugshot"),
pour la première fois dans l’histoire des États-Unis, puis libéré avec paiement d'une
caution de 80 000 dollars pour la violation présumée de la loi RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organization) et une caution de 10 000 dollars pour chacun des 12 autres chefs d’accusation.
Les 28 autres chefs d’accusation retenus contre l’ancien président ne semblent pas quant à eux nécessiter de caution... Au final, avec son élection camouflet pour le camp démocrate, tous ces
chefs d'accusation sont tombés, faisant pschittt au même titre que le "Russiagate" qui lui avait pourri sa première mandature. Ou comment la soi-disant plus
grande démocratie se noie sous le poids de ses turpitudes mensongères dans une pathétique chasse aux sorcières...
Quant au fils maudit, menaçant son père de tout révéler après la victoire du camp républicain aux présidentielles, il a obtenu de sa part la grâce pour l'ensemble de son lourd dossier, soit dix années de turpitudes explicatives du lucratif affairisme ukrainien pour le soi-disant camp du bien. Quelle extraordinaire inversion de la réalité du gentil, intègre et honnête Joe Biden dans ce conflit d’intérêt ahurissant pour avoir grâcié un fils coupable jusqu'aux os et qui avait plaidé coupable devant le tribunal. Mais Biden peut faire ce qu’il veut, c’est le gentil, et Trump, lui, il est le méchant...
* Le Pentagone (quartier général du département de la Défense des USA) aurait financé au moins 31 laboratoires qui auraient mené des recherches illégales sur les armes biologiques en Ukraine, ce qu'il dément.
*² L’oligarque russe Yelena Baturina a versé le 14 février 2014 3,5 millions de dollars sur un
compte bancaire associé à Hunter et à son partenaire commercial Devon Archer via Rosemont Seneca Thornton, un consortium formé entre
Rosemont Seneca – la société cofondée par Hunter, Archer et Chris Heinz – et le groupe Thornton. Quant au président de la commission de surveillance de la Chambre des représentants des
États-Unis, James Comer, il a révélé fin 2023 que Joe Biden avait reçu un chèque personnel d’un montant de 40 000 dollars sur le compte de son
frère, James Biden, et de sa belle-sœur, Sara Biden, correspondant à de l’argent prétendument blanchi en provenance de Chine et impliquant les
sociétés de Hunter Biden dans leur correspondance avec le partenaire commercial chinois Raymond Zhao.
Psychopathie gouvernementale
Selon un nouveau documentaire intitulé The Search for Myself ("La recherche de soi") réalisé au Danemark, qui a interrogé d’anciennes victimes, la Central Intelligence Agency (CIA) états-unienne a secrètement mené des expériences sur 311 enfants orphelins qui n’étaient pas été informés des recherches auxquelles ils participaient. Ces expériences étaient destinées à révéler les traits psychopathiques et à établir le lien entre la schizophrénie et l’hérédité. Le réalisateur et producteur du documentaire, Per Wennick, a été victime de la CIA et soumis à ces expériences lorsqu’il était enfant. Il explique avoir été placé sur une chaise, s’être fait poser des électrodes sur les bras, les jambes et la poitrine autour du cœur, et avoir dû écouter des bruits forts et stridents qui tentaient d’inciter à une réponse psychologique.
Selon le rapport établi, les enfants ont été torturés en violation flagrante du code de Nuremberg de 1947 qui a introduit des restrictions éthiques pour les expériences sur les humains. Les expériences qui ont eu lieu dans un sous-sol de l’hôpital municipal de Copenhague ont commencé au début des années 1960, et se sont étalées sur deux décennies, financées en partie par une façade de la CIA associée au programme MK-Ultra*, le Human Ecology Fund par le biais du Cornell University College of Human Ecology Society for the Investigation of Human Ecology. Selon les Archives nationales, ce projet de recherche a été cofinancé par le service de santé américain.
Il a vu des spécialistes des sciences sociales, notamment des anthropologues, être amenés (le plus souvent sans le vouloir) à contribuer aux techniques d’interrogatoire encore utilisées aujourd’hui.
Lors de ses recherches pour le documentaire, Per Wennick a réussi à localiser 36 boîtes au centre psychiatrique Glostrup à Hvidovre, qui détaillaient les
expériences sans scrupules de la CIA sur les enfants. Cependant, lorsque le centre a eu vent du documentaire, il a commencé à déchiqueter les documents, ce qui bien sûr est illégal.
Mais si l’on se fie à l’histoire des psychopathes qui nous gouvernent, personne ne sera tenu responsable de l’exploitation de ces enfants, et l’affaire sera balayée
sous le tapis, échappant ainsi à tout examen par les grands médias... Et pour cause, ils sont dirigés et souvent truffés de psychopathes, qui s'ignorent pour la plupart il va sans dire
!
Psychopathie totalitaire
En choisissant le confinement drastique comme réponse à l'état de crise sanitaire de l'épidémie nommée Covid-19, nombre de gouvernements en ont profité pour
restreindre le champ des libertés individuelles comme collectives, s'adonner à un énième racket fiscal, et conduire à une véritable ruine économique une grande partie des agents producteurs.
Celle-ci contribuera inéluctablement à l'effondrement du système vicié en place pour avoir érigé et statufié dans les têtes comme dans les pratiques l'argent roi corrupteur, et ce pour imposer un
nouveau mode de gouvernance institutionnelle de nature explicitement totalitaire, appelé à signer la fin de l'illusion démocratique toute luciférienne (le maître de l'illusion) prévalant encore
majoritairement chez les esprits naïfs et idéalistes, ignorants et de ce fait inconscients des véritables règles de structuration et de fonctionnement du cosmos. Plus grave encore, le confinement
a conduit nombre d'individus à fragiliser considérablement sinon détruire leur capital santé, gage de leur véritable immunité physique et psychique protectrice, notamment en raison du surpoids
généré par la malbouffe (glucides en excès à travers sucreries, confiseries, sodas...) compensatrice du stress, de l'inactivité imposée et d'une altération de la respiration d'un air
insuffisamment régénéré naturellement. Et que dire de ses dégâts sinon
ravages sur le plan social et psychique, se traduisant par une vague de mal-être, d'angoisses, de détresse morale et affective, de solitude par défaut, de
suicides, ainsi qu'à une hausse d'internements en hôpital psychiatrique de personnes souvent jeunes et fragiles. A force d’affoler les populations et de diffuser des messages anxiogènes dans les
mé(r)dias et leurs séides hystériques patentés, les Autorités ont provoqué un "crime générationnel" à travers l'établissement d'un état de panique et une déstructuration complète de la société,
en faisant croire aux gens - leurs sujets - qu’il était plus sûr pour eux de ne plus s’approcher les uns des autres, de ne plus se toucher. Autrement dit, l'érection de la société de défiance, de
soi comme des autres !
Comble de leur esprit dévoyé que la plupart d'entre elles ignorent, persuadées d’œuvrer pour le bien de leurs sujets, elles ont incité subtilement les enseignants
du public comme du privé à se transformer en agents de renseignement chargés en leur état de commis de repérer et d'identifier l’exploitation de la "pandémie" par des groupes sectaires et leurs
prédicateurs ou idéologues gourous auxquels pourraient être sensibles les parents d'enfants comme d'adolescents, et qui de ce fait auraient pu à leur tour contaminer leur progéniture de ce virus
de la pensée officielle non labellisée "pure vérité académique"*. Comment ne pas sourire à la lecture de ce long pensum de pratiques jugées politiquement incorrectes qui, si effectivement elles
caractérisent de manière indéniable nombre de dérives psychotiques de l'actuel état de conscience de leurs promoteurs, peuvent être retournées à la face de ces mêmes dirigeants inquisiteurs tout
autant psychopathes dans leur propre mécanisme de fonctionnement, nourri de mensonges et de fausses informations destinés à contribuer à la manipulation de
l'opinion publique, et de ce fait tout aussi délétère et dangereux*².
S'il ne s'agit pas d’une escroquerie à grande échelle destinée à exercer et à renforcer une véritable emprise sectaire sur la pensée, de quoi relève-t-elle alors ? La réalité est que la France fait partie des pays qui ont adopté en mars 2020 les règles de confinement les plus strictes pour lutter contre la pandémie de Covid-19, les États européens qui comptent le plus de policiers par habitant ayant l’habitude de s’affranchir des libertés publiques. Nulle surprise d'avoir vu ainsi ressurgir de vieilles habitudes de gestion punitive des populations, les Etats et notamment la France étant par essence et par culture totalitaire et violent à l’égard de la population. Dans cette énième valse des pantins sur l'échiquier de la matrice involutive gouvernée par les Forces ténébreuses où prédomine le saage adage "Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir..."*³, la leçon à retenir est que la nécessaire méfiance, les choses semblant anormales étant toujours anormales.
* Circulaire https://eduscol.education.fr/cid61075/prevention-et-lutte-contre-les-risques-de-derives-sectaires.html : "Face à un risque de dérive sectaire, tout personnel est tenu d’alerter les services compétents, dans le but de sauvegarder l’intégrité physique et morale du mineur. Pour
chacune des situations, le correspondant académique chargé de la prévention des phénomènes sectaires en milieu scolaire doit systématiquement être informé. Lors de situations complexes, la
Miviludes peut être saisie." (...)
*² Cf. Prédation manipulatoire & Le contrôle du robot biologique.
*³ Jean de la Fontaine (1621/1695), "Les Animaux malades de la... Peste !"
La non transparence voulue de l'opération vaccination
Tous les laboratoires qui ont vendu leurs vaccins - plus exactement injections à ARN - à l’Union Européenne refusent de montrer leurs contrats aux députés pourtant démocratiquement élus pour représenter la cause et l'intérêt des citoyens (ce qui prouve la tartufferie de nos démocraties contemporaines), ou les montrent émaillés de nombreux paragraphes raturés, démontrant par là-même une entente implicite avec les élites institutionnelles. Et pour cause, l'Europe ayant déjà payé pour leurs vaccins ! De même, ils dissimulent la nature véritable d'un ARN (il est conçu à partir d’A.R.N. de porc ou de chimpanzé, voire même de placenta humain et de fétus d’avortement génétiquement modifié) manipulé et traficoté à partir de différents autres virus de la même famille que la grippe espagnole en 1918 (20 à 40 millions de morts), la grippe asiatique en 1957 (4 millions de morts), la grippe de Hong Kong en 1968 (2 millions de morts), et enfin du virus A(H1N1)pdm09 responsable depuis 2009 des épidémies saisonnières qui se succèdent comme Ebola ou comme le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) - pneumonie aigüe - du à un coronavirus, le SARS-CoV.
Les labos sont donc tout-puissants, assis sur un marché de plus de 12 milliards d’euros. C'est pourquoi ils ne gagneraient rien à divulguer de manière transparente aux citoyens le prix de leurs vaccins pourtant payés par l’argent public de ces derniers, qui plus est en révélant de manière explicite les potentiels vices du SRAS-CoV-2 de par la protéine spike ferrofluide qui se loge dans l'injection qu'ils préfèrent laisser cachés (effets secondaires plus ou moins graves déjà recensés, paralysies faciales dites de Bell, chocs allergiques graves, migraines, lésions vasculaires cérébrales qui provoquent A.V.C. et hémiplégies, myocardites et péricardites, thromboses hémoroïdaires, décès chez les personnes plus fragiles…), tout en rappelant de fâcheux précédents*. Et bien sûr, ils devraient reconnaitre que ces mêmes citoyens en paieront la facture à leur place pour dédommager les victimes de ces "vices cachés" une fois ceux-ci établis !
Il en découle que le couple sulfureux décideurs politiques institutionnels et labos de big pharma veut que nous soyons des millions à être vaccinés, sans savoir quel va en être le coût, tant sur notre santé que sur notre porte-monnaie. Et pour les récalcitrants, qui plus est sous la pression des vaccinés chaque jour plus nombreux amenés souvent à leur corps défendant à la délation qui rappelle les heures sombres de l'Occupation (une très large majorité de Français furent des collabos avant que de retourner rapidement leur veste dès l'annonce de l'effondrement du reich nazi), le passeport vaccinal se dessine lentement et sûrement pour tout le monde, dessinant la mise en place d'un monde de parias et de pestiférés (les vaccinés le seront tout autant que les résistants non vax), rappelant les pages sombres des lépreux, Cagots, porteurs de l'étoile jaune et autres victimes de la ségrégation raciale comme religieuse à travers le monde.
Pour ceux qui se raccrochent encore aux illusions de l'utopie démocratique, il convient enfin d'ouvrir les yeux et constater combien ce qui en relève s'est effondré en quelques mois, le culte de la menace étant pratiqué sans vergogne par les psychopathes qui nous gouvernent : désinformation, revirements sur le masque, mesures de distanciation hasardeuses, solutions thérapeutiques bannies, manque de transparence. Ne reste-t-il plus alors comme choix que de croiser les doigts pour ne pas avoir à accepter le mauvais vaccin !?… La démocratie d'apparence révèle enfin sa véritable nature dans ce monde corrompu, savoir diviser les avis pour faire passer des idées contraires aux intérêt de la majorité afin de la contraindre et la maintenir en esclavage. La Nation ne s’appartient plus à elle même, réduite désormais à un immense ghetto.
C’était le rêve d’Adolf Hitler. Big Pharma et Big Brother avec l’appui de nombre représentants d'institutions dévoyées (Conseil constitutionnel, Conseil d’État,
Parlement), de médias inféodés et de Tontons Macoûtes complices (Police, Gendarmerie, Préfets, Maires, responsables religieux, groupements corporatifs,
syndicats, Conseil scientifique et médecins... jusqu'au voisin de palier) le réalisent. Adolf Eichmann n’aurait pas fait mieux !
* Le vaccin contre la grippe porcine aurait paralysé à vie 450 personnes, et en aurait tué 30 rien qu’aux États-Unis; le vaccin contre la polio, testé et validé par la communauté scientifique, a vu entre 1955 et 1963 entre 10 et 30 millions d’Américains avoir développé des cancers (poumons, os) à cause de ce vaccin contaminé; le vaccin contre le H1N1 a vu 650 personnes devenir narcoleptiques après l'avoir reçu vaccin en Europe. Si d'aucuns considèrent que ces effets sont finalement minimes au regard de la population concernée vaccinée, il est objectif de rappeler que ce ne sont que les chiffres déclarés, autrement dit l’arbre qui cache la forêt.
Les psychopathes de la firme
Le cabinet de conseil américain McKinsey est surnommé "la Firme". Il a été créé par James McKinsey (1889-1937) dans les années 1920. Son siège social se trouve à Wilmington, dans l’État du Delaware aux États-Unis, qui est aussi le fief du président américain "démo(n)crate" Joe Biden.
McKinsey ouvre des bureaux dans le monde entier, qui comme les branches de l'arbre sacré de l'Inde le banian (figuier) - l'arbre de sagesse, de la connaissance ou l'arbre qui marche - que chacun se doit de respecter et d’honorer, vont devenir des troncs qui diffusent la culture néolibérale, soit directement en donnant des conseils aux entreprises (conseil en stratégie pour les patrons) ou aux chefs d’État et ministres, soit indirectement en disséminant ses anciens employés qui vont occuper des postes de direction privés ou publics. Et ces nouvelles branches vont donner de nouveaux troncs, et ainsi de suite.
Cette société n'aime pas la lumière des projecteurs, s'attachant à cultiver le secret depuis 100 ans après sa création aux États-Unis. Sur son site internet, la société se dit "engagée dans les transformations décisives de ses clients". Sa dernière grande mission en date en France a été le pilotage de la logistique de la vaccination contre le Covid-19 en France moyennant une faramineuse rétribution. La question est pourquoi donc l’État a fait appel à un cabinet de conseil pour cette mission alors qu'il dispose de nombreuses administrations dans le domaine de la santé ? Difficile de répondre, puisque enquêter sur le cabinet McKinsey se fait avec grande difficulté, les portes et les bouches se fermant quand il s'agit d'évoquer "la Firme". Le cabinet McKinsey cultive en effet farouchement le secret tout en étant devenu incontournable, résumant de manière caricaturale son art à la formule "Ils empruntent votre montre pour vous donner l'heure"...
Toutefois, il semblerait que le vent de l'opacité commence à tourner. C'est ainsi que Julie Grasset, présidente de l’association de victimes du Covid-19 "Cœur vide 19", a déposé plainte début avril 2022 auprès du parquet national financier (PNF) pour "corruption" et "recel de favoritisme" contre les cabinets de conseil McKinsey, JLL (Jones Lang LaSalle) France spécialisé en logistique et Citwell (Conseil en Management spécialisé en
Supply Chain, Opérations, Service Clients et Conduite du Changement) qui ont été sollicités par le gouvernement pendant la crise sanitaire, notamment pour gérer la
logistique des masques et vaccins, d'autant plus au regard du rapport sénatorial publié mi-mars qui a révélé que les dépenses de conseil des ministères avaient très fortement augmenté, évoquant
un "phénomène tentaculaire". Elle a également déposé plainte contre X pour "détournement de fonds publics", "recel de détournement de fonds publics", "favoritisme" et "prise illégale
d’intérêts".
De son côté, la cellule d'investigation de Radio France, la société anonyme détenue par l'État français qui gère les stations de radio publiques en France métropolitaine, a indiqué selon son enquête qu'une douzaine de consultants de la firme avaient participé à la campagne d'Emmanuel Macron en 2017 de manière "active" voire "intrusive". Un ancien consultant a d'ailleurs estimé que "leur travail aurait dû être facturé et déclaré".
Cf. en complément https://reaction19.fr/wp-content/uploads/2022/04/060322-Note-relative-aux-relations-entre-Macron-et-McKinsey.pdf
Arrangements entre petits amis dévoyés (1)
Que l’on apprécie ou non Uber, entreprise dite du nouveau monde inventrice d'un nouveau sésame, "l’ubérisation du travail", autrement dit le recours à une forme "chic, smart et branchée" de l’esclavage, le problème n’est pas là : Uber se serait offert le service d'influenceurs proches de l’ex-ministre de l’Economie et des Finances devenu depuis président de la République France, entre autres l'économiste et essayiste libéral Nicolas Bouzou, qui durant des mois a fait comme chroniqueur l’apologie du présidentiable Macron sur les chaînes du média audiovisuel mainstream BFM où il était devenu omniprésent, celui-ci appartenant à l'affairiste Patrick Drahi. C'est ainsi que les députés de sa majorité s'étaient vus proposer un projet de loi "clé en main", supervisé comme il se doit par Bercy, favorisant les ambitions de la firme de son fondateur richissime et sulfureux Travis Kalanick.
En d’autres termes, Emmanuel Macron aurait énormément épaulé Uber, bien au-delà de ce qu’aucun ministre de l’Économie de la Vème République ne s’était jamais autorisé à faire. Lui-même ou des représentants des services de Bercy ont participé à pas moins de 17 rendez-vous pour mettre au point tous les détails – y compris législatifs – de l’implantation du groupe en France, tout ceci ayant été révélé par la mise dans le domaine public de traces ou preuves électroniques incontestables (leaks en anglais).
D'où la question que beaucoup de monde se pose : quel intérêt personnel avait le ministre à s’impliquer à ce point pour une entreprise perdant beaucoup d’argent (elle en perd toujours), visée par plusieurs enquêtes pour fraude fiscale, et ayant la réputation de subvertir le modèle social des pays où elle opère sauvagement ? En a-t-il tiré des avantages personnels, au-delà de renforcer son image d’un "libéral convaincu" auprès des milieux d’affaires et de la sphère eurobéate de Bruxelles ? Ne pouvait-il se contenter de son implication décisive dans la cession d’Alstom, laquelle a donné lieu à de substantiels commissionnements perçus par des intermédiaires que l’on retrouve parmi les plus généreux donateurs de sa campagne électorale victorieuse de 2017 ?
Avec le scandale McKinsey, cela commence à faire beaucoup d’affaires de conflits d’intérêt potentiels… et ce ne sont peut-être pas les derniers !
Arrangements entre petits amis dévoyés (2)
L'argent public est souvent utilisé pour l’achat de centaines de milliers de médicaments qui ne sont pas utilisés, comme l'achat d'un demi-million de Paxlovid par l'Etat français en 2022, une pilule censée lutter contre l’infection au Covid-19 et pour laquelle la Haute Autorité de Santé avait autorisé l'accès précoce sous forme de procédure exceptionnelle en janvier. Qui plus est, l’État a effectué cette commande record dans la foulée de la publication des premiers résultats d'une étude clinique évaluant l’efficacité du Paxlovid, c'est-à-dire sans souci d’un quelconque recul scientifique. Au final, sur les 500 000 doses achetées rubis sur l’ongle… 495 584 ont été inutilisées !
Deux autres informations dérangeantes s’ajoutent à celle du gâchis éhonté de l’argent du contribuable. Le concepteur du Paxlovid n’est nul autre que Pfizer, le géant pharmaceutique dont l’État a déjà grassement participé aux bénéfices records en 2021 en rendant la vaccination anti-Covid obligatoire, et par ailleurs cliente du cabinet de conseil McKinsey qui a "conseillé" le ministère de la santé sur toute la politique vaccinale française. Son influence sur les décisions du gouvernement a ainsi été qualifiée par un rapport sénatorial de "tentaculaire".
Au scandale de la dépense spectaculaire de l’argent public pour rien et au scandale de la corruption présumée au plus haut sommet de l’État sur le dos de la santé des Français s’ajoute qui plus est un troisième scandale. Si le Paxlovid est un antiviral qui, comme l'atteste un essai clinique dont les résultats ont été révélés en décembre 2021, a réduit de 88 % le risque d’hospitalisation et de décès chez les personnes à haut risque et non vaccinées, à condition qu’il soit administré dans les cinq jours suivant l’apparition des symptômes, il en a été de même d'un autre médicament ayant fait preuve de son efficacité anti-Covid en prévention et en traitement, l’Ivermectine*. La neutralisation de cette molécule bien connue, au brevet tombé dans le domaine public et donc peu onéreuse, n’avait in fine pour fonction que de laisser le champ libre à la pilule de Pfizer… neuve et donc beaucoup plus rentable.
* Cf. Livre sorti en octobre 2021 "Le scandale Ivermectine : Comment et pourquoi ils ont bloqué l'anti-covid-19" de Jean-Loup Izambert.
La fraude dans le sang
Le métier d'Enron, une entreprise américaine du secteur de l'énergie qui fut l'une des plus importantes entreprises par sa capitalisation boursière au début des années 1990, était concrètement le transport et la vente en gros de gaz naturel. Mais Enron prit un virage décisif vers le courtage en énergie sous l'impulsion d'un nouveau venu, l'ancien consultant de McKinsey Jeffrey Skilling devenu son PDG, qui développa des équipes de trading sur les contrats à terme, notamment les mégawatts produits à partir de l'hydro-électricité. Ce négoce de dérivés d'électricité, peu et mal régulé à l'époque, déboucha rapidement sur un savant mélange de manipulation des cours et de corruption, le tout couvert par la mise en place de pratiques comptables frauduleuses, à une échelle industrielle, avec la complicité active d'Arthur Andersen (qui perdit son droit d'exercer lors d'un procès retentissant en 2002) et de McKinsey... qui n'écopa que d'une condamnation légère. Résultat, la faillite fin 2001 avec des pertes estimées au-delà de 40 milliards de dollars en raison des anomalies découvertes dans sa comptabilité, ayant conduit à l'implosion du groupe et la ruine pour quelque 4 000 de ses employés.
Skilling fit face à 28 chefs d'accusation, parmi lesquels fraude, complot, délit d'initié ou encore fausses déclarations aux cabinets d'audit. Reconnu coupable en 2006 pour 19 d'entre eux, il a été condamné à 24 ans et 4 mois de prison, non sans avoir soutenu pendant le procès être innocent et avoir ignoré les montages financiers de son directeur financier. La Cour suprême des États-Unis a toutefois décidé en 2010 d'annuler sa condamnation pour manquement à ses... "obligations morales", tout en reconnaissant l'équité du procès de 2006. Et en juin 2013, sa peine initiale de 24 ans de détention a été ramenée à 14 années. Il a été libéré le 21 février 2019.
Au final, nombre de psychopathes ne dépassent les bornes d'un point de vue social. Ils ont réussi dans la société, étant docteurs, avocats, journalistes, philosophes*, voire même psychiatres ou psychologues sociaux qui disposent d’un certain nombre de classes d’écoliers sur lesquels ils essaient différentes méthodes pour produire une conviction inébranlable, comme celle que la neige est noire...
Ils sont des Portails Organiques efficaces et performants. Ils portent le masque de bonne santé mentale, pour ne pas dire de conscience, parfait ! Ceci indique que le Portail Organique (PO) a la possibilité de progresser dans sa propre évolution au cours du cycle prochain, évoluant de pré-adamique à adamique. Le cycle civilisationnel courant arrivant bientôt à son terme, nous vivons de ce fait durant la période où un certain nombre de PO ont réussi à imiter l'être doté d'une âme de manière si réaliste et si développée, qu'ils ne peuvent revenir qu'en tant qu'êtres adamiques. Ils ne peuvent évoluer davantage à l'intérieur de leurs corps actuels.
* Ainsi le psychopathe Bertrand Arthur William Russell (1872/1970),
mathématicien, logicien, philosophe, épistémologue, homme politique et moraliste britannique. Considéré comme l'un des
philosophes les plus importants du XXᵉ siècle, il avait déclaré qu’il fallait un monde peuplé de sujets "dociles" facilement manipulables et démoralisés. Il
considérait l’humanité comme légèrement supérieure au bétail.
Identification du psychopathe : une avancée scientifique
Des scientifiques du Centre de recherche Charles-Le Moyne dans la ville de Longueil au Québec auraient découvert une technique simple pour identifier un psychopathe. Ceux-ci seraient des personnes dont l’annulaire est plus allongé que l’index ! L’étude, publiée en 2024 dans le Journal of Psychiatric Research, suggère en effet que les tendances néfastes pourraient être héréditaires : "Alors que les individus ayant de tels comportements sont socialement très problématiques et encourent des problèmes, ce comportement pourrait être biologiquement enraciné et compris comme une stratégie rapide de l’histoire de la vie". L’échantillon de l’étude était composé de 80 personnes – 44 diagnostiquées avec un trouble de l’usage des amphétamines (AUD), un trouble de la personnalité antisociale (ASPD) ou les deux, et 36 sujets témoins en bonne santé.
Les chercheurs ont scanné la main droite des participants et les ont soumis à des tests psychologiques, dont un test de personnalité appelé la "Triade noire". La triade noire désigne trois traits de personnalité étroitement liés : le narcissisme (égoïsme), le machiavélisme (tromperie et manipulation) et la psychopathie (impitoyabilité). Les personnes présentant ces traits de caractère sont motivées par leur propre intérêt et n’ont que peu d’égards pour les autres.
L'économie financière est le terrain de prédilection de la psychopathie, une société fondée sur la compétition - le capitalisme dévoyé dans ses fondements naturels premiers par exemple - étant une société où la psychopathie est adaptative et à des chances de s’accroître. Il n'est qu'à voir l'état de l'équation du modèle actuel dans la zone de l'Union Européenne, qui fait que pour relancer l’économie, il a fallu depuis les conséquences de la crise de 2008 faire plus de crédits, contribuant à l'économie de la dette (augmentation de l’endettement des acteurs privés, les ménages comme les entreprises)*. Et comme "on" a fait trop de crédits sans que cela ne relance véritablement l’économie alors que les banques étaient plus qu’incitées à prêter (d'où les faibles taux d'intérêt qui ont été pratiqués proches de zéro), il a fallu relever leurs niveaux de fonds propres pour faire du crédit, ce qui est revenu à obliger les banques à se recapitaliser (ce qui a un coût), ou à réduire leur production de crédits et payer les taux d’intérêts négatifs à la Banque Centrale Européenne qui, au service des banques et des gouvernements, s'assure pour ces derniers qu'ils puissent emprunter au taux le plus faible possible. Il n'aurait plus manqué plus que la BCE ait proposé aux banques de prêter à taux négatifs, et déclaré que les pertes subies seraient compensées par les banques prêteuses qui donnent de l'argent pour que nous nous endettions… Absurde évidemment, à l’image d’une économie devenue totalement folle et d’un système qui commence à tourner en boucle… avant le grand plantage, la pauvreté ne cessant de croître*² tout comme l'écart du patrimoine détenu par le 1% du haut de la pyramide en comparaison des 99% autres, notamment des 10% du bas !
* Si la conjoncture se retourne, si les taux montent, si la croissance baisse, si nous avons une nouvelle crise, si le chômage augmente... bref, si tout se passe mal, les agents économiques croulant sous trop de dettes deviendront tout simplement insolvables. Et s’ils ne peuvent pas rembourser les crédits, ils entraîneront alors les banques à faire à leur tour faire faillite comme aux États-Unis en 2007 avec l’histoire des "subprimes".
*² C'est ainsi qu'en 2021 pas moins d’un tiers d’Américains ne peuvent pas ou plus se permettre des soins de santé, d’alimentation et d’habitation, soit plus de cent millions de personnes (le taux d’épargne US net est sous le zéro, proche de son niveau le plus bas de l’Histoire) ! Autrement dit, aux Etats-Unis comme ailleurs, les "pauvres" ne peuvent pas se permettre la base d’une vie décente, tandis que les "confortablement aisés" n’arrivent pas à trouver le moyen de dépenser leur fortune...
A l'origine, bien que ceci soit politiquement très incorrect, la pratique du taux d’usure. Ce concept vient des "usuriers", c'est-à-dire les individus à l'origine prêteurs d'argent (avant de devenir des institutions) qui prêtent trop cher, et qui, du coup, volent les gens. Ce qui bien sûr est immoral, expliquant l'interdiction de l'usure par toutes les religions, sauf une*… Alors finalement, très rapidement, les Etats ont limité les taux d’intérêt. C’est devenu le taux d’usure, le taux maximum auquel peut être fait un crédit.
* Cf. Le Judaïsme décodé.
Les psychopathes bancaires
Le Glass-Steagall Act est le nom sous lequel est généralement connu le Banking Act de 1933 aux États-Unis, par lequel ont été instaurés
l'incompatibilité entre les métiers de la banque commerciale de dépôt et ceux de la banque d'investissement ou d'affaires, le système fédéral d'assurance des dépôts bancaires, et le plafonnement
des taux d'intérêt sur les dépôts bancaires, dit "règlementation Q". Il s'agissait alors de répondre aux faillites bancaires retentissantes de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle, et
tout particulièrement celle de la grande crise boursière de 1929. Il a été battu en brèche depuis le milieu des années 1970 avec le développement spectaculaire des marchés financiers, largement
contourné par l'ensemble de la profession bancaire par des artifices de tous ordres découlant de l'absence de réelles contraintes en matière de fonds propres et de cadre prudentiel transparent,
pour être finalement définitivement abrogé sous l'administration du président démocrate William Jefferson dit Bill Clinton en 1999 afin de permettre la fusion constitutive de Citigroup
(photo 2), entreprise financière majeure basée à New York (elle est considérée comme la douzième entreprise mondiale, avec un total d'actifs s'élevant à 1795,1 milliards de US $). Cette
abrogation, qui traduit un changement majeur de la culture de prudence des banques de dépôt vers la culture du risque des banques d'affaires*, a contribué au déclenchement de la crise dite des
subprimes en 2007, qui coûtera quelques milliers de milliards de dollars à l'économie mondiale (25 % de la capitalisation boursière totale envolée), favorisant dans la foulée l'envol de
la dette des États et provoquant la perte de dizaines de millions d'emplois. En dépit de la loi scélérate "Moscovici" de 2013 prétendant le retour à l'étanchéité entre les deux métiers bancaires,
la scission n'est pas réalisée en France, les banques se retranchant derrière la filialisation de leurs activités en leur sein pour s'en exonérer, avec la bénédiction de la représentation
nationale et la complicité de l’État régulateur il va sans dire. Quant au Parlement européen, il retoquera la proposition de directive de son commissaire Michel Barnier de réaliser la
scission...
Les banques dites systémiques (regroupement en elles des deux branches d'activités) sont en France au nombre de quatre : BNP/Paribas, Crédit Agricole, Crédit Mutuel et Société Générale (photos 3 à 6). Leur accumulation de dettes privées (emprunts des particuliers et des entreprises non financières) s'élève à 133 % du Produit Intérieur Brut, et ce par l'absence d'exigence sous forme de ratios contraignants de fonds propres en contrepartie des prêts octroyés. Or, leur total d'actifs est pour chacune sans commune mesure avec le Fonds de garantie interbancaire des dépôts, qui est estimé à environ 55 milliards d'euros. Autrement dit, si un seul de ces géants est pris dans la tourmente d'un effondrement des marchés financiers lié à sa folie spéculative, il pourra exiger (chantage) de l’État régulateur au prétexte fallacieux du too big to fail ("trop gros pour tomber") que ce dernier assure sa couverture en cas de faillite découlant du bank/deposit run-off (retrait massif de dépôts), afin de ne pas entraîner des conséquences préjudiciables pour les autres citoyens épargnants. Et comme de ce fait la dette publique explosera par son intervention de pompier, l’État n'aura pas d'autre choix que de démanteler nombre de services public et de les privatiser. Il en découlera un scénario "à la Grecque", avec les tragédies sociales que ce pays endure depuis la crise de 2009. Autrement dit, le tapis rouge sang pour l'instauration du N.O.M. (Nouvel Ordre Mondial), appelé de leur vœu par la plupart des élites institutionnelles occidentales ! Mais la banque, les banques, c'est un sujet barré, tabou, pour des raisons de budgets publicitaire, et aussi parce que les groupes de médias ne tiendraient pas sans les appuis bancaires qui vont jusqu'au soutien abusif*².
Nul(le) ne s'étonnera alors que le bestiaire de l'Apocalypse voit un dragon rouge s'apprêter à dévorer l'enfant d'une vierge (blanche), signifiant que l'hydre financière noire et ses psychopathes prédateurs participent pleinement de cette fin de cyclicité civilisationnelle. L'alchimie mortifère !
* Approche spéculative du marché des actifs "dérivés", initié à l'origine du besoin des entreprises de se protéger du risque de la variation des taux de change, et progressivement étendu à un casino des dérivés de tous ordres totalement déconnectés de l'économie réelle.
*² Cf. Contrôle mental.
Le capitalisme de connivence a sa raison d'être, l'enrichissement du système bancaire, grâce à son marché très protégé car très encadré par l'Etat, au détriment, bien entendu, des consommateurs et des clients... La mécanique est très simple, comme en France. Dans les années 60, l'entourage du général De Gaulle a organisé l'émergence de quatre grandes banques françaises, qu'on retrouve aujourd'hui en position dominante : le Crédit Agricole et le Crédit Lyonnais par son rachat en 2003, la BNP, la Société Générale, le Crédit Mutuel s'étant progressivement joint à ce groupe. Il en a découlé l'organisation d'une industrie française de la finance par les mesures de précaution à l'initiative du ministère de l'Economie depuis plusieurs décennies, notamment en termes de protection réglementaire. Et comme les banques ont systématiquement recruté des hauts fonctionnaires du ministère pour les amadouer et leur rappeler que servir les banques plutôt que servir l'intérêt général pouvait être très rémunérateur, la collusion délétère est devenue prégnante. En conséquence de quoi les gouvernements qui se succèdent sont au service des banques, et les autorisent à commettre les pires abus qui existent... au détriment de leurs clients.
Le prix du dévoiement
En novembre 2017, HSBC Private Bank, mise en examen pour les délits de complicité de blanchiment de fraude fiscale et de démarchage illicite de résidents français en qualité de personne morale, a accepté de payer 300 millions d’euros d’amende au fisc français* sous forme de convention afin d’échapper à un procès, et ce dans le cadre de la loi anticorruption du 9 décembre 2016, dite loi Sapin 2 (cette réparation non susceptible de recours est basée sur une simple reconnaissance des faits, non sur une reconnaissance de culpabilité de la part de l’entreprise soupçonnée). Cette convention a été étendu aux faits de fraude fiscale par la loi du 23 octobre 2018. L’ancien patron de la filiale suisse de HSBC, Peter Braunwalder, a été quant à lui condamné en janvier 2019 par le biais de la procédure de plaider coupable à un an de prison avec sursis et 500 000 euros d’amende pour les mêmes délits/faits. Cette procédure est le dernier volet judiciaire de l’affaire HSBC, révélée par la "liste Falciani", du nom de l’ancien salarié informaticien Hervé Falciani qui avait dérobé en 2008 des fichiers portant sur 127 000 comptes appartenant à 79 000 clients de 180 nationalités, mettant ainsi au jour les pratiques d’évasion fiscale et de blanchiment massives encouragées par la banque suisse. De son côté, le parquet de Bruxelles a annoncé début août 2019, que dans le volet belge de l’affaire HSBC Private Bank, la banque a également accepté une sanction financière de près de 300 millions d’euros pour clore l’enquête pénale ouverte en 2014 pour "fraude fiscale grave" et "blanchiment".
Après avoir dévoilé début août des résultats en hausse pour le premier semestre avec un bénéfice net en progression de 18,6 % à 8,5 milliards de dollars (7,6 milliards d’euros), le géant bancaire britannique HSBC (photo 7) a annoncé le départ surprise de son patron, John Flint, évoquant le besoin de sang neuf face aux nombreux défis à relever, et un plan de réduction de 2 % de ses effectifs dans le monde, soit la suppression d’environ 4 000 emplois (particulièrement des postes à responsabilités), compte tenu des nombreux... nuages à l’horizon !
Poursuivie pour les mêmes délits, la banque suisse UBS (photo 8) avait entamé elle aussi en juin 2016 des négociations en France en vue d’une CJIP qui n’ont pas abouti. La banque avait en effet estimé que le montant minimum de 1,1 milliard d’euros proposé par le Parquet national financier était trop élevé. Elle a été condamnée le 20 février 2019 à Paris à 4,5 milliards d’euros, dont une amende record de 3,7 milliards et 800 millions dus à l’Etat français à titre de dommages et intérêts. La banque a fait appel de ce jugement.
* Dans cette affaire HSBC, l’administration française avait estimé à "au moins 1,67 milliard d’euros" les sommes frauduleusement soustraites à l’imposition avec le concours de la banque.
La "circularisation", ou la création de l'illusion comptable
Si une société dit qu’elle a un compte dans telle banque avec telle somme, on interroge la banque et l’on demande confirmation de la position de compte. C’est la règle de vérification de base qui tombe sur le sens. Pourtant, elle a fait défaut à la sagacité des équipes en charge du groupe de services financiers allemand Wirecard qui a annoncé en juin 2000 son dépôt de bilan, suite à la non validation de ses comptes 2019 et prévisions faute de leur validation par le cabinet Ernst & Young (EY), son directoire ayant jugé probable que les soldes des comptes en fiducie d’un montant de 1,9 milliard d’euros n’existaient pas, soit le quart du bilan consolidé ! Il manquerait 2 milliards d'euros que nul n'a vu, à l’abri et en sécurité dans deux établissements financiers philippins, BPI et BDO...
Cette société sérieuse par nature, cotée en bourse, est surveillée par la BaFin en Allemagne, l'Autorité fédérale de supervision financière sous la supervision du Ministère fédéral des Finances. Personne n’avait de ce fait trouvé à redire qu’une société allemande cotée en bourse fiche ses milliards aux Philippines. Qui plus est, les deux établissements financiers philippins ont publié un communiqué assurant qu’ils n’avaient aucun lien avec Wirecard et que les documents les incriminant étaient des faux.
Qu'en retenir ? Cela commence par l’échec total d’une direction générale, malgré de très nombreux indices permettant de découvrir les faits. Cela continue avec les dizaines d’auditeurs qui n’ont pas pu déterrer la vérité. Cela continue avec toute une série d’entités privées et publiques, qui n’ont pas été assez efficaces pour empêcher que cela ne se produise. En résumé, personne n’a fait son travail ! Et pourtant, il y a des auditeurs payés en pagaille à remplir des tableurs excel, à faire des réunions, à éplucher des factures en détail… Parmi eux, il y a ceux qui doivent voir mais ne veulent pas voir parce que la soupe est bonne, ou qui ne voient rien parce qu’ils sont incompétents, justement choisis pour cela. Le "système" choisit en effet les plus nuls, les plus inexpérimentés, les plus naïfs, avec un beau costume et une belle cravate d'apparat, une belle carte de visite, un PC portable et un confortable salaire, soit les accessoires de la non compétence...
Tout ceci n'est pas sans rappeler le gigantesque scandale Enron* du début des années 2000, un des grands symboles des dérives affairistes. Une fois encore, c’est la complaisance des autorités de contrôle qui est sujet à question dans le contrôle des gros ou des influents, alors qu'elles se concentrent avec zèle sur les petits.
* Outre ses activités initiales dans le gaz naturel, Enron avait monté un système de courtage par lequel elle achetait et revendait de l'électricité, notamment au réseau des distributeurs de courant de l'État de Californie. En décembre 2001, elle fit faillite de manière retentissante, en raison de pertes occasionnées par ses opérations spéculatives sur le marché de l'électricité, qui avaient été maquillées en bénéfices via des manipulations comptables. Cette faillite entraîna dans son sillage celle d'Arthur Andersen, qui auditait ses comptes, et fut à l'origine de nouvelles lois et normes dans les domaines de la finance et de la comptabilité.
Autrefois, les investisseurs achetaient des entreprises en se basant sur leurs performances passées. Plus maintenant. Le jeu a changé. Les investisseurs achètent les actions d’entreprises dont ils pensent qu’elles pourraient avoir un jour un produit que les gens pourraient acheter et sur lequel ils pourraient faire des gains, à l'image de la société de construction automobile Tesla*... si tout va bien. Tout ça est un pari gigantesque, en d’autres termes – on parie qu’il y a toujours plus idiot que soi quelque part... aussi bête soit-on au départ.
* Cette société, qui a perdu a perdu 775 M$ en 2019, n’a pas suffisamment de produits pour justifier plausiblement son prix, qui frôle début 2021 les 660 Mds$ de valorisation boursière. Au ratio profit/voiture actuel, TSLA devrait en vendre plus de 25 millions afin de faire suffisamment de profits pour correspondre à un modeste PER de 12. Si le marché automobile mondial représentait 80 millions de véhicules, cela signifierait qu’une sur trois ou quatre voitures vendues devrait être une Tesla...
Du virus monétaire au virus pandémique
Compte-tenu de la propagation pandémique du virus mortel nommé Covid19 - la "Mort rouge" - et de ses conséquences économiques, la banque centrale américaine dite
Fed a décidé début mars 2000 une baisse "surprise" d'un demi-point de base de son taux directeur. Cette annonce n'a pas loin s'en faut enthousiasmé les marchés. Ceci signifie clairement que les
baisses de taux ne suffisent pas en elles-mêmes lorsque les fondamentaux économiques sont viciés par l'incompétence de ses ordonnateurs institutionnels, la baisse des taux comme l'aisance
monétaire de façade ne pouvant masquer la réalité de la tuyauterie, des sous-sols. L'économie n'est rien d'autre que la traduction harmonieuse ou non de la relation que l'humain entretient avec
la Nature. Et lorsque cette dernière est dénaturée par la quête frénétique de l'or, l'enrichissement à bon compte, le toujours plus, il en découle les excès qui ouvrent grandes les portes à la
perte d'immunité, notamment sur le plan psycho-émotionnel, les situations de sur-réaction, de psychose et de mouvement de foule accentuant la propagation du virus organique comme
économique.
Le virus est indifférent aux politiques des banques centrales, aussi crétines et idiotes soient-elles. Sous l'empereur romain d'Orient Justinien (482/565) selon l'historien byzantin Procope de Césarée, jusqu'à 10 000 personnes mouraient tous les jours durant un épisode de peste. Si les survivants se remirent rapidement, l'empire byzantin, lui, ne se releva jamais tout à fait. Plus tard, la Peste noire frappa l'Europe en 1347, tuant jusqu'à 30 millions de personnes. La peste provoqua un effondrement économique. Quant à la Grande peste de Londres, au XVIIème siècle, elle fut relativement moins grave, ne faisant que 100 000 victimes environ. Les riches fuirent la cité pour rejoindre la sécurité relative de leurs maisons de campagne. Cela se révéla à peu près efficace. La plupart des morts étaient des pauvres, contraints de rester dans la ville. Mais la fin de la peste fut marquée par une catastrophe supplémentaire, le grand incendie de 1666. Et si l'épidémie avait tué les pauvres, le feu acheva les riches. Il fallut reconstruire Londres – sa population et sa richesse – quasiment de zéro.
Dans tous ces récits historiques d'épidémies, de pestes et d'attaques microbiennes, on ne fait pas mention des banquiers centraux – que ce soit pour guérir la
maladie ou remédier aux dégâts économiques. La raison à cela est simple : ils ne peuvent rien faire. L'argent factice peut fausser les prix – ceux des actifs ou les prix à la consommation. Mais
il ne peut pas remplacer les travailleurs, les ventes ou les profits. Même le vrai argent ne peut pas le faire. Et si le Covid-19 n'a rien à voir avec la Peste noire, il a un effet économique
similaire : le capital est toujours là - les bâtiments, les stocks, les usines, l'épargne, les routes et les ressources. Mais les revenus ont disparu, ou sont en cours de l'être !
L'économie mondiale peut être comparable à un grand bal, semblable à celui de Cendrillon (Cf. image ci-contre), ce conte ancien merveilleux du nom de son personnage central mis à l'honneur par les versions de l'Italien Giambattista Basile, du Français Charles Perrault, des frères allemands Grimm, et porté à l'écran par l'Américain Walt Disney. Pendant des années, nous avons ainsi dansé en Occident dans un monde enchanté, sous le charme d'un conte de fées économique, dans lequel les Etats pouvaient emprunter de l'argent à volonté, souvent sans intérêts ou même avec des taux d'intérêt négatifs, c'est-à-dire qu'ils étaient littéralement payés pour s'endetter ! La banque centrale, dans le rôle de la fée-marraine, n'avait de cesse d'agiter sa baguette magique, imprimant toujours plus d'argent pour alimenter la fête. Mais Cendrillon savait qu'à minuit, le bal devait prendre fin et que la magie se dissiperait, sa belle robe se transformant en haillons et son somptueux carrosse en citrouille.
Et comme pour la princesse dans le conte, nos dirigeants, si captivés par leur bal, par l'euphorie du moment, ont choisi d'ignorer l'inévitable. L'inflation, comme un avertissement des derniers tic-tac d'une horloge en bout de course, a ainsi fait son apparition en 2021, dans la foulée de mesures iniques prises dans la lutte, pour certains "dérangés du ciboulot" quand il parlait de guerre, engagée contre la "plandémie" Covid-19. Minuit a sonné, égrenant ses douze coups fatidiques. Tic-tac... tic-tac... la magie a commencé à se dissiper. Tic-tac... tic-tac... la réalité économique a rattrapé les décideurs institutionnels. Les banques centrales ont alors été obligées de cesser d'agiter leurs baguettes-magiques-planche-à-billets, au risque de voir la monnaie se transformer en vulgaires bouts de papier...
Et contrairement au conte de fées, la suite s'annonce... dramatique !
Vampirisme fiduciaire
Le mythe du vampire s’applique au système de monnaie fiduciaire, ce dernier fonctionnant via un mécanisme caché et prédateur qui enrichit l’Etat et les banques au détriment du grand public, victime inconsciente dont le pouvoir d’achat est progressivement siphonné.
On pourrait penser qu’une redistribution des revenus et de la richesse, engendrée par l’augmentation de la quantité de monnaie en circulation, se produirait également dans un système monétaire basé sur des matières premières ou des métaux précieux. Cela est vrai en principe, mais dans un système monétaire basé par exemple sur l’or, l’expansion de la masse monétaire serait nécessairement moins rapide que dans un système de monnaie fiduciaire. Ce dernier a été délibérément choisi pour sa nature vampirique. Il profite à l’Etat, aux banques et aux grandes entreprises aux dépens de la majorité de la population, bridant son potentiel économique et contribuant à la création d’une armée d’esclaves, d'asservis rendus dépendants. Par exemple, elle incite les ménages et les entreprises à s’endetter et à vivre au-dessus de leurs moyens grâce aux taux d’intérêt artificiellement bas rendus possibles par la création de monnaie fiduciaire. Les gens sont également encouragés à investir dans des actifs (tels que l’immobilier et les actions), car la nature structurellement inflationniste de la monnaie fiduciaire garantit une hausse continue des prix de ces actifs. Mais une fois que les gens ont ainsi été appâtés par la monnaie fiduciaire, leur bien-être économique et financier devient dépendant du maintien du système monétaire inflationniste et de son "sauvetage" par l’Etat et sa banque centrale en période de crise, même au détriment de ceux qui ne bénéficient pas de ce système ou qui n’en obtiennent que des miettes.
Ceci explique que les politiciens, les bureaucrates, les banques et les entreprises qui bénéficient de contrats gouvernementaux ont tous directement intérêt à
maintenir le système de monnaie fiduciaire. Ils sont devenus les serviteurs du système de monnaie fiduciaire, se nourrissant de la force vitale de ceux qui occupent un emploi productif en
s’accaparant une part de leurs revenus. De plus, les épargnants sont les plus grands perdants, car la monnaie fiduciaire perd continuellement de son pouvoir d’achat.
Et pour éviter que les citoyens ne comprennent vraiment les effets néfastes de la monnaie fiduciaire et les dommages qu’elle entraîne, les écoles, les universités et les médias se gardent de l'enseigner, la diffusion de la connaissance en matière économique risquant de détruire le système insidieusement établi.
Le constat établi en 2023 fut sans appel : selon la Federal Deposit Insurance (FDIC), agence indépendante du gouvernement des États-Unis dont la principale responsabilité est de garantir les dépôts bancaires faits aux États-Unis, plus de 620 milliards de dollars de pertes non réalisées furent comptabilisées dans l’ensemble du secteur bancaire, constituant une bombe financière à retardement, la hausse continue des taux d'intérêt par la banque centrale contribuant à l'aggraver même si elle s'est atténuée depuis. C'est ainsi que l'entreprise Starwood Property Trust, premier fonds d’investissement immobilier hypothécaire commercial des États-Unis (plus de 72 milliards de dollars de capital depuis sa création, pour un portefeuille de plus de 19 milliards de dollars en investissements en dette et en actions), a connu des difficultés, conduisant sa maison-mère Starwood Capital Group à faire défaut sur certains de ses prêts. Les hausses de taux d’intérêt mettent en effet du temps à produire leurs effets dans l’économie. Il faut minimum entre 12 et 24 mois pour voir se matérialiser les conséquences...
En France, la dégradation continue de l'activité économique en raison de la faible croissance et des mesures ubuesques imposées par l'Union européenne, conjuguée au poids conséquent de la dette publique ne laissant que peu de marge d'action au gouvernement dans ses politiques économiques structurelle comme conjoncturelle, a vu l'année 2024 se terminer par la décision de l'agence Moody’s* de dégrader la situation financières de nombre de grandes banques - BNP Paribas, Crédit Agricole, Crédit Mutuel, CIC, BPCE (Banques Populaires et Caisses d’Epargne) - auxquelles se rajoutent les institutions financières publiques la CDC (Caisse des Dépôts) et la BPI (la Banque Publique d’Investissement).
La raison est que si une banque a un problème qui nécessite de la sauver via une intervention de l’Etat, l’Etat en question - la France en l'occurrence - n’est désormais plus en mesure de lui venir à l’aide, entendant alors pour l'épargnant le risque de perdre son épargne. Qui plus est, comme les banques sont interconnectées entres elles, elles risquent de tomber toutes !
C’est simplement le retour en cette fin d’année du risque bancaire en Europe, avec la France au cœur du cyclone, un cyclone de la dette qui peut être ravageur.
* Société spécialisée dans les solutions de gestion des risques et l'analyse financière d'entreprises.
Faillite bancaire spéculative
La Silicon Valley Bank (SVP)*, la banque californienne des start-up, a mis la clef sous la porte en mars 2023, entamant la confiance dans le système financier américain et européen. Cela s'est traduit par un fort mouvement baissier des marchés financiers, et la perte dans la foulée pour les banques américaines d'environ 213 milliards de dollars de retrait de dépôts par des épargnants effrayés (selon les chiffres de la banque centrale états-unienne la Réserve fédérale), des entreprises internationales telles que Crédit Suisse ayant de leur côté également lutté pour faire face aux turbulences du secteur avant d'être sauvée par une bouée de sauvetage offerte par la Banque nationale suisse. Dans la foulée, les autorités américaines ont début mai pris le contrôle de la banque régionale First Republic et en ont revendu la grande majorité à la banque JPMorgan Chase, actant ainsi la deuxième plus grosse faillite de l’histoire des États-Unis et espérant mettre un terme à la crise bancaire qui a émergé en mars. First Republic n’était pas parvenue à trouver un plan de sauvetage satisfaisant suite au retrait massif de nombreux clients (plus de 100 milliards de dollars de dépôts) au premier trimestre. Autre banque américaine régionale en très mauvaise posture, la banque PacWest, qui dans la foulée de First Republic, a vu son cours de bourse s'effondrer de plus de moitié fin avril.
Il s’agit pour SVP de la deuxième plus grosse faillite bancaire de l’histoire des Etats-Unis après celle de Washington Mutual en 2008.
La raison se trouve dans la politique monétaire de la banque centrale états-unienne, la FED (Federal Reserve Bank), et des "alignées" (type Banque Centrale Européenne), suite à sa politique de relèvement successif à l'issue de la crise sanitaire Covid-19 et l'émission de flux d'argent massifs pour soutenir les économies exsangues des plans de confinement décidés par les autorités institutionnelles les ayant fragilisées. Cette hausse des taux a entraîné diverses conséquences fâcheuses, comme sur le plan des prix de l’immobilier (un crédit beaucoup plus cher diminue la capacité d’endettement, les prix de vente se réajustant à la capacité moyenne des acheteurs et débouchant sur une forte baisse du marché immobilier). Autre effet, celui du marché des obligations (les emprunts d’État), qui se retrouvent aussi bien dans les contrats d’assurance-vie fonds en euros que dans les bilans des banques qui placent dessus leurs fonds propres (c’est une obligation légale). La revente des "vieilles" obligations souscrites naguère à faible taux voire négatif (-0.5 % en 2021) est devenue impossible, leur rendement n'étant plus suffisamment attractif, entraînant de ce fait leur dépréciation dans le bilan des banques ou compagnies d’assurance-vie détentrices. Il en a résulté un krach obligataire, et une situation pour certaines de faillite virtuelle en raison de la hausse des taux, d'autant que les pertes potentielles se comptent par milliers de milliards de dollars en Europe comme aux États-Unis.
Il en a découlé que la FED a annoncé d'une part qu’elle garantissait tous les dépôts des banques (SVB compris) pour que les déposants n’aient pas de pertes, et d'autre part qu’elle rachèterait toutes les obligations à leur valeur nominale et pas à la valeur de marché. Conséquence, cela veut dire que les obligations d’États n’ont plus de "valeur" de marché, signifiant qu'il n’y a plus de marché obligataire libre, révélant la véritable face du pseudo libéralisme mondialiste à la sauce financière étoilée.
Certes le spectre d’un effondrement bancaire est éloigné, mais les banques centrales sont obligées de poursuivre leur politique du n’importe quoi économique, se raccrochant aux branches par des expédients. En résumé, toujours plus d’impression et d’argent gratuit - la planche à billets - pour faire tenir un système à bout de souffle qu’aucun n’a intérêt à voir s’effondrer. C'est la mort de l’argent liquide qui se profile à l’horizon, comme en Australie où la grande banque ANZ a annoncé l’arrêt des retraits et des dépôts dans un certain nombre de ses succursales, cette mesure ravivant les craintes d’une tendance à l’élimination de l’argent liquide qui pourrait bientôt être remplacé par les monnaies numériques des banques centrales (CBDC). D'autant que se profile la mort du dollar, annonciateur de ruées et de fermetures de banques, de pénuries alimentaires, d'émeutes, de chômage élevé et d'hyperinflation.
* La Silicon Valley Bank (SVB) était, sur le papier, la 16e banque américaine, avec quelque 209 milliards de dollars d'actifs et 175,4 milliards de dollars de dépôts déclarés, et plus de 8 500 employés dans les succursales du monde entier.
Du bank run systémique
Bank run : traduit en bon français, ce terme signifie "panique bancaire", celle de l'affolement des clients - ménages comme entreprises - qui soudainement retirent leur argent de leurs comptes. La faillite de la SVB en mars 2023 l'illustre tout particulièrement. Il ne s'agit en fait que de la partie visible de l'iceberg, celui qui menace de couler le Titanic financier mondial après l'avoir percuté. Les chaloupes sont mises à l'eau, pendant que sur les ponts inférieurs on laisse croire que tout va bien se passer, l'orchestre continuant à jouer pour préserver l'illusion.
Ce que nous venons d'heurter, c'est l'iceberg des taux. Et pourtant c'était parfaitement prévisible. Car toutes les crises économiques, TOUTES, sont décidées par
les banques centrales quand elles décident de monter les taux. Seule différence, c'est que cette fois c'est plus grave que d'habitude. La raison est que nous venons de passer plus de 10 ans avec
des taux à 0 ou négatifs. L'argent n'avait plus de prix. Bouger ou placer ses liquidités ne rapportait rien. Des milliers de milliards dormaient sur les comptes de dépôt, procurant autant de
ressources aux banques que nécessaires pour faire un nombre jamais atteint de crédits à taux très, très bas. Et brutalement, en moins d'un an, nous sommes passés de taux négatifs en Europe à
-0.50% à des taux positifs de +3.5%. Jamais hausse de taux n'a été aussi violente et rapide.
Cette hausse ne peut que déstabiliser toute l'économie. Et cela a déjà commencé. Les faillites bancaires ne sont juste que les premiers craquements, les tous premiers. Ce sont les signaux d'alerte, qui traduisent les centaines de milliards d'euros et de dollars qui sont retirés des banques. Ces retraits sont massifs, d'ampleur historique, du jamais vu en montant ! Ils sont opérés par les très riches, les initiés, qui font des virements leur permettant d'acheter des actifs. Ils se débancarisent en urgence. C'est un BankRun silencieux, systémique, que personne ne voit venir...
Bank run asiatique
Le marché boursier japonais a subi le 5 août 2024 les pires pertes de son histoire, son indice de référence Nikkei 225 ayant perdu en une séance 4 568,02 points, soit environ 12,7 %. Il s’est agi de la plus forte baisse en une journée dans l’histoire de l’indice, dépassant le précédent record établi le 20 octobre 1987, lorsqu’il avait chuté de 3 836 points. Il s'est caractérisé par un carnage sur les marchés financiers dans la région Asie-Pacifique, avec la force d’un tsunami, l’indice de référence taïwanais le Taiex ayant chuté de plus de 8 % et l’indice KOSPI de la Corée du Sud de plus de 9 %.
Les éléments déclencheurs de la chute sont le rapport publié décevant sur l’emploi aux États-Unis, qui a ravivé les craintes d’une récession aux États-Unis. Il en a découlé pour le marché technologique, celui de l’IA (Intelligence Artificielle), autrefois très dynamique, une tournure au vinaigre, car excessivement endetté et surestimé. Ce bain de sang pour les valeurs technologiques s’explique en grande partie par la rupture de l’énorme carry trade dollar-yen, qui permettait aux investisseurs d’emprunter à bon compte en yens et d’investir dans des actifs américains à rendement plus élevé. Cette opération est en d'autres termes assimilée à un vaste arbitrage sur les taux d’intérêt, consistant à emprunter à des taux bas et prêter (investir) à des taux plus élevés. Mais lorsque la Banque du Japon a relevé ses taux le 31 juillet et, plus important encore, qu’elle a annoncé d’autres hausses à venir, ces positions de carry trade ont connu une capitulation massive. Ce phénomène s’est répercuté sur les marchés et a entraîné de nombreux appels de marge. Pour beaucoup de commentateurs, c'est le dénouement du commerce de l’IA.
"N'amassez pas des trésors sur la terre, où la rouille et les vers rongent et où les voleurs sapent les murs et dérobent. Mais amassez-vous des trésors au ciel, où ni les mites ni la rouille ne rongent et où les voleurs ne sapent pas les murs, ni ne dérobent."
Matthieu, VI, 19-20.
De la bulle luciférienne
À l’insu de la plupart des gens, les dirigeants institutionnels ont conclu un pacte avec le "Diable" : remplacer la création d’une "richesse" par une bulle d’actifs représentant des trillions de dollars accordés à quelques-uns destinés à se répercuter comme par magie sur le plus grand nombre pour une prospérité généralisée. C'est aussi insensé que la promesse d’immortalité sur la planète Terre ! En d'autres termes, ces dirigeants ont préféré sacrifié la sécurité et la stabilité futures des nations en refusant de traiter les vrais problèmes révélés par l’effondrement des escroqueries financières en 2008-2009... Ce n'est plus ou moins que l’équivalent de sacrifier des innocents sur l’autel des dieux pour assurer aux dirigeants leur fortune personnelle. Si Lucifer était bien sûr ravi de servir l’illusion de pouvoirs divins à ces dirigeants corrompus et avides, il réclame désormais son dû, signifiant que la destruction commence vraiment destination la ruine !
Rappel sur ce qu'est la monnaie
La monnaie est un intermédiaire destiné à faciliter les échanges… Si l’on devait faire une analogie entre l’économie et le corps humain, la monnaie en serait son sang. Les deux conditions suivantes sont nécessaires à sa bonne santé :
. que la masse monétaire soit disponible en quantité suffisante;
. que celle-ci circule, car une thésaurisation outrancière de la monnaie aurait pour effet de gripper l’économie.
Or, aujourd’hui, notre économie est malade, car l'argent s’est fait rare ! Seuls 3% des flux monétaires sont consacrés en effet à l’économie réelle, les 97% restants représentant des transactions financières, autrement dit de la spéculation… L’argent ne sert donc plus qu’à faire de l’argent, ayant été détourné de son objectif initial dans la mesure où le 15 août 1971 le président états-unien Richard Nixon a mis fin à la convertibilité en or de la dernière devise qui lui était rattachée, le dollar. La monnaie n’est depuis qu’une représentation de la valeur marchande d’un bien ou d’un service.
Quant à la création monétaire, la monnaie fiduciaire que les États par l’intermédiaire de leurs banques centrales créent ne représente que 10 à 15% de la masse monétaire en circulation, les 85% restants, appelés monnaie scripturale, n’étant que des écritures comptables sur notre compte bancaire créées par les banques ! Ce sont donc aujourd’hui les banques privées qui créent la monnaie lorsqu’une entreprise, un particulier ou n’importe quel autre acteur économique, s’adresse à sa banque pour obtenir un prêt. Il en résulte que la création monétaire est le fruit d’une dette, l'argent ainsi créé alimentant la masse monétaire en circulation. Parallèlement, le remboursement de la dette donne lieu à la destruction de cet argent précédemment créé. Autrement dit, si tout le monde remboursait sa dette, il n’existerait plus que la monnaie fiduciaire en circulation, c'est-à-dire quasiment rien. Selon notre système en vigueur, c’est bel et bien la dette qui est le moteur de notre économie !
Autre constat, la banque lorsqu’elle accorde un prêt demande une rémunération : ce sont les intérêts. Or pour ce faire, elle crée seulement l’argent nécessaire au prêt, pas celui qui permet de payer les intérêts. Qui plus est, si le taux d’intérêt est de 0% comme actuellement pratiqué, et que la banque centrale qui a prêté l’argent continue à reconduire la dette pour que le débiteur n’ait jamais à la rembourser, que se passe-il ? Cela équivaut à donner purement et simplement de l’argent aux débiteurs, tout en affirmant le contraire ! Le crédit gratuit est un don tombé du ciel, un don masqué par une illusion d’échéance, puisqu’en pratique il n’est jamais remboursé.
En conclusion, il est mathématiquement impossible pour tous les emprunteurs de rembourser leur dette, puisque la masse monétaire en circulation n’est pas suffisante pour couvrir le montant du prêt plus celui des intérêts. Le système donne donc l’illusion qu’il fonctionne tant qu’il existe une demande d’endettement suffisante et que les banques sont disposées à l’honorer. Lorsque, pour une raison ou pour une autre, ce processus s’arrête, le système tombe en faillite ! Nous sommes à la fin du grand cycle du crédit, et le grand cycle s’est toujours mal terminé pour les créanciers et pour tous ceux qui avaient fait confiance et échangé leurs ressources réelles, leur travail, leur fortune, contre du papier.
Toutes les banques européennes sont plus ou moins dans le même état catastrophique, la plus emblématique était jusqu'à début 2023 la Deutsche Bank*, le "géant des dérivés mondiaux" aux 7,4 milliards d'euros d'actifs et de colossales pertes (5,7 milliards en 2019), compte-tenu de leur nature toxique (la société de conseil McKinsey, dans son enquête annuelle sur les banques de 2019, indique à cet effet que 60% des banques dans le monde mangent/détruisent leur capital, et cela avant même un soupçon de crise du crédit). En moyenne, chaque banque européenne a des fonds propres d'environ 50 milliards d'euros, un total bilan de 1 500 milliards d'euros, et des positions sur les marchés à terme de 35 000 milliards d'euros, de quoi largement creuser la tombe de nos économies à tous. Si l'on s'en tient stricto sensu au ratio prudentiel classique, une banque devrait avoir des fonds propres représentant 10% de ses actifs – ce qui, pour 1 500 milliards d'euros, donne 150 milliards d'euros -. Or ils ne sont que de 50 milliards d'euros parce que, dans leur grande sagesse, les autorités prudentielles estiment qu'un pays ne peut pas faire faillite et donc qu'il est inutile de mettre des fonds propres en face des obligations d'un pays. Même en cas de faillite comme la Grèce. Les résultats des banques européennes étant presque exclusivement dépendants de leurs activités de marchés, leur valeur boursière est inférieure à leur valeur comptable, ce qui a entraîné leur dépréciation*² et l'effondrement de leur cours de bourse (Cf. tableau plus en avant). S'appauvrissant, leur fonds de commerce disparaît petit à petit, leur "business model" se détruisant du fait de taux d'intérêt et de marges sur taux d'intérêt trop bas. Elles compensent en spéculant en bourse, mais cela ne suffit pas. Et comme les banques, ce sont les épargnants - c'est nous ! -, les scélérats ont décidé que si une banque fait faillite, ce sont ses déposants qui doivent payer, et ce par prélèvement sur les dépôts que nous y avons. Et c'est ainsi que le modèle bancaire est le modèle économique "parfait", puisque les pertes sont mutualisées (payées par le contribuable ou par le déposant), et les gains sont privatisés (salaires et primes exorbitants pour les salariés des salles de marchés et pour les postes de direction). Les dividendes sont confortables. Face tu perds, pile je gagne !
* Le risque maximum est estimé pour la Deutsche Bank à 1 515 milliards d’euros, malgré ses produits dérivés qui s’élèvent à… 45 000 milliards d’euros en gros,
qui ne sont qu'un montant dit "notionnel". Aussi ce risque est à la portée de la BCE, la Banque centrale européenne, dont le bilan est déjà de 4 000 milliards d’euros, celle-ci étant amenée à
sauver toutes les banques qui vacilleront pour éviter l’effondrement (cela ne veut pas dire que des clients ne perdraient pas d’argent).
*² C'est ainsi que le Crédit Agricole a déprécié à maintes reprises sa filiale Le LCL (anciennement Crédit Lyonnais) rachetée en 2003 au plus haut de la valorisation des banques (19 milliards d’euros), d'abord en 2016 de 491 millions d’euros, puis de 600 millions d’euros fin 2019. En 2018, il avait dû renforcer ses fonds propres de 1,5 milliard d’euros suite à une demande de la BCE.
Le Crédit Suisse, ou comment l'empire bancaire mondialiste et corrompu est en train de s’effondrer
Contrairement à la Silicon Valley Bank et à la Signature Bank, organismes bancaires américains qui s'étaient spécialisés dans les crytomonnaies, le prêteur suisse est classé comme étant d’importance systémique par le Conseil de stabilité financière des États-Unis, ce qui signifie qu’il est trop grand pour faire faillite et que son effondrement pourrait déclencher une crise financière. La banque a en effet des actifs sous gestion s’élevant à près de 1 300 milliards de francs suisses (sans oublier ses produits dérivés et ses engagements hors-bilan), soit l’équivalent d’environ 1 400 milliards de dollars américains. Cela représente près de 10 % de l’économie de la zone euro, qui pèse 14 500 milliards d’euros. Son principal actionnaire est la Saudi National Bank, qui est pilote de la restructuration complexe de l'établissement helvète depuis trois ans visant à rétablir sa rentabilité et lui évitant de s’enfoncer dans le sable.
Pour les décideurs politiques en Europe et aux États-Unis, ce qui est en jeu est le risque avec sa chute d'un effet domino bien plus important dans sa capacité à endommager le système financier que la Silicon Valley Bank et la Signature Bank réunies. C'est pourquoi a été organisé un plan de sauvetage en mars 2023, le premier depuis 2008, par l'octroi d'une bouée de sauvetage de 54 milliards de dollars. A en croire l'économiste états-unien Robert Kiyosaki*, le même qui avait prédit la faillite du géant bancaire Lehman Brothers en 2008, Crédit Suisse sera pourtant le prochain à faire faillite dans le cadre de la crise financière en cours, tout particulièrement celle du marché obligataire M. Kiyosaki a expliqué lundi que le marché obligataire. C'est pour lui le "plus gros problème" de l'économie, et il va mettre les États-Unis en "grande difficulté"...
* Co-auteur du best-seller "Rich Dad Poor Dad".
Voracité bancaire
Les scandales et dérives du monde de la finance - la Reine noire - jalonnent l'histoire économique de la civilisation humaine gouvernée par la force prédatrice de 4ème dimension de conscience*. C'est ainsi que la banque d'investissement Goldman Sachs, surnommée la banque qui dirige le monde (image 3), est aux prises depuis fin 2018 avec les autorités institutionnelles dans un nouveau scandale, nommé le "Scandale 1MDB" pour Malaysia Development Berhad. Il s'agit du nom du fonds souverain malaisien, dont le détournement de plusieurs milliards de dollars a entraîné la chute du gouvernement malais et de la coalition qui dirigeait la Malaisie. Il pourrait coûter des millions de dollars à l’ancien PDG de Goldman Sachs, Lloyd Craig Blankfein (22.3 millions de dollars de salaire en 2016 - photo 1), et à d’autres hauts dirigeants de la banque américaine, puisque le conseil d’administration de la très célèbre banque d’affaires américaine a décidé de geler le paiement des primes encore dues à Blankfein dans l’attente des résultats de l'enquête.
Si l'’affaire est d’une grande "simplicité", ses mécanismes se révèlent toujours plus complexes, portant en l'occurrence sur des émissions obligataires de 6,5 milliards de dollars que l’établissement américain a contribué à organiser entre 2012 et 2013. Comme d'habitude, la stratégie de défense de la nouvelle équipe (David Michael Solomon - photo 2 - a remplacé M. Blankfein à la tête de la firme en mars 2018) met les malversations sur le compte de quelques individus et de responsables étrangers dans leur appât immodéré du gain et de l’argent, refusant de considérer que c'est la raison d'être première du système prédateur et de ses serviteurs. Et d'ici quelques mois, après avoir payé quelques milliards d’euros de pénalités et mis en prison un ou deux lampistes troufions idiots utiles, cette banque expliquera la main sur le cœur d'airain et à partir d'un énième code de bonne conduite, n'illusionnant que les tartufes qui y croient, qu’il ne faut surtout pas réguler le secteur bancaire, et continuer à laisser les banques faire elles-mêmes...
De leur côté, les établissements Nomura et Crédit Suisse ont déclaré en mars 2021 qu’ils risquaient de subir des pertes potentiellement importantes, tout comme d'autres grandes banques de la planète, compte-tenu de leur exposition à Archegos Capital Management, héritier de Tiger Asia Management, un hedge fund créé par le Chinois Bill Hwang, créateur de la première société d'exploitation et de technologie robotique intelligente basée sur le cloud au monde, et transformé en "family office" (société familiale) après avoir été condamné par la SEC*² en 2012. Très opaque, il gérait environ 10 milliards de dollars pour la famille de son fondateur avant des déboires l'ayant conduit à devoir vendre dans la précipitation entre 20 et 30 milliards d’actifs pour déboucler ses positions… Si les pertes ne sont pas encore connues avec précision, la liquidation forcée de ces plus de 20 milliards de dollars de positions a ébranlé les actions chinoises et les valeurs tech, de Baidu à ViacomCBS, des géants des marchés. On a beau dire au client que ses investissements sont "garantis", que c’est "régulé" et "contrôlé", la réalité est que même pour les produits les plus sûrs vendus par les institutions bancaires, des fonds toxiques peuvent entraîner par leurs difficultés le blocage de contrats entiers.
Quant à Greensill Capital, le dernier scandale en date qui agite le secteur financier en 2021, cette société anglaise créée en 2011 encore valorisée voici quelques mois à près de 7 Mds de dollars a déposé le bilan auprès d’un tribunal britannique en mars, valant désormais zéro. Elle pratiquait une sorte d’affacturage pour des multinationales comme Vodafone et Coca-Cola (elle a fait 150 Mds$ de règlements en 2019), avec dans son capital le Japonais SoftBank (à hauteur de 1,5 Md$ en 2019) et l’arrivée de l’ex-Premier ministre David Cameron comme conseiller la même année.
Un gros gérant d’actifs français, lui, s’est retrouvé en potentielle faillite début 2020. S’il n’avait pas été sauvé in extremis par les principales banques de la place sur ordre de l’Etat et des autorités financières, c’était une faillite systémique.
Tout cela prouve que rien n’a changé depuis la crise financière de 2008 et que les banques, et surtout depuis le scandale "Enron" en 2001, alors 7ème capitalisation boursière des Etats-Unis avec 100 Mds$, qui fit faillite, entraînant dans son sillage la disparition de son auditeur, le cabinet Andersen. Il s’agissait à l’époque de la plus grande faillite de l’histoire américaine. Son activité consistant initialement et principalement en la production, le transport et la distribution de gaz l'avait conduite en profitant de la déréglementation des secteurs de l’énergie et des télécommunications à devenir courtier en énergie, proposant des produits financiers dérivés complexes à ses clients. Il s’est avéré qu’Enron avait basculé d’un business réel à un business totalement fictif, bénéficiant tout de même de la confiance des marchés et des analystes financiers (Goldman Sachs la qualifiait de "best of the best" et elle avait été classée six fois par le magazine Fortune comme l’entreprise la plus innovante des Etats-Unis).
Enron, Greensill, Bernard Madoff, Jordan Belfort*, Patrick Drahi… soit des personnages escrocs et des sociétés perverties adulés, montrés en exemple avant que de chuter brutalement, qui ont fait la couverture des magazines et la dythirambe de leurs dévôts hallucinés, et considérés comme des marqueurs de fin de cycle !
* Cf. Évolution de civilisation (3) Mythes de la modernité, risques et lois d'évolution universelle.
*² La U.S. Securities and Exchange Commission, communément appelée Securities and Exchange Commission (abrégée en "SEC"), est l'organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers.
* Jordan Ross Belfort est un ancien courtier américain, reconverti désormais en tant que conférencier et motivateur, qui
fonda à 26 ans un associé une entreprise de courtage baptisée Stratton Oakmont. Il passa 22 mois en prison pour détournement de fonds, introductions en bourse illégales et blanchiment d'argent à
la fin des années 1990. Son histoire est mise en scène dans le film "Le Loup de Wall Street" du cinéaste Martin Scorcese sorti en 2013.
La chute d'un Mozart de la finance à la française
Patrick Drahi est un entrepreneur et homme d'affaires milliardaire multi nationalités (marocaine, française, israélienne, portugaise), résidant en Suisse comme il se doit. Il est un magnat, un géant du secteur des secteurs des télécommunications, des médias et des ventes aux enchères de luxe comme propriétaire du groupe Altice et de SFR. Se retrouvant au pied du mur, il cherche en 2024 désespérément à remanier la dette gargantuesque de son empire Altice France, propriétaire de SFR, estimée à 24,3 milliards d’euros, et demande pour ce faire à alléger la dette de l’opérateur télécoms en demandant à ses prêteurs de renoncer à une partie de leurs créances (Altice estime nécessaire de réduire la dette à environ 16 milliards d’euros, soit une diminution de 8 milliards par rapport au niveau actuel).
L’Empire de Drahi, bâti uniquement sur de la dette, est en train de s’effondrer sous vos yeux. Son groupe n’a jamais gagné d’argent, mais il a toujours été financé. Ceci entend que Drahi a pu faire des crédits, encore et encore, toujours plus. Une forme de fuite en avant et de cavalerie à l’ancienne, les dettes passées étant globalement payées avec les dettes nouvelles.
Des réserves obligatoires
Si la règle de bonne gestion des banques qui prévalait jusqu'alors qu’il faut avoir 10 en
caisse pour pouvoir prêter 100, et ce pour avoir depuis la crise des subprimes de 2007 des banques plus fortes et plus solides avec de plus en plus de réserves, il n'y a désormais plus en 2020, suite à la sévère crise sanitaire liée à la Covid 19,
de réserves obligatoires pour les banques américaines. L’abandon de cette règle est de permettre aux banques de préter plus. Ceci entend que inévitablement cela se terminera par des fraudes, de
la cavaleries, des erreurs dans la prise de risque, et qu'au final des banques chuteront, car autorisées à faire n’importe quoi ou presque. Car prêter aujourd’hui est de la folie pour un banquier
digne de ce nom, personne ne sachant comment va réagir l’économie, combien de temps devront durer les mesures barrières qui laminent la productivité et la
rentabilité. La réalité est que très peu d'acteurs veulent investir aujourd’hui, les seuls prêts demandés l'étant pour des besoins de trésorerie des entreprises en difficultés. Qui plus est, un
banquier ne finance jamais le besoin de trésorerie, encore moins d’une entreprise en difficultés, pas plus que les découverts des entreprises si ce n'est de manière marginale. Il finance des
actifs !
Que faut-il en déduire ? Lorsque les banques n’ont plus de réserves, lors d’une crise économique sans précédent à la durée indéterminée, et que cette crise est mondialement partagée, il n’y a pas beaucoup de raison d’être optimiste quant au sort de ces banques. Certaines feront faillite. Quid alors des dépôts des épargnants...
Magouille endémique
Le Parquet National Financier (PNF) a mené fin mars 2023 une perquisition de 5 banques en France, dont trois établissements majeurs (BNP, Natixis et Société Générale), accompagné de 6 procureurs allemands du parquet de Cologne dans le cadre de la coopération judiciaire européenne. Il s’agit d’une vaste enquête impliquant d’autres pays en Europe et portant sur des faits de fraude fiscale aggravée relatifs aux versements de dividendes aux actionnaires. Le schéma de fraude est nommé "CumCum", consistant pour un actionnaire étranger d’une société cotée en France à transférer temporairement, autour de la date de versement du dividende, les titres qu’il détient à un établissement bancaire français, afin d’éviter le paiement de la retenue à la source appliquée sur le paiement de ce dividende.
L'affaire estimée à 140 milliards d’euros (dont une trentaine de milliards pour la France) remonte à 2018, impliquant le chancelier allemand Olaf Scholz, même si aucune poursuite n'a été retenue à son encontre en l'état. Et comme le disait Franklin Roosevelt*, "en politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi"...
* Franklin Delano Roosevelt (1882/1945), homme d'État américain et 32ᵉ président des États-Unis de 1933 à sa mort en 1945.
Compte-tenu de l'état des lieux bancaires pointant leur faiblesse structurelle, qui plus est avec les conséquences de l’épidémie de coronavirus qui rognent leur profitabilité, le président du conseil de surveillance de la Banque centrale européenne (BCE), Andrea Enria, a estimé fin juin 2000 que des fusions entre banques pourraient être utiles. Alors même que (presque) tous s'accordent à dire que les banques trop grosses et systémiques ne sont pas opportunes, on va faire des banques encore plus grosses pour avoir encore plus de banques systémiques...
Du mensonge managérial
A l'heure actuelle, les managers, hauts comme middle, passent leur temps à mentir aux gens pour les maintenir la tête dans le guidon. Par exemple, dans les banques, on va fermer des milliers d’agences qui ne servent plus à rien, entre le développement des paiements sans contact, la fermeture des guichets, la disparition progressive des chèques, l'envoi du chéquier comme de la CB par la poste, l’accélération de la digitalisation de l’économie en général et de la banque en particulier. La densité des réseaux d’agences actuel ne se justifie plus du tout, n’ayant plus aucun sens ni organisationnel, ni utilitaire, ni économique. Quant aux jeunes conseillers bancaires en costume foncé, noir de préférence, et aux chaussures pointues qui savent péniblement aligner deux mots lucides et ne connaissent en réalité strictement rien, ni à l’économie, ni à la banque, ils n'ont aucun pouvoir, ne pouvant rien valider. Les banques vont donc considérablement réduire leur réseau, sans le dire à leurs collaborateurs. Cela se fera progressivement et insidieusement (fermeture des agences quelques jours par semaine, ouverture d'une agence sur deux alternativement avant que de garder la plus grande, fermeture de toutes les petites agences). Dans 18 mois, un sur deux collaborateurs sera viré selon les méthodes "classiques" prisées : plan dit de "sauvegarde" de l’emploi, départs volontaires, turn-over naturel, pression psychologique jusqu’à la démission via les mutations forcées sur le peu d’agences restant ouvertes mais éloignées). Il en est de même pour les salariés et sous-traitants de l'aéronautique (Airbus et consorts), ou du secteur automobile qui voit par exemple PSA installer son centre d’étude en Inde pour la conception de sa prochaine gamme. L'affaire de l'usine japonaise Bridgestone de Béthune qui a mis presque neuf cent salariés (et leur famille) au tapis n'est qu'un début, l'Europe via sa Commission ayant ouvert le marché aux pneus chinois. Il n’y aucun espoir, sauf sur des créneaux de plus en plus étroits. C’est la fin d’un "modèle" social, celui de métiers offrant encore du sens à des individus illusionnés.
Voracité fiscale
L’enfer est toujours pavé de bonnes intentions dans la matrice des illusions. C'est ainsi qu'au nom de la protection de l'environnement, le développement des
technologies des voitures électriques est en pleine explosion. Mais le passage à l’électricité ne se fait pas sans heurts dans l’industrie automobile. Ce type de motorisation ne concerne en effet
que 2% des ventes aujourd’hui et, au regard du tarif des modèles qui arrivent sur le marché, il paraît plus qu'improbable que le décollage ait lieu. Il faut en effet compter, hors bonus
(6 000 euros de prime fiscale), au bas mot 25 à 35 000 euros pour une petite voiture, et pour une familiale ou un SUV à
la mode, au moins 50 000 euros.
Les rejets de CO2 sont certes nuls (à l’usage, pas à la fabrication) ainsi qu’une bonne partie des autres polluants, même si les pneus et freins qui demeurent dégagent des particules. Mais cette transition à marche forcée a aussi un coût, tel que déterminé par un rapport parlementaire. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la note est salée ! Pour les infrastructures, il en coûtera entre 30 et plus de 100 milliards d’euros en fonction du système développé. Quant à la perte de la TIPP (taxe sur le produits pétroliers), elle laissera un sacré manque à gagner. Il convient d'ajouter à cela la filière des batteries, pour laquelle il est déjà prévu quelques 700 millions d’euros afin de réduire notre dépendance à l’Asie sur ce secteur. Comment l’État va-t-il compenser ces infrastructures et cette perte fiscale, si ce n'est par des énièmes taxes : taxes sur les batteries, taxes sur l’électricité,… Si l'’environnement est une urgence, tout est à repenser pour qu'il ne devienne l'enfer vert ! Y-a-t-il une intelligence artificielle pour sauver le monde de la bêtise humaine ?
Faiseurs de "rois"
Au bal des vampires psychopathes les milliardaires libertariens tirent les ficelles des marionnettes appelées à gouverner leurs intérêts et nourrir le système prédateur de sa substance, celle qui voit la conscience humaine opprimée de multiples façons (privations ou excès).
C'est ainsi qu'aux États-Unis les frères Charles et David (décédé en 2019) de Ganalh Koch (photos 1 et 2), qui détiennent une des premières fortunes de la planète
(estimée à 50 milliards de dollars) à travers leur empire non coté en bourse – 100 milliards de dollars de chiffre d’affaires et 60 000 salariés dans soixante pays – réalisé dans la
chimie, le bitume, et toute une série d’industries politiquement incorrectes comme les plastiques ou les engrais. Ils ont été pendant longtemps comme d'autres des faiseurs de "rois" mis au service de leurs idées politiques, en l'occurrence ceux du Parti
républicain. Plus puissants que le lobby des armes, la National Rifle Association, ils ont financé l’émergence des Tea Parties, mouvements anti-État et anti-impôts (Donald Trump s'y
était agrégé un temps). Ne nous y trompons pas, nous retrouvons les mêmes pour le camp opposé, celui des prétendus gentils et vertueux "Démocrates" (Clinton, Obama, Biden et Cie)...
De son côté, le financier milliardaire* américain d'origine hongroise George Soros, né György Schwartz, est devenu célèbre d'abord pour ses activités de spéculation sur les devises et les actions, qui ont marqué l'histoire des bourses de valeurs, puis par ses activités de "philanthropie". Il est à l'origine des hedge funds (fonds spéculatifs) apparus dans les années 1970, qui se distinguent dès la bulle financière japonaise. En 1992, alors que l'Angleterre s'enfonce dans une crise économique, il
vend le 16 septembre 1992 (dit "mercredi noir") à découvert 10 milliards de livres, pariant donc à la baisse sur cette monnaie, provoquant par cette opération une pression telle sur la livre que la Banque d'Angleterre sort sa devise du Système Monétaire Européen. La plus-value qu'il en aurait tiré serait d'environ 1,1 milliard de dollars. Il est alors surnommé "l'homme qui fit sauter la Banque d'Angleterre" ! Ses détracteurs critiquent également le rôle joué à travers son fonds d'investissement Quantum Fund, domicilié à Curaçao (Antilles néerlandaises), un paradis fiscal régulièrement dénoncé par le Groupe d'action financière sur le blanchiment de capitaux (GAFI) qui regroupe plusieurs gouvernements, comme étant l'un des plus importants centres de blanchiment d'argent issu du narcotrafic. Pour autant, aucune accusation de blanchiment n'a jamais été formulée contre lui... Il a investi 12 millions de dollars pour s'opposer à la réélection de George Bush, ce qui peut étonner, sachant que c'est lui qui a sauvé George Bush fils de la faillite en 1990, et qu'il fait partie des très nombreux investisseurs du Groupe Carlyle de George Bush père (ce groupe gère le portefeuille de la famille Bush, étant le 11e fournisseur du Pentagone). Il est aussi celui qui a choisi et financé le procureur de Manhattan, Alvin Bragg, qui, plutôt que d'arrêter la vague de criminalité sans précédent qui s'abat sur la ville de New York, ignorant les meurtres, les cambriolages et les agressions sur lesquels il devrait se concentrer, fait le sale boulot du président sénile Joe Biden en inculpant en 2023 l'ancien président Donald Trump (c'est une première dans l'histoire institutionnelle des Etats-Unis) pour une énième tartufferie après le prétendu Russiagate, le canular Mueller, les canulars (2) de sa destitution, le raid illégal et inconstitutionnel de Mar-a-Lago...
Autre faiseur de rois ou reines, l'homme politique américain membre du parti démocrate Willie Brown (photo 4), avec comme corde à son arc l'ex prétendante à l'investiture présidentielle de 2025 Kamala Harris avec laquelle il entretenut une liaison de 1994 à 1996 (elle était de 30 ans sa cadette). Il en fut de même avec Nancy Pelosi, l'ex-patronne du groupe démocrate au Congrès, et Gavin Newsom, l’actuel gouverneur de Californie en 2024, la liaison chranelle en moins...
* Il est actuellement président de Soros Fund Management, basé à New York, qui gère des dizaines de milliards de dollars pour lui, sa famille et ses fondations. Il a fondé l'Open Society Institute, devenu en 2010 Open Society Foundations, dont il est le président.
L'emprise tentaculaire BlackRock et Vanguard
Deux des trois grands gestionnaires d’actifs mondiaux, BlackRock et The Vanguard Group qui gèrent plus de 15 billions de dollars d’actifs*, figurent parmi les trois principaux actionnaires des fabricants de vaccins COVID Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson, ce qui signifie que les deux géants de l’investissement ont significativement bénéficié de la flambée des bénéfices de ces sociétés et la hausse du cours des actions de ces sociétés qui en a résulté. De même, la plupart des grands employeurs*² ayant choisi d’imposer aux États-Unis des vaccins COVID à leurs employés ont quelque chose en commun, puisque BlackRock et The Vanguard Group en détiennent une participation.
BlackRock et d’autres entreprises sont également engagées dans une frénésie d’achats immobiliers, achetant des quartiers entiers de maisons unifamiliales et les convertissant en locations, faisant grimper les prix des maisons en réduisant l’offre sur le marché. Sa stratégie immobilière fait écho aux mots du Forum économique mondial : "Vous ne posséderez rien et vous serez heureux" !
BlackRock et Vanguard sont également parties prenantes dans des entreprises technologiques impliquées dans le développement de passeports numériques pour les vaccins ou "portefeuilles numériques" et de technologies permettant de suivre et d’allouer des "quotas de carbone personnels". Parmi elles, Apple, Mastercard, Oracle, Thales Group et Spotify.
Enfin, depuis 2014, 3 entreprises agroalimentaires américaines mastodontes, Monsanto (groupe Bayer), Dupont (DuPont de Nemours) et Cargill, ont acheté plus de 17,5 millions d’hectares de terres agricoles en Ukraine, soit 3 fois la superficie agricole de l’Italie, ces 3 entreprises étant détenues par les 3 giga-fonds que sont Vanguard, Black Rock et State Street qui détiennent aussi 95% des 7 grandes entreprises médias mondiales, 90% des entreprises pharmaceutiques et des labos biologiques et de recherche en génétique. Au même titre que la célèbre famille bancaire juive kazhar qui est profondément impliquée dans les affaires de l’Ukraine depuis le coup d’État de 2014 en ayant joué un rôle déterminant dans la restructuration de sa dette de plus de 20 milliards de dollars en juillet 2024 (bien que l’Ukraine ait adopté des collaborateurs néo-nazis comme héros nationaux..), Black Rock comme un autre fonds - Amundi - ont pour projet de s’emparer des actifs souverains gelés de la Russie et de tirer profit de cet État d’Europe de l’Est par le biais de divers projets, dont la future "restauration de l’Ukraine".
Cette influence toujours croissante a conduit certains analystes à décrire les deux entreprises comme des "faiseurs de rois", arguant que leur part de vote croissante dans un nombre croissant d’entreprises leur donnerait "un droit de veto de facto sur toutes les décisions importantes des entreprises d’ici 2040".
A noter qu'un cadre de BlackRock, Serge Varlay, a été filmé en juin2023 par O'Keefe Media Group (OMG) dans une vidéo d'infiltration en train d'admettre que la société d'investissement mondialiste "contrôle le monde" et travaille activement à la "dépopulation de la planète" dans le cadre de son programme. Il a notamment expliqué comment la société se mettait les politiciens dans la poche, en déclarant : "Les sénateurs… ne sont pas chers - si vous avez 10 000 dollars, vous pouvez acheter un sénateur". À un moment donné, il a admis que BlackRock profitait de la guerre en Ukraine : "L'Ukraine est bonne pour les affaires, vous le savez, n'est-ce pas ? La Russie fait exploser les silos à grains de l'Ukraine et le prix du blé va grimper en flèche. L'économie ukrainienne est le marché du blé. Le prix du pain augmente, ce qui est fantastique si vous faites du commerce. La volatilité crée des opportunités de profit…" Et que dire de son rôle plausible dans l'affaire Trump en juillet 2024 (tentative d'assassinanat pendant un meeting), ayant donné lieu à des mouvements financiers assez suspects comme si certaines entités avaient connaissance en avance de ce qui allait se produire. Une société appelée Austin Private Wealth LLC a en effet vendu à découvert 12 000 000 d'actions de la société de médias de Trump via une option de vente, cette vente à découvert permettant de parier sur la baisse d’une société. La date de dépôt est le 12 juillet, pile la veille de la tentative d'assassinat. Cette société possédait environ 1 milliard de dollars d’actifs sous gestion, et le placement Trump s'avérait de loin le plus important. Cette compagnie est principalement liée à Blackrock...
* BlackRock est le plus grand gestionnaire d’actifs au monde : cette société multinationale américaine, dont le siège social est situé à New York, a été fondée en 1988; elle pèse plus de 9,5 billions de dollars d’actifs en juillet 2021. Son challenger Vanguard détenait plus de 7 billions de dollars d’actifs en janvier 2021. Ces deux sociétés sont consanguines, Vanguard étant le plus grand actionnaire de BlackRock (7,61%), tandis que BlackRock est le plus grand actionnaire de Vanguard (13,06%). State Street Company est "loin" derrière, avec 4,14 billions USD d'actifs gérés.
*² Dont Google, Apple, Microsoft, IBM, Coca-Cola, PepsiCo, American Express, Fox News, CBS, CNN, Disney, Netflix, Twitter, Facebook désormais Meta, AstraZeneca, Moderna, Pfizer, Novartis, AT&T, Ford Motor Company, United Airlines, Gap, Nike, Goldman Sachs, Morgan Stanley, PriceWaterhouseCoopers, McDonald’s...
Tous ces portails organiques et humains-âmes psychopathes contribuent à la pathocratie, soit un système de gouvernement créé par des individus "pathologiques" dans le but de prendre le contrôle sur une société de gens normaux, cette société étant établie par le système socio-économique qui émane de la structure sociale créée par le système du pouvoir politique, celui-ci étant un produit de la vision du monde élitiste propre aux déviants pathologiques. La structure pathocratique s’applique non seulement aux gouvernements, mais aussi aux autres groupes et organisations, partout où le pouvoir s’accumule. Les organisations religieuses et les mouvements de libération à caractère humaniste ou humanitaire peuvent de ce fait entrer en ponérisation, et ce qui à l’origine était peut-être un outil de libération devient au final un outil d’asservissement.
En fait, cette armée de pointe de Portails Organiques, autrement dit de clones, a pour seule fonction de faire en sorte que la recherche du bonheur demeure stérile, qu'elle soit dirigée vers une voie de garage permettant d'assurer la production continue de pollutions psycho-émotionnelles qui émanent de la frustration permanente des milliards d'être humains, destinées à nourrir le système prédateur de 4ème dimension de densité*.
Ramenée à la biologie, la pathocratie ressemble à un processus de maladie macrosociale, créé par des agents pathogènes humains. C'est pourquoi elle peut en venir à affecter une nation entière à un degré équivalent à un cancer qui diffuse ses métastases. La maladie macrosociale de la pathocratie suit exactement le même modèle que le cancer, qui évolue dans un organisme en suivant un processus pathodynamique caractéristique, jusqu'à la mort du sujet... Seule différence notoire, très peu d'individus en ont conscience, pour prendre les mesures radicales de traitement leur permettant de se débarrasser à temps des agents pathogènes qui les menacent. Et pourtant, comme le rappelle la sage locution latine Ignota nulla curatio morbi, aucun traitement de la maladie est inconnu !
* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Les acteurs de la Matrice falsifiée.
Fonctionnement des psychopathes de l’État profond
Le Deep State ou État profond est capable de réaliser sa dictature cachée par le biais d'institutions et agences dédiées : la finance par le contrôle de l’émission de "monnaie" au moyen du crédit qui permet le contrôle de l’ensemble de l’économie mondiale; les agences de renseignement (CIA, FBI, MI6...) par la surveillance exercée; les sociétés de médias, Hollywood, la production musicale de masse populaire, en particulier les groupes pop comme "The Beatles" ou "les Rolling Stones", les artistes solo comme Madonna, Beyonce... et des cultes musicaux comme le Rock and Roll, le Rap, le Metal etc. pour le divertissement, tous associés aux agences de publicité pour la mise en œuvre de programmes culturels qui distraient et surtout aveuglent l’esprit de l’humanité. Il n'est qu'à voir les effets de l'electronic dance music (EDM) diffusée à satiété de manière assourdissante sur les déjantés tatoués et shootés aux psychotropes et autres substances hallucinogènes lors des rave parties, où, les yeux hagards et les pieds dans la mélasse ou la poussière, ils se tortillent pendant plusieurs jours jusqu'à épuisement...
Toutes ces institutions s'appuient dans l'ère contemporaine sur l'apport du Tavistock Institute of Human Relations, un centre de recherche sur la guerre psychologique créé en 1913, dont l’une des missions était dès
l'origine de développer des moyens d’influencer les idéologies des populations de masse, et qui est devenu le point central d'impulsion des opérations de lavage de cerveau et de psychiatrie sociale destinées à manipuler la perception populaire afin de façonner la société.* Ses méthodes consistent en diverses techniques de
contrôle de l’esprit combinant stratégie de modification du comportement, perception extrasensorielle, hypnotisme, connaissances ésotériques, rituels sataniques dont le sacrifice d'enfants,
théologie manichéenne.
Il s'agit en fait de la plus grande opération de contrôle mental de masse de l’histoire mondiale, orchestrée par le Comité des 300 et ses organisations de façade telles que le Royal Institute for International Affairs – Chatham House, le Club de Rome, l’OTAN, l’ONU, le CFR, Bilderberg et toutes ses organisations affiliées, les groupes de réflexion, les instituts de recherche contrôlés par l'université de Stanford en Californie, l’establishment militaire et la noblesse dite noire car descendante des Guelfes noirs vénitiens, qui comprend l'ex reine du Royaume-Uni (Elizabeth II) remplacée à son décès par son fils le roi Charles 3, la reine des Pays-Bas Beatrix remplacée désormais par le roi Willem Alexander, la reine du Danemark Margrethe II et toutes les autres familles royales d’Europe. Ces familles de sang déplacent des milliers de milliards de dollars par jour sur les marchés boursiers mondiaux et déterminent si les marchés montent ou descendent, s’envolent ou s’effondrent. Les krachs boursiers ne se produisent pas par hasard, ils sont faits pour se produire.
Ils sont dirigés par des psychopathes d’élite, constituant un groupe relativement restreint organisé selon les idéologies sectaires car secrètes de la franc-maçonnerie, et qui disposent d’une influence et de ressources illimitées. Ces êtres n’ont aucune empathie, possèdent une logique infondée, sont abreuvés de mensonges, leur agenda étant destiné à conduire les peuples directement dans le marécage de la lignée Archon constitutive de la matrice de contrôle des Anunnaki, autrement dit des Illuminati*². Soutenus par une élite bancaire dirigée par la dynastie Rothschild, ils poursuivent sans relâche leur plan ultime d’abolir toutes les religions à l’exception de leur propre religion satanique, de renverser tous les gouvernements civils pour centraliser et mondialiser tout ce qui est sous leur contrôle. Il s’agit de ce qui se nomme le nouvel ordre mondial.
* Cf. Contrôle mental.
*² Cf. La nouvelle religion universelle.
L’argent, moteur de la violence institutionnelle
Pourquoi une société civile pacifique, nommée par la bien pensance démocratie, tient en laisse ses chiens fous et ses bellicistes psychopathes ? Parce qu'elle contrôle l’argent, le nerf de la guerre pour la défense de ses intérêts. Il en découle fort logiquement, en l'état de la conscience humaine dans sa dimension terrestre d'appartenance, limitée, que les armes comme la guerre ne sont pas près de disparaître.
Les archives archéologiques montrent ainsi que les hommes s’entretuent depuis ce qui est appelé la préhistoire, les différentes tribus, peuplades puis nations
s'étant presque continuellement attaquées les unes aux autres. Les ossements retrouvés témoignent de meurtres de masse et d’anciens génocides qui ont anéanti des groupes entiers de personnes.
Ceci entend que "Le bon sauvage" du philosophe des Lumières Jean-Jacques Rousseau était un tueur, l’homme moderne, contemporain, l’étant tout autant !
A l’époque classique de la Grèce antique, Alexandre le Grand n’a pas seulement vaincu Thèbes… avec son "bataillon sacré" d’amants homosexuels. Lors de la bataille de Chéronée, en 338 av. J.-C., il les a anéantis et a détruit la ville entière… et presque tous ses habitants. Le général romain Scipion l'Africain ou l'Ancien ne s’est pas contenté de son côté de vaincre Carthage à la guerre : il a tenu à tuer tous les Carthaginois sur lesquels il pouvait mettre la main, à raser la ville et à saler les terres fertiles qui l’entouraient afin qu’elles ne puissent plus jamais abriter un puissant rival.
Si tuer n’est pas une bonne chose, en tout cas depuis les X commandements du Décalogue de la sainte Bible - verset Exode 20:13 Tu ne tueras point -,
c’est pour autant une chose que les humains pratiquent régulièrement… et avec enthousiasme. Il n'est quà entendre quelques-uns de leurs leaders au plus haut niveau
:
Gengis Khan, empereur féroce du peuple khazar et précurseur des sionistes ashkénazes actuels : "L’ultime plaisir c’est de vaincre nos ennemis et les pourchasser en premier, de s’approprier de leur richesse, et de s’attaquer à ceux qui l’en sont cher pour enfin les punir."*
John McCain, homme politique américain : "Bombarder, bombarder, bombarder… bombarder, bombarder l’Iran."
Donald Trump, qui a déclaré en se référant aux Iraniens : "Faites-les voler en éclats."
Matthew Brodsky, conseiller en matière de "paix" à la Maison-Blanche, qui a tweeté "Israël devrait bombarder la région irlandaise au Sud-Liban puis larguer du napalm dessus."
Richard Nixon, ancien président américain : "Bombardez-les Nord-Vietnamiens jusqu’à ce qu’ils retournent à l’âge de pierre."
Inévitablement, les combattants ayant soif de guerre se libèrent de toute contrainte de temps en temps, en dépit des
institutions internationales (ONU, CPI et CIJ) créées après la Seconde Guerre mondiale pour empêcher en apparence les gouvernements de commettre des actes de
violence. Les guerres sont tout au contraire en expansion, plus destructrices que jamais, voyant des milliers d’innocents être massacrés, comme en Irak, Lybie, Syrie, Ukraine, Proche-Orient... La
raison est le rôle de la (fausse) monnaie dans ses justification et promotion, permettant d’acheter plus d’influence, plus d’armes, plus de relais soutiens politiques et médiatiques. Et dans ce
sombre tableau, les Etats-Unis constituent un hégémon*² mondial qui utilise son armée pour affirmer son contrôle et son ordre partout dans le monde. Son besoin vampirique de primauté et de
domination les rend coupables sans contestation, les désignant comme champion toutes catégories de cette folie guerrière, et par-là même meurtrière. Il repose sur une arnaque : l’industrie de la
puissance de feu reçoit de l’argent du gouvernement fédéral… et l’utilise pour contrôler la politique fédérale, afin d’obtenir encore plus d’argent. Et d'autres nations succombent elles aussi à
la tentation, inscrite dans les gènes de ses élites assoifées de pouvoir, d'avoir et de paraître. Le prix du sang, oubliant bien imprudemment la sage parole christique "Rentre ton épée, car tous
ceux qui prennent l’épée périront par l’épée" (Mt 26, 52). Ici bas il va sans dire, leur refuge ultime ne pouvant qu'être l'Hadès et sa terrible car infernale expiation...
* Les Nations unies ont officiellement accusé Israël d’avoir commis un génocide massif contre les civils palestiniens
vivant à Gaza (2,3 millions d’habitants) en réplique à l'action terroriste du Hamas palestinien du 7 octobre 2023, en ayant utilisé la famine comme arme de guerre compte-tenu de l’accès restreint à la nourriture, à l’eau, aux soins médicaux et aux abris. Les politiques et pratiques d’Israël
au cours de la période couverte par son rapport étayé sont conformes aux caractéristiques du génocide.
*² Un hégémon est un chef militaire dans la Grèce antique, représentant de l'Hégémonie.
"Tous les hommes seraient des tyrans… s’ils pouvaient l’être."
Abigail Adams née Smith (1744/1818 ), Première dame des États-Unis en tant qu'épouse de John Adams, deuxième président des États-Unis.
Il résulte de cette psychopathie financière que les décideurs politiques ont perdu le contrôle des dépenses en ce début du XXIe siècle, la dette ayant de ce fait augmenté beaucoup plus rapidement que le PIB et l’inflation ayant rendu beaucoup plus difficile pour les banques centrales de continuer à "imprimer" de l’argent, de la fausse monnaie car non adossée sur la véritable création de richesses. Il en découle fort logiquement que si les autorités institutionnelles ont besoin de taux bas pour financer et refinancer leurs déficits galopants, les investisseurs hésitent à prêter davantage d’argent à un emprunteur qui est manifestement en train de faire faillite, qui plus est dans un marché économique où il existe également des monnaies de papier inutiles (le bitcoin pour être précis) qui peuvent être échangés. Ceci a amené le Fonds Monétaire International à signaler que ces gouvernements inconséquents sont en train de créer une "bombe à retardement budgétaire" se chiffrant à des milliards de dollars du fait de fonder leur politique fiscale sur de grandes quantités de monnaie "imprimée". En clair, s’ils continuent à imprimer de plus en plus de monnaie, les gens ne voudront bientôt plus de dollars ou d'euros, étant conduits pour se mettre à l'abri à chercher des alternatives comme le bitcoin ou l'or par exemple.
Il peut ainsi en résulter une "révolte des masses", qui plus est en raison de l'indispensable recherche d'équilibre budgétaire par des gouvernements ne pouvant plus emprunter à des taux raisonnables, avec sa cohorte de mesures fiscales contraignantes pour les contribuables, quels qu'ils soient (ménages et entreprises).
Si comme à l'accoutumée les riches pourront facilement s’affranchir des actifs dépendants de la fausse monnaie (dollar ou euro) pour investir dans des fonds d’actions adossés aux matières premières, à l'or voire à l’immobilier, ce ne sera pas le cas du petit peuple, la grande masse. La révolte, forcément sanglante, ne pourra qu'être leur réponse !
Lors du processus d'individuation et de construction cognitive démarrant à l'enfance, des altérations psycho-émotionnelles s'établissent chez tous les êtres humains en raison d'un déséquilibre plus ou moins prononcé des images incarnant la représentation du féminin et du masculin, polarités caractéristiques de l'identité biologique, indépendamment du genre sexué de ceux qui l'expriment (le père ou la mère). C'est ce que Carl Gustav Jung a traduit dans son concept anima/animus. Ils permettent la construction de nos indispensables repères quant à l'apport de ces figures dans notre relation à la Vie. Si cet équilibre n'est pas assuré, il est constitutif de la prégnance d'une image pour l'enfant (mère castratrice, père autoritaire...) qui constitue une trace mnésique (gravure cervicale). La future personnalité est ainsi en partie déterminée entre un Monde imaginaire où tout est permis (la jouissance du don maternel qu'est le sein) et la castration émanant du père qui y met fin. Les dérives psychiques trouvent leurs principales causes dans cette problématique.
Cf. Fonctionnement du corps biologique.
Elles se traduisent au premier stade par des névroses dites ordinaires, de nature émotionnelle, dissimulées et enfouies dans l'inconscient, limitant notre authenticité profonde à exprimer amour, paix et joie, caractéristiques de notre êtreté profonde. Elles constituent ainsi une altération de nos "vertus", qui se répercute sur nos comportements par des états d'âme, comme si c'était un autre que notre moi qui prenait le relais. Les sept névroses identifiées sont l'envie (impatience, jalousie...), la "gourmandise" (plaisir des sens, accumulation...), la paresse (facilité, lenteur, indolence, négligence), la colère, l'avarice, l'orgueil et la luxure (excès, vice...), toutes constitutives de leur cynisme dans l'exécution de leurs paroles comme de leurs actes. Rappelons que le cynisme est une attitude caractérisée par une méfiance générale à l’égard des motivations des autres qu'il perçoit comme vaines, inaccessibles ou dénuées de sens, le cynique étant guidé par la satisfaction de ses seuls ambition, désir, avidité, besoin de gratification, et de la jouissance de son matérialisme aigu car sans possibilité de transcendance.
Cependant, si la profondeur de la blessure initiale dans la relation au père et/ou la mère est profonde, les névroses laissent alors place à la perversion, soit une psychose (inflammation soutenue de la névrose). C'est le complexe d’Œdipe défini par le psychiatre Sigmund Freud lorsque l'enfant veut prendre la place du père, ou celle de la mère dans le mythe d'Électre utilisé par Jung, qui se traduit alors par le mélange de l'orgueil et du narcissisme.
Ce trouble relève de la psychopathie, étant de nature mentale, intellectuelle, tout en s'appuyant sur un terrain génétique qui y prédispose selon l'observation scientifique observée. Par le moi identitaire qui a été blessé au moment de sa construction, lors de l'enfance ou de l'adolescence, à travers les cinq blessures possibles de l'âme (trahison, abandon, rejet, humiliation, injustice), il constitue la voie choisie par l'être humain, d'abord l'enfant puis l'adulte, pour échapper à la psychose, se traduisant soit par la rébellion ou la révolution contre l'autorité, soit par le "meurtre" symbolique du père et/ou de la mère par procuration. L'autre, les autres, deviennent alors par projection les victimes toutes désignées de ce désir enflammé.
Ce moi profondément blessé est ainsi source de division, de coupure radicale avec son moi authentique, profond, que l'on peut appeler l'Âme* même si la science cognitive et psychologique "moderne" n'en reconnaît pas la réalité. Sans nouveau "re Père" ou "re Mère", l'être humain reste sous l'emprise de ce moi "dévoyé". Le pervers narcissique l'illustre.
* Cf. Qu'est-ce que l'Homme ? & Le cheminement de l’Âme.
Traduction contemporaine du cynisme des psychopathes
Dans la vie publique, les "élites" en charge de la représentation citoyenne prétendent améliorer la bonne marche du monde. "Faites ceci", disent les unes, "faites cela", disent les autres. Leur cynisme explique ce qu’il se passe vraiment, à savoir que ce qu’ils proposent ne marchera pas dans de larges proportions… Résultat, ceux qui le proposent ne sont que des imposteurs.
Si leur cynisme peut les protéger dans de nombreuses circonstances, leur phrase la plus dangereuse étant "Je travaille pour l'intérêt public et je suis là pour vous
aider", sa traduction dit que tout ce qui sera proposé sera une arnaque et par-là même un échec, à l'instar de leurs politiques environnementales liées au climatisme et ses mesures
délirantes, Paris étant un exemple caricatural.
Pour les cyniques, la plupart des sujets n’ont en fait pas beaucoup d’importance, seuls deux étant très importants à leurs yeux et poches : la guerre et l’argent. C’est pourquoi la Constitution des Etats les place dans une catégorie spéciale, en insistant pour que les représentants du peuple prennent les choses en main. Il n'est qu'à voir le résultat de nos jours, les nations de l'Occident décadent (Etats-Unis, Canada, Union européenne à l'exception de la Hongrie, de la Slovaquie et de la Croatie) étant engagées dans deux conflits majeurs - Ukraine et Proche-Orient -, en fournissant du matériel, des renseignements sinon des ressources humaines à des pays clés, pour un coût faramineux qui entraîne l'appauvrissement de leurs citoyens qui pourtant y sont opposés dans une large majorité. Il n'y a eu en fait aucune consultation des peuples par référendum sur ces engagements conséquents, aux répercussions contraires à la souveraineté nationale comme à celui des citoyens.
"Les guerres nous apporteront plus de sécurité", disent les autorités institutionnelles. Leur cynisme nous pousse à ne surtout pas les croire.
Compte-tenu de ses conséquences dans le fonctionnement sociétal, ce trouble de la personnalité considéré comme une déviance par rapport à la "norme" fait l'objet d'une attention toute spécifique en raison de son ampleur et de ses dégâts. Il est estimé qu'il toucherait en moyenne jusqu'à 6% de la population (fourchette basse) pour les psychopathes actifs, surtout des hommes, plutôt entre 20 et 30 ans. Le porteur de ce trouble est considéré comme un "dyssocial", éprouvant des difficultés à maintenir des relations avec les autres. On distingue également dans les psychopathies des personnalités "borderline".
Tel qu'identifiés par les experts, la personnalité psychopathe se caractérise par sept grands traits :
. Le caractéropathe paranoïde (Lénine par exemple), soit à cause de blessures ou de traumatismes, soit induit par des substances (médicaments et drogues) qui endommagent le système nerveux central, soit induit par des agents pathogènes - les maladies - (Franklin D. Roosevelt, Napoléon).
. L’'indifférence froide, le manque d'empathie, les individus n’étant pas sensibles à l’expression relationnelle par les sentiments (ainsi en politique Valéry Giscard d'Estaing, François Mitterrand, Laurent Fabius, François Fillon, Emmanuel Macron...).
. L'irresponsabilité, souvent revendiquée, avec un mépris des règles et des contraintes sociales par la pratique du mensonge compulsif et de la manipulation (le cortège est long derrière l'ex couple porte-étendard de la mairie de Levallois-Perret, tout comme l'actuel locataire élyséen...).
. La difficulté de maintenir une relation avec autrui tout en ayant des facilités à nouer des relations en jouant sur la séduction, tout particulièrement le brio intellectuel d'apparence (Emmanuel Macron par exemple). Simplement, elles ne durent pas.
. L'intolérance à la frustration, la personnalité psychopathe ne supportant de ne pas obtenir ce qu'elle veut. Son seuil d'agressivité étant très bas, elle va très vite s'énerver (les personnalités clivantes l'illustrent, tels en politique Nicolas Sarkozy, Henri Guaino, Jean-Luc Mélenchon, Olivier Véran, Rachida Dati, Éric Dupond-Moretti...).
. L'absence de culpabilité et de remords, aucune remise en question après un passage à l'acte ne prévalant. Même les sanctions ne remettent pas le psychopathe en question (tous les noms précédents s'y retrouvent).
. La tendance à blâmer autrui. La personnalité psychopathe va expliquer de manière très rationnelle ses difficultés avec la société, accusant les autres d'en être responsables, et ce de manière très convaincante (ainsi Olivier Véran).
Psychopathes politiciennes
Le féminin électrisé (polarité masculine agressive) se retrouve chez nombre de femmes engagées en politique, briguant les fonctions suprêmes ou le devant de la scène de par leur ego hypertrophié. Lorsque les langues se délient, il n'est qu'à constater les dérives comportementales sources de souffrances pour leur entourage, caractérisées par les qualificatifs employés : narcissique, prétentieuse, colérique, hystérique, méchante, humiliante, manipulatrice, menteuse patentée...
Toutes souffrent de ce que l’on appelle le syndrome de l’imposteur. Non parce qu'elles ne se pensent pas au niveau, bien au contraire, mais parce qu’elles sont
réellement des impostrices. Elles sont plus ou moins nulles dans l'exercice de leurs responsabilités, plus exactement prérogatives, et surtout méchantes tout en se pensant fortes, brillantes et
gentilles. Elles détestent le genre humain, soit en raison d'une blessure dans leur construction identitaire non guérie, soit parce ce qu'elles sont des PO - portail organique -, amputées de leur
âme.
Photos ci-contre de Valérie Pécresse, Elisabeth Borne (surnommée "Borne-out"), Amélie de Montchalin, Aurore Bergé, Rachida Dati, Michèle Alliot Marie, Elisabeth Guigou, Sandrine Rousseau, Sophia Chikirou, Raquel Garrido, Mathilde Panot, Anne Hidalgo, Prisca Thévenot, Hillary Clinton née Rodham (USA), Nancy Pelosi (USA), Victoria Nuland (USA), Jacinda Ardern (Nouvelle-Zélande), Ursula von der Leyen (Allemagne).
Mission de manipulation commune : le contrôle de l'opposition
Liste non exhaustive : Jean-Luc Mélenchon - Marine Le Pen - François Asselineau - Nicolas Dupont-Aignan - Jacques Cheminade - Eric Zemmour - François Ruffin -
Florian Philippot (photos 1 à 8)... sont les représentants politiques, ayant pour une grande partie comme signes caractéristiques d'être énarques, de passer dans les médias mainstream et d'être critiqués par ces derniers. Ce sont les manipulateurs des "idiots utiles", leurs militants et donateurs, qui croient
naïvement dans la bonne raison d'être de leur combat.
Didier Raoult ou Alexandra Henrion-Caude (photos 9 & 10) par exemple sont les représentants de la société civile scientifique, servant de faire-valoir comme "sauveurs" pour l'apparente contestation de la doxa "bourreau".
Gilles-William Golnadel, André Bercoff, Cyril Hanouna (photos 11 à 13) sont de leur côté les infiltrés libéraux apparentés à la droite conservatrice pour la
contrôler de l'intérieur, tous les trois étant adoubés par la famille Rothschild (en charge du Congrès juif mondial) comme sionistes assumés*. Ils sont la "cinquième colonne", actuellement du
pouvoir macroniste, façonné sur mesure par le tandem David de Rothschild/Jacques Attali (photo 14) pour avilir la France et la noyer dans le mondialisme à la sauce LGBTQ+...
En d'autres termes, tous ces contrôleurs et catalyseurs sont des escrocs, même à leur corps défendant, n'offrant aucune alternative véritablement crédible pour sortir du système vicié. Ils sont gouvernés tant par la peur de perdre leurs chères prébendes que par leur illusion naïve de sauveur patenté, avant que de devenir à leur tour bourreau une fois installé au pouvoir, convaincus d'agir pour le bien du troupeau des esclaves...
* Cf. Travail d'investigation circonstancié dans la revue Faits & Documents, lettre confidentielle mensuelle française éditée par la société Édition et Documentation Parisienne sous la responsabilité de Xavier Poussard.
Psychopathes de l'opposition contrôlée
Si dans nos pseudo démocraties la majorité est l’axe autour duquel tout tourne et s’oriente, ce qui la détermine est d’ordre politique et non juridique
(l'ordre judiciaire qui en contrôle la bonne application est asservi au pouvoir politique dominant), passant traditionnellement par un soutien parlementaire au gouvernement lors de l’engagement
de sa responsabilité ou du vote emblématique du budget. Il en découle une entente durable entre gouvernement et majorité comme gage de stabilité politique, l'autorisant alors à (presque) tout
faire puisque puisant sa légitimité dans les volontés de la majorité.
De son côté, l’opposition est la partie en opposition d’idées, de vues, avec la majorité. Elle a deux natures distinctes selon qu’elle est ou non intégrée au système institutionnel : une opposition systématique lorsque les membres opposants ne reconnaissent point le pouvoir établi et luttent contre lui pour le renverser et en changer radicalement la nature, ou une opposition constitutionnelle qui accepte la légitimité du pouvoir établi*, ne demande que la réforme des lois n’entraînant pas la modification du pacte fondamental, et donne le sentiment que le système est bel et bien démocratique. Et tout naturellement, ses leaders emblématiques, politiciens ou membres de la société civile comme scientifiques ou littéraires (philosophes, journalistes, avocats...), présentent les mêmes pathologies dans leur quête de l'avoir, du paraitre et du pouvoir (Cf. ci-contre)...
A retenir que la politique, et de ce fait la prise de position politique, ne consistent nullement à dire la vérité, simplement à gagner les élections ou occuper les places ou strapontins d'importance, le tout dissimulé derrière un discours trompeur concernant l'intérêt général !
Autrement dit, l'opposition n'est que l'autre face de la même pièce de fausse monnaie citoyenne...
* Et même si une opportune motion de censure peut être votée, elle répond à des jeux de pouvoir strictement individuels, non à l'intérêt du peuple pourtant souverain, seulement dans les textes s'entend...
Les psychopathes sanitaires
S'il y a incontestablement de bons médecins bien intentionnés, d'autres sont endoctrinés ou menacés, ne voulant pas de ce fait
s’écarter des règles et normes décrétées par leur Ordre d'appartenance, ou tout simplement sont sous la coupe de leur égo sombre dévoyé et/ou perverti par l'appétence pécuniaire sinon la
jouissance du mal dispensé sous couvert d'être perçus comme de bons samaritains (le syndrome bourreau sauveur).
Utilisant de manière totalement cynique et sans aucun état d'âme les mécanismes de la propagande la plus décomplexée contribuant à l’hypnose de masse, ils se sont imposés tout au long de la crise sanitaire Covid-19 dans la presse et sur les ondes des grands médias audiovisuels complaisants, ridiculisant puis interdisant toute contradiction à leur aveuglement borné. Les mêmes médecins, les mêmes intervenants qui portaient le discours catastrophiste du gouvernement macroniste idéologisé et de la "bonne" parole de la solution vaccinale à l'initiative de l'organisation privée mondialiste l'OMS*, étaient invités ad nauseam au micro de ces radio et sur les plateaux de ces chaînes TV.
Les Karine Lacombe, Martin Hirsch, Michel Cymès, Jérôme Marty, Alain Fischer, Bruno Megarbane, Gilbert Deray, Patrick Pelloux (photos ci-jointes) et consorts se sont succédé de façon ininterrompue pour expliquer au bon peuple que la vitamine D ne servait à rien, que l'hydroxychloroquine était une imposture, et que les produits de Pfizer, AstraZeneca et Moderna le sauveraient de l’hécatombe. Il en a été de même quant à leurs dénigrement et diabolisation de l'ivermectine, alors même que des études majeures ont prouvé que ce médicament miracle, lauréat du prix Nobel, guérit 28 formes de cancer. Mais il est vrai qu'elle représentait une menace pour l’énorme succès financier des vaccins à ARNm Covid-19. Sans oublier qu'ils n'ont rien trouvé à dire à ce que des milliers de patients hospitalisés pour le COVID-19 (millions à l'échelle internationale) ont été délibérément assassinés sur ordre du gouvernement en étant branchés par intubation à des ventilateurs, tout en étant privés de médicaments vitaux tels que l’ivermectine, l’hydroxychloroquine et la vitamine D, l’intubation devant être une solution de dernier recours.
Dans le même temps, les Didier Raoult, Christian Péronne, Jean-Dominique Michel, Alain Fouché... ont été impitoyablement blacklistés, harcelés, intimidés, cette folie médiatique conduisant de brillants chercheurs tel le Prix Nobel Luc Montagnier à être du jour au lendemain bafoués et raillés...
C'est pourquoi tous ces individus se sont disqualifiés en soutenant une politique de santé imposée qui était imprudente et pseudo-scientifique, menée par des
bureaucrates ineptes et incompétents, et ce qu'a établi de manière irréfutable le rapport de 557 pages sur la pandémie du Covid-19 émis début décembre 2024
par la Chambre des Représentants du Congrès américain, fruit de 22 mois de travail, de l’examen de plus d’un million de pages, de centaines de courriers, de dizaines d’entretiens et dépositions
et de 25 audiences et réunions publiques.
* Son financement est constitué de différents types de contributions (obligatoires et volontaires) émanant d’États-membres de l’organisation ainsi que d’autres partenaires (fondations, secteur privé, etc.), en premier lieu Gavi, l’Alliance du vaccin, dont le principal financeur est la fondation Bill et Melinda Gates. En 2022-2023, le budget de l’OMS s’élevait à 10,4 milliards de dollars.
Que peuvent-ils tous ces soi-disant bienpensants répondre aux commentaires du professeur émérite Masanori Fukushima, éminent oncologue japonais (enseignant à l’université de KyotoFukushima et créateur du premier service de cancérologie ambulatoire à l’université de Kyoto, il compte plus de 7 000 citations sur ResearchGate), qui a déclaré que les dommages causés par les vaccins Covid-19 étaient "sans précédent" dans l’histoire de la médecine, suggérant à Bill Gates de "retourner au collège" pour acquérir des connaissances de base en biologie médicale avant d’avoir l’arrogance de prendre des décisions aussi importantes pour l’humanité sans consultation publique ?
Ce conseil sous-entend que ceux qui sont à la tête des décisions en matière de santé mondiale n’ont pas les connaissances biologiques nécessaires pour comprendre l’ensemble des implications des vaccins, dont selon lui la prévalence de "turbo-cancers" qui étaient "auparavant invisibles pour les médecins", avant de commencer à apparaître après le lancement des vaccins. Ils expliquent la hausse de la surmortalité due au cancer en général, dans des proportions qui ne peuvent s’expliquer simplement par des traitements ou des dépistages manqués pendant les périodes de confinement liées au COVID-19, tout particulièrement dans des pays ayant mené comme Israël une campagne de vaccination précoce et généralisée.
Que peuvent-ils rétorquer au fait que les médecins japonais aient utilisé l’ivermectine avec succès pendant la pandémie, qu'en mai 2023 la grande chaîne de télévision NHK ait présenté des excuses pour avoir menti aux téléspectateurs en affirmant que des patients étaient décédés du Covid-19 là où en réalité ils avaient été tués par le vaccin contre le Covid-19, puis qu'en juin 2024 un ancien ministre ait présenté ses excuses publiques pour une mauvaise gestion du Covid-19 tant par les autorités japonaises que les autorités internationales, indiquant notamment "Lorsque nous sommes confrontés à des armes biologiques comme le coronavirus qui se diffusent, nous essayons de répondre avec une médecine japonaise. C’est ce que nous avons fait en utilisant l’ivermectine développée par le Dr Satoshi Omura. Nous avons proposé cette approche au Parlement. Mais elle a été refusée. Pourquoi ? Parce que le médicament n’était pas assez cher" ?
Que peuvent-ils dire à propos du ministère de la Santé japonais qui a révélé que, d’après des experts de la commission mandatée en son sein, 37 personnes en 2023 étaient décédées des suites du vaccin, sans oublier qu'en juillet 2024 des nanorobots (nanotubes de carbone, filaments, rubans, membranes, spirales) ont été trouvés dans les vaccins et expliquant les effets secondaires et les décès liés aux vaccins ARNm (ces nanorobots seraient notamment responsables des caillots sanguins chez les victimes)* ?
Quels commentaires peuvent-ils faire à la publication de l'Insee constatant la progression de +15% de mortalité en France avec un délai d’obsèques passés en
catimini de 6 jours à 14 jours, tout comme au constat britannique que la mortalité liée au Covid-19 parmi les personnes vaccinées pendant la pandémie était parfois nettement plus élevée que parmi
les personnes non vaccinées ?
Comment expliquent-ils que les sociétés de don du sang aux États-Unis demandent à leurs donneurs de préciser s’ils ont reçu le vaccin à ARNm Covid-19 dans le cadre de leur demande de don du sang ? (l’ARNm du vaccin étant présent dans le plasma, un simple test, consistant à laisser reposer un échantillon de sang pendant 4 heures, permet de se faire une première idée de la coagulation possible).
Que peuvent-ils rétorquer au professeur britannique Sir John Bell, figure emblématique du développement du vaccin contre le coronavirus (Covid-19) de l’Université
d’Oxford, qui a laissé échapper dans une interview en septembre 2024 sur le nouveau vaccin que celui-ci était capable
de stériliser entre 60 et 70 % des personnes qui le prendraient ?
Que pensent-ils du fait que le Royaume-Uni, qui en 2020 comptait moins de 2 millions de cas d’invalidité, ait vu en 2023 ce
nombre passer à 2,8 millions puis à 3,9 millions, cela représentant 5 % de la population britannique en âge de travailler. Selon le Times, toutes les autorités locales d’Angleterre et du Pays de
Galles, à l’exception d’une seule, ont enregistré une hausse des demandes de prestations depuis l’introduction du vaccin contre la pandémie, ce qui porte le nombre de bénéficiaires d’indemnités
de maladie à 3,9 millions de personnes, soit une augmentation stupéfiante de 38 % en quatre ans !
Et comment accueillent-ils les dires de l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, qui lors d’une présentation à une conférence en Autriche le 9 novembre 2024, a averti que les vaccins COVID avaient été conçus pour stériliser intentionnellement 99,9 % des hommes qui les recevaient, expliquant qu’il est formellement impossible d’inventer, de rechercher, de tester, d’évaluer, de fabriquer, d’obtenir une autorisation et de lancer un nouveau produit biologique complexe en moins d’un an, quelles que soient les sommes d’argent et les personnes impliquées, en raison d’une série d’étapes linéaires dans le processus qui ne peuvent être achevées dans un laps de temps aussi court que 12 mois ou moins ?
* Cf. Etude du médecin coréen Young Mi Lee et du chercheur de l’Université chrétienne d’Okinawa Daniel Broudy publiée dans une revue internationale sur la recherche vaccinale (International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research).
Si nous pouvons tous exprimer à minima l'un de ces symptômes, leurs intensité et fréquence vont caractériser la gravité du trouble. Ces symptômes ne sont jamais isolés, s'accompagnant d'une forte irritabilité et de passages à l'acte fréquents (actions violentes et impulsives). Ces passages à l'acte peuvent être dirigés contre soi-même (tentatives de suicide, automutilation…) ou contre les autres.
L'une des caractéristiques de la personnalité psychopathe est les changements émotionnels en rapport avec l’intolérance à la frustration et l’anxiété qui y est liée. Il en découle des explosions émotionnelles fréquentes, une personnalité très impulsive, des personnes "borderline"*.
En matière de relations amoureuses, les personnalités psychopathiques s'engagent dans des relations fortes et intenses, mais qui ne durent pas et explosent en vol.
A l’excès, la personnalité psychopathique va connaître des troubles psychiatriques brutaux, notamment des phases dépressionnaires arrivant soudainement, sans aucun signe avant-coureur. C’est pourquoi il est difficile de les différencier d'un trouble bipolaire.
Compte-tenu de tous ces éléments, un fort risque d'addiction existe chez ces personnes, l'alcool, l’usage de drogues et de médicaments pouvant être utilisés, souvent de manière aberrante.
* L’état "borderline" (état limite) se situe à la limite de la névrose et de la psychose. Cf. Fonctionnement du corps biologique.
L'explicatif scientifique de la psychopathie
Il existe un certain nombre de théories sur l’étiologie (étude des causes) de la psychopathie : par exemple la psychopathie en tant que stratégie adaptative ou
variante de la personnalité normale, ou encore dysfonctionnement du cerveau, trouble de l’attachement ou expression d’une pathologie dans la petite enfance, trouble d’apprentissage, etc. Si très
peu de preuves empiriques soutiennent l’idée que le vrai psychopathe est le
résultat d’une enfance maltraitée (une blessure du tissu cérébral peut néanmoins laisser des cicatrices qui changent ensuite la capacité de l’individu à percevoir et à ressentir), de nombreuses
preuves empiriques soutiennent une cause génétique*. En considérant à juste titre le terrain génétique associé à une condition psychologique terriblement handicapante comme explication, la
science considère, plus exactement spécule, que le/la psychopathe ne serait pas juste un "monstre" mal-adapté, mais une variante de l’être humain au contraire très ajusté à son environnement. La
balance avantages/inconvénients est à ses yeux inhérente à l'évolution de l'espèce humaine, basée sur la compétition et la survie. Autrement dit, pour que les avantages contrebalancent les
terribles risques sociétaux encourus, il faut à l'individu psychopathe rassembler un certain nombre de paramètres contextuels, comme celui de développer des talents de manipulateur pour que les
gens ne voient pas qu’ils sont exploités. Cela requiert une bonne intelligence qu'il est préférable d’avoir pour satisfaire un penchant pour la domination, afin de se hisser dans une position de
pouvoir qui permet de ne dépendre d’aucune amitié véritable. Ceci pourrait peut-être expliquer à ses yeux pourquoi les psychopathes sont bien plus souvent des hommes que des femmes, ce critère de
domination étant bien plus difficile à remplir pour une femme. Qui plus est, un troisième facteur est qu'il faut pour le psychopathe vivre au milieu de nombreux non-psychopathes pour ne pas
manquer de cibles potentielles, y conserver un relatif anonymat protégeant sa réputation, et se trouver dans une structure que des abus peu nombreux n’ont pas rendue complètement méfiante. C'est
la raison pour laquelle les psychopathes seraient "condamnés" à rester une infime minorité sous peine de perdre les avantages qui permettraient à leurs gènes d’envahir la population.
Il s'agit bel et bien de spéculations sur le type de sélection que notre société peut réaliser sur un matériel génétique très complexe, débouchant sur une diversité de caractères physiologiques ou comportementaux, les traits de la psychologie humaine répondant eux aussi à des impératifs de ce genre. Ainsi, par exemple, la sélection darwinienne aura tendance à favoriser les comportements népotiques, qui voient celui qui accorde des bénéfices à ses proches parents aux dépens des autres permettre à ses gènes de se diffuser dans la population. Ainsi la personne népotique aura peu d’empathie pour les individus qui ne lui sont pas apparentés, et contribuera à la diffusion de ce caractère, un caractère qui participe très probablement à façonner des individus psychopathes. Les lignées népotiques, autrement dit héréditaires*², peuvent donc plus facilement produire des psychopathes qui, eux, vont exploiter à leurs avantage propre tout le monde y compris leurs proches.
La psychopathie serait sans doute le résultat de plusieurs facteurs : être à un bout du spectre du manque d’empathie, au bout du spectre de la domination, et être
plutôt plus intelligent que la moyenne pour être capable de manipuler son entourage. Et ceci entendrait par effet miroir que les lacunes des psychopathes constituent les plus extraordinaires
points forts de notre espèce : sens de la justice, sens du mérite, sens de l’équité spectaculaire. Comme nous serions des "hypersensibles de l’injustice", il en découle l'impression de vivre au
milieu de gens méchants et égoïstes, permettant aux psychopathes un peu habiles de tirer leur épingle du jeu.
Leur conclusion très binaire est qu'il est bien possible que nous soyons une espèce de primates particulièrement gentils, attentifs aux autres, mais manipulés par
une minorité d’enfoirés près à tout pour dominer le monde. De là à voir des complots partout, il faudrait croire que les psychopathes puissent se faire assez confiance les uns aux autres pour
organiser une réelle oppression des gentils singes que nous sommes, ce qui semble peu probable. Quant aux décisions des personnages politiques et leur manière de gérer des crises, on se rend
compte que même si la moitié d’entre eux étaient des psychopathes, ils restent des singes beaucoup moins intelligents qu’ils se plaisent à l’imaginer. Si l'explication intellectuelle est louable
et habilement argumentée, elle valide surtout une gouvernance des "affaires" à nature entropique, et non évolutive, détournant au passage la question de la responsabilité quant à sa propre
contribution à ce système involutif, par-delà l'illusion que l'autre - en l'occurrence le psychopathe - est responsable, non soi-même...
* Les anomalies des psychopathes issues de scanners réalisés sur leur cerveau portent tant sur le langage affectif/émotionnel que le langage abstrait. Elles seraient le fruit d'une onde négative exceptionnellement grande balayant les zones frontales du cerveau, réflétant une profonde anomalie de traitement cognitif et affectif dans la distribution inter-hémisphérique des ressources de traitement, ainsi que des difficultés à apprécier le sens subtil et les nuances du langage (proverbes, métaphores, etc.) et une faible capacité de discrimination olfactive. Leur pensée est de ce fait caractérisée par un manque de cohésion et de cohérence dans le langage.
*² Les troubles héréditaires sont pour le psychiatre polonais Andrew Lobaczewski la schizoïdie ou psychopathie schizoïdique, la psychopathie essentielle, la psychopathie asthénique, la psychopathie anankastique, hystérique et skirtoïde.
Le masque de la psychopathie
Souriant ou peu avenant, l'un comme l'autre fascinent ou répulsent l'être humain non individué par leurs intelligence et charisme. Ils ne sont pourtant que les
prototypes des monarques tyrans qui gouvernent les collectifs humains - les robots biologiques -, propulsés par le système prédateur à la tête des pyramides expressions du pouvoir, de l'avoir et
du paraître, et à même d'accentuer les tensions psycho-émotionnelles entre pro et anti. C'est ainsi que les actions et réactions d’une personne "normale", ses idées et critères moraux, étonnent
le psychopathe, qui les voient comme anormaux. Cela explique pourquoi les
gouvernements pathologiques ont toujours considéré les dissidents comme étant "mentalement anormaux"*.
* George Bush et les néoconservateurs ont détruit l’Irak en appelant ça "instauration de la démocratie", cela ne leur ayant posé vraiment aucun problème. Les psychopathes israéliens peuvent usurper la Palestine, massacrer les Palestiniens, justifier ces actes par la Bible, et pour autant s’en trouver bien.
Photos de Emmanuel Macron, Président de la Ripoublique française, et de Carlos Ghosn, ex PDG de l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubihi.
Les maîtres de l’Identification Projective
Quand les preuves démontrant qu’un choix ou qu’un acte du psychopathe a créé un problème ou a empiré une situation
s’accumulent, cela doit être nié comme quelque chose faisant partie du soi et projeté comme quelque chose venant "de
l’extérieur". Cela signifie que tout ce qui est défini comme "mauvais" est projeté sur quelqu’un ou quelque chose
d’autre, parce que la structure interne du
psychopathe n’admet aucun tort, aucun mal, aucune erreur. Ils ne fonctionnent pas comme cela par choix, mais parce qu’ils ne
peuvent pas faire autrement. Ils sont faits ainsi. Ils sont comme le chat qui prend plaisir à torturer une souris avant
de la manger. Bien sûr, quand ils sont en train de mentir, ils le savent, mais dans leur for intérieur, ils croient que le véritable bien est ce qui leur
procure du plaisir et les fait se sentir en sécurité dans ce monde. Et ils savent que des êtres comme eux seront moralement condamnés et attaqués par la majorité des autres êtres humains s’ils ne
dissimulent pas sous un masque de justification solennelle leurs impulsions à satisfaire leurs désirs.
Nature psychopathique d'une pensée institutionnelle (1)
Le président de la République française Emmanuel Macron a à différentes reprises asséné des phrases chocs dans ses interventions : "Je traverse la rue, je vous trouve du travail" - "On met un pognon de dingue dans les minimas sociaux" - "Je ne céderai rien ni aux fainéants, ni aux cyniques" - "Certains, au lieu de foutre le bordel, feraient mieux d'aller regarder s'ils ne peuvent pas avoir des postes.. " - "Les gens qui ne sont rien" - "La meilleure façon de se payer un costard, c'est de travailler" - "Les femmes salariées de Gad, pour beaucoup illettrées" - "Le bus pourra bénéficier aux pauvres" - "Le kwassa-kwassa pêche peu, il amène du Comorien"... auquel peut se rajouter en extra le désormais culte "Les non-vaccinés j'ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout", suivi de "Nous mettons une pression sur les non-vaccinés en limitant pour eux, autant que possible, l'accès aux activités de la vie sociale" et "Un irresponsable n’est plus un citoyen", propos prononcés le 4 janvier 2022 dans une interview accordée au Parisien, marquant une rupture inacceptable car stigmatisante avec les principes fondamentaux de la République française.
Toutes ces paroles, d’une brutalité inédite pour un "petit père de la Nation", ont pu infliger de profondes blessures psychiques à de nombreux citoyens, porter atteinte à leur dignité, et ont créé une fracture sociale durable. Elles sont également susceptibles de constituer une violation flagrante des principes constitutionnels et des droits fondamentaux garantis par la loi.
En fait, ce florilège verbal, assorti de décisions pragmatiques à la hauteur (répression féroce des Gilets jaunes, mise en oeuvre de trois confinements liberticides, passe sanitaire puis vaccinal discriminatoire), traduit les valeurs des socialistes néolibéraux, autrement dit l'idée entière du capitalisme dévoyé, idée narcissique par excellence. Elle est celle d'un modèle affiché, le mythe du succès individuel, celui de "Viser la Première place", "Travailler suffisamment dur pour devenir riche et réussir", "Si vous échouez, c’est votre propre faute". Face à cette mythologie, cette idéologie, les psychopathes "mpns" (manipulateurs - pervers - narcissiques-sadiques) sont mieux équipés pour la réussite que les gens de conscience, parce qu’ils n’ont pas de sensibilité éthique ou morale qui mettrait un frein à leurs actions. Ils sont tout à fait disposés à écraser n’importe qui pour arriver au sommet : poignarder dans le dos, mentir, répandre des histoires sur leurs rivaux sont tout à fait acceptables, sans jamais perdre de temps avec des remords. A l'instar de Steve Jobs, le mythique patron de la société technologique leader mondial Apple*, ils sont atteints d'une "distorsion du champ de la réalité".
L’imposition du néolibéralisme socialiste au monde est un moyen de ponériser le globe. C’est une idéologie pathologique, cachée sous une pseudo-science économique dont se gargarisent les pathétiques économistes universitaires et médiatiques colonisant les tribunes et plateaux médiatiques.
* Sa capacité à obtenir des résultats chez Apple, en particulier dans le domaine du développement de produits, reposait sur le fait qu’il parvenait à faire croire aux personnes qui l’entouraient qu’elles pouvaient construire des choses qui n’avaient jamais été construites auparavant, et ce en l’espace de quelques jours, et non de quelques années.
Nature psychopathique d'une personnalité présidentielle (1)
Les qualités de l'actuel président de la République française sont incontestables : capacité à assimiler rapidement l'information et à la comprendre; capacité à y déceler des failles et à s'y engouffrer de manière opportune; capacité de charme et de séduction à même d'anesthésier et de vampiriser tous ceux qu'il approche.
Ses défauts sont tout autant prégnants : capacité à se moquer, à railler, à humilier et à abaisser par la condescendance et le manque d'humilité; incapacité viscérale à supporter l'ombre et à devoir rendre des comptes à autrui; fort sentiment de jalousie et d'envie à l'encontre de quiconque pouvant occulter son aura et faire preuve de brillance.
Tout ceci découle d'une personnalité égocentrée, individualiste, narcissique, déséquilibrée et instable, dans le déni, influençable, vénale et profiteuse, mégalomane, manipulatrice, menteuse, auto-destructrice, en fait profondément puérile et immature car demeurée au stade anal en raison d'une blessure d'enfance, plus exactement d'adolescence, causée par la duperie d'un adulte commise à son encontre et dont il est resté depuis sous l'influence. Ce portrait psycho-pathologique malsain, celui d'un pervers narcissique, enfant déséquilibré dans un corps d'adulte, est de ce fait explosif. Constitutif d'une bombe à retardement, il ne peut que se traduire par d'incommensurables dégâts, comme l'indique son lapsus (en psychiatrie et en psychanalyse un lapsus est toujours révélateur d'une conviction profonde) lors de son allocution d'août 2022 sur les perspectives d'entrée de la France en guerre ! Aussi devient-il urgent de neutraliser les fous dangereux qui nous gouvernent et nous entrainent vers une guerre contre la Russie. On ne donne pas une arme, le pouvoir suprême, à un gribouille de la politique, autrement dit à un sale gosse en totale déshérence affective, à un monstre totalement coupé de son Féminin sacré* !
Ainsi se comprend aisément cette déclaration faîte par un intervenant à la télévision camerounaise suite à la visite d'Emmanuel Macron en juillet 2022 : "Il n'a pas d’âme… C’est un objet animé par on ne sait pas quoi. Il peut être animé par des dieux comme Jupiter, par Vulcain, il peut être animé par des choses étranges à l’intérieur… Il a la forme humaine, il est un homme étrange !"
* Cf. ses références lors de l'affaire "Uber files" à ses parties génitales (testicules).
Nature psychopathique d'une pensée institutionnelle (2)
On dit souvent qu'on peut tromper une fois mille personnes, mais qu'on ne peut tromper mille fois la même personne. S'agissant du public des "normés", citoyens endormis de ce fait crédules qui suivent, élisent et font confiance au président français enfumeur par excellence, le résultat est qu'ils n'y voient que du feu, le psychopathe mpns (manipulateur pervers narcissique sadique) virtuose démontrant qu'on peut les tromper indéfiniment avec les mêmes méthodes.
Quelques points saillants montrent la redoutable prestidigitation macronienne aux conséquences dévastatrices :
. en 2012, rédaction du programme économique du candidat président d'alors François Hollande, qui lèvera 30 milliards d'impôts dès son arrivée;
. en 2016, publication d'un livre opportunément nommé "Révolution" qui fait croire que son élection à la Présidence de la République permettra de moderniser le pays en tournant la page d'un quinquennat qu'il a pourtant contribué à fabriquer;
. en 2017, celui qui a été élu avec l'image d'un Mozart de la finance par ses laudateurs carpettes transforme l'ISF en IFI, et baisse la taxation des dividendes de 8 points, faisant croire qu'il est favorable à une économie libérale aux antipodes de la politique de François Hollande ("mon ennemi c'est la finance") qu'il avait pourtant "écrite" cinq ans plus tôt;
. en 2018, confrontation avec le mouvement des Gilets Jaunes et mise en oeuvre d'une longue pratique des "grands débats" mis en scène qui servent essentiellement à endormir l'opinion et à bloquer toute modernisation réelle du pays, le tout en expliquant aux Français pourquoi ils doivent se passer des réformes qu'ils demandent;
. en 2019, annonce de la création d'une "retraite par points" universelle (monopole d'Etat par excellence, aux antipodes de la révolution promise), qui épargne, de l'aveu même du Conseil d'Etat, la fonction publique, projet qui jette une première fois la France dans la rue;
. en 2020, confinement massif des Français, qui permet notamment de manière opportune d'interrompre la grève contre les retraites, avant de renoncer à sa réforme et
nationaliser de fait l'économie. La France en sort avec au moins 400 milliards de dettes publiques nouvelles et un déficit public record;
. en 2021, imposition du passe sanitaire avec la complicité des gardiens étatiques (Conseil constitutionnel et Conseil d'Etat), qui crée de sérieux troubles sociaux
et constitue une importante violation des libertés publiques;
. en 2022, réélection avec moins de 19 millions de voix au second tour sur un corps électoral de près de 49 millions d'électeurs, et face à Marine Le Pen diabolisée
comme à l'accoutumée pour l'emporter au nom de l'habile Front Républicain brandi pour les gogos électeurs;
. en 2023, réforme des retraites qu'il avait juré ne jamais vouloir faire cinq ans plus tôt et mettant à nouveau la France
dans la rue;
. en 2024, surendettement avéré de la France avec un déficit budgétaire des comptes publics qui explose; perte des élections européennes avec à nouveau l'atout d'un
"front républicain" au second tour pour limiter la casse annoncée du parti présidentiel, suivie de la dissolution hors de propos de l'Assemblée nationale et sans véritable concertation; refus
suite à la démission du gouvernement de nommer un Premier Ministre de gauche en affirmant que la France Insoumise, à qui il doit vraiment beaucoup dans la neutralisation de la menace
Rassemblement national par la constitution du énième écran de fumée nommé Front républicain - le "barrage de castors" - ne fait pas partie finalement de l'arc républicain; censure du gouvernement Barnier, homme de droite et europhile chevronné finalement choisi, après des discussions budgétaires
délirantes; rebelotte pour nommer un nouveau premier ministre, avec l'accusation cynique de la création d'un front anti-républicain qui serait majoritaire à
l’Assemblée et rendrait ingouvernable la France, sous-entendant la menace d'un vote dans l’urgence d'une loi spéciale, l’article 16, lui octroyant les pleins
pouvoirs dont il est possible d’avoir une lecture bien plus vaste que celle juste réduite aux problèmes de sécurité, d’émeutes ou de guerre...
La France est bel et bien devenue sous le règne du Jupiter gouvernant ou du Mozart de la Finance, ses attributs jadis obséquieusement octroyés par le pitoyable
mainstream médiatique aux mains de ses actionnaires dévoyés, objectivement bloquée et ingouvernable, et de ce fait pouvant mettre le feu aux poudre d’une France devenue sous son règne à bout, et
entraîner la révolte dans la rue pour qu'elle soit à nouveau sévèrement réprimée par ses molosses de garde casqués, jurisprudence "Gilets jaunes" obligeant... L’ordre par le chaos, ou la
stratégie à la sauce franc-maçonne par excellence !
Beaucoup de facteurs (inculture, frilosité, préservation des intérêts acquis, naïveté pathologique...) peuvent expliquer que les normés soient aussi aveugles sur la dangerosité d'un président psychopathe, dont les mêmes ficelles grossières permettent par l'efficacité de sa machine propagandiste parfaitement huilée de les berner, de les fourvoyer, et ce sans réprobation collective. Un et non des moindres de ces facteurs est l'influence du cartel des médias publics comme privés abondamment subventionnés qui donnent corps aux mythologies macroniennes, façonnées les unes après les autres par les agences de communication dédiées et abreuvées à la mamelle du cabinet ou officine de conseil mondialiste Mc Kinsey. Rien de bien surprenant pour des individus biberonnés à la presse audiovisuelle et écrite comme principaux canaux d'information, les médias dits mainstream ou de l'establishment, et intoxiqués par la superficialité des réseaux sociaux contrôlés, de ce fait non indépendants de la doxa mondialiste à la sauce woke états-unienne, cette dernière étant cependant conduite à changer depuis la victoire aux présidentielles de novembre 2024 du républicain Donald Trump. Il en résulte que la folie macronienne peut encore durer un certain temps, vraisemblablement pour le pire, à moins d'une implosion systémique du pays.
Nature psychopathique d'une pensée institutionnelle (3)
Le président français Emmanuel Macron s'est personnellement impliqué en 2024 pour que la série à l’eau de rose Emily in Paris, une série télévisée américaine diffusée partout dans le monde depuis le 2 octobre 2020 sur le service de programmes audiovisuels Netflix, ne devienne pas pour la prochaine saison Emily in Rome, la capitale italienne semblant présenter de bien meilleurs atouts. La raison est que sa partenaire de vie présentée comme telle Brigitte y joue son propre rôle dans quelques scènes ménagées, pour ne pas dire négociées au plus haut niveau par les producteurs. Il affirmait à cet effet dans une interview accordée l’hebdomadaire imprimé sur papier glacé Variety, distribué aux États-Unis et à l'international et destiné aux professionnels de l'industrie du spectacle, qu’il est "très fier" de l’apparition de sa femme et qu’il pense la série comme "super positive en termes d’attractivité pour le pays".
Cette série déroule en fait tous les clichés sur l'archétype du Français et parigot qui avaient déjà cours dans Un Américain à Paris, la bande son iconique et le talent des acteurs en moins, dans une capitale en carton-pâte "disneyfiée", avec comme il se doit des personnages propres sur eux, débitant des dialogues bienpensants à souhait - culture woke oblige -, et dans des décors d’éternelle carte postale.
Si le parti pris consiste à distraire et à faire rêver, la réalité est que ce Paris et ses habitants délicieusement "franchouillards" ont bel et bien commencé à disparaître à la fin des années 1970, il y a 50 ans, l'état de crasse de nombre de ses trottoirs comme l'aspect bigarré aux forts relents exotiques de nombre de ses quartiers sinon arrondissements l'attestant, sans oublier que la capitale gauloise est devenue la capitale mondiale des embouteillages en raison de ses quelques 7 000 "travaux", dont nombre sont des chantiers bidons ayant pour seul but de restreindre ou de bloquer les voies de circulation. Se rajoutent désormais un périph’ limité à 50 à l'heure pour désespérer l'artisan et autre professionnel d'honorer en temps et en heure sa clientèle, et la montée ininterrompue de l’insécurité notamment dans les transports en commun…
Résultat, les réalisateurs de cette série guimauve doivent faire preuve d'imagination et de contorsions pour éviter de filmer
en live aux heures d’affluence ces Parisiens bougons et habillés à l'encontre de ce qui est encore revendiqué comme capitale de la mode, du bon goût
à la française, par les édiles et autres autorités institutionnelles totalement déconnectées du réel...
Nature psychopathique d'une personnalité présidentielle (2)
Il en est "de même" avec l'ex président états-unien Barack Obama, un pervers génocidaire qui a largué des bombes environ toutes les 8 minutes au cours de ses 8 années de mandat, ayant conduit à la mort d'un grand nombre de personnes tuées parmi lesquelles nombre de civils innocents, des femmes et des enfants, et ce sous des oripeaux séduisants (il fut lauréat du prix Nobel de la paix en 2009) illusionnant ses gogos adorateurs.
Son épouse Michelle est quant à elle hermaphrodite, c'est-à-dire dotée des deux organes sexuels.
Le masque commence désormais à craqueler, avec entre autres la révélation de son fantasme sexuel homosexuel dans une lettre de novembre 1982 à son ancien petit ami Alex McNear avec qui il avait eu une relation pendant ses études à l’Occidental College de Los Angeles. Alors âgé de 21 ans, il y abordait le sujet de l’homosexualité, avouant qu’il "aime faire l’amour avec des hommes tous les jours, mais en imagination" selon la partie précédemment expurgée de la lettre obtenue par le New York Post.
Si depuis des temps immémoriaux les psychopathes ont investi le sommet de la société, compte-tenu de la nature du système patriarcal pyramidal prévalant*, c'est en raison d'une accoutumance "bienveillante" à leur égard. Sans avoir conscientisé profondément la nature de sa relation au Vivant, soit ses véritables origines stellaires, l'être humain conditionné car manipulé considère en effet qu'il leur doit les structures sociales et les systèmes de croyance dans lesquels il se fond. On peut ainsi parler d’identification projective à l’échelle sociale.
Comme par ailleurs nous sommes confronté à un "prédateur intra-espèce humaine" qui nous ressemble, le psychopathe semble posséder tous les traits que désirent les personnes normales (confiance en soi, etc), d'autant plus qu'ils sont très souvent intellectuellement brillants. Aussi, en leurs "qualités" de machines très efficaces, ils atteignent des positions élevées, même si pour ce faire et se maintenir ils bafouent les droits des autres.
C'est pourquoi les sociétés sont corrompues. Par le fait même qu’elles contiennent un certain pourcentage d’individus extrêmement déviants, ce petit groupe très actif influence parfois des millions d’êtres humains. Et comme ces personnalités déviantes savent qu’elles sont "anormales" des autres, elles vont vouloir contrôler leur environnement pour réduire leur stress. Il en découle qu'elles propagent leurs pathogènes dans le corps social, sans tenir compte des dégâts qu’elles causent, à l'instar de virus. Cela est d'autant plus possible quand les sociétés sont affaiblies*², comme en cette fin de cyclicité civilisationnelle.
* Cf. Le modèle pyramidal décodé.
*² Cf. Le contrôle du robot biologique.
De l'évolution du concept de psychopathie
Depuis plusieurs décennies, le concept de psychopathie a été fortement rétréci, se référant désormais à un trouble de
la personnalité spécifique, diverses tentatives visant qui plus est à supprimer entièrement la classification pour
la remplacer par le "trouble de la personnalité
antisociale", qui peut comprendre une grande variété de comportements sans nécessairement exiger le diagnostic clinique de
psychopathie. Il est indispensable de comprendre que la psychopathie n’est pas synonyme de criminalité ou de
violence, tous les psychopathes ne s’engageant pas dans des comportements violents ou criminels. En même temps, les personnes violentes ou criminelles ne sont pas toutes des psychopathes.
C'est pourquoi de nombreux experts indiquent qu'un diagnostic de psychopathie ne peut se baser sur des symptômes comportementaux visibles à l’exclusion des symptômes interpersonnels et affectifs, dans la mesure où une telle procédure
transforme en psychopathes de nombreuses personnes qui sont simplement blessées par la vie ou la société, et permet
aux vrais psychopathes qui arborent un "masque de santé
mentale" bien construit d’échapper au dépistage. D’après une documentation établie de plus en plus conséquente, beaucoup
sinon la plupart des psychopathes grandissent dans des familles aisées et stables, et deviennent des criminels en col blanc qui, à cause de leur argent et de leur position, ne subissent jamais la révélation publique de leurs comportements destructeurs privés,
échappant constamment au
système judiciaire.
Dégénérescence sociétale
La pathocratie, la maladie du pouvoir, est le résultat d'un processus de ponérisation* de la société, autrement dit de
l'
Nous en retrouvons les symptômes dans la multiplication sans cesse croissante de fusillades par des policiers, tout particulièrement aux
États-Unis, traduisant l’influence des psychopathes dans la société et dans les positions de pouvoir auxquels ils obéissent et
répondent. Pour les psychopathes plus "ordinaires", le seul endroit où ils peuvent obtenir le pouvoir, c’est dans la police. C'est pourquoi ils remplissent les forces de police, parce
qu’ils ne sont pas assez brillants pour pouvoir être politiciens. Ayant des pistolets, ils commencent à tirer sur les gens. C’est simplement leur fonction. Et cela conduit à la guerre,
entre eux et les gens ordinaires. Et si les humains ne se chargent pas de régler leurs problèmes, le cosmos le fera !
* Ce concept est attribué au chercheur en sciences sociales polonais Andrej M. Łobaczewski
(1921/2008).
Cependant, et bien que cela puisse apparaître extravagant à l'esprit rationnel et de ce fait conformiste de l'être humain contemporain, il se pourrait bien que nombre de ces personnalités psychopathes relèvent en réalité d'une autre espèce, appelée anthropoïde. C'est ce que quelques scientifiques dégagés du corset académique tendent à porter au champ de conscience de l'humanité en ce début de nouveau siècle, à l'aube d'un nouveau cycle de conscience* qui fait émerger une toute autre vérité civilisationnelle*².
* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?
*² Cf. Vérité civilisationnelle.
Des humains naissent-ils mauvais ?
Voici une idée bien ancrée que de penser que si tant de gens dans notre société civilisationnelle font intentionnellement de mauvaises choses aux autres humains, à tous les êtres vivants et à l’environnement, c'est parce qu'ils sont nés avec le vice dans la peau, et qu'ils sont intrinsèquement mauvais. Cela expliquerait pourquoi de nombreuses entreprises créent des produits et substances nocifs sinon mortels, et empoisonnent l’air et l’eau ; pourquoi des forces institutionnelles puissantes subvertissent les populations, truquent des élections et trompent les consommateurs ; pourquoi les institutions religieuses vilipendent à leur manière les autres, ignorent l’inégalité et les violations des droits de l’homme dans leur propre périmètre d'influence, et encouragent des millions de personnes à mourir en leurs noms ; pourquoi les partis politiques créent des politiques impitoyables qui, au nom de l'économie libérale, ne respectent pas les faibles ; pourquoi ils et elles déclarent tous agir en notre nom, en disant amener la liberté...
La méconnaissance des forces prédatrices constitutives du fonctionnement de l'univers* participe de cette fausse croyance sur la nature humaine. S'il y a des
entités organiques indéniablement à caractère entropique dans le vécu terrestre - des portails organiques anthropoïdes et des humanoïdes ayant fait le choix consciemment de servir les "Ténèbres"
-, les énergies négatives de nature trans-dimensionnelle agissent de manière prédatrice sur l'être humain doté d'une âme insuffisamment éveillé et conscient, le manipulant de manière
psycho-émotionnelle et s'appuyant sur un terrain génétique "favorable" puisqu'elles en sont sinon l'origine en tout cas la cause d'adaptation par la manipulation de l'ADN. En dépit de la qualité
de l'éducatif reçu - bonnes manières caractérielles, comportementales et relationnelles -, celui-ci reste soumis par non conscience au jeu de la prédation qui, à travers ses mémoires enfouies
dans l'inconscient, le maintient dans la séparation avec l'unité, intérieure comme extérieure. Ainsi, par ses postures de jugement, d'accusation et de condamnation de ce qui ne correspond pas par
ses croyances à sa vision du monde, participe-t-il du fonctionnement dystopique de la civilisation.
Les énergies négatives qui prédominent dans le bas astral, lourdes par le dévoiement terrestre qui les alimentent (appelées égrégores), ralentissent sans cesse
l'indispensable éveil de conscience des êtres humains, qui faute de connaissances appropriées comme de travail conséquent en profondeur, sont maintenus sous la coupe des forces prédatrices qui
les vampirisent. Ainsi certaines personnes, des " humains-âmes ", font de mauvaises choses non parce qu’elles sont nées "mauvaises", mais en raison de l’énergie négative de forces extérieures
qu’elles ne peuvent pas contrôler et qui s'appuient sur leur génétique dénaturée. Lorsque cette énergie négative pénètre le corps et l'esprit (le mental égotique), elle est difficile à détecter,
d'autant plus lorsqu'elle se cache derrière les nobles intentions d'élévation spirituelle*². Si elle n’est pas traitée en conséquence, elle s’infiltre suffisamment en profondeur pour conduire à
la maladie ou même la mort, de nous-même ou de ceux à qui nous adressons nos mauvaises pensées, paroles et actions... Son unique but est de promouvoir la souffrance et la destruction au prix d’un
pouvoir temporaire - un vol d'énergie - qu'elle exerce sur nous ou sur autrui par notre intermédiaire. Elle vit sur la peur, la séparation, la vengeance, et les apparentes différences, toutes
nourritures de sa prédation. Elle engendre la dépression énergétique, mentale comme économique, et finit lentement et sûrement par détruire les individus, la société et l’environnement. Si des
forces lumineuses travaillent sans cesse à leur effacement afin de rééquilibrer le fonctionnement sociétal, c'est surtout à l'être humain de s'éveiller pour s'y relier afin de reprendre le
contrôle de sa vie, soit la maîtrise de son énergie sans la voler à quiconque. Alors peut-il prétendre à la santé physique comme mentale, levier incontournable de son discernement, pour se
désengager de l'emprise des forces obscures et amorcer son évolution au-delà de la Matrice entropique.
L'être humain est ainsi à chaque instant confronté au choix entre les forces évolutives et leur pendant involutives. Constamment exposé à ces dernières de manière directe ou indirecte lorsque d’autres personnes expriment de la colère, de la jalousie, de l’envie ou d’autres pulsions destructrices, tout comme celles envoyées par les différentes institutions dites représentatives, quel que soit leur domaine, sa meilleure défense est de savoir reconnaître ces forces, et par un travail constant sur lui-même de s'en protéger. Cette prise de conscience est extrêmement précieuse pour vivre une vie saine, équilibrée et productive à sa libération. C'est pourquoi, avant chaque action que nous prenons, avant chaque mot que nous disons, notre responsabilité première est de nous demander : "Cela peut-il faire du mal à quelqu’un d’autre, ou à un autre être vivant sur notre Terre ?"
* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.
*² Cf. Prédation spirituelle et voie de sortie.
De l'influence génétique
Selon nombre de statistiques établies, il est estimé que tous les frères et sœurs de schizophrènes ont 9 fois plus de chance que la population générale d’être schizophrène, et 4 fois plus de chance d’avoir des troubles bipolaires. Toutefois, la génétique qui est associée à la schizophrénie peut être à la fois soit une porte de libération, ou à l'inverse une barrière. C'est pourquoi le type de régime alimentaire suivi en active le chemin, avec ou sans bénéfices concomitants.
C'est ainsi que les sociétés primitives qui mangeaient selon un régime (ou diète) normal à base de graisse animale* pour les êtres humains n’avaient pas de "schizophrènes", mais des chamanes/shamans qui pouvaient "voir". Autrement dit, lorsque les voies génétiques sont activées au travers d’un mauvais régime, cela perturbe les capacités chamaniques. C'est pourquoi la schizophrénie est une perturbation de quelque chose qui aurait pu ou pourrait se manifester de manière totalement différente suivant un régime différent*². Les individus schizophréniques qui ont une mauvaise pratique alimentaire sont privés de la capacité d’être un pont entre les mondes, étant en quelque sorte perdus, privés d’une vie normale et de la capacité de se sortir de leurs illusions. Ils sont incapables d’aider ou de faire quoi que ce soit.
La clé de compréhension se trouve dans la formule attribuée à Jésus professée lors de la messe chrétienne "Prenez et mangez,
ceci est mon corps, Prenez et buvez, ceci est mon sang". En d'autres termes, c'est la clé de la résurrection ou du salut par l’histoire du sang, indiquant que la fonction naturelle de la vie
passe par un environnement en équilibre. La Terre est ainsi la Nature, "Grande Mère" qui donne son corps littéralement sous forme de créatures avec un certain niveau de conscience afin de
subvenir à ses enfants du cosmos. C’est la signification originale de ces paroles ! Il en découle que manger de la chair signifie manger de la conscience qui s’accumule, qui nourrit notre propre
conscience pour qu’elle grandisse en parallèle avec nos corps. En mangeant végétarien, nous mangeons fondamentalement une conscience de niveau beaucoup plus bas. Manger de la viande devrait être
un sacrement, entendant bien sûr le respect scrupuleux de l'éthique animale dans la chaîne alimentaire et dans son abattage!
* Cf. Conscience nutritionnelle.
*² Il est intéressant de noter que dans le mythe biblique, Caïn l'agriculteur - le "végétarien originel" - devient le premier meurtrier psychopathe de l'histoire en tuant son frère Abel, l'éleveur de bétail...
Les deux polarités du monde "Service de Soi", état de conscience de l'être humain en 3ème dimension terrestre
Les "négatifs" (-)
Ils sont les psychopathes, les portails organiques ou les entités sans âme (les "anthropoïdes"), les êtres
démoniaques...
Les "positifs" (+)
Ils sont la plupart des êtres humains de 3ème densité dotés d'une âme (les "humanoïdes"), dont la population New Age "amour et lumière" inconsciente, peu intéressée ou déviée de la Réalité du fait de la tutelle de la Matrice prédatrice en mode Service de Soi...
La fable du psychopathe
"Un scorpion, cherchant à traverser une rivière, demande à une grenouille de le prendre sur son dos. "Pour qui me prends-tu, scorpion ? Je te connais, tu vas me piquer !!". "Mais non, grenouille ! Tu peux me faire confiance. Si je te pique, je me noierai moi aussi !" La grenouille hésite, mais finit par céder sous les insistances du scorpion. Elle le fait monter sur son dos et s’engage dans la rivière. Arrivés au milieu, le scorpion plante son dard profondément dans le dos de la grenouille. Celle-ci est paralysée et se met à couler, entraînant le scorpion avec elle. Elle parvient cependant à poser une dernière question : "Mais enfin, scorpion ! Pourquoi as-tu fait ça ? Nous allons mourir tous les deux !" "C’est dans ma nature !", répond le scorpion."
Ce n’est pas l’intérêt qui fait agir les gens. C'est leur nature, profonde, cachée, et qui leur fait faire constamment des choses... contre leur propre intérêt, jusqu'à s'auto-détruire, comme le scorpion...
Les travaux du psychiatre Amos M. Gunsberg (1921/2001) établissent des évidences qui, sans avoir le caractère irréfutable de preuves scientifiques, pourraient relever d'un comportement à
caractère psychopathique pour des individus dépourvus d'âme, dits Portails Organiques. Ils ont été notamment publiés sous le titre Beyond Insanity dans le Volume 2,
numéro 5, de la revue Psychnews international. Il suffit, en se souvenant de l'actualité récente de ces dirigeants nationaux et internationaux (déclarations, affaires...), d'établir le parallèle
avec les faits observés et constatés.
De l'étude comparative de ces dirigeants tyrans, au bilan particulièrement salé par-delà les époques, les systèmes politiques en vigueur et leurs spécificités individuelles, il ressort les deux grands points suivants.
1. Ils font des déclarations sans justifications. Pour eux, ces déclarations représentent ce qu’est la réalité, déclaration après déclaration. La présente déclaration peut contredire ce qu’ils ont déclaré un moment plus tôt. Cela n’a aucune importance, pour eux. Ils ne font aucun effort pour gérer la contradiction.
2. Ils démontrent un total manque de compréhension de ce que nous appelons un fait. Dans leurs écrits et leurs discours, ils n’utilisent pas ou guère ce mot. Alors que l'utilisation des faits est une chose basique dans nos vies, nous permettant de baser nos conclusions et nos actions, de tester et d'établir d’autres faits, de nous en servir quand nous débattons, déduisons et prenons position, ils les nient ou les occultent pour privilégier la "fantasmagorie", celle à même de susciter désirs et peurs.
Nous pensons qu’en niant les faits ils jouent un jeu, qu'ils ne veulent pas l’admettre. Mais tel n'est pas le cas. Ils ne savent pas ce qu’est un fait, tout simplement. Quand nous parlons de faits et leur demandons de faire face à un fait, ils nous regardent avec des yeux vides. Ils ne savent pas de quoi nous parlons...
S'ils nous étudient pour se faire passer pour des êtres humains, et nous entendent utiliser les mots "fait", "preuve", "justification", ils n’ont pas la capacité humaine de comprendre ce que cela
veut dire. Ce qu’ils font est d’ignorer nos références aux faits, ignorer nos demandes de fournir des faits, en espérant que nous ne nous rendrons pas compte que c’est à cause de leur incapacité
de comprendre.
Ignorance de la question
Bien sûr que l'ignorance est une technique classique de la communication du dirigeant, visant à lui permettre d'éviter, de contourner, de détourner la réponse à une question gênante. Pourtant, à y regarder de plus près, il semble qu'un être humain normalement constitué ne puisse avec autant d'aplomb et d’impassibilité ignorer une question lorsqu'elle est posée avec précision et constance.
Un exemple éclairant. Pendant une discussion, cette déclaration a été faite : "Si suffisamment de personnes croient que quelque chose est vrai, alors ce qu’ils croient EST la réalité". Une question fût alors posée à son auteur : "Il fût une époque où tout le monde, pour autant que nous le sachions, croyait que le soleil tournait autour de la Terre. Diriez-vous qu’à cette époque le soleil tournait, dans les faits, autour de la Terre. Et que c’est seulement par obéissance au changement des convictions que c’est la Terre qui s’est mise à tourner autour du soleil ?". La question fût tout simplement ignorée...
Nous pourrions penser que le refus de répondre constitue une admission, celle voulant que ce que ces individus disent est totalement incongru et indéfendable. Pourtant l’expérience (l'observation du comportement dans la durée) a montré qu’ils retournent directement aux mêmes déclarations, même après que la preuve du contraire ait été apportée... Elle établit à quel point leurs pensée et comportement sont éloignés de la pensée et du comportement humain. Rien de ce que NOUS appelons la réalité n’est réel pour EUX.
Un élément basique du profil psychologique de ces anthropoïdes présumés est leur absence de compréhension que quoi-que-ce-soit puisse exister de sa propre existence, séparément de leur dire. Ils ne le VOIENT tout simplement pas. Les seuls objets que les humanoïdes voient sont ceux qu’ils "déclarent", ceux qu’ils imaginent.
Alors que nous utilisons l’expression "ma perception" pour signifier une estimation, une mesure de quelque chose séparé de nous-même et que nous ne présentons pas comme "un fait", ouvert à considérer d’autres points de vue si des faits tangibles sont fournis, les présumés humanoïdes utilisent l’expression "ma perception" comme un remplissage sonore du discours. Ils imaginent ce qu’ils choisissent d’imaginer, et nous disent que ceci est leur "perception". Ce qui, dans leur esprit, établit la réalité. Ce que nous appelons des "faits" n’existe pas pour eux. C’est pour cela qu’ils se disent attaqués - posture de la victimisation et du complot - chaque fois qu’une justification leur est demandée, leurs avocats et conseils en "com" excellant dans l'enfumage et le brouillage médiatique.
Forts de cette psychologie exclusive de l'esprit de raison dont ils se revendiquent pourtant, ces anthropoïdes Portails Organiques psychopathes affirment que leurs déclarations sont valides simplement et uniquement parce qu’ils les déclarent. Ils l'élaborent dans leur absence de psyché des profondeurs comme ceci : "J’honore l’intégrité à cet égard. En tant qu’égoïste, je fais des déclarations qui sont valides pour moi. La validité pour moi-même vient en premier. J’accorde aux autres ce même respect en supposant qu’ils disent des choses valides pour eux-mêmes." Comme ils sont au pouvoir, cela légitime leur domination sur toute considération morale ou éthique. Et les taxer de mauvaise foi est sans intérêt, puisqu'ils ignorent totalement la foi en l'humain...
En règle générale pour les êtres humains instruits et s'attachant à exercer leur intelligence avec raison, il est nécessaire pour que quelque chose soit considéré valide que cela soit justifié par des faits. Rien n’est valide uniquement et simplement parce que quelqu’un le dit. Or lorsqu'il est demandé aux présumés humanoïdes comment ils déterminent que ce que quelqu’un dit est valide pour cette personne, et non quelque chose de fabriqué ou d’imaginé, ils ignorent la question. Il en découle que si les êtres humains définissent l’intégrité comme la droiture de caractère, la probité, l'honnêteté dans ses références aux faits dans la recherche de la vérité, les anthropoïdes utilisent "intégrité" pour dire que ce qu’ils imaginent est ce qui est vrai. Il n'y a en la matière ni mesure ni évaluation. Et quand une demande est faite pour que leurs déclarations soient évaluées, ils affirment que le demandeur est celui qui n’a pas d’intégrité, ne leur faisant pas confiance ou entretenant délibérément le soupçon à des fins politiques... Ils expriment que le demandeur ne soutient pas LEUR position, à savoir que ce qu’ils imaginent est ce qui est vrai.
Leur nature de Portail Organique les conduit à traiter les individus au sein de leur espace de contrôle comme s’ils constituaient leur hologramme* personnel. C'est pourquoi ce qu'ils déclarent traduit ce qu'ils "sont", non en êtreté au sens humain, mais en programme. Dans cette conception mécaniste du Vivant, ils sont des programmeurs "déclarant" l’existence des choses. Du point de vue du psychopathe, le monde est comme une scène holographique, tout étant hologramme. Ils programment les hologrammes, autrement dit clones, sans état d'âme puisque le concept d'âme leur est totalement inconnu. Ils en sont tout simplement dépourvus. Aussi interagissent-t-ils avec les êtres humains de toutes les façons qu’ils choisissent, ayant le contrôle total, ceux-ci étant sous leur contrôle total. Et quand ils décident de fermer un hologramme, celui-ci s’évanouit de leur champ cyborg de perception...
* Image en trois dimensions apparaissant comme "suspendue en l'air".
De l'hologramme
Le mot hologramme provient du grec holos, "en entier", et graphein, "écrire". Le principe de l’holographie a été imaginé en 1948 par l'ingénieur physicien hongrois Dennis Gabor (1900/1971). Ce travail s'est construit sur les recherches d'autres scientifiques : le physicien polonais Mieczysław Wolfke (1883/1947) en 1920 et le physicien australien William Lawrence Bragg (1890/1971) en 1939. Mais elle a d'abord été pensée par l'écrivain français Jules Verne (1828/1905) dans son livre Le Château des Carpathes en 1892. La méthode a été perfectionnée et présentée par les chercheurs physiciens américains de l’Université du Michigan Emmett Leith et Juris Upatnieks en 1964, à la suite de l’apparition du laser en 1961 qui a apporté le gain en luminance et les cohérences spatiale et temporelle nécessaires à leur enregistrement.
Un hologramme ou clone est un hologramme qui est lui-même un hologramme... Un hologramme n’est pas supposé avoir la capacité de penser par lui-même. Un hologramme n’est pas supposé avoir la capacité de mesurer, évaluer, apprécier, etc. Plus important, un hologramme n’est pas supposé être capable de sortir de son état holographique et de critiquer son maître. Quand cela arrive, ils le blâment et le châtient d’abord sévèrement pour le ramener dans la ligne. Si cela ne marche pas, ils "l’évanouissent", le sortant de leur champ de vision. Quand ça ne marche pas non plus, ils peuvent le tuer, ou courent se cacher en abandonnant le programme et en appelant un autre programme.
Fabrication d'un hologramme ou clone à l'apparence humaine
La méthode de clonage utilisée par les élites de la cabale ne relève pas tout à fait de la même technologie que celle utilisée aujourd’hui pour cloner les animaux, à savoir que l'ADN sélectionné est implanté dans un œuf fécondé ou un embryon, qui est alors mis en gestation avec cet ADN modifié ou échangé et qui naît ou éclot ou autre de manière normale, puis suit un processus de croissance et devient essentiellement un double génétique de la source quelconque de l'ADN. Elle a été donnée à l’armée américaine (NSA) par des entités extradimensionnelles négatives dans les années 1950, et utilisée à des fins de profit comme de pouvoir depuis. Il existe des installations de clonage dans le monde entier, la Chine étant de son côté très impliquée dans le clonage. Il existe également des zones secrètes dans les grands hôpitaux où les clones peuvent être entretenus.
La méthode de clonage permet à un individu adulte d'être reproduit en 5 mois. Pour pouvoir créer l'hologramme d'un individu, le système usité utilise les fragments de son ADN codant, ceux-ci contenant la totalité des informations nécessaires à la numérisation de son apparence physique. Ces nanoparticules liquides* peuvent ainsi reproduire la totalité des codons protéiniques et, par une technologie extrêmement précise, les transposer dans un hologramme ou clone. La méthode utilisée ne transmet pas d’ADN au clone, seules les manières et le langage étant programmés. Les clones ne peuvent pas se reproduire, pouvant simplement fonctionner pendant quelques semaines avant de s'arrêter comme un robot.
Il est donc possible de reproduire la présence d'un individu en un lieu, avec l'illusion parfaite de son comportement, au point de laisser croire aux observateurs, à son existence réelle. Il n’y a pas de transfert de conscience. Seuls les souvenirs sont transférés. Notre conscience réside dans notre âme. Les clones n’ont pas d’âme. Les clones ne savent pas qu’ils sont des clones, et ne remettent pas de ce fait en question leur existence. Ils savent seulement qu’ils ont des manipulateurs et des médecins dédiés à leur entretien. Ils éprouvent des sentiments cérébraux et se souviennent de leurs émotions passées, mais ne ressentent pas les émotions de l’âme, comme l’amour.
Ces clones forcément imparfaits présentent des dysfonctionnements au niveau des mouvements des visages et des pannes de programme, ce qui induit la nécessité de
zones d’entrée pour les réparer par les yeux, la région de la cheville et les pieds. Ce sont en effet des zones où la chirurgie et les ouvertures peuvent être déguisées et cachées avec des
lunettes de soleil et des bottes. Il s’agit d’une méthode couramment utilisée par les maîtres-chiens, qui s’efforcent de dissimuler les clones pendant la période des nombreux
ajustements.
Il existe des installations dans le monde entier où les clones sont produits et conservés, la Chine ayant la plus grande production suivie de la Russie. Elle a à cet effet acheté des terrains à travers les États-Unis.
De nombreuses célébrités ont été convaincues d’avoir des clones et le font de leur plein gré. La cabale remplace souvent ses propres personnalités par des clones
qui ont été arrêtés, mais le fait d’avoir des clones ne signifie pas qu’ils ont été arrêtés. Il y a des célébrités qui ont été tuées et remplacées complètement par leurs clones (ainsi l'acteur
Jim Carrey), et des célébrités qui choisissent d’utiliser des clones dans leur travail tels Tom Cruise, Katy Perry, Will Smith...
* Si la diffusion rapide et la commercialisation des nanoparticules soulèvent de grands espoirs économiques et techniques, des questions nouvelles sur les risques émergeant pour la sécurité, la santé et l'environnement, dans un contexte de connaissances scientifiques encore très lacunaires, se posent. En effet, en tant qu'altéragènes physiques ou chimiques, ce sont des polluants potentiels de tous les milieux (air et eau, mais aussi sol et réseau trophique, via la bioaccumulation), que ce soit seuls, en groupe ou en synergie avec d'autres polluants. Ces nanoparticules sont souvent beaucoup plus toxiques et écotoxiques que leurs homologues de taille supérieure, d'autant qu'elles pénètrent facilement les organismes microbiens, fongiques, végétaux et animaux. Certaines, en contact avec l'air, sont en outre une source de risques d'incendie ou d'explosion.
L’observation scrupuleuse de leur fonctionnement menée tout au long de l'expérience a montré que quoi que nous disions, quoi que nous montrions, quel que soit le nombre de preuves données, cela n’a pas de sens pour ces créatures. Ils ont un but : nous tromper en se faisant classifier comme êtres humains afin de pouvoir se concentrer à détruire nos valeurs humaines les plus élevées - l'altruisme, l'empathie, la paix, la joie... - pour promouvoir les plus basses. Une fois les valeurs humaines liées aux aspirations de l'âme éradiquées, l’étape suivante est le meurtre des êtres humains... Qui plus est, il existe également une autre technologie de clonage, celle mise en oeuvre de manière paranormale par les entités extradimensionnelles, celle de la quatrième dimension de densité de polarité négative.
Fabrication d'un clone à l'apparence humaine sur un plan transdimensionnel
Le corpus prédateur extradimensionnel peut créer un double du corps tel qu'il existe dans un état à l'âge où il est mort avant de le remettre en activité. Celui-ci est ainsi conçu dans un espace hyperdimensionnel, correspondant
exactement à quelqu'un. Il peut ensuite être replacé en 3-D pour fonctionner d'une certaine manière. Ce type de clone n'a pas vocation à tomber en panne sèche ou à se détériorer dans un court
laps de temps, le corps cloné étant occupé par la force vitale du "donneur". C'est comme si on ramenait la personne à
la vie. Cela ne se produit pas avec les êtres dotés d'une âme complète, seuls les Portails Organiques - les "sans-âme"
- étant concernés.
C'est notamment le cas pour répondre au besoin de corps pour les armées dans le cadre des guerres menées sans cesse à travers
la planète terre, fortement consommatrices de chair et de sang humain.
Déshumanisation programmée
Dans le film The Invasion of the Body Snatchers ("L'Invasion des profanateurs de sépultures", plus justement L'Invasion des voleurs de corps) réalisé par
le cinéaste américain Don(ald) Siegel (1912/1991), sorti en 1956 *, les aliens sont montrés prenant le contrôle en occupant les corps d’êtres humains. Ils prennent le contrôle non seulement du
corps physique mais aussi de l’esprit, de la mémoire, des facultés... Les gens possédés y sont montrés comme se comportant de manière identique de toutes les façons possibles. Et s'ils
mentionnent des évènements spécifiques à leur vie, ils n'éprouvent plus aucun sentiment à leur propos. Ils ne ressentent rien. Dans une scène, un enfant lutte pour se sauver de ce qui paraît être
sa mère. Le jour d’après, ils sont main dans la main. L’enfant est désormais sous contrôle. Seuls les amoureux tentent de rester éveillés pour ne pas être pris sous leur contrôle. Lorsqu'un
succombe, devenu une créature, il essaie de tromper et de trahir l'autre...
* tiré d'un roman de science-fiction américain de Jack Finney paru en 1955.
Des Robotoïdes, Synthétiques et autres Cyborgs
L'observation scrupuleuse de personnalités publiques et célébrités, dirigeants et influenceurs, dans les domaines politique, religieux, affaires, culturel et
sportif, à tous les niveaux de la hiérarchie sociétale, conduit à ressentir chez elles une énergie différente, en l'occurrence une vibration ou fréquence de résonance prônant l’obéissance, le non
questionnement, l’alignement à l’ordre établi et "officiel" pour toute la masse docile des suiveurs, des foules anesthésiées. C’est comme si ces individus étaient habités et possédés. Ils
ne sont pas tous des anthropoïdes, ou Portails Organiques (PO), mais également des "robotoïdes", soit des organismes vivants qui seraient des "copies"
organiques et biologiques d'êtres humains utilisés comme substituts à des personnalités politiques médiatiques, ou encore des "synthétiques", soit des organismes organiques qui imitent eux aussi
des organismes humains mais moins performants que les robotoïdes car générés par des techniques radicalement différentes. Ils se nomment également cyborgs
(d'un mot grec signifiant "piloter, gouverner, diriger"), les cybernetic organims précurseurs et annonciateurs du transhumain, qui commencent de
plus en plus à pulluler en cette fin de cyclicité, nombre d'entre de ces créatures faisant entendre leur voix métallique au plus haut sommet (Cf. l'icône Greta Thunberg - photo 2).
C'est l'apport de l'avocat états-unien Peter Beter (1921/1973 - photo ci-dessus et video ci-dessous), connu pour ses revendications sans preuves contre les dirigeants politiques, et qui entre autres publia en 1973 un livre Conspiracy Against the Dollar : The Spirit of the New Imperialism ("Conspiration contre le dollar : l'esprit du nouvel impérialisme"), dans lequel il prétendait que les événements mondiaux étaient contrôlés par trois factions secrètes : la famille Rockefeller, "l'axe bolchevik-sioniste" et le Kremlin. Il a également publié une série de 80 bandes de bulletins audio entre 1975 et 1982, dont certaines incluaient des allégations de conspiration dans les plus hautes positions politiques. Il y affirmait notamment que plusieurs figures publiques importantes telles que David Rockefeller, Henry Kissinger et Jimmy Carter étaient en réalité mortes (le premier l'est depuis 2017 officiellement), tout en étant incarnées par des "robotoïdes" organiques, c'est-à-dire conçus à partir du code génétique pris de quelques cellules du corps d'un être humain*....
Fake ("Infox" désormais en langue française), délire conspirationniste ou révélation ? Comme toujours, la vérité se cache là où on ne l'attend pas...
* Si la technique ressemble au clonage, elle est toutefois totalement différente du clonage authentique. Les "robotoïdes" auraient une durée de vie plus ou moins limitée.
Ces robotoïdes, "humains" synthétiques et autres cyborgs, accompagnent et pilotent l'instauration de l'ère transhumaniste consistant en la robotisation de l'humain maquillée derrière les bienfaits du progrès technologique. C'est l'instauration de la société totalitaire par excellence, destinée au contrôle mental tous azimuts pour éradiquer dans l'espèce humaine la parcelle d'âme porteuse de lumière, gage de salut existentiel...
Cf. Conscience du XXI° siècle, Contrôle mental, Le cheminement de l'Ame.
Les progrès de la technologie pour accentuer la ressemblance robot-humain
La peau robotique est à même de permettre de briser une barrière entre l’homme et la robotique, consistant à doter le robot d’une sensibilité très proche de celle d’un individu biologique. En effet, les robots sont maladroits. Mais une "peau" souple et magnétisée peut les aider à mieux imiter le toucher. C'est ainsi que, parmi de nombreuses initiatives scientifiques*, une équipe de chercheurs de la City University of Hong Kong, de la South University of Science and Technology de Shenzhen et de la Carnegie Mellon University de Pittsburgh, a publié une étude de Science Robotics, branche du génie mécanique, électrique et informatique qui comprend la conception, la construction, le fonctionnement, le traitement de l'information et l'application des robots et des systèmes informatiques, sur la détection tactile robotique. Elle a pour objet d'améliorer le sens du toucher dans les machines, les chercheurs affirmant qu’il est possible d’obtenir une sensibilité tactile fiable pour les robots en utilisant un film magnétisé souple sur le bout d’un doigt robotique pour reproduire essentiellement le fonctionnement de la peau humaine. Pour donner au robot un support squelettique du type de celui que les os donnent aux doigts, l’équipe a utilisé un circuit imprimé recouvert de capteurs magnétiques. En appuyant sur le bout du doigt robotisé, les capteurs notent une dépression dans la "peau" du bout, enregistrent l’emplacement et transmettent ce retour tactile à l’ordinateur. Ce système n’est pas identique à la boucle sensorielle que les humains ont pour le toucher, mais il en est étonnamment proche.
Un robot ne sera certes jamais capable d’imiter l’ultra-sensibilité du toucher humain, du moins pas à 100 %, dans la mesure où notre peau comporte des faisceaux de nerfs sensoriels qui se connectent ensuite aux neurones, qui se trouvent dans notre moelle épinière. Les mécanorécepteurs comme les thermorécepteurs et les nocicepteurs de notre peau détectent respectivement la température et la douleur. Chez l’homme, le toucher est traité par la sensation de quelque chose – une main, une table, une feuille, une cuisinière chaude, etc. – et ces signaux sont transmis au thalamus, qui relaie ensuite les signaux sensoriels au reste du cerveau. Le cortex somatosensoriel traite ensuite les signaux liés au toucher. Toutefois, pour que les ingénieurs puissent émuler ne serait-ce qu’une fraction du toucher de manière efficace dans le cadre de la robotique, ils doivent trouver des alternatives ou des approximations proches permettant d’obtenir des résultats similaires, en créant pour ce faire des champs magnétiques sur le bout des doigts du robot. Et si elle est réalisée avec succès, cette sensibilité pourra permettre de créer des mains prothétiques et d’autres parties du corps qui saisissent, atteignent, tiennent et ressentent comme un véritable être humain ! Et si cette invention a incontestablement du potentiel au niveau humain pour être intégrée dans les prothèses bioniques, elle ouvre un autre champ à des fins bien moins favorables à l'espèce humaine !
* C'est le cas, entre autres, de la création d'un robot vivant microscopique, le Xenobot, capable de se soigner et de s’alimenter en énergie, qui a été créé à partir de cellules de peau de grenouille, en l'occurrence l’espèce Xenopus laevis, dont les tissus d’embryons de grenouille âgés de 24 heures extraits se sont transformés en structures sphéroïdes après une manipulation physique minimale. Ces robots, qui mesurent entre un quart et un demi-millimètre, ont parmi diverses facultés la capacité de détecter leur environnement dans une certaine mesure, devenant rouges lorsqu’ils sont exposés à une lumière bleue. Qui plus est, ils fonctionnent en essaims de robots, ce qui signifie qu’un groupe de xénobots individuels peut travailler ensemble pour accomplir une tâche. Ils finissent par se désagréger, étant totalement biodégradables, pouvant ainsi être utilisés pour des applications biomédicales et environnementales.
De la technologie du bio-hybride
A la différence des technologies purement mécaniques ou numériques, les robots bio-hybrides mélangent des composants biologiques et synthétiques de manière inédite. Les robots bio-hybrides utilisant des muscles vivants peuvent ainsi ramper, nager, s’agripper, pomper et détecter leur environnement par le biais de capteurs fabriqués à partir de cellules sensorielles ou d’antennes d’insectes qui améliorent la détection chimique. Des neurones vivants ont même été utilisés pour contrôler des robots mobiles.
Si cette science révolutionnaire qui fusionne des composants artificiels avec des tissus et des cellules vivants présente des avantages uniques, il en est de même pour des dangers potentiels. C'est pourquoi de plus en plus de chercheurs appellent à une réglementation pour guider le développement responsable et éthique de la robotique bio-hybride. C'est le cas de Rafael Mestre de l’université de Southampton, spécialiste des technologies émergentes et coauteur principal de l’article, qui a exposé dans un article publié en juillet 2024 dans Proceedings of the National Academy of Sciences les problèmes éthiques uniques que pose cette technologie, appelant à la nécessité d’une gouvernance appropriée. Il a déclaré : "Les défis liés à la supervision de la robotique bio-hybride ne sont pas très différents de ceux rencontrés dans la réglementation des dispositifs biomédicaux, des cellules souches et d’autres technologies perturbatrices".
Les avancées robotiques ne finissent pas avec la fusion avec l’intelligence artificielle, les performances du dernier modèle d’humanoïde de la société pionnière et leader Boston Dynamics le démontrant. Son robot humanoïde Atlas manipule le monde qui l’entoure, interagissant avec les objets et modifiant le parcours pour atteindre son objectif. Il repousse ainsi les limites de la locomotion, de la détection et de l’athlétisme. Quant au robot humanoïde Optimus de la société Tesla propriété d'Elon Musk, semblable comme cybertruck à un Terminator, il a vocation non seulement à effectuer des tâches de base, à se promener dans des bureaux et des usines, à ramasser et déplacer des objets, à assurer la surveillance de lieux publics comme privés (ainsi les supermarchés au prétexte de prévention des vols*), mais aussi à être capable d'effectuer des tâches dangereuses, répétitives ou ennuyeuses. Comment éviter que ce progrès n'ait pas des répercussions significatives sur l’emploi et de ce fait sur le niveau des charges sociales prélevées, celles-ci finançant entre autres en France le système de retraite...
* Le coulage de marchandises étant dans certaines proportions déductible des résultats, pouvant être enregistré en charge, voit comme 1er des voleurs la direction du magasin qui encaisse les espèces des articles passés en caisses normalement, les logiciels de caisses permettant de manipuler, a posteriori, les articles scannés. La 2ème source de coulage de marchandises sont les agents de sécurité lorsqu’ils sont de connivences, le vol à l’étalage n'étant que la 3ème source. Si elle n’est pas entièrement bloquée, c'est parce qu'elle justifie la 1ère source...
La mise en œuvre envisagée
Le Forum économique mondial (WEF), relayé par des transhumanistes illuminés tel le scientifique et essayiste Laurent Alexandre, a appelé en 2022 par la voix de son président nazi Klaus Schwab les gouvernements, les responsables de la santé et les "humains" du monde entier à examiner leurs arguments "rationnels" pour implanter des puces dans le cerveau des enfants. L’organisation mondialiste dégénérée insiste sur le fait que l’idée d’implanter une "puce de suivi dans votre enfant" n’est pas "effrayante", arguant qu'"ils font partie d’une évolution naturelle que les wearables* ont subie". Elle affirme que les enfants grandiront même pour voir les puces implantées comme des "accessoires" qui seront éventuellement "considérés comme un article de mode". Les parents devraient également apprendre à adopter cette technologie selon le WEF, car "de nombreux enfants s’attendent à développer des super pouvoirs" après avoir regardé des "super-héros" dans des films. Le WEF plaide également en faveur des implants de puces de suivi dans le corps humain pour aider la société à inaugurer un "meilleur nouveau monde".
A ses yeux, l’implantation de puces chez les enfants devrait être considérée par les parents comme un pas "solide et rationnel" vers l’avenir de la réalité
augmentée (RA), afin de mettre l’humanité sur la voie d’une "société augmentée". Elle promeut ainsi l’utilité prétendument large des implants à puce dans des domaines tels que la santé
(l’idée de remplacer les médicaments par des implants cérébraux qui manipuleront le corps avec des impulsions électriques
existe depuis un certain temps), l’éducation et les milieux professionnels, décrivant la technologie comme
transformatrice.
Tout en louant la manière dont une telle technologie pourrait transformer la société, le WEF soutient l’idée de fournir des lignes directrices sur la manière de réglementer "éthiquement" ce vaste pouvoir potentiel et, par conséquent, de le contrôler inévitablement. Et pour ce faire, elle avertit qu’elle a besoin "du bon soutien, de la vision et de l’audace", qui sont vraisemblablement fournies par les gouvernements mondiaux sont les élites du pouvoir des entreprises. Et si pour la plupart des individus il existe de sérieuses préoccupations concernant les droits civils, la vie privée et le concept même d’autonomie humaine, le WEF considère ces craintes comme non fondées, l’implantation de puces de suivi sur des enfants concernant simplement "une technologie qui vous soutient et améliore votre qualité de vie globale"...
* L'expression wearable entend une technologie portable ou technologie mettable, à savoir un vêtement ou un accessoire comportant des éléments informatiques et électroniques avancés. Les technologies portables incluent notamment des textiles, des lunettes, des montres connectées et des bijoux.
Portrait des Robotoïdes, les Hommes-Robots
Ce qui caractérisent les humains-robots, c’est l’absence de chakra du cœur* (le 4ème) et de ce fait l’absence de plan émotionnel (aucune fréquence vibratoire à même de fabriquer de l'énergie), à l'instar des Portails Organiques (PO)*². Il en découle les caractéristiques comportementales suivantes :
- Ils se nourrissent en énergie de tout : êtres humains (humanoïdes), Portails Organiques (anthropoïdes), d’autres Hommes-Robots, et animaux.
- Ils n’ont pas d’antécédent d’incarnation.
- Ils ont des programmes génétiques en lien avec la destruction.
- Ils déclenchent des situations dramatiques qui génèrent beaucoup d’émotions chez les êtres humains qui les vivent de manière forcée. Ces émotions constituent leur énergie nourricière tout comme celle des entités extra-dimensionnelles auxquelles ils sont reliés.
- Ils n’ont aucun charisme de nature empathique, aucune chaleur ne se dégageant d’eux. Ils sont froids et distants.
- Ils sont souvent impatients, insistants et agressifs, ont une étroitesse d’esprit et de l’inflexibilité. Ils utilisent la menace pour parvenir à leur fin. Ils parlent fort, et prennent beaucoup de place.
- Ils utilisent la distraction pour assouvir leurs besoins, propagent de fausses idées et mentent.
- Ils sont arrogants et des manipulateurs hors-pair.
- Ils n’ont pas peur du risque, car ils n’ont rien à perdre. Ils sont irresponsables et n’assument aucune conséquence de leurs gestes.
- Ils sont très exigeants de leur entourage, prennent beaucoup de temps aux autres et ont un fort appétit du pouvoir.
- Ils ne peuvent s’ajuster aux conversations qui dépassent certains paramètres de leur programmation.
- N'ayant aucune conscience, ils simulent les émotions, mais qui sonnent faux dès le départ.
- Ils sont envahissants, en font trop. Ils sont de ce fait plus faciles à démasquer qu’un Portail Organique
- Ils sont comme des perroquets, répétant les mêmes discours programmés et suivant un modèle pré-établi.
- Ils sont sous l’emprise d’un mécanisme de contrôle et ne peuvent justifier leur comportement lorsqu’ils déraillent.
- Ils déraillent lorsqu’ils doivent faire face à des situations au-delà des paramètres prévus à leur programmation.
- Ils visent des cibles particulières, utilisant le sabotage et la désinformation pour semer la destruction.
- Ils ne réagissent pas au stress psychologique révélateur du test de détecteur de mensonge, ce qui leur permet de dire tout ce qui est nécessaire pour obtenir ce qu’ils veulent.
- Ils sont programmés pour infliger de grandes souffrances aux autres sans ressentir le moindre remord. La seule douleur qu’ils ressentent est le manque d’énergie nourricière.
- Ils peuvent ne rien montrer de tout cela, faisant profil bas jusqu’à ce que quelque chose se déclenche. Ils sèment alors la destruction et la mort.
- Ce sont des psychopathes qui ne peuvent en aucune façon accéder aux plans supérieurs. Ils évoluent dans des sphères de la société où ils peuvent manipuler et contrôler dans le but d’assouvir leurs besoins primitifs personnels. Pour y arriver, ils sont de beaux-parleurs n’ayant aucune difficulté à s’exprimer en public. Ils sont des dictateurs, gagnent en trichant, éliminent tout ce qui peut nuire à leur ascension politique ou au sein d’une grande entreprise ou institution.
* Ils ne peuvent avoir plus de 5 chakras programmés (1, 2, 3, 5 et 6), localisés uniquement à l’intérieur du corps. Ils doivent nécessairement avoir le chakra 1 programmé - celui du bas astral - et activé pour vivre sur terre. Ceux qui n’ont qu’un seul chakra (le 1) sont des reptiliens.
Cf. Fonctionnement du corps biologique.
*² Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.
L'industrie de l'armement militaire regorge ainsi de psychopathes se consacrant à perpétuer le jeu mortifère terrestre des forces ténébreuses qui gouvernent. Parmi elles se distingue le secteur israélien de la défense, qui produit un large éventail d’armements, depuis les armes légères et les équipements radio, les drones et les plates-formes d’armes télécommandées, jusqu’aux chars de combat principaux, aux systèmes de défense aérienne et antimissile et même aux missiles balistiques à capacité nucléaire. Ceci explique qu'Israël est un grand exportateur d’armes, ayant ainsi vendu en 2022 pour plus de 12,5 milliards de dollars d’armes à près d’une douzaine d’acheteurs étrangers, dont les principaux clients sont l’Inde, l’Azerbaïdjan, les Philippines et les États-Unis.
Mais contrairement aux géants de la défense tels que la Russie et les États-Unis, Israël n’est pas en mesure de développer et de produire tous les armements de son armée de manière indépendante. C’est pourquoi Tel-Aviv en est venu à compter sur sa relation hautement symbiotique pour ne pas dire opportuniste avec Washington lorsqu’il s’agit d’importations d’armes, les entreprises de défense américaines obtenant des contrats garantis et Israël profitant de milliards d’armes qui sont en fait gratuites, les contribuables américains ordinaires se retrouvant à payer l’addition...
Fusil laser fonctionnel
La Chine par le Xian Institute of Optics and Precision Mechanics de l’Académie des sciences du Shaanxia a donné vie à la saga cinématographique Star Wars avec un AK-47 laser (photo ci-contre), capable de mettre le feu à des cibles à un kilomètre de distance. Son nom : le ZKZM-500. C'est une arme non-léthale, d'un poids de 3 kilos, pouvant être tenu par n’importe quel soldat entraîné. Le fusil, pourtant alimenté par une batterie lithium-ion "semblable à celle que l’on trouve sur les smartphones", est capable de tirer environ 1000 fois avant d’être déchargée.
Le chien robot qui n'est pas (que) le meilleur ami de l'homme
Spot (photo 7), le chien robot conçu par la société à l'époque états-unienne Hanson Robotics, du nom de son fondateur David Hanson, est capable d’exploit à faire frémir, ses capacités lui permettant d'enjamber les obstacles comme un champion de 110 mètres haies ou de tracter, seul ou en meute, un véhicule ! S'il était jusqu'alors guidé par une tablette et un joystick utilisé pour divers usages, allant de la livraison (avec un bras articulé), sur des chantiers de construction ou pour la surveillance d'aéroports*, il a été mis en service dans les parcs de Singapour au nom du coronavirus et de la "distance sociale" pour surveiller les gens, comme dans les pires films de science-fiction. Equipé dans le futur d’une caméra à reconnaissance faciale pour détecter les contrevenants, rien ne lui interdira d'agir directement par l'envoi d’un flash-ball ou d’une arme quelconque, et ce sans état d’âme et sans conscience, avec une efficacité certaine. Il a été également déployé par le gouvernement ukrainien à Tchernobyl afin de mesurer les niveaux de radiations, et vient en mai 2023 d'être autorisé par le conseil municipal de Los Angeles pour la police locale, malgré les protestations des habitants et de certains membres du conseil dissidents (ce robot a une valeur de 277 000 dollars, offert par la Fondation de la Police de Los Angeles aux forces de l'ordre).
* Les premiers chiens robots inspectant afin d’assurer la sécurité des personnes et des passagers souhaitant s’envoler vers de nouveaux horizons ont été mis en service en 2021 à l’aéroport Hans Christian Anderson près de la ville danoise d’Odense. Ils sont connectés à la 5G de TDC NET (fournisseur internet danois) alimentée par la société de télécoms Ericsson.
Les robots tueurs
Les robots militarisés ou "robots tueurs", autrement dit les armes létales militaires autonomes ou SALA (Systèmes d’Armes Létales Autonomes) - chars automatisés qui suivent ou précèdent les soldats, drones, autres engins de guerre capables de repérer des bombes et des silhouettes humaines -, font toujours couler beaucoup d’encre*. Fin août 2018 à Genève, un groupe d’experts gouvernementaux représentant 88 États ont tenté de trouver un accord sur ces armes en devenir à travers un texte contraignant visant à éviter que ces armes dotées d’Intelligence Artificielle puissent devenir autonomes dans leurs décisions, et que leurs logiciels et leurs plans ne tombent pas dans d’autres mains. Toutefois, il aurait fallu que ces experts s’accordent sur un texte demandant l’obtention d’un mandat de négociation en faveur d’un traité juridiquement contraignant. C'est pourquoi la montagne a accouché d’une souris, au grand dam des nombreuses associations en campagne contre ces robots, comme Human Watch Right et Amnesty International.
Dans la mesure où un consensus est nécessaire et qu'un seul État peut bloquer le vote, il est vraisemblable que cette interdiction demeure au stade des bonnes intentions, des pays comme les États-Unis, la Corée du Sud, la Russie, l’Australie, la France et l’Allemagne s'étant d'ores et déjà conjointement prononcés pour "l’adoption d’une déclaration politique non contraignante". Aussi ces armes sont appelées à nous tuer tous et toutes un jour, sans que cela ne soulève de problème éthique ! D'ailleurs, la Corée du Sud a annoncé en mai 2019 son intention d'équiper son armée de robots porteurs de matériel (mitrailleuses autonomes) le long de sa frontière avec la Corée du Nord, capables de tirer sur un humain, tout comme la Turquie a donné son feu vert pour l’entrée de drones équipés de mitrailleuses (le robot tueur se nomme Songar, développé par la société Asisguard basée à Ankara- photos 5 et 6). Quant à la France, elle a créé un nouveau département des armées rattaché à la DGA, l'Agence d’Innovation et de Défense (AID), qui a notamment passé un contrat avec Roboteam, une société israélienne qui a déjà développé nombre de robots militaires en surveillance de ses frontières.
Ce mélange hautement explosif débarque pas à pas dans nos sociétés sans se soucier de leur impact et des ravages potentiels, comme en leur temps les gaz mortels ou le nucléaire… C'est ainsi que le maire de New York, Eric Adams, a dévoilé en septembre 2023 une nouvelle initiative de maintien de l’ordre qui, selon lui, remplacera les policiers traditionnels par une alternative moins chère et plus meurtrière : les RoboCops. Il prévoit ainsi de déployer des robots tueurs pour faire de New York un endroit plus sûr pour les citoyens respectueux de la loi. Surnommé Knightscope K5, ce robot semi-autonome pèse un énorme poids de 400 livres et est capable de se déplacer à une vitesse maximale de trois miles par heure.
* Lors d'une fusillade à Dallas (Texas) en 2016, la police américaine a fait pour la première fois usage d'un robot tueur télécommandé pour éliminer l'assassin de cinq policiers blancs, retranché dans un garage.
Les armes puissantes actuelles de type conventionnel, c'est-à-dire qui ne sont pas interdites par les conventions internationales, sont de nature thermobarique, entendant qu'elles combinent des effets thermiques, d’onde de choc et de dépression. On les appelle aussi des armes thermobariques à surpression (high-impulse thermobaric weapons ou HITs en anglais), des explosifs carburant-air (fuel-air explosives, FAE ou FAX), des bombes aérosols ou des bombes à vide. Ce terme thermobarique vient des mots grecs thermós, "chaleur", et barús, "lourd", ce dernier prenant le sens de "pression" ou "pesanteur" dans les mots savants*. Ces deux racines font appel aux deux principaux effets produits par cette bombe.
Si l’OTAN les a introduits dans sa doctrine dans les années 1970, sous le nom de FAE (fuel-air explosives), en les destinant à une utilisation contre des concentrations de véhicules ennemis, la Russie a testé de son côté en septembre 2007 la plus puissante bombe de cette catégorie surnommée le "père de toutes les bombes" car d'une puissance équivalente à 44 tonnes de TNT. Cette arme de destruction massive utilise 7 tonnes d'explosif et fait appel aux nanotechnologies pour disperser un nuage de carburant dans un rayon de 300 mètres. Durant la guerre civile en Syrie, lors de combats autour de Palmyre, l'armée syrienne a préféré l'utilisation d'armes thermobariques, qui font moins de dégâts aux bâtiments, notamment antiques, que les munitions classiques.
L'ambassadrice d’Ukraine aux États-Unis a accusé l'armée russe d'utiliser des armes thermobariques au cours de son invasion de l'Ukraine en février 2022, le ministère de la Défense du Royaume-Uni annonçant en mars que l'armée russe avait utilisé le lance-roquettes multiples TOS-1A à projectiles thermobariques.
* La racine grecque barús donne le plus souvent le préfixe bary- en Français pour construire des mots tels que "barycentre" et "barymétrie".
De la puissance destructrice de l'uranium appauvri
L'uranium appauvri est un sous-produit du processus d'enrichissement de l'uranium naturel entrant dans le cadre de la fabrication de combustible nucléaire. Il est moins radioactif que l'uranium naturel, puisqu'il contient moins de matériau fissile U-235. Si les États-Unis et la Grande-Bretagne ont utilisé plus de 2 000 tonnes d'uranium appauvri (UA) dans leur intervention militaire en Irak, en ex Yougoslavie*, en Afghanistan et en Syrie, et qu'aujourd'hui en 2023 Londres a annoncé envisager de remettre des obus antichars à l'uranium appauvri aux forces militaires de l'Ukraine, c'est que ces armes sont sûres. L'uranium appauvri représente en effet un danger particulier. Découvert pendant la guerre froide par des scientifiques américains et britanniques comme une arme perforante efficace (mais controversée), les obus de chars et d'artillerie à l'uranium appauvri et les bombes larguées par avion sont remplis de sous-produits d'uranium issus de la production d'énergie nucléaire, dont le niveau extraordinaire de chaleur généré lorsqu'ils atteignent leur cible et prennent feu (mesuré en milliers de degrés Celsius) leur permet de "brûler" littéralement les blindages comme un couteau chaud dans du beurre, en pénétrant dans les compartiments de l'équipage des chars, en tuant tout le monde à l'intérieur et en faisant souvent littéralement exploser les tourelles. Autres intérêts, leur coût inférieur à celui des projectiles pénétrants à base de minerai de tungstène, et la possibilité de "recycler" le combustible nucléaire usé qu’un pays peut avoir à portée de main, en l’occurrence en le tirant sur l’ennemi.
Le principal inconvénient des armes à l’uranium appauvri réside dans les traces radioactives de destruction qu’elles laissent partout où elles sont utilisées, ce qui entraîne des taux alarmants de cancers et d’autres problèmes de santé, tant chez les habitants des pays attaqués à l’aide de ces armes que chez le personnel militaire qui les utilise. C'est ce qu'a notamment démontré le journaliste d'investigation américain Chris Helali, les obus à l'uranium appauvri utilisés par l'armée américaine ayant provoqué des centaines de milliers de cas de maladies diverses, telles que des malformations congénitales et des cancers, ainsi que l'empoisonnement des sols et donc de l'agriculture. Il a ainsi conclu : "Un obus à l'uranium appauvri, au plutonium ou à tout autre élément radioactif utilisé ne fait pas la différence entre un Ukrainien et un Russe, entre un ami et un ennemi. Il empoisonne tout le monde" !
*
L'utilisation par l'OTAN de munitions à l'uranium appauvri dans sa guerre aérienne contre la Serbie (ex Yougoslavie) a été une "expérience horrible et inhumaine" contre toute la région, a déclaré
la ministre serbe de la santé Danica Grujicic, la contamination par ces munitions ayant entraîné une recrudescence des cancers, des maladies auto-immunes et de la stérilité. L'OTAN avait utilisé
10 tonnes d'uranium appauvri lors de sa campagne aérienne de 1999.
Quant à la bombe à neutrons, également appelée bombe N ou bombe à rayonnement renforcé dont l'invention est généralement attribuée au physicien américain Samuel T. Cohen (1921/2010)*, elle est une arme nucléaire de puissance explosive réduite, soit une arme nucléaire tactique, conçue pour libérer une grande partie de son énergie sous forme d’émissions neutroniques. Le rayonnement neutronique de ce type d'arme thermonucléaire inflige des dégâts aux tissus organiques et aux composants électroniques, tout en ayant des retombées radioactives minimes. Ayant une portée de souffle relativement restreinte comparativement aux bombes à fission classiques, les bombes à neutrons présentent l’intérêt d’avoir un effet moins dévastateur sur les infrastructures.
La bombe à neutrons a été destinée à l'origine à stopper une avancée de chars d'assaut ennemis, en tuant les hommes se trouvant à l'intérieur. Elle a également servi à la réalisation de missiles anti-missiles (stratégiques), du fait de ses effets destructeurs sur les équipements électroniques. La France de son côté a fait exploser sa première bombe à neutrons sur l’atoll de Moruroa en Polynésie française le 21 juin 1980, et produit ce type d’armement au début des années 1980, les vecteurs français supposés de ce type d’ogives étant les missiles Hadès. Les stocks auraient été détruits depuis...
Mais contrairement à l'idée répandue, la bombe à neutrons ne laisse pas forcément les infrastructures intactes, notamment les infrastructures civiles. En réalité, l’effet de l’émission de neutrons a un rayon d’action supérieur à celui de l’effet de souffle, contrairement à un engin thermonucléaire classique. L’essentiel des dégâts causés par une bombe N provenant de la radiation ionisante, et non de la chaleur ou du souffle, la puissance de la bombe exprimée en kilotonnes est donc peu représentative de son potentiel dévastateur qui avoisine généralement la kilotonne, soit approximativement 1/10 de la puissance de "Little Boy" larguée sur Hiroshima le 6 août 1945, et 100 fois plus que la plus puissante bombe conventionnelle, ce qui reste considérable. La bombe N, malgré sa faible puissance, reste un engin nucléaire à fission-fusion et présente les effets habituels de ce type d’armes que sont le souffle et l’onde de choc associée, un important dégagement de chaleur, l’impulsion électromagnétique et des retombées radioactives.
La Russie semble en tout cas, ce qu'elle a démontré à l'occasion de la guerre avec son voisin l'Ukraine, avoir trouvé une parade à l'escalade des armes nucléaires dissuasives, de ce fait non utilisées, à partir d'une technologie avant-gardiste en l'état sans équivalent, qui repose sur la focalisation des ondes sonores aux fins de permettre une puissante amplification d'ondes électromagnétiques à des fins destructives.
* On ne retiendra de son "oeuvre" que ses tentatives d'irradier des populations entières tout en laissant les colonnes de char et les bâtiments réutilisables, une bombe "propre" comme il aimait l'appeler. Il mis la cause de ses idées abracadabrantes sur le dos de sa mère et de son obsession pour l'hygiène dans ses mémoires intitulées Shame: Confessions of the Father of the Neutron Bomb ("La honte: confessions du père de la bombe à neutrons").
L'arme fatale
La Russie disposait jusqu'alors comme force de frappe des IRBM, c'est-à-dire des missiles balistiques à portée intermédiaire (en anglais : IRBM pour intermediate range ballistic missile), celle-ci étant comprise entre 3 000 et 5 500 km. En novembre 2024, l’armée de l’air ukrainienne a accusé la Russie d’en avoir tiré un, l’ogive multiple Oreshnik, lors d’une attaque sur une grande usine militaro-industrielle et ses installations de production souterraines à Dnipropetrovs’k dans le centre-est de l’Ukraine, marquant une escalade depuis que l’Ukraine utilise des missiles de longue portée américains et britanniques. Cette réponse russe aux salves précédentes de missiles ATACMS et HIMARS américains et Storm Shadow britannique contre la Russie a provoqué un mouvement tectonique à une profondeur de 500 mètres dans un rayon de 300 kilomètres autour de l’épicentre, comparable à la bouche bouillante d’un volcan (toutes les roches ont été cuites en une seule masse et se sont solidifiées à jamais en un monolithe de 300 mètres de diamètre)... La pression avait en effet atteint 300 atmosphères avec une force de compression encore plus élevée, expliquant que de nombreuses maisons situées de l’autre côté de la ville se sont fissurées et que les habitants aient pensé qu’un tremblement de terre s’était produit. Les particules d’air chargées en découlant ont un potentiel similaire à celui des fils à haute tension, devenant dangereuses lorsqu’elles sont inhalées car perturbant l’irrigation sanguine des tissus pulmonaires, entraînant la mort de leurs couches profondes et modifiant la structure des cellules du corps humain.
Il existe également l'ICBM, un missile balistique intercontinental (en anglais : intercontinental ballistic missile ou ICBM) qui a une portée supérieure à 5 500 km par convention de traités. En avril 2022, la Russie a dévoilé comme réplique au coulage de son navire amiral Moskva* l’imparable ICBM RS-28 Sarmat (Satan 2- Cf. photo) qui peut transporter jusqu’à 15 têtes nucléaires MIRV. Il s’agit de véhicules de rentrée indépendants, chacun transportant une ogive nucléaire des centaines de fois plus grosse que les bombes atomiques utilisées sur le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale, la puissance nucléaire étant de 500 à 650 kilotonnes… Le RS-28 Sarmat est ainsi capable de transporter environ 10 tonnes de charge utile pour 10 ogives MIRV lourdes ou 15 ogives MIRV légères, ainsi qu’un nombre non spécifié de missiles hypersoniques Avangard (HGV) ou une combinaison d’ogives. Il transporte également plusieurs contre-mesures contre les systèmes de missiles antibalistiques.
Le RS-28 transporte également des missiles hypersoniques (HGV) qui planent à des vitesses extrêmes tout en manœuvrant vers leurs cibles, échappant ainsi à tous les systèmes défensifs des États-Unis. En d’autres termes, les États-Unis sont totalement sans défense pour empêcher les armes nucléaires russes de frapper des cibles basées aux États-Unis. Il faut en effet environ 30 minutes à l’un de ces ICBM pour se rendre de Moscou à New York. Si Poutine en lançait un, les habitants de New York n’auraient que quelques minutes pour évacuer !
* La marine américaine a utilisé son nouvel avion de surveillance, le P-8 Poseidon, pour fournir des données de ciblage précises aux forces ukrainiennes afin de couler le navire amiral russe dans la mer Noire le "Moskva" le 13 avril 2022. Cet avion de haute technologie peut repérer les navires au radar à une distance de plus de 100 miles…
Terminator : du film à la réalité
La série culte de films de science-fiction découlant de celui réalisé par James Cameron sorti en 1984 "Terminator" (voir notamment le film de 1991 "Terminator 2 : Le Jugement Dernier"), préfigure l'avancement en cours de la technologie militaire, les chercheurs de l’armée* cherchant désormais à ajouter du tissu musculaire aux plates–formes robotiques afin de leur donner mobilité et agilité. C'est ce qui s'appelle des organismes cybernétiques, soit un tissu vivant sur un endosquelette métallique. Il s'agit d'en faire des coéquipiers polyvalents, capables d’aller partout où les soldats peuvent et plus, s’adaptant aux besoins de toute situation donnée. L'objectif principal est d’obtenir des robots à pattes, qui ont certains utilitaires sur un terrain accidenté, une meilleure stabilité sur des surfaces inégales et encombrées. En effet, l’actionnement musculaire, bien qu’il n’en soit certainement pas le seul responsable, contribue grandement à la capacité des animaux à naviguer sur des terrains inégaux et peu fiables.
Il en va de même pour les créatures ailées qui peuvent reconfigurer leur forme pour se déplacer dans des espaces restreints, comme parmi les branches d’arbres. Et pour faire travailler les muscles avec différentes tailles d’articulations, les méthodes existantes incluent la création d’une sorte de type de gel avec les cellules musculaires à l’intérieur, celui-ci étant ensuite moulé à la forme nécessaire à l’action musculaire sur le robot.
Que donnera le cocktail des deux assemblés sur le long terme ? Si les militaires ont toujours été un véritable moteur de progression dans les domaines scientifiques, le prix à payer peut être effrayant. Et cette fois-ci, Schwarzenegger ne viendra pas nous sauver si cela tourne au vinaigre…
* Scientifiques du Commandement du développement des capacités de combat de l’armée, du Laboratoire de recherche de l’armée, de l’Université Duke et de l’Université de Caroline du Nord.
Chien robot militaire
La société Ghost Robotics sise à Philadelphie, fournisseur du ministère de la Défense états-unien, lancera en 2021 quatre de ses robots semi-autonomes à la base aérienne de Tyndall en Floride (faisant à la base aérienne de Nellis au Nevada), étape conduisant à l’introduction de chiens robots autrement nommés "véhicules terrestres sans pilote" (UGV en anglais) dans les zones de conflit. Sous le nom de Vision 60, ces robots canins* sont présentés comme une amélioration de la sécurité, faisant partie d’un plan visant à remplacer les caméras de surveillance fixes à la base de l’armée de l’air. Mais Ghost Robotics envisage d'ores et déjà le scénario où ces machines iront au-delà de la simple patrouille, consistant à travailler dans les zones de guerre avec des bombes, à repérer et à cibler, permettant aux militaires de se concentrer sur d’autres tâches. Particularité appréciable, ils peuvent fonctionner à des températures inférieures à zéro. Pouvant monter des marches, courir et se redresser s’ils sont renversés, ils s'appuient pour ce faire sur des moteurs qui contrôlent les jambes et s’ajustent en fonction des changements de pression au sol. Ces machines sont équipées du WiFi et de la 4G LTE pour envoyer des informations en direct à leur opérateur, ainsi que de caméras et de capteurs embarqués pour surveiller les intrus le long du périmètre défini. Ils peuvent enfin trotter jusqu’à 7 heures et demie avant d’avoir besoin d’une recharge.
Ces chiens robots complètent le passage continu des forces de combat terrestres en mode robotique, l'armée américaine testant également à partir de 2021 une nouvelle gamme de robots de combat terrestres à l’allure de tanks miniatures, gorgés de nouvelles technologies (logiciel d’autonomie Robotic Technology Kernel), appelés véhicules de combat robotisés (RCV). Ce sont des hybrides diesel-électrique à poids léger qui peuvent atteindre une vitesse maximale d’environ 40 miles par heure, et équipés d’un canon de 30 mm télécommandé. Quant aux forces militaires russes, elles font désormais appel dans leur combat contre les forces armées ukrainiennes à de complexes robotiques terrestres, avec au premier rang la famille polyvalente Uran qui se distingue sur une plateforme unifiée. L’Uran-6 sert ainsi de système de déminage, l’Uran-9 de complexe d’assaut de combat et l’Uran-14 d’unité multifonctionnelle servant de lutte contre les incendies. Malgré la diversité de leurs objectifs, ces machines partagent une série de systèmes communs, y compris des mécanismes de contrôle. Elles sont également unies par une mission robotique consistant à accomplir des tâches de combat dans des environnements où l’action et la survie de l’homme sont beaucoup plus difficiles, voire impossibles.
* Les prix pour un chien robot commencent autour de 100 000 $.
La guerre électronique est également un élément différentiel stratégique. C'est par exemple la plus grande faiblesse de l’Ukraine dans le conflit qui l'oppose depuis février 2022 à la Fédération de Russie, ses alliés membres de l’Otan lui ayant fourni beaucoup de chars, de missiles et de système d’artillerie en oubliant complètement la partie cyber-électronique de ce conflit. De son côté, la Russie a depuis de nombreuses années mis l'accent sur l'utilisation de son complexe militaro-industriel pour produire et développer une gamme impressionnante de capacités de guerre électronique afin de contrer les systèmes hautement interconnectés de l'organisation atlantique.
La réplique à la sophistication des drones
L'incessant progrès technologique voit une nouvelle génération de drones* sous forme de bombes volantes ou de mini-bombardiers de plus en plus utilisés à titre militaire, créant une menace puisque même les groupes armés de l’Etat islamique les utilisent. D'autant qu'ils sont simples et peu cher à produire, le tout en ayant une autonomie croissante donc rendant le brouillage plus difficile. Ils ont notamment été utilisés pour viser des blindés et des convois logistiques que pour détruire des défenses aériennes dans le conflit du Haut-Karabakh qui a opposé en 2020 la République du Haut-Karabagh — aussi appelé Artsakh —, soutenue par l'Arménie, et l'Azerbaïdjan, soutenu par la Turquie, pour le contrôle du Haut-Karabagh (c'est un État non reconnu par la communauté internationale depuis son indépendance unilatérale de l'Azerbaïdjan en 1991). Pour répondre aux menaces de ces armes dangereuses, l’entreprise Cilas, filiale du groupe français Ariane, a développé le laser HELMA-P, qui doit permettre de neutraliser tant un drone que tout autre appareil mêlant de l’électronique et de l’optique (appareil de surveillances ou d’espionnages). Cette technologie est même vouée à évoluer de manière à intercepter et neutraliser les roquettes, artillerie ou mortier de façon précise. Ce système de défense concurrence le laser des américain HELIOS, précurseur en la matière !
* Un DRONE, du mot anglais signifiant "faux bourdon" (mâle de l'abeille), désigne un aéronef sans-pilote et sans humain à bord, et le plus souvent télécommandé. Il peut avoir un usage civil ou militaire. Le nom a été donné par dérision dans les années 1930 au Royaume-Uni à des DH.82 Queen Bee, la version automatisée pour servir d'avions-cibles du "De Havilland DH.82 Tiger Moth", avion biplan des années 1930 conçu par la société de Havilland et utilisé entre autres par la Royal Air Force comme avion école. Leur vol lent et bruyant ressemblait plus à celui du bourdon à la vie éphémère qu'à celui d'une reine abeille (Queen Bee). Ce nom fut repris par l'armée américaine dès 1941.
L’armée des robots
Le nom Skynet, mot-composé anglais signifiant littéralement "filet" ou "réseau du ciel", désigne une entité du film Terminator (1984) du réalisateur états-unien James Cameron, en l'occurrence un ordinateur intelligent qui tente de détruire l'humanité. Il a donné lieu à un syndrome, le "syndrome Skynet", soit la crainte de prise du pouvoir par des robots dotés d’intelligence artificielle aux fins de tenter de détruire la race humaine. Or cette technologie appliquée au secteur militaire est bien réelle, l’Intelligence Artificielle (IA) étant considérée comme "la voie principale de la supériorité tactique" pour les militaires, qui la déclinent sous différentes formes (robots "mules" de transport de matériel, robots démineurs pilotés, l’exosquelette qui permet une plus grand force et une plus grande endurance des soldats en épousant les formes du corps et proposant une assistance...). Le moteur en est les données, collectées par des avions ou des satellites qui peuvent alimenter une IA apprenante capable de réagir et de prendre des décisions, ou tout au moins d’apporter un choix éclairé aux militaires. Aussi nul(le) ne sera surpris de l'alliance au sein du cartel militaro-industriel du Pentagone avec Google qui, via une de ses sociétés de capital-risque, Gradient Bentures créée en 2017, apporte son soutien financier et technologique à des startups spécialisées dans l’IA militaire. Les startups en question devraient développer des systèmes à la fois pour l’armée mais aussi pour la police et en particulier pour la surveillance de la frontière mexicaine…
Il est assez facile d’imaginer que les décisions puissent être un jour prises par cette IA elle-même, celle-ci à terme pilotant, analysant et frappant aux commandes d’un avion de chasse par exemple. Déjà en 2015, le système américain d’Intelligence Artificielle ALPHA a battu à plate couture au simulateur un pilote chevronné de l’US Air Force. Si bien sûr cela permet d'éviter des accidents comme un tir accidentel d’un avion, la question de la fiabilité se pose, d'autant que la construction des algorithmes nécessaires au fonctionnement de l'IA devient de plus en plus complexe, au point que plus personne n’y comprenne plus rien. Imaginez une IA militaire apprenante qui décide de n’en faire qu’à sa tête et que l’on ne parvient plus à comprendre ni arrêter… Qui plus est, rien n'empêche que l’IA puisse se retrouver "hackée" par des personnes mal intentionnées *...
* C'est déjà le cas dans l'industrie automobile avec toute l'électronique embarquée qui est bien faillible, par-delà les simples défaillances du type "panne aléatoire". En effet, le vol de voitures par des hackers (en France, le palmarès concerne la Renault Clio 4, la BMW X6, la Peugeot 3008) qui sont dérobées sans clé ni effraction, en recourant au piratage électronique des dispositifs de verrouillage et d’antidémarrage (mouse jacking). Le risque est identique pour les voitures autonomes ou les assistants de conduire autonome, pouvant être commandés à distance.
Quant aux drones mis en cause dans les attaques perpétrées contre les installations pétrolières de l’Arabie Saoudite début septembre 2019, ils posent la question du profil de ceux qui les ont actionnés. De son côté, la Chine a présenté quelques semaines plus tard ses drones, le WZ-8 "reconnaissance 8" permettant la collecte d’informations en croisant à la vitesse supersonique (soit près de 4 000 km/h), et le GJ-11 "Attaque-11", un très grand drone furtif qui embarque des missiles.
L'univers du jeu vidéo privilégié par l'armée
Nombre d'armées, comme celle des États-Unis, manquent de recrues. Aussi, pour attirer les jeunes recrues, elles utilisent notamment des jeux vidéo de simulation, installés dans des lieux identifiés comme favorables à la pêche "au gros", à l'instar des grandes surfaces commerciales. De la même manière, elles utilisent les jeux vidéo pour l'entraînement grâce à de sophistiqués simulateurs, entre autres considérés comme une façon d'économiser les bombes et munitions.
C'est le cas de America's Army, jeu vidéo de tir tactique multijoueur en vue subjective. La première version est sortie en 2002, conçue par les forces armées des États-Unis. Le joueur incarne un soldat de l'US Army sur des cartes de type assaut, devant avant de pouvoir jouer en ligne accomplir une série d'entraînements de base, voire des entraînements supplémentaires lui permettant de jouer comme tireur d'élite, médecin, parachutiste et force spéciale. La particularité de ce jeu est que le joueur se voit toujours comme un soldat de l'US Army, et voit toujours ses ennemis comme une force étrangère, qu'il choisisse d'aller dans l'équipe d'assaut ou de défense. De son côté, Flight Simulator est un logiciel de simulation de vol pour Microsoft Windows, qui permet pour les experts de se rendre compte que la version officielle des attentats par avion du 11 septembre 2001 sur New York et Washington relève de la gageure*. Firewatch, jeu vidéo d'aventure sorti en 2016, porte quant à lui sur la surveillance des feux de forêts dans les étendues sauvages de l'État du Wyoming, le jeu s'étant inspiré d'environnements réels comme notamment du parc national de Yosemite. Are we the dwarves ? ("Sommes-nous les nains ?") explorent les territoires inconnus de l'univers de pierre, tout en rencontrant de nouvelles civilisations et des monstres antiques des couches profondes de l'espace, la délivrance reposant sur trois astronautes nains qui sont envoyés en expédition pour trouver une nouvelle étoile dans les profondeurs de la pierre sans fin. RimWorld suit trois survivants d’un écrasement de vaisseau spatial pendant qu’ils bâtissent leur colonie sur une planète à la frontière de l’espace connue, affrontant des pirates, des tribus hostiles, des animaux déchaînés et des machines anciennes et meurtrières. Subnautica est un jeu d'aventure dans un monde ouvert sous-marin, mettant en scène un scientifique échoué dans ce monde Alien qui va devoir trouver comment survivre tout en faisant de nouvelles découvertes sur la nature de la faune locale. Final Fantasy est un jeu de rôle d'époque, où quatre Guerriers de la Lumière dans leur quête doivent sauver le monde des Ténèbres (il existe pas moins de 54 combinaisons d'équipes différentes, qui permettent des styles de jeux variés voire complètement différents grâce au choix d'avatars à faire parmi les Guerrier, Moine, Voleur/Ninja, Mage blanc, Mage noir, Mage rouge). Enfin, le célèbre Call of Duty ("l'appel du devoir") sorti en 2009, et qui a donné vie à une saga fort prisée, dont le plus prisé mais "politiquement incorrect" fut "No Russian", voyant un agent de la CIA sous couverture infiltrer un groupe terroriste russe débarquer dans un aéroport russe et se mettre à tirer sur de parfaits innocents*². Sans oublier le jeu de plateau Zombicide qui a pour thème la survie dans un monde infecté de zombies, les figurines faites de plastique dur étant facilement peinturables pour plus de réalisme avec un large choix entre des zombies toxiques, berserker, skinner, seeker, des chiens zombies et même des zombies corbeaux !
Ou comment inoculer le poison mortifère dans des esprits faibles...
* Si les manœuvres du pilote du Vol United Airlines 175 qui a percuté la Tour Sud en terminant par un virage à plus de 945 km/h laissent nombre de spécialistes perplexes, que dire de celles exécutées par Hani Hanjour aux commandes du Vol 77 pour aller percuter le Pentagone ? Le National Transportation Safety Board ayant diffusé les données de vol de la boite noire retrouvée dans les décombres du Pentagone, celles-ci ont ensuite été analysées par des spécialistes de l’aviation, dont l’association "Pilotes pour la vérité sur le 11/9" (pilotsfor911truth). Or, si ces données prêtent très largement à caution, elles indiquent aussi que le pilote automatique a "officiellement" été désactivé pendant les 8 dernières minutes du vol, ce qui inclut le dernier virage et le rase-mottes pour aller percuter à l’horizontale le mur du Pentagone sans toucher l’herbe de la pelouse. Le tout aurait donc été réalisé en "pilotage manuel" par un piètre pilote n’ayant aucune expérience de ce type d’appareil. Ces incohérences flagrantes amènent toujours plus de pilotes professionnels et de spécialistes de l’aviation à douter de la version officielle.
*² La sortie du jeu ne s’est pas déroulée sans accro, voyant le jeu en Allemagne et au Japon avoir été modifié pour signifier un échec de la mission si le joueur tirait sur le moindre civil, et bien sûr avoir été interdit en Russie.
Les nouveaux super soldats de l'armée américaine
L'armée américaine cherche depuis longtemps à créer des super soldats. Pour ce faire, elle recourt à diverses méthodes tels que les médicaments améliorant les performances, la technologie des implants cérébraux et même le génie génétique. En 1983, le lieutenant-colonel Wayne McDonnell a présenté aux services de renseignement de l'armée américaine un rapport novateur qui plongeait dans le monde des expériences extracorporelles et de la collecte de renseignements. Ce rapport, intitulé "Analysis and Assessment of Gateway Process" (Analyse et évaluation du processus de la passerelle), explorait l'idée du processus de la passerelle, un système classifié qui permet à quiconque de voyager dans l'espace et le temps en utilisant sa conscience. Ce processus de la passerelle est un guide étape par étape sur la manière de parvenir à une expérience extracorporelle à des fins de collecte de renseignements. Les participants peuvent non seulement projeter leur conscience dans un lieu différent, mais aussi l'extraire complètement de cette réalité. Cela leur permet de voyager n'importe où dans l'univers et à n'importe quel moment.
L'idée derrière le processus de la passerelle est basée sur le concept que notre univers est une construction créée par notre esprit. En utilisant le processus de la passerelle, on peut sortir de cette construction et voir la réalité telle qu'elle est. Le rapport Gateway de 30 pages a été classifié, principalement parce que tout le monde peut apprendre à le faire...
La nouvelle arme de l'OTAN
Le cartel militaire de l’OTAN, l'Organisation politico-militaire du traité de l'Atlantique Nord mise en place en 1949 par les pays signataires afin de pouvoir remplir leurs obligations de sécurité et de défense collectives, a conçu de nouveaux modes de guerre hybride contre ses adversaires déclarés, notamment la guerre économique, la cyberguerre, la guerre de l’information et la guerre psychologique. Ce dernier nouveau type de combat est baptisé "guerre cognitive". Décrite comme la "militarisation des sciences du cerveau", cette nouvelle méthode consiste à "pirater l’individu" en exploitant "les vulnérabilités du cerveau humain" afin de mettre en œuvre une "ingénierie sociale" plus sophistiquée.
Ces créatures ne se sentent pas vivantes au sens humain, ne ressentant pas de sentiments. C'est pourquoi, pour pouvoir passer pour des êtres humains, elles savent qu’elles doivent donner l’apparence de savoir qu’elles sont vivantes. Leur seule ressource est de déclarer qu’elles sont vivantes, ne pouvant l'exprimer. Aussi la déclaration ne produit pas la qualité du ressenti d’être vivant. La seule chose qu’elles ont pour continuer à donner le change est leur propre déclaration. Mais si "déclarer" est montré à leurs interlocuteurs comme étant insuffisant, si elles sont appelées à discuter de sentiments, à donner des preuves de sentiments, à distinguer entre des sentiments... elles sont perdues. Leur vide intérieur est apparent. Leur statut non-humain est montré.
Les "présentateurs" robot
Le faux présentateur de journal télévisé est déjà une réalité en Chine, géant technologique en pointe face aux GAFAM états-uniens (Google Amazon Facebook Apple Microsoft) avec ses BATX (Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi), qui tente de se doter des entreprises et des centres de recherche les plus pointus. Ne s'embarrassant pas avec l’éthique, l’agence de presse Xinhua (l'organe de presse du Parti communiste chinois qui emploie 10.000 personnes dans le pays) a ainsi donné la parole à l’antenne à un robot doté d’une Intelligence Artificielle plus vraie que nature, copie conforme (allure, mimiques et voix) d’un vrai présentateur, Zhang Zhao (photo 1). La technologie utilisée est liée à une intelligence artificielle capable d’analyser la tonalité de la voix du présentateur et la restituer très fidèlement. Pour parfaire le tableau, des lèvres virtuelles se superposent à des images du vrai Zhang Zhao ! Son utilisation doit aboutir à une réduction des coûts, et permettre de traiter des informations de dernière minute de façon plus efficace, ce type de présentateurs travaillant 24h/24 en se passant de congés ... Cela a le mérite d'être clair et pas camouflé derrière un écran de fumée et un discours totalement hypocrite !
Un média koweïtien a dévoilé de son côté en 2023 un présentateur de nouvelles virtuel créé à l'aide de l'intelligence artificielle qui devrait lire les bulletins en ligne. "Fedha" (photo 2) est ainsi apparue sur le compte Twitter du site web Kuwait News sous la forme d'une femme aux cheveux clairs découverts, vêtue d'une veste noire et d'un tee-shirt blanc. "Je suis Fedha, la première présentatrice au Koweït qui travaille avec l'intelligence artificielle à Kuwait News. Quel type d'informations préférez-vous ? Écoutons vos opinions", a-t-elle déclaré en arabe classique...
Quant à la compagnie de croisières MSC Cruises, son présentateur vedette de son nouveau navire amiral le MSC Virtuosa lancé en avril 2021 est le Barman humanoïde Rob (Cf. photo 3). Tantôt créatif, tantôt maladroit, c’est la personne qui mettra tout son cœur pour que la soirée entre amis ou la pause de la journée soit la plus agréable possible dans un bar "immersif et futuriste"*, assurant la relation humaine notamment lorsque l’on se sent seul et que l’on a besoin de relationnel, sans oublier bien sûr de mélanger et servir ses propres cocktails, alcoolisés et non alcoolisés, et d’innombrables boissons personnalisées... Capable de "transmettre des émotions", Rob a été également programmé pour parler huit langues : anglais, italien, espagnol, français, allemand, brésilien, portugais, chinois et japonais. Mais en cas de retard ou défaillance numérique, des barmans humains seront également là pour le soutenir...
* Le bar et l’espace de divertissement comporteront des éléments futuristes comme des hologrammes en 3D, un mur d’art numérique immersif et une table interactive numérique à l’infini. Le Barman est la personne sachant vous écouter sans vous juger tellement il en entends des vertes et des pas mûres. Une oreille sur laquelle on peut s’appuyer pour s’alléger le cœur et qui nous prépare en plus de son activité de psychologue un bon remontant (à consommer avec modération).
Cas pratique
Dans le cours d’une discussion s'intégrant dans l'expérience réalisée, un présumé anthropoïde a dit : "Vous heurtez mes sentiments." Il lui était alors demandé d’identifier les déclarations exactes émise, et d’expliquer en quoi ces déclarations lui faisaient mal, en quel sentiment particulier elles se traduisaient. La réponse fut : "J’ai dit que vous heurtez mes sentiments. Je ne sais pas quoi dire d’autre. Vous m’attaquez !"
A la question suivante "De quelle façon considérez-vous une requête de justification et de clarification comme étant une attaque ?", il n'y eut point de réponse...
Cf. en complément Conscience du XXI° siècle
L'expérience réalisée, le psychiatre Amos M. Gunsberg a établi les grandes caractéristiques de ce qui pourrait constituer l'hypothèse d'un anthropoïde psychopathe et non d'un être humain dans l'exercice du pouvoir.
1. Fait des déclarations sans justifications. Ces déclarations devraient être acceptées comme définissant ce qu’est la réalité. Elles s'établissent moment après moment, sans continuité dans la durée.
2. Ignore les demandes de fournir des bases avérées pour ses déclarations.
3. Se moque ou relativise l’importance que les êtres humains donnent aux faits, à l’honnêteté, à la décence, au fair-play.
4. N'est pas culpabilisé quant à l’usage du mensonge, de la tromperie etc. En rit, les adoubant par là-même.
5. Se plaint qu’il est "attaqué" dès qu’il est questionné. Ne donne pas d’explication à propos de ce qu’est "l’attaque" ou de ce qu'il ressent pour dire qu'il est attaqué.
6. Ne ressent pas de sentiments.
7. Voit le monde comme son hologramme privé.
8. S’applique à garder l’être humain "à sa vraie place", c’est à dire celle de l’insignifiance.
Par extension, il découle de cette "psychologie" les éléments suivants.
Les Portails organiques ne comprennent pas la distinction établie par les êtres humains entre les notions de bien et de mal. Quand ils nous nuisent, ils ne comprennent pas pourquoi nous les appelons "diaboliques". Ils ne comprennent pas pourquoi nous avons des lois contre le meurtre. Leur approche est la vantardise, jusqu'à moraliser sur le dos de leurs victimes.
Comme ils ne comprennent pas les raisons de telles lois, ils argumentent qu’ils ne peuvent pas être tenus pour responsables de leurs actions. Qui plus est, quand ils adoptent cette position que la loi ne s’applique pas à eux, ils savent que la loi est promulguée pour s’appliquer à tous.
Ils n'éprouvent aucun remords, car ils ne se pensent pas comme promouvant le mal. Ils font simplement ce qu’il est dans leur condition de faire. Le serpent à sonnettes ne se pense pas comme étant le mal quand il injecte son poison. Il fait simplement ce qu’il est dans sa condition de faire...
Du Test d'empathie de Voight-Kampff ou Voigt-Kampff (V-K)
Ce test est un dispositif imaginaire utilisé dans le roman de science-fiction de l'auteur américain de romans, de nouvelles et d’essais de science-fiction Philip Kindred Dick (1928/1982) "Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?" Le Voight-Kampff est un appareil inspiré des détecteurs de mensonge et du célèbre test de Turing. Il est employé par les "Blade Runners", des policiers chargés du retrait des réplicants* illégaux, pour déterminer si un individu est un réplicant ou un être humain. Le test est conçu pour voir si le possible réplicant a des émotions, de la volonté et du désir par la mesure de ses réactions biologiques à des stimuli :
les variations de la respiration ;
les variations du rythme cardiaque ;
les variations de tension des muscles internes de l'œil, c’est-à-dire la dilatation de la pupille couplé à un petit rougissement ;
la dilatation capillaire dans la région faciale, résultant par un rougissement du visage (liée aux réactions émotionnelles) ;
le dégagement de phéromones (substance chimique comparable aux hormones, émise par la plupart des animaux et certains végétaux, et qui agit comme un message entre les individus d'une même espèce).
Les stimuli sont des questions sciemment choquantes, écrites à l'avance et supposées provoquer des réactions émotionnelles immédiates chez le sujet. Le sujet doit répondre aux questions mais les réponses verbales n'ont pas d'importance. Il s'agit de la seule façon d'être sûr de découvrir de subtiles différences empathiques entre humains et réplicants.L'appareil fonctionne globalement comme un détecteur de mensonges couplé à un scanner corporel mais avec pour cible l'œil du sujet, plus précisément l'inspection de sa rétine en gros plan. Si le sujet ment lors de l'examen, sa pupille se dilate. Un soufflet est également prévu pour aspirer et analyser des échantillons de la respiration. Le dispositif tient habituellement dans une petite mallette de transport.
Le mot Voight-Kampff provient de "Voight" (du nom de son inventeur), modifié plus tard par l'ajout de "Kampff" (un autre scientifique), qui rappelle le livre Mein Kampf ("Mon combat") de Adolphe Hitler, manifeste consacré à sa lutte caractérisée comme une farouche volonté.
Le "Test de Boneli" est aussi utilisé par certains Blade Runners, permettant une mesure du temps de latence entre une réaction et un signal lumineux ou sonore. Les réplicants ont généralement un temps de réaction inférieur à celui d'un être humain à ce test. En dépit de sa sophistication, ce test n’est pas infaillible puisque les attardés mentaux ou psychotiques peuvent y échouer, certains androïdes usant de cette faille pour en fausser les résultats.
* Le Réplicant est comme personnage science-fictionnel une sorte d'androïde plus proche du clone humain que du
robot.
Avertissement préalable : l'exposé qui suit pouvant choquer comme interpeller, sa lecture nécessite une grande prise de recul par rapport à sa vision du monde et de la nature humaine. Elle nécessite également de se garder de toute quête sensationnaliste. Il s'agit d'accepter de recevoir l'information en l'état, puis de prendre du recul et d'observer la manière dont elle participe d'une nouvelle prise de conscience.
La gouvernance occulte prédatrice de 4ème dimension de nature extraterrestre, qualifiée d’archontique ou reptilienne, est une des races les plus puissantes du cosmos qui, pour sa partie entropique - les "mâles agressifs reptiliens" -, a pris la terre en otage par leur maîtrise des règles physiques gouvernant les polarités énergétiques. Elle est composée d’entités qui servent la polarité dite des Ténèbres (tout ce qui tend vers la densification), opposée à son pendant la polarité des Lumières (tout ce qui tend vers l'éther), toutes deux indispensables car complémentaires et indissociables au fonctionnement du Vivant, Ce Qui Est*. Pour sa survie, elle "prédate" par une technologie de prélèvement psycho-émotionnel la conscience des êtres humains dotés d’une âme*², conduit d’accès à l’Esprit universel, ce qui lui permet de récupérer une partie de l’énergie de La Source originelle, nécessaire à sa survie. Elle est relayée sur le plan terrestre tant par des "anthropoïdes" (humains sans âme) que des "humanoïdes" (humains avec âme), ces derniers ayant choisi de la servir, avec comme superviseurs de l'ensemble des êtres hybrides, mi humains mi entités reptiliennes (ainsi les géants Nephilims de la Bible), qui se trouvent quasi-exclusivement dans les grandes et vieilles familles aristocratiques*³, celles-ci au nombre symbolique de 12, servies par 9 intendants relais...
* Cf. La dualité décodée.
*² Cf. Qu’est-ce que l’Homme ? & Le cheminement de l’Âme.
*³ Cf. La nouvelle religion universelle.
L'atout majeur de cette force prédatrice est l'information, lui permettant le contrôle des consciences. Celui-ci passe ainsi par l'infiltration discrète de toutes les institutions gouvernantes comme occultes (loges maçonniques, Opus Déi, ...) par des relais si possible conscients de jouer un rôle orienté "Service de Soi" (servir ses intérêts personnels) - les "bourreaux" - et non orienté "Service d'Autrui", ce qui garantit leur efficacité oppressante. De la même façon, elle s'assure par la manipulation de l'inconscient du contrôle des esprits des opposants dénonciateurs du système oppresseur - les "sauveurs" -, afin de créer les tensions nécessaires à leur prédation psycho-émotionnelle.
Tous ces acteurs sont les gardiens de la Matrice, autrement dit les kapos de la prison terrestre des "victimes " (l'ensemble de l'humanité y compris eux-mêmes), ce qui au demeurant valide l'existence d'une gouvernance occulte mondiale*, sans laquelle le système ne pourrait fonctionner - "la maintenance au quotidien ou service après-vente du système" -, compte-tenu de sa nature profonde... Ce n'est qu'en s'extrayant de ce triangle "infernal" bourreau/victime/sauveur - dit triangle de Karpman en psychologie*² -, en se dissociant clairement de chacun de ces rôles, que l'être humain aspirant à l'évolution peut s'engager sur le chemin de sa transformation intérieure afin de changer de dimension de réalité et (re)devenir Qui Il Est vraiment*³.
* Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste & Le modèle pyramidal décodé.
*² Cf. Fonctionnement du corps biologique.
*³ Cf. Le chemin alchimique, Le chemin de l'Ascension & Processus de transformation de conscience (1).
L’information c’est le pouvoir
Quel était l’intérêt pour nos créateurs généticiens ancestraux dans les millénaires passés de dissimuler nos origines, notre véritable histoire et la réalité de notre civilisation, si ce n'est d'appliquer le principe universel bien connu de tous les gérants de foules depuis la nuit des temps qui veut que "l’information c’est le pouvoir". Ceci explique que pour beaucoup d'êtres humains pourtant bien intentionnés, il est stupide sinon criminel de dévoiler ce qui devrait rester cacher, n'hésitant pas à dire avec leur sagesse empoisonnée : "Pourquoi donner de la confiture aux cochons ?". C'est ainsi qu’autrefois comme encore de nos jours on ne dit jamais la vérité aux enfants, ou de manière édulcorée. Inventer une histoire à l’humanité, lui cachant son pouvoir, ses facultés, ses origines et son devenir, rend l’humanité plus docile. Aussi pour nos Maîtres reptiliens nous sommes comme ces enfants, qui devraient le rester toujours. Cette humanité qui travaille, produit, paie des impôts, vote, manifeste, pétitionne et fait la guerre, représente leur fonds de commerce comme leur nourriture énergétique, en d'autres termes un capital extraordinaire dont ils touchent les dividendes. Les causes du très mauvais état de la planète ne sont pas plus compliquées que ça : la perversion narcissique de nos dirigeants occultes. Et nous en sommes les complices actifs, n'hésitant pas à stipendier sinon bannir les contestataires et récalcitrants à l'ordre établi qui, même s'il ne nous convient pas, nous conduit à nous en accommoder, faute d'en avoir interrogé la pertinence des fondements établis.
S'étant éloignée de La Source originelle pour servir les Ténèbres, la force archontique a un impérieux besoin vital d'assurer sa survie énergétique, compte-tenu des lois prévalant au fonctionnement du Vivant dans l'univers. Ceci passe par le prélèvement de la conscience des êtres humains pourvus d'une âme, qui bien que non éveillée recèle l'accès au champ divin. Il passe par la mise en place d'un grand champ de souffrances et d'excitations sensorielles de toutes sortes, assuré tant par les relais terrestres organisateurs et animateurs que par la prédation psycho-émotionnelle directe de chaque humanoïde.
Un aspect spécifique concerne les entités hybrides, mi humains mi reptiliens, qui ont un besoin vital de se régénérer compte-tenu de leur vécu dans le champ terrestre. Celui-ci passe par la captation de l'énergie se trouvant dans le sang et de l'énergie sexuelle. Il est à la base de tous les rituels dits de magie noire (ou satanistes), combinant "orgie sexuelle" et pédocriminalité avec sacrifices d'enfants ou adolescents, la jeunesse étant porteuse d'une pureté énergétique bien supérieure à l'adulte.
Nous trouvons là l'explication de la disparition continue de nombre d'enfants à travers le monde*.
* Le fichier américain des personnes disparues comporte environ 100.000 noms inscrits en permanence, dont un pourcentage significatif d'enfants (plus d'un enfant disparaît toutes les cinq minutes dans le monde, soit entre 1 600 et 2 500 enfants par jour estimés). En France, le chiffre des personnes disparues varie de 6.500 à 50.000 selon les méthodes de comptabilisation. Dans le reste du monde, bien que les statistiques soient plus difficiles à établir à l’échelle de la planète, on estime qu’environ 4.000.000 de personnes se volatilisent chaque année dans la nature sans laisser de traces.
Le rituel du sang
Dans émotion nous entendons hémo, du grec ancien haîma, le sang qui coule en nous. Les émotions et leurs vibrations traduisent la manifestation de la vie, la manière dont nous les utilisons étant déterminante.
C’est à travers les rituels collectifs - à grande échelle comme en cénacles fermés - et ses invocations que l’énergie des membres est transférée vers l’égrégore supérieur pour le nourrir et lui donner puissance*. Leur caractère "magique " répond à deux finalités, soit positive - on parle alors de magie blanche -, soit négative - on parle alors de magie noire -. Sur le plan instinctif, les égrégores sont nourris par des rituels peu structurés, comme les cérémonies familiales (cadeaux, repas et libations...). Sur le plan émotionnel, le rituel le plus efficace est celui de la messe (on parle de "grand-messe" dans les entreprises et de meeting dans les partis politiques) et des grandes arènes du divertissement de masse (concerts, rencontres sportives). Il s’agit pour les dirigeants instigateurs d’augmenter le pouvoir de l’égrégore par le recours à des formules, prières, invocations, visualisation d’images, chaînes d’union…, dans le cadre d'un rituel très structuré, peu exigeant pour les participants qui fournissent l’énergie par leurs ventre et cœur, mais très exigeant pour les officiants qui la canalisent avant de la transmettre.
Le rite de sang a quant à lui toujours été considéré comme la solution la plus efficace pour accroître l’intensité du rituel et le transfert énergétique humain recherché. En effet, le sang est le liquide physiologique qui concentre l’énergie de la tête, puissance psychique, l’énergie du cœur, et la force du bassin par l'énergie sexuelle et l'énergie du ventre (des tripes). Siège des passions et des désirs, signe distinctif de la conscience animale, les soldats guerriers ont ainsi de tout temps été galvanisés lorsqu'il coule sur le champ de bataille. Le sang rouge est polarisé par le fer de Mars, et c'est sous l'impulsion du dieu nordique du tonnerre et de la guerre Thor, au chariot tiré par deux boucs *² et tenant un marteau menaçant, que le fer dans notre sang vient nous marteler les tempes ! Voici pourquoi le reptilien prédateur, dépourvu de toute transcendance intérieure pour se tourner vers La Source du Vivant, a tel un vampire assoiffé le besoin de s'en repaître.
* Cf. Le modèle pyramidal décodé.
*² En grec, bouc se dit tragos. Il symbolise une cérémonie qui mêle exaltation frénétique et répulsion, qui mélange sacré et barbare, afin d'affirmer par la dimension tragique la force vitale par-delà la mort.
La symbolique cachée de Noël
Le grand cycle des fêtes du solstice d'hiver s'ouvre le 1er novembre (Toussaint) pour durer jusqu'au 6 janvier, englobant le cycle des 12 Jours qui s'étend entre Noël et l’Épiphanie. C'est une unité de temps sacré, qui revient chaque année, comme une transition entre l'ancienne et la nouvelle année. Nombre de religions païennes célébraient le 25 décembre, bien avant l'apparition du christianisme, pour leurs dieux lunaires comme solaires. Certains dieux connus sont supposés être nés pendant le solstice d'hiver. Il y a également les rites du Feu des chamans celtes, les hommes "sauvages" célébrant les forces primitives dans l'étrange monde de la forêt à l'époque où elle recouvrait une majeure partie de nos terres.
Pourtant, aucun passage biblique ne justifie le choix du 25 décembre, qui voit la naissance de Jésus avoir lieu pendant que les bergers passaient la nuit dans les champs avec les moutons. Ce ne pouvait donc pas être entre décembre et février, car les nuits étaient trop froides en Judée à cette époque de l'année. De plus, sa naissance coïncide avec l'époque du recensement romain, les autorités choisissant toujours une époque de l'année au climat chaud compte-tenu du déplacement des populations pour se rendre aux postes de recensement. C’est pourquoi on ne trouve pas de fête du 25 décembre dans l'église chrétienne avant le IIIe siècle. Cette fête païenne où l’on commémore à cette date la naissance terrestre du Seigneur de la matière (le Ba'al) est rentrée dans l’Église en l'an 230, époque d’après le chrétien Tertullien où les chrétiens ont tendance à se prostituer aux cultes idolâtres. Elle sera définitivement adoptée à partir de l’an 320 à la demande de Constantin le grand, et entérinée lors du Concile de Nicée de 325.
Ces festivités étaient consacrées aux démons de "Ba'al", expliquant qu'elles se traduisaient par des sacrifices d'animaux et humains. Elles se nommaient Saturnales chez les Romains, elles-mêmes dérivées du Mithraïsme (le culte de la divinité Mithra) chez les Perses, et dont le plus grand dieu était Aiôn, dieu du Temps également appelé Saturne ou Cronos, celui qui dévore ses enfants (Zervan chez les Perses)... Ils ne sont que la représentation de Satan, l'archétype des Forces de l'Ombre, des Ténèbres, dans la structuration nécessaire au fonctionnement du Vivant.
Autrement dit, la symbolique cachée de Noël et de ses artifices est un rituel de sang, consistant à recevoir une partie du corps humain en cadeau/présent, rattachant ainsi l'homme au culte dévoyé de la matière. Ceci explique pourquoi nombre de rituels sataniques à caractère pédophile se déroulent à ce moment, sacrifiant l'enfant bébé aux forces de l'Ombre.
Les témoignages de victimes comme participants, directs ou indirects, sont désormais incontestables car attestés, y compris liés à des opérations scientifiques secrètes sous égide étatique*. La magie noire sexuelle passe par des sévices comme des actes sexuels, qui par les états de détresse des individus (jeunes filles et garçons) constitués, contribuent sur le plan biologique à la fabrication d'hormones destinées à compenser la nature biologique constitutive dégénérée d'entités hybrides et à la régénérer afin d'éviter leur vieillissement prématuré. Ces productions hormonales liées à un état de stress sous l'emprise de l'effroi, de la terreur et de la douleur, sont en effet constitutives d'adrénaline densifiée et enrichie, que seules de jeunes personnes (y compris des bébés) sont en mesure de produire. A travers le rapport sexuel est ainsi transmise l'énergie de l'être innocent souffrant, ce qui traduit l'aspect démoniaque du rituel. Bien entendu s'établit la corrélation avec la torture et les sacrifices de tous temps des animaux, offerts aux dieux comme au fonctionnement de la civilisation humaine prédatrice (abattoirs, abattage halal, chiens, chats, crabes ou écrevisses ébouillantés, tauromachie...). Et, "ravissement suprême" de ces cérémonies sataniques, boire le sang de la victime sacrifiée constitue le nectar extatique, le sérum anti-âge, produisant les mêmes effets que la redoutable drogue de synthèse nommée adrénochrome !
* Cf. Contrôle mental.
De l'adrénochrome
Découvert en 1939, ce composé organique et hormonal de formule C9H9NO3 est un pigment bleu issu de l'oxydation de l'adrénaline sécrétée par l’organisme en grande quantité dans les moments de peur intense, de colère ou de danger de mort. Son but est d’optimiser la réponse des muscles et des nerfs à l’adrénaline, de protéger les tissus et les organes des rigueurs de la poussée d’adrénaline, et d’optimiser le mécanisme de combat ou de fuite en tant que réponse à la peur humaine dans des situations extrêmes telles que celles liées à la survie. C'est la raison pour laquelle on peut le considérer comme un additif de carburant très puissant pour la "machine humaine" face au danger. Il semble qu’il n’y ait rien de tel sur terre.
Il possède, entre autres, des capacités de régénération des tissus, et serait capable de restaurer la réactivité nerveuse et les fonctions cognitives. C'est pourquoi ce composé hormonal enrichi par l'adrénaline générée comme précédemment dit sous l'effet de la peur, d'un état d'anxiété extrême et de la souffrance tout particulièrement par un jeune enfant (sa production diminue en effet avec l’âge, et l’adrénochrome juvénile est chimiquement équilibré pour réduire les effets secondaires horribles de la version adulte), est notamment utilisé pour le traitement de patients cardiaques. Il sert également de renforcement collagène (il confère aux tissus une résistance mécanique à l'étirement) lors d'opérations chirurgicales anti-vieillissement, tout particulièrement pour nombre de stars hollywoodiennes, telle l'actrice Sandra Bullock qui l'a explicitement reconnu lors d'un show TV (en l'occurrence le composé avait été extrait d'un bébé coréen), alors même que la production de ce sérum est officiellement interdite aux États-Unis depuis 2013.
De son côté, le psychiatre britannique Humphry Fortescue Osmond (1917/2004), connu pour avoir inventé le néologisme psychédélique et pour avoir utilisé des substances psychédéliques en recherche médicale, a affirmé que l'adrénochrome était une substance hallucinogène, pouvant entraîner la schizophrénie ou d'autres troubles mentaux néfastes (crises d’épilepsie, symptômes de type Parkinson, schizophrénie et psychose délirante).
Dans la littérature, l’un des premiers à avoir parlé de
l’adrénochrome fut Aldous Leonard Huxley* (1894-1963) dans son livre The Gates of Perception : Heaven and Hell ("Les portes de la perception : Le paradis et l'enfer") en 1954. De son
côté, le journaliste Hunter Stockton Thompson (1937/2005) mentionne l'adrénochrome dans le livre Las Vegas Parano (il a servi de base au film dément Fear and Loathing in Las Vegas avec Johnny Depp), disant que c'est un extrait de glande surrénale prélevé sur un sujet encore
vivant, lui octroyant un caractère exotique et rare à l'effet intense ("une combinaison de mescaline et de méthédrine"). Dans le roman "L'Orange mécanique"
(A Clockwork Orange) d'Anthony Burgess adapté au cinéma par Stanley Kubrick en 1971, l'adrénochrome (ainsi que
la mescaline synthétique ou les opiacés) entre dans la composition des cocktails à base de lait servis par l'établissement fictif Korova Milk Bar. De son côté, le rappeur français Freeze Corleone
(de son vrai nom Issa Lorenzo Diakhaté) en parle dans son morceau Sacrifice de Masse Part2, dans la phrase "Ils enlèvent des enfants, pour extraire
l’adrénochrome"...
Le 26 février 1985, les États-Unis ont accordé le brevet numéro 4,501,923 à l’inventeur anglais Deryck F. Boot qui travaillait pour la Minnesota Mining and Manufacturing Company, plus connue sous le nom de 3M Co, la très puissante société américaine qui fabrique plus de 60.000 produits industriels de toutes sortes (masques, adhésifs, abrasifs, équipements de protection individuelle, films pour fenêtres, produits dentaires, matériaux électriques et électroniques, produits médicaux, logiciels de santé, etc.). Le brevet décrit un procédé de préparation de l’adrénochrome comprenant l’oxydation de l’adrénaline ou d’un sel de celle-ci.
Dans la médecine d’aujourd’hui, l’adrénochrome est administré par voie intraveineuse pour traiter les épileptiques, et sous la forme d’adrénochrome monosemicarbazone (carbazochrome) est utilisé comme hémostatique dans les hémorragies capillaires pour traiter leur fragilité, mais sous cette forme, il n’a aucune action sympathomimétique et est donc totalement inutile.
Cette abomination dans son utilisation négative pourrait constituer l’explication du pernicieux et inqualifiable trafic d’enfants, des enlèvements, de l’exploitation, des abus et même des sacrifices d’enfants. Cette drogue semble en effet être largement utilisée par nombre de membres de l’élite*² liés aux loges pédosatanistes, dont de nombreuses stars d’Hollywood, entre autres, sont membres. En effet, nombres de témoignages de stars ou d'acteurs hollywoodiens "repentis", tels Mel Gibson ou Jim Caviezel (vedette de la série à succès Person of Interest), font état de cette pratique consistant à obtenir de l’adrénochrome par l’abus de drogues, et qui constitue l'intrigue de plusieurs films et séries télévisées d’Hollywood où des cabales de satanistes capturent des enfants, les violent, puis tout en les assassinant, récoltent leur sang et le boivent comme un "élixir de jeunesse". Il semble bel et bien qu’il ne s’agisse pas seulement de scénarios "faits pour le cinéma", mais que cela se passe dans la vraie vie ! Ce sang des enfants abusés sexuellement, y compris les nourrissons, est considéré comme le sang le plus enrichi, la "marque premium" de sang, parfait pour les dégénérés et riches élites qui aiment se défoncer en le buvant. C'est pourquoi ce sang est vendu au prix fort dans la cité des "anges" (Los Angeles), voire échangé contre des rôles de premier plan dans des films et des spectacles. Bien évidemment, il existe également un réseau de pédophiles au cœur de l’industrie de la musique, où là encore des initiés et des musiciens célèbres ont dénoncé ce phénomène présent lors de spectacles de rock, pop et hip-hop où les stars font des signes d’adoration du diable en pleine scène et y associant par contagion suggestive la foule de leurs admirateurs inconscients.
Quant aux médias grand public et géants de la technologie, ils continuent à maintenir la chape de plomb, enterrant et censurant toutes les sources et les
dénonciateurs, et prétendant que rien de tout cela ne se produit, sauf dans les films, bien sûr. C'est ce que démontrent les archives cachées de Tweeter, portées petit à petit à la connaissance
du grand public depuis sa reprise par son nouvel actionnaire Elon Musk.
Cf. https://youtu.be/9J99xpZ31V8
* Si Huxley était un écrivain visionnaire, il était surtout un expérimentateur, se consacrant à la méditation philosophique censée provoquer de profonds changements dans la conscience sous l’effet de la drogue (mescaline, LSD, etc.). Il était convaincu que le bonheur et le malheur ne sont rien d’autre que le résultat de réactions chimiques au sein de l’organisme humain.
*² Le cas du pédophile milliardaire Jeffrey Epstein est éclairant à cet égard, puisqu'il était un organisateur de cette pratique sexuelle aberrante de magie noire, avec des clients de "prestige" tels que révélés par ses carnets comme Bill, Hillary et Chelsea Clinton, Woody Allen, Kevin Spacey, Bill Cosby, Mick Jagger, le Prince Andrew, Charles Spencer (le frère de Lady Diana), le "philanthrope" Bill Gates, Tony Blair, Michael Bloomberg, Richard Branson, Rupert Murdoch, Henry Kissinger, etc...
L’Ukraine est la capitale mondiale du commerce sexuel des enfants, abritant selon nombre d'enquêteurs un réseau d’usines d’adrénochrome. De nombreux enfants y naissent dans un système de fermes-usines, élevés pour l’esclavage, sans certificat de naissance ni pièce d’identité, et qui ne savent jamais ce que c’est que de vivre une vie sans terreur. Cette industrie de l’adrénochrome se développe si rapidement qu’elle a besoin d’un nombre croissant d’enfants pour satisfaire les pulsions de l’élite des pédophiles et des toxicomanes. C’est pourquoi les rues des villes et des villages d’Ukraine sont tapissées d’affiches d’enfants disparus*.
Il est à noter qu'après la découverte d’un vaste réseau de fermes-usines dans plusieurs régions d’Ukraine, le dirigeant russe Vladimir Poutine a créé une "task force adrénochrome" composée d’agents spéciaux - les Spetznas (contraction de Spetsial'noïe Naznatchéniyé) - triés sur le volet, afin de détruire le réseau international de trafiquants d’enfants et leurs clients. Ces forces spéciales russes ont notamment libéré des dizaines d’enfants victimes de la traite à bord d’un jet privé immatriculé en Israël en novembre 2024. Autant dire que la récente élection du républicain Donald Trump a provoqué une onde de choc dans les réseaux internationaux de trafiquants, qui se démènent pour déplacer le plus grand nombre de victimes possible avant que leurs activités ne soient interrompues. Ceci les pousse à l’imprudence et à l’erreur, le gouvernement russe profitant de ce moment pour s’attaquer au cœur de l’industrie.
* Cf. analyse de l'expert états-unien Larry Johnson spécialiste de l'Ukraine, ancien analyste de la CIA
Fabrication hormonale sous stress
L'état d’alerte sous l’effet de l’adrénaline, "l’hormone guerrière", a pour effet de mobiliser l’énergie disponible pour donner la force musculaire de combattre ou
de fuir une situation menaçante. Ses effets sont instantanés, poumons, gorge et narines s’ouvrant pour laisser entrer plus d’air. Les sens s’aiguisent et les pupilles se dilatent, le corps se
préparant à réagir devant un danger imminent, à attaquer au besoin. L’adrénaline n’agit pas seule. Quelques minutes
après que sa production a été déclenchée, une autre hormone cruciale vient à sa rescousse, le cortisol, qui transforme les gras en sucre pour appuyer l’action de l’adrénaline, à laquelle se
rajoute l'endorphine*, substance sécrétée par l'hypophyse et qui lutte contre la douleur. Les deux hormones et l'endorphine
travaillent ainsi de concert tout au long de la réaction au stress. Les effets physiologiques du cortisol sont considérables, mais pas perceptibles. C'est pourquoi elle est appelée "l’hormone
espionne", le dévoreur de matière grise !
C’est le cortisol qui prend les commandes pour que l’organisme réagisse au danger par la mobilisation de toute l’énergie contenue dans les sucres pour l’expédier à
certains endroits précis (dans les muscles des bras par exemple). Pour une efficacité maximale, certains organes, comme ceux liés à la digestion, cessent de fonctionner. Même le système
immunitaire est mis en veilleuse pour faciliter l’action du cortisol. Une fois la fin de l’état d’alerte lancée, le cortisol envoie un puissant message de faim au cerveau, question de compenser
la perte d’énergie que le corps vient de subir.
L’action des hormones du stress est une arme à double tranchant. Elles sont des alliées tant qu’elles permettent d’agir et de se défendre contre un danger imminent
de types imprévisible, nouveau ou menaçant. A faible dose, le cortisol nous maintient en état
d’alerte, prêt à réagir au quart de tour en cas de danger. Mais lorsque l'individu vit des tensions de façon répétitive, le rythme cardiaque
reste élevé, de même que la pression artérielle et le taux de sucre sanguin. Le corps doit alors renouveler constamment ses réserves d’énergie. Il en emmagasine donc, sous forme de tissus
adipeux, autour de la taille, le cortisol étant sécrété par les glandes surrénales situées au-dessus des reins. Au besoin, il puisera dans ces graisses pour les transformer en sucre. Bien des
grands stressés - la maladie du siècle - se retrouvent donc avec… une bedaine de stress.
Le dérèglement de notre mécanisme de défense en raison du déséquilibre dans la sécrétion des hormones du stress précède des maladies comme le diabète, l’obésité, les maladies cardiovasculaires et même la dépression. Il découle tant du bagage génétique que des facteurs de notre environnement. Qui plus est, une concentration excessive de cortisol affecte aussi le cerveau*², pouvant à long terme être toxique pour les neurones (troubles de mémoire chez les personnes âgées et difficultés d’apprentissage chez les jeunes adultes). En outre, s’il est constamment sollicité, le mécanisme de protection risque de s’épuiser et le cortisol peut venir à manquer, ce qui peut mener à l’anxiété et à l’épuisement.
* L'endorphine est un neuropeptide opioïde endogène, c'est-à-dire un peptide agissant comme un neurotransmetteur, produit par le corps, agissant sur les récepteurs opiacés, sans toutefois être chimiquement apparenté aux composés de l'opium.
*² A l’université du Texas, des chercheurs ont injecté à des participants 10 mg de cortisol pour observer ce qu’il se passait lorsque leur état de stress augmentait. En seulement 25 minutes, ceux-ci ont vu la matière grise de leur cerveau diminuer de façon spectaculaire dans les régions de l’hippocampe et l’amygdale, qui sont des zones cérébrales qui conditionnent nos performances de mémorisation, d’apprentissage et de gestion des émotions.
Les sacrifices humains et les offrandes aux dieux sont de très vieux concepts, qui existent depuis le début de l'histoire du monde dans toutes les civilisations qui se sont succédé. Ils ont été initiés par les groupes ayant progressivement perdu leur pouvoir spirituel, et qui ce faisant commencèrent à vénérer le soleil comme leur dieu (ainsi la dérive des innombrables cérémonies de sacrifices humains au nom du dieu Soleil, notamment chez les Incas, les Mayas et les Aztèques dont le deuxième mois de leur calendrier était dédié à Xipe Totec, divinité dont le nom signifie "notre seigneur l’écorché"). Qualifiés de "syndrome de Dionysos", le dieu grec de la vigne, du vin et de ses excès (orgies sexuelles), de la folie et la démesure, ils ont pour effet de susciter une frénésie, autrement dit du chaos, celui de mort, de destruction et même de cannibalisme (la victime est coupée en morceaux et mangée). A grande échelle, nous pouvons mieux comprendre par exemple le comportement politique des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France à l'encontre de la Syrie, comme si toute la population humaine doit commencer à embrasser ce syndrome... Ces effets mortifères de la conscience humaine étaient nommés "Ménades" chez les Grecs (en grec ancien Mainádes, "délirer, être furieux") ou Bacchantes chez les Romains, soit les accompagnatrices démentes car dévotes de Dionysos.
Ils font depuis l’objet de rituels occultes spécifiques qualifiés de satanistes, répondant à la conviction qu’en les contrôlant c’est le monde que l’on peut
contrôler, ce qui est la raison d'être du système prédateur. C'est pourquoi toutes les mythologies du monde font état de sacrifices humains, et surtout de sacrifices d’enfants pour nourrir et
apaiser les dieux. Ils constituent les fondements délétères des religions, qui ont été conçues pour manipuler le peuple par la peur et pour nourrir les entités reptiliennes asservissantes sur le
plan psycho-émotionnel afin d'assurer leur survie. Cette manipulation est celle de l'inconscient, qui tel un programme informatique maintient l'être humain non éveillé dans un rôle d'esclave
illusionné, par-delà son éventuelle réussite sociale purement matérialiste. C'est ce qui nourrit les points culminants du cycle dionysien, les mouvements
révolutionnaires tels la Révolution française, la Révolution bolchevique, les nazis, le libéralisme financier. C'est toujours le même modèle, une bande d’individus pathologiques qui répandent une
idéologie simpliste centrée sur le droit et la victimisation, aboutissant à la destruction de tous ceux qui s'opposent aux mouvements destructeurs simplistes. En fin de compte, cela signifie
aussi la destruction des hommes et des femmes de conscience.
Ces entités se nourrissent également de sang humain de par leur nature hybride. Ce sont les lignées dites "Illuminatis"*, en l'occurrence des familles royales, aristocratiques, qui perdurent depuis la religion babylonienne. Elles possèdent en effet plus de gènes reptiliens que les autres humanoïdes et anthropoïdes. Supervisant et contrôlant la structuration et le fonctionnement du système sociétal terrestre établi, elles s'adonnent aux rituels sacrificiels pour assurer le renouvellement indispensable de leur vitalité compromise par leur nature hybride. Bien que ceci puisse choquer le fidèle croyant illusionné, nul ne s'étonnera des révélations en cours de pratiques pédocriminelles au sein de l’Église romaine*², religion où l’on mange symboliquement le corps du Christ et où l'on boit son sang. Comme d'habitude, c'est à une inversion des symboles que procède la religion babylonienne, en l'occurrence le message d’amour du Christ. Et si l’humanité est manipulée par la religion babylonienne, c’est qu’elle y a consenti...
* Cf. La nouvelle religion universelle.
*² Cf. L’Église romaine décodée.
Le clin d’œil cannibale de la star de la propagande et du totalitarisme écologiste
A l'instar de nombre de stars hollywoodiennes qui se déclarent ouvertement "fan" de cannibalisme (Angelina Jolie, Merryl Streep, Katy Perry...), ou d'autres comme l'actrice française Béatrice Dalle (photo 3) qui en ont fait l'expérience, Greta Thunberg (photo 1)*, fille de la chanteuse d'opéra mezzo-soprano lyrique suédoise Malena Ernman qui ne cache pas ses goûts mortifères en parlant de l'indispensable "pacte avec le diable" pour devenir célèbre, a délivré dans sa guimauve écologique dispensée tout au long de 2019 un message sous forme de clin d’œil à cet univers source de fascination entre attraction et répulsion, avec sa "possibilité de manger de la chair humaine pour sauver le climat". Nous y trouvons tout l'attirail de ces vampires sans âme venus d'ailleurs (Scythes et Assyriens, Jivaros d’Amazonie, Dayaks de Bornéo…), des cérémonies rituéliques avec de la faim, du sacrifice, du sang… D'ailleurs, le cannibalisme n'est-il pas partout dans la Matrice dévoyée, renvoyant tant aux conquêtes coloniales de Christophe Colomb qu’à la manducation (action de manger) de la chair humaine, à l’autre monstrueux ou à la dévoration des siens y compris de ses parents, ce que la culture relaie parmi les personnages de ses œuvres (Moby-Dick, Robinson Crusoé, le Petit Chaperon Rouge, Sade...), se trouvant dans la fiction et la narration, les mots et les images, les contes et les constructions fantasmatiques. C'est pourquoi nombre d'auteurs y ont réfléchi, tels Montaigne, Diderot, Bataille, Baudrillard, Barthes... afin d'en trouver l'explication profonde. Car le cannibalisme, virus intégré dans notre psyché par le corpus prédateur gouvernant, ne fait que hanter nos esprits et nos gestes, même les plus amoureux. Nous sommes tous, sauf éveil de conscience, des cannibales, que l'on mange de la viande, épie les autres, avoir envie de bouffer le monde, dévore des livres, ou avec son amant(e)… C'est ainsi que sauver la planète en tuant plus d’enfants dans le sein de leur mère est la thèse-choc de la gauche libérale américaine, son représentant, Bernie Sanders, sénateur des États-Unis élu du Parti démocrate, ayant proposé avec ses collègues une limitation des naissances comme moyen de contrôle de la population mondiale afin de trouver un équilibre bioéthique capable de préserver le climat, l’environnement et l’harmonie du globe terrestre. Même si cette proposition soulève des oppositions, elle fera comme toute idée progressiste, grâce à l’aide des médias mainstream aux mains des loges occultes, son chemin dans les mentalités, jusqu’au jour où elle sera adoptée et deviendra la norme, considérée comme le bien. C’est ainsi qu’avance dans le monde occidental la révolution du progrès ! Ce fut ainsi pour le divorce, l’avortement, le "mariage" pour les duos invertis, les droits LGBT ou LGBTQIA+ (sigles utilisés pour qualifier les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, queers, intersexes et asexuelles…). Et le mal devient bien, et le bien devient mal !
Il y a quelque chose de foncièrement déconcertant avec le cannibale, cet "autre" qui ne mange pas quelqu’un d’autre mais de la chair humaine. Il mange quelqu’un qui
lui ressemble, en le faisant encore plus sien. Il l’ingère, le digère, l’incorpore. Il y a ainsi un aveu : le rapport à l’autre est impossible, même pas pour partager un repas !
* Greta Thunberg ressemble étrangement à Song Binbin (photo 2), la jeune fille dont Mao s’était servi pour promouvoir la Révolution culturelle chinoise, en 1966. Les deux adolescentes proviennent des classes privilégiées de leurs sociétés respectives. Elles sont manipulées par les puissants du jour, sans trop comprendre l’enjeu. Greta Thunberg s’est rendue à New York sur un voilier de luxe qui avait été baptisé "Mono 60 Edmond de Rothschild"...
Cf. Livre de l’anthropologue Mondher Kilani, "Du goût de l’autre, fragments d’un discours cannibale".
Le marché annonciateur de la viande humaine
Les créateurs du jeu Resident Evil, connu
au Japon sous le nom Biohazard, qui est une série de jeux vidéo d'aventure, action et réflexion de type survival horror (la franchise appartient à la société japonaise Capcom), ont imaginé
un stratagème publicitaire créatif en relation avec leur univers satanique, à savoir une boucherie effrayante. Elle a ouvert ses portes sur le célèbre marché de la viande de Smithfield, à
Londres, où les clients peuvent acheter n’importe quelle partie d’une carcasse humaine : bras, oreilles et même le torse. L’ensemble ressemble à une scène de film d’horreur : des membres humains
enveloppés et exposés au public, de la viande pendue à des crochets, des organes individuels disposés sur des tables en acier inoxydable, comme dans une morgue. Les mains humaines peuvent être
achetées pour 5,99 £ et les pieds sont un peu plus chers à 6 £.
L’une des caractéristiques des membres humains vendus est qu’ils sont tous créés à partir de chair animale, mais seulement dans leur apparence totalement conforme à l’humain. La boutique n’a certes été ouverte en 2021 que quelques jours pour promouvoir le nouveau jeu, mais malgré cette courte période, elle a fait sensation.
Il ne fait nul doute que cette entreprise cache une démarche visant à conduire l’homme vers le cannibalisme et le satanisme par la banalisation, un scientifique suédois, le professeur Magnus Soderlund chercheur à l'école des sciences économiques de Stockholm (photo 5), ayant d'ailleurs affirmé à cet effet lors d'un séminaire en juillet 2022 que les humains devraient devenir cannibales pour lutter contre le changement climatique, manger de la chair humaine étant à ses yeux plus "durable" que l’industrie de la viande...
L'enfant sacrifié, cible privilégiée du système prédateur
La magie noire, autrement dit le satanisme, s'applique de préférence sur des enfants, leur sang étant de qualité supérieure, plus pure, de par le réservoir énergétique contenu. C'est ainsi que nombre de charniers découverts exhument leurs restes, comme ceux qu'une équipe d’archéologues a mis au jour en août 2019 sur la côte nord du Pérou à Huanchaco, ville située à environ 700 kilomètres au nord de Lima, la capitale. Il s'agit de 227 enfants âgés de 4 à 14 ans, sacrifiés selon un rituel de la culture précolombienne chimu* le visage tourné vers l’océan, le rituel visant à apaiser les dieux lors d’une forte tempête (liée au phénomène climatique El Niño.
* L’empire chimu a connu son apogée entre 900 et 1450 sur la côte nord du Pérou, jusqu’à l’actuel Equateur. Il prend fin en 1475, renversé par l’empire inca, une cinquantaine d’années avant l’arrivée des premiers conquistadors dans la région.
Rituels sacrificiels contemporains (1)
Ces rituels sacrificiels ont pour fondement contemporain "la Loi de Thelema", qui serait exprimée dans le Book of The Law (Liber AL vel Legis ou Livre de la Loi), "dictée" à Aleister Crowley (le mage noir) en 1904 en Égypte*. Ils ont été mis en œuvre par la secte Ordo Templi Orientis (O.T.O.), "Ordre du Temple de l'Est" ou "Ordre des Templiers Orientaux", une organisation fraternelle et religieuse œuvre du chimiste Karl Kellner (1851/1905) et de Theodor Reuss (1855/1923). Sa structure est similaire à celle de la Franc-Maçonnerie, avec une série d'initiations à des grades successifs. L'O.T.O. comprend également l'Ecclesia Gnostica Catholica ou Église Gnostique Catholique, qui représente la branche religieuse de l'ordre, reconnue comme telle aux États-Unis depuis 1979. L'O.T.O. compterait 3000 membres dans 58 pays dont la moitié aux États-Unis. Elle a à sa tête un "Chef Visible de l’Ordre" (Outer Head of the Order), élu par les membres du Souverain Sanctuaire, soit les plus hauts grades.
De plus en plus émergent ce qui avait été dissimulé jusqu'alors, à savoir la pédocriminalité et les rituels qualifiés de sataniques qui lui sont associés. Ceux qui s’adonnent à cette activité criminelle utilisent les structures des sociétés occultes pour se dissimuler. Il y a des situations dans lesquelles des hommes très influents tuent des enfants au cours de rituels, et même si le grand public en réfute l'idée, leur confirmation est en cours à l'instar des cas de harcèlement sexuel qui se révèlent désormais de manière accélérée, notamment au sein de l’Église romaine qui ne peut plus endiguer ce que ses fidèles endoctrinés continuaient à farouchement nier jusqu'à récemment. En fait, le terme pédophile n’est pas approprié. Ceux qui tuent des enfants dans des rituels ne sont pas des gens qui "aiment" les enfants et qui veulent prendre du plaisir. Ce sont des gens qui pensent qu’il est nécessaire pour eux de sacrifier un enfant pour atteindre un objectif supérieur. Cela n’a rien à voir avec une satisfaction sexuelle. Il s’agit plutôt de la qualité du sang qui est disponible. Et le sang des enfants a plus d’énergie et une qualité plus pure*². C’est de la magie noire, du satanisme.
Cependant, la "mémoire du sang" s’affaiblissant et se brouillant au cours des siècles, ces lignages vampiriques ont peu à peu brisé leur cadre pour proposer leurs connaissances visant à "déifier" de manière luciférienne l’homme à d’autres initiables par d'autres méthodes, telles que réalisées à partir des os et des cendres, l’emploi de la semence humaine, le "mariage" avec les esprits élémentaires, des sacrifices d’animaux... Dans tous ces cas de figure, ces individus sont "pilotés" par des forces interdimensionnelles à caractère entropique !
* Cf. La nouvelle religion universelle.
*² Les techniques d’éternelle jeunesse, des bains de sang de la comtesse hongroise Erszébet Bathory (1514/1614) et du compagnon d'armes de Jeanne d'Arc Gilles de Rais (1405/1440) aux rites des satanistes actuels ou des raëliens, démontrent sans contestation l'emprise de la force prédatrice sur leurs adeptes, qu'ils soient des entités hybrides, des anthropoïdes (portails organiques) et des humanoïdes ayant choisi de servir ces forces, consciemment ou par manipulation.
Des enfants Moonchild
Les rituels de magie noire sont destinés à ouvrir des portails énergétiques entre les mondes, portails permettant à des entités de la 4ème dimension de densité de
se manifester directement au sein du monde terrestre. Parmi ceux-ci se trouve celui qui est à la fois le plus ancien et le plus efficace, le plus utilisé par ces entités, que le mage noir
Aleister Crowley a décrit en 1917 dans son livre Moonchild ("Enfant de Lune") : "Les rituels Moonchild sont des rituels pour démoniser un fœtus. Cependant, les démons qui sont invoquées ne sont
pas des démons mineurs, mais des démons très puissants. En travaillant avec les victimes de cette programmation, il est clair que des démons de 'haut' niveau ont été placés au sein de ces
personnes à un très jeune âge".
L’idée du Moonchild est que par l’utilisation de la magie noire, il est possible de capturer une âme parfaite. La croyance en la réincarnation, qui est très répandue parmi les groupes Illuminati et sataniques, se prête à la croyance que les âmes sont en concurrence pour un embryon particulier. Dans ce livre, la villa utilisée pour produire un Moonchild a été appelée butter-fly-Net ("Le Filet à Papillon"), le projet Monarch (qui porte le nom du papillon monarque) étant aussi une allusion au projet Moonchild qui voit les papillons constituer une allusion aux âmes. La villa était un temple occulte construit selon les règles de la géométrie sacrée, au sein de laquelle la femme enceinte est entourée d’objets liés à la lune.
Il s'agit de l'un des plus grands secrets bien gardés de la plupart des alters de l’esclave dont le systèmepsycho-émotionnel a été diabolisé pendant qu’il était un foetus, la torture ayant été procurée dans une cage alors qu’il était un petit enfant. De même, les Illuminati satanistes ont également prévu que chacun des dix commandements de Dieu soit violé en leur faveur auprès de l’enfant, préférant que l’enfant soit né hors mariage de sorte qu’il soit un "bâtard". Cela rompt le commandement du Divin sur l’adultère, donnant plus de levier pour détruire l’estime de soi de l’enfant. Le second commandement qui est "Ne prononcez pas le nom du Seigneur en vain" voit qu'au cours des messes noires prodiguées, les noms de Dieu sont invoqués (tels que Yahvé Elohim) pour obtenir des esprits avec des noms blasphématoires. La plupart des éléments de conscience du petit enfant n’entendra de ce fait jamais le nom du Seigneur, n’entendant que le nom de son maître qui un jour lui sera présenté comme "Dieu". C'est pourquoi la main qui berce l’enfant gouverne le monde, liant l’enfant à ses programmeurs futurs. Celui-ci est appelé à devenir un Anti-Christ et/ou un dieu incarné, un enfant "ressemblant à l’homme et possédant ces qualités de l’homme qui le distinguent des bêtes, à savoir l’intelligence et la puissance de la parole, mais qui n’a pas été engendré à la manière d’une génération humaine, ni habité par une âme humaine". Plutôt que d’être conçu et né, l’enfant de la lune est invoqué tel un automate sous contrôle par un rituel de magie !
En conclusion, le Livre de la Loi de Crowley décrit l’enfant de lune comme "plus puissant que tous les rois de la terre".
Cf. en complément le film Village of the Damned ("Le Village des damnés") réalisé par John Carpenter et sorti en 1995, remake du film britannique homonyme de 1960 réalisé par Wolf Rilla, lui-même tiré du roman The Midwich Cuckoos de John Wyndham. Il met en scène des enfants surdoués et dotés de pouvoirs psychiques d’une puissance incommensurable, correspondant à ces "enfants de lune" dont parlait Aleister Crowley. Ils sont tous nés à la même date par une nuit de pleine lune d’une façon "inattendue", ayant les cheveux argenté, soit l’argent métal "lunaire" qui est en relation symbolique avec l’or, le métal "solaire".
Mi octobre 2021, l'anglaise Jeanette Archer a prononcé un discours public d’environ 50 minutes devant le château de Windsor, l’une des résidences de la reine d’Angleterre. Avec des détails puissants, elle indiquait que c’est là qu’elle avait été fréquemment torturée et violée entre l’âge de 3 et 9 ans environ après avoir été extraite de sa maison familiale pour y être conduite. Elle révèle des détails sur la reine dans ce type d'événements macabres (le "glitching"), comme son rang au 33° degré dans la franc-maçonnerie, ainsi que sur le prince Philip. Elle parle également du rôle de la police et des juges, de l'existence de donjons et de systèmes souterrains dans les domaines et bâtiments clés comme Windsor, Buckingham Palace, Balmoral, de la pratique de "jeux de chasse où seuls 1/10 des enfants restent en vie, et des grands rituels de masse au cours desquels Satan est adoré et des sacrifices humains sont effectués, sans oublier la production ritualisée d’adrénochrome* dont l'élite est dépendante comme force motrice.
* C'est dans la fameuse Zone 51 dans le désert du Nevada aux USA que se tient une installation de plus de 140 niveaux qui fournit 80-90% de l’adrénochrome
mondial par le biais de "reproducteurs" dédiés. Parmi les visiteurs figurent "l’oncle" Klaus Schwab, "l’oncle" Dick Cheney (ancien vice-président des Etats-Unis), l'ancien directeur central du renseignement américain William Joseph Casey (1913/1987), l'héritier d’une des plus célèbres dynasties américaines David Rockefeller Jr, l'ancien président des
Etats-Unis George W. Bush, etc.
Rituels sacrificiels contemporains (2) : illustration en 2021
Hunger Games (les "jeux de la faim") est une tétralogie cinématographique de science-fiction américaine réalisée par Gary Ross (le premier opus uniquement) puis Francis Lawrence. Elle est basée sur l'œuvre en trois volumes du roman éponyme de l'écrivaine américaine Suzanne Collins. Les films composant cette tétralogie sont Hunger Games (2012), Hunger Games : L'Embrasement (2013), Hunger Games : La Révolte, partie 1 (2014) et Hunger Games : La Révolte, partie 2 (2015). C'est l'actrice Jennifer Lawrence qui incarne l'héroïne Katniss Everdeen dans l'adaptation cinématographique de la saga. Celle-ci, jeune fille de 16 ans, vit dans le district 12 d'un Etat nommé Panem, qui était précédemment l'Amérique du Nord. Tous les habitants vivent sous la coupe du Capitole, un puissant gouvernement autoritaire dirigé par le président Coriolanus Snow, dont les lettres forment un presque anagramme de Corona Virus... Chaque année est organisé un jeu télévisé, les Hunger Games, pour contrôler le peuple par la peur. Les 24 participants au jeu sont recrutés en tirant au sort deux adolescents, une fille et un garçon tous deux âgés de 12 à 18 ans, dans chacun des 12 districts. Ils doivent ensuite s'affronter dans une arène (un vaste territoire qui mélange éléments réels et virtuels, ville en ruine, forêts, fauves...) au cours d'un combat à mort, au terme duquel il ne peut y avoir qu'un seul vainqueur. Personnage inspiré de la déesse grecque de la chasse Artémis (ou Diane chez les Romains), Katniss, pour s'être publiquement rebellée contre le destin qui lui était promis par le régime du Capitole et du président Snow, va devenir le symbole de la population opprimée qu'elle mène à la révolte, et s'attirer l'hostilité du pouvoir...
Si nous retrouvons la référence au combat mené dans la mythologie grecque par Thésée contre le Minotaure, un monstre mi-homme mi-taureau qui recevait chaque année sept jeunes hommes et sept jeunes femmes d’Athènes en "tribut" pour les dévorer dans son labyrinthe, ainsi que celle des combats de gladiateurs qui existaient dans la Rome antique, le parralèle peut être établi avec le programme de vaccination satanique de masse (24 000 lycéens en vue de l'examen final de fin d'année) décidé en août 2021 par le gouvernement australien dans la province de Nouvelle-Galles-du-Sud. Nombre d'entre eux sont littéralement arrachés à leurs parents par les forces policières (les Youth command, jeunes membres de la police du New South Wales), pour être emmenés dans un vaccinodrome, en l'occurrence la Qudos Bank Arena. Cette arène de spectacles a notamment été utilisée comme temple satanique pendant de nombreuses années par de nombreux groupes de rock satanique*, avec des performances "artistiques" lucifériennes vénérant Satan et souillant Dieu. La vidéo d'un de ces groupes (Slipknot) apparue des années avant l'épidémie de Covid-19 présente notamment des scènes de cannibalisme où les membres du groupe mâchent des moignons ensanglantés de bras et de mains humains amputés ainsi que des scènes d'automutilation avec une personne arrachant la chair de son visage (Cf. image ci-dessus). Ne serait-ce pas ce que l'arme biologique à protéines de pointe Spike (figurée à de nombreuses reprises dans la vidéo) réalise à l'intérieur du corps lorsqu'elle attaque le système cardiovasculaire*² ?
Ce n'est évidemment pas une initiative de santé publique des autorités australiennes, mais un rituel de sacrifice d'enfants (adolescents en l'occurrence) mené à l'échelle nationale. Il en découle que tout parent qui sacrifie son enfant au culte de la mort de la protéine Spike ne condamne pas simplement son enfant à la souffrance et à la mort : il signe un contrat avec les Forces des Ténèbres, étant irrémédiablement lié par le sacrifice de son enfant. C'est en effet une pratique courante dans le culte satanique rituel.
* C'est par exemple le cas du groupe de rock Slipknot ("Nœud coulant"), dont les chansons incluent The Devil and I ("Le diable et moi"), Wait and Bleed ("Attente et saignement"), ou encore Unsainted ("Non saint").
*² Cf. Compréhension structurelle de la Matrice
asservissante.
Le calendrier satanique
Rituel initiatique à la "magie sexuelle"
Le dévoiement par la sexualité de la conscience humaine* a de tous temps constitué la pratique privilégiée des "élites" asservissantes, tout particulièrement de
nature hybride. Il s'agit de réveiller les basses fréquences en encourageant l’animalité, l'éjaculation conduisant à la perte de puissance pour l'homme, son sperme possédant des particules
encodées contenant une partie de sa force personnelle. La luxure est synonyme de joie comme de souffrance, abolissant toute distinction entre le bien et le mal. C'est pourquoi les "royaux" s'y
vautrent à l'insu de leurs proies, symbolisant de cette manière leur pacte avec la force des ténèbres…
La sexualité animale coupe les individus inconscients de leur "troisième œil" situé dans la glande pinéale*², afin de leur interdire d'accéder à la réalité, les confinant dans les fréquences de leurs trois premiers chakras, liés à la matière et l’émotion. Le piège sexuel est ainsi conçu pour "dominer et maîtriser la conscience d’une personne, afin de la soumettre totalement et de la rendre esclave d’une pensée empirique établie sur les basses fréquences".
Ce vampirisme sexuel trouve ses racines tout particulièrement sur les rives de la mer Caspienne, mer " morte " car fermée d’Asie occidentale principalement
alimentée par la Volga, bordée au nord et à l’est par les steppes de l’Asie centrale, à l’ouest et au sud par des chaînes himalayo-alpines comme celle du Caucase. Les pays riverains sont le
Turkménistan au sud-est, l’Iran au sud, l’Azerbaïdjan au sud-ouest, la Russie au nord-ouest et le Kazakhstan au nord-est, soit
le royaume des Huns "sataniques" adorateurs de Ba'al, les barbares Khazars auteurs de viols et mangeurs d'enfants du temps de leur roi dégénéré Bulan*³. Nous en retrouvons nombre de
descendants à la tête de nos pyramides contemporaines, tout particulièrement financières, et qui, dépourvus de toute connexion divine naturelle, imposent leur "dieu" des Enfers à toute
l'humanité, ivre d'un sang autre que celui donné par Dame Nature pour survivre dans ses Ténèbres...
* Cf. Conscience et dépassement de la Matrice sexuelle.
*² Cf. Fonctionnement du corps biologique.
*³ Cf. Le Judaïsme décodé.
Le rituel d'inauguration du Nouvel Ordre Mondial
L'inauguration le 1er juin 2016 du nouveau tunnel suisse du Saint-Gothard d'une longueur dépassant 57 km (coût de plus de 11 milliards d'euros pour 17 ans de
travaux), symbole d'unification européenne, signe l’émergence du "monopole Illuminati" à venir. Pour la première fois sont dévoilés au
monde entier, en présence de nombre de dignitaires du système (Angela Merkel, François Hollande, Matteo Renzi...), tous les symboles et rituels de son identité. Simple choix de création
chorégraphique orchestré par le réalisateur allemand Volker Hesse argueront les serviteurs zélés ou les endormis du
bulbe cervical, pour qui l'homme déguisé en bouc présidant l'étrange rituel ne pose aucun problème. Pour les autres, ils savent que l'élite occulte adore
exhiber son agenda et la symbolique de sa philosophie par des manifestations spectaculaires, réminiscences de scènes ritualisées pratiquées dans les sociétés secrètes...
Toutefois, il est indispensable d'avoir en mémoire que les agences gouvernementales type FBI et CIA aux États-Unis excellent en matière de manipulation mentale*, s'attachant à brouiller les pistes en mélangeant vérités et mensonges. C'est ainsi que, du milieu à la fin des années 1970, les allégations à propos de l’existence d’un culte satanique intergénérationnel bien organisé (en anglais satanic ritual abuse - SRA), dont les membres molestent sexuellement, torturent et assassinent des enfants dans tous les États-Unis, ont commencé à faire leur apparition, notamment à travers un mouvement de panique déclenché par un livre de fiction sorti en 1980 intitulé Michelle Remembers, co-écrit par le psychiatre canadien Lawrence Pazder et sa patiente psychiatrique Michelle Smith. Si ce livre a d’abord été publié comme un fait réel, par la suite, au moins trois enquêteurs indépendants ont démontré qu’il s’agissait d’une mystification, aucune preuve matérielle n’ayant jamais été découverte en Amérique du Nord sur le SRA. La majeure partie des premières accusations d’abus lors de rituels sataniques ont concerné des gens de la classe moyenne disposant de ressources limitées et, à l’exception de quelques uns très rares, les médias et autres groupes qui se montrent d’ordinaire sceptiques, sont restés silencieux ou bien ont rejoint les rangs de ceux qui alimentaient les accusations frénétiques. Les quelques professionnels qui ont parlé contre l’hystérie ont été systématiquement attaqués et discrédités par les agences gouvernementales et les organismes privés. C'est pourquoi il convient de rester prudent en ce domaine, les certitudes pouvant facilement se révéler fantaisistes dans la mesure où les agences de désinformation sont maîtres dans le supermarché des illusions en tous genres, créatrices de nouvelles croyances allant des extraterrestres gris aux contacts extraterrestres pour la clientèle du New Age, et tout un rayon de scénarios d’abus rituels-sexuels pour celles et ceux qui ne sont pas ouverts au "show" extraterrestre ! Elles pourraient bien constituer le rideau de fumée destiné à dissimuler une situation bien plus insidieuse que celle programmée dans les esprits...
* Cf. Contrôle mental, Vérité civilisationnelle & Prédation manipulatoire.
En France, pour les autorités comme les grands médias, les réseaux pédocriminels comme les réseaux satanistes n’existent pas. Comme le nuage de Tchernobyl, ils s’arrêtent à la frontière. Ils sont forcément du pur fantasme de conspirationnistes psychologiquement déséquilibrés...
Pourtant, nombre d'enlèvements de mineurs inexpliqués sont constatés. C'est ainsi qu'en France environ 50 000 en moyenne sont recensés chaque année, dont une partie alimente sans aucun doute possible les réseaux pédocriminels. Nul ne s'étonnera alors de réseaux de rabatteurs de "chair fraîche", comme semblent l'indiquer les affaires "Patrice Alègre" et "Émile Louis", à l'instar des affaires "Marc Dutroux" en Belgique et "Jimmy Savile" au Royaume-Uni (photos 1 à 4)*. Derrière ces affaires de prétendus "pervers isolés" se cachent des réseaux impliquant notables comme élites politiques, de droite ou de gauche de ces pays, même si ces révélations sont édulcorées sinon étouffées tant par la justice que les médias aux ordres. Il convient de préciser que ce phénomène concerne toutes les couches de la société, même si la proportion d’élites pratiquant le satanisme est plus forte que dans le reste de la population.
Il en est ainsi partout ailleurs dans le monde, tout particulièrement aux États-Unis, qui voit par exemple l’affaire "Franklin" impliquer la famille Bush mais aussi de nombreux représentant Républicains et Démocrates (Cf. ci-dessous). Au moment de cette affaire, soit le milieu des années 90, certains observateurs aux États-Unis parlaient de véritable "épidémie d’abus sur les enfants". Ainsi, selon l’American Association for Protecting Children, il était estimé qu’en 1987 2,2 millions d’enfants étaient abusés ou négligés, soit 225% d’augmentation en 10 ans et plus 48% depuis l’année précédente ! En parallèle, la proportion d’enfants touchés par diverses maladies mentales semblait avoir augmenté sensiblement elle aussi. Mais étrangement, on ne trouve jamais de preuve, d’autant plus qu’on part du principe que les témoignages concordants des enfants, même quand ils sont neuf à décrire la même chose ou même 460, ne constituent pas des preuves...
* Il est à comprendre que si ces affaires de réseaux sont sorties dans la presse, c'est que le système prédateur y trouvait son intérêt. D'une part parce que les notables impliqués ne seront jamais inquiétés, sauf ceux destinés à être sacrifiés. D'autre part, parce la publication de ces affaires constitue des rituels dans le rituel : les marches blanches et autres rassemblements organisés en des endroits spécifiques (présence de monuments symboliques comme la statue du Christ sur la croix) contre la pédophilie qui ont suivi ont constitué de puissants égrégores émotionnels destinés à alimenter la prédation psychique ...
"Franklin", la boîte à Pandore du dévoiement élitaire
L'affaire "Franklin" fait référence au Franklin Community Federal Credit Union, une institution financière fondée en 1968 afin d’aider les pauvres de la communauté noire à obtenir des crédits et établie à Omaha, ville de l'état du Nebraska. Elle mettait en cause un de ses anciens cadres, Lawrence E. King (photo 5) accusé d'importants détournements de fonds en novembre 1988. Il était un contributeur généreux et étoile montante du Parti républicain, qui entretenait des relations haut-placées dans le parti. Un magistrat fédéral décidera fort opportunément qu'il était psychiquement trop fragile pour supporter un jugement, au moment où des rumeurs persistantes faisaient état de trafic de drogue, d'abus sexuels sur mineurs, et que l'argent de la Franklin aurait servi à financer de la prostitution de mineurs dont certains provenaient d'orphelinats, et ce pour prodiguer des actes sexuels pour lesquels ils ont été rémunérés y compris par des politiques ... L'affaire connut un nouveau rebondissement en juin 1989 quand la première page du Washington Times titra "Homosexual Prostitution Inquiry ensnares VIPs with Reagan, Bush", l'article prétendant que des personnalités officielles de l'administration de Ronald Reagan et de George Bush père étaient reliées à un réseau élaboré de prostitution masculine à Washington D.C, et rapportaient que deux de ses prostitués seraient entrés dans la Maison-Blanche tard dans la nuit. Les termes employés faisaient état "d'enlèvement, abus, et implications de mineurs dans des perversions sexuelles". Les personnes-clés mises en cause étaient Craig J. Spence, un lobbyiste républicain basé à Washington D.C., qui se suicida dans le courant de l'année, et Lawrence King, accusé d'abus de jeunes garçons de Boys Town (5.000 enfants y vivaient dans les années 80) et du Webb child care, des foyers d'accueil pour jeunes en difficulté d'Omaha.
En janvier 1990, l'organe législatif du Nebraska constitua un comité spécial d'enquête sur ces allégations, puis dans la foulée le procureur général de l'État appela à la création d'un grand jury pour examiner le cas, avec à sa tête un ancien juge de district, alors retraité. Le 23 juillet 1990, après avoir entendu plusieurs heures de témoignage, le grand jury - dont les débats étaient secrets et de ce fait non contradictoires - balaya les allégations concernant l'abus sexuel sur enfants, qualifiant les accusations de "canular particulièrement subtil et soigneusement préparé" et répandu par une ou des personnes avec une connaissance considérable des personnes et des institutions d'Omaha, mais sans les avoir identifiées ... Le jury déclara aussi qu'ils "n'ont trouvé aucune preuve de viol d'enfant, de leur transport par l'autoroute de trafic de drogue ou d'implication dans un réseau pornographique". Le président du comité spécial d'enquête qualifia ce rapport d'"étrange document", d'autant qu'un enquêteur privé mandaté en août 1989 par le comité d’enquête avait établi une liste de dizaines d’anciens pensionnaires de Boys Town disant avoir été victimes d’exploitation sexuelle. Quant à Lauwrence King, il fut en juin 1991 reconnu coupable de conspiration, de détournement de fonds (l'argent servait à acheter des politiques pour assurer sa carrière et à acheter le silence de certaines victimes) et de falsification de comptes, et condamné à 15 ans de prison (libéré le 10 avril 2001, après cinq années de détention...).
En 1993, la chaîne de télévision britannique Yorkshire Television envoya une équipe dans le Nebraska pour lancer sa propre enquête. Intitulé Conspiracy
of Silence ("La Conspiration du silence"), elle devait être diffusée en partenariat avec un diffuseur états-unien dans tout le pays le 3 mai 1994. L'annonce en parut dans le TV
Guide ainsi que dans les journaux. Mais à la dernière minute et sans explications, il ne fut pas diffusé ce jour-là ni jamais (ses droits ont été rachetés afin que le documentaire ne soit jamais diffusé). Il peut par contre être visionné sur internet.
Chose encore plus étrange, un plaignant ancienne victime (Paul A. Bonacci) gagna un jugement en février 1999 dans un procès civil contre Lawrence King, l'accusant de kidnapping, de domination mentale et de viol dans le cadre d'un rituel sataniste *, ainsi que de blessures physiques et psychologiques. Le juge ne fonda pas son jugement sur ses accusations, mais le définit par rapport à l'absence à son procès de l'accusé, ce dernier purgeant déjà, au moment de la poursuite, sa peine de prison de 15 ans commencée depuis juin 1996 (selon le grand jury, le psychiatre qui a examiné Bonacci a dit qu’il ne peut pas dire la vérité en raison de son trouble de personnalités multiples. Cependant le psy n’est pas venu témoigner devant ledit grand jury...).
Compte-tenu que de nombreuses questions sont restées ouvertes et continuent d'alimenter des
spéculations, des investigations menées en marge de l'enquête officielle tronquée établissent bel et bien que King avait créé un réseau de prostitution avec des enfants venus de foyers et
orphelinats. Le but premier était de corrompre des politiques bien placés, des avocats, des magistrats, des hommes d’affaires, des journalistes, des flics... autant de personnes qui pouvaient lui
servir politiquement ou investir dans le Credit Union dont il détournait l'argent. Certains aimaient ces partouzes pédophiles (avec scènes de viols et de tortures comme des brûlures avec
cigarettes), et n'hésitaient pas à demander de la drogue et des enfants. Pour les autres, qui se laissaient appâter, ils lui permettaient d'exercer à leur encontre un chantage, rien de tel qu’une
bonne photo compromettante les montrant en train de sodomiser un enfant...
Comme l'a indiqué l'ancien sénateur du Nébraska DeCamp dans son mémorandum de 1989 *², le FBI, en sabotant l’enquête, a voulu surtout couvrir des personnes très haut placées, le nom de Georges Bush n'étant pas le moindre tel qu'avancé par des témoins comme Nelly Patterson... Qui plus est, une partie de l'argent détourné par King aurait servi à financer des opérations secrètes de la CIA, comme en Iran. Inutile de préciser que nombre de témoins de l’affaire, des victimes comme des parents, ont fait l'objet d'intimidations, y compris de la part des membres du "grand" jury, et que nombre de questions pourtant essentielles ne furent jamais posées quant au déroulement des faits. Les pressions ont si bien fonctionné que pas moins de 76 victimes potentielles sont revenues sur leurs propos, ou bien ont carrément refusé de participer à l'enquête, une campagne de décrédibilisation des témoins ayant été également mené dans les médias locaux, notamment le Omaha World Herald dont le propriétaire faisait partie des élites participantes... Ses journalistes aux ordres n’ont jamais cherché aucune confirmation de ces témoignages, se contentant de dire que tout était faux. De leur côté, plusieurs enquêteurs qui travaillaient sur cette affaire ont été menacés ou ont vu leurs véhicules sabotés.
* Il y évoque (avec d'autres témoins) des rituels, surtout à la période de Noël (allusion à la naissance de l'enfant Jésus) au cours desquels des bébés ou de très jeunes enfants étaient assassinés après avoir été violés, d'autres qui étaient aspergés d’essence et jetés au feu, dont certains avaient lieu dans un camp de l’armée US (l’Offutt US Air Force Base près d’Omaha où sont les quartiers du Strategic Air Command). Il décrit notamment une scène où un bébé de deux ans est d’abord violé par sa mère, qui semblait croire dans le culte même si elle était droguée, avant d’être tué. Les adultes ont ensuite récupéré le sang du bébé, et l’ont mis dans un calice qu’ils ont fait circuler. Enfin, le bébé a été démembré, et les adultes ont mangé sa chair et ses yeux. Bonacci a aussi évoqué des actes nécrophiles qu’il a été forcé de commettre sur un garçon qui venait de recevoir une balle dans la tête. Un autre témoignage d'une jeune fille évoque le meurtre d’un petit garçon sacrifié, dont on l’a obligée ainsi que d’autres fillettes présentes à manger des morceaux.
*² Mémorandum de John deCamp, ancien sénateur du Nebraska, qui résume le scandale "Franklin" et désigne nommément cinq figures centrales dans l'enquête. Le mémo de 1989 est édité en livre en 1992, publié sous le titre "The Franklin Cover-up: Child Abuse, Satanism, and Murder in Nebraska" (photo 6), complété et réédité en 2006. Voir également le livre de Nick Bryant " The Franklin Scandal: A Story of Powerbrokers, Child Abuse & Betrayal " (2009), et co-auteur du livre "Confessions of a D.C. Madam: The Politics of Sex, Lies, and Blackmail" publié en Mars 2015.
L’école maternelle Mc Martin, ou le "syndrome des faux souvenirs"
Cette affaire débute en août 1983, quand une mère de famille d'un enfant de trois ans de
l'école maternelle "la McMartin preschool" située à
Manhattan
Beach dans la banlieue de Los Angeles appelle la police, pensant que son fils y a été violé. L'enquête officielle va déboucher sur l'absence de tout élément à charge, relayée
par les médias, alors même que 90% de la population locale était convaincue de la réalité des abus sexuels sur les enfants de cette maternelle (et d’autres). Qui plus est, elle veut que la
mère soit mentalement dérangée, alcoolique et suicidaire (ses proches ne lui ont pourtant jamais connu de problème d’alcool ni de trouble mental avant
d’apprendre ce qui était arrivé à son fils). Celle-ci va d'ailleurs décéder prématurément, à cause de l’alcool auquel elle était allergique, alors que le procès était toujours en cours. Pourtant
les examens médico légaux effectués par des spécialistes du Children's Institute International (CII) à l’université de Californie ont confirmé les dires de l'enfant, qui
déclarait avoir été abusé dans des tunnels situés sous l’école*, notamment par le fils de la directrice et petit-fils de la fondatrice de l’école, qui travaillait là à mi-temps en tant
qu’aide scolaire. Et c’est parce qu’il était rentré de l’école avec l’anus enflammé que sa mère avait réagi, la thèse officielle disant que, devenue obsédée par l’anus de son fils, elle l’a
poussé à parler de choses qu’il n’avait pas vécues...
C’est à se demander pourquoi une enquête a été ouverte à ce sujet, pourquoi la police a réuni les parents d’élèves pour leur demander de voir si leurs enfants auraient pu être victimes, et pourquoi une dizaine d’écoles du coin ont été perquisitionnées dans la foulée, et quatre fermées. Mais pour les médias, c'est à ce moment que les parents ont commencé à parler de ces viols qui n’existaient pas, ce qui s’est transformé en délire collectif et en "chasse aux sorcières". Quant aux spécialistes de l’université de Californie, ils ont été accusés d'avoir induit les réponses. Sur les 400 gamins auditionnés, 80% d’entre eux avaient déclaré avoir subi des abus sexuels. Mais sur ces 360 enfants, seulement 11 ont été entendus lors du procès. Il se termina avec l'intervention d’éminent spécialistes*², tels que Richard Gardner de l’université de Columbia, chantre du Syndrome des Faux Souvenirs et du Syndrome d’Aliénation Parentale, disant que les psys qui avaient interrogé les enfants leur avaient induits des souvenirs... Comme pour l'affaire d'Outreau en France, cette affaire est devenue un cas d’école de la dérive qui survient quand on cautionne la parole des enfants. Sauf que de nombreux éléments laissent penser que les enfants ne racontaient pas des histoires, même s’ils pouvaient en avoir l’air...
* Lorsque l’école a été revendue en avril 1990, une équipe de scientifiques a sondé le sol, ce qui a permis de constater des remblais ou des tassements de terre anormaux. L’équipe a donc trouvé sous la terre exactement ce que les enfants avaient décrit.
*² Ainsi l'association "False Memory Syndrome Foundation" créée en 1992, reconnue d’utilité publique, dotée d’un service de communication bien rôdé, et destinée à promouvoir la notion absolument pas scientifique de "Syndrome des faux souvenirs" à grand renforts d’interventions médiatiques.
Si on aimerait croire à la version officielle récusant le crédit de la parole des enfants sans se poser de questions, de nombreux éléments amènent cependant à relativiser la "vérité judiciaire". Car la McMartin preschool, tout comme d'autres écoles maternelles* aux États-Unis, apparaît bel et bien comme un pivot de très grands réseaux de prostitution comme de pornographie enfantine, dont les activités semblent protégées et couvertes par un certain nombre de fonctionnaires locaux, provinciaux et fédéraux. Il en serait de même selon les témoignages d'enfants recueillis depuis cette affaire d'églises, de morgues, diverses habitations, de fermes, de bureaux médicaux, de crèches et autres endroits comme des entreprises. Certains disent avoir été forcés de participer au sacrifice d’animaux mais aussi de bébés et d’autres enfants, d'avoir été obligés de boire leur sang, de poignarder des bébés ou d’assister à leur décapitation, de manger la chair de cadavres. Certains ont été mis dans des cercueils avec les cadavres mutilés. On les a soumis à des pratiques nécrophiles, scatologiques, zoophiles. Ils parlent de viols et sodomies avec des bâtons, avec parfois des adultes habillés de robes noires et chantant en cercle autour d’eux.
Ces éléments ressemblent beaucoup à ce qu’ont décrit d’autres enfants en Europe comme en France. Le complot des psys qui insufflent les faux souvenirs doit être au moins mondial... D'ailleurs, dès février 1985, nombre de policiers savaient que les abus rituels étaient une réalité, l’un d’entre eux, l’officier Sandi Gallant de la police de San Francisco, ayant réalisé un rapport sur le sujet en recensant de nombreux cas à travers les États-Unis et au Canada, où le phénomène semblait se développer aussi. Mais ce rapport destiné à l'Attorney general (procureur) de Californie n’a jamais été transmis au FBI, et le ministère de la Justice a également refusé de l’examiner...
* En 1988, une étude intitulée "sexual abuse in day care : a national
study (abus sexuels dans les maternelles : une étude nationale) porte sur 270 cas d’abus sexuels dans des crèches et maternelles, concernant 1.639 victimes. Selon les spécialistes qui ont
rédigé l’étude, les abus rituels sont évoqués dans 13% des cas. Ils ont également calculé que sur l’ensemble des cas d’abus sexuels sur les enfants connus par la police, seuls 23% des
pédocriminels potentiels sont condamnés à de la prison.
La "gravité spirituelle" des traumas
Dans la mesure où le corps humain détient une constellation de modules ou mécanismes de mémoires-programmes (ces "petits-moi" seraient au nombre de 987 selon l'historien russe Boris Mouravieff dans son ouvrage Gnôsis tome 2) qui déterminent notre perception, notre forme physique et notre personnalité, ceux-ci déterminent tout naturellement notre "monde" et par-là même notre destinée. C'est pourquoi cette dissociation psychologique que constitue un trauma, autrement dit une disharmonie (blessure), est constitutive par la répercussion psychique de l'onde de choc d'alter, soit la création d'un vide dans la mémoire occupé par l'esprit du trauma, celui-ci attirant les entités du corpus prédateur en raison du principe de sympathie*, et qui peuvent ainsi résonner avec nos problèmes sous forme de dépression ou d'angoisses. Renforçant notre monde subjectif afin de se nourrir, elles amplifient notre propension apparemment innée à nous illusionner nous-même, ces influences mutuelles s'inscrivant ainsi dans un espace-temps se confondant alors qu'il est différent (3-D pour les humains, 4-D pour les entités involutives). De ce fait, les traumas figent une dimension de temps dans le Temps du Rêve (le temps fractal du "kairos") qui n'est pas linéaire*². Cette vulnérabilité aux esprits/entités prédatrices et à leurs forces psychiques découle de l'affaiblissement de la barrière éthérique protectrice. C'est ainsi qu'un être blessé ouvre une porte, comme par exemple la culpabilité d'un animal tué voyant l'esprit de ce dernier venir se loger en compensation de la perte de son corps... A l'inverse, il ne peut y avoir d'intrusion si l'Unité originelle n'est pas brisée.
Comme certaines fonctions sont liées à ces fragments dissociés, chaque fragment perdu voit la fonction effacée (capacité à faire confiance, à aimer, à s'amuser...). Seule la réintégration de ces fragments fait réapparaître les capacités qui leur sont associées, tout en éliminant les symptômes pathologiques tel que le symptôme de stress post-traumatique. Nul ne s'étonnera alors que la répétition de traumas fragmente littéralement la personnalité et par-là même la réalité perçue, l'individu alternant entre différents mécanismes d'adaptation à la réalité. Elle est constitutive du trouble de personnalité multiple, tout commençant par une première scission de la volonté (la dissociation).
* Il est constitutif de ligands sur le plan anatomique, soit des molécules qui agissent de manière chimique sur les récepteurs cellulaires. Les traumas
entraînent de ce fait des ligands semi-physiques de substitution venant combler une partie manquante de l'être, obscurcie en raison de la souffrance qui lui est associée.
*² Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?
Programmation de la psyché par le Trouble Dissociatif de l'identité
Le processus dissociatif est la clé de voûte pour la programmation de la psyché. Cet état modifié de conscience est provoqué par une violente ouverture psychique et spirituelle, l'enfant qui en est victime étant incité à échapper à la douleur ressentie en se dissociant, comme s'il traversait un miroir lui permettant de s'échapper d'une situation insupportable en accédant à d'autres dimensions d'être. La dissociation face à un traumatisme extrême comme une menace de mort évidente se manifeste paradoxalement par un calme soudain et surprenant avec une absence de peur et de douleur, et ce quelle que soit la gravité de la violence. C'est le résultat neurochimique du processus dissociatif. Dans cet état, la victime devient alors intensément concentrée, développant une hyper acuité sensorielle, une rapidité mentale et une sorte d'expansion de la notion du temps. Dans un tel état dissocié et hypnotique, l'enfant devient alors hyper réceptif à l'apprentissage et à la programmation. C'est cet "alter" qui fait l'objet de la programmation. Quant au trauma refoulé dans l'inconscient, il nourrit par sa souffrance le système prédateur vorace.
C'est pourquoi par le traumatisme qu’ils provoquent les rituels dits sataniques jouent un rôle très important dans la fragmentation de l’esprit et dans la création de ces "alter" ou personnalité multiple. Le rituel satanique est de ce fait associé aux programmes de contrôle mental*.
Plus une victime de contrôle mental est traumatisée jeune, mieux son esprit sera programmable. Cela explique que dans ces familles "sataniques" que d'aucuns qualifient d'"illuminati", les enfants sont soumis à des sévices physiques et sexuels dès leur plus jeune âge, leur esprit étant fragmenté en des centaines de personnalité ou alter programmés par l’invocation d’entités du bas astral qui vont posséder la victime, et/ou par l’utilisation de drogues et d’hypnose.
C’est ce qui explique au demeurant que la psychiatrie comme la psychologie cognitive faisant appel à l'hypnose peuvent, derrière leur apparence, être liées à des manipulations prédatrices de leurs praticiens plus ou moins conscients. Les hospitalisations en milieu psychiatrique constituent ainsi une manière habile de (re)mettre sous contrôle tel ou tel individu présentant un intérêt ou un risque pour le système... Tous les médicaments psychiatriques - anxiolytiques et autre antidépresseurs - sont non seulement inefficaces mais dangereux, leur seul but étant de programmer les êtres humains et de détruire le lien entre leur âme et le champ de l'Esprit universel qu'exprime leur aura. Aujourd’hui, grâce à l’utilisation de technologies satellitaires, d’antidépresseurs, de l’internet et de la télévision, on peut dire que 100% des êtres humains sont plus ou moins sous contrôle mental selon leur compréhension du fonctionnement de la Matrice*², 10% étant sous contrôle mental total, leur esprit étant totalement fragmenté (ce qui est le cas de la plupart des hommes politiques, des stars de cinéma et du divertissement musical, et des gourous enseignants du New Age).
* Cf. Contrôle mental.
*² Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.
De leur côté, les officines et leurs agents de désinformation ont pour vocation de semer de faux indices pour égarer les chercheurs de vérité. Pour ce faire, elles initient et répandent des mèmes, soit des éléments de langage aisément reconnaissables et transmis par répétition d'un individu à d’autres. Elles fabriquent des choses qui supposément vérifient leurs histoires insensées, dans le seul but de distraire, de faire diversion, et pour les tenir occupés dans des conflits internes quant à la justesse des sources. Or comme l'a fait remarquer le pasteur baptiste et militant non-violent afro-américain pour le mouvement des droits civiques des noirs américains aux États-Unis Martin Luther King Jr. (1929/1968), les groupes violents n’ont jamais réussi à changer quoi que ce soit, seule une protestation non-violente massive et cohésive pouvant conduire à un changement significatif. C’est la raison pour laquelle de nombreux individus qui étaient des leaders charismatiques de mouvements non-violents ont été assassinés (Bobby Kennedy, John F. Kennedy, Martin Luther King, John Lennon, Gandhi...) par des individus programmés. Ceci explique également le "terrorisme truqué", stratégie destinée à créer la possibilité d’un autre Martin Luther King cette fois-ci sous contrôle qui surgirait, parce que quand les pouvoirs en place rencontrent un groupe qu’ils ne peuvent pas contrôler, ils vont s'en assurer par un relais au sein même de l'appareil jusqu'alors non contrôlable. Sa mission téléguidée consiste à initier des événements violents de toutes pièces, faux scénarios qui seront attribués à des gens non-violents. Et comme l'a dit le chanteur John Lennon, "dès qu’ils vous ont rendu violents, ils vous ont amené là où ils voulaient". C'est ce qui est appelé "opérations sous fausses bannières", destinées à accuser n’importe quel groupe même si ce groupe est 100% non-violent.
L'exposé Greenbaum
D’abord intitulé Hypnosis in MPD : Ritual Abuse ("Hypnose dans le trouble de la personnalité multiple : sévices rituels"), cet exposé du Dr (notamment psychologue) états-unien D. Corydon Hammond fut prononcé lors d'un congrès annuel sur les sévices et les personnalités multiples en 1992 dans l'état américain de Virginie. Il est relatif tout particulièrement aux techniques/méthodes de conditionnement d'individus par manipulation mentale (suggestion hypnotique et sévices rituels) et lavage de cerveau, les conduisant à souffrir du trouble dissociatif de l’identité (TDI) ou trouble de la personnalité multiple (TPM), ainsi qu'aux stratégies hypnotiques de prévention des rechutes et de la thérapie post-intégration utilisée pour y remédier. On trouve ce type de programmation mentale aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Selon le Dr Hammond, c'est une organisation internationale occulte qu'il nomme The Cult (La Secte) qui pilote ces sinistres activités. Elle serait divisée en plusieurs branches servant toutes le même but...
Les origines apparentes de ce phénomène remontent à la fin de la Deuxième Guerre mondiale – avant même la fin du conflit –, lorsque plusieurs membres du renseignement étasunien se trouvaient en Suisse pour prendre les contacts nécessaires à l’exfiltration de savants nazis, dont des médecins nazis qui avaient dans les camps de concentration mené des recherches sur la programmation mentale. Parmi eux, se trouvait un jeune garçon, nommé Greenbaum (arbre vert) - c'était un faux nom comme il sied à la manipulation mentale - qui avait été élevé dans la tradition juive hassidique, sur fond de mysticisme kabbalistique*. Ayant survécu en collaborant, il avait assisté les nazis dans leurs expériences. Ils entreprirent des recherches sur la manipulation mentale pour le renseignement militaire étasunien, en commençant dans des hôpitaux militaires. Entretemps, le jeune garçon avait changé de nom, l’américanisant - le docteur Green -, avant que d'obtenir un diplôme de médecine et d'exercer en tant que médecin... Pour ce faire, ils prirent des enfants, commençant la programmation à l’âge de deux ans et demi environ, après avoir été rendus dissociatifs par des sévices (comme des abus sexuels) ou par certaines pratiques (comme un piège à souris placé au bout des doigts et seulement retiré lorsque les enfants ont cessé de pleurer). Au fil du temps, le rituel de programmation se renforce, l'enfant étant placé sur un brancard, sanglé et généralement nu, avec un goutte-à-goutte posé dans une main ou un bras et des fils électriques placés sur sa tête afin de suivre son électroencéphalogramme. Il est soumis à des lumières stroboscopiques, le plus souvent rouges, parfois blanches ou bleues. On lui administre du Demerol *², parfois d’autres drogues selon le type de programmation, le protocole spécifiant de lui donner telle dose toutes les vingt-cinq minutes, jusqu’à ce que la programmation soit achevée. Les patients ont décris une douleur à l’oreille – généralement la droite – dans laquelle une aiguille avait été placée, entendant des bruits étranges et confus, tout en se voyant projeter devant les yeux des lumières pulsant à une certaine fréquence, afin d'induire dans le cerveau un certain type d’ondes cérébrales. Une fois que le cerveau émet le type d’ondes requis, la programmation commence, orientée vers l’autodestruction et l’avilissement de la personne.
Une patiente soumise à cette programmation a indiqué que lorsqu'elle atteignait l’état souhaité d’altération de la conscience, il n’était plus nécessaire de la surveiller au moyen d’électroencéphalogrammes. Elle plaçait alors elle-même ses électrodes, une dans le vagin, par exemple, et quatre sur la tête, et parfois sur d’autres parties du corps. Ses programmateurs commençaient alors en lui disant : "Tu ressens de la colère envers un membre du groupe. "Elle répondait : "Non, je ne suis pas en colère" ; ils lui envoyaient alors un violent électrochoc. Ils répétaient la même chose jusqu’à ce qu’elle obéisse et ne donne plus de réponses négatives. Puis ils poursuivaient : "Et quand tu en voudras à quelqu’un du groupe", ou "Si tu en veux à quelqu’un du groupe, tu te feras du mal à toi-même. Comprends-tu ?" Elle répondait "Non" et ils lui envoyaient un
électrochoc. Ils répétaient encore "Comprends-tu ?" " Oui, mais je ne veux pas. "Électrochocs à nouveau, jusqu’à ce qu’ils obtiennent
obéissance. Puis ils ajoutaient "Et tu te feras du mal en t’infligeant des coupures. Comprends-tu ?" Même si elle répondait "Oui", ils pouvaient
lui répondre "Nous ne te croyons pas" et lui envoyer quand même un électrochoc. "Reviens en arrière et récapitule toutes les instructions."
Et ils continuaient. D’après ses impressions, ils s’absentaient en général pendant trente minutes environ pour une pause cigarette ou autre, puis
revenaient. Ils récapitulaient ce qu’ils avaient fait, et c’était terminé. Ou bien ils récapitulaient ce qu’ils avaient fait et passaient à autre chose. D’après elle, les séances avaient lieu trois fois par semaine et pouvaient durer d’une demi-heure à trois heures. C’est une programmation par les drogues, dans un certain état d’ondes cérébrales (Alpha, Bêta, Delta ou Thêta), avec ces bruits dans une oreille et leurs voix dans l’autre – généralement la gauche, associée à l’hémisphère non-dominant (le droit) – ce qui force le sujet à se concentrer de façon intense. En effet, s’il veut éviter punitions, électrochocs et autres, il doit souvent mémoriser et répéter certaines choses mot pour mot.
Cette dissociation de personnalités multiples sous forme d'alter - terme utilisé en psychologie pour désigner les différentes identités
présentes chez un individu atteint du Trouble dissociatif de l’identité - est porteuse d'un programme, par exemple alpha-zéro-zéro-neuf. Ainsi, quand un
programmateur prononce "Alpha-zéro-zéro-neuf" ou fait un certain geste de la main pour l’indiquer, il active le même alter chez chacune de ces personnes sous un nom différent. Les Alphas semblent
représenter la programmation générale, les premiers types de programmes à être intégrés. Les Bêtas semblent être des programmes sexuels (par exemple, comme faire une fellation d’une certaine
manière, comment accomplir des actes sexuels lors de rituels, le tout lié à la production ou la mise en scène de pornographie infantile, à la prostitution). Les Deltas sont des tueurs entraînés à
tuer lors de cérémonies. Tout cela s’accompagne aussi d’actes d’automutilation, d’assassinats et de meurtres. Les Thêtas sont appelés "tueurs psychiques". Quant à Oméga, c’est la programmation de
l’autodestruction, qui peut comprendre des programmes d’automutilation comme de suicide. Gamma semble désigner les programmations de protection du système et de leurre, comme donner de fausses
informations, tenter d'égarer, dire des demi-vérités et protéger différentes choses. D'autres sont personnalisés, comme Zêta (production de snuff movies, terme désignant une vidéo ou un long
Toutes ces programmations sous lettres grecques, qui changent tous les deux ou trois ans, ont des programmes de sauvegarde qui disposent en général d’un code d’effacement. Tout ceci indique un lien étroit avec le monde de
l'informatique, parmi lesquels se trouvent nombre d'informaticiens "Maîtres noirs" et autres "Maîtres-programmeurs", déclinés en Computer Operator Black (informaticien noir), Computer Operator
Green (informaticien vert), Computer Operator Purple (informaticien violet), et parfois désignés par des nombres ou encore par les termes "Directeurs des systèmes d’information" (DSI), dont
beaucoup ont été psychologiquement dissociés au moment de l'enfance. De même, ce genre de programmation implique souvent des médecins, à même de pouvoir prescrire des drogues aux programmeurs
tout en étant au-dessus de tout soupçon.
Le satanisme est bel et bien au cœur de la philosophie globale qui sous-tend tout cela, à savoir la constitution d'une armée de
de dizaines de milliers de robots mentaux prêts à se livrer à la prostitution, à la pornographie infantile, au trafic de stupéfiants, au trafic d’armes
international, aux snuff movies, et à toutes sortes d’activités très lucratives. Prêts à obéir aux ordres, ils sont au service des psychopathes Illuminatis au sommet de la pyramide, dans le but
de créer un ordre satanique appelé à gouverner le monde !
* Voir les ouvrages Qabala (avec un "q"), de Dion Fortune, ou The Kabbalah de Ann Williams-Heller.
*² Le Demerol (mépéridine et péthidine) ou Dolantine est un analgésique opioïde de niveau 3. C'est un antidouleur qui comporte une molécule de synthèse proche de la morphine et qui se fixe aux mêmes récepteurs que la morphine dans le cerveau. Il agit en bloquant les influx nerveux véhiculant la douleur.
Quelques personnages "célèbres" programmés par l'effet Greenbaum
Lee Harvey Oswald (1939/1963 - photo 1), principal suspect de l'assassinat du président américain John Fitzgerald Kennedy et du meurtre du policier J. D. Tippit, programmé pour être le "bouc-émissaire"; Jacob Leon Rubenstein qui changea son nom en Jack Leon Ruby * (1911/1967), assassin du précédent le 23 novembre 1963, programmé sous hypnose; George Sergius de Mohrenschildt (1911/1977), lié d'amitié avec Lee Harvey Oswald à l'été 1962 et dont le témoignage devant la Commission Warren en charge de l'enquête sur l'assassinat du Président Kennedy a été l'un des plus longs de tout témoin, programmeur comme programmé; Sirhan Sirhan (1944/-), jugé coupable de l'assassinat de Robert Francis Kennedy (frère du président des États-Unis John Fitzgerald Kennedy) qui s'est produit le 5 juin 1968, et condamné à mort, peine ensuite convertie en prison à vie; James Earl Ray (1928/1998), criminel américain condamné à 99 ans de prison pour avoir assassiné le 4 avril 1968, à Memphis dans le Tennessee, le pasteur Martin Luther King, lauréat du prix Nobel de la paix en 1964; Arthur Herman Bremer (1950/-), qui tenta d’assassiner le candidat démocrate à la présidence des États-Unis George Wallace le 15 mai 1972 à Laurel, Maryland, le laissant paralysé à vie (reconnu coupable, il fut condamné à 63 ans de prison pour la fusillade ayant touché Wallace et 3 spectateurs); Louis Farakhan (1933/-), surnommé le "Hitler Noir" et dont l'organisation Nation of Islam (NOI) est stigmatisatrice des Juifs rendus responsables de l'esclavage et de la traite des Noirs; Joseph Lyle né en 1968 et Erik Galen Menéndez né en 1970, deux frères américains connus pour l'assassinat de leurs parents Jose et Mary "Kitty" Menéndez en 1989; Ted Bundy né Theodore Robert Cowell (1946/1989), tueur en série américain qui a agressé et assassiné de nombreuses jeunes femmes et filles durant les années 1970; Ricardo Leyva Muñoz Ramírez dit Richard Ramirez (1960/2013), tueur en série américain ayant sévi à Los Angeles et San Francisco en 1985 et condamné à la peine de mort pour avoir commis 11 viols et 14 meurtres; Jeffrey Dahmer (1960/1994), tueur en série américain surnommé "le cannibale de Milwaukee" qui a avoué avoir assassiné dix-sept jeunes hommes entre 1978 et 1991; etc.
* Jack Ruby est mort d’un cancer sans en parler à personne, sauf à la journaliste états-unienne Dorothy Kilgallen
(1913/1965), qui a alors "décidé" que c’était le meilleur moment pour se suicider, juste après avoir interviewé Jack Ruby… naturellement, avant qu’elle n’écrive un mot à ce
sujet.
Aujourd’hui aux États-Unis, de nombreux "survivants" des abus sexuels rituels se sont exprimés. Ils ont créé des blogs, des sites web, témoigné à la télé, dans les journaux, lors de conférences, mis en place des associations d’aide aux victimes de ces abus qui souffrent souvent de divers problèmes tels que les personnalités multiples*. Et souvent, ces victimes parlent des mêmes choses : des expérimentations "médicales" (certaines victimes en France parlent de cela aussi), des manipulations mentales, notamment via des chocs psychiques, d’actes de torture, de meurtres rituels. Des personnalités politiques et locales sont mentionnées également. Beaucoup de ces victimes disent avoir voyagé en avion pour se rendre dans les partouzes, y compris dans de hauts lieux du pouvoir, beaucoup étant entrées dans le système parce que leur famille y était et les a fait grandir dedans. Les témoignages ne cessent de s’accumuler. Pourtant, les grands médias - à de rares exceptions - et la Justice continuent à l’ignorer.
S'il est impossible d'accéder à la vérité par le canal officiel, la pensée unique dispensée par les autorités et le "mainstream" médiatique consistent à pointer du doigt l'"hystérie satanique", s'attachant à maintenir la chape de plomb sur cette sordide réalité. La règle dans ces enterrements judiciaires est de ne pas prendre en compte ce que disent les victimes, qui sont aussi les seuls témoins, parce qu'elles ont l’énorme désavantage de n’être que des enfants. Et si des psys cautionnent leur parole, d'autres spécialistes se chargent de décrédibiliser les experts et les victimes. Après, on met de côté les preuves médico-légales – quand elles existent -, et l’affaire est bouclée, à l'image de l'Ouroboros, symbole de la Matrice dévoyée.
* Une étude menée par l’American Psychological Association a montré que 12% des membres avaient déjà eu à traiter des cas d’abus sexuels rituels. De fait, il semble que très souvent les victimes viennent consulter pour une dépression. Au fil de la thérapie, les souvenirs d’abus sexuels sataniques reviennent à la mémoire des personnes. Mais il est très difficile de les prouver des années après les faits, d'autant quand les victimes sont encore sous influence, ce qui ne semble pas rare du tout.
Du trafic sexuel des enfants
Il est désormais avéré car documenté que les abus sexuels sur les enfants sont commis à grande échelle aux Etats-Unis, de nombreux membres du système élitaire et non des moindres faisant partie des pires abuseurs. Pourtant, malgré les preuves accablantes, de nombreux médias grand public et le gouvernement refusent de voir cette épidémie très réelle. Le système est en fait conçu pour arracher les enfants à leur famille pour des raisons ridicules, et les confier à des systèmes à but lucratif – financés par les impôts des contribuables – qui utilisent ces enfants comme des vaches à lait et n’ont aucun intérêt à les protéger.
En 1984, le Congrès des États-Unis a créé le National Center for Missing & Exploited Children (NCMEC - "Centre national pour les enfants disparus et exploités") et, dans le cadre du Missing Children’s Assistance Reauthorization Act ("Loi sur la réautorisation de l'assistance aux enfants disparus") de 2013, ils reçoivent 40 millions de dollars pour étudier et suivre les enfants disparus et victimes de trafic aux États-Unis. En 2017, le NCMEC a aidé les forces de l’ordre dans plus de 27 000 cas d’enfants disparus, la majorité étant considérée comme des fugueurs en danger. Selon leur dernier rapport compilé à partir des données du FBI et des leurs, sur les près de 25 000 fugues signalées au NCMEC en 2017, une sur sept était probablement victime de la traite sexuelle des enfants. Parmi celles-ci, 88 % étaient prises en charge par les services sociaux au moment de leur disparition.
Montrant l’ampleur des abus, rien qu’en 2017, la CyberTipline du NCMEC, un mécanisme national permettant au public et aux fournisseurs de services électroniques de signaler des cas d’exploitation sexuelle présumée d’enfants, a reçu plus de 10 millions de signalements. Selon le NCMEC, la plupart de ces signalements concernaient les éléments suivants : images d’abus sexuels sur des enfants, séduction en ligne y compris la "sextorsion", trafic sexuel d’enfants et abus sexuel d’enfant.
D’autres organisations gouvernementales ont corroboré cette tendance horrifiante. Lors d’un raid national mené par le FBI dans 70 villes en 2013, 60 % des victimes provenaient de foyers d’accueil ou de foyers collectifs. En 2014, les autorités de New York ont estimé que 85 % des victimes de trafic sexuel étaient auparavant dans le système de protection de l’enfance. En 2012, la police du Connecticut a sauvé 88 enfants de la traite sexuelle ; 86 provenaient du système de protection de l’enfance.
Tout aussi inquiétant que le fait que la plupart des enfants victimes de trafic sexuel proviennent du système, le FBI a découvert, lors d’un raid national en 2014, que de nombreux enfants placés en famille d’accueil sauvés des trafiquants sexuels, y compris des enfants de 11 ans seulement, n’étaient jamais signalés disparus par les services de protection de l’enfance.
Pédocriminalité en France : l'accablant rapport de l’ONU
Le Rapporteur spécial sur la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie impliquant des enfants, Juan Miguel Petit, a remis le 14 Octobre 2003 un rapport portant sur son enquête réalisée en 2002 en France. Particulièrement salé, il révèle l’existence de liens très étroits entre des individus impliqués dans la pornographie et, dans certains cas, des membres du corps judiciaire ou des individus occupant de hautes fonctions dans l’administration publique... Nombre d’adultes concernés avaient des relations sociales très influentes. Le rapporteur insiste en particulier sur la manière dont sont réalisées les procédures judiciaires visant à protéger les enfants des auteurs présumés des abus, sur la négation de ce phénomène par ces autorités en charge, sur les allégations selon lesquelles les personnes qui tentent de mettre les victimes à l’abri de nouveaux sévices sexuels se trouvent parfois en butte à des sanctions disciplinaires, civiles ou pénales, et sur la nature jugée incomplète et partiale des enquêtes menées à l’encontre des auteurs présumés de sévices.
Ce rapport passé quasiment sous silence par l'establishment médiatique mainstream éclaire sous un autre angle le travail des activistes
Stan Maillaud (ancien gendarme désormais emprisonné) et Janett Seemann dans leur lutte contre la pédocriminalité, et présentés comme des hors-la-loi sinon comme de
dangereux complotistes... Il en est de même avec la journaliste lanceuse d'alerte Natacha Rey, dont les révélations successives depuis fin 2021 soulèvent un scandale d'Etat majeur jusqu'alors
farouchement mis sous l'éteignoir par les officines institutionnelles et les médias corrompus au plus haut niveau, renforcé par le déni crétin des braves gens illusionnés tel que chanté par le
poète Georges Brassens dans La mauvaise réputation (1952).
De son côté, le très officiel OCRVP (Office Central de Répression des Violences aux Personnes) a établi dans son dernier rapport que la France est en 2022 le 4ème pays dans le monde consommateur d’images pédopornographiques. Quant au géopolitologue Morad El Hattab, surnommé "Le Président des enfants" en raison de son long combat contre les réseaux pédocriminels, il dénonce aujourd'hui l'omerta des autorités sur la présence directe comme indirecte (ainsi Daniel Cohn-Bendit) au gouvernement du Premier ministre Jean Castex de membres notoirement pédophiles, qui ne font que perpétuer ceux qui l'étaient ou le furent dans des gouvernements précédents, tout comme les freins opposés à des enquêtes internationales portant sur ces prédateurs sexuels (ce fut le cas dans l'affaire Jeffrey Epstein sous les présidences "démocrates" de William dit Bill Clinton et Barack Obama). Comment s'étonner alors que la France soit surnommée avec dégoût à l'étranger "Pédoland", un pays où les fichiers d'enfants sodomisés et torturés se vendent entre 2 500 et... 1 million d'euros, et où quatre fonctionnaires émérites en charge d'enquêter sur ces réseaux ont été assassinés dans un soi-disant attentat terroriste* !
* L'attentat de la préfecture de police de Paris est une attaque au couteau survenue le 3 octobre 2019 dans l'enceinte de la préfecture de police de Paris. Outre le tueur, elle a fait quatre morts et deux blessés parmi les employés de l'administration.
Cf. en complément les livres de Christophe Lambert "Le Juge" et les affaires de pédophilie couvertes par le ministère de l'"Injustice" & de Jacques Thomet "La Pédocratie à la française - La chute des intouchables".
Les méandres fangeux de l'"affaire" Jean-Michel Trogneux/Brigitte Macron
La journaliste indépendante Natacha Rey a mené durant 3 années une enquête minutieuse sur le personnage de la première dame de l'Etat français, Brigitte Macron née Trogneux. Pour ce faire, elle a rencontré nombre de protagonistes proches, notamment membres des familles Trogneux et Auzière, ainsi que divers experts, a consulté nombre de documents de son état-civil, et a expertisé nombre de photographies au moyen de vérificateurs technologiques (ainsi le logiciel de restauration de photo de la plateforme de généalogie en ligne MyHeritage) dûment agréés pour distinguer le vrai du faux. A l'issue, elle conclue que Brigitte Macron n'est autre que Jean-Michel Trogneux, un de ses frères, qui, à l'issue d'un changement de sexe, est devenue Brigitte, celle-ci se prétendant issue de la lignée Auzière.
C'est la thèse qu'a repris Xavier Poussard dans le cadre de son savoir-faire d'enquêteur pointu, complétée voire réorientée sur divers points, et publiée dans une
série d'articles publiés en septembre 2021 dans une revue qualifiée d'extrême droite spécialisée dans les portraits sensationnalistes de personnalités publiques, Faits et Documents. La
toile s'est alors enflammée par le nombre de consultations vues et les débats sur le caractère fantaisiste ou non de la révélation, entraînant nombre de trolls à déverser leur prurit insultant à
l'encontre des auteur(e)s qui se sont exposés à des citations et poursuites en justice, d'autant plus à l'heure du renforcement de la censure. Les médias dits mainstream leur ont depuis opposés
une ferme fin de non-recevoir pour ne pas dire haineuse, qualifiant leur thèse de fumeuse, de "fake news", de résultante d'une "possédée" (pour Natacha) sous emprise sectaire, de thèse
complotiste, ou au moyen de tout autre artifice de langage visant à les discréditer de ce qui va à l'encontre du pouvoir établi dont ils sont les serviles garde-chiourmes, quelles que soient
leurs puériles dénégations outragées. Or, il leur suffisait pour démontrer la supercherie de produire des preuves allant en sens inverse (notamment en faisant leur véritable métier), de produire
le témoignage du principal protagoniste, le frère étrangement silencieux et disparu depuis longtemps, le précédent mari étrangement absent*, ou encore de publier des photos non truquées de
Brigitte Trogneux adolescente. Mais rien de tel, y compris de la part de supports jugés indépendants (Le Canard enchaîné, Médiapart), mais qui en fait ne le sont pas, faisant partie de
l'opposition dite contrôlée (les figures d'Edwy Plenel - Médiapart - ou de Natacha Polony - Marianne - en sont les prototypes). Qui plus est, il était facile pour la première dame de déposer
plainte pour calomnie, afin d'obliger l'impétueuse accusatrice à révéler ses cartes, toutes déposées en sécurité auprès d'un avocat. Malgré les déclarations de ses communicants en décembre
largement relayées par les supports mainstream, rien de tel n'a mis en branle l'appareil judiciaire, Brigitte Macron ayant personnellement confirmé depuis cette intention de porter plainte à deux
supports audiovisuels (le journal de 13h. de TF1 et la radio RTL), ces derniers étant prisés par la cible électorale privilégiée de son époux candidat à sa réélection (retraités notamment).
Finalement, la plainte sera bel et bien faite en février 2024 à l'encontre de deux femmes (Natacha Rey et la médium Amandine Roy), mais non pour diffamation, calomnie ou propagation de fausses
rumeurs, mais simplement pour atteinte à la vie privée par la mise en ligne d'une vidéo sur YouTube intitulée "Brigitte Macron est un homme" qui prétendait que Brigitte avait changé de sexe à
l'âge de 18 ans et diffusion de photos sans autorisation alors même que celles-ci appartiennent au domaine public. Autrement dit, un bel exemple de manipulation de l'opinion publique peu au fait
des subtilités du langage juridique, même si cette plainte a été "annulée" en mars 2023 par un juge de Paris la considérant
comme nulle et estimant que les faits dénoncé auraient dû être qualifiés de diffamation publique.
Distillant les résultats de son enquête par étapes, Natacha Rey comme Xavier Poussard qui sera à son tour poursuivi ont produit depuis en janvier 2022 de nouveaux éléments compromettants, tout particulièrement le lien entre Jean-Michel Trogneux devenu depuis Brigitte et le sulfureux pasteur initialement belge puis français Joseph Doucé à la mort étrange en juillet 1990 en forêt de Rambouillet. Diplômé en psychologie-sexologie, il fut l'âme damnée du Centre du Christ Libérateur (CCL), association qu'il fonda en 1976 (dissoute depuis) avec pour vocation d'être un espace d'accueil et de parole pour les croyants appartenant aux minorités sexuelles et de genre : homosexuels, transgenres, sado-masochistes, pervers sexuels et pédophiles, plus exactement pédocriminels. Il créa en parallèle une maison d'édition, Lumière et Justice, qui publia des ouvrages collectifs tels que La question transsexuelle (1986), Couples homosexuels et lesbiens : juridique et quotidien (1987), La pédophilie en question (1988) dans lequel il développe des thèses scabreuses et explique vouloir dépénaliser la pédophilie, Le sadomasochisme en question (1989). Il gérait également les abonnements du magazine Gaie France, revue de pornographie d’adolescents dirigée par le néonazi (il fut membre de la Fédération d'action nationale et européenne - FANE - Michel né Miguel Caignet, journaliste et éditeur de son état, et considéré comme le diffuseur des cassettes vidéo du réseau pédophile Toro Bravo*². Les fréquentations du pasteur Doucé ne se limitaient pas à son public "marginal" de préférence, puisque nombre d'"huiles" institutionnelles ont été plus ou moins éclaboussées par sa fréquentation sulfureuse à même de combler leurs pratiques glauques et malsaines inavouables pour leurs gogos électeurs. L'une d'elle, ancien ministre de la rose mitterrandienne et toujours dirigeant d'une institution fleurant bon l'exotisme oriental dont il était jadis friand, lui valut notamment une virulente accusation en 1998 de l'ancien militaire, journaliste et homme politique français Roger Holeindre (1929/2020) quant à ses inqualifiables pratiques dévoyées. Là encore, en dépit de menaces de procès, l'outragé se garda d'affronter la justice en prenant le risque de voir l'inavouable révélé.
Au même titre que l'affaire Epstein, nous ne sommes qu'au début du nettoyage des écuries d'Augias, les temps à venir promettant d'être pour beaucoup très
indigestes. C'est ainsi que le média marocain 360 (il appartient à Mohamed Mounir Majidi, le secrétaire particulier du roi Mohammed VI) a commencé en septembre 2023 à ouvrir la boîte à Pandore avec la publication de trois articles dont l'un, titré "Un peu homme, un peu femme", a mis en doute la "solidité" du
mariage du président français avec Brigitte Macron, sous-entendant qu’il mentirait sur son orientation sexuelle, son entourage de "minets" constituant un indice précieux (ainsi le secrétaire général et député européen du parti présidentiel Renaissance Stéphane Séjourné, pacsé avec le ministre de l'Education
Nationale Gabriel Attal) tout comme la liste de ses amants passés (Mathieu Gallet, Alexandre Benalla...). Rien de bien surprenant pour un adolescent qui s'est construit dans un contexte parental
spécifique (élevé par sa grand-mère Françoise Noguès ayant travaillé comme responsable de programme dans une clinique spécialisée dans l'accompagnement de personnes transgenres), et qui est tombé
sous l'emprise à 14 ans de son professeur de français devenu sa/son partenaire de vie pour ne pas dire son mentor gourou (le viol d'un enfant/adolescent contribue à accentuer sa psychopathie).
C'est ainsi que proche du puissant banquier David de Rothschlid, "il/elle" en fera son parrain, favorisant/pistonnant l'entrée du jeune "prodige" ironiquement surnommé le Mozart de la finance
sans les qualifications requises dans l'univers de la banque d'affaires éponyme comme plus jeune associé jamais intronisé, avant que d'être mis sur orbite politique par le faiseur de roi Jacques
Attali auprès du benêt François Hollande, prétendu César olympien avant d'être sacrifié par ce nouveau Brutus mâtiné de Robespierre.
Nous sommes bel et bien face à un réseau pédophile composé de sordides comparses (Michelle Marchand, Jack Lang, Olivier Duhamel...), qui s'est arrogé le pouvoir
pour contribuer à sa décadence, et dont l'influence démoniaque ne peut faire de doute, l'accusation d'antisémitisme leur servant d'habile paravent avec la complicité du CRIF (Conseil
représentatif des institutions juives de France) selon une stratégie de défense bien éprouvée alors même que ni l'un ni l'autre ne le sont : "Ils se
prétendent juifs mais ils ne le sont pas vraiment. Leur synagogue est satanique" (Livre des Révélations de l'Apocalypse biblique). Il s'agit ni plus ni moins que les dignes du frankisme, ce
redoutable mouvement religieux juif sabbatéen hérétique des XVIIIᵉ et XIXᵉ siècles nourri d'inceste et de pédophilie et adorateurs de Satan, centré sur la direction du prétendant au Messie juif
Jacob Frank (1726/1791). Il était apparu en France, et a laissé de "dignes" héritiers dans son sillage. C'est pourquoi d'aucuns prétendent, non sans raison, que Emmanuel Macron serait en réalité
le fils de Jean-Michel Trogneux (prénommé Jean-Jacques), autrement dit de son épouse à la ville Brigitte Macron, soit la version contemporaine cinématographique type Retour dans le futur de la
Babylone sulfureuse de la reine Sémiramis et de son fils régnant Nemrod ! (Cf. Le modèle européen
décodé (1) Un ADN impérial païen).
* Figurant sur une photo incontestablement fruit d'un grossier montage tant les anomalies sautent aux yeux de n'importe quel photographe amateur, le sieur André-Louis Auzière (1951/2019) qui en sa qualité de marié se retrouve à côté de "Brigitte Trogneux" est apparemment depuis leur séparation en 2006 (telle que l'histoire officielle le raconte) un illustre inconnu, aucune trace probante (sécurité sociale, banque, lieu de résidence à Ménouville, photos, cimetière du Père Lachaise ou dans le caveau familial où il aurait été enterré...) n'existante. Un autre "soldat inconnu"...
*² Démantelé en 1995 et conclu par un procès concernant 71 prévenus aux profils variés (enseignants, curé...), ce réseau de corruption de mineurs consistait en l'enregistrement et la diffusion sous forme de cassettes de scènes à caractère pornographique concernant des mineurs ayant des rapports sexuels, films tournés en 1994 en Colombie par la société française de production Toro Bravo et proposés aux lecteurs de la revue Gaie France.
Cf. en complément Conscience et dépassement de la matrice sexuelle.
"Dans notre famille, nous disons que le vice c'est bien, mais l'inceste c'est mieux, parce qu'il reste dans la famille"
Nathalie Rheims, écrivaine et productrice française, cousine de David de Rothschild, déclaration au Musée du Judaïsme de Paris
"Le Silence des Agneaux", ou la dénonciation du réseau pédocriminel hollywoodien
The Silence of the Lambs, réalisé par Jonathan Demme (1944/2017) et sorti en 1991, multi-oscarisé, met en scène le fascinant et troublant Hannibal Lecter (Anthony Hopkins), un psychopathe redoutablement intelligent et porté sur le cannibalisme. Pour les initiés, son titre fait référence à "La Loi du Silence" qui prévaut à l'égard des réseaux pédocriminels, dont tout particulièrement ceux prévalant au sein de Hollywood - "Peadowood" -, autrement dit le temple du satanisme*. L'agneau symbolise en fait les victimes réduites au silence, dans un système qui l'érige comme règle absolue. On en retrouve de multiples exemples, comme au sein des Témoins de Jéhovah américains, cachée par la direction de cette dernière*², ou encore dans la révélation en 2016 d'un scandale ayant impliqué en Allemagne le Sénat de Berlin qui, dans les années 1970, a placé des garçons orphelins sous la tutelle de pédophiles dans l'école d'Odenwald, un internat pour orphelins de l'ouest de l'Allemagne.
* Depuis les affaires "Hervey Weinstein et Kevin Spacey", nombre sont les célébrités qui racontent avoir été victimes d’agression sexuelle à Hollywood quand elles étaient mineures, entre autres par des dirigeants de studio, y compris certains des plus riches et puissants du secteur. C’est le cas de l’ex-enfant star Corey Feldman, acteur qui a joué dans des films culte des années 1980 comme Gremlins ou Les Goonies, de l’actrice et productrice Reese Whitherspoon, et de Elijah Wood, héros du "Seigneur des Anneaux". Quant à Amy Berg, oscarisée pour le film "Délivrez-nous du mal" qui traite des abus sexuels dans l’Église catholique, elle s’est attaquée au silence qui entoure les abus sexuels dans son film An Open Secret ("Un secret de Polichinelle") sorti en 2015 dans lequel elle donne la parole à cinq victimes qui témoignent à visage découvert, parmi lesquelles Todd Bridges, le Willy de la célèbre série "Arnold et Willy". Quant à Michael Egan, il a accusé en 2014 Bryan Singer, le réalisateur de la saga X-Men, d’abus sexuel, mettant aussi en cause David Neuman et Garth Ancier, deux grands noms de l’industrie télévisuelle américaine, ainsi que le producteur Gary Goddard. Dans une longue séquence, l’acteur raconte notamment avoir été saoulé, drogué et violé en juin 1998, dans une villa des hauteurs de Hollywood.
*² Cf. Témoignage de William H. Bowen, ancien membre, qui a fondé Silentlambs (les "Agneaux silencieux") & livre de Laurent Glauzy "Témoins de Jéhovah : les missionnaires de Satan".
Les dérives pédophiles de l’Église romaine
Depuis 2009 ne cessent chaque année d'être révélées les dérives de certains ecclésiastiques quant à des pratiques pédophiles, et à ce titre criminel, qui pendant très longtemps ont été couvertes par le silence des autorités tant locales que vaticanes, et le déni des fidèles illusionnés*.
C'est ainsi qu'en août 2018 les services du procureur de Pennsylvanie ont publié les résultats d'une enquête mettant au jour des abus sexuels qui ont été perpétrés par plus de 300 "prêtres prédateurs" et couverts par l'église catholique de cet État portant sur au moins mille enfants et adolescents, quasiment tous ces cas étant prescrits et ne pouvant de ce fait être poursuivis pénalement.
Le rapport évoque des agressions sexuelles sur des enfants qui avaient moins de dix ans, dont le cas d'un prêtre ayant abusé de cinq sœurs, la plus jeune n'ayant que 18 mois au début des faits présumés, et celui d'un autre ayant admis avoir violé au moins 15 garçons, dont un de 7 ans. Un troisième prêtre conservait de l'urine, des poils pubiens et du sang des règles des fillettes dont il abusait à son domicile.
Cette révélation n'est que la partie immergée de l'iceberg, l'organisation Bishop Accountability qui trace les abus au sein de l’Église romaine établissant que 6.721 prêtres ont été accusés d'abus sexuels aux États-Unis pour des faits présumés inclus dans la période allant de 1950 à 2016. La même association estime à 18.565 le nombre d'enfants victimes de ces agissements.
* Cf. L’Église romaine décodée.
Belgique, terre gangrénée
Il y avait déjà eu l'affaire "Dutroux", au retentissement mondial, qui a secoué la Belgique en 1996-1997, voyant le principal protagoniste, Marc Dutroux, être un auteur de viols et de meurtres sur des enfants et de jeunes adolescentes. Elle a mis en exergue un pays qui est un véritable carrefour stratégique au centre de l'Europe du Nord, abritant les cerveaux de grandes institutions internationales - l'Union européenne, l'Otan, le Shape, Eurocontrol etc... Il a servi de laboratoires grandeur nature à certaines opérations de la CIA, qui implanta après la seconde guerre mondiale des réseaux dormants et des structures paramilitaires d'action, de subversion et de renseignements anticommunistes. On attribue à ces structures la paternité effective ou accidentelle des fameuses tueries du Brabant Wallon qui déstabilisèrent le pays au début des années 80, permettant au pouvoir de museler les groupes d'extrême-gauche et, surtout, aboutissant à ce que la gendarmerie devienne un corps de police surdimensionné et extrêmement centralisé. L'affaire Dutroux n’en serait que le triste prolongement. Même si personne n'a été en mesure de savoir si Dutroux faisait partie ou non d'un réseau international de pédophilie et d'enlèvements d'enfants, un faisceau de présomptions semblent démontrer que l'intéressé était peut-être l'un des fournisseurs qui alimentait en chair fraîche un réseau constitué de personnes de pouvoir (industriels, noblesse, magistrat, hommes politiques). C’est tout particulièrement le cas d’une série de témoins adultes sous X qui ont dénoncé des faits particulièrement graves, d'une violence et d'une cruauté inimaginable (cannibalisme de corps de nouveau-nés, mises à mort d’enfants par des chiens, viols d’enfants par des animaux, viols de bébés, parties de chasse avec des enfants), commis entre autres par des personnalités connues en Belgique comme dans le monde, et dans des lieux comme le château des Amerois, près du village de Muno, celui de Faulx-les-Tombes, ou encore celui de Sautou. Quelle que soit la position prise à l’encontre de ces témoignages, certains psychiatres belges qui ont examiné ces victimes affirment qu'elles ne sont ni délirantes, ni en état de démence ou de déséquilibre mental. Ils précisent qu'il est certain que ces personnes ont bel et bien fait l'objet de sévices graves dans leur jeune âge.
En 2015, un policier en vacances a mis de son côté une affaire hors norme ayant nécessité l’intervention de l’Agence européenne de police criminelle (Europol), après avoir repéré à Blankenberge, sur une plage de la mer du Nord, un individu en train de filmer de jeunes enfants dénudés. Interpellé, celui-ci s'est révélé être l’un des membres d’un réseau partageant et échangeant de nombreux films et images. En tout, douze millions de fichiers, des milliers de victimes pour la plupart enfants prépubères – dont 38 clairement identifiées – notamment de violences infligées, et un réseau d’ampleur mondiale animé sur le "Dark Web" * par cinq prévenus (en majorité des pères de famille exerçant la profession d’enseignant, de manager ou d’employé) qui comparaissent au début 2000 devant le tribunal de Termonde en Flandre orientale pour un procès-fleuve de pédopornographie. L'un d'eux alimentait la banque d’images avec des méfaits commis lors de divers voyages en Inde, où il violentait des enfants en échange d’argent ou de nourriture
* La police fédérale belge a reçu, en 2019, 15 000 signalements concernant des images pédopornographiques sur le Web. Un chiffre sans doute inférieur à la réalité, indique Minne De Boeck dans le quotidien De Morgen. Selon cette criminologue, "30 000 Belges au moins sont à la recherche d’images montrant des abus sur des enfants".
Le Fonds des Nations-Unies pour l'enfance gangréné
En juin 1987, le directeur de l'UNICEF de Bruxelles fut arrêté pour pédophilie et inculpé "d'outrage public aux moeurs et d'incitation à la débauche de mineurs de moins de seize ans". Des milliers de clichés pornographiques avaient préalablement été saisis dans différents pays d'Europe, plusieurs séries de clichés ayant été prises dans les bureaux de l'UNICEF par un matériel de laboratoire installé dans les caves. D'autres arrestations ont démontré l'organisation d'un réseau d'"enfants loués", notamment beaucoup de jeunes d'origine nord-africaine, sous le couvert du CRIES (Centre de recherches et d'information sur l'enfance et la sexualité). L'un des inculpés, le directeur sportif de l'université de Louvain-la-Neuve, fut retrouvé pendu dans sa cellule le lendemain de son arrestation.
Ces réseaux pédocriminels et satanistes n'existent en fait que parce que nous y consentons ! En effet, en donnant notre pouvoir à ces prédateurs psychopathes - ainsi par le vote -, nous nourrissons l'égrégore qui nous manipule et nous asservit. En d'autres termes, et quoi que ceci puisse choquer l'esprit embrumé, ces réseaux existent parce que l’humanité a consenti à être satanique, tant par ignorance que par complicité tacite. Aucune manipulation ne peut se faire directement ou indirectement sans le consentement de la personne manipulée, que ce consentement soit obtenu de manière directe ou par ruse. Illusionnés par les hochets matérialistes (course au pouvoir, à l'argent, aux honneurs, aux artifices*...) proposés par les entités prédatrices et leurs représentants terrestres, nous avons épousé leur mode de fonctionnement involutif et en payons le prix. Inutile alors de nous plaindre, puisque nous continuons à jouer à l'envers au jeu de la Vie par notre égo enflammé, dévoyé et piégé. Les rituels sataniques ne sont ainsi que les extrêmes de notre propre prédation, celle qui consiste à juger, accuser et condamner celui/celle qui ne nous convient pas, pour ses opinions et traits spécifiques qui ne nous conviennent pas. Il/elle n'est pourtant que l'effet miroir de notre incapacité à aimer le Tout, à célébrer le Vivant, non la mort de la conscience...
* Ainsi la fête de Halloween et ses farces et attrapes qui représentent le démon et la mort. Présentée comme une fête pour les enfants, elle traduit la facilité
du système prédateur à manipuler les "braves" gens en logeant dans leur inconscient sous forme d'archétypes inoffensifs les germes mêmes de leur adhésion à la Matrice
entropique.
Bibliographie
Colin A. Ross, " Breaking the Circle of Satanic Ritual Abuse - Principles of Treatment ".
Daniel Rider, " Breaking the Circle of Satanic Ritual Abuse : Recognizing and Recovering from the Hidden Trauma " (1992).
Cf. en complément le site www.pedopolis.com
L'anglais Aleister Crowley (1875/1947) - photo 1) est considéré par beaucoup comme le fondateur du Satanisme moderne. Il aimait en effet tout particulièrement se faire passer pour l'Antéchrist de la fin des temps. Il a construit son enseignement sur la lecture de l'Apocalypse de Jean, tout particulièrement sur sa description de la fin du monde, voyant le triomphe de Babylone, la putain sacrée habillée de vêtements pourpres et écarlates, et la sortie de la mer de la " bête 666 ", l'animal avec lequel il aimait s'identifier. Il s'initia aux pratiques occultes au sein de la société secrète de la Golden Dawn (Aube Dorée), tout comme aux traditions ésotériques orientales comme le bouddhisme, le taoïsme et le yoga.
Il a écrit dix ouvrages de magie et d'occultisme, et fondé en 1907 l'ordre AA (Argenteum Astrum/L'étoile dorée), au sein duquel étaient enseignées surtout des pratiques de magie sexuelle.
Il crée en 1944 l’Ordo Templi Orientis (O.T.O. - image 2), ou " Ordre du Temple de l'Est " ou encore " Ordre des Templiers Orientaux ", une organisation délibérément satanique basée sur les principes et la Loi de Thelema, qui est exprimée par la phrase : " Fais ce que tu veux sera le tout de la loi ". Cette loi aurait été établie par le Book Of The Law (Liber AL vel Legis ou Livre de la Loi - image 3) *, dictée à Aleister Crowley en 1904 au Caire en Égypte par l'entité Aïwass.
Il est incontestablement le magicien noir le plus populaire à Hollywood et dans l'industrie de la musique, ayant contribué aux messages subliminaux qu'elle diffuse dans nombre de ses courants rock/rap/hip hop qui ont caractérisé les 50's, 60's, 70's, 80's, 90's , et désormais les années 2000 avec les icônes s'en revendiquant *². Parmi ses admirateurs, le chanteur aux allures longtemps ambiguës de dandy androgyne, David Bowie (imitant son maître en photo 3), compagnon de route du leader des Rolling Stones, Mick Jagger (photo 4), Jimmy Page du groupe Led Zeppelin, Genesis P-Orridge, Jimi Hendrix, Ozzy Osbourne (qui lui a dédié un morceau hommage, " Mr. Crowley "), Jaz Coleman chanteur de Killing Joke, ainsi que les groupes Tool, Iron Maiden, Ministry, Coil, Throbbing Gristle, Psychic TV, Current 93, Cradle of Filth, yelworC (Crowley écrit à l'envers, groupe de dark wave), Christian Death, Fields of the Nephilim. Quant aux Beatles, son visage apparait sur la pochette de leur album Sergeant Pepper's Lonely Hearts Club Band (image 5) ... Nul(le) ne s'étonnera du nombre élevé de suicides chez les jeunes individus, dont la particularité était l'écoute de ces musiques célébrant à leur manière la Mort de la conscience ...
* Les écrits du " Livre de la Loi " sont connus pour avoir directement influencés Hitler.
*² Cf. Contrôle mental & Symbolisme et artifices de la Matrice.
A noter que dans ses disciples se trouve en bonne place l'artiste contemporaine sorcière satanique serbe Marina Abramovic que le président ukrainien M. Zelensky a nommé en 2023 au poste d’ambassadrice en Ukraine pour aider à reconstruire les écoles pour enfants du pays. La soi-disant "artiste de la performance" est tristement célèbre pour avoir fait partie du dépôt de documents de Wikileaks qui a révélé qu’elle avait envoyé un courriel à Hillary Clinton, John Podesta et son frère Tony pour les inviter à un "dîner de cuisine spirituelle", un rituel occulte rendu célèbre par le célèbre sataniste Aleister Crowley...
Thelema
Thelema est la traduction du nom grec ancien "volonté", dérivé du verbe vouloir, désirer. Thelema est également une philosophie de vie fictive décrite par François Rabelais dans ses livres Gargantua et Pantagruel, dont l'essence était résumée par la phrase "fay çe que vouldras". Elle inspira Aleister Crowley en 1904 lorsqu'il écrit Book Of The Law. Thelema devient alors la marque du système philosophique satanique et païen, comprenant des idées dérivées de l'occultisme, du Yoga et du mysticisme oriental et occidental.
Ce livre établit une triade cosmologique, dérivée de l'ancienne mythologie égyptienne qui préside à chacun des trois chapitres du Livre. La première entité est Nuit, la Déesse de la Voûte Étoilée, puis Hadit, et enfin Ra-Hoor-Khuit (Horus), le dieu à tête de faucon. Les autres idoles de pierre et de bois qui dérivent du système de Thelema sont :
- Babalon : la Femme Écarlate (référence explicite à la "putain", qualificatif de la Babylone antique dévoyée) ;
- Chaos : la force universelle ;
- Baphomet : le Serpent et le Lion, l'énergie créatrice matérialisée (détournement du véritable sens du Baphomet des Templiers) ;
- Aiwass : l'entité extra-dimensionnelle qui a dicté à Crowley le Liber Al vel Legis ;
- Ankh-Af-An-Khonsu : un prêtre qui a vécu à Thèbes pendant la 25ème dynastie en Égypte, vers - 725.
La base du système satanique est souvent être résumée par ces deux phrases, qui servent également de signature aux Thélémites (principalement au sein de l'Ordo Templi Orientis) : "Fais ce que tu veux sera le tout de la Loi" (Liber AL I:40) et "Il n'y a d'autre Loi que Fais ce que tu veux" (Liber AL III:60).
Thelema met l'accent sur la liberté individuelle dans la responsabilité et la discipline satanique. Pour chaque personne s'en revendiquant, il s'agit de vivre selon sa propre loi, c'est-à-dire vivre selon la manière que l'on désire, travailler, jouer et se reposer comme et quand on le veut, mourir quand et comme on le veut, manger et boire ce que l'on veut, vivre où l'on veut, parler, écrire, se vêtir, aimer, peindre comme on le veut. Le Liber Oz ajoute le droit de tuer ceux qui s'opposent à la volonté et à la liberté.
Aiwass
L'entité alien nommée Aiwass est d'après Crowley celle qui lui a dicté pendant son séjour en Égypte en avril 1904 le contenu de son ouvrage Book Of The
Law. La représentation qu'il en a faite (image 1) n'est pas sans rappeler la forme des entités extra-dimensionnelles nommées Gris (image 2) telle que rapportée sinon photographiée par les
ufologues*. Son évolution visuelle signifie la prégnance en cours du transhumanisme, qui voit la technologie et l'Intelligence artificielle supplanter de plus en plus le pouvoir créateur de
l'être humain par sa connexion au Soi supérieur lumineux. C'est le monde des ténèbres de l'inconscient qui, caché derrière les mirages de l'apport technologique, indique à la civilisation humaine
sa destinée entropique*² ...
* Cf. Vérité civilisationnelle.
*² Cf. Prophétie du changement & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.
Face à cette réalité, il est à comprendre que dans l'univers quantique, "l'obscurité" - le non visible - et "la lumière" - le visible-, soit les deux polarités de la dualité*, reçoivent exactement la même dose d'énergie de la part de La Source. Si le mouvement New Age sublime de son côté la croyance que tout est amour, paix, lumière..., le mouvement "sataniste", son pendant, prône l'opposé : l'ombre, l'horreur, la terreur... Et ces deux courants de pensées ont bien entendu leur raison d'être dans la psyché humaine afin de parachever l'équilibre dans les schémas de pensée qui entretiennent ce monde de dualité.
En cette fin de cycle civilisationnel*², l'effet de l'énergie cosmique étant accentuée, les croyances New Age deviennent de plus en plus populaires, tout comme les pratiques "satanistes" viennent rappeler dans la psyché de l'être humain que l'ombre existe aussi et ne doit pas être rejetée. Elles viennent donc rétablir cet "oubli", en se présentant au grand jour, afin de rééquilibrer dans la psyché nos propres croyances duelles.
Ainsi les rituels sataniques révélés intentionnellement au public constituent la représentation symbolique de l'ombre, du mal, du déséquilibre, que l'humanité a générés tout au long de son incarnation sous la coupe de la force archontique asservissante, et qui se révèlent à elle, en cette fin des temps, en devenant "son miroir". Ces rituels sont à l'image du karma*³ non visité que beaucoup transportent encore dans leurs champs d'énergie et que leurs egos apeurés se refusent de visiter. Les Maîtres de la lumière sombre sont les ambassadeurs de l'égrégore collectif égotique que l'humanité transporte encore de nos jours. C'est pourquoi il ne s'agit pas de les accabler, car ils ne sont que les porteurs de notre karma non libéré. Ils représentent la lumière sombre de l'humanité, existant uniquement parce que l'humain leur a permis d'exister.
Le satanisme, comme toutes les "abominations" qui subsistent encore dans notre civilisation humaine, disparaitra lorsque l'individu aura eu le courage d'accepter ses propres démons émergeant de son cursus karmique.
* Cf. La dualité décodée.
*² Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?
*³ Cf. Le cheminement de l’Âme.
Le système prédateur a mis en place toute une panoplie de moyens destinés à préparer la gouvernance totalitaire des affaires terrestres à travers une nouvelle "race d'enfants" - enfants Indigos, Arc-en-ciel ou Cristal -*. Elle passe par la création des circonstances consistant à les séparer prématurément de l'un de leurs deux parents, tout particulièrement par la promotion depuis les sixties par certains gourous (instructeurs, formateurs, guides spirituels, mentors, thérapeutes...) du New Age de l'Amour libre tout comme la popularisation du tantrisme. Il en découle une constante augmentation des foyers monoparentaux.
Ces enfants sont les enfants "spécialement préparés sur le plan génétique" à devenir, après la transition dimensionnelle en cours, les leaders de la prochaine humanité, tout droit sortis de la "couveuse du Nouvel Ordre Mondial". Si les gourous et formateurs du New Age laissent croire qu'ils sont des enfants éveillés, plein de compassion, plein d'amour, ils ne sont pour la plupart qu'une pâle réplique reformatée grâce à la génétique du psychopathe, d'où leur acuité et leur intelligence prétendument supérieure. Au moment de leur conception ou dans leur petite enfance, leur psychisme a été programmé pour répondre aux exigences de ce nouveau monde transhumaniste !*²
* Cf. Nouvelle génération.
*² Cf. Conscience du XXI° siècle.
En étant séparés prématurément de l'un des deux parents, ces présumés "nouveaux enfants" perdent leurs repères sécurisants du noyau familial, restant souvent gravement perturbés et handicapés dans leur émotionnel, ce qui favorise le développement de la psychopathie. C'est ainsi que certains d'entre-eux développent ce gène spécifique qui les conduira à se déconnecter de leur ressenti, devenant incapables de s'adapter "naturellement" à leur environnement. En conséquence, ils apprennent à mimer toute la gamme des émotions, afin de se faire accepter par leurs pairs.
"Tant que les hommes ne songent pas à exercer leur liberté, ceux qui veulent les tyranniser le feront car les tyrans sont actifs et ardents et feront tout, au nom des dieux, des religions et autres, pour enchaîner les hommes endormis".
François-Marie Arouet dit Voltaire, écrivain et philosophe (1694/1778)
La conclusion est que les anthropoïdes psychopathes - tout comme les hybrides - se comportent selon les spécificités de leur espèce prédatrice, la destruction des valeurs humaines constituant le prélude à tuer les êtres humains. L'histoire au XX° siècle l'a montré à différentes reprises dans des proportions d'ampleur incontestable. C’est leur nature, celle d'être des fous lâchés sur la planète. C’est semblable à un virus qui infecte un corps. Le virus fait ce qu’il fait, il détruit. C’est un train hors de contrôle, et personne n'est au volant, nous conduisant en cette fin de cyclicité à être dans un colossal engrenage (bulles financières, destruction des monnaies, destruction des arrangements politiques internes...), qui nous broie et nous conduit, sans conscience aucune, à notre perte, c'est-à-dire à la guerre, froide, tiède ou, tout simplement, à la "bonne vieille", celle qui nous fait retourner à la barbarie. Car nul ne comprend la réalité du fonctionnement du système asservisseur, la Matrice, de sa machine destructrice. Personne ne le contrôle, car il prend sa source dans une autre dimension de réalité, la quatrième*. Nous sommes dépassés comme des apprentis-sorciers, réduits à être dans le tragique, dans la fatalité, avec l'illusion que les petits drames humains dont nous nous distrayons chaque jour ont une importance. Nous sommes le jouet des forces aveugles qui nous dominent, déclenchant par appétit pour le gain et le pouvoir la prédation terrestre orchestrée par les psychopathes à la tête de nos pyramides de gouvernance.
Si nous acceptons l'hypothèse de leur appartenance à une espèce autre que l'espèce humaine, se pose la question de leur responsabilité, obligeant de distinguer ce qu'ils sont dans leur nature profonde - des prédateurs sans âme - et les dommages qu'ils font. Lorsque nous voulons traiter une maladie, nous devons avoir un patient, ceci entendant qu'il souffre et cherche un traitement. Mais les psychopathes ne ressentent pas de détresse. Ils ne pensent pas qu’il y ait quoi que ce soit qui n’aille pas chez eux. Ils ne subissent pas de stress ou de névrose, et de ce fait ne recherchent pas de traitement volontairement. Ils ne considèrent pas que leurs attitudes et comportements soient en quoi ce que soit mauvais. D'ailleurs, les nombreux programmes de traitement qui ont été établis pour les aider à "développer de l’empathie" et des compétences interpersonnelles n’y changent rien*². Le psychopathe ne reconnaît aucun défaut dans sa psyché, aucun besoin de changer.
* Cf. Compréhension de la conspiration prédatrice, Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Les acteurs de la Matrice falsifiée.
*² Le neurologue autrichien et fondateur de la psychanalyse Sigmund Freud a argué que les psychopathes ne pouvaient être traités par
la
psychothérapie, précisément parce qu’avoir une conscience, jointe à la capacité de se préoccuper des
autres, était un pré-requis nécessaire pour faire appel à la psychothérapie. Les psychopathes, eux, n’ont pas de conscience et n’éprouvent pas d’intérêt
pour les autres définition.
Si les postes au sommet sont occupés par des individus dépourvus d’une capacité suffisante à ressentir et comprendre la plupart des gens, et qui font preuve de déficience dans l’imagination technique et les qualifications pratiques (ces facultés sont indispensables dans la gestion de l’économie et de la politique), alors le résultat en est une crise extrêmement sévère dans tous les domaines, tant à l’intérieur du pays en question que par rapport aux relations internationales. À l’intérieur, la situation devient intenable, même pour les citoyens qui sont parvenus à se faire un nid et à trouver un relativement confortable modus vivendi. À l’extérieur, d’autres sociétés commencent à clairement percevoir le caractère pathologique du phénomène. Une telle situation ne peut alors durer très longtemps.
Quand un chien attrape la rage, nous ne le tenons pas pour responsable d’être enragé. Ce que nous faisons, pour nous protéger, est de "tuer" le chien avant qu’il ne nous morde, avant qu’il ne nous infecte. Il en est de même avec le serpent à sonnettes. S'il n'est pas responsable pour avoir des crochets venimeux, nous évitons son contact, ou nous le tuons avant qu’il ne nous tue.
Il en est de même avec les anthropoïdes et humanoïdes psychopathes, ainsi que les entités hybrides vampires. Nous avons besoin d’être sur nos gardes au premier signe d’un meurtre des valeurs humaines. Or nous les élisons et les mettons tout en haut de nos pyramides. Dans ce déni de notre humanité profonde, il est sans doute nécessaire de se demander si la contamination pathogène de l'espèce humaine ne nous a d'ores et déjà atteinte...
Le dragon des abysses
Ce poisson des profondeurs, qui vit à 1 000 mètres sous le niveau de la mer, est nommé en zoologie Aristostomias scintillans (" Shiny loosejaw " en anglais ou "Mâchoire lâche" en français). Il est un des êtres vivants les plus effrayants qui soient (Cf. photo 5), dissimulant sa redoutable mâchoire en ouvrant grand son immense bouche aux dents... invisibles pour éviter ses prédateurs ou pour atteindre ses proies. Ses ondulations le transforment vite en serpent. Le secret de cette mâchoire arme redoutable est un curieux mélange alchimique de faiblesse et de force, le vorace animal ayant développé pour ouvrir bien grand la bouche une mâchoire "molle" dont il compense le peu de puissance par une denture particulièrement acérée, cinq fois plus pénétrante que celle du fameux Piranha, ce poisson d'eau douce vivant dans les rivières d'Amérique du Sud. Pour s'approcher de ses proies ou les faire venir à soi, il dispose d’une sorte de barbe photo-luminescente, qui attire les poissons telle la lumière des papillons de nuit, d’autant plus facilement que ses dents sont invisibles, leur composante étant de minuscules nanocristaux d’environ 20 nanomètres (l’émail et la dentine sont comme chez l'être humain composés de collagène et d’hydroxyapatite). En réduisant tout à la fois la diffusion lumineuse et la capacité des dents à réfléchir la lumière, plus particulièrement dans la longueur d’onde émise par la barbe luminescente, les impuretés assurent l’invisibilité des dents sur le fond noir de sa bouche.
Nul(le) ne s'étonnera que les créateurs du film "Alien, le huitième passager", réalisé par le britannique Ridley Scott (sortie en 1979) s'en soient inspiré (photo 6). Il traduit le prédateur extra-dimensionnel qui gît caché en nous, et qui, utilisant nos failles obscures qu'il ne cesse de nourrir par ses manipulations et suggestions délétères, peut nous conduire à la destruction de notre humanité première placée sous La Lumière.
Pas encore convaincu ?
Tout ceci est sans nul doute le fruit d'un délire pathologique, en d'autres termes l'arroseur arrosé par son propre délirium psychotique, devez-vous peut-être penser. Alors, si vous avez une cinquantaine de minutes de votre temps précieux à consacrer à regarder la réalité telle qu'elle est, acceptez de prendre connaissance du témoignage qui suit sous forme de deux videos, celui du néerlandais Ronald Bernhard, entrepreneur ayant travaillé plus de 25 ans au sein de l'union européenne dans divers secteurs de l'industrie et ayant également exercé une fonction d'intermédiaire financier dans le négoce et la gestion d'actifs sur le marché des devises. Peut-être alors reconsidérerez-vous votre opinion, à moins que le déni soit si fort que vous applaudirez à la performance de l'acteur... N'oubliez cependant pas une chose : la façon dont vous regardez le miroir - la vie, les autres, l'autre - n'est que le reflet de qui vous êtes à cet instant, dans votre état de conscience du moment...
La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.
Vous avez aimé cet article ? Alors partagez-le avec vos connaissances.