La formulation de ces clés n'engage que leur auteur, qui puise tant dans ses recherches et sources d'information que dans son imaginaire leurs révélation et libre mise à disposition suivant la forme et la rédaction retenues.

Il n'y a de ce fait rien à prendre pour argent comptant, seulement à laisser faire en soi le processus d'ouverture de conscience par le discernement, soit le juste équilibre entre cœur et raison. Celui-ci conduira à les invalider, à les valider, à les compléter par d'autres ajouts et compléments. Il est ainsi conseillé de se référer à des relais ou officines de la doxa scientifique officielle tel Psiram.com, le Wikipédia des croyances irrationnelles, dont l'objectif est de discréditer tout ce qui ne correspond pas à sa ligne de pensée académique, et de prendre le contre-pied sur des sites comme la chaîne web Odysee.com, ou encore le site d'hébergement de vidéos "alternatif" Crowdbunker.

Sans prendre parti pour une croyance contre l'autre, il s'agit de prendre de la hauteur et de se forger sa propre opinion, par son propre travail de recherche, libre et indépendant. C'est ainsi que procède le chercheur de vérité

 

 

Vérité climatique

"Apres grand trouble humain, plus grand s’appreste

Le grand moteur des siecles renouvele.

Pluye sang, laict, famine, fer & peste,

Au ciel veu, feu courant long estincele."

Nostradamus, Centurie II.46

 

Réchauffement climatique, changement climatique, déplacement climatique, refroidissement climatique, ère glacière... Où est la vérité ? En abordant ce sujet "brûlant", il est utile de rappeler une règle essentielle pour l'être humain, malheureusement non enseignée aux fins de son asservissement : le monde extérieur est le reflet de notre monde intérieur. Alors s'il y a modification du climat sur la planète Terre, il n'est que le reflet des changements qui se produisent en l'Humanité*.

Dans l'histoire des civilisations, les conditions météorologiques extrêmes, les tempêtes, les inondations et autres calamités ont toujours été interprétées par les hommes-sages, les chamans, comme la manifestation de "la colère des dieux". Compte-tenu que notre dimension de réalité, la 3-D, est sous la coupe d'un corpus prédateur involutif logé en 4ème dimension de conscience qui en a profondément perverti le fonctionnement, ces dieux en colère sont tout simplement les entités qui s'y trouvent, quel que soit leur mode de conscience, "Service de Soi" ou "Service d'Autrui"*². Ils s'expriment selon les lois cycliques de l'Univers, et les ajustements qui en permettent l'équilibre. Les phénomènes cométaires les traduisent...

* Cf. Prophétie du changement.

Cf. Comprendre et apprivoiser la prédation.

 

Les changements climatiques surviennent en fait tout le temps, remontant à une époque bien plus lointaine que l’invention de l’automobile... C'est ainsi que l'optimum climatique médiéval, entre 950 et 1250 av. J.-C., avait été le théâtre de températures exceptionnellement élevées dans la région nord-atlantique. Et c’est la période à laquelle les Vikings se sont aventurés jusqu’au Canada et à laquelle on pouvait voir de nombreuses fermes au Groenland, dans des zones désormais recouvertes de glace.

Quant au "petit âge glaciaire", qui a atteint une phase très intense entre 1650 et 1725, il avait vu se former deux canaux gelés en Hollande. C’est d’ailleurs pour cette raison, entre autres, que les Néerlandais excellent dans la discipline du patinage de vitesse. À Londres, les gens pouvaient traverser la Tamise recouverte de glace et des carnavals d’hiver avaient lieu sur le fleuve gelé.

Ces deux épisodes ont eu lieu bien des siècles avant l’invention de l’automobile, éclairant différemment le discours propagandiste de nos actuelles élites institutionnelles, dissimulant leur intention d'obliger les peuples à utiliser des technologies coûteuses qu’elles contrôlent elles-mêmes. Et peu importe si nos conditions de vie se dégradent fortement. C’est la raison pour laquelle les Allemands constituent des stocks de bois de chauffage et que les Polonais font la queue pendant des jours pour pouvoir acheter du charbon, au XXIe siècle. On se croirait plutôt au XVIIIe siècle...

 

Le climat a toujours changé, et cela n’a rien à voir avec l’homme. C'est ce que disent et redisent les experts scientifiques sérieux du climat, comme l'astrophysicien et météorologue spécialiste de la météo l'anglais Piers Corbyn, fondateur de "Weather Action". Il avait ainsi prédit qu’il y aurait une chaleur extrême en Europe de l’Est et en Russie l'été 2022, avant même que cela ne se produise. Ces conditions météorologiques sont causées par "un certain modèle de circulation", une combinaison de l’activité solaire et des phases de la lune, et non du CO2 comme faussement logé car martelé dans l'inconscient collectif pour servir des intérêts marchands. Autant dire que Corbyn, par ailleurs antivax pour ne pas croire à la propagande institutionnelle, est présenté comme un dangereux conspirationniste...

 

De la désinformation aux mythes qui embrument l'esprit

Un mythe populaire particulièrement ancré dans les esprits veut que l'Amazonie soit "le poumon de la Terre", produisant "20% de l'oxygène du monde". Ces deux éléments sont inexacts... et pas seulement parce que nos poumons ne produisent pas d'oxygène. En fait, presque tout l'oxygène respirable de la Terre provient des océans, et il y en a assez pour durer des millions d'années. Il y a de nombreuses raisons d'être consterné par les gigantesques incendies d'Amazonie ou d'Australie de l'année 2019*, mais l'épuisement de l'approvisionnement en oxygène de la Terre n'en fait pas partie.

C'est pourtant et entre autres inepties ce que ne cessent de mettre en avant tous les idiots utiles à la solde des "Banksters" et autres Autorités institutionnelles qui, dans leur incapacité à produire une définition cohérente car holistique du concept "Climat", vitupèrent sur son réchauffement et ses sinistres conséquences, en proposant au passage leurs solutions fallacieuses de sauvetage sans cesse relayées par les thérapies pleurnichardes et verbeuses des protagonistes illuminés du New-Age, dont la suédoise Greta Thunberg est devenue l'égérie en 2019. Ils masquent pour cette belle et noble cause les innombrables mensonges, fourvoiements, falsifications et autres dissimulations, tel le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat) de l’ONU et autres ONG inféodées à la défense des comptes bancaires de la société civile impériale, dont ceux du "bien nommé" écolo l'homme d'affaires milliardaire rusé et habile politique américain Albert Arnold Gore Jr. dit Al Gore...

* Si le nombre d'incendies au Brésil en 2019 a été supérieur de 80 % à celui de l'année passée, il est aussi à peu près le même qu'en 2016 et inférieur à 2002, 2003, 2004, 2005, 2006, 2007, 2010 et 2012 (données obtenues grâce à l'analyse de l'imagerie satellitaire par l'Institut national de recherche spatiale du Brésil, qui collabore avec la NASA). La réalité est que la plupart des incendies se sont produit sur des terres déjà déboisées en Amazonie.

 

De la fausse dépopulation comme conséquence de la crise climatique

Entre 1960 et 1970, le sort de la population mondiale était au cœur de nombreux débats, alimentée par des craintes de surpopulation et des prédictions catastrophiques de famines massives. L'ouvrage de 1968, The Population Bomb, écrit par Paul et Anne Ehrlich de l'Université Stanford, prédisait ainsi que des centaines de millions de personnes mourraient de faim dans la décennie suivante. Ce scénario sombre ne s'est jamais matérialisé. Quant aux populations de Chine et d’Inde, elles étaient pointées du doigt avec des projections délirantes, nonobstant l'étendue de leur territoire. Et le premier "Jour de la Terre", célébré en avril 1970, avait pour objectif de marquer une prise de conscience de l'impact humain sur la planète, accentuant la rhétorique devenue litanie sur la ruine environnementale due à une prétendue surpopulation. Cette période fut également marquée par des prédictions erronées sur une nouvelle ère glaciaire provoquée par l'activité humaine, analogues aux modernes avertissements sur le pic pétrolier, qui se sont également avérés infondées.

De nos jours, le discours sur la dépopulation s'articule avec le bloc mondialiste, notamment autour du changement climatique, avec des figures propagandistes comme les milliardaires philanthropes Bill Gates et John Kerry, la militante Greta Thunberg, et le grand manitou du WEF (World Economic Forum) Klaus Schwab, qui incitent à la peur quant aux conséquences catastrophiques du réchauffement planétaire. Ils préconisent des politiques de "durabilité" qui, selon eux, sont essentielles pour éviter des désastres écologiques tels que la montée des océans et la désertification.

Pourtant, depuis la publication de The Population Bomb, la population mondiale a doublé, passant de moins de quatre milliards à environ huit milliards. Aucun fléau annoncé en grande pompe n’est pourtant arrivé. C’est même plutôt l’inverse. Grâce à l'adoption de politiques de marché libre, notamment en Inde et en Chine, plus de deux milliards de personnes ont échappé à la pauvreté. Et l'évolution permanente de l'innovation technologique génère de nouvelles opportunités créées par cette croissance démographique.

En résumé, malgré un demi-siècle de prédictions alarmistes, les grandes catastrophes climatiques n'ont pas eu lieu. Le monde ne s'est ni gelé, ni transformé en désert, ni noyé sous des inondations cataclysmiques. La validité et l'urgence des scénarios apocalyptiques actuellement promus tiennent davantage d’une volonté de contrôle accru des populations, de plus en plus considérées comme du bétail par les mondialistes.

 

Il n’existe en réalité aucune urgence climatique telle que martelée, les scientifiques n’ayant constaté aucun changement dans les taux de réchauffement de la planète depuis 1970 selon la publication d'un document rédigé par un groupe international de mathématiciens et de scientifiques publié en octobre 2024 dans la revue Nature. Les résultats montrent des "preuves limitées" d’une poussée de réchauffement, et ce en dépit des températures record observées en 2023…

La seule urgence est en fait biosphérique, au sens de la Survie Biologique. Il n’existe pas d’ennemis du climat, seulement des Ennemis de la Vie, de la Biosphère et des Peuples. Ceci entend que lorsque naissent des conflits énergétiques entre les consciences créatrices évolutives dites "Service d'Autrui" et les consciences involutives, entropiques dites "Service de Soi", ils se manifestent dans notre dimension humaine à travers les fluctuations météorologiques (du grec metéōros signifiant "qui est en haut" et "logique", terme dérivé de lógos signifiant "raison", le tout se traduisant "langage et raisonnement qui s'élèvent dans les airs").

Les changements climatiques correspondent en somme aux migrations de certaines zones d'influences climatiques vers d'autres régions, tout en sachant qu'au niveau mondial les températures moyennes restent toujours stabilisées dans la même fourchette. Ces migrations énergétiques augurent que des zones de sécheresse et de fortes chaleurs soient soudainement recouvertes de glace ou de déluges d'eau, et inversement.

Ainsi, la théorie du réchauffement climatique comme celle du refroidissement climatique, même si elle est vérifiée dans certaines grandes régions, ne sont sous certains aspects qu'un leurre. Et ce leurre constitue un écran de fumée qui cache bien autre chose.

 

Hypocrisie vénale

The Icon of the Seas ("L'Icône des mers" - ci-contre) est le plus grand navire de croisière du monde, propriété de la société Royal Caribbean. Sa taille, près de 365 mètres de la proue à la poupe, équivaut à quatre pâtés de maisons. Ce monstre des mers est divisé en huit quartiers répartis sur 20 ponts, et comprend six toboggans aquatiques, sept piscines, une patinoire, un théâtre, et plus de 40 restaurants, bars et salons. Le navire peut transporter jusqu’à 7 600 passagers à sa capacité maximale, ainsi que 2 350 membres d’équipage.

Il est propulsé par six moteurs à double carburant, qui peuvent être alimentés par du gaz naturel liquéfié (GNL), un carburant alternatif qui, selon la Cruise Lines International Association, réduit les émissions de soufre et de gaz à effet de serre. Toutefois, certains groupes écologistes craignent que les navires fonctionnant au GNL n’augmentent les émissions de méthane. D’autres affirment que les vacanciers génèrent huit fois plus de carbone lors d’une croisière que sur terre. Ils consomment 10 tonnes de carburant par heure et polluent comme 1 million de voitures !

 

Pourquoi l'explication scientifique cosmogonique est fausse ?

Les nouvelles théories explicatives du fonctionnement de notre univers*, comme celle de l'astrophysicien américain James Mc Canney traité bien entendu de conspirationniste par l'establishment de la pensée scientifique dominante et ses relais officiants, bouleversent considérablement la science contemporaine, remettant en question une grande partie de ses théories acceptées comme factuelles, dont les mythes du "réchauffement planétaire anthropique", de l'effet de serre, du "pic pétrolier", du "mouvement" des plaques tectoniques, du principe à l'origine des systèmes météorologiques, de l'idée stipulant que le Soleil émet toute son énergie sous forme de lumière.

La "réalité" est que pour ces esprits libres du cadenas imposé, nous n'avons pas à faire la guerre au Moyen-Orient pour le pétrole, parce que celui-ci se trouve en abondance partout dans le monde. Il n'est pas le résultat de millions d'éons de vie végétale en décomposition, aucun chimiste ne pouvant montrer comment la saleté se décompose et se transforme en pétrole brut et en gaz naturel. Le pétrole est en fait arrivé sur la planète par le biais de multiples événements de pollution à grande échelle causés par le passage de grandes comètes. Il n'est donc pas une marchandise rare ou limitée, pas plus qu'il n'est une substance rare contrôlée par quelques élites gloutonnes et avides. Il existe de meilleures façons d'alimenter nos besoins en énergie, en exploitant notamment le champ électrique solaire et de manière gratuite pour tout le monde. La véritable raison pour laquelle nous devrions cesser d'utiliser le pétrole, c'est parce qu'il pollue l'environnement !

Si la quasi totalité de tout ce que nous "savons" est faux, ceci indique que le système scientifique/universitaire n'est pas fait pour les libres-penseurs à même de repenser tout autrement le champ du Vivant, en remettant en question les axiomes de l'astronomie tels que dispensés. Ceci explique qu'au moment où ils prennent conscience de la supercherie jusqu'alors enseignée, ils soient au mieux discrédités et marginalisés, au pire éliminés. Ils présentent pour l'establishment le risque inacceptable de mettre fin à la propagande scientifique dispensée en dehors des cénacles habilités qui voient des scientifiques "dissimulés" œuvrer dans le cadre de contrats gouvernementaux stricts et privés (contrats à "budget noir" ou clandestins), et ce à destination du "grand public", ces moutons et autres dindons de la farce indigeste interprétée. Parce que la vérité est destinée à rendre libre l'être humain, de son esclavage au contrôle économique et politique exercé, les politiciens, scientifiques, philosophes et autres religieux psychopathes qui nous gouvernent*² ont besoin d'une psychologie dénaturée pour faire obstacle à tout diagnostic précis des problèmes pathocratiques qu'ils génèrent. Ils sont les "seuls maîtres à bord", ou plutôt le croient pour un grand nombre d'entre eux ignorants de la réalité des mondes multidimensionnels, et ont la ferme intention de le rester.  Comment peut-il en être autrement pour espérer conserver positions dominantes et prébendes liées, comme sortir indemnes de la situation si le public connaissait la vérité sur ce qui attend l'humanité ? Aussi font-ils tout pour préserver leurs propres vies en laissant le reste subir le sort des dinosaures. C'est pourquoi la physique, l'astronomie, l'histoire..., et tous les autres domaines scientifiques quels qu'ils soient, procèdent de la même dynamique. La mortification des consciences ! Qui peut en effet gagner de l'argent si l'énergie est gratuite ? Qui peut maintenir sa position privilégiée si les gens sont capables de mener une vie autonome ? Tout l'édifice du contrôle politique de notre époque nécessite de ce fait l'ignorance des populations*³.

* Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.

Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

*³ Cf. Contrôle mental.

 

Du militarisme écologique, ou l'histoire inhabituelle de la relation de l’armée avec le changement climatique

Le concept de changement climatique anthropique, également connu sous le nom de réchauffement climatique, a attiré l’attention du monde entier lorsque le professeur américain associé au Département des sciences de la Terre et de l’environnement de l’université Columbia James Edward Hansen et d’autres scientifiques ont témoigné devant le Congrès des États-Unis lors d’une série d’audiences entre 1986 et 1988. Mais cela faisait des décennies que ce concept était l’objet d’un débat au sein de communautés scientifiques, politiques et d’entreprises plus restreintes. Tout au long de la guerre froide, les dirigeants politiques et militaires américains ont en effet envisagé la possibilité d’un changement climatique spécifiquement dirigé et provoqué par l’homme. Ils pensaient que l’ensemencement des nuages et la bombe atomique, entre autres outils, leur permettraient d’exercer la force géologique nécessaire pour contrôler le climat de la Terre.

 

Le Soleil a une influence énorme sur nos saisons. Le mot climat, qui vient d'un mot grec voulant inclinaison, montre que les saisons sur la Terre sont entièrement définies par le fait que la Terre est inclinée sur son axe, de sorte que l'apport en énergie du Soleil varie en fonction du moment de l'année.

 

De l'influence du Soleil sur l'actuel réchauffement climatique

Les scientifiques du réchauffement climatique, à la solde de l'élite dirigeante, prétendent que l'homme est le grand responsable du réchauffement climatique, ce qui justifie diverses mesures répressives comme l'arnaque de la taxe sur le carbone. Si on ne peut l'augmentation des gaz à effet de serre, l'humain n'est pour autant l'unique responsable du réchauffement climatique, le soleil jouant une influence majeure. C'est ainsi que les mêmes scientifiques ont tout au long de ces dernières années enregistré une hausse des températures à la surface d'autres planètes dans notre système solaire*, ce qui démontre sans conteste l'augmentation de l'activité du Soleil.

Le Soleil a en effet une influence énorme sur nos saisons. Le mot climat vient d'ailleurs d'un mot grec qui veut dire inclinaison, montrant que les saisons sur la Terre sont entièrement définies par le fait que la Terre est inclinée sur son axe, de sorte que l'apport en énergie du Soleil varie en fonction du moment de l'année. Et il démontre plus d’activité depuis 1940, en terme d’éruptions solaires (nombre et force) que dans les 1 150 dernières années combinées, ceci n’affectant pas uniquement la Terre, mais bien le système solaire tout entier. On assiste donc à un réchauffement du système solaire… et non à un simple réchauffement planétaire local.

* Saturne a ainsi vu son "jet stream" équatorial largement décroître depuis environ 20 ans, accompagné d’une surcharge d’émission de rayons X depuis son équateur (jusqu’à 1000% du nuage qui l’entoure); Venus présente des changements atmosphériques substantiels et une augmentation de sa luminosité aurorale de 2500% depuis les 30 dernières années seulement; Jupiter montre une augmentation de 200% de la luminosité de ses nuages de plasma avoisinants; Mars subit un "réchauffement planétaire" semblable à la Terre, avec disparition des calottes polaires de glace… et une augmentation significative des tempêtes en nombre et en ampleur; sur Neptune, en juin 1994, la grande tache sombre de l’hémisphère sud est mystérieusement disparue, avant que de réapparaitre en 1995 dans l’hémisphère nord, sa luminosité globale s’étant accrue de 40%; sur Uranus ont été identifiés de grands changements au niveau de la luminosité, ainsi que l'émergence de nuages remarquablement lumineux "de la grosseur d’un continent terrestre" et apparitions de nouvelles énormes tempêtes; Pluton a subi un accroissement de sa pression atmosphérique de 300% de 1989 à 2002 malgré le fait qu’elle s’éloigne actuellement du soleil…

 

De l'imposture climatique, ou la réalité économique dissimulée

Après le narratif anxiogène de la peur sanitaire liée au Covid 19, les médias mainstream sont en boucle pour le resservir pour cause de "dérèglement climatique" et de réchauffement, destiné à terroriser le citoyen et à lui présenter une facture du réchauffement proprement astronomique. Elle passerait au choix par le boycott ou l’imposition de droits de douane dissuasifs sur des produits fortement carbonés importés de Chine, des USA et d’autres pays qui n’agissent pas contre le réchauffement climatique. Si l’ADEME (Agence de la transition écologique) estime à 260 Milliards d'€ les dégâts causés – chaque année – par le réchauffement climatique à notre économie dans les années 2030, ce chiffre énorme est totalement invérifiable, d'autant que l'agence évoque une projection de +3,5° de réchauffement d’ici 2100 elle aussi invérifiable, tout comme la hausse du niveau des océans n'est toujours pas au rendez-vous même si elle est annoncée depuis 30 ans...

La réalité économique, c’est que ce sont les pays situés dans les zones les plus chaudes qui connaissent les plus fort taux, non pas de sécheresse, mais de croissance économique (Inde, Émirats, Chine, Indonésie, etc.) et enregistrent les afflux de travailleurs les plus spectaculaires (péninsule arabique). De leur côté, tous les livres d’Histoire démontrent que l’humanité a connu ses plus grandes périodes de croissance démographique et de prospérité à chaque cycle de réchauffement de la planète, et pas l’inverse, tandis que les mini-glaciations qui surviennent tous les 700 ans s’accompagnent de famines, d’épidémies et de migrations massives vers des zone plus tempérées où les récoltes sont plus abondantes. En effet, lorsque la chaleur augmente, les hommes déploient des trésors d’ingéniosité pour développer l’irrigation, sélectionnent et hybrident les espèces végétales les plus résistantes aux sécheresses, tandis que lorsqu'il fait plus froid, les rendements céréaliers baissent (avec ou sans eau), l’herbe se fait plus rare et les troupeaux se clairsèment.

Si la croissance fulgurante et la prospérité des pays d’Asie n’est pas liée exclusivement au réchauffement climatique, loin s'en faut, la stratégie occidentale de délocalisation d'une partie non négligeable de son appareil de production y contribuant, l'élévation de leur niveau de vie conduit les populations locales à vouloir bénéficier d'un même confort, comme la généralisation de la climatisation pour supporter une température plus élevée comme aux Émirats, dans le Xinjiang chinois ou le sud de l’Inde. Et elles n'hésitent pas pour ce faire à faire tourner les climatiseurs, et ce souvent 365 jours par an (Singapour, Indonésie, Vietnam, Malaisie, etc.).

Le résultat est pendant que les uns écument l’océan du carbone avec une cuiller à café, d’autres y déversent des seaux, l'objectif étant de nous fourguer encore plus de trucs coûteux assortis de taxes et d'impôts !

 

Quelques notions à rappeler sur ce qu'est le climat

 

Dans sa dimension sacrée, autrement dit dans une approche métaphysique dégagée des limites de la raison mentale constitutive de l'être humain illusionné par l'inflammation psychique de son intellect, le climat n'est rien d'autre que la biosphère au sein de laquelle se situe la planète Terre, centre de la galaxie solaire nommée La Voie lactée. La Tradition la qualifie de Terre-Mère. Celle-ci est en relation intime avec le Soleil comme la Lune et autres éléments constitutifs de la voûte étoilée, que seul l'éveil de la conscience humaine permet d'en comprendre la véritable nature, intérieure et non extérieure !

La Terre étant un lieu d'apprentissage pour l'être humain sur son long chemin de retour à l'Unité première, Ce Qui Est, elle est sous gouverne de la Matrice astrale, qui voit des Forces tant lumineuses que ténébreuses cohabiter dans la dimension de densité qu'est la 4ème dimension, circonscrite au temps relatif mesuré par les scientifiques par la vitesse de la lumière. C'est le temps relatif, dit temps de Saturne, et qui illusionne par sa linéarité (passé-présent-futur) les êtres humains prisonniers de leurs sens physiques gouvernés par leur double involutif. 

Ce temps est cyclique, participant des voyages de l'âme* qui s'y trouve piégée par sa non fusion au champ de conscience cosmique, autrement nommé l'Esprit universel. Son fonctionnement mécanique, ou mécaniste, est impulsé par des météorites (objets solides d'origine extraterrestre qui traversent l'atmosphère terrestre sans perdre leur masse avant que d'atteindre la surface solide) et des astéroïdes (planètes dites mineure composées de roches, de métaux et de glaces), qui tous deux constituent des guides de l'ordonnancement propre au Système Solaire en question. C'est ainsi que l’avant-dernier astéroïde digne de ce nom, qui impacta la planète il y a environ douze mille années*², fit monter le niveau des océans de quelque cinquante mètre (c'est ce dont parle la Bible avec l'épisode du déluge), traduisant l'amorce d'un nouveau cycle de conscience - le "moi-personnalité" - qui succédait à celui qui caractérisait le précédent état de conscience - le "moi-astral" - propre à la civilisation des Atlantes*³.

C'est pourquoi cette biomasse qu'est le "Climat" ne peut se résumer à ce qu'en comprennent et perçoivent la plupart des êtres humains conditionnés par les balivernes dispensées. On peut par exemple parler le concernant de biomasse bactérienne, celle que des chercheurs viennent de découvrir à 10 km de profondeur en-dessous des fosses océaniques, et dont l’amplitude de masse est estimée à 200 fois celle de la totalité des 7 milliards d’animaux humains sur la Planète !

* Cf. Le cheminement de l’Âme.

De la même façon chuta dans le Yucatan (Mexique) il y a 66 millions d’années un astéroïde qui extermina intégralement les Dinosaures et autres Sauriens qui étaient là - selon les estimations - depuis 185 millions d’années. Et à cause des turbulences atmosphériques causées, il est impossible pour les scientifiques de parler d'atmosphère avérée compte-tenu de l'ébullition de masses d’air, d’eau, de rochers, de dinosaures et autres matières organiques générée...

*³ Cf. Où en sommes-nous ? & Préambule de compréhension.

 

Observation climatique

 

Un changement climatique, ou dérèglement climatique, correspond à une modification durable (de la décennie au million d'années) des paramètres statistiques (paramètres moyens, variabilité) du climat global de la Terre ou de ses divers climats régionaux. Ces changements peuvent être dus à des processus intrinsèques à la Terre, à des influences extérieures ou, plus récemment, aux activités humaines.

Le changement climatique en cours depuis la Révolution industrielle, nommé "réchauffement climatique", résulte pour partie d'une modification de la composition de l'atmosphère terrestre par les émissions de gaz à effet de serre engendrées par les activités humaines. Toutefois, des variations naturelles du climat s'y superposent. C'est pourquoi, selon l'objectif poursuivi, le terme "changement climatique" n'a pas la même signification :

- Dans les travaux du GIEC*, le terme fait référence à tout changement dans le temps, qu'il soit dû à la variabilité naturelle ou aux activités humaines.

- Dans la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, le terme désigne uniquement les changements dus aux activités humaines. La Convention-cadre utilise le terme "variabilité climatique" pour désigner les changements climatiques d'origine naturelle.

* Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat est un organisme intergouvernemental ouvert à tous les pays membres de l'Organisation des Nations unies. Il regroupe actuellement 195 États.

 

Le Groenland, exemple du changement

Le nom donné au Groenland en 982 après J.-C. vient du danois Grønland (en anglais Greenland), signifiant "Terre verte" et indiquant apparemment la présence d’une végétation importante sur l’énorme île arctique il y a environ un millier d’années.

 

Une équipe de scientifiques de l’université de Leeds, qui a suivi les changements survenus au Groenland depuis les années 1980 jusqu’aux années 2010, a affirmé début 2024 dans un article intitulé Land cover changes across Greenland dominated by a doubling of vegetation in three decades  ("Changements de la couverture terrestre au Groenland dominés par un doublement de la végétation en trois décennies") dans la revue Scientific Reports que le réchauffement des températures de l’air entraînait un recul de la glace, estimant par le biais de données satellitaires que 28 707 kilomètres carrés de la calotte glaciaire et des glaciers du Groenland ont fondu au cours des trois dernières décennies. Là où il y avait autrefois de la glace et de la neige, on trouve aujourd’hui des roches stériles, des zones humides et des zones d’arbustes.

 

 

 

Crise sanitaire et changement climatique, quel impact ?

Le changement climatique ne s’est pas arrêté pour la COVID-19. En effet, un nouveau rapport inter-organisations intitulé United in Science 2020  qui émane d’organisations scientifiques de premier plan a mis début 2021 en avant que les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère ont atteint des niveaux records, et qu'elles continuent à augmenter. Après un déclin temporaire dû au confinement et au ralentissement de l’activité économique, les émissions sont reparties en direction de leur niveau d’avant la pandémie. La planète Terre est en passe de connaître ses cinq années les plus chaudes jamais enregistrées, une tendance qui va probablement se poursuivre pendant quelques temps, ce qui n’est pas sur la bonne voie pour atteindre l’objectif convenu de maintenir l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels, ou de limiter la hausse à 1,5 °C. Les effets croissants et irréversibles du changement climatique touchent les glaciers, l’océan, la nature, les économies et les conditions de vie, se manifestant souvent à travers des aléas hydrologiques tels que les sécheresses ou les inondations. La crise a surtout entravé notre capacité à surveiller ces changements dans le cadre du système mondial d’observation.

 

C'est Le Club de Rome, cercle de réflexion de scientifiques, penseurs de renom, décideurs économiques, hauts fonctionnaires ainsi que des industriels de 52 pays, tous préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés tant industrialisées qu'en développement, qui a prévu le réchauffement climatique dans les années 1970. Ses membres ont aussi rédigé le rapport Meadows* publié en 1972, The Limits to Growth (''Les limites de la Croissance''), qui anticipait l’épuisement des ressources naturelles auquel notre société se heurte. Son interpellation intervenait à l'apogée de la période dite des "Trente Glorieuses", période de croissance sans précédent dans les pays développés, et qui laissait penser que celle-ci était sans limite imaginable. Le concept de croissance zéro, que ce rapport ne préconisait pas, fut néanmoins une des idées fondatrices de l'écologie politique. Cinq principaux problèmes étaient soulignés :

- l’accélération de l’industrialisation

- la croissance forte de la population mondiale

- la persistance de la malnutrition mondiale

- l'épuisement de ressources naturelles non renouvelables

- la dégradation de l'environnement

* Du nom de deux de ses auteurs Dennis et Donella Meadows, membres experts d'un groupe du Massachusetts Institute of Technology (MIT) auquel il avait été commandé.

 

Depuis plusieurs années la Terre subit une recrudescence d'événements météorologiques extrêmes et destructeurs. Les perturbations climatiques que certains confondent sciemment avec un réchauffement, représentent les prémices de changements d'une ampleur bien plus considérable. Ainsi l'année 2017 s'est caractérisée par nombre d'événements de forte ampleur, à l'instar d'Ophelia, le 11ème ouragan majeur de la saison, qui était l'ouragan de catégorie 3 le plus au nord-est jamais observé depuis le début des observations climatologiques. De même, les gros séismes du Chili, Italie, Taïwan, Équateur, Mexique, Inde, Japon, Russie et les centaines d'autres de moindre importance apportent la preuve qu'un événement majeur est en cours de préparation.

La communauté scientifique et le monde politique s'évertuent à occulter la raison de ces bouleversements, laissant croire au grand public qu'ils sont la résultante de l'activité humaine et de la pollution atmosphérique qui en découle. Cependant, les désordres climatiques et géologiques touchent aussi toutes les planètes de notre système solaire sans aucune exception, et pourtant il n'y a aucune activité humaine recensée.

 

Retour dans le passé : l'année 536, la pire année de l’histoire de l’humanité

C’était l’époque de la dislocation finale de l’Empire romain, après la dernière tentative de réunification, menée par l’Empereur Justinien. Cette année 536 commença par un brouillard inexplicable, d’une densité extraordinaire, qui plongea l’Europe, le Moyen-Orient et une partie de l’Asie dans l’obscurité 24 heures sur 24, pendant pratiquement deux ans. "Car le soleil donnait de la lumière sans éblouir, comme la lune, durant toute l’année", écrivit l’historien byzantin Procope de Césarée (né vers 500 et mort vers 565). On suppose aujourd’hui qu’il s’agit de l’éruption de volcan en Islande, grâce à des relevés de poussières volcaniques réalisés sur des carottes glaciaires prélevées en Suisse, au Groenland et en Antarctique. La température du globe chuta de 1,5 à 2,5 °C, ce qui produisit la décennie la plus froide des 2300 dernières années. Les récoltes furent désastreuses et provoquèrent une famine dans toute l’Europe et jusqu’en Chine. Les chroniques irlandaises rapportent un "manque de pain qui dura de 536 à 539". La famine et le froid extrême provoquèrent un désastre humain de grande ampleur. En 541 se déclencha une épidémie de peste bubonique qui conduisit au décès de 100 millions de personnes supplémentaires et près de la moitié de la population de l’Empire Byzantin. Pour les personnes qui vécurent ces événements tragiques, il devait être clair que la fin du monde était arrivée. C'était "seulement" le Moyen-Âge qui commençait. Bientôt les cavaliers de Mahomet allaient déferler sur l’Afrique du Nord, passer en Espagne et remonter jusqu’à Poitiers. Les Vikings allaient arriver en Normandie, et les Huns ravager l’Europe.

 

Sur la Terre, même les astronomes amateurs peuvent observer un accroissement important du nombre de météores, d'astéroïdes et autres objets inconnus, traverser la voûte céleste. Si nous regardons le soleil au moment de son coucher, nos yeux sont devenus incapables de soutenir sa brillance, même lorsqu'il disparaît à l’horizon. Il a changé de couleur et cela depuis quelques petites années seulement pour devenir quasiment blanc. Qui plus est, au niveau individuel, nombre d'individus commencent à ressentir de la fatigue extrême, voire des brûlures oculaires de plus en plus insupportables surtout lorsqu'ils omettent de se protéger les yeux. Ces moments de fatigue parfois handicapants sont fonction de la pénétration des énergies électromagnétiques dans le bouclier magnétique terrestre. Ils sont essentiellement ressentis par ceux qui ont commencé à développer une certaine sensibilité énergétique. Quant aux brûlures oculaires, elles sont provoquées par l'augmentation des rayonnements ultraviolets (UV), qui forcent la pupille de l'œil à s'adapter à ces pics de luminosité extrême. Elles témoignent de la baisse de l'efficacité du bouclier électromagnétique terrestre, qui a essentiellement pour rôle de protéger la vie terrestre des rayonnements solaires et cosmiques et des bombardements cométaires. 

Ainsi, peu à peu, chaque individu sur Terre a la possibilité de s’apercevoir que quelque chose est en train de changer. Cependant ce qui est visible n'est que le résultat d'un bouleversement beaucoup plus gigantesque qui, paradoxalement, touche chaque atome de la Création, plus exactement de Ce Qui Est. De nombreuses informations sont déjà à la portée de chacun, mais ni la science officielle, ni les médias, ni les gouvernements ne les divulguent. Elles sont pourtant d'une importance capitale puisque dans l'ensemble de notre système solaire, le champ magnétique de chaque planète est en train de s’affaisser progressivement. Dans un avenir proche, ces champs deviendront quasi nuls. Dans le langage de la physique quantique cela s'appelle basculer au point zéro.

 

Observation astrophysique

 

Nous vivons dans un univers de nature électrique et magnétique, régi par ses propres lois électromagnétiques. Depuis chaque atome en chaque être vivant aux milliards de planètes dans chaque galaxie, tout n'est que champs d'ondes et de particules intelligentes qui s'imbriquent de façon fractale et holographique*. C'est pourquoi les conjonctures planétaires influencent sans cesse notre quotidien, leurs descentes d'énergies sur la planète Terre ayant une incidence sur la psyché et la biologie par les différents centres d'énergie humains*². Elles modifient de plus en plus profondément les structures atomiques et pénètrent les champs magnétiques des égos humains, diluant peu à peu les égrégores de croyances.

* Cf. Univers en partage.

Cf. Fonctionnement du corps biologique.

 

Conjonctures planétaires

Les typhons, ouragans et tempêtes (Cf. photos) résultent d'une part de certaines configurations planétaires, et s'amplifient lorsqu'une ou plusieurs planètes se retrouvent alignées par rapport à la Terre sur leur orbite respective. Celles-ci se comportent alors comme d'énormes condensateurs capables de stocker de l'énergie et de la transférer aux autres astres alignés avec elles. Les planètes sont donc capables de retransmettre leurs fluctuations énergétiques les unes aux autres.

En "physique électrique", la dépolarisation d'un champ magnétique provoque toujours un "appel d'énergie" pour compenser ce déséquilibre. Prenons l'exemple de la Terre dont la surface est recouverte par un champ magnétique global. Celui-ci est en continuel mouvement et fluctue sans cesse en fonction de l'activité qui se déroule " sous son manteau ". Ainsi, toute activité humaine, qu'elle soit physique, intellectuelle, émotionnelle... génère en permanence des champs électromagnétiques.

Par exemple la population d'un pays où règnent la misère, la paupérisation, la corruption, les sentiments de peur, de violence, de tristesse... - ainsi le continent indien - constitue progressivement un agrégat psychique (égrégore) très dense de vibrations infiniment basses. De ce fait, il constitue un champ magnétique déséquilibré dans son écosystème, qui attire une charge de flux d'électrons provenant du système solaire. Selon la configuration de certaines planètes, un flux d'électrons orienté vers la Terre est libéré afin de compenser sous forme de typhon ou tempête la dépression formée sous le manteau magnétique terrestre.

 

D'autre part, la géo-ingénierie* alimente de son côté un cycle de plus en plus destructeur de sécheresses suivies de tempêtes de feu suivies de déluges. C'est ainsi qu'en septembre 2023 plus d’un millier d’incendies faisaient toujours rage au Canada, la Grèce étant passée d’une incinération totale à une pluie d’un an en un jour. Les incendies constatés en Californie, en Australie et à Hawaï n'ont ressemblé à rien de connu. Si on les qualifie de feux de forêt et de feux de brousses, il s’est agi manifestement de quelque chose de très différent, ces incendies réduisant les maisons en cendres blanches et poudreuses, tout en laissant les arbres et arbustes environnants pratiquement intacts… En fait, il s'agissait d'incendies par énergie dirigée.

Qui plus est, partout dans le monde l’eau de pluie est impropre à la consommation en raison de la présence de produits chimiques à base de PFAS, cette famille de substances dont certaines représentent des niveaux de risques pour la santé (PFOA, PFNA, PFHxS, PFOS). Les particules toxiques de métaux lourds et de polymères présentes dans l’air ont vraisemblablement un lien avec les récentes mises en garde officielles contre le "cerveau du feu" et le "cerveau de la fumée" qui peuvent endommager durablement le cerveau et le corps.

* Cf. Contrôle mental.

 

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Le Soleil suit des cycles d’environ 11 ans, caractérisés par des hauts et des bas dans son activité. L’activité des cycles est constituée d’une part par les champs magnétiques causés par le mouvement de rotation du soleil, et d’autre part par les taches solaires, présentes sur la surface du soleil. Elles sont les indicateurs de la vigueur de cette activité (Cf. image ci-contre).

Tous les 11 ans, le champ magnétique du Soleil "se réinitialise", revenant à un état plus lisse et les taches solaires disparaissent presque complètement. Le cycle solaire 25* est le cycle solaire en cours en 2020, le vingt-cinquième depuis 1755, date du début du suivi intensif de l'activité et des taches solaires.

Il y a débat sur le moment exact où se terminera le cycle actuel, les astro-physiciens semblant s’entendre pour le placer d’ici la fin de 2020. A des intervalles plus longs, qui nous sont inconnus, l’activité solaire diminue de façon importante, le dernier événement de ce genre, appelé "minimum de Maunder"*², ayant duré de 1645 à 1715.

* Ce cycle a démarré en décembre 2019 et devrait se poursuivre jusqu'en 2030. En avril 2018, le Soleil montrait les signes d'une tache solaire à polarité magnétique inverse apparaissant et commençant ce cycle solaire. Il est typique lors de la transition d'un cycle à l'autre de vivre une période où existent des taches solaires des deux polarités (pendant le minimum solaire). Les taches solaires polaires à polarité inversée suggèrent que la transition vers le cycle 25 est en cours. La première tache solaire du cycle 25 pourrait être apparue début avril 2018 ou même en décembre 2016.

Cf. Chapitre "Nous entrons dans un âge glaciaire" plus en avant.

 

Inversion en cours du champ magnétique du Soleil

Le champ magnétique du soleil – dont l’influence appelée héliosphère s’étend à des milliards de kilomètres au-delà de Pluton - change de polarité approximativement tous les 11 ans, à l’apogée de chaque cycle solaire quand la dynamo magnétique intérieure du soleil se ré-organise. Ceci entend que les champs magnétiques du soleil faiblissent, tombent à zéro, puis réémergent avec une polarité opposée. Ce phénomène est nommé la "spirale de Parker", surface étendue qui surgit de l’équateur du soleil, là où le champ magnétique en rotation lente induit un courant électrique. Quand la Terre tourne autour du soleil, elle entre et sort de cette nappe de courant. Les transitions d’un côté à l’autre peuvent susciter un temps spatial orageux autour de la planète.

Les rayons cosmiques sont également touchés, étant des particules à haute énergie que des explosions de supernova ou d’autres événements violents dans la galaxie accélèrent jusqu’à presque la vitesse de la lumière. S’ils sont dangereux pour les astronautes et les sondes spatiales, ils pourraient affecter les nuages et le climat de la Terre.

 

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La dérive du pôle Nord magnétique terrestre

Le pôle Nord magnétique, resté dans l'Archipel arctique canadien au cours des 400 dernières années*, ne cesse de se déplacer rapidement en territoire russe vers la Sibérie. Cette migration de ce pôle est à la verticale du pôle Nord géographique*², qui, lui, ne bouge pas. Depuis sa localisation dans l'Arctique canadien en 1831, le pôle magnétique s’est déplacé de façon plus ou moins imprévisible dans les archipels du Grand Nord canadien, passant depuis la fin du 19e siècle de 9 à 41 kilomètres par année dans les années 70 à plus de 30 à 60 kilomètres par année désormais.

Le champ magnétique terrestre est produit par les mouvements de convection du noyau externe de la Terre constitué de fer à l'état liquide.

* Il est caractérisé par la grande calotte polaire, celle-ci se divisant en quatre inlandsis (glacier de très grande étendue se présentant sous la forme d'une nappe de glace recouvrant la terre ferme et pouvant atteindre plusieurs milliers de mètres d'épaisseur) constitués d’épaisses couches de glace couvrant les surfaces continentales importantes : l’inlandsis de la Cordillère, l’inlandsis Innuit, l’inlandsis du Groenland, et le grand inlandsis Laurentide. Chez ce dernier, on distingue trois centres d’accumulation des glaces : centres du Labrador, du Keewatin et de Baffin. On a évalué des épaisseurs de glace allant jusqu’à 5 000 m à la hauteur de la Baie d’Hudson. Un étroit passage libre de glace s’est formé au Tardiglaciaire entre les inlandsis de la Cordillère et les Laurentides, et c’est sans doute ce passage qu’ont utilisé les premiers hommes venus de l’Asie pour peupler le continent américain.(autour d’il y a 12 000 ans).

Il faut différencier le pôle Nord magnétique du pôle Nord géographique, qui correspond à l'endroit où l'axe de rotation de la planète croise la surface. Le pôle Nord géographique est situé au milieu de l’océan Arctique, à plus de 720 km au nord de l’île d'Ellesmere, au Nunavut. C’est l’île la plus au nord de l'archipel arctique canadien. Le pôle Nord magnétique est indispensable à de nombreux systèmes de navigation.

 

Si les tempêtes, comme les tremblements de terre et les éruptions volcaniques, servent à dissiper cet afflux d'énergie provenant du cosmos, ils font également souvent office de passage inter-dimensionnel pour certaines âmes ou groupes d’âmes. Les textes sacrés désignent ces événements par "les tribulations de la fin des temps" *. Elles sont supposées débuter par la purification par le feu, l’eau, le vent... au moment des grandes révélations. L'observation factuelle des événements géo-climatiques qui se succèdent de plus en plus fréquemment conduit à considérer que nous sommes entrés dans cette fin de cycle planétaire.

* Cf. Prophétie du changement & Fin de cycle : la guidance éclairée de sa vie.

 

Cyclicité cataclysmique

 

Les épisodes de cataclysmes sont fréquents, coïncidant avec la chute des civilisations, comme l’âge sombre en Europe. Ainsi à la fin des années 530, tout l’hémisphère nord a été touché par un cataclysme, entraînant une détérioration climatique soudaine. Les comètes sont périodiques. On retrouve les comètes en 1346-1350 causant la peste noire.

Ils expliquent l’extinction de la mégafaune il y a 10 à 12.000 ans av. J.-C., événement qui marque la fin de l’âge glaciaire où plus d’espèces se sont éteintes qu’en 3,5 millions d’années. C’est à cette époque que des mammouths ont été congelés vivants. Ceci est dû aux frappes cométaires qui causent un appel d’air glacial de la haute atmosphère.

Les comètes ont ainsi causé des tsunamis, des changements magnétiques, une déviation du Gulf Stream. C'est toujours une comète énorme qui est à l’origine des fragments cycliques tous les 2.000 à 4.000 ans. Quand des gros fragments impactent la terre, c’est deux mille fois la puissance d'Hiroshima. Les anciennes civilisations ont très probablement été détruites de la sorte.

Ainsi, l’Atlantide, le Déluge "de Noé", Sodome et Gomorrhe, l’Exode d’Égypte, les Âges Sombres, le Graal, la Peste noire, le procès des sorcières de Salem, le grand incendie de Chicago, le World Trade Center… constituent autant d'événements parmi d'autres qui se sont déroulés à une époque où la Terre était impactée par des essaims de comètes et d’astéroïdes.

 

Les scientifiques établissent le lien entre la montée et la chute de l'activité solaire et les violences dans les sociétés humaines, de par la nature magnétique de la Terre. Il découle des travaux du célèbre savant russe Alexandre Léonidovitch Tchijevski, parfois retranscrit en français sous la graphie Aleksandr Leonidovich Chizhevsky (1897/1964 - photo 1) au cours des années 1915. Pour lui, les tempêtes solaires déclenchent des conflits, les guerres et la mort*. Un tourbillon de la mort du point de vue de l'humeur, des émotions et des comportements ! Fondant sur les recherches du savant russe, le physicien américain John Archibald Wheeler (1911/2008 - photo 2) a appliqué un système numérique de classement pondéré durant les années 1930 à des guerres et des batailles distinctes même individu de les évaluer sur la durée et la gravité. Il a ensuite établi une corrélation entre les données impressionnante qu'il avait amassé avec le cycle solaire de 11 ans.

* Ainsi en 1990, la hauteur maximum solaire fièvre ayant lancé comme "escarmouches" à travers le monde avec l'envahissement par l'Irak du  Koweït et la réplique des États-Unis. Ou 11 ans plus tard les attaques du 9 septembre 2001 contre New York et Washington DC suivies par deux guerres en succession rapide, l'Afghanistan et l'Irak nouveau. Enfin, les mouvements révolutionnaires constatés en Tunisie, Égypte, Yémen, Bahreïn et Arabie saoudite, avant que de s'étendre à la Syrie, la Libye, l'Iran et la Chine. L'Europe n'a pas été épargnée, avec le malaise général soulevé dans le Royaume-Uni et la France, la Grèce et l'Espagne, sans oublier les États-Unis ayant vu des foules en colère se lever dans l'État du Wisconsin.

 

Chute des civilisations

On peut corréler la chute des civilisations aux passages des comètes, périodiques comme Encke * par exemple ou ponctuelles comme ISON en 2012 (désintégrée en 2013). Les comètes étaient jadis considérées comme des dieux du ciel, dont les noms ont été plus tard donnés aux planètes. Ceci explique pourquoi on donnait aux planètes des caractéristiques propres aux comètes (Jupiter "barbu", Mercure comme une "lance", etc). La comète nommée "Saturne/Chronos", brillante et géante, était la plus importante ; elle devait illuminer comme un "second soleil". La diminution des comètes a ensuite permis au rationalisme grec de se développer. Aristote a détruit ces connaissances anciennes par sa vision réductrice, mélangée à des buts politiques. La cosmologie aristotélicienne est composée de "sphères" planétaires parfaites, et les mythes sont alors devenus incompréhensibles.

* Découverte le 17 janvier 1786 par l'astronome français Pierre Méchain depuis Paris. Elle est nommée en l’honneur de l'astronome allemand Johann Franz Encke qui détermina sa périodicité.

 

De l'importance des cycles de long terme sur la civilisation humaine

Si les cycles de long terme passent inaperçus sur le moment, parce qu’ils se déroulent sur de nombreuses années, voire plusieurs décennies, leur importance reste toutefois fondamentale. Ainsi auraient pu en témoigner les Romains s'ils avaient remarqué la baisse des précipitations dans la région méditerranéenne en l’an 150 qui a lentement mais sûrement fait diminuer les récoltes de céréales de l’Empire romain, ce qui, parallèlement à une augmentation de la population, a provoqué une baisse des apports caloriques pour de nombreuses personnes. Leur système immunitaire a ainsi été affaibli petit à petit, les rendant plus fragiles face à la grande peste antonine qui a débuté en l’an 165 sous les règnes de Marc Aurèle et Commode, et qui dura jusqu'à 190. L’Empire romain n’a pas été le seul mis à mal par les cycles naturels et les pandémies de l’an 200, le puissant Empire parthe, en Perse, les royaumes de l’Inde et de la dynastie des Han en Chine s'étant également effondrés.

Il en est de même avec le déclin des températures en Europe du nord au début du XIV° siècle, qui a mené à des "années sans été" et à la destruction de récoltes céréalières, ce qui a là encore fait baisser l’apport calorique de la majeure partie de la population, désormais affaiblie et plus fragile face à la peste noire qui a dévasté l’Europe en 1347.

En économie, il existe également des cycles socioéconomiques humains, ceux de la dette et du déclin des valeurs civiques et du contrat social à l'initiative d'une prolifération d’élites parasitaires, d'un affaiblissement des finances de l’État, et du déclin du pouvoir d’achat des salaires/du travail. C'est ce qu'ont théorisé entre autres l’économiste soviétique Nikolai Dmitrievitch Kondratieff (1892/1938) et le scientifique russo-américain Peter Valentinovich Turchin, spécialisé dans l'évolution culturelle et la cliodynamie (modélisation mathématique et analyse statistique de la dynamique des sociétés historiques).

Cf. ouvrage du professeur d'histoire à l'Université de l'Oklahoma Kyle Harper "Comment l’Empire romain s’est effondré : le climat, les maladies et la fin d’un empire, pour mieux comprendre les conséquences des cycles naturels sur la civilisation humaine".

 

Cartographie mondiale des risques naturels - Cliquer pour agrandir
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Le lourd bilan des années 2018 et 2019

Selon le Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophes (UNISDR), soixante millions de personnes ont été affectées par les catastrophes naturelles en 2018, plus de 10 000 d'entre elles ayant trouvé la mort dans les 289 catastrophes naturelles recensées (incendies*, inondations, tempêtes). Le bilan établi entre 2000 et 2017 est quant à lui de plus de 77 000 décès en moyenne annuelle, entre autres par des catastrophes majeures comme le tsunami dans l’océan Indien de 2004, le cyclone Nargis en 2008 en Birmanie ou le séisme en Haïti en 2010.

Les régions du monde qui ont été affectées par des événements météorologiques extrêmes sont l’Inde, les Philippines et la Chine. Au total, 57,3 millions de personnes ont souffert directement des inondations, de la sécheresse, des tempêtes et des feux de forêt.

L'année 2019 a accentué ce catastrophisme naturel, au moins 15 catastrophes – typhons, inondations, feux de forêt – liées selon les experts au changement climatique ayant causé des destructions d’un coût de plus d’un milliard de dollars entraînant dans la mort *² et déplaçant des millions de personnes (compilation effectuée par une ONG britannique). Sept de ces catastrophes ont même causé des dégâts évalués à plus de 10 milliards de dollars : les inondations dans le nord de l’Inde et le typhon Lekima en Chine ; l’ouragan Dorian en Amérique du Nord ; les inondations de juin à août en Chine ; les inondations dans le Midwest et le sud des États-Unis ; le typhon Hagibis en octobre au Japon ; les feux de forêt en Californie d’octobre-novembre. Se rajoutent les catastrophes très meurtrières, comme des cyclones dévastateurs en Inde, au Bangladesh et au Mozambique, tout comme les inondations en Argentine et en Uruguay ou pour clore l'année le typhon Phanfone aux Philippines.

Mi-décembre, le réassureur suisse Swiss Re avait dans une première estimation annuelle évaluée à 140 milliards de dollars les pertes économiques liées aux catastrophes naturelles et aux désastres humains en 2019, contre 176 milliards en 2018.

Les incendies particulièrement meurtriers sont localisés en Europe (Grèce) et dans le nord du continent américain. 

L’immense majorité des décès a été causée par les inondations dans le nord de l’Inde (1 900 morts) et au Mozambique (1 300 morts), les populations les plus pauvres payant le prix le plus élevé.

 

Toute la mythologie a été influencée par les comètes. C’étaient les "dieux dans le ciel". C’est l’électricité qui "active" les comètes, l’espace interstellaire étant composé de plasma. L’idée centrale est que la dynamique des gaz ionisés joue le rôle principal dans la physique de l’univers. C’est la théorie du physicien suédois prix Nobel Alfred Alfvén (1908/1995), qui voit les adorateurs d’Einstein s’y opposer, cette explication contredisant celle du maître selon lequel la gravité est la force principale. Pourtant l’électromagnétisme est beaucoup plus puissant, laissant à penser que la gravité n'en serait qu'un effet secondaire.

L’ionisation, c’est l’expulsion d’un électron, d’un atome qui devient un ion positivement chargé. Comme l’espace n’est pas un vide parfait, il est traversé de courants électriques appelés "courants de Birkeland". Ce sont comme des fils électriques, qui transportent des électrons. Ils ont une forme de filament à cause de la force magnétique générée par le courant lui-même. Les courants de Birkeland sont responsables de la création des étoiles. Si le soleil a un compagnon sombre, alors il y aurait de puissants courants. Les comas* et les queues des comètes sont les témoignages des échanges électriques avec le soleil.

* Le coma est une graine de Langmuir qui entoure la comète, et la queue est un courant de Birkeland ionisé. Cette hypothèse de l’univers électrique est déjà ancienne (XIX° siècle). Le chercheur scientifique Ralph Juergens (1924/1979) en 1960 a développé la théorie de l’univers électrique, considérant que le soleil est un corps chargé. Il explique ainsi pourquoi les comètes forment une queue en s’approchant du soleil.

 

Météore observée en 2013 à Tcheliabinsk (sud de l'Oural)
Météore observée en 2013 à Tcheliabinsk (sud de l'Oural)
Groupe de comètes innombrables partageant la même orbite
Groupe de comètes innombrables partageant la même orbite

 

Le soleil n’est pas un système fermé qui un jour manquera de carburant. Il trouve en effet son énergie dans les courants électriques de la galaxie. Si le compagnon du soleil - nommé naine brune - approche, cela explique l’augmentation des comètes et la diminution de l’activité solaire, le soleil se déchargeant. Comme c’est le champ électrique intense du soleil qui détruit les comètes (par des décharges), l’approche du compagnon sombre désactive ce phénomène protecteur, et les comètes posent alors un danger.

 

L’augmentation croissante des boules de feu traversant le ciel

NEOs (Near-Earth Object, Objets géocroiseurs)

463 événements en 2005,

517 événements en 2006,

590 événements en 2007,

728 événements en 2008,

695 événements en 2009,

951 événements en 2010,

1631 événements en 2011,

2127 événements en 2012,

792 événements en 2013 jusqu’à avril

 


Nos ancêtres savaient quelque chose que nous avons oublié depuis longtemps, leurs secrets étant profondément enfouis dans le patrimoine archéologique et les mythes transmis depuis des générations*. Mais les preuves historiques de destructions massives et de pestes d’origine cométaire jonchent notre passé. Les indices montrant que le même sort nous attend ne cessent de s'amonceler. En effet, si l’on passe en revue avec attention ces derniers milliers d’années à la recherche de l’orbite générateur des comètes, astéroïdes et météores, nous trouvons que de nombreuses pluies de météores sont liées les unes aux autres, comme les Taurides, Perséides, Piscides, et Orionides. De même, de très gros objets cosmiques sont liés : les comètes Encke et Rudnicki, les astéroïdes Oljato, Hephaïstos. Ils sont tous et toutes la progéniture de la même comète massive qui entra dans notre système solaire, qui affecte la planète Terre tous les 2.000 à 4.000 ans, et qui l'a bombardée il y a 13.000 ans, se fragmentant dans les cieux sous les yeux horrifiés de l’humanité*².

Si l’on tient compte de tous les débris retrouvés éparpillés dans notre système solaire depuis une vingtaine d'années déjà, l’objet original devait être bel et bien énorme. Il devrait venir de la constellation du Verseau. Cette étrange planète - appelée sous différents noms comme Nibiru ou planète X - possède un champ électromagnétique immensément plus puissant que celui de la terre. Son influence sur la vie de notre sphère planétaire, à maintes fois appuyée par de puissants séismes, des bouleversements géophysiques et climatiques extrêmes - ouragans, inondations, éruptions volcaniques, immenses feux de forêts - ayant lieu à chaque fin de cycle humain, correspond précisément à son transit dans notre système solaire caractérisé, lorsqu'elle est parfaitement alignée avec la planète terre l'une derrière l'autre face au soleil, par son cortège de météorites incandescentes pénétrant l'atmosphère et ses énormes masses d'eau (soit d'énormes quantités d'hydrogène et d'oxygène) transportées par les décharges plasmatiques lors des ouragans. Celles-ci, en pénétrant le bouclier de protection magnétique terrestre, se transforment en flocons de neige et de glace (grêlons) qui se déposent "normalement" aux pôles. Mais comme ce bouclier magnétique ne joue plus son rôle lors des alignements planétaires, l'hydrogène et l'oxygène sont convertis en d'énormes quantités d'eau, directement aux points de pénétration dans l'atmosphère créant des déluges. Les ouragans matérialisent ainsi ces vortex de pénétration de l'énergie plasmatique, se transférant d'une planète à l'autre.

* Cf. Évolution de civilisation (3) Mythe de la modernité, risques et lois d'évolution universelle.

Les impacts multiples sur la planète en rotation produisirent des raz-de-marée, des incendies, des explosions de l’ampleur d’explosions nucléaires… Ils produisirent aussi l’extinction massive de nombreuses espèces préhistoriques comme le mammouth et le tigre à dents de sabre – et la majeure partie de l’humanité –, et laissèrent le monde dans les ténèbres pendant des mois.

Cf. Ouvrages de l'astrophysicien Victor Clube et Bill Napier "Hiver cosmique" & de Richard Firestone, Allen West, Simon Warwick-Smith The Cycle of Cosmic Catastrophes ("Le cycle des catastrophes cosmiques").

 

Masses d'eau transportées par les décharges plasmatiques lors des ouragans - Cliquer pour agrandir
Masses d'eau transportées par les décharges plasmatiques lors des ouragans - Cliquer pour agrandir
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Orages diluviens exceptionnels sur les Cévennes

Après des mois de mars et d'avril trop secs, un épisode de pluies abondantes a touché un large quart sud-est de la France le 10 mai 2021, des records de pluie en 24h pour un mois de mai ayant été battus sur plusieurs stations entre les Cévennes et le Lyonnais. Ces pluies torrentielles ont entraîné des crues. Elles sont liées à un anticyclone temporairement positionné sur le centre de l'Europe, qui a entraîné une pulsion d'air chaud au dessus de la France. Dans le même temps, une dépression très dynamique sur l'Irlande étendait un profond talweg* en direction du Portugal. L'approche de ce système a causé l'arrivée d'air frais par l'ouest, entraînant le déclenchement de pluies et d'orages.

* Ligne formée par les points ayant la plus basse altitude, soit dans une vallée, soit dans le lit d'un cours d'eau.

 

Ainsi, tous les nombreux phénomènes étranges et inexpliqués qui se sont produits sur la planète ces dernières années, semblent bel et bien indiquer que la Terre subit des changements importants : comportements animaux inhabituels et perturbation des schémas migratoires normaux des oiseaux, des poissons, des baleines et orques et d’autres espèces sauvages (des espèces qui migraient selon des calendriers annuels réguliers depuis des milliers d’années modifient soudainement leurs itinéraires et leur calendrier), conditions météorologiques extrêmes (tempêtes intenses, graves inondations, sécheresses prolongées, vagues de chaleur...), pandémies, fluctuations du champ magnétique, sons mystérieux, activité sismique accrue, déplacements de terrain, dolines, formations nuageuses étranges... Les États-Unis ont ainsi vu une augmentation des ouragans puissants frappant la côte atlantique et le golfe du Mexique (Harvey, Irma, Maria et Florence) qui ont causé d’immenses dégâts en raison de vents violents et d’inondations catastrophiques. L’Europe de son côté a connu d’intenses vagues de chaleur, comme en 2003, 2010 et 2018, entraînant de nombreux décès liés à la chaleur, l’été 2022 étant marqué par des températures record sur tout le continent. Au cours des 20 dernières années, l’Australie quant à elle a été touchée par des sécheresses plus longues et plus extrêmes, qui ont particulièrement affecté les communautés agricoles (la sécheresse du millénaire, de 1997 à 2009, est considérée comme la pire de l’histoire moderne), avec nombre de feux de brousse qui ont également ravagé le pays alimentés par des conditions chaudes et sèches. Et l’Asie a connu des inondations dévastatrices, notamment en Chine, en Inde, au Bangladesh et au Japon, les moussons et typhons anormaux ayant entraîné des pertes en vies humaines et des dommages économiques (en 2010, des inondations massives au Pakistan ont submergé un cinquième du pays).

 

Bien que nombre de ces variations puissent être considérées comme des phénomènes naturels, leur fréquence et leur diversité signifient que notre monde est bel et bien à l’aube d’une nouvelle ère, un changement significatif de la façon dont tout fonctionne, s’agissant tant d’un changement de dimension d'appartenance terrestre que d’une profonde transformation complète de notre mode de vie. L'explication est que les pôles magnétiques de la Terre sont en perpétuel mouvement, présentant une dérive qui s’est récemment accélérée. Les scientifiques ont ainsi observé que le pôle Nord magnétique migre rapidement du Canada vers la Sibérie, parcourant des centaines de kilomètres au cours des dernières décennies, et parallèlement le pôle Sud magnétique se déplace également, quittant son emplacement précédent dans la péninsule antarctique pour se rapprocher de l’hémisphère oriental. Cette dérive et cet affaiblissement des pôles seraient dus à des changements dans le noyau externe en fusion de la Terre, qui génère le champ magnétique de notre planète.

Ce déplacement des pôles est un signe avant-coureur d’inversions géomagnétiques imminentes au cours desquelles les pôles magnétiques de la Terre changent essentiellement de place. Leur comportement aberrant laisse entrevoir des forces plus importantes qui remodèlent notre monde de l’intérieur. Ces événements ne sont pas le fruit du hasard : ce sont des signaux clairs qui indiquent qu’un changement important est en train de se produire.

 

Observation géopolitique

En observant ce qui se passe au niveau planétaire, et en le rapportant à certains passages du récit mythique biblique, l'exode du peuple d'Israël et de ses conséquences, nous sommes frappés de la coïncidence avec la situation actuelle. Les Hébreux, réduits en esclavage depuis des siècles par la civilisation égyptienne dominante, fuient par l'entremise de Moïse leur libérateur la dictature du pharaon régnant et s'en émancipent. Ils affrontent le désert, guidés par "l'Esprit de Dieu", pour après quarante ans de pénitence poser pieds sur la terre promise (image 1).

Si nous décelons les messages cachés de cette histoire avec la vision "chamanique" contemporaine, nous établissons le constat suivant. Les Hébreux représentent ceux qui perçoivent la manipulation de leurs pharaons gouvernant, les gouvernements et représentants des grandes institutions dominantes, publiques comme privées. Ce sont les consciences éveillées qui recherchent le moyen de se libérer de leur emprise. Israël (pas l’État*) signifie "peuple élu de Dieu", non pas des (faux) dieux, soit un peuple capable de se relier à la Conscience créatrice de l'Univers, au Grand champ d'information de l'Univers, soit la Terre promise ou la 4ème dimension en mode "Service d'Autrui". Le désert quant à lui figure le vide intérieur, la transition. Les quarante ans correspondent à une "quarantaine"*², soit le temps de l'indispensable mise à l'écart et de la guérison, en l'occurrence des mémoires traumatisées d'esclaves de la Matrice en 3-D.

Il est de ce fait tout à fait logique que la climatologie s'imbrique avec l'état géopolitique actuel.

* Dans les textes religieux, la définition du mot Israël n'a strictement aucune correspondance avec Israël, l'état hébreux d'aujourd'hui, principal protagoniste des conflits au Proche-Orient. Cette confusion a été intentionnellement entretenue pour servir de prétexte aux belligérances entre juifs et musulmans.

La locution " quarantaine " a été utilisée pendant les grandes épidémies de peste survenus lors d'événements cométaires, désignant la période d'isolement destinée à empêcher la propagation de l'épidémie. Ces périodes de peste à travers l'histoire ont toujours été en concordance comme encore aujourd'hui avec des accidents cométaires qui, invariablement, ont rythmé les fins de cycles humains.

 

Sous l'effet des conflits orchestrés à l'initiative des États-Unis soutenus par les forces de l'OTAN, les migrants d'aujourd'hui reproduisent de manière archétypale le rôle des Hébreux d'antan, et des ghettos lors du second conflit mondial. Ils sont placés en quarantaine dans des camps de réfugiés et attendent, dans des conditions de précarité extrêmes, d'être accueillis quelque part (les quarante années d'exode dans le désert), contribuant à déstabiliser les populations civiles des pays d'accueil - l'Union européenne -*, elles-mêmes confrontées à un contexte économique et social dépressionnaire. Qui plus est, beaucoup d'enfants parmi ces réfugiés disparaissent sans laisser de traces. En observant la météo, nous pouvons constater qu'un refroidissement extrême et des chutes de neige se produisent dans les pays d'où proviennent ces réfugiés (Crète, nord de l'Algérie, Turquie, Proche-Orient). Le blanc de la neige ne symbolise-t-il pas l'innocence des enfants disparus ? De même, certaines régions sont noyées dans le brouillard – la tristesse – ou submergées par la colère – le vent et la tempête –. Et d'autres pays sont noyés par des inondations (fortes pluies rarissimes constatées sur les Émirats en mars 2016), alors qu'ailleurs les feux ravagent d'immenses étendues de terre (États-Unis - Californie et État de Washington -, Canada, Espagne, sud de la France).

Quant au réveil constaté de nombre de volcans, n'évoque-t-il pas la colère bouillonnante de la conscience Terre ou celle de l'égrégore humain ?

* Cf. Le mythe européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.

 

Observation technologique

La planète Terre est entourée naturellement d'un champ magnétique *. Mais ce qui généralement n'est pas révélé ou simplement ignoré, c'est qu'elle est également maintenue dans un champ magnétique artificiel, généré par une technologie trans-dimensionnelle. Ce système high-tech a été élaboré grâce au transfert technologique du corpus prédateur de 4ème dimension, et ce dès leur colonisation de la Terre *². Cette technologie concerne les présumés hauts-lieux telluriques sacrés, les édifices religieux, les pyramides, les temples (Cf. photos 1, 2, 3), renforcée par les technologies modernes hertzienne type HAARP *³, antennes relais, satellites, etc (photos 4, 5, 6). Si ces endroits sont très puissants en énergie, c'est seulement parce qu'ils constituent les piliers de cette fameuse grille artificielle. Non seulement ce champ magnétique artificiel contrôle la psyché humaine et emprisonne l'Âme humaine dans un champ évolutif à une seule possibilité de dimension, c'est à dire la 3ème dimension, mais il a aussi pour fonction de contre balancer le champ magnétique naturel de la Terre, et, accessoirement d'attirer, les chercheurs friands de mystères... Seuls quelques endroits privilégiés de la Terre recèlent des portes dimensionnelles permanentes, comme le désert de Gobi ou les montagnes d'Irak… Ils sont étroitement surveillés par le consortium prédateur, et l'on comprend mieux une des raisons de l'invasion de l'Irak par les troupes de l'Oncle Sam...

* Cf. Univers en partage.

Cf. La nouvelle religion universelle.

Le projet High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP) est un programme américain à la fois scientifique et militaire de recherche sur l’ionosphère mené sur une plateforme dédiée en Alaska. Il porte officiellement sur les communications longue distance. Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.

 

Tout comme la manipulation nutritionnelle * et le recalibrage initial de la génétique des humains au moyen de la destruction de certains de leurs brins ADN, le déploiement d'un champ magnétique artificiel a pour objectif de les empêcher de venir en résonance avec le champ magnétique naturel de la Terre, comme cela devrait se faire naturellement. C'est ce champ magnétique artificiel renforcé de nos jours par la technologie des communications, de l'optique, du son, du numérique et du hertzien (hautes et basses fréquences) qui a contribué à atrophier la cognition de l'humain en détériorant ses cinq sens, et surtout en court-circuitant les capacités intellectuelles et intuitives du cerveau.

Ces hautes technologies ont donc été spécialement inventées pour influencer directement la majorité des six ou sept milliards de cerveaux que constitue l'espèce humaine. L'appréciation des modes sensoriels physiologiques étant brouillée par cette technologie high-tech, elle permet l'induction et la propagation de " fausses informations " neurales d'origine artificielle – micro ou infra ondes –, dans l'environnement naturel de l'humain. C'est aussi l'emploi à outrance de cette haute technologie qui contribuera à participer à l'effondrement de l'humanité en mode " Service de Soi " actuelle, et contribuera à son extinction dans son futur.

* Cf. Conscience nutritionnelle.

 

Aussi ce champ magnétique artificiel contribue à la mise en place des modifications climatiques liées aux fins de cycles des civilisations humaines involutives. Racontées par les prophéties de façon cataclysmique, elles contribuent à l'indispensable purge terrestre avant que de voir un nouveau cycle se mettre en place.

 

Observation sanitaire

 

Depuis fin 2013, une épidémie due au virus nommé Ébola sévit dans le sud de la Guinée, s'étant étendu à d'autres États comme la Sierra Leone, le Libéria et le Nigéria dans la partie ouest de l’Afrique. L’origine de cette épidémie sur la côte atlantique demeure mystérieuse. En général, la contamination s’effectue lors d’un contact étroit avec un animal contaminé, comme les gorilles, les chimpanzés et autres singes, les chauves-souris, certaines antilopes ou même les porcs épics. D’où vient-elle cette fois ? Mais surtout, où et quand s’arrêtera-t-elle ?

* Le virus Ebola a été nommé ainsi en référence à une rivière passant près de la ville de Yambuku, dans le nord du Zaïre, aujourd'hui République démocratique du Congo. C'est à l'hôpital de cette localité que le premier cas de fièvre hémorragique Ebola est identifié, en septembre 1976, par le médecin belge Peter Piot de l'Institut de médecine tropicale d'Anvers.

 

En se plongeant dans l'histoire, nous trouvons les épidémies de peste noire dont la bactérie aurait été transmise par les piqûres de puces. Apparue au 14ème siècle *, elle a tué au moins 25 millions de personnes — plus d’un quart de la population — sur une période de 300 ans et provoqué le dépeuplement de l’Europe médiévale. En fait, les manuels d’histoire se trompent sur la peste noire, quand ils disent que c’est la peste bubonique transmise par les rats et leurs puces. Une nouvelle étude a en effet suggéré qu’elle était en fait causée par un virus de type Ebola, transmis directement d’une personne à l’autre. Si les résultats sont valides, cela signifie qu’une forme moderne de la peste noire n’a pas besoin de l’insalubrité du Moyen-Âge pour se répandre.  

* La première épidémie constatée de peste noire eut lieu dans le port sicilien de Messine en 1347 et a été introduite par des galères italiennes revenant de Crimée, dans la mer Noire. Un an plus tard, la maladie atteignit le West Country d’Angleterre et se répandit bientôt dans les villes où elle sema la panique dans une population superstitieuse qui pensait que les taches rouges sur la poitrine des personnes touchées étaient des signes de Dieu.

 

Si la peste bubonique endémique est essentiellement une maladie rurale, car c’est une infection des rongeurs, la peste noire, en revanche, frappa indistinctement dans les campagnes et les villes. Ses symptômes indiquent qu’il s’agissait d’une fièvre hémorragique causée par un virus de type Ebola. La fièvre arrivait soudainement, provoquant des douleurs et des saignements des organes internes, ainsi que des taches rouges provoquées par des effusions de sang sous la peau, qui sont des symptômes classiques des maladies de type Ebola.

Dans la mesure où les comètes ont toujours annoncé les préliminaires à l'extinction de tout ou partie de l'humanité, nous ne pouvons exclure le lien entre les épidémies de peste noire ou autres maladies virales et leur provenance trans-dimensionnelle, les êtres humains n'ayant pas préparé leur biologie en conséquence. Ainsi chaque fin de cycle est ponctuée par les bombardements de poussières cométaires porteuses de ce genre de virus et entraînant de gigantesques épidémies (limitées à une région) ou pandémies (extension mondiale). Elles sont décrites dans les Prophéties de l'Apocalypse comme "la mort noire", une maladie envoyée par les dieux pour punir les félons.

Ces pestilences portent bien leur nom, composé de trois syllabes, chacune ayant un sens particulier : pes = tempesta, soit la tempête ; te est le temps ; lencia = clarda, soit la clarté, la lumière. Pestilence signifie ainsi "le temps de tempête causé par la lumière des étoiles", qui se propage sous la forme de pestes noires, pestes buboniques, varioles, maladies virales de tous genres... Le virus opérant Ebola n'est visiblement pas " tombé du ciel " tout seul... Nous pouvons émettre l'hypothèse que les scientifiques affiliés au consortium prédateur ont intentionnellement contaminé ces populations africaines au moyen d'échantillons de virus recueillis sur des poussières cométaires dans la stratosphère. Infectant des populations cobayes, ils tenteraient ainsi de développer un vaccin efficace et capital pour leur propre survie, en prévention des périodes où la véritable "épidémie d'origine céleste" sévira sur Terre...

 

Nous entrons dans un âge glaciaire

 

Après des années de militantisme en faveur des thèses relatives au réchauffement (changement) climatique, la revue de référence Nature, périodique hebdomadaire scientifique pluridisciplinaire, a mis en ligne en octobre 2015 les travaux * de l'astronome ukrainienne Valentina Zharkova, qui s'articulent autour du concept de "Grand minimum solaire". L’analyse minutieuse des "battements du cœur du Soleil" qu’a réalisée cette mathématicienne, démontrent sans conteste qu'un optimum climatique moderne vient de se terminer, et que nous nous acheminons vers un petit âge glaciaire qui perdurera jusqu’en 2100, avant que les battements du soleil continuent avec une périodicité d’environ 400 ans. Ces travaux rejoignent ceux menés par l'agence spatiale américaine la NASA, qui par-delà ses habituels mensonges grotesques, a annoncé en juin 2019 que le nouveau cycle solaire - le vingt-cinquième - serait le plus faible de deux siècles dans une étude intitulée "Solar Activity Forecast for Next Decade Favorable for Exploration", et ce suite aux investigations de l’équipe de la scientifique russe Irina Kitiashvili menées en partenariat avec The Bay Area Environmental Research Institute dans la Silicon Valley en Californie (elle annonce une baisse de l’activité solaire de 30 à 50% de moins que le cycle 24 qui se termine).

Il s’agit d’un énorme pavé dans la mare des adeptes inconditionnels du réchauffement climatique d’origine humaine. En effet, ces travaux permettent de décrire avec précision à l’aide d’équations mathématiques un phénomène physique complexe, les variations passées de l’activité magnétique solaire.

* Cf. "Oscillations of the baseline of solar magnetic field and solar irradiance on a millennial timescale", article publié dans la revue scientifique Nature. 

 

Réalité scientifique

 Selon les dernières données de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) états-unienne parue début 2023, il n’y a pas eu de "réchauffement climatique" au cours de la dernière décennie. Tout au contraire, le refroidissement de la planète s'est poursuivi pour la huitième année consécutive !

C'est le résultat de données satellitaires de la NASA, qui révèlent une baisse de 0,11°C/décennie des températures moyennes mondiales au cours des huit dernières années et cinq mois. Qu'en conclure, si ce n'est que les émissions de CO2 - 475 milliards de tonnes d’émissions -, qu’elles soient naturelles ou d’origine humaine, n’entraînent pas le monde dans une "crise existentielle" de réchauffement planétaire.

Il s’avère en fait que le seul effet de serre, observé à petite échelle, n’est pas extrapolable à l’ensemble de la planète. Il existe en effet de nombreux facteurs de confusion dans le climat, la météo et l’écologie qui maintiennent son équilibre (l’imprévisibilité des masses d’air saisonnières, les courants océaniques, l’activité tectonique, la photosynthèse et l’activité solaire sont d’importants facteurs de confusion qui sont tous oubliés lorsque les alarmistes du réchauffement climatique se concentrent sur le CO2 et l’effet de serre). En outre, les programmes de modification des conditions météorologiques et la géo-ingénierie peuvent également être utilisés pour manipuler les processus naturels, les régimes climatiques et la température, ce qui fausse les données de température globale.

Bien sûr, les prétendus "vérificateurs de faits" (fact checkers en anglais), liés aux officines des institutions gouvernementales ou mondialistes, se sont empressés de rejeter les données sur le refroidissement de la planète au cours de la dernière décennie, et ce pour vendre un peu plus le canular du réchauffement climatique en affirmant que huit années de données sur le refroidissement climatique "ne constituent pas une tendance" et que nous devrions nous préparer à la fin de la planète. Par là-même, ils ne reconnaissent pas les tendances au refroidissement, et n'expliquent pas avec objectivité que les fluctuations de température font partie d’un cycle plus large qui échappe au contrôle de l’homme.

Il n’y a donc aucune raison de semer la panique à propos des températures, à moins qu’il n’y ait un programme économique mondial à mettre en œuvre passant par la peur et la panique des masses ignorantes. Ou comment motiver les gouvernements à se conformer à des programmes mondiaux qui profitent aux quelques privilégiés qui organisent des crises artificielles...

 

Prémices américaines

Une vague de froid mortelle a pris emprise début 2023 sur le nord-est des États-Unis, un nouveau record national de refroidissement éolien* ayant été établi dans le New Hampshire à Mount Washington*², la température relevée étant de moins 108° Fahrenheit (- 42 ° Celsius). La région du Mont Washington a ainsi enregistré ses pires gelées depuis 1934 et les vents les plus froids jamais enregistrés, rendant le sommet aussi froid que Mars. Les rafales de vent ont atteint plus de 125 mph (200 km/h).

Les records de refroidissement éolien ne sont pas historiquement suivis d'aussi près que les records de température, mais la marque battrait ce que la plupart des météorologues pensent être le record américain (moins 105° F en Alaska). Le précédent record pour le Mont Washington était de moins 102,7° F en 2004...

* On appelle refroidissement éolien la sensation de refroidissement causée par l'effet combiné de la température et du vent.

Le mont Washington est la plus haute montagne du nord-est des États-Unis avec ses 1 917 mètres, connue pour ses conditions météorologiques dangereusement variables. Il a longtemps détenu le record de la vitesse du vent de 372 km/h mesurée au sol.

 

Le modèle utilisé est spectaculaire dans sa précision, puisqu’il permet d’expliquer par le calcul chaque cycle solaire passé sur une longue période – il a été ainsi possible de remonter avec une exactitude jusqu’à l’optimum climatique en dix-sept siècles avant l’ère présente. Il est donc entièrement validé par les données expérimentales et observations du climat passé à l’aide des proxys tels que l’abondance des isotopes de l’oxygène ou du béryllium qui permettent de reconstruire les variations du champ magnétique solaire.

La prédiction mathématique de l’évolution des cycles magnétiques solaires pour les années à venir ressemble sans en atteindre la même durée au petit âge glaciaire. L’activité magnétique du Soleil est déjà entrée dans une période de faiblesse qui se prolongera au-delà de 2.100 pour retrouver vers les années 2.200 une amplitude comparable à celle de l’optimum moderne.

 

Du Grand minimum solaire

Contrairement au message martelé par les autorités institutionnelles - les psychopathes qui nous gouvernent* - et leurs relais inféodés (tout particulièrement les ONG à la solde du financier milliardaire américain d'origine hongroise Georges Soros, ou celles financées par la Fondation pour le Progrès de l’Homme créée en 1973 derrière laquelle opère le trio sulfureux prônant la gouvernance mondiale Pierre Calame/Georges Berthoin/David Rockefeller) quant au réchauffement climatique en raison du niveau sans cesse croissant de dioxyde de carbone et à la fournaise atmosphérique qui se profile, à l'image des gigantesques feux qui ravagent l'Australie depuis la fin de l'année 2019, la planète terrestre est en cours d’entrer dans une ère de refroidissement climatique global en raison de la baisse conséquente de l'intensité solaire - elle se traduit par la diminution conséquente des tâches solaires observées -, accompagné de nombreuses autres manifestations atmosphériques très turbulentes qui vont inéluctablement engendrer des catastrophes alimentaires, sanitaires et par là-même sociales. Elles sont concomitantes des Grands Minimums Solaires observés depuis longtemps par la communauté scientifique *², dont le nouveau cycle en cours d'établissement est appelé à perdurer de 2019 à 2055.

Ce cycle est ni plus ni moins l’équivalent du précédent observé, appelé le "Petit Âge Glaciaire", s'étalant de 1350 à 1850 après J.-C.. Il a été caractérisé par la plus importante récurrence glaciaire des temps post-glaciaires, voyant des avancées successives des glaciers auxquelles correspondent plusieurs minima de températures moyennes très nets (1 à 1,5°C de moins qu’aujourd’hui). Ses maxima sont au nombre de quatre : vers 1350, 1640, 1820 et 1850. A noter une crue glaciaire catastrophique qui a commencé vers 1550; le Minimum de Dalton, refroidissement planétaire avéré qui a duré, grosso modo, de 1790 à 1830, et qui lui-même a succédé au fameux Minimum de Maunder, qui perdura de 1645 à 1715, et qui fut terriblement et excessivement dévastateur de par les froids extrêmes (un tiers de la population globale d’Europe vit les gens mourir de faim, de fièvre typhoïde, de variole, de malaria, etc.). C’est à cette époque que les glaciers d’Europe se sont considérablement étendus pour ensevelir, de glace, des villages entiers *³. Ceci entend que, la luminosité solaire baissant - surtout dans les ultra-violets -, l’atmosphère supérieure s’en trouve refroidie et affaissée, provoquant une accumulation de "poubelles technologiques" en basse orbite, les vents solaires de leur côté perçant l’écran magnétique affaibli du Soleil pour aller gazer la planète Terre en provoquant des orages magnétiques.

Il va sans dire qu'il en va de même avec la thèse du réchauffement des eaux du au changement climatique et qui annonce leur montée d’un mètre, la même revue Nature l'ayant reconnu en septembre 2019 tout comme le GIEC (le "fameux" Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat) dans son rapport d'activité publié au même moment.

* Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.

Voir les travaux des astronomes français Jean Picard (1620-1682), Philippe de la Hire (1640-1718), Joseph Jérôme Lefrançois de Lalande (1732/1807l), de l'astronome polonais Johannes Hevelius (1611-1687), et de l'astronome allemand Gustav Spörer (1822/1895). Plus récemment, voir le volume 91 du Journal l’Astronomie dans lequel François Link, de l’Institut d’Astrophysique de Paris, a publié en 1977 un essai intitulé "L’Activité Solaire au 17ème siècle", ainsi que les travaux de l'américain David Hatheway, le leader de l’équipe d’héliophysique à la NASA. 

*³ Cf. Travaux du physicien en nucléaire américain James A. Marusek dans son ouvrage intitulée "Little Ice Age Theory", de l’ouvrage de l(historien anglais Geoffrey Parker "Global Crisis (War, Climate Change and Catastrophe in the Seventeenth Century)", ainsi que de l’essai de l'écrivain et historien anglais Théodore Augustine Mann (1735/1809) "Mémoires sur les grandes gelées et leurs effets ; ou l’on essaie de déterminer ce qu’il faut croire de leurs retours périodiques, et de la gradation en plus ou moins du froid de notre globe", rédigé en 1792.

 

Qu’en déduire pour le climat terrestre puisque celui-ci est directement lié à l’activité magnétique du Soleil via l’effet des rayons cosmiques sur les hautes couches de l’atmosphère ? On sait d’ores et déjà que le climat va se refroidir comme ce fut le cas lors du minimum de Dalton (fin XVIIIe – début XIXe) et du minimum de Maunder (1600-1715). Cependant, on ne peut en aucun cas déduire des travaux de Valentina Zharkova une évolution précise du climat à venir, seule la tendance générale vers un refroidissement généralisé pouvant être raisonnablement admise. Par exemple on peut être certain que les hivers seront notoirement plus rigoureux, les étés plus frais et les intersaisons – printemps et automnes – " pourries ". Tout ça parce que les rayons cosmiques seront moins bien déviés par le bouclier magnétique solaire et atteindront plus violemment la Terre provoquant une augmentation significative du pouvoir de réflexion des hautes couches de l’atmosphère par la formation de micro-cristaux de glace et la formation soutenue de nuages dans les basses couches de l’atmosphère.

On assiste donc bien actuellement à un changement climatique mais celui-ci n’a rien à voir avec les activités humaines et il n’est pas orienté vers la hausse des températures mais vers la baisse peut-être brutale de ces dernières.

 

Simple projection réaliste de ce qui nous attend

Nos actuelles sociétés sont hyper technologiques et archi-informatisées, tout particulièrement dans les pays du nord et du centre de l’Europe, ou aux USA et Canada. Si une vague de froid comme celle générée par le Minimum Solaire de Maunder, de Dalton ou de Zharkova devenait réalité, la répercussion sur notre agriculture productiviste sera son très fort déphasage au réel atmosphérique. En effet, le réchauffement atmosphérique est synonyme de prospérité agricole et de croissance de la bio-masse. Mais, compte-tenu que notre système agricole dépend de nombre de variétés hybrides sinon entièrement synthétiques, qui ont été manipulées pour fonctionner dans une grille d'ensemble intégrant la température ambiante, la durée de croissance, les engrais de synthèse, les poisons, etc, ces variétés agricoles modernes vont de ce fait faillir lorsque le Grand Froid va sévir, entraînant alors les peuples des pays du nord à l'asphyxie. Il leur sera alors bien difficile de continuer à saigner, vandaliser, piller les pays du Sud comme ils l'ont fait depuis des millénaires à l'initiative de leurs élites psychopathes perverties, les Banksters ! Initiée jadis à Babylone*, cette conception du rapport de force n'a eu de cesse de conduire à piller sans vergogne les ressources d'autrui, de l’or des Incas aux diamants du bush australien ou du fynbos sud-africain, et ce par des boucheries à répétition dénommées  "croisades", "guerres intestines", "guerres de libération", "guerres religieuses", "guerres civiles", "révoltes", "insurrections", "révolutions". Elles parachèvent en cette fin de cyclicité l’œuvre destructrice des Forces involutives du champ astral, le génocide de l'humanité par la destruction d’Europa et l'annihilation de tous les Ethnos Blancs porteurs du Kiristos, le génome sémite.

Cette vague d’épuration à venir sera comme d'autres précédemment à nouveau de nature agricole, de ce fait alimentaire, concomitante à une vague d’épuration sanitaire, dont l'actuelle promotion du végétarisme n'est pas le moindre des leviers au même titre que les incessantes diatribes à l'encontre des soi-disant effets toxiques sinon mortels de l'agriculture et de l’élevage conventionnel *², tout particulièrement par les officines dédiées à l'instauration du Nouvel Ordre Mondial et l'hystérie d'une jeunesse et des marionnettes officiantes sous emprise mentale. Et comble du cynisme psychopathe, tous les États vont rivaliser dans leur la course à la neutralité carbone, alors même que leur complexe militaro-industriel y contribue de manière gigantesque par l'immense arsenal d’armements meurtriers destiné à l’exportation (selon les analystes, la France a consacré en 2018 plus de 9 milliards d’euros de tanks, d’hélicoptères, de blindés, de Rafales, etc... destinés à ses meilleurs amis tels que l’Arabie Saoudite, le Qatar, le Koweït, la Turquie, se caractérisant dans leur mode très particulier de pratiquer la neutralité… sur les territoires d’autrui). Quant aux multinationales de ce même complexe, leur pratique de la neutralité carbone passe par un mode génocidaire de terre brûlée, leur permettant de reboiser directement les régions entières qu’elles ont dévastées, et ce pour gagner et engranger des bons points sur le marché du carbone bien compensé, même si au passage elles ont rendu rendues exsangues les populations par la guerre *².

* Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial.

L’industrie de l’armement, troisième exportatrice d’armements au monde, est un des derniers secteurs compétitifs de la France, expliquant que l'investissement dans la défense est un axe central de la politique industrielle et technologique française. C’est ainsi que 13% de l’emploi industriel français (200 000 salariés répartis dans environ 4000 entreprises) est au service de l’Industrie de Mort et de ses boucheries humaines.

 

La prédiction des lions blancs

 

Le lion blanc (panthera leo krugensis) est un mutant. Ce n'est pas une espèce à part entière. C'est en 1975 qu'une première portée de lions blancs fut repérée dans une réserve d'Afrique du Sud, le parc National Kruger. Les lions blancs sont extrêmement rares : il existe moins de 100 lions blancs au monde, dans des parcs zoologiques. Il se trouve qu’à Bethlehem, en Afrique du Sud, au pied des montagnes du Drakensberg et en plein hiver, deux lions mâles sont nés en l’an 2000. En 2016, trois jeunes lionceaux blancs sont nés au parc de La Flèche dans la Sarthe. Ce n'est ni anodin, ni une coïncidence...

 

D’un point de vue génétique, les lions blancs sont une anomalie. Une forme albinos produirait des yeux roses. Or ils ont les yeux bleus ou jaune d'or. Selon les chamanes africains, ce n’est pas une mutation récente. Ces lions seraient apparus il y a très, très longtemps, leur présence actuelle n’étant qu’une " réapparition ". La Voie Lactée, cette " rivière d’étoiles ", serait le lieu d’origine des lions blancs *. D'après la transmission des anciens, " quand la rivière est dans le ciel, un très grand nombre de personnes meurent ". Or une multitude de signes avant-coureurs - changement de l'électromagnétisme terrestre, météorites, fréquentes visites extraterrestres ou extranéennes, grandes épidémies, bouleversements climatiques accompagnant une forte activation des modifications épigénétiques - annoncent une fin de cycle permettant à certains humains, par une élévation de leur conscience, de profiter de ce changement électromagnétique afin de préparer leur changement de dimension *².

* Le lion est lié aux étoiles, spécialement aux trois étoiles de la ceintures d’Orion. Il est aussi lié à la constellation appelé " Lion exilé ", c’est-à-dire Leo. Selon l'auteur états-unien Anton Parks, il fait partie d'un peuple galactique nommé Urmah, qui a une génétique humano-féline et un tempérament guerrier, et dont le rôle est de veiller à l'équilibre interstellaire.

Cf. Fin de cycle : la guidance éclairée de sa vie.

 

Le nom des constellations correspond à l’origine à des animaux, toutes les familles d’étoiles ou constellations tout autour du globe ayant contribué à implanter les animaux sur terre à un moment de la création. Pour les chamanes*, la Terre Mère a demandé au "Lion exilé" d’envoyer de grands carnivores sur terre – lions, léopards, et chats sauvages – pour protéger l’humanité des entités négatives. L’homme ayant trop peur de vivre avec des lions, il a alors choisi d’apprivoiser les chats sauvages et les avoir à la maison. Par ce compromis, il s'entoure de "mini-lions", plutôt que de rencontrer véritablement son lion ou lionne intérieure pour vaincre ses peurs.

Quant à la genèse selon les égyptiens, elle se nomme Zep Tepi (Zep = temps, tepi = premier). Cela signifie aussi "les ancêtres", ceux qui viennent en premier. Tepi-aui sont les divinités ancestrales qui créèrent la civilisation durant l’Âge d’Or. Le hiéroglyphe correspondant montre un lion, ce qui indique que les premiers ancêtres étaient léonins. Horus descend donc d’un lignage de divinités léonines.

* Il est intéressant de relever que dans la langue des oiseaux, " chat-man " exprime les deux polarités du féminin et du masculin. Le chamane par cette androgynie a atteint un état de conscience comme de réalité supérieur pour transmettre aux êtres humains sur le chemin de l'éveil les clés d'évolution.

 

La "fin du monde" n’est pas un événement soudain et inattendu. C’est plutôt la conséquence de la destruction systématique par les humains de leur propre habitat. Ils œuvrent activement à leur propre extinction. Pour les chamanes, l'arrivée des lions blancs annoncent des changements à venir sur cette terre. Comme ils sont de toute évidence des animaux de neige, habitués à évoluer dans des conditions glaciaires compte-tenu de l'épaisseur de leurs pattes et crinières, ils annoncent l'arrivée d'un nouvel Âge de Glace, celui qu'annoncent depuis un certain temps un certain nombre de scientifiques comme l'astrophysicien de Cambridge, John Gribbin. Si l’idée qu’un gène blanc unique puisse apparaître en prévision d’un changement climatique radical n’a pas encore été prouvé scientifiquement, la perspective des Lions Blancs comme messagers prophétiques est tout à fait cohérente. Le défi de l’humanité à l’heure actuelle semble bel et bien être d’une nature spirituelle, élever notre conscience, notre mentalité actuelle ne pouvant conduire qu’à un désastre. Les Lions Blancs sont en réalité des animaux en avance sur leur temps, précurseurs du prochain âge glaciaire, des messagers angéliques revenus sur terre à un moment de fragilité écologique et psychologique, afin d'aider l’humanité dans ses prochains défis.

 

Bibliographie

Chris Mc Bride : "The White Lions of Timbavati" (1977)

Linda Tucker : "Mystery of the White Lions" (Hay House, 2010)

Pierre Lescaudron et Laura Knight-Jadczyk : "Earth Changes and the Human Cosmic Connection" (Les changements terrestres et la connexion cosmique humaine) (2014)

 

Parallèle avec une prophétie amérindienne

Dans la Tradition amérindienne il est raconté que la Nation Lakota-Dakota-Nakota (Sioux) reçut il y a plusieurs siècles la visite physique d’un être d’aspect féminin, dont la pureté du visage n’était pas sans évoquer la figure de Marie, celle que l’ésotérisme christique blanc considère comme la Vierge Cosmique. Cette femme irradiante de Lumière était habillée à la mode indienne d’une robe de daim blanc, et fut appelée White Buffalo Calf Woman, c’est-à-dire " la Femme Bison Blanc ". Elle apporta aux Indiens Lakotas de très hauts enseignements spirituels, leur transmettant un rituel de paix symbolisé par la fameuse " Chenupa " (le Calumet de la Paix), et destiné à être partagé avec toutes les autres tribus de "Turtle Island " comme les Indiens appellent l’Amérique du Nord, sans distinctions de races ni de territoires.

Après le passage de Buffalo Calf Woman, des prophéties furent révélées à diverses tribus amérindiennes. Elles annonçaient que l’homme blanc viendrait bientôt, qu’il détruirait non seulement leur civilisation, mais peut-être aussi la planète toute entière. Puis viendrait ensuite le temps de la " Nation du Bison ", fusion dans l’unité et l’harmonie de la race rouge avec une partie des races blanche, noire et jaune. La " Nation du Bison " serait le ferment d’une nouvelle société de paix, de justice et de fraternité. Les prophéties annonçaient que la création de la " Nation du Bison " coïnciderait également avec le retour sur la Terre des "Nations des Étoiles", civilisations des autres systèmes stellaires. Elles révélaient enfin que le commencement de cette Nouvelle Époque serait annoncé par la naissance d’un bébé bison blanc femelle, dont la robe changerait de couleur, pour devenir jaune, rouge et noire. Or, en 1995, naquit dans le Wisconsin un bison blanc femelle nommé "Miracle". Ce bébé bison était la première femelle au poil entièrement blanc à naître depuis des générations. C’est Floyd Hand, un "homme-médecine" Lakota qui révéla cette naissance à la presse américaine, ajoutant : "Pour nous les Indiens, c’est comme le Retour du Christ pour les Blancs".

Comme pour confirmer l’imminence de la réalisation des prophéties, d’autres bisons blancs femelles naquirent après "Miracle" (photo), dont l’une dans une réserve indienne du Dakota. Devant ces signes patents, Arvol Looking Horse, le "Gardien de la dix-neuvième génération du Calumet Sacré de la Femme Bison Blanc pour la nation Lakota-Dakota-Nakota", décida de réunir différents chefs religieux, notables et dignitaires amérindiens, mais également des Occidentaux. Cette réunion se tint le 21 juin 1996 dans le Wyoming à Grey Horn Butte au pied de l’endroit nommé Devil’s Tower, qui est la montagne sacrée des Cherokees rendue célèbre par Steven Spielberg dans son film Rencontres du 3ème type.

D’autres chamanes d’autres peuples indigènes - Chefs Maoris, les Samis chez les Lapons... - ayant vu des signes d’anciennes prophéties se réalisant maintenant, disent que le temps est venu de révéler leurs origines des étoiles, l’influence des visiteurs de l’espace sur leurs cultures, croyances spirituelles et cérémonies, ainsi que l’annonce du retour imminent des Nations des Étoiles.

Cf. Prophétie du changement

 

 

 

Clin d’œil hollywoodien

L'Âge de glace ou L'Ère de glace au Québec (Ice Age) est un film d'animation américain de Chris Wedge et Carlos Saldanha, sorti en 2002. C'est le premier opus de la série de films éponyme, suivi par L'Âge de glace 2 en 2006, L'Âge de glace 3 en 2009, L'Âge de glace 4 en 2012 et L'Âge de glace 5 en 2016. Ce dernier opus est sous-titré "Les lois de l'univers", l'affiche mettant en scène des météorites et comètes dans le ciel...

 

 

 


La vie est "religion", non au sens institutionnel, mais dans la relation sacrée que l'être humain établit avec le champ du Vivant. C'est pourquoi ses expériences de vie reflètent la façon dont il interagit avec "Ce Qui Est", d'aucuns le qualifiant de "Dieu universel". Il en découle que celles et ceux qui dorment sont ceux qui ont peu de foi dans leur interaction avec la Création. Ces individus pensent que le monde existe pour qu'ils le maîtrisent, l'ignorent ou l'excluent. Pour eux, le monde cessera. Aussi deviendront-ils exactement ce qu'ils donnent à la vie. Ils ne deviendront qu'un rêve dans le "passé". A l'inverse, les personnes qui accordent une attention stricte à la réalité objective, où qu'elle soit, deviennent la réalité de l'avenir.

En considérant l'état actuel de la planète et les changements qu'elle a connus récemment, il apparait sans conteste, sauf pour les esprits embrumés, que le cycle des catastrophes reflète le cycle empirique de l'humanité limitée en l'état au monde astral, gouverné par les Forces involutives, "Ce qui est en haut étant comme ce qui est en bas"... En d'autres termes, au fur et à mesure que nous semons le désordre sur Terre, la Nature se livre à un grand chambardement. Ceci découle des guerres mesquines et de l'utilisation des ressources pour les mener. Aussi la "Nature", en son temps et à sa manière selon le calendrier établi, rendra la pareille, collectivement, à ces espèces encore involuées incapables de contrôler leurs dirigeants qui aspirent par leur désordre intérieur aux champs de bataille...

 

 

La vraie thérapie, c'est à tout moment, en toutes conditions, et certainement pas guidée par quelqu'un que nous payons, mais par sa propre guidance supérieure qui place les expériences dont nous avons précisément besoin sur notre chemin.

 

 

 

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