Préalable
Un réel travail de libération n'a besoin d'aucune " technologie ", d'aucun objet, d'aucune structure géométrique ou numérique, même s'ils peuvent faire partie de l'expérience par la compréhension de leur apport. Ceux-ci sont évidemment très attractifs pour l'être néophyte en soif de spiritualité et d'évolution, puisqu'ils contiennent de nombreux signes alchimiques et vérités cosmiques, et qu'ils proposent une solution extérieure de reconnexion magique, à première vue bien plus palpitante que de chercher la clé dans nos failles obscures.
Dans l'impossibilité de citer toutes les sources inspirantes, le lecteur est invité à mener ses propres recherches, tout particulièrement en se référant au blog www.mathematiques-spirituelles.com, son auteur ayant mené un travail exploratoire d'importance à partir de l’œuvre initiale d'Oskar Ernst Bernhardt, sous le nom d’écrivain Abd-ru-shin (1875/1941), intitulée " Dans la Lumière de la Vérité - Message du Graal ".
Le Livre d’Enoch (ou Hénoch) est un écrit de l'Ancien Testament attribué à Hénoch, arrière-grand-père de Noé. Il fait partie du canon de l'Ancien Testament de l'Église éthiopienne orthodoxe, mais il est rejeté par les juifs et, de ce fait, n'est pas inclus dans la Bible dite des Septante. Il a été officiellement écarté des livres canoniques par l’Église romaine vers 364 lors du concile de Laodicée (canon 60), étant considéré depuis comme apocryphe par les autres Églises chrétiennes. Il insiste entre autres sur les secrets qui se trouvent dans les mesures, le grand cataclysme de la chute de l'Atlantide ayant contribué à ce que les hommes aient perdu le mystère des mesures. A l’époque de l’Atlantide, deux systèmes de mesures étaient en effet utilisés, ce qui indique que les polarités masculine et féminine étaient en harmonie. La mesure perdue des hommes est la mesure de la Déesse Mère.
Pour le comprendre, il convient de se référer au pied anglais, qui est solaire. En effet, le pouce " sacré ", soit celui de la Déesse Mère, est le 5/6ème d’un pouce (inch). Le 5 et le 6 (qui donnent le 11, nombre sacré également) traduisent l’équilibre des principes solaire et lunaire. Qui plus est, le 6 est lié au ciel (yang) et le 5 à la terre (yin). De même leur double : le 12 est lié au ciel, et le 10 à la terre.
On les retrouve dans le symbole chrétien du Vesica Piscis (cf. image), formé par l’union du pentagone (5) et de l’hexagone (6) placés l’un sur l’autre. On retrouve également cette association dans le Zohar, avec la rose (5) et le lis (6 pétales).
La géométrie, par le biais des rapports et des proportions qui constituent sa base, est un langage universel qui a depuis son apparition mis en évidence que le cosmos n’est pas le fruit du hasard, mais d’un ordonnancement extrêmement précis. Le rapport est ainsi un nombre pur, valide partout et à tout instant, à n’importe quelle échelle, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. C’est pourquoi les mathématiques ont attribué l’adjectif doré à des nombres qui traduisent des énergies dont la particularité est l’harmonie parfaite, que ce soit sur le plan de la résonance, de la syntonie, de l’équilibre, de la cohérence et de la communication. Elles ont de ce fait par leur résonance morphique des effets puissants sur l’être humain. Ces nombres sont au nombre de quatre.
Phi * - Φ - a été déterminé par Euclide, 300 ans environ avant J.-C. dans son traité Les Éléments. C’est un nombre irrationnel, signifiant qu’il ne peut être représenté par une fraction de nombres entiers. Il vaut 1,618…, suggérant l’expansion de la qualité de conscience à l’infini. Il est doté de caractéristiques mathématiques très spéciales et de mystérieuses vertus qui en font un langage universel de la beauté, de l’harmonie et de l’équilibre dans les œuvres d’art (telles les statues du sculpteur grec Phidias), les monuments d’exception (tels la Grande Pyramide de Gizeh, le Parthénon d’Athènes, le Panthéon de Rome, la Cathédrale de Chartres), les plantes, les animaux, le corps humain. Il se retrouve autant dans le ratio de tous les os de notre corps (et ceux des animaux) que dans les différents segments d’un éclair ou encore dans les craquelures d’un sol desséché. La célèbre série numérique de Fibonacci (son vrai nom était Leonardo de Bonacci), où chaque terme est la somme des deux précédents (1, 1, 2, 3, 5, 8…), lui est étroitement associée, tout comme les séquences constitutives de l’ADN naturel, ce qu’a démontré le mathématicien et ingénieur français Jean-Claude Pérez.
* Il découle de l’énoncé b : a = a : (a+b), soit en formule mathématique (√5 + 1) / 2 = 1,618 …
Gamma - Γ - est le nombre d’or de la gravité, utilisé notamment pour le calcul des courbes des ponts en structure métallique. Il est également de nature irrationnelle. On le doit à l’architecte florentin Filippo BruneIleschi (1377/1446) après son observation de la coupole du Panthéon *. Il vaut 1,199…
* Le premier Panthéon, celui de Marcus Vipsanius Agrippa, remonte à 27-25 av. J.-C.
Pi - π – connu comme symbole de l’alphabet grec, est la valeur numérique du rapport entre la longueur de la circonférence et la longueur du diamètre d’un cercle. Également nombre irrationnel, il est présent en mathématiques, géométrie, physique, chimie, statistique… Sa valeur est 3,141… Sa résonance est de nature spatio-temporelle, établissant un canal entre une entité énergétique (personne, objet, événement) avec elle-même ou avec une autre. Autrement dit il permet l’hyper conduction, soit un transfert d’informations entre les différents champs de conscience caractéristiques de l’univers.
Quant au nombre irrationnel e du mathématicien suisse Leonhard Euler (1707/1783) ou du physicien écossais John Napier (1550/1617) - en français Neper -, il est une des plus grandes constantes des mathématiques. C’est une base du logarithme*, cette fonction inverse de la fonction exponentielle, dont la valeur approximative est 2,718… Il est utilisé tout particulièrement pour l’étude de nombreux phénomènes naturels, comme la loi de la multiplication ou de la relation entre un et beaucoup. On le trouve en physique (représentation des courants présents dans les circuits électroniques, description des ondes électromagnétiques, de la décadence radioactive), en biologie (étude de la croissance des populations), en chimie, en informatique, en géologie et en sismologie, en astronomie et astrophysique, en mathématiques, en statistique.
* Les racines grecques de logarithme sont logos, signifiant discours et raison, et arithmos, signifiant nombre. Le logarithme serait le nombre selon la raison.
Le nombre d'or et l'agencement des planètes
Si l'on divise le nombre de jours (terrestres) que la Terre met pour faire sa révolution (sidérale) autour du soleil, par le nombre de jours (terrestres) que Vénus met pour faire sa révolution (sidérale), on obtient comme résultat le nombre d'or φ (à 99.53%). D'ailleurs, Vénus propose facilement des relations avec le nombre d'or, la conjonction Vénus-Terre-Soleil vue de la terre formant une étoile à 5 branches et un pentagone, forme qui contient naturellement le nombre d'or.
L'astronome grec Méton (Ve siècle avant J.‑C.) avait de son côté fait une découverte essentielle: "Tous les 19 ans, les phases de la lune reviennent aux mêmes dates par rapport au mouvement de la Terre autour du Soleil". Appelée "Cycle de Méton", elle fut rendue publique en 453 av. J.‑C. lors des jeux Olympiques. Cette nouvelle suscita un tel émerveillement que l'on décida d'attribuer la valeur du nombre d'or au cycle lunaire de 19 ans. Les Jeux Olympiques anciens et modernes suivent ainsi le demi-cycle de Vénus. Si l'étoile à cinq pointes était censée être un symbole des Jeux Olympiques, elle a été modifiée au dernier moment, les cinq extrémités pointues de l'étoile ayant été remplacées par cinq anneaux...
Le transit de Vénus, événement plus rare mais également en lien avec la Terre, le Soleil et Vénus, montre aussi un forme d'étoile à 5 branches, incluant lui aussi
un lien avec le nombre d'or. L'astronome allemand Johannes Kepler (1571/1630) l'avait aussi remarqué, qu'il a généralisé sous forme de la 3ème de ses "lois des périodes" qui est largement
utilisée de nos jours en astronomie... C'est de là que Newton en a tiré sa loi sur la gravitation - la constante
gravitationnelle - dans la mesure où il y a un lien ou facteur entre une force et une masse planétaire.
Les Occupations et les Préoccupations
La multiplicité du occupations intentionnellement entretenues par le pouvoir pour maintenir endormi et illusionné l'être humain - cinéma, télévision, internet, école, sports, musique, arts, "culture",... - sont toutes renfermées dans nos trois couleurs primaires : Rouge, Jaune, Bleu *. Ces trois couleurs, ainsi que leur mélange, donnent des variations infinies dans lesquelles nous avons le "loisir" de nous perdre.
A partir de la dualité lumière-obscurité, nous avons ainsi la trinité rouge-jaune-bleu censée éclairer notre vie, et avec cette trinité chromatique, le chiffre
quatre qui représente la matière et l’organisation de celle-ci, la Matrice. Toute nos vies se déroulent dans ce monde qui semble s'étendre à l’infini, et qui, si nous n’en trouvons pas la sortie,
se referme sur nous et nous détruit. L’infini est représenté par le 8. Il s’agit aussi des "Ooooooo" de Google, qui est le terme mathématique pour 1 suivi de 100 zéros... Des cercles, des cercles
et encore des cercles, pour l'hypnose au grand sommeil. Avec le compas traçant le cercle et l’équerre le carré, l’univers se crée et se recrée éternellement dans les boucles involutives de notre
3ème dimension de réalité. Si le carré et le cercle produisent effectivement la quadrature du cercle et Pi, c’est-à-dire l’infini, il n'est que celui de notre involution, sauf à trouver les clés
échappatoires de cette matrice asservissante.
* Cf. Symbolisme de la Matrice.
La manifestation du nombre d’or Phi se retrouve tout particulièrement dans l’architecture sacrée. Voyons-en trois exemples.
Le théâtre grec d’Épidaure (photo 1) construit à la fin du IV° avant notre ère fait partie du Sanctuaire d’Asclépios*, qui accueillait les Asclépiéia (courses de chevaux, concours de poésies…) célébrées en l’honneur d’Asclépios, divinité considérée comme Grand Maître de la médecine. Il est représenté tenant un sceptre (deuxième image), qui inspira beaucoup plus tard le graphisme nommé caducée, le symbole médical (troisième image).
Le théâtre d’Épidaure est une structure comportant 55 gradins répartis en deux groupes séparés par une allée. Le groupe du bas compte 34 gradins et celui du haut 21 gradins. La raison de cette répartition pourrait être d’ordre esthétique, la séparation en deux groupes permettant de rompre la monotonie visuelle de l’ensemble.
* Cf. Personnage de la mythologie grecque, Asclépios - ou Esculape en latin - est dans l'épopée homérique un héros thessalien puis, à l'époque classique, le dieu gréco-romain de la médecine. Fils d'Apollon, il meurt foudroyé par Zeus son grand-père pour avoir ressuscité les morts, avant d'être placé dans le ciel sous la forme de la constellation du Serpentaire, la treizième constellation, celle du trésor - "treize ors" - caché. Autrement dit, tout comme Prométhée ou Jésus-Christ, il symbolise l'interdit des gardiens de la Matrice asservissante de la 3ème dimension de réalité adressé aux humains quant au franchissement des barrières de l'espace-temps, soit le secret de l'immortalité, plus exactement de l'éternité, "l'éthernité"...
L’explication est autre et se trouve dans la comparaison des deux quantités. Leur quotient respectif calculé sous forme décimale aboutit au résultat suivant :
55 / 34 = 1,617 …
34 / 21 = 1,619 …
Ces valeurs approchées correspondent au nombre d’or, puisque Phi = 1,61803...
La Grande Pyramide est un monument extrêmement ancien, son âge divisant les auteurs. Elle aurait été construite sous le règne d'un souverain du nom de Zurad pendant une durée de cent ans, de - 10490 à - 10390 avant J.-C. d'après le mystique états-unien Edgar Cayce, alors que d'autres la situent aux alentours de - 3500 ans à une époque où les cercles de pierres et autres monuments "cyclopéens" étaient les seules constructions existantes, ou entre - 5000 et - 7500 ans. Des sept merveilles du monde connues dans l’antiquité, c’est la seule qui soit parvenue jusqu’à nous. Elle est située sur le plateau de Gizeh, à côté du Caire. Elle est gardée par un Sphinx.
A l’origine, la Grande Pyramide était entièrement recouverte de dalles calcaires d’une blancheur immaculée. Sous le soleil généreux de l’Égypte, la Pyramide brillait alors de mille feux. C’était une Pyramide de Lumière. Si l’aspect extérieur de cette Pyramide est bien connu, l’intérieur l’est beaucoup moins. A l’intérieur de cette colossale construction se trouve un système complexe de couloirs et de chambres situé dans un plan vertical déporté vers l’Est d’environ 7 m.
Le côté du carré de base de la Pyramide est très facile à mesurer, soit 230,4 mètres. Il en est de même pour toutes les autres mesures de la Pyramide : la hauteur (146,6 mètres), la diagonale du carré de base (325,8 mètres) et la hauteur d’une face triangulaire (186,4 mètres).
L’historien grec Hérodote rapporte que, d’après les prêtres égyptiens, les dimensions de la Pyramide ont été choisies de telle sorte que "l’aire d’une face triangulaire de la Pyramide est égale à l’aire d’un carré ayant pour côté sa hauteur". Sa traduction en mathématiques signifie que l’aire d’une face triangulaire de la Pyramide est égale à l’aire d’un carré ayant pour côté sa hauteur dans le langage des nombres.
Nous obtenons alors une équation qui permet de démontrer la formule suivante : SM / OM = Phi
En divisant la hauteur d’une face triangulaire de la Pyramide par la demi-médiane du carré de base, nous obtenons exactement le nombre d’or.
Et en divisant la hauteur de la Pyramide par le côté du carré de base, nous obtenons la moitié de la racine carrée du nombre d’or.
Il est donc certain que la forme géométrique de la Grande Pyramide est intimement liée au nombre d’or. Pourquoi ? Nul ne le sait avec certitude.
La clé de la voûte étoilée
En surimposant les constellations de la voûte étoilée à la Grande Pyramide, se trouve au sommet la Grande Ourse au sommet, Ursa Major étant le centre des énergies cosmiques avant la Chute, avec Merak comme étoile polaire. La constellation de la Grande Ourse est en effet connue des anciennes civilisations, qui y voyaient la demeure des dieux, ceux du champ astral s'entend. C'est ainsi que les Chinois voyaient dans cette constellation le Gouvernement céleste, les Arabes l'appelaient Na'ash, et les Égyptiens y voyaient le cercueil d'Osiris, tué par son frère Seth alias la Petite Ourse. Pour ces peuples, il y aurait eu une catastrophe qui déplaça la Grande Ourse dans le ciel, causant la Chute. C'est pourquoi en hébreu les mots désignant l'ours et la bergerie sont proches. Ce serait la constellation du Cocher (Auriga) qui était le Bon Berger guidant le bétail. Capella, l'étoile la plus brillante, est la "petite chèvre". On retrouve dans ces cultes le symbolisme du Capricorne, qui doit se transformer en Licorne par l'initiation. Si en effet l'homme est une planète, le fait que notre planète oscille montre que nous ne sommes pas équilibré, notre axe n'étant pas aligné.
Ce nombre d’or se retrouve également dans la construction des grandes cathédrales au Moyen Age en Europe, à travers la définition précise des unités en rapport avec les mesures de la main, du pied et du bras : la paume, la palme, l’empan, le pied, la coudée.
Pour garantir la précision, une unité de base, la ligne, est instituée (environ 0,22 cm). Les autres unités en dérivent ainsi :
- la paume mesure 34 lignes
- la palme mesure 55 lignes
- l’empan mesure 89 lignes
- le pied mesure 144 lignes
- la coudée mesure 233 lignes
Elles constituent la canne ou pige des Maîtres d’Œuvre (architectes), les unités étant constituées de la manière suivante :
1 paume × 1,618 = 34 lignes × 1,618 = 55 lignes = 1 palme
1 palme × 1,618 = 55 lignes × 1,618 = 89 lignes = 1 empan
1 empan × 1,618 = 89 lignes × 1,618 = 144 lignes = 1 pied
1 pied × 1,618 = 144 lignes × 1,618 = 233 lignes = 1 coudée
Le symbolisme du nombre d’or se révèle avec la notion de fraction à étages, également nommée fraction à degrés (Cf. Exemple de fraction à trois étages). En calculant des fractions à étages uniquement avec le nombre 1, nombre de la Force sacrée du Créateur, nous découvrons que le premier des nombres est celui qui engendre et structure tous les autres.
Ci contre les deux premières fractions à étages formées avec les nombre 1.
Ci-dessous les deux suivantes.
La fraction à neuf étages mérite toute l'attention.
Avec la fraction à onze étages, nous nous approchons progressivement et précisément du nombre d’or ϕ = 1,6180339887 …
Pour atteindre sa valeur exacte, il nous faut continuer notre fraction à étages de façon illimitée (les mathématiciens disent une fraction continue, c'est-à-dire une fraction qui continue). Cette structure a beaucoup de choses à nous dire :
- tout commence et tout se développe par le 1, la Force sacrée du Créateur ;
- la création est constituée de degrés c'est-à-dire de " plans d’existence " successifs et parallèles ;
- de haut en bas, de degré en degré, la Force (le 1) flue dans l’immense création ;
- elle pénètre même dans les profondeurs les plus insondables et les plus petites parties de la création (pointillés en bas de la figure).
Tel est le lumineux et céleste message que nous délivre le nombre d’or.
144.000 (cent quarante-quatre mille) se voit attribuer par différents courants religieux et ésotériques une signification particulière. C'est notamment le cas du christianisme, ce nombre utilisé dans l'Apocalypse de Jean (Ch.7) indiquant le nombre des élus. En effet, les douze tribus d'Israël de 12.000 membres chacune seront les "serviteurs marqués du sceau divin". Vrai défi pour les exégètes, différentes interprétations de l’Apocalypse existent : prétériste (événements ayant eu lieu avant la fin du Ier Siècle), historiciste (l’histoire de l’Église des temps apostoliques à aujourd’hui), idéaliste (allégorie de la lutte entre le bien et le mal), futuriste (prophétie d’événements à venir). La réponse à la question "Qui sont les 144.000 ?" dépend ainsi de l’approche interprétative adoptée.
Une grande partie de la confusion au sujet des 144.000 vient de la doctrine des témoins de Jéhovah, selon laquelle ce chiffre correspond au nombre de personnes qui régneront avec Christ dans le Ciel et passeront l’éternité avec Dieu. Ceux qui ne figurent pas parmi les 144.000 jouiront de ce qu’ils appellent "l’espérance de la Terre", soit un paradis terrestre sur lequel régneront Christ et les 144.000. Cet enseignement établit un système de castes, ce que la Bible n’enseigne pas.
Dans le calendrier Maya figure une grille cristalline planétaire dite 144, qui monte en puissance chaque année du 1er janvier 2001 (1-1-1) jusqu'à représenter 100 % de la puissance du cristal Terre au 12 décembre 2012 (12-12-12), soit douze ans. Cette grille est considérée comme constituée de 144 "piliers de lumière", soit des triangles* entourant le globe, qui élèvent la fréquence de la planète et induisent des changements dans l'ADN humain. La Chambre du Roi dans la Grande pyramide de Gizeh donne de son côté 144000 pouces cubes (le pouce pyramidal mesure 25.303 mm). Ce chiffre, nombre complet et parfait*², serait ainsi la masse critique à atteindre pour battre définitivement les forces de l’ombre.
Cette grille est la conscience de l’humanité dans sa forme géométrique. Si chaque lien reçoit l’énergie-vibration de 1.000 êtres ascensionnés, alors la grille cristalline sera pleinement opérationnelle et indestructible.
* Les piliers correspondent aux douze principaux chakras du corps humain. Multipliés par douze années, ils sont au total de 144.
*² Selon les philosophies hindouiste et bouddhiste, les 1444000 pétales du chakra coronal situé au sommet du crâne représentent les 144000 rayons de lumière issus de tous les chakras ou centres d'énergie du corps, ou bien les 144000 vibrations de la Création divine qui voyagent dans le cosmos et qui sont source de vie. La médecine chinoise quant à elle indique que le corps énergétique de l'être humain est composé de 144000 filaments regroupés en cordes ou méridiens.
La convergence harmonique New Age
La convergence harmonique est un rassemblement du courant New Age de "méditation mondiale synchronisée" qui se déroula les 16 et 17 août 1987 en différents points de la planète, sites religieux ou lieux réputés pour leur qualité ésotérique particulière. La date fut choisie soit parce qu’elle représentait la fin d’un cycle de 26000 ans basé sur une interprétation du calendrier Maya (la révolution du soleil autour des Pléiades), soit parce que cette date était celle où plusieurs planètes du système solaire se seraient trouvées dans un alignement particulier.
L’objectif de cette synchronisation comportait deux volets : établir un champ unifié de pensées et d’intentions communes ; créer, autour de la planète, durant deux jours, un type de réseau ou champ mental, appelé proto-noosphère. Ce rassemblement était censé rassembler 144000 personnes afin de provoquer un changement collectif, un moment charnière dans l’évolution de la Terre. Le rendez-vous avait été fixé au lever du soleil, quel que soit le lieu sur la planète. Toutes les personnes d’un même fuseau horaire s’étaient synchronisées, assurant une synchronisation plus grande, au fur et à mesure que la planète tournait autour de son axe, puisqu’elle permettait, par la reprise successive de la méditation en d’autres points du globe, un lent balayage énergétique autour de la Terre.
Cet événement contribua à faire connaître le courant New Age au grand public, et reste à ce jour l’événement le plus marquant de la culture New Age. Plusieurs tentatives de le reproduire par la suite n’ont pas abouti à la même mobilisation (comme le rassemblement "harmonic concordance" en 2003). En 1987, de 3 000 à 5 000 personnes furent rassemblées au Mont Shasta en Californie aux États-Unis.
Il est à noter que remarquer que 666, le "Nombre de la Bête" + 144, les 144,000 Élus qui en orient correspond aux 144,000 Pétales de l'Ensemble des Chakras, ont pour total 810, la valeur numérique du mot grec Parakletos, le Paraclet (l'"Esprit saint").
Les nombres sacrés sont ceux qui sont intimement liés à l’activité du Divin. Ils forment l’Étoile à cinq branches sacrée, celle de Dieu, avec pour extension le pentagramme ou pentacle. Chaque branche de l’Étoile est un triangle d'or isocèle d'angle au sommet valant 36°. Le pentagramme était considéré si magique ou ésotérique qu'il était l'emblème de l'école de Pythagore. Sa relation avec le nombre d'or comprend une part de mystère.
Le 11 symbolise la maîtrise sur le plan matériel, le 22 sur le plan mental, le 33 sur le plan spirituel.
Jésus-Christ dans les évangiles accomplit en effet 33 miracles, dont 24 furent des guérisons. 33 Ans, c'est également l'âge de la mort terrestre de Jésus sur la croix. C'est aussi à cet âge que mourut Krishna, le dieu aux 16000 épouses et aux 180000 fils, pour racheter le Karma de l'humanité. C'est pourquoi la trente-troisième année d'une personne, c'est l'âge parfait, celui de son plein développement selon Marie d'Agréda*. Saint Joseph avait aussi 33 ans lorsqu'il prit pour épouse la Vierge Marie, toujours selon les visions de Marie d'Agréda. Et selon certains auteurs, c'est l'âge qu'aura l'antéchrist au moment de son avènement.L'Arbre de Vie de la Kabbale hébraïque (Cf. figure) comporte 10 sphères, nommées séphiroth, reliées entre elles par 22 sentiers, chacun étant associé à l’une des 22 lettres de l'alphabet hébreu. Le total (10 + 22) représente 32 lignes de force, auxquelles il faut ajouter la séphira "Daath", celle que les kabbalistes nomment "la sphère cachée".
Dans sa Commedia ("Divine Comédie"), le poète italien Durante Alighieri, dit Dante (1265/1321), consacra 33 chants au Purgatoire et 33 chants au Ciel.
Les 33 grades ou degrés d'initiation de la hiérarchie franc-maçonnique sont divisibles en 3 séries de 11. 33 membres composent le Conseil de l'Ordre du Grand Orient de France.
Le logo des Nations Unies représente un globe terrestre divisé en 33 parcelles.
Le nombre total de vertèbres de la colonne vertébrale du corps humain est 33, dans lesquelles passent 33 paires de groupes nerveux (c'est à la "mort" de l'ego humain que la kundalini peut s'élever jusqu'à la 33° vertèbre *²).
* Marie Férnande Coronel, en religion sœur Marie de Jesus de Agreda (1602/1665), est une religieuse et une mystique espagnole.
*² Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté & Fonctionnement du corps biologique.
Le principe féminin, la déesse-Mère, a été incarné en Égypte à travers Isis, épouse d'Osiris et mère d'Horus. Elle donnera par la suite toute une déclinaison de déesses dans les cultes des différentes civilisations s'établissant à travers la planète (Ishtar, Cybèle, Déméter, Vénus ...) jusqu'à la Vierge Marie de l’Église romaine *.
Isis était vénérée par les Templiers. C'est pourquoi il y avait des statues d’Isis/Cybèle en Europe, représentée sur son siège, dont bien sûr à Paris (Parisis). Isis était aussi Iahu, terme dérivé de Ia et Hu, signifiant colombe exaltée. De même, elle était Io pour les Grecs, la vache blanche.
On retrouve dans Io le nombre 10 : si IsIs = IoIo, cela fait 10+10=20. Osiris fait : O-si-r-is, donc 0+01+13+10=24. On retrouve de cette manière les deux mesures atlantes perdues.
Isis peut être perçue comme un cercle ("Circe"), car deux rayons de 10 forment un diamètre ("Demeter") de 20. On retrouve aussi les traces de ces mesures dans le nom de Iona, une île en Écosse, sacrée pour les Druides. A côté se trouve une autre petite île, Inchkenneth. Cela rappelle le pied de 10 pouces (Inch) de la Déesse Mère originelle dont parle le livre d'Enoch (Cf. Les mesures perdues ci-avant).
* Cf. L’Église romaine décodée.
Si dans la Matrice falsifiée le nombre 12 est la fausse octave supérieure servant à manipuler par sa puissance vibratoire sombre - le "matérialisme sombre" - la conscience de l'être humain sous emprise de la force prédatrice qui l'asservit*, il en est tout autrement dans sa polarité évolutive, celle de la Matrice originelle. En effet, le trigone 1 4 7 pendant du trigone 2 5 8 (Cf. image) associe le nombre sacré 1, la Force divine par laquelle la création entière a pris forme avec tout ce qu’elle contient, le 4 (la Nature) et le 7 (la Volonté divine). Cette liaison particulière traduit la Nature originelle, non déformée par la prédation archontique, synonyme de la Pureté, de la Beauté et de la Sagesse. Elle voit les animaux nous enseigner l’Amour vrai et inconditionnel ainsi que la fidélité, les fleurs nous enseigner la Pureté et la Beauté, les plantes et les légumes nous enseigner la Santé, soit l’art d’acquérir et de conserver l’intégrité de notre enveloppe physique corporelle dont notre âme a absolument besoin lors de son séjour terrestre. Les arbres quant à eux nous enseignent comment il faut vivre sur Terre, en étant solidement ancré dans le sol (racines) mais aussi tourné vers la lumière (feuillage), cette union étant symbolisée par le tronc. Les montagnes témoignent de la Grandeur du Tout-Puissant, ce Qui Est, et les étoiles éclairent notre conscience de mille feux - les "langues de feux" - dont les radiations accompagnent notre sommeil et fortifient notre esprit.
C'est pourquoi le nombre 147 signifie "Retrouver la Lumière", ce qui correspond à son équivalent littéral en langue allemande Das Licht wiederfinden, ainsi que "La Parole perdue", Das verlorene Wort.
* Cf. Symbolisme des neuf premiers nombres.
La somme numérique de 147 est 12, ce qui en fait le nombre de la Perfection dans notre réalité astrale (la galaxie de la Voie lactée), le nombre de ce qui est complet, achevé et en harmonie avec le cosmos lorsque nous y sommes relié par notre éveil de conscience. Il fait naturellement référence aux 12 disciples (apôtres) du Christ solaire incarné Jésus, aux caractères si différents, autrement dit aux 12 groupes humains constitutifs des tempéraments et caractères des 4 peuples civilisationnels terrestres aux couleurs alchimiques (Noir, Blanc, Jaune, Rouge). C'est ainsi que la communauté des 12 disciples ne présentait pas la moindre lacune, la soi-disant trahison de Judas masquant le sens véritable de l'enseignement alchimique *.
La Perfection se manifeste à travers de nombreux mythes qui en recèlent le secret pour qui sait regarder le monde à l'envers par l'arcane XII du Tarot initiatique, Le Pendu :
- Les 12 Apôtres et les 12 Chevaliers du Graal ou de la Table ronde;
- les 12 divinités olympiennes et les 12 Titans (géants) grecs;
- les 12 astronautes qui ont marché sur la lune (photo), dont la dernière phrase non officielle fut plus quelque chose du genre Let get the hell out of here ("Foutons le camp d'ici!"), et pour cause...;
- Les 12 signes du zodiaque, c'est-à-dire les 12 portails célestes;
- Les 12 tribus d’Israël;
- Les 12 pierres de la Jérusalem céleste : jaspe, saphir, agate, émeraude, onyx, sardoine, chrysolithe, béryl, topaze, chrysoprase, turquoise, améthyste;
- Les 12 mois de l’année;
- Les 12 couleurs d’un cercle chromatique;
- Les 12 notes utilisées en musique;
- La corde à 12 nœuds refermée sur elle-même utilisée par les Maîtres d’Œuvre des Grandes Cathédrales (Reims, Chartres, Strasbourg, Nantes…), qui permet de former un triangle rectangle parfait (il suffit pour ce faire de saisir et de tendre la corde à partir de trois nœuds convenablement choisis);
- Les 12 quarks de la physique nucléaire (6 quarks + 6 antiquarks), microparticules qui s’assemblent et fusionnent de diverses façons pour former notamment les particules lourdes des noyaux atomiques (les protons et les neutrons).
Nul ne s'étonnera alors des difficultés de l’Union Européenne, passée de 12 à 27, entraînant de ce fait une structure artificielle et dis-harmonieuse, bien mal en point, menacée de paralysie, porteuse de nombreux antagonismes, à la limite de la désintégration. Pourtant le drapeau européen comporte toujours 12 étoiles d’or disposées en cercle, celles des maîtres babyloniens, relais du corpus prédateur de la 4ème dimension *²…
- Les 12 spermatozoïdes nécessaires à la stimulation d'un ovule, avant qu'un treizième ne le pénètre et entraîne la division cellulaire génératrice de la vie.
* Cf. Le chemin alchimique.
*² Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen & Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.
Le 12, atout cœur du 147
La décomposition de 147 en produit de facteurs premiers est 3 × 7², soit 3 + 7 + 2 = 12.
147 est divisible par 21, le nombre renversé de 12.
La somme des diviseurs de 147 est 1 + 3 + 7 + 21 + 19 + 147 = 228 = 12 × 19 (19ième multiple de 12), 19 étant un diviseur de 741 (le nombre renversé de 147) puisque 741 = 19 × 39.
Utilisé conjointement avec le nombre 3 (la Lumière), le nombre 147 laisse à nouveau entrevoir le nombre 12 : 147 – 3 = 144 = 12² ; 147 × 3 = 441, dont le nombre renversé (144) équivaut à 12².
La racine carrée de 147 est 12,12...
Le trigone 147 permettant au nombre 12 de résonner la Perfection se retrouve dans la hauteur de la Grande Pyramide en tenant compte du pyramidion, soit le faite de l'édifice dans son calcaire
d’origine, disparu depuis (Cf. image), sa mesure étant de 147 m. Qui plus est, il est en étroite corrélation avec le cercle qui est utilisé pour la mesure des angles et pour la mesure du temps.
Celui-ci comporte en effet 360 degrés, pouvant être obtenus par la formule 1 + 4² + 7³.
Structuration calendaire
360 a servi aux astronomes chaldéens pour établir le calendrier d'une année comportant 12 mois de 30 jours. L'observation des rythmes solaires les ayant conduits à corriger le décalage observé, ils ajoutèrent un mois supplémentaire tous les 6 ans. Sur une période de 6 ans, il y avait donc 5 années de 360 jours et une année de 390 jours (360 + 30). Par ce correctif, la durée moyenne d’une année sur une période de 6 ans est passée à 365 jours (360 × 5 + 390) ÷ 6. Ces 5 jours représentent donc 1/72 de l’année de 360 jours (360 = 72 × 5 d’où il résulte que 5 = 360 ÷ 72). Et nous retrouvons ainsi le nombre 147, puisque 72 = 1 + 4³ + 7.
Quant au calendrier grégorien, il comporte 1 mois de 28 jours ou 29 jours (années bissextile) - février -, 4 mois de 30 jours - avril, juin, septembre, novembre -, et 7 mois de 31 jours : janvier, mars, mai, juillet, août, octobre, décembre. Toujours 147 !
Le jour est de son côté divisé en 24 heures. Or 24 = 1 + 4² + 7. Et trois fois sur quatre, le mois de février comporte 28 jours. Or 28 = 1 × 4 × 7...
Le nombre 147 structure ainsi pleinement notre calendrier !
Structuration de la matière
La matière dense est formée d’atomes qui s’assemblent en molécules. Ainsi, la molécule d’eau (c'est-à-dire la plus petite particule d’eau) est constituée de deux atomes d’hydrogène (symbole H) et d’un atome d’oxygène (symbole O). Sa représentation schématique (Cf. image) voit un atome d’oxygène (disque bleu) et deux atomes d’hydrogène (disques rouges), soit la formule H2O.
Selon ce triangle isocèle, OH = OH’, soit 0,9584 A0, le symbole AO étant celui de l’angström, une très petite unité de longueur adaptée à la mesure des objets atomiques (10 millions de fois plus petit que le millimètre). Et selon le tableau des 92 éléments chimiques naturels, les trois premiers éléments sont l'Hydrogène (symbole H), avec pour masse atomique 1, l'Hélium (symbole He), avec pour masse atomique 4, et le Lithium (symbole Li), avec pour masse atomique 7. 147 à nouveau!
Structuration du système solaire
C'est l'astronome allemand Johannes Kepler (1571-1630) qui a découvert les trois lois mathématiques qui gouvernent les mouvements des planètes autour du Soleil, et qui sont valables pour les mouvements des planètes qui orbitent autour d’une étoile quelconque de l’univers. Ces planètes décrivent des cercles autour du Soleil, le cercle étant considéré comme la figure la plus parfaite de la géométrie.
La première loi découverte par Kepler s’énonce ainsi : "Les planètes décrivent des trajectoires elliptiques dont le Soleil est un foyer." (Cf. image 1). La distance entre le Soleil et une planète n’est pas constante, dépendant de la position de la planète sur sa trajectoire elliptique. A cet effet, les astronomes relèvent deux positions particulières :
- le point de la trajectoire de la planète qui est le plus proche du Soleil, appelé périhélie ;
- le point de la trajectoire de la planète qui est le plus loin du Soleil, nommé aphélie.
Concernant la Terre (Cf. image 2), lorsqu'elle se trouve au périhélie, sa distance du Soleil se trouve à 147 millions de kilomètres de Soleil !
C'est bel et bien le trigone cosmique 147 qui constitue le cadre d'expression de l'humanité en parfaite conformité avec la Volonté divine. Nul(le) ne s'étonnera que, sous l'emprise de la force archontique qui la conduit à pervertir en souillant et en détruisant la Nature, l’humanité s’oppose à cette Volonté et récolte les conséquences de ses actes. Les forces élémentales, gravement perturbées, produisent des évènements cataclysmiques qui résultent uniquement de la dégénérescence de la spiritualité humaine...
Le billet américain de 1 dollar contient plein de symboles occultes très anciens. On y trouve 72 pierres sur la pyramide *, symbolisant les 72 dieux de l’ancien monde, ainsi que les 13 étoiles qui font une étoile de David, une pyramide à 13 étages, les 13 lettres qui compose la devise latine Annuit Coeptis ("Notre entreprise est désormais couronnée de succès"), les 13 rayures du drapeaux, les 13 trous sur le compas maçonnique, les 13 fruits et les 13 feuilles sur la droite de l’aigle, les 13 flèches sur la gauche de l’aigle, ainsi que les 33 plumes sur la gauche et les 32 plumes sur la droite de l’aigle, qui symbolisent les différents rites d’Écosse de la Franc-Maçonnerie (il existe 33 différents degrés dans la Franc-Maçonnerie du rite écossais ancien et accepté). Si on reproduit la croix de David sur le côté du billet où se trouve la pyramide (Cf. image), on constate que chaque pointes de l’étoile de David (qui est la marque hindou de Vishnou) pointent une lettre, donnant A S N O M, autrement dit M A S O N (Franc-Maçon en anglais).
Cette symbologie maçonnique égyptienne-romaine est celle de l’œil sacré, à l’intérieur de cette petite pyramide, celui de Ra/Horus, le dieu solaire de l’Égypte ancienne. Sous la pyramide figure également la devise latine Novus Ordo Seclorum , signifiant "Nouvel Ordre Séculaire", le mot séculaire indiquant de cent ans en cent ans, à chaque siècle. Le symbole de la pyramide a été placé secrètement sur le côté renversé du sceau des USA en 1782, et plus de cent ans plus tard, en 1935, le sceau renversé des États-Unis a fait son apparition pour la première fois sur le billet de 1 dollar (les inventeurs du Grand Sceau ont été William Barton pour la pyramide et Charles Thomson pour l’Aigle) fourni par le Federal Reserve System (FED). Serait-il l'indication de la date du début d'un chaos programmé des marchés financiers préalable à un chaos mondial afin de permettre l'instauration d'un nouvel ordre, comme l'indique la devise du rite Écossais maçon en latin Ordo Ab Chao, "un nouvel ordre à partir d'un chaos" ?
Le symbole du Hibou vient des Cananéens (Phéniciens), utilisé pour le logo du Bohemian Club, société secrète où les plus puissantes têtes du monde se réunissent toujours les 2 dernières semaines de juillet dans une forêt en Californie pour vénérer le Moloch-Ba'al, le dieu cananéen satanique. Quant à l’Aigle, il est principalement le symbole de l’empire romain, expliquant que notre civilisation peut-être considérée comme la Nouvelle Égypte ou la Nouvelle Atlantis qui a été dirigée par l’empire romain pendant plus de 2000 ans. L’aigle cache en fait un phœnix, supposé renaître de ses cendres. C’est l’idée alchimique détournée de mourir pour renaître, à l'instar des attentats du 11 Septembre qui ont donné le signal de départ de cette étape transitoire et du commencement de l’accomplissement de l’agenda secret tel que planifié, qui prévoit une civilisation humaine sans spiritualité dans un gouvernement international totalitaire humaniste dirigé par "l’élite"*².
* Le faîtage ou pierre de faîte qui demeure suspendu au-dessus de la pyramide représente une puissance supranationale, un collège occulte de régnants, les connaissants inconnus, "ceux qui savent" et manipulent à leur gré les éléments comme les finances internationales pour opérer à leur seul profit des transferts de richesses. Il est symbolisé par un triangle séparé, et rayonne comme une étoile. Ces régnants ne sont pas réellement de notre monde, tel que l'homme commun peut le concevoir. L'homme commun a en effet été créé à l'image de Dieu, substance de La Création, du Tout, de l'UN. C'est ainsi que tous les francs-maçons au sommet de la pyramide travaillent en partenariat, main dans la main, avec d’autres fraternités secrètes dans le but d’accomplir un Nouvel Ordre Mondial.
*² Cf. La nouvelle religion universelle. & Prophétie du changement.
Le chiffre 13 est un chiffre important dans l’ésotérisme, parce qu’il est un chiffre malchanceux. Il est la marque de la Matrice astrale - l'arcane XIII Le Diable du Tarot initiatique * -, en rapport avec le Zodiaque et son faux soleil luciférien car source d'illusions pour l'être profane. Les 13 étoiles forment l’étoile de Saturne, autrement dit l'étoile de Satan, Kronos. Le Vendredi 13 est un jour malchanceux, car c’est ce jour là que tous les Chevaliers du Temple ont été traqués et envoyés au bûcher sous les ordres du Vatican partout en Europe, sous prétexte qu’ils adoraient Satan sous la forme d’une chèvre. Il représente également les 13 États qui constituaient le début des États-Unis d’Amérique : New-York, New Hampshire, Connecticut, Maryland, Rhode Island, Pennsylvannie, Massachussets, New Jersey, Virginie, Caroline du Nord, Caroline du Sud, Delaware, Géorgie. Ils sont la signature de cette fin de cyclicité civilisationnelle, l'Ouest de la conscience, emportant dans les limbes du Temps toutes celles et ceux qui n'auront su trouver en eux le trésor - " treize ors " -, leur permettant par cet éveil au vrai Soleil intérieur de s'extirper de la matrice mortifère.
* Cf. Le sens caché du Tarot initiatique.
Dans la religion chrétienne, la malédiction du nombre 13 vient du fait que dans la description du dernier repas de Jésus avec les 12 apôtres, la Sainte Cène de Léonard de Vinci, voit la 13ème personne être Judas, sa traîtrise ayant entraîné la crucifixion de Jésus. Le 13 octobre 1307, le roi de France (Philippe IV dit le Bel) ordonna d'arrêter tous les membres de l'ordre du Temple présents sur son territoire et de les faire torturer. Il leur fit avouer des crimes qu'ils n'avaient pas commis afin de ternir la réputation des Templiers. Ceux qui revinrent sur leurs affirmations furent condamnés au bûcher.
De même ce nombre évoque la vierge Marie, qui du 13 mai au 13 octobre 1917 serait apparue à trois bergers dans les landes du village de Fatima au Portugal (c'est le 13 juillet 1917 que les enfants de Fatima eurent leur vision de l'Enfer). Or le pape Jean-Paul II qui la vénérait fut grièvement blessé par balle sur la place Saint-Pierre à Rome le 13 mai 1981, attribuant sa survie à l'intervention de Marie lors de sa fête liturgique de Notre-Dame de Fatima.
Quant au 13ième chapitre du dernier livre de la Bible, l'Apocalypse, on retrouve au dernier verset la mention du nombre de la Bête, 666 (Apoc. 13:18).
Dans l'alphabet hébreux, la 13ème lettre MEM symbolise la mort ou le passage dans l'autre monde. Et les calendriers mayas et aztèques comportaient vingt mois à treize jours, tout comme le nombre 13 représente aussi le nombre de lunaisons et, selon certains, les cycles menstruels dans une année (la Lune parcourt environ 13 degrés par jour).
Le nombre 23, alias la lettre W, correspond effectivement à la vingt-troisième lettre de l’alphabet. Le "23 / W" est un symbole fondamental qui se retrouve absolument partout. Il symbolise le conflit entre le sacré, le spirituel du nombre 3, impair, et le matériel du nombre 20, pair, soit la nature 2.0 de la Matrice cyber.
La lettre W de l’alphabet est en fait inutile, placée intentionnellement afin de représenter le "double U (you)" anglo-saxon, le "double vous". Ce "double soi-même", aussi inutile que la lettre W, traduit la personnalité humaine composée de multiples "moi", les alter, qui se prétendent tous "Je" alors qu'ils ne sont que la résultante de notre âme fragmentée dans ses différentes expérimentations de la matière en mode bourreau ou victime, fruit des fausses croyances distillées, des conditionnements délétères et des manipulations toxiques reçus *.
C'est le "moi moi", l'égo-mental exacerbé, en opposition au vrai "moi", le Soi supérieur, l’Âme fusionnée à l'Esprit universel dans le retour à la Loi de l'UN. La présence prépondérante du W dans la sphère politique anglo-saxonne (Cf. George Washington, George W. Bush...), dans les films ou les logos institutionnels, traduit l’importance donnée à ce symbole, qui nous rappelle impitoyablement la nullité de notre existence divisée, fragmentée, dans le Système...
* Cf. Le cheminement de l’Âme.
Le Nombre 23
Film américain, thriller psychologique à mi-chemin entre l'horreur et le fantastique, de Joel Schumacher, sorti en 2007. Walter (Jim Carrey), le personnage principal, est un "contrôleur animalier", les animaux - les singes - étant les hommes, des esclaves pour les maîtres. Tout est en noir - blanc - rouge dans la maison de Walter. Le livre rouge "Le nombre 23" qui apparait dans le film a pour auteur "Topsy Kretts", à entendre comme Top secret... Lorsque Walter commence à lire le livre, l’initiation à l’illuminisme commence. Les signes maçonniques de premier degré sont montrés (Cf. image 3). La couleur choisie pour les murs est le rouge sang, celle des maîtres *. Le 23 gouverne désormais sa vie, signifiant l'opposition esprit/matière tuant la Trinité.
* Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.
Compréhension du www
Le World Wide Web (WWW), littéralement la "toile (d'araignée) mondiale" communément appelé le Web (et parfois la Toile), est un système hypertexte public fonctionnant sur Internet. Il permet de consulter, avec un navigateur, des pages accessibles sur des sites. Les gardiens de la Matrice cyber aimant le symbolisme, ils ont choisi le 3xW comme sigle internet.
Il est en lien avec la valeur numérique du W hébraïque - le Vav ou Vau -, qui correspond au chiffre 6 (sixième lettre de l'alphabet). Ainsi, le
WWW est un 666 ! Le signe Vav représente un crochet (image). Si la Kabbale juive explique que cet attribut évoque la séparation entre l'être et le divin, ou encore le néant, le Vav agit de ce
fait sur la volonté et les sentiments, ceux-ci étant coupés du divin sauf éveil de conscience. Qui plus est, le Vav hébraïque a aussi pour signification symbolique l'œil et l'oreille. Ceci nous
informe grandement sur le but caché du Net, qui est ni plus ni moins un bon moyen pour le gouvernement occulte de "voir" et "écouter" tout ce qui se passe dans notre vie en toute impunité et à
notre insu à travers le Net. L'informatisation globale du système planétaire est assurément l'asservissement total de l'humanité (à noter que le terme anglais Web veut dire toile d'araignée...),
même si en polarité positive elle participe de l'accès indispensable à la Connaissance, pour celles et ceux sachant faire preuve de discernement. De plus, l'attribut astrologique du Vav hébraïque
correspond à la figure (archétype) de la Vierge, qui symbolise la Prostituée qui accompagne la Bête de l'Apocalypse... Cela correspond à l'inversion du féminin sacré, contribuant à la
manipulation de l'humanité ...*
* Cf. Le Judaïsme décodé.
Si à chaque fois que nous ouvrons internet nous avons la marque 666 comme incrustation invisible sur notre front, dans notre cervelle et sur nos mains avec lesquelles nous tapons sur le clavier, et abandonnons ainsi notre intelligence pour faire vivre et servir la Bête de l'Apocalypse, nous retrouvons les trois lettres hébraïque verticales III - soit WWW - sous d'autres formes comme la boisson MONSTER (image ci-contre) qui porte bien son nom...
Le symbole du dieu des dieux latin Jupiter ressemble au nombre 24. Son fils Terminus, parfois assimilé à son père sous le nom de Jupiter Terminus, était le gardien des bornes, d'abord représenté sous la figure d'une grosse pierre quadrangulaire ou d'une souche, puis, plus tard, sous forme de tête humaine placée sur une borne pyramidale qui servait de limite aux particuliers ou à l'État (il était toujours sans bras et sans pieds, afin qu'il ne pût changer de place). Il a donné le mot latin qui désigne une borne de pierre délimitant la fin d'une route, d'une cité, d'un territoire. Dans la mythologie grecque, un rôle similaire est assuré par Hermès, gardien des routes et des carrefours.
Terminus était fêté aux Terminalia du 23 février, marquant la fin de l'année romaine ancienne.
Le cycle annuel au cycle solaire commençait ainsi au lendemain de cette fête, soit le 24 février (il correspond à notre jour de l'An), les derniers jours de février* constituant une zone tampon jusqu'au démarrage du nouveau calendrier le 1er mars. Il en découle que les cinq derniers jours de février n'appartiennent en fait à aucune année...
* Après la réforme du calendrier julien par César, le jour intercalé tous les quatre ans se situait également au lendemain des Terminalia.
Le nombre 26 est la frontière linguistique numérique de plusieurs langues du monde. Et pour cause, il est la lumière numérique des noms propres du "Seigneur de l'univers", et l'un des nombres sur lequel la charpente numérique du Coran est fondée.
Ainsi est-il la valeur numérique du Tétragramme sacré, le nom de Dieu en hébreu formé des lettres hébraïques yod, hé, waw et hé (YHWH) : 10+5+6+5=26.
Ce nom de 4 lettres égalant 26 se retrouve au 4ème chapitre de la Genèse avec ses 26 versets, commençant par le mot Adam et se terminant par le mot Dieu. Ce nom que la Kabbale nomme également IEVE représente l'Être des Êtres, signifiant exactement l'Être-qui-est-qui-fut-et-qui-sera.
De même le nombre 26 est la somme des lettres du nom propre de Dieu en anglais GOD, tout comme dans la langue italienne DIO. Il est également son équivalent numérique alphabétique dans l’écriture de l’alphabet arabe ALLAH. Si ce nom Allah tel qu’il s’écrit est une image phonétique, il est grammaticalement correct. Mais si on le prend sans le H*, il équivaut à Alla, la somme de ces lettres dans les vingt-six lettres de l’alphabet valant 26 (ALLA = 1+12+12+1 = 26).
* La lettre H symbolise l’échelle, c'est-à-dire l’ascension, la verticalité vers le royaume céleste. Dans un sens horizontal, il symbolise le pont, la traversée, le chemin. C’est aussi la lettre de l’infini, vu que c’est la 8ième lettre de l’alphabet (le nombre 8 à l’envers en langage mathématique symbolise l’infini). Dans le coran on remarque que la seule sourate qui détient 26 versets c’est la sourate 88, c'est-à-dire une paire de huit.
Le nom divin propre Dieu en français cache également le nombre 26. En remplaçant chaque lettre par sa valeur numérique, cela devient DIEU = 4 9 5 21. Le secret est que la différence des trois derniers nombres aux trois premiers de 49521 vaut exactement 26 : 521 – 495 = 26.
Le nombre 26 est de ce fait un nombre d'excellence, un nombre divin et unique dans l'univers. C’est le point d’intersection de la valeur numérique des noms propres de Dieu dans une pluralité de langues.
- La guerre menée par l'Antéchrist a pour début l'an 1999, et durera 27 ans selon les prophéties de Nostradamus.
- Ce chiffre est l’expression triple de la Trinité : c’est 3x3x3, soit 3 au cube.
- La 27e lune de Jupiter se nomme Sinopé, qui dans la mythologie grecque est une nymphe, fille du dieu fleuve Asopos et de Métope. Rétive à l'amour, elle est cependant enlevée par Zeus qui la transporte sur la côte assyrienne. Pour lui être agréable, le dieu des dieux lui promet d'exaucer un de ses vœux, n'importe lequel. La nymphe demande de rester vierge, se jouant ainsi de Zeus. Par la suite, elle éconduira de même Apollon et le dieu fleuve Halys.
- 27 sont les Maîtres qui ont poursuivi les meurtriers d'Hiram, personnage du premier livre des Rois et du deuxième livre des Chroniques qui font partie de la Bible hébraïque. Il fut selon la légende envoyé par le roi de Tyr à Salomon, roi de Judée et fils de David, pour l'aider à bâtir le Temple de Salomon. C'est un personnage clé du rituel de passage que vit le récipiendaire (compagnon) pour accéder à la "Maîtrise" en Franc-Maçonnerie.
- C'est la longueur de la coudée "mir" (en réalité vingt-sept pouces et demi). Selon le mystique américain Edgar Cayce, c'est cette unité de mesure qui aurait été utilisée pour la construction de la Grande Pyramide, celle dite de Khéops.
- Le dernier livre du Nouveau Testament, le 27ième, est l'Apocalypse de Jean, sa fête étant célébrée le 27 décembre.
- Si l'astrologie occidentale ne fait pas grand usage du zodiaque lunaire et de ses 27 demeures, l'astrologie hindoue en revanche se fonde sur un système complexe d'observation des positions planétaires qui, loin de se borner à l'étude du zodiaque, inclut celle des 27 maisons lunaires qui se forment successivement pendant le parcours zodiacal complet de la lune.
- Les exégètes ont remarqué que dans les évangiles synoptiques, l'évangile de Marc contient 31 versets qui n'ont aucun parallèle en Matthieu ou en
Luc.
- Le plus long règne de papauté enregistré dans l'histoire de l'Église catholique est de 31 ans et 7 mois, pour le Pape Pie IX.
- La tradition kabbaliste révèle 10 noms de Dieu. Certains sont plus usités et plus connus que d'autres. L'un d'eux est "El", sa valeur numérique étant
31.
- ''Se mettre sur son 31" est une expression qui veut dire Mettre ses plus beaux vêtements... L’origine exacte de cette expression est sujette à interprétation. La première concernerait la Prusse, dans laquelle était jadis organisée tous les 31 du mois (soit 7 fois par année) une visite des casernes, pendant laquelle les soldats devaient nettoyer de fond en comble leur paquetage pour avoir l’air les plus beaux possibles. La seconde se base sur l’ancienne forme "se mettre sur" pour "mettre sur soi", "s’habiller". Le chiffre 31 serait tout simplement une déformation de "trentain", qui désignait un drap très luxueux. Enfin, l'expression proviendrait d'une fête jésuite qui a lieu le 31 juillet, la fête de Saint-Ignace de Loyola, durant laquelle les novices recevaient de nouvelles soutanes.
- C'est la température normale du corps humain en degré centigrade. C'est aussi la température idéale pour les biberons.
- Il existe une relation entre les nombres 37 et 666 : de 666 on obtient 6+6+6=18, et 18 x 37 = 666.
- Le jeu de la "roulette" affiche 36 numéros, 37 avec le zéro.
- D'après l'antique science des Chaldéens (la Chaldée, région antique, correspondait selon les textes à une partie ou à la totalité de la Babylonie, dans le sud de la Mésopotamie, soit l'Irak actuel), le nombre 37 symbolise la Force, le Pouvoir et la Puissance.
- Selon les visions de la religieuse et mystique catholique Anne-Catherine Emmerich (1774/1824), si 70 saintes femmes faisaient parties des disciples du Christ, 37 d'entre elles le furent presque depuis le début et d'une manière plus active que le reste des autres.
- L'âge de 37 ans chez l'homme et la femme est considéré comme marquant une étape importante de leur vie. Ils cessent alors d'être comme un "petit enfant", passant à une maturité strictement plus adulte.
-Dans le livre "Treize leçons sur la vie des Maîtres" de l'écrivain américain Baird T. Spalding (1872/1953), dans lequel il relate ses voyages en Chine et dans le désert de Gobi au cours desquels il a rencontré des humains aux pouvoirs étonnants, il est écrit : "On dit que les Maîtres reçoivent la lumière du printemps de leur trente-septième année. En réalité, 37 ne désigne pas un nombre d'année de vie ; 37 signifie "Éternité" en sanskrit, car on peut répéter 37, ou 7, autant de fois qu'on le souhaite, ce nombre complète l'octave. Cela renvoie donc à l'extension de la conscience individuelle, à l'universel de la vie, à sa véritable expression spirituelle."
- Le nombre 37 se retrouve dans les livres de Jules Verne. La recherche des enfants du Capitaine Grant s'effectue le long du 37e parallèle. Et l'appareil volant de Robur le Conquérant comporte 37 hélices.
- Il correspond au nombre d'emplacements dans une roulette américaine.
- Il fait allusion à l'homme guéri par Jésus à la piscine de Bethesda qui était infirme depuis 38 ans (Jn 5,5). Saint Augustin quant à lui fait de ce nombre le symbole de guérison de la maladie.
- Il représente "le rapport de l'initiation individuelle à l'organisation cosmique, sorte de différenciation résultant d'un effort d'initiative - 3 + 8 = 11; 1 + 1 = 2", selon le médecin homéopathe et psychanalyste français René Félix Eugène Allendy (1889/1942).
- Les Hébreux auraient séjourné 38 ans à l'oasis de Kadesh-barnéa (région du Neguev, qui est la plus au sud de la Palestine) au cours de leur migration entre l’Égypte et Canaan. (Dt 2,14)
-Au Canada, c'est la loi C-38 qui a légalisé le mariage homosexuel.
- Dans l'univers de fiction Stargate, un vortex ne peut rester ouvert que 38 minutes.
- A Sumer (située à l'extrême sud de la Mésopotamie antique, soit l'actuel Irak), ville très ancienne datant de plusieurs millénaires avant Jésus-Christ, on trouva un Code de droit qu'on pense être le plus ancien qui ne fut découvert. Il avait été promulgué par Lipit-Ishtar, souverain d'Isin (règne situé vers 1934-1924 av. J.-C.). Les 38 lois qui restent encore lisibles sur la tablette partiellement préservée (copie de l'original gravé sur une stèle de pierre) traitent d'immobilier, d'esclaves, de serviteurs, de mariage et d'héritage, de la location de bateaux, de la location des bœufs et du non-paiement des impôts. Lipit-Ishtar explique dans le prologue de son Code qu'il agissait selon les instructions des "grands dieux" qui lui avaient ordonné "d'apporter le bien-être aux sumériens et aux akkadiens".
-Les carrés magiques dits "carrés panmagiques" et qui depuis le mathématicien français François Édouard Anatole Lucas (1842/1891) sont décrits en général comme "diaboliques", jouissent de propriétés surprenantes : la somme des éléments pris sur les diagonales partielles en nombre égal au module du carré est, elle aussi, égale au nombre magique. De plus, si l'on découpe le carré suivant une ligne ou une colonne, et qu'on le reconstitue en disposant les morceaux différemment - mais sans intervertir lignes et colonnes -il demeure magique. Voici un tel carré magique dont la somme donne 38 :
2 15 5 16
9 12 6 11
14 3 17 4
13 8 10 7
Le chiffre de 48 correspond à un calcul de la position de la terre par rapport au cosmos et à l'absolu. Plus on se rapproche de l'Absolu, moins les lois sont nombreuses, l'absolu n'ayant que trois lois : affirmation, négation, conciliation. Plus on s'en éloigne, et plus les lois sont nombreuses (sur la lune, il y aurait ainsi 72 lois).
Aussi la Terre - et tout ce qui la constitue - serait soumise à 48 lois, selon le philosophe et ésotériste russe Piotr Demianovitch Ouspenski (1878/1947), qui utilisa la géométrie dans ses réflexions sur la psychologie et les "dimensions supérieures" de l'existence. De son côté, pour l'ésotériste et écrivain colombien Samaël Aun Weor (1917/1977), l'homme terrestre vit dans un monde soumis à 48 lois. Mais "au-dessous de nous, sous la surface de la Terre, existent des mondes de 96 et de 192 forces et encore plusieurs autres, qui sont énormément plus compliqués et terriblement matérialistes, et où on ne se rappelle même plus que la Volonté de l'Absolu existe". À mesure que les âmes involuent, leur vie se complique avec un nombre de lois de plus en plus grand. Inversement, à travers la "Révolution de la Conscience", les âmes évoluantes se libèrent des 48, des 24, des 12 et enfin des 6 lois pour entrer finalement dans l'Absolu.
Pour le mystique philosophe et compositeur arménien Georges Ivanovitch Gurdjieff (1866/1949), qui a pris ses enseignements au Tibet et dans des monastères millénaires du Moyen-Orient et de l'Asie, il parlait de 48 lois dans "les récits de Belzébuth à son petit-fils") dans le monde physique, telles que la gravité ou la conservation de l'énergie, mais aussi les lois zodiacales, le karma et autres. Il racontait que si toutes ces lois régissent notre mécanique, la 48ème loi permettrait de générer des événements nouveaux. Il racontait aussi qu'uniquement en étant conscients, en étant présents, on peut mettre à profit cette loi. Les Maîtres ne seraient donc pas soumis à la fatalité du "destin", pouvant générer des événements nouveaux à volonté, alors que les personnes les plus endormies ont l'impression de faire, mais en réalité elles subissent.
Les anciens peuples quant à eux reconnaissaient 48 constellations, groupées en bandes de 24 chacune, dans les deux hémisphères.
Traditionnellement, le nombre 72 représente la Terre, 8 (l'infini) se complétant dans le 9 (le fini), leur association dynamique (8x9) donnant 72. Toutefois les confréries et sociétés secrètes font souvent référence dans leurs très hauts grades à "72", nombre lié à la fraternelle du Dragon Vert*. En effet, les "Verts" sont 72, le nombre légendaire des compagnons du dieu égyptien Seth, le pendant entropique (sataniste) de son frère Osiris (luciférien), qu'il assassina. C'est la même histoire que Caïn et Abel dans la Bible*², ou de Rémus et Romulus dans le mythe romain. Il évoque ainsi par Seth, le dieu maudit, l’aspect terrible et destructeur des mystères séthiens dans le domaine temporel, et dont les sociétés secrètes sont en charge sous l'égide du système prédateur, la plupart du temps hors champ de compréhension de leurs fidèles illusionnés et manipulés.
* Cf. La nouvelle religion universelle.
*² Cf. Le Judaïsme décodé.
Seth, le dieu maudit
Les 72 compagnons du Seth égyptien — que les Grecs appelèrent Typhon — sont les acteurs d'une lignée que l'auteur intellectuel français René Guénon (1886/1951) désigna comme la "Contre-Initiation". Elle est le fruit dans notre civilisation présente de la perversion de la civilisation précédente, dite atlantéenne (l'Atlantide). Elle avait à son tour contaminé l’Égypte, tout particulièrement sa prêtrise pervertie au service des monarques (pharaons) régnants*. L’origine de la Contre-Initiation est décrite symboliquement dans la Bible par l’union des "fils de Dieu" (les Élohim) — représentants d’une lignée spirituelle déviée — et des "filles des hommes"*². Selon la Genèse, les crimes des géants nés de cette union — qui s’accompagna, à en croire le Livre d’Hénoch, de la divulgation illégitime de certains "secrets" — provoquèrent précisément le cataclysme qui engloutit l’Atlantide, ce qui est confirmé par Platon dans le Critias : "Mais quand vint à se ternir en eux [les Atlantes], pour avoir été mélangé, et maintes fois, avec maint élément mortel, le lot qu’ils tenaient du Dieu (…), le Dieu des Dieux, lui qui règne au moyen des lois et dont la qualité est d’être capable d’observer ce genre de choses, songeant à quel point de dépravation en était venue une race excellente, prit le parti de lui imposer un châtiment (…)."
Avant que l’Atlantide ne fût engloutie, cette "lignée" contre-initiatique avait fait souche en Égypte, où elle était "animée" et inspirée par les mystères de "l’Âne rouge", forme sous laquelle le dieu Seth était le plus souvent représenté, dont Plutarque, comme d’ailleurs pour la tradition grecque, considérait que la Grande Ourse (Arktos) était la demeure. Il s’agissait d’une des entités les plus redoutables parmi toutes celles que devait rencontrer le mort au cours de son voyage d’outre-tombe, ou, ce qui ésotériquement revient au même, l’initié au cours de ses épreuves terrestres. D'aucuns pensent qu'il pourrait s'agir de la "bête écarlate" de l’Apocalypse de Saint Jean. Sous une forme ou sous une autre, il s’est continué jusqu’à nos jours par la Confrérie du Dragon Vert, qui symbolise l’Astral inférieur, le gardien du sang éternel, du fluide vital. Dans la saga nordique en particulier, Siegfried tue le Dragon pour s’approprier, avec son sang, des pouvoirs nouveaux, et même l’immortalité. L’Ordre du Dragon transmet ainsi ces mystères de Seth-Typhon auxquels la tradition prédit un triomphe passager, à la fin des temps ...
72 est bel et bien le nombre des "contre-initiés séthiens", qui maintinrent au cours des âges leur redoutable tradition.
* Cf. Le modèle européen décodé (1) Un ADN impérial païen.
*² De manière codée est ainsi révélée la réalité des hybrides (mi reptiliens mi humains) qui supervisent sur Terre le fonctionnement de la Matrice dévoyée avec leurs relais terrestres inféodés. Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.
L’Âne, animal malade de la peste
Les Animaux malades de la peste est la première fable du livre VII de Jean de La Fontaine (1621-1695), édité pour la première fois en 1678. On y trouve les formules : "Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés" et "Selon que vous serez puissant ou misérable / Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir". L'expression "crier haro sur le baudet" tire son origine de cette fable.
La Fontaine fait aussi un éloge de l'éloquence dans cette fable. L'âne est sot et a une mauvaise maîtrise du langage que l'on peut voir grâce aux procédés suivants : le nombre de virgules pour une seule phrase, la rendant trop longue et cassant ainsi le rythme des vers ; les rimes en "an" laides qui rappellent les hennissements d'un âne, dit "ânonnant" ; le discours direct qui ne nuance pas son propre "méfait" avec l'utilisation du mot "diable".
C'est la maladresse de discours de l'âne qui l'a condamné. Le véritable vainqueur de cette fable est le renard, un orateur expert dans l'art de l'esquive qui finit même par être applaudi. Il parle directement au roi en utilisant le vouvoiement pour ainsi éviter d'avoir à confesser ses propres crimes. Ses vers, contrairement à ceux de l'âne, ont une vivacité et sont construits, sans trop de virgules. Son éloge du roi est d'ailleurs plaisant à entendre grâce aux rimes internes des vers 36 et 37 ("Mouton" et "non"). L'argumentaire du renard permet aussi un troisième niveau de lecture aux vers 41-42 : le berger est condamnable car il s'autorise seul à domestiquer les animaux, ce qui excuse d'autant plus le Lion.
Cette fable illustre la maxime "La raison du plus fort est toujours la meilleure" (La Fontaine, Le Loup et l'Agneau). C'est toujours le plus faible que l'on punit quand on a la force de le faire, c'est la loi des vainqueurs. Pour donner raison au lion (symbole du roi, donc du plus fort), le renard dit que ce n'est point un péché de manger des moutons. Mais, lorsqu'un âne (honnête, mais sans doute naïf) dit qu'il a mangé de l'herbe d'un pré sans en avoir le droit, les animaux décident de le sacrifier. Ils ont ainsi (une fausse) bonne conscience. Les personnages sont ancrés dans la réalité du temps de La Fontaine, mais leurs attitudes restent universelles. Le dénouement est tragique, mais il permet d’insister sur l’hypocrisie et sur le scandale d’une justice contrôlée par les puissants. La morale de la fable est de dénoncer l’arbitraire de la justice qui n’a pour seul but que de maintenir l’ordre social établi comme le résume les deux derniers vers.
Dans le théâtre politique actuel, ne retrouve-t-on pas les mêmes personnages en train de jouer le même rôle ? "Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés". Dans sa fable sur Les animaux malades de la peste, La Fontaine décrit la diffusion d’une maladie qui, comme le Covid-19 auquel le monde est confronté, se propage et tue. Et comme la Fable nous cherchons des bouc émissaires, des responsables de cette peste moderne.
L'âne, symbole des Mystères initiatiques
Dans les légendes liées aux Mystères chrétiens, l’âne a été racheté car il a porté le Christ en triomphe à Jérusalem. En effet, en signe de sa rédemption, le Christ a laissé sur ses épaules une croix noire. Cette parabole ésotérique indique que notre corps physique - le Mineralis -, composé des Quatre Éléments, est également la croix quadruple que nous devons porter pendant notre incarnation terrestre.
Dans la littérature ésotérique païenne, l’âne est la créature de laquelle le haut initié - celui qui suit la voie du "Service d'Autrui" - peut naitre. Ainsi dans L’Âne d’Or d’Apulée, le héros, Lucius, est transformé en âne car il s’essaye à la magie. Son objectif initial était, en dérobant les onguents de la magicienne Pamphile, non pas de se changer en âne mais de pouvoir voler. Dès lors que son mauvais usage de la magie l’a transformé en une forme d’âne, cet objectif a radicalement changé, son plus grand désir étant de redevenir à nouveau humain.
Après de nombreuses aventures dramatiques et dégradantes sous la forme d’un âne, Lucius réalise que la seule aide qu’il peut obtenir viendra du monde Spirituel. Jusqu’à la fin du livre, bien que toujours emprisonné dans le corps d’un âne, Lucius se réveille au "moment le plus secret" dans la Lune qui brille fortement dans le ciel. Il se met à prier pour la libération de sa forme bestiale, nommant la déesse de la Lune Isis par ses nombreux noms secrets. Sa prière est efficace. La déesse lui apparait dans un rêve ou une vision. Au milieu de son front se trouve une lune ressemblant à un miroir qui émet sa propre lumière. Seule sa robe est toute noire et pleine d’ombre, mais il y a dessus les étoiles et la pleine lune. Comme la déesse égyptienne Isis et les prêtres égyptiens d’initiation, elle porte un sistrum magique (instrument de musique de la famille des percussions constitué d'un cadre dans lequel sont enfilées des coques de fruits, des coquilles ou des rondelles métalliques qui s'entrechoquent). La femme de la vision dit à Lucius qu’elle est venue à son secours. L’âne se réveille de cette vision et se retrouve au milieu d’une procession initiatique, qui, par certains détails, rappelle les processions médiévales de la Fête des Fous, celle-ci étant conçue pour servir les anciens Mystères d’Isis plutôt que ceux du Christ.
Lucius savait depuis le début de son mal que si seulement il pouvait manger une rose, il retrouverait sa condition humaine. Lors de la procession, un prêtre initié (préparé à une telle action par la déesse) tend vers l’âne un bouquet de roses. L’Âne d’Or, riche de toute la connaissance et souffrance qu’il a acquis au travers de sa servitude bestiale, mange les roses, et il est transformé, comme par miracle, en l’homme supérieur.
Dans le pur émerveillement et mystère de cette transformation tant attendue, Lucius reste debout et ne dit rien. Il ne connait pas de mots qui puissent exprimer sa joie, ni même de mots pour remercier la déesse de sa bonté. Ici, nous avons directement de l’ancienne tradition des Mystères, la conscience que les mots ne sont conçus que pour le monde ordinaire, et participent peu aux Mystères suprêmes de l’esprit...
Le chiffre 432 est considéré comme sacré si on tient compte des mensurations de la majorité des temples sur notre planète. Par exemple, le côté de la grande Pyramide d’Égypte est de 432 unités terrestres* au niveau du niveau d'eau qui inondait les pieds de la pyramides. Quant à la grande pyramide du soleil du complexe Toltèque de Teotihuacan au Mexique, elle mesure sur toute la périphérie de sa base 864 UTS (Unités de mesure Téotihuacan Standards), 864 est exactement le double de 432. Selon le mythe, cette mesure a été transmise aux toltèques par les "dieux des étoiles". Dans le calendrier Maya, on retrouve aussi le chiffre 432, le cycle nommé Katun comprenant 7 200 jours où l’on retrouve à nouveau le 72, le tiers de 432.
Dans le calendrier de l'ensemble de textes vedas qui, selon la tradition, ont été révélés aux sages Rishis de l'Inde, on a un grand cycle de 432 000 ans. Dans la bible, on retrouve souvent le chiffre 144, qui est aussi un harmonique du Re correspondant quand le La est accordé à 432 Hz. Le battement du cœur de la planète aurait une pulsation de 144 Hz, la plus saine qui existe. Le battement du cœur d’un être humain adulte au repos est idéalement de 72 battements par minute, ce qui correspond exactement à un sixième de 432 Hz ou la moitié de 144. Le 144 Hz est aussi la fréquence du D ou du Ré quand le la est accordé au 432 Hz.
* Une unité terrestre mesure environ 51,49 cm à 52,5 cm et est une ancienne unité de mesure du temps de sa construction.
432 vs 444, ou la guerre des fréquences
Au cours du 20ème siècle, la fréquence de la note LA a été changée, passant du traditionnel 432 Hz à 440 Hz… En Allemagne nazie, Joseph Goebbels (photo 2) avait ainsi imposé en 1939 le changement de réglage du LA*, même si ce changement semble antérieur puisque en 1936, l’ASA (American Standards Association) avait recommandé que le LA soit réglé à cette fréquence440 Hz, recommandation reprise par l’IOFS (International Organization For Standardisation), et finalement adoptée comme norme dès 1975.
Or durant l’Antiquité, la musique était adiastématique, c’est-à-dire qu’on ne s’intéressait pas à reproduire d’une représentation à l’autre un même son de référence. Il faut attendre le début du XIe siècle pour que Gui d’Arezzo, dans son ouvrage Micrologus aux alentours de 1026, développe la théorie de la solmisation, avec les noms que l’on connaît (do ré mi fa sol la si) et avance l’idée d’une note égale en tout temps à une même hauteur.
Ainsi, au fil du temps, se dessine l’idée de créer une note précise, immuable, sur laquelle s’accorder. Se pose la question du choix de la fréquence. Cela dépend des instruments, de la nature des matériaux utilisés, et aussi du régionalisme et des époques (pour la musique du XVIe siècle par exemple, on utilise le la 466 Hz; pour le baroque vénitien, du temps de Vivaldi, c’est le la 440 Hz; pour le baroque allemand, du temps de Jean-Sébastien Bach, c'est le 415 Hz; pour le baroque français, Couperin, Marais, Charpentier…, on s’accorde sur le la 392 Hz). Il existe différents diapasons, comme le diapason Haendel, 423 Hz, le diapason Mozart 422 Hz, celui de l’opéra de Paris, dit Berlioz, 449 Hz, celui des pianos Steinway aux USA, 457 Hz.
Les prémices de cette rationalisation apparaissent en 1884, quand le compositeur Giuseppe Verdi (photo 3) obtient de la commission musicale du gouvernement italien un décret de loi normalisant le diapason à un LA à 432 vibrations par seconde. En 1939, changement de braquet, puisque la Fédération internationale des associations nationales de standardisation, organisme aujourd’hui connu sous le nom d’Organisation internationale de normalisation, décide d’un diapason étalon-mètre à 440 Hz. Cette décision sera entérinée quelques années plus tard, lors d’une conférence internationale à Londres en 1953, malgré les protestations des Italiens et des Français, attachés au la 432 Hz de Verdi. La fréquence 440 Hz a donc gagné la bataille institutionnelle, s’érigeant en standard international.
A noter que le 444 est 1.776% plus haut que le 432hz. Curieusement, ce changement est sur le GRAND SCEAU illuminati états-unien (image 4). Au bas, il y est en effet inscrit 1776 en référence à l'année de son adoption, en chiffres romains MDCCLXXVI (1776).
* La promulgation en 1939 du 440 au détriment du 432 a fait penser à un coup d’état musical des nazis, car les
Allemands avaient très tôt, vers 1700, choisit le 440 Hz. Avec la volonté d’Hitler de rebâtir le grand empire germanique disparu, la musique s’est vue instrumentalisée, devenant un fer de lance
de ce désir de grandeur perdue, se basant sur une affirmation de Platon: "si tu veux contrôler le peuple, commence par contrôler sa musique". Les nazis ayant prouvé leur capacité à la
récupération et leur obsession de l’imposition de normes (comme ils ont adopté le symbole de la svastika)...
Les versets de l'Apocalypse de Jean qui figurent dans le chapitre 13, versets 11-18, livrent une énigmatique parole concernant la "Bête et son nombre", qui n’a de cesse depuis d’enfiévrer les esprits des chercheurs de vérité : "Et il lui fut donné d’animer l’image de la bête, afin que l’image de la bête parlât, et qu’elle fît que tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête fussent tués. Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six".
Nous pouvons y voir comme certains la marque du "diable"* corruptrice, celle des médias, tout particulièrement la télévision, ou celle de l’argent et de sa traduction électronique – la carte à puce bancaire –, avec pour tous deux leur gravure en cours dans le corps humain sous forme RFID (radio frequency identification). Si ce n’est pas faux dans l’esprit, l’explication est toute autre, correspondant à la réalité de l’époque du prophète.
La structure du temps linéaire que nous connaissons a été construite par les "magiciens" babyloniens, la prêtrise dévoyée au service des élites oppressantes. Autrement dit, elle est le filet de la matrice falsifiée, celui d’un espace-temps limité pour empêcher l’être humain d’évoluer par sa conscience. "666" est le code fréquence établissant le lien avec le temps, ce monstre qui nous envahit, oppresse et dévore.
Sa construction à Babylone s’établit sur l’architecture d’une journée divisée en 24 heures (soit 6 en numérologie), 1 heure à 60 minutes, et 1 minute à 60 secondes. Celles-ci sont le point générateur de la construction, étant basées sur les rythmes cardiaques humains observés pendant une phase de repos. Ainsi le système pervers patriarcal - la "père-version" -, en partant du rythme naturel de l’être humain en phase de repos (méditation, sommeil), et par là-même de son accès au temps fractal (absolu), l’a enfermé dans un temps figé, cadenassé, contenu, propre à une structuration d’oppression.
Ce code 666, fréquence de la Matrice cyber, a permis l’inversion du temps du matriarcat – le temps éphémère - pour le temps du patriarcat, sa forme figée. C’est le temps de Satan – "C(el)à (est) temps" -, le temps de l’égo-mental, qui dans le monde à l’envers – le "démon" -, fige les choses. C’est le temps de l’heure, du "leurre", celui du mirage de l’Âme dans une matière qui la cadenasse, l’empêchant par sa structuration de s’exprimer. C'est le monstre qui nous dévore, ce que la "montre" ou l'horloge nous montrent, tout comme la lettre shin hébraïque (Cf. image 1)... C’est lui qui retient le dragon prisonnier en chacun, l’empêchant de se libérer sauf transcendance échappatoire supposant de retrouver son équilibre, en étant centré dans le moment présent. En étant centré ("sans trait"), nous retirons les trois clous qui nous figent au temps - le 666 -, ce que figure la crucifixion de Jésus-Christ (Cf. image 2), la couronne de laurier rappelant la circonférence de la Matrice asservissante...
C’est ainsi que s’est élaboré par les élites du triangle le contrôle des humains, les conduisant par ce temps figé à nourrir la matrice par l’esclavagisme psychique exercé. Ce n’est qu’en s’échappant du diktat du temps de la matrice, en s’extirpant de son espace-temps limité, en ouvrant les portes de l’espace-temps pour plonger dans le grand champ d’information de l’univers - l’éther, le ki, le chi – que l’être humain peut gagner le grand secret caché à sa connaissance, l’immortalité. C’est ce qu’enseignent les mythes de Prométhée et d'Asclépios (grec), d'Esculape, de Jésus-Christ et de Lucifer (latin), une fois percée la clé codée de leur enseignement*².
* Le diable est un archétype, non une réalité. Il participe de la dualité propre au fonctionnement de notre monde tridimensionnel limité. Lui donner attention participe de sa réalité. Sans nier l'existence d'entités prédatrices, humaines comme hyper-dimensionnelles, seul le choix de l'unité intérieure lumineuse permet de s'extraire du piège mortifère de la division.
*² Asclépios - ou Esculape, sa version latine -, à l'époque classique le dieu gréco-romain de la médecine, meurt foudroyé par Zeus, son grand-père (il est fils d'Apollon), pour avoir ressuscité les morts, avant d'être placé dans le ciel sous la forme de la constellation du Serpentaire, la treizième constellation, celle du trésor - "treize ors" - caché, soit le Christ... Autrement dit, tout comme les sacrifices de Prométhée ou Jésus-Christ, il symbolise l'interdit des gardiens de la Matrice asservissante de la 3ème dimension de réalité adressé aux humains quant au franchissement des barrières de l'espace-temps limité par les douze " astropôtres " (le zodiaque falsifié), soit le secret de leur immortalité, plus exactement de leur éternité (" éthernité ") ...
Cf. en complément La falsification de la réalité en 3-D & Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?
De la carte Visa
En 1958, la Bank of America a commencé à émettre des cartes de crédit sous le nom de BankAmericard. En 1976, elle a changé le nom en VISA pour devenir internationale. Le nom VISA a été choisi parce qu'il avait la même consonance dans toutes les langues.
VISA peut apparaître comme une combinaison de trois six, 666. En effet, le VI = 6 en chiffres romains, le S est la sixième lettre dans l'alphabet grec (zeta, qui ne ressemble cependant pas à un "S"), et A est la sixième lettre dans l'alphabet cunéiforme babylonien, sans ressemblance pour autant.
En fait, le texte biblique, deux mille ans après sa rédaction, évoque par le 666 un symbole mathématique du Zodiaque égyptien qui a été détourné de son sens originel, le 666 étant le chiffre du corps humain dans la mesure où il correspond aux 6 neutrons, 6 protons, 6 électrons du corps de carbone, alors que le véritable chiffre du démiurge (Yaldabaoth ou Yahvé) est le 777. Ce détournement n'avait pour autre but que l'asservissement de la conscience de l'être humain, destiné à l'empêcher de s'éveiller et à devenir Qui Il Est vraiment !
La clé codée de l'asservissement des consciences dans le 666
Si sur le plan géométrique la circonférence de la sphère de la Matrice est de 360° à l'image de l'Ouroboros (image 1), sa fréquence vibratoire du fait de sa
constitution numérique est 666 compte-tenu qu'elle tourne à l'infini dans le même sens horaire, de ce fait confinée au champ de l'astral et sa barrière électro-magnétique*. En regardant sur
l'horloge du temps que cette fréquence nourrit comment se positionne le nombre "parfait" binaire terrestre (le 10 formé du 1, les élites, et du 0, les moutons ou veaux de l'enclos), s'affiche sur
l'écran 10 heures 10 minutes (image 2), soit les 2 pointes de la tête de bouc du pentagramme (et pentacle) inversé, symbole de l'occultisme noir, satanique*² (image 3). Nul ne sera ainsi étonné
que les logos de nombre d'organisations servant le fonctionnement de la matrice terrestre dévoyée, tels le Forum économique
mondial ou FEM (en anglais World Economic Forum, abrégé WEF - photo 6) ou le Centre de recherche nucléaire (CERN - photo 7) qui tente de recréer le Big Bang (la théorie de la création de l'homme), y dissimulent le 666 dans leur forme.
Quant au "carré magique" d'un écran digital (photo 8), il dissimule l'acronyme du Nouvel Ordre Mondial (NOM) dans les lettres de la touche 6 (mno), chaque ligne le constituant ayant pour résultat 6, autrement dit le 666 :
1+2+3=6
4+5+6=15 (1+5=6)
7+8+9=24 (2+4=6)
Et que l'on additionne les 3 chiffres à la verticale, à l'horizontal ou en diagonale en passant par le centre 5, on obtient toujours 15 (1+5=6) en total, soit
l'arcane du Diable dans le tarot initiatique !
Sans transcendance intérieure de ce temps limité, l'être humain reste piégé dans les boucles de la cyclicité involutive de la 3ème dimension de réalité d'appartenance. 666 est bel et bien la fréquence du "nombre d'homme" dont parle saint Jean dans l'Apocalypse - celui-ci est la Bête, le bétail des faux dieux -, tant qu'il n'a pas récupéré la pleine puissance de sa nature divine...
* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.
*² Cf. Symbolisme des figures. Toutes les représentations géométriques du pentacle inversé
font apparaitre 11 heures 11, indiquant le cadenassement du système. Les trois signes à corne du zodiaque - Bélier, Taureau, Capricorne - constituent le triangle "mortifère" (d'où le référentiel
maçonnique utilisé), la tête de bouc figurant le pentagramme voyant la corne de droite correspondre au Taureau (image 4) et celle de gauche au Capricorne (image 5). Tous sont porteurs des deux
cornes, la dualité qui sépare et divise, rendant impossible en cet état la réunification de son Âme au champ de l'Esprit divin...
Un nombre associé à l'empereur romain diabolique Néron
Parmi nombre de psychopathes à la tête des pyramides de gouvernance terrestre figure en bonne place l'Imperator Nero Claudius Caesar Augustus Germanicus, Néron
(37/68), empereur romain du 13 octobre 54 jusqu'à sa mort. Il fut le cinquième et dernier empereur romain de la dynastie julio-claudienne. Accèdant au trône après la mort de son grand-oncle
Claude, qui l'avait adopté et nommé successeur au détriment de son propre fils, Britannicus, il ordonna rapidement l'exécution des personnes pouvant lui faire de l'ombre, dont sa propre mère
Agrippine. Son règne est généralement par la grande majorité des sources antiques (Suétone, Tacite, Dion
Cassius) associé à l'ambition démesurée, la cruauté et à l'extravagance, et on
lui prête l'incendie de Rome en 64 qui lui servit de prétexte à la persécution des chrétiens en les désignant comme responsables de la catastrophe.
Dans la mesure où le chiffre 6 au sens spirituel et symbolique est souvent associé à l’Homme, au péché et à l’orgueil, le "666" serait en fait le nom de Néron traduit en chiffres d’après des principes algébriques où chaque lettre de l’alphabet a une valeur numérique. En se basant en effet sur le grec ancien, il faut se référer à son nom complet, "Néron Claude Auguste". Quand on additionne la valeur des lettres de chaque partie de ce nom, on obtient trois fois six (6 + 6 + 6). En hébraïque, c’est l’addition de toutes les lettres formant "César Néron" qui donne un total de six-cent-soixante-six. Mais cette interprétation est toutefois sujette à débat, car on n’obtient pas toujours ce résultat selon la méthode employée.
Comme le livre de l’Apocalypse aurait été écrit à la fin du Ier siècle après J.-C., peu après le règne de Néron, il serait plausible de penser que l’auteur avait glissé ce code en référence au personnage. Il ne s’agirait alors pas de prophétiser l’avènement du Diable, mais de mettre en garde le lecteur contre le règne du prochain Néron.
La dénaturation du féminin sacré
Le Soleil et la Lune sont en chimie l'anode et la cathode, les deux électrodes (polarités) où se produisent des réactions électrochimiques : l'anode donne lieu à une émission d'électrons appelée phénomène d'oxydation (polarité +), et la cathode à une absorption d'électrons appelée phénomène de réduction (polarité -)
C'est le contraire en processus de production d'électricité (générateurs ou piles), la cathode étant l'électrode positive et l'anode l'électrode négative.
Ils traduisent par leur lien indissociable le fonctionnement de l'architecture du Vivant *. Ceci questionne quant à la notion scientifique prédominante d'héliocentrisme de notre galaxie et les croyances associées. Ainsi la croyance que le phénomène des marées est lié à la gravité de l'activité lunaire, alors que le diamagnétisme du soleil, de la lune comme de l'eau contenue dans l'atmosphère (l'air) et dans la mer agissent concomitamment sur la production des 4 marées toutes les 6 heures sur les deux parties du globe terrestre (2 par hémisphère), celle qui est éclairée et celle qui ne l'est pas. Autrement dit, la signature explicite du système prédateur patriarcal (et maçonnique) par le 666 vise à dissimuler le double du Soleil, le féminin sacré lunaire, en le maintenant dans l'obscurité de la conscience *²... A l'image d'une bobine Tesla *³, la Terre par son pôle Nord est bel et bien "énergétisée" tel un torus par les deux astres source de réflexion de lumière. La véritable puissance qui en découle est le 6 à l'infini, non le 666 limité, qui maintient l'être humain leurré dans l'incapacité à se réapproprier son pouvoir créateur divin !
* Cf. La dualité décodée & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.
*² Cf. Le féminin
séquestré.
*³ La bobine Tesla ou transformateur de Tesla est une machine électrique fonctionnant sous courant alternatif à haute fréquence et permettant d'atteindre de très hautes tensions.
Six, le nombre de la puissance, est deux fois trois, soit l'opposition de deux dynamismes, celui du Sacré et de son pendant ténébreux*. L’un a pour vocation de contenir, d’annuler les effets de l’autre, et réciproquement. Un jeu sans fin, une perpétuelle tension. Aussi le six représente un équilibre, une immobilisation dans le cercle de l’Action/Réaction, celui de la Matrice limitée. Autrement dit le cercle de la Mort et de la Renaissance. C’est le cercle du monde relatif, où rien ne se perd ni ne se crée, où tout se transforme. C'est l’apogée du mal relatif, la tentative de figer le jeu cosmique et de bloquer le retour de l’homme à Son origine.
Trois six, c’est l’équilibre sur tous les plans, y compris le monde spirituel. Autant dire, même si apparemment la vie pullule, la mort sur tous les plans, la condamnation au monde relatif. Le matérialisme est une forme de minéralisation qui prélude à la fixation éternelle. C'est pourquoi 666 est un chiffre d’homme, car l’homme est relatif. Coupé de l’Absolu, il se minéralise et meurt. Loin de l’Essence, il n’est plus qu’existence, qui est une forme de mort. Cette amère tentation, cette pulsion de mort et de découragement est en chacun de nous. Pour retrouver l’Essence, il nous appartient de s’abstraire du jeu des contraires de la Matrice involutive, celle des boucles du Temps. En cessant de les opposer et en les épousant, ils cesseront de s’annihiler pour donner naissance à un fruit nouveau, le germe de l’Homme, rencontre du Haut et du bas. C'est atteindre le degré dans l’escalier hélicoïdal qui mène au Centre, au Sept, et au-delà, au Neuf, puis au Un.
666 est une prison à trois verrous dont la clef est nécessairement en nous. Nous avons à ouvrir les deux verrous du bas. La troisième n’a jamais été fermée, car nul sinon le "Père" n’a le pouvoir de la fermer ou de l’ouvrir. Où mieux cacher la clef qu’à portée de la serrure ? La clef est peut-être tout simplement sur la serrure, ou, mieux encore, la serrure est la clef. Nous sommes la serrure et la clef. La question et la réponse. La réponse est indiquée dans la spirale, l’hélice du Six.
En tournant la clef dans la serrure, nous nous transformons, changeons, et rejoignons notre origine. De six nous serons enfin neuf...
* 666 jours est la durée du pacte germano-soviétique scellé au moment de la Seconde Guerre Mondiale...
Selon la Tradition, l'homme possède trois centres psychiques - corps moteur, émotif et intellectuel -*, dont chacun est divisé en six secteurs, ce qui porte à dix-huit le nombre des organes de la conscience de la Personnalité. Chaque "petit moi" n'est qu'une conscience fractionnaire de la Personnalité, l’Être accompli, c'est-à-dire de l'ensemble du Moi psychique, mais qui, momentanément, s'affirme comme tel. En appliquant le calcul algébrique aux combinaisons possibles par trois, deux et un qui résultent de l'existence de trois centres et de dix-huit secteurs, on trouve que le nombre de ces combinaisons s'élève à neuf cent quatre-vingt-sept.
La conscience fractionnaire traduit ainsi l'état déficient dans lequel se trouve généralement la Personnalité. Cette conscience fractionnaire surgit en l'homme comme corollaire des diverses combinaisons possibles des secteurs qui participent à chaque moment à la réception des impressions et à l'expression des désirs, des sentiments, des opinions. Ces groupements se font généralement par trois, par deux, car il est plutôt rare qu'un seul secteur participe à un état psychique. Tant que leur soudure ne s'est pas produite, ces neuf cent quatre-vingt-sept combinaisons possibles des centres et de leurs secteurs donnent naissance à un nombre égal de prises de conscience partielles de la Personnalité qui s'affirment sur le moment comme le Moi tout entier. Se faisant et se défaisant sans cesse en nous, à partir de ces petits moi, elles tissent notre vie, ses résultats étant nocifs, source de désordre, d'errance et de chaos. C'est pourquoi cette vie contre-existentielle se modifie incessamment de façon anarchique, au gré des événements, sans l'intervention d'un plan préétabli pour l'atteinte d'un but prémédité. Cela s'apparente au phénomène de l'interférence des ondes que l'on peut représenter graphiquement par un enchevêtrement de sinusoïdes (Cf. image).
C'est ce phénomène qui explique la cause du vieillissement et de la mort, résultats d'un épuisement, autrement dit d'une faillite, celle de ne pas avoir su faire jaillir un feu intérieur susceptible par transmutation de transfigurer tout l'être afin de lui permettre de vaincre la Mort !
* Cf. Fonctionnement du corps biologique.
Ce que les anciennes traditions ont appelé les 1.000 ans de Satan ou le royaume de paix de mille ans est nommé le Millénium. Il correspond à l'entrée de l'humanité dans une phase décisive du processus de sa transition dans une dimension de densité supérieure, soit la nouvelle conscientisation de l'être humain de Qui Il Est vraiment, percevant désormais la matière non avec son corps astral mais avec son corps mental. La clé est codée dans les "anciens textes sacrés", disant que Satan, qui est à l'origine de tous les maux comme adversaire et contradicteur de Dieu, est saisi et jeté dans l'abîme : "Et je vis un ange descendant du ciel, ayant la clef de l'abîme et une grande chaîne dans sa main. Et il saisit le dragon, le serpent ancien qui est le diable et Satan, et le lia pour mille ans ; et il le jeta dans l'abîme, et l'enferma ; et il mit un sceau sur lui, afin qu'il ne séduisît plus les nations, jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis ; après cela il faut qu'il soit délié pour un peu de temps" – (Apoc. 20.1-3).
Ce passage symbolique de l'Apocalypse est très hermétique, posant la question cruciale de l'identité de "l'Ange" qui lie Satan pour mille ans. Cet Ange n'est autre que le porteur de lumière, Lucifer (l'Antéchrist, la fausse lumière) qui, en emprisonnant Satan (les Ténèbres), se propose comme sauveur de l'humanité. Il constitue un artifice destiné à illusionner les êtres humains qui, sous couvert de les délivrer de l'emprise démoniaque de Satan, les asservit sous couvert d'une protection à caractère sacré qui n'en a pas pour autant les attributs.
Lucifer est celui qui soumet l'homme, le "fils du créateur", à la "tentation". Il ne peut être ni Satan, ni le Christ. Les religions ont intentionnellement fusionné ces deux polarités entropiques - Lucifer et Satan - en une seule pour entretenir la confusion. C'est une des ruses à caractère religieux du corpus prédateur.
Les "mille" ans correspondent simplement à une période définie, une métaphore au temps de l'Onde du changement qui pendant son passage occasionne la moisson des âmes. Ils sont quelque part de l'espace dans le temps pour décrire la durée de la transition de 3ème en 4ème densité, dans laquelle chaque être humain est appelé à asseoir son choix en vue de son cycle ultérieur en 4ème densité de réalité. Autrement dit, ils lui offrent le choix :
- soit de poursuivre l'expérimentation du monde en mode "Service de Soi", propre à la matrice limitée d'un monde matériel, "l'enfer" terrestre sous contrôle de forces involutives interdimensionnelles;
- soit de gravir les échelons de la Conscience, de suivre la voie de la Connaissance et du mode "Service à Autrui", en proposant à l'âme le difficile chemin de croix du Christ*, aboutissant dans une dimension de densité plus élevée, la 4ème densité d'existence.
* Cf. Le cheminement de l’Âme.
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